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174. (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie

E TU DES CLINIQUES SUR L'HYSTÉRO-ÉPILEPSÏE ou GRANDE HYSTERIE ÉTUDES CLINIQUES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE 0 u GRANDE HYSTÉRIE par LE DR PAUL RI CHER ancien interne, lauréat des hopitaux de paris, lauréat du la faculté PRÉCÉDÉ D'UNE LETTRE-PRÉFACE de M. le professeur J.-M. CHARCOT AVEC 105 FIGURES INTERCALÉES DANS LE TEXTE, ET 9 GRAVURES A L'EAU FORTE PARIS ADRIEN DELAHAYE et EMILE LECROSNIER, ÉDITEURS pla.ce de l'école-de-médecine 1881 Tous droits réservés. A M. LE PROFESSEUR J.

175. (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1

Vous le voyez alors, s'il marche, s'arrêter sur place ; — s'il parle, devenir silencieux ; — s'il exprime une phrase musicale, interrompre son chant — et en même temps il devient hésitant, incertain, il ne sait plus s'il doit avancer ou reculer, il est titubant, il balbutie des mots sans suite, et, si vous n'y prenez pas garde, si vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos bras, vous le voyez alors tomber soudain à terre, foudroyé en quelque sorte, comme un corps suspendu en l'air à l'aide d'un fil, que l'on coupe subitement, — comme un impotent auquel on enlève tout d'un coup ses béquilles (i). […] Désormais, les crises vont durer cinq, six et huit jours, jusqu'à ce qu'on coupe brusquement l'accès par un internement dans un asile d'aliénés ou que le malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique.

176. (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2

Vous le voyez alors, s'il marche, s'arrêter sur place ; — s'il parle, devenir silencieux ; — s'il exprime une phrase musicale, interrompre son chant — et en même temps il devient hésitant, incertain, il ne sait plus s'il doit avancer ou reculer, il est titubant, il balbutie des mots sans suite, et, si vous n'y prenez pas garde, si vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos bras, vous le voyez alors tomber soudain à terre, foudroyé en quelque sorte, comme un corps suspendu en l'air à l'aide d'un fil, que l'on coupe subitement, — comme un impotent auquel on enlève tout d'un coup ses béquilles (i). […] Désormais, les crises vont durer cinq, six et huit jours, jusqu'à ce qu'on coupe brusquement l'accès par un internement dans un asile d'aliénés ou que le malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique.

177. (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7

hypno_1893 REVUE L'HYPNOTISME ET dE la. PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE PARIS. — IMPRIMERIE ; BREVETÉE MICUELS ET FILS. PASSAGE DU CAIRE, 8 ET 10 SEPTIEME A N N E E REVUE L'HYPNOTISME ET de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar BERILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteurs AZAM. prof, à la Faculté de Bordeaux; K. ARTHUR (de Sydney); BARETY (de Nice); DE BEAUYA1S. médecin de Mazas; BERNHEIM.prof.àla Faculté de Nancy ;1.BOUYER(d'Angoul*mcj;BRE.MAl'D (de Brest); BRIAND, médecin de l'Asile de Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHILTOFF, professeur a l'Université de Kharkoff; COLLINEAU; COSTER (d'Amsterdam); W. DEKHTEREFF (de St-Pétersbourg); DIMONTPALLIER, méd. de l'Hotel-Dieu ; Eug.

178. (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]

On choisit une pousse de l’année se bifurquant: on la coupe un peu au-dessous de la bifurcation ; on prend une des branches dans la main droite et l’autre dans la main gauche, de manière à ce que le point de réunion, formant un V, soit entre elles deux.

179. (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]

Quelque temps après, quand Fad-hérence paraît être suffisamment établie, le chirurgien coupe les péduneufes et sépare les deux amis qui peuvent désormais correspondre ensemble à coups d’aiguille, d’après un alphabet conventionnel, «fui se compose de dtférente coups frappés aux différents angles du triangle, lequel perd, dit-on, sa sensibilité à la mort d’un des deux pôles de ce télégraphe traumalique.

180. (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883

Parfois colère, surtout quand on le débarbouille, quand on lui coupe les cheveux.

181. (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878

« On dirait qu'on me coupe le bras ou bien que j'ai un mal qui va aboutir. » Cette douleur, lorsqu'elle est très-forte, s'accompagne de mouvements, de secousses de la main ; — c) la malade accuse encore une douleur occupant la région pariétale gauche, gagnant la partie postérieure de la tète, puis descendant le long du cou : « Ça me fait mal comme des bourdonnements dans la tête, » Grâce à ces différents phénomènes précurseurs, qui seraient aussi intenses