Féline, Michel
[Bibliographie]
L’Adolescent confidentiel (1892).
OPINION.
Jean Court
Les jolis vers ne sont point rares dans cette œuvrette, mais l’âme de l’adolescent qui écrivit ces pseudo-confidences est sans doute un peu artificieuse et dénuée de toute sincérité ! Les préférences de M. Michel Féline vont à Jules Laforgue, à qui le recueil est dédié.
[Mercure de France (septembre ).]