Steens, Achille
[Bibliographie]
Les Voix de l’aurore (1895).
OPINION.
Charles Fuster
Nul scepticisme, ni rien qui y ressemble : c’est du lyrisme, de l’ardente conviction et, à mainte page, de l’élégance enflammée.
[L’Année des poètes ().]
Les Voix de l’aurore (1895).
Nul scepticisme, ni rien qui y ressemble : c’est du lyrisme, de l’ardente conviction et, à mainte page, de l’élégance enflammée.