Duvauchel, Léon (1850-1902)
[Bibliographie]
Le Médaillon (1875). — La Clef des champs (1881). — La Moussière, roman forestier (1886). — Le Tourbier, mœurs picardes (1888.) — Le Livre d’un forestier, prose, vers et dessins (1892). — Chez nous, prose et vers (1895). — M’zelle, roman (1895). — L’Hortillonne (1897). — Pour mon pays (1898).
OPINIONS.
Paul Arène
Le Chapeau bleu, marivaudage en jolis vers traversés de rayons et peuplés de ramiers, de M. L. Duvauchel, un de ceux qui, à l’exemple d’Albert Mérat, ont le mieux chanté la grâce spéciale et printanière de nos environs parisiens.
Emmanuel Des Essarts
La recherche du vrai et l’attachement au goût trouvent leur compte dans l’aimable volume de Léon Duvauchel… Il manie le triolet avec la perfection de Saint-Amant et de , ces maîtres du genre. Aux lilas panachés, l’Alouette, sont des petits chefs-d’œuvre. Les sonnets de Sylvie et de la Fraise mériteraient la même appellation… La poésie « de genre » compte un maître de plus.
Émile Blémont
Chez nous. C’est un joli volume de prose et de vers alternés… Avec quel plaisir nous avons lu les belles pages que l’auteur consacre à la Picardie. Il porte au cœur l’amour de la vaillante et glorieuse province ; aussi la célèbre-t-il dignement en prose dans l’article intitulé : Ave, Picardia Nutrix ; en vers, dans la pièce intitulée : À ceux de Picardie…