Téry, Gustave (1871-1928)
[Bibliographie]
À ceux qui vont partir (1895).
OPINION.
Gaston Deschamps
Le poème de M. Gustave Téry n’est, d’un bout à l’autre, qu’une litanie d’amour mystique et de douleur. Cela est moins monotone que les paperasses documentaires par où le roman expérimental entreprit de mettre à nu, interminablement, l’humaine bestialité.
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