Harel, Paul (1854-1927)
[Bibliographie]
Sous les pommiers (1879). — Gousses d’ail et fleurs de serpolet (1881). — Rimes de broche et d’épée (1883). — Aux champs (1884). — Les Voix de la glèbe (1897).
OPINIONS.
Jules Tellier
C’est la Normandie que chante M. Paul Harel, l’aubergiste poète dont l’Académie a récemment couronné les vers : Aux champs.
Antony Valabrègue
Les Voix de la glèbe, de Paul Harel : un volume où nous avons remarqué tout d’abord un petit chef-d’œuvre de sentiment et d’imagination, la Nuit de Noël.
Philippe Gille
De beaux vers, bien francs, bien sonnants, pleins de belles idées, voilà ce qu’on trouve dans les Voix de la glèbe, le nouveau livre de M. Paul Harel. La muse du poète n’a pas fixé son séjour dans le seul pays des rêveries ; bien qu’elle nous en rapporte de hautes inspirations, elle se plaît surtout aux choses, aux belles choses de la nature et ne dédaigne pas l’humour.