À M. Vacherot
Mon cher Professeur,
C’est à vous que je dois mes meilleures idées sur la critique▶. Entendre un philosophe parler littérature est l’un des plus grands plaisirs de l’esprit que je connaisse, et c’est une fête que vous m’avez donnée à Sainte-Barbe, pendant un an, toutes les semaines, à votre conférence du mercredi, lorsque je préparais mes examens de licence. Vous m’avez communiqué le goût des questions de ◀critique générale, et, ce qui est plus, beaucoup d’idées : je vous devais ce livre. Reprenez la vérité comme votre bien, et laissez-moi les paradoxes, — ou le scepticisme.
P. STAPFER.