Buffenoir, Hippolyte (1847-1928)
[Bibliographie]
Les Premiers Baisers (1876). — Les Allures viriles (1880). — La Vie ardente (1883). — Cris d’amour et d’orgueil (1887). — Pour la gloire (1892).
OPINIONS.
Raoul de Najac
La muse de M. Buffenoir nous paraît être proche parente de celle d’Alfred de Musset, et c’est, selon nous, le meilleur compliment qu’on puisse lui faire.
Maxime Gaucher
Le poète de Cris d’amour admire les grands lutteurs qui ne se sont pas laissés terrasser dans le combat de la vie. Il aime à évoquer de leur tombe les stoïciens fameux dans l’histoire ; il salue en eux les représentants de l’énergie et de la volonté humaine, et, en les glorifiant, il lui semble glorifier ses propres ancêtres. C’est ainsi que ses cris d’admiration deviennent des cris d’orgueil.