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168. (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales

ARCHIVES DE NEUROLOGIE EVKHUX, IMPRIMERIE DE CHARLES IIF : 111SSE1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M. CHARCOT AVEC LA COLLABORATION DE MM. BALLET, BERNARD, BITOT (P.

169. (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches

La cuisse gauche est plus courbée et plus courte que la droite; la jambe droite est au contraire plus courte que la gauche.

170. (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]

On ajoutait qu’une nuit, pour sceller plus fortement leur détestable associaiion, la reine du sabbat, Boullé et Madeleine Bavent, se retirèrent de la bouche des hosties consacrées, les piquèrent, en firent jaillir du sang, puis échangèrent entre eux les quatre hosties, qu’ils se présentèrent en signe d’alliance ; que Boullé se fit désigner par Picard pour succéder à ce dernier dans la continuation de ses sortilèges et des maléfices pratiqués dans le monastère de Louviers; que Madeleine Bavent promit de lui obéir comme elle avait obéi à Picard, et qu’elle signa avec lui le papier de blasphème ; qu’au retour du grand sabbat, ils en firent un petit dans le chœur du couvent ; que, dans la confrontation de Madeleine avec Boullé, ce dernier lui toucha le bras et lui fit d’horribles menaces, en lui ordonnant de rétracter tout ce qu'elle avait dit contre lui ; qu’en effet elle fut agitée de frissons et qu’elle perdit l’usage de ses sens, tandis que Léviathan, vaincu aussi par la force du charme, fut arrêté tout court lorsqu’il allait déposer contre Boullé et garda le silence le plus obstiné ; qu'il portait sur son corps les stigmates du démon (en effet, on trouva sur son corps la marque d’un fer chaud) (1) ; enfin qu'il avait trempé dans tous les meurtres (1) On prit pour la marque des sorciers une cicatrice qu’il avait à la cuisse et qui provenait d'une blessure qu'un chirurgien du pays avait pansée et guérie (Dibon). […] La guitare entra en mouvement et $’avança lentement, poussée par une force dont la nature reste pour mai un secret impénétrable ; puis, elle se dressa entre ma genoux, le manche s’appuyant sur ma cuisse gauche.

171. (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Le malade ressent parfois des douleurs fulgurantes dans les cuisses; ces douleurs ont débuté en 1891, un peu avant l'incoordination motrice, mais elles ont toujours été faibles, le malade y attache fort peu d'importance et il faut attirer son attention sur ce point pour'qu'il en parle.

172. (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès

.), puis elle descend en avant du cervelet, contourne la cuisse du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique, sous la forme du lobe de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i).

173. (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14

Quand elle était assise, les avant-bras, posés sur les cuisses, continuaient à être agités de la même façon.

174. (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20

.— Marie Lorsonne ne jouissait pas d'une bonne santé, « J'étois fort infirme, dit-elle, ayant souvent la fièvre, et ne pouvant presque marcher à cause d'une cuisse que j'avois fort enflée » (7).

175. (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3

qu'une petite fille de sept ans simulait si parfaitement les gestes et mouvements des personnes qui tombent du haut mal, qu'il n'y avait personne a l'hôpital général de Lyon qui n'y fût trompé. « Je lui demandai, ajoute-t-il. si elle ne sentait point une aura passant de la main au bras et de là dans le dos. puis dans la cuisse.

176. (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale

Il pourra enfin, par le trajet de l'artère occipitale, se propager à la loge cervicale postérieure, s'insinuer entre le splénius et le complexus, et, de là, descendre dans le dos et même dans la cuisse (cas de Brun).

177. (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques

journées dans son fauteuil, immobile, courbée en avant, les mains ramenées sur les cuisses, les deux pieds relevés sur les barreaux d'une chaise, tournant vers ceux qui passent des regards obliques pour suppléer au défaut de mobilité de sa tête véritablement soudée entre ses deux épaules.

