Là , toutes les misères, la concentration d’iudividus prédisposés, leur croisement perpétuel, font de cette maladie un foyer qui s’alimente de lui-même.
Que si l'on applique la même loi à celui qui est debout et parle au milieu de cette foule silencieuse, ce ne sera pas le chiffre de 750 qui exprimera son agitation intérieure, mais 300 fois puisqu'il est le foyer oh toute cette foule profondément remuée renvoie les impressions qu'il lui communique.
REVUE DE HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL THÉRAPEUTIQUE 24e Année. — N° 1. Juillet 1909. BULLETIN Un monument â là mémoire du pMftjj^fc/Liégeois. — Le banquet de la Société d'Hypnologie et de Psychologie. — Le programme de la section de pédagogie au congres de l'Association française pour l'avancement des sciences. Un certain nombre de savants français et étrangers ont décidé d'élever il Bains-les-BaiiH. ¡1 l'endroit ou il trouva une mort si tragique, nn monument a- Jules Liégeois, professeur a la Faculté de droit de Nancy, membre correspondant de l'Institut, collaborateur de Liébeanlt, nn des premiers fondateurs de « l'Ecole de Nancy ». Le comité est ainsi composé : I.
Il y a cependant un foyer frappé depuis longtemps où pleurent une veuve et des orphelins, dont la douleur réclame pour le moins le silence sur la tombe qui vient de se fermer.
La jambe gauche contrac- turée dans l'extension porte à la face interne du pied et il la face antéro-esterne de la jambe des cicatrices de foyers de suppuration. […] Cet épanchement ne s'est traduit pendant la vie que par le volume et la déformation de la tête, quelques phénomènes diffus de dépression cérébrale et un état de faiblesse intellectuelle très pro- noncée ; il faut noter l'absence de toute espèce de symptômes de foyer, paralysies, contractures, convulsions.
. — Atrophie des circonvolutions fron-tales; pas de lésions en foyer.
On prévient ces mauvais effets en sollicitant les contractions utérines par les moyens connus, en faisant à l'aide d'une sonde introduite dans le foyer sanguin des injec-tions qu'on répète deux ou trois fois par jour et dont on varie la composition ; de l'eau cle mauve, si les émollients sont indiqués; des solutions légères de permanganate, de potasse, de chlorure de chaux, d'acide phénique, etc., s'il faut désin-fecter la cavité ; des infusions de camomille, des décoctions de ratanhia, de quinquina, etc., s'il faut modérer des sécrétions séreuses ou séro-purulentes.
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE i : LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 3873. - Imprimeries réunies, B, rue Mignon, 2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du Professeur CHARCOT (DE l'institut) PAR PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE TOME DEUXIÈME A\ec 102 ligures intercalées dans le texte et 58 planches PARIS LECROSNIER et BABÉ, LIBRAIRES-ÉDITEURS ' PLACE DE L'ÉCOLE- DE-MÉDECINE 1889 NOUVELLE ICONOGRAPHIE A 'q DE LA SALPÊTRIÈRE D'UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES . 1 Dans le cours de l'année d'internat que j'ai eu l'honneur de passer dans le service de M. le professeur Charcot à la Salpêtrière, j'ai observé un certain nombre de malades ne présentant uniquement que de la paralysie atrophique et des altérations de la sensibilité des extrémités supérieures, troubles généralement symétriques, et paraissant occuper assez exactement le territoire musculo-cutané innervé par le nerf cubital. La réunion de ces faits assez semblables entre eux militerait en faveur de l'existence d'une forme particulière d'affection névritique, mais, seul dans la circonstance, l'examen anatomique autoriserait une affirmation à cet égard, et, comme je n'ai pu trouver l'occasion de faire des recherches dans cette direction, je me bornerai dans ce tra- vail à un simple exposé de documents cliniques. Aussi est-ce sous le titre qu'on a lu, qui ne préjuge en rien de la nature de l'appareil symptomatique, que je relate ces observations, sans toutefois négliger d'indiquer le lien de parenté qui les unit et qui paraît leur mériter, sinon' une place à part dans les cadres nosogra- phiques, du moins une description spéciale. Ces.
Chacune d'elles est le foyer d'une activité distincte, à chacune d'elles correspond une région déterminée du cerveau.
La cellule nerveuse est le foyer de l'innervation, le centre de l'activité psychique, intellectuelle, motrice ou sensitive; les fibres nerveuses sont les conducteurs de cette activité.
D'abord, à l'absence d'éducation première de ces habitudes de politesse ou de bienséance puisées au foyer de la famille, mais peut-être bien aussi à une influence atavique. […] Sans le regarder, mes yeux fixés dans la direction du foyer, je lui ordonnai mentalement de dormir, avec toute la force de volonté dont j'étais capable ; et en moins d'une minute, avant que le feu fut rallumé, ayant levé les yeux vers lui, je m'aperçus qu'il dormait.
Pierre Janet dans son livre sur l'hystérie, donne de cet aura psychique un curieux exemple : c'est le cas d'un individu dont la première crise était provoquée par la terreur d'un incendie et qui tombait en attaque convulsive dès qu'il voyait la flamme d'un foyer ou même une simple allumette prendre feu. […] Ils occupaient une place déterminée. l'atrium, devant le foyer et étaient l'objet de nombreuses marques de vénération.
Les foyers situés sur le 'trajet du sciatique sont moins douloureux.
Dérosier, à court foyer, extrêmement rapide et d'une grande profondeur, méchanceté, la souffrance, la douleur, la frayeur, la torture mêlée d'effroi, gagnent singulièrement en énergie, sous l'influence du clair-obscur; elles rappellent la manière de Rembrandt (voyez les figures 18, 20, 60, 65).
Si l'on me demandait mon avis, je dirais que le jeune docteur faitbien de fonder une dynastie : il est bon qu'après les misères et les fatigues de la journée, il trouve le soir, dans une maison bien tenue, les joies réconfortantes du foyer familial.
L'extinction subite du foyer lumineux les fait au contraire repasser immédiatement au sommeil hypnotique.
REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE SEIZIÈME ANNÉE REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fiêlieltirei chef : Docteur Edgar BÉRILLON COLLABORATEURS FONDATEURS CHARCOT; DUM.ONTPALLIER ; LUYS; MESNET; Aug. VOISIN; AZABI; DELBOEUF (de Liège) ; HACKTUKK (de Londres); SEMAL(de Mons). PRIHOIPAUX COLLABORATEURS MM. les D" BERNHEIM, p' à la Faculté de Nancy ; BABINSKI, méd. de la Pitié; BREMATJD (de Brest) : BRIAND, méd. de i'.isile de Villejuif; CRCISE (do Dublin); L. DAUR1AC. pror. à la Faculté des lettres de Montpellier: GU1MBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pélcrsbourg) ; VanEEDEN (d'Amsterdam); GRASSET.prof.àlaFacuité de Montpellier; A. de JONG (La Haye); BINET-S ANGLE; O.JENNINGS.P.