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44. (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Ainsi, dans le premier cas, un incendie, une émotion vive, sera l'agent causal. […] Sapojnikow, Moscou 91) et tout récemment encore une épidémie de suicides religieux par l'emnurcmcnt et l'ensevelissement vifs, a sévi près de Tchernigow. […] Elle a débuté par de vives douleurs comparables à des .cpups de canif, et survenant par accès (six à huit en 24 heures) dans le tiers inférieur de la cuisse droite ; les crises douloureuses, duraient en moyenne de 24 à 36 heures. […] Les tics disparurent ensuite et furent remplacés par la - coprolalie monosyllabique la plus classique ; enfin, celle-ci céda elle-même la place à un nouveau tic consistant en un claquement des doigts accompagnant un geste de vive impatience. […] L'anesthésie, contrairement à ce qu'on serait tenté de croire, s'est toujours produite rapidement, sans période d'excitation bien vive.

45. (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905

PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES sur L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ENFANTS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDANT L'ANÉE 1905 PAR MÉDECIN DE BICÈTRE. Volume XXVI Avec 55 figures dans le texte et 13 planches. 9 14 3 5 PARIS AtlX BUREAUX DU j félix ALCAN PROGRÈS MÉDICAL éditeur 14, rue des Carmes, 14 I 108, Boulevard St-Germain, 108 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1905 (Bicêtre et Fondation Vallée) Bourneville, Bicêtre, 1905. PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Service pendant l'année 1905.

46. (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Bien qu'un peu vif dans la forme nous avons cru de- voir publier le travail de M. […] Depuis cette époque, malgré son très vif dé- sirde reprendre une habitude qui lui fut chère, il ne peut sur- monter l'aversion qu'il éprouve pour le tabac et même pour la fumée. […] Pendant que l'Ecole de la Salpêtrière expérimentait sur les hystériques, l'Ecole de Nancy, avec Bernheim en tête, étudiait le sommeil hypnotique chez les sujets bien portants ; elle aboutit à la conclusion que le sommeil hy- pnotique est la continuation du sommeil normal et que si les phénomènes hypnotiques apparaissent plus nette- ment chez les hystériques, c'est parce que toutes les ma- nifestations sont plus vives chez elles.

47. (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892

Emotion vive et chute durant la grossesse. - Naissance un peu avant terme. - .Accidents convulsifs mal caracté- risés du 18e au 39c jour après la naissance. - Premières dents à un an. - Accès de cris. […] Notre malade. - Rien de particulier à la conception qui a eu lieu peu après le mariage. - Pendant la grossesse, au sixième mois, émotion vive due à une peur : étant en train de travailler seule, le soir, dans sa chambre, sa soeur est entrée à l'improviste en jetant un cri : elle a failli se trou- ver mal, a dit que l'enfant remuait violemment dans son ventre et qu'il avait fait demi-tour. […] Durant la grossesse, nous avons noté une chute de la mère sur le ventre au cinquième mois et une émotion vive accompagnée d'un mouvement brusque de l'enfant.

48. (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions

A gauche, abaissement du sourcil, occasionné par l'impression d'une lumière trop vive. […] Ce n'est plus alors qu'un violent spasme de ce muscle, produit, par exemple, par une vive lumière. […] (Cette femme était gênée par une trop vive lumière au moment de l'expérience, et avait contracté spasmodiquement ses palpébraux.) […] L'artiste avait à peindre la vive affliction, le désespoir d'une mère qui voit massacrer ses enfants. […] La première exprime une douleur résignée; la seconde, au contraire, montre la plus vive affliction.

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