Trézenik, Léo (1855-1902)
[Bibliographie]
Les Gouailleuses, poésies (1882). — L’Art de se faire aimer (1883). — Les Hirsutes (1883). — Proses décadentes (1886). — Les Gens qui s’amusent (1886). — Coquebins (1887). — La Jupe (1887). — En jouant du mirliton (1889). — Ma province (1889). — La Confession d’un fou (1890). — L’Assassinat de la vieille dame (1894). — Le Nombril de M. Aubertin (1897). — Le Ménage Rousseau (1898).
OPINION.
P.-J
Non sans talent, Léo Trezenick, qui appartient à cette école mi-chatnoiresque et mi-décadente qui ne sut pas très bien se fixer entre le mont des Martyrs et celui de Sainte-Geneviève, a publié plusieurs livres d’une fantaisie curieuse. Il y a de beaux vers dans les Gouailleuses.