Durocher, Léon (1862-1918)
[Bibliographie]
Clairons et binious (1886). — La Marmite enchantée, comédie en un acte, en vers (1887). — Le Rameau d’or (1889). — La Légende du baron de Saint-Amand (1890). — Le Cabaret de la belle étoile, apologue (1893).
OPINIONS.
Jules Tellier
Je veux citer encore Clairons et binious, poésies bretonnes et patriotiques, par M. Léon Durocher.
René Émery [R. E.]
C’est un barde d’Armor, un trouvère de notre chère Bretagne, un nostalgique des landes… Ses poèmes, qu’il éparpilla, au hasard des revues, un joli trésor… Durocher est poète ; non pas seulement ciseleur de rimes, sertisseur de verbes, gonfleur de bulles irisées, mais très subtil orfèvre, sachant tailler de superbes châsses qu’il orne ensuite des plus précieuses pierreries, pour coucher, dans ces reliquaires, les reines pâles, les jolies reines de pensée et de poésie, vivantes toujours et palpitantes, figées pour ainsi dire dans l’immortalité des vers impérissables.