Roidot, Prosper (1878-1959)
[Bibliographie]
Aubes et crépuscules (1898).
OPINION.
Maurice Perrès
Encore des vers libres, mais si suaves aussi, d’une tendresse et d’une naïveté si pénétrantes ! On dirait une âme d’enfant qui traduirait avec une simplicité candide ses éveils à la lumière, ses sensations d’aube, et qui, peu à peu, verrait s’évanouir tous ses rêves dans le crépuscule de la vie qui passe.
[L’Œuvre ().]