Hubert, Paul
[Bibliographie]
Verbes mauves (1898). — Aux tournants de la route (1901).
OPINION.
Gustave Kahn
M. Paul Hubert sait trouver de jolies images. Mais il les sertit d’un vocabulaire maniéré et pas assez étendu. Il semble que ce poète n’aurait qu’à gagner à s’abandonner davantage, à devenir plus spontané, forme et fond, et que, dégagé de quelque afféterie, il apparaîtrait plus nettement ce qu’il est, un spirituel artiste.
[Revue blanche ().]