Ronchaud, Louis de (1816-1887)
[Bibliographie]
Les Heures (1842). — Les Comédies philosophiques ; Poèmes dramatiques (1883). — Poèmes de la mort (1887).
OPINIONS.
Eugène Ledrain
Lamartine et l’art grec, tels ont été les deux maîtres de M. de Ronchaud, qui est à la fois un savant et un lettré. Toutefois ses œuvres▶ portent bien la marque de son propre esprit. Il s’est inspiré du grand poète et de la belle Grèce, mais sans renoncer à être personnel.
Paul Ginisty
M. de Ronchaud, lui, a déjà à son acquit les Poèmes dramatiques. Ses Poèmes de la mort attestent sa fidélité à un art sévère, au culte respectueux de la rime, à un procédé qui ne laisse rien au hasard. Sa Mort du Centaure, drame lyrique, ◀œuvre désintéressée et volontairement injouable, contient particulièrement de superbes morceaux.