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128. (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales

Nous pensons que les réponses à ces questions seront de nature à jeter un peu de lumière sur la pathogénie 1 Duclos. […] Cotard a signalés chez ses malades; aussi avons-nous pensé qu'il serait peut-être intéressant de publier cette observation que nous avons prise la plus complète possible. […] Nous ne le pensons pas : le même auteur nous parait avoir tiré des conclusions bien plus conformes à la réa- lité des faits dans son étude sur ce qu'il appelle le délire des 68 REVUE CRITIQUE. […] Ni céphalalgie, ni perte de connaissance; le malade était en état de penser, mais il ne pouvait émettre aucun mot. […] Peut-être, vu la présence de la ma- tière colorante du sang dans les vaisseaux , serait-on autorisé a penser que la paralysie spinale aigué de l'enfance a pour origine des hémorrhagies primitives. ' 13.

129. (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux

Nous verrons, Messieurs, ce qu'il faut en penser. […] Si la solution de ce problème est dif-ficile, il n'est pas impossible, je pense, de la donner, au moins partiellement. […] Que faut-il penser de ces ré-cits ? […] Cela ressor-tira, je pense, du court exposé qui va suivre. […] Il n'en existe guère, pensons-nous, que six ou sept au plus. — Nous citerons parmi elles, un fait de M.

130. (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux

Etant donné cet insuccès du traitement faut-il penser que leur première opinion était la bonne ? […] A premier interrogatoire du malade on pense à l'ataxie locomotrice et l'on est tout étonné de trou- ver les réflexes exagérés et parfois de la trépidation spinale. […] Nous disons à dessein « syndromes hystériques », parce que nous ne pensons pas que l'aphasie hystérique se présente toujours sous la même forme. […] Elle ne peut agir à mon avis sur les vaisseaux dilatés que par la fer- meture et l'ouverture du courant, ou bien si l'on pense qu'elle agit par l'électrolyse, il faut songer que l'électrolyse doit exciter le tissu nerveux comme agent chimique. […] Il montra alors une telle agitation, ou, pour mieux dire, une telle rage et une telle fureur (solches Wuen und Toben) qu'on ne pouvait penser qu'il une chose : l'influence démoniaque.

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