Le Guillou, Jean
[Bibliographie]
Flûtes errantes (1897). — Songes d’Armor (1900).
OPINION.
Pierre Quillard
. M. Jean Le Guillou, lors même,
qu’il se laissait aller au charme de la Provence, de l’Auvergne ou de la
Normandie, célébrées sur ses Flûtes errantes, connut la
nostalgie de la Bretagne natale. Le voici enchaîné à jamais par le « grand
sortilège » de Myrdhinn et de Viviane, et il se donne tout entier « au pays
du vent et de la nue… »
.
… Il est, dans les Songes d’Armor, plus d’un vers en demi-teinte, d’une exquise délicatesse.
[Mercure de France (mai ).]