Parrocel
La Sainte Trinité. Que diable faire de la sainte Trinité, à moins qu’on ne soit un Raphael ?
Dans le tableau de Parocel, on voit à gauche un Christ tenant sa croix, fiché droit et roide comme s’il était empalé.
À droite, un Père éternel qui se précipite, et qui ferait certainement une chute fâcheuse, sans les anges obligeants qui le retiennent.
Au milieu et plus haut, le pigeon radieux. Objet très intéressant !
Et puis, une guirlande de têtes, de pieds, d’ailes et de mains de chérubins et de séraphins, qui descend jusqu’au bas de la toile.
Quand j’ai regardé ce morceau ; que j’y ai aperçu quelque dessin, un peu de couleur, un grand travail, et que je me suis dit, Cela est détestable, j’ai ajouté tout de suite, Ah, que l’art▶ de peindre est un ◀art difficile.