plusieurs balles de caoutchouc sont superpo-sées et tassées, il se produira une surface plane au niveau du point où les deux balles se touchent. […] Les ingrédients qui composent ce résidu sont, pour la ma-jeure partie (55 à 70 pour 100), les suivants : Io Les sels à acides biliaires, glycocholate et taurocholate de soude, produits vraiment spéciaux de la sécrétion biliaire, doués très proba-blement dans la bile du rôle physiologique le plus important et, ce qui nous touche particulièrement dans nos études, exerçant, à dose élevée, sur l'organisme, une action toxique. […] Mais voici le point qui nous touche particulièrement. […] Ici se présente une question que j'ai déjà touchée dans l'exposé général des lésions anatomiques du foie, à propos de l'atrophie jaune aiguë où s'observent des altérations du même genre.
Ce second projet ne touche en rien aux bâtiments existants, qu'il maintient tels quels avec leur affectation actuelle.
Lionnet, et les paroles de Maxime Rude, ayant pour titre : « le Noël des enfants, » morceau tout de circonstance, interprété avec un charme indicible ; Mademoiselle GOD.1RD, la jeune violoniste dans un chant tenu, dont l'intitulé nous échappe, rendu avec une délicatesse d'expression, un sentiment, et une pureté qui ont touché à la perfection ; enfin la désopilante Madame Rivière, et son mari assorti, M. […] Son père nourricier avait déjà signalé ce fait : il a continué à se toucher; quand on lui avai t attaché les mains, il « travaillait de son corps » et on avait déses- péré de pouvoir l'en empêcher. […] L'enfant assure qu'il ne se touche pas ( ?
La vérité, la voici : le luxe, ni le faste, ni le confort moderne, ne touchaient Charcot. […] Tout ce que je touche est environné d'une atmosphère électrique... et cependant... cependant...
A cinq heures moins un quart, je touche son bras et sa jambe gauches sans qu’elle le sente. […] La demoiselle était seule le médecin guérisseur; elle l’emportait complètement sur les talents du docteur et professeur Suurman, qui, pour avoir touché le malade dans son sommeil, lui causa une de ses plus fortes convulsions.
« Mais, et j'en suis certain, ils aimaient trop leur enfant pour lorsqu'ils les connaîtront et les jugeront sainement ne pas être profondément touchés des preuves multiples d'affection que votre présence vient ajouter aux preuves passées de leur amour paternel. - « A peine à la moitié de la vie et encore peu soucieux, par conséquent, des préoccupations du lendemain ; attaché comme il l'était à toutes les choses du progrès, à toutes les idées géné- reuses, et travaillant peu pour lui pour avoir plus le temps de travailler pour autrui, notre ami est mort pauvre. […] Il n'avait pas de mauvais instincts, on pense qu'il se touchait depuis assez longtemps. […] On sent les anneaux de la trachée et le cartilage thyroïde comme s'ils étaient sous la peau, sans aucune interposition. - Il existe, dans les creux sus-claviculaires, des tumeurs pseudo-liponateuses qui, d'après la mère, seraient parfois encore plus prononcées. « Je pense, dit-elle, que c'est du vent. » Elle prétend que lorsque ces tumeurs ont leur maximum de développement, et qu'elle les frotte en débarbouillant son enfant, celle-ci vomit aussitôt que l'eau froide touche les grosseurs.
La cuisse est légèrement fléchie sur le bas- sin, la jambe sur la cuisse; les genoux se touchent et les jambes s'écartent très légère- ment en dehors. […] Les pieds sont en équin très accusé; les genoux font sail- lie en dedans et se touchent.
Leur face externe est recouverte par la substance blanche non différenciée du centre ovale, beaucoup plus épaisse chez l'adulte que chez l'enfant; chez celui-ci le faisceau compact de la couronne rayonnante touche presque le fond des sillons principaux, tandis qu'il en est séparé chez l'adulte par une dislance toujours très appréciable; il s'ensuit que les lésions patho- logiques destructives de la corticalité cérébrale intéresseront toujours chez l'enfant le faisceau compact de la couronne rayonnante, tandis qu'elles peuvent le respecter chez l'adulte.
Nous pensions y trouver le moyen d'exercer la main des idiots, de corriger leurs mouve- ments désordonnés, de développer et régulariser le sens du toucher. […] Franck men- tionne (5) « un sentiment continuel de froid appréciable au toucher ».
Elle tapisse la partie la plus interne de la circonvolution de l'hippocampe, sans toucher le fascia dentata dont elle est séparée par un sillon, le sillon de l'hippocampe.
Le tronc retombe à plat, les bras se portent aussitôt dans l'attitude du crucifiement, tandis que les membres in- férieurs se mettent dans un étatd'extension telle qu'ils ne touchent plus le sol et que les talons restent une ou deux secondes élevés à environ 30 centimètres du sol.
RECHERCHES I' SUR L'EPILEPSIE. L'HYSTÉRIE ET L IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRÈS MEDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'iÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES ENFANTS IDIOTS, ]'ÏPII,EPTIQUE'3 ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1897 PAR BOURNEVILLE Avec la collaboration de MM. DARDEL, JACOMET, METTETAL, NOIR (J.), PHILIPPE, RELLAY, SCHWARTZ, TISSIER ET WUILLAMIER Volume XVIII Avec 18 figures dans le texte et 20 planches. PAR2S AUX BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL 14, Rue des Carmes, 14. Félix ALCAN ÉDITEUR 08, Boulevard Saint-Germain, 108.
Auscher, Chrétien, Flandre, Huet, Long, Macaigne, Mirallié, Poix, Richerollc, Sollier, Sottas, Thomas, Thuilant, Touche, Vialet, reçoivent le témoi- gnage de ma reconnaissance; M.
On n'y touchera qu'avec précaution et on la maintiendra soigneusement en place, lors-qu'on inclinera le cristallisoir pour changer le liquide.
Les fibres commissurantes des régions supérieures sont sectionnées au point où elles touchent à la surface de la coupe; elles forment ainsi une traînée blanchâtre qui marque la limite, ou bord externe, du corps calleux.
Dans l'aphasie optique de Freund, le malade reconnaît parfaitement les objets, mais ne peut les nommer sans le secours du toucher, de la vue ou de l'ouïe.
On ordonne, par exemple, au malade de porter l'extrémité de l'in- dex (droit ou gauche) au bout de son nez : tandis qu'un sujet sain arrive aisément, quelle que soit la vitesse du mouvement, à appliquer sans choc l'extrémité du doigt juste sur le bout du nez et à le main- tenir à cette place, le cérébelleux qui présente ce trouble n'y parvient pas ; son doigt, après avoir suivi dans sa course la direction voulue et avoir touché au but, ne s'y arrête pas, mais le dépasse : il heurte violemment le nez, glisse ou ricoche, et de là, va en dehors et en arrière, vers la joue et l'oreille.