Conclusion
Qu’on me permette quelques brèves réflexions avant de fermer ce volume. Les critiques de bonne foi, ceux qui n’aiment ni le paradoxe, ni l’injustice, ceux-là ne se sont pas trompés sur la portée et la signification de nos livres. En leur offrant ici tous mes remerciements, je voudrais signaler, pour leur grande sympathie de compréhension, MM. Gabriel Colin, qui dans l’Univers, le Bulletin de la Société d’éducation et bien d’autres Revues, s’est fait le propagateur sincère de nos théories ; Elzéar Rougier, mon fidèle ami de doctrine et d’idées, qui répand la bonne parole littéraire en province ; Michel Salomon, qui nous défend si vaillamment dans le Journal de Genève ; Ch. Le Goffic, qui ne cache pas non plus ses convictions ; André Chaumeix qui, dans un succinct article du Correspondant, a publié la plus claire et la plus complète exposition de nos livres ; des professeurs, comme MM. Henri Chantavoine, Victor Giraud, Glachant, Pierre Brun, Châtel, Pascal Monet, Gustave Allais, Vergniol, Valéry le Ricolais, Jules Delvaille, Gausseron, Van Dooren, qui soutiennent nos principes avec tant de compétence dans leurs chaires ou dans des Revues ; Virgile Rossel dans la Revue du dimanche de Lausanne ; le P. Chérot dans les Études religieuses ; Lapauze, H. d’Alméras, Jean Lionnet, Henri Bordeaux, L. Gaubert, H. Duvernois, Rivoire et tant d’autres pour qui j’ai les mêmes sentiments de reconnaissance.
Je ne puis éprouver également qu’une très sincère gratitude pour les critiques qui, m’opposant des réserves m’ont fait l’honneur de m’éclairer dans leurs objections, MM. Gaston Deschamps dans le Temps, Blum dans Gil Blas, Ballot dans le Figaro, Ernest Charles dans la Revue bleue, Bertaut dans la Revue hebdomadaire, Guerlin dans la Revue Mame, Adolphe Brisson dans les Annales, Masel dans la Revue du Midi, Durand-Gréville dans le Journal de Saint-Pétersbourg, etc.