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176. (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique

Insister spécialement sur les règles relatives au choix du local où le malade doit être placé (126. […] Sestier insiste sur cette « nécrose aiguë et partielle des car-tilages du larynx, du cricoïde surtout; nécrose accompagnée le plus ordinairement d'abcès et parfois d'ulcérations ayant été la conséquence du travail nécrosique et suppurant des tissus placés au-dessous de la membrane muqueuse ». […] Tous ces symptômes (lividité des téguments, de l'éruption, faiblesse du cœur, splénisation pulmonaire, etc.), sont considérés par les docteurs Stokes et Corrigan, comme placés en grande par- tie sous la dépendance d'une perturbation profonde survenue dans les fonctions du système circulatoire, et, en particulier, du système des vaisseaux capillaires. […] —Tous ces caractères placent la peste au premier rang des maladies épidémiques. […] Les pestiférés seraient isolés, dissé-minés et placés dans des endroits élevés et bien ventilés.

177. (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique

« Leur conduite est ordonnée, ils s'occupent même un peu, en bavardant avec l'un et avec l'autre, mais, de temps en temps, s'excitent légèrement, dé- placent leur literie, veulent sortir, et sans savoir où aller, courent autour de - leur lit.

178. (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Ii : j représenté par une ligne qui, placée en avant du sillon perpendi- culaire externe, descendrait après avoir contourné la face interne, entre le lobe pariétal et le lobe occipital pour se replier sous la face inférieure du lobe temporal et de la gagner la pointe anté- rieure de celui-ci; à gauche, la direction est la même, seulement ici la ligne passe dans le sillon perpendiculaire lui-même et occupe dans tout son trajet une situation plus postérieure. […] L'inverti, ajoute-t-il, se contente de tâter son ami, de se frotter, de se placer sur lui comme dans le coït, ou de se faire masturber très légèrement, il lui suffit de peu de chose pour éjaculer et éprouver l'orgasme vénérien au même moment que son conjoint anormal. […] Ce dernier commence dans un groupe de petites cellules nerveuses placées en arrière etau-dessus du noyau de Deiters et peut-être aussi dans ce noyau; il monte en côtoyant la paroi externe du quatrième ventricule, et se dirige, après avoir abordé le cervelet, mi-partie entre les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur, mi-partie au-dessus de celle-ci pour se perdre entre le noyau globuleux (Kuge Il;ern) et le bouchon (Pfropf) du même côté; quelques trous- seaux pénètrent le groupe des noyaux situés dans le toit du quatrième ventricule (lobe central du cervelet); tel est le faisceau spinal qui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du faisceau cérébral placé en dehors et avant du faisceau spinal, monte entre les petites cellules sus-mentionnées et les fibres du segment externe du corps restiforme ; il vient des olives supérieures du même côté et peut-être du côté opposé, ainsi que de la région du noyau de Deiters, en un mot du bulbe, et forme au-dessus des noyaux du toit du quatrième ventricule, auxquels se rend un certain nombre de ces fibres, l'entrecroi- sement de Meynert (grande commissure antérieure d'entrecroi- sement du vermis de Stillingj ; quelques fibres pénètrent dans la substance gélatineuse et la racine ascendante du trijumeau.

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