Barthélemy, Auguste (1796-1867)
[Bibliographie]
Le Sacre (1895). — Les Sidiennes (1825). — La Villéliade ou la Prise du château de Rivoli (1897). — La Corbiéréide (1837). — La Peyroméide (1837). — Napoléon en Égypte, avec Méry (1898). — Le Fils de l’homme, avec Méry (1829). — Waterloo, avec Méry (1899). — Œuvres poétiques de Barthélemy et Méry, 4 volumes (1831). — Némésis (1831). — Une justification de l’état de siège (1839). — Les Douze Journées de la Révolution (1833-1835). — L’Énéide, trad. en vers, 4volumes (1835-1838). — La Bouillotte, poème (1839). — La Syphilis, poème (1840). — Le Baccara, poème (1843). — L’Art de fumer, poème (1843). — Le Deux-Décembre (1852). — Vox Populi ; le Quinze Août (1852). — Une Impératrice (1853). — Le Jour impérial (1853). — Le Triomphe d’Osten-Sachen (1854). — L’Exposition (1855). — Les Deux Marseille (1855).
OPINIONS.
Alphonse de Lamartine
Méry et , deux improvisateurs en bronze qui ont fait faire à la langue des miracles de prosodie.
Édouard Fournier
L’Épître à M. de Chalabre, administrateur des jeux à Paris, nous fait une confidence. Elle nous dit la malheureuse passion qui dévora sa vie et, par ses insatiables exigences, fit continuellement échec à ce que le poète aurait pu mériter d’honorabilité et de gloire. Le caractère chez
fut l’éclipse du talent.Maurice Tourneux
La vénalité de l’homme et les défauts inhérents aux facultés mêmes de l’improvisateur ont singulièrement nui à la gloire littéraire de
, que protège seul aujourd’hui le souvenir de la première Némésis ; il y a également dans Napoléon en Égypte et dans les Douze journées de la Révolution des pages qui mériteraient de se fixer dans la mémoire des nouvelles générations.