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117. (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23

Peutemann. peintre allemand, mourut, en 1641, de la frayeur qu'il ressentit en voyant remuer des squelettes agités par un tremblement de terre.

118. (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales

REVUE DE PHYSIOLOGIE. 121 Enfin, Mendelssohn a déterminé la contraction paradoxale chez deux ataxiques sur dix, chez une hystérique sur trois, chez quatre hémiplégiques, chez un sujet atteint de sclérose en plaques et chez cinq alcooliques affectés de tremblement et de rigidité musculaire. L'auteur, sans se prononcer catégoriquement, exprime l'opi- nion que la contraction paradoxale consiste en une perte de l'équilibre du tonus dans certains groupes musculaires et dans leurs antagonistes. 11 admet aussi qu'il existe un rapport pathogénique entre ce phénomène et le tremblement, et que ces deux symptômes appartiennent, avec les réflexes tendi- neux et la contracture, à une catégorie de manifestations morbides imputables à une perturbation de la tonicité des muscles.

119. (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902

Nous insistons sur les conséquences physiques, untel- lectuelles et morales : amaigrissement, affaiblis- sement progressif clés forces, troubles de la marche, tremblements, hébétude de la physionomie (pupilles dilatées, yeux cernés, teint jaunâtre, pustules d'acné, etc.), la diminution de la volonté, (le la mémoire,, de. […] Au point vue physique, nous avons noté : physionomie un peu hébétée, front bas, oreilles écartées, bouche pres- que toujours entr'ouverte, palais ogival, tremblement des mains.

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