178. (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale

ANATOMIE DES S CENTRES NERVEUX Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière ANATOMIE ? 231 DES CENTRES NERVEUX PAR R J. DEJERINE l'ROPE581 : 1'H AGRÉGÉ -1 LA I'.ICI : L'f1 : LE lVIl : IIRC1\E DE PARIS MÉDECIN DE LAFALPETHIERE membre DES SOCIÉTÉ» DE BIOLOGIE, DE NEUROLOGIE, ETC., ETC. AVEC LA COLLABORATION DE MADAME DEJERINE-KLUMPKE DOCTEUR UN "\11' m : : cn r ancien interne DES HOPITAL DI paris MEMBRE DR LA SOCILrÉ DE NEUROLOGIE L.1LR ! 1T DE L'iNSTITUT ET DE L'.1CAD111E DE MËmXT\1' l' TOME DEUXIÈME FASCICULE 1 ANATOMIE DU CERVEAU (suite) ANATOMIE DU RHOMBENCÉPHALE Avec 465 figures dans le texte dont 180 en couleurs PARIS .1.

179. (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Ce signe est constant quand il y a ataxie des membres inférieurs ; toujours plus accusé du côté où prédominent l'ataxie et les troubles du sens musculai- re et la diminution du réflexe rotulien ; peut être- masqué par les hyperostoses fémoro-tibiales ; coïncide souvent avec la possibilité de mouvements forcés d'abduction de la jambe,la cuisse étant fixée, et avec une mobilité anormale de la rotule.

180. (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]

1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.

181. (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15

REVUE DE L’HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DE L’HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGA MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur es chef: Docteur Edgar BÉRILLON COLLABORATEURS FONDATEURS CHARCOT; DUMONTPALLIER ; LUYS; MESNET ; Augusto VOISIN DELBŒUF (de Liège) ; HACKTUKE (de Londres); SEMAL (de Mons). PRINCIPAUX COLLABORATEURS MM. les Docteurs AZAM, prof, àia Faculté da Bordeaux; BARETY (de Nice); BERNHEIM. prof, à !a Faculté do Nancy; BABINSKI, méd. de la Pitié; DE BEAUVAIS; BREMAUD (de Brest); BRIAND, méd. de l’Asile de Villejuif; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAG, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GUIMBEAU ; W. DEKHTEREFF (do Saint-Pétersbourfr) ; Van EEDEN (d'Amsterdam) ; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; BINET-SANGLE; O.

182. (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

ARCHIVES DE NEUROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. V. MAC.NIXN Membre de l'Académie de médecine.

183. (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau

ANATOMIE DES CENTRES--NERVEUX J. DEJERINE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DE L'HOSPICE DE ) ! ! CËTRE VICE-PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE AVEC LA COLLABORATION DE .- MADAME DEJERINE-KLUMPKE DOCTEUR EN MÉDECINE ANCIEN INTERNE DES HOPITAUX DE PARIS LAURÉAT DE L'INSTITUT ET DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' TOME PREMIER MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRYOGÉNIE HISTOGENÈSE ET HISTOLOGIE ANATOMIE DU CERVEAU Avec 401 figures dans le texte dont 45 en couleurs PARIS RLiEhh ET G", ÉDITEURS 106, 13OULFV.RI) SAINT-GERMAIN, 106 )895 Tous droits réservés. A LA MEMOIRE DE NOTRE ILLUSTRE MAITRE VULPIAN PRÉFACE L anatomie du système nerveux central est avant tout une ana- tomie de texture : suivre les faisceaux qui le constituent, en établir l'origine, le trajet et la terminaison, tel est le but que se sont proposé tous ceux qui, depuis Vicq d'Azyr, ont étudié cette branche de l'ana- tomie ; malgré les moyens d'investigation perfectionnés dont nous disposons aujourd'hu , il reste encore, pour ce qui concerne le cer- veau surtout, plus d'u i point obscur à élucider.

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