Germain-Lacour, Alphonse-Marie-Joseph (1860-19..)
[Bibliographie]
Les Clairières (1888). — Les Temples vides (1891).
OPINION.
Charles Fuster
Après ses premières poésies, si spirituellement émues, M. Germain-Lacour a haussé le ton. Il y a surtout de la pensée, de la pensée à la Sully Prudhomme, dans son nouveau recueil.
[L’Année des poètes ().]