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133. (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Oppenheim sur la névrose trauma- tique ne diffèrent pas, je pense, foncièrement des nôtres propres et l'on est autorisé actuellement, si je ne me trompe, à inscrire à l'actif de l'hystérie bon nombre de cas désignés sous le nom de névrose traumatique. […] Je pense qu'il ne saurait s'exposer de nouveau à retomber dans les écarts qui sont inhérents, paraît- il, à la profession de tonnelier. […] Nous avons pensé qu'il était possible de retrouver, dans notre observation, tous les éléments nécessaires à l'élaboration des paralysies psychiques d'après le processus que nous ve- nons d'indiquer. […] En résumé, sans négliger l'influence de la terreur sur l'im- puissance motrice des membres inférieurs, nous pensons que c'est à l'immobilisation des quatre membres durant une série d'attaques convulsives et délirantes que doivent être surtout rapportés les phénomènes paralytiques. […] Je pense, en outre, que le fait marqué par Naunyn, Eickhorst (1. c. p. 230) n'est pas en fa- veur de la restitution des mouvements volontaires; ce fait dé- montre que les meilleurs résultats sont obtenus dans les opé- rations, où la moelle épinière avec ses méninges était écrasée à l'aide d'une baguette en verre.

134. (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie

Mais vous avez pensé, avec raison, que cette source d'erreurs, si fort redoutée de quelques-uns, n'est, à tout prendre, qu'un épouvantail qui, au grand détriment des malades, retient trop souvent les timides sur le seuil d'un des plus grands chapitres de la pathologie nerveuse. […] Non, non, je ne veux pas y penser... […] ,-Non, non, je ne veux pas y penser... […] Ça me fait penser à toutes sortes de choses : Ah ! […] Que faut-il penser de l'influence de l'imitation sur la forme extérieure de leurs attaques?

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