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134. (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895

Mère, 27-ans, fleuriste, sujette à des attaques de nerfs reve- (11 Renseignement de M. le D' Magnan. […] Le nerf optique droit est adhé- rent à la circonvolution voisine. - Pie-mère du cervelet et de l'isthme mince ; pas d'adhérences. […] Mère, fleuriste ; pas de convulsions ni plus tard de crises de nerfs, peu émotionable ; pas de rhumatisme, ni d'affection cutanée, morte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. […] A 22 ans, écoulements nerueux qui passaient avec des inhalations d'éther ; jamais de crises de nerfs. […] En regardant le cerveau par la base, l'hémisphère gauche semble moins gros et moins long. - Les nerfs, les pédoncules de la base sont égaux et symétriques.

135. (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5

En même temps, elle cul linéiques crises de nerfs sans perle absolue de ratinais. sance, iles alternatives dis gaieté et de trislesse. […] Lewes, le nerf grand sympathique, a, dans le cerveau, un foyer commun avec les nerfs de la vie de relation. Le cerveau est le centre qui résume tous les autres, qu'ils soient rachidîens ou ganglionnaires ; car les nerfs de ces centres y aboutissent : aucune interruption n'existe entre eux et lui. […] Et comme les phénomènes réflexes, composés à la fois d'impressions senties. de perceptions dans un centre et de mouvements communiqués, sont des signes de la pensée dans le système de la vie de relation, ils doivent l'être aussi dans celui de la vie végétative. lorsqu'ils se font par l'intermédiaire du nerf grand sympathique : et ils le sont en effet. […] Nécessairement du cerveau, ce foyer commun aux deux vies, les idées, par le grand sympathique, doivent donc, de cet organe aux extrémités des nerfs trophiques. d'une part, se répercuter sur le corps en voie de formation et de développement, par une représentation mentale analogue â celle qui crée les liallucina lions des nerfs des sens; pendant que. d'autre part, ce même nerf veille à la fois et séparément, par la pensée, sur les mouvements alternatifs et réguliers du cœur, des vaisseaux sanguins, de l'œsophage, des intestins : sur les mouvements spéciaux de chaque glande, etc.

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