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165. (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie

ment de pronation avec flexion du poignet, le pouce, contre la paume de la main, est recouvert plus ou moins par les doigts forte-ment fléchis; puis les bras s'élèvent, le coude se fléchit ensuite, ramenant la main au niveau de la figure, et le membre tout en-tier reprend sa position première, étendu le long du corps, en accusant le mouvement de pronation.

166. (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques

. — psp, bandelette diagonale: elle est située ici à la partie la plus postérieure du quadrilatère, au contact du tubor cinereum ; OL, nerf olfactif, ment à mesure qu'il s'abaisse, et cela au point de n'avoir plus qu'un millimètre ou deux de largeur. […] ment fermée. […] La fimbria ou pilier postérieur du trigone, située immédia- ' ment en dehors et au contact du fascia dentata (Fd), est un faisceau homogène, prismatique ou rubanné suivant les sujets, adhérent,, en haut et en arrière, à la face antéro-inférieure du splenium, et; qui s'insère, en avant, au sommet de l'uncus (Une).

167. (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17

Joignant l'exemple au précepte, il a pendant de longues années, chaque jour, de sept heures à midi, gratuitement soigné dans sa modeste clinique, avec un dévoue- ment sans borne, des milliers de malades dont il était la providence; auprès de lui sont allés s'initier les psychothérapeutes de tous les pays ; c'est de lui qu'ils se réclament ; ce sont ses méthodes qu'ils appliquent. […] J'offrais à la Sainte Vierge la petite couronne du rosaire, les « genoux nus terre, ou bien en faisant autant de génuflexions qu'il y a « d'Ave Maria, et en baisant la terre autant de fois. » Elle fut placée dans un couvent à l'âge de huit ans ; elle y ressentit les premiers symptômes de son mal : « Lorsque je voulais prendre quelques-uns des petits « plaisirs et divertissements de mon âge, je sentais toujours intérieure-» ment quelque chose qui m'en retirait et qui m'appelait en quelque coin « à l'écart, sans me laisser de repos que je n'eusse suivi ce mouvement; « ensuite cet esprit me faisait mettre en prières presque toujours pros-» ternée ou les genoux nus ». […] Je donnai de bon cceur ce consente-« ment et dès lors il s'empara si fortement de ma liberté, qu'il me sem-« bla n'en avoir plus en jouissance ».

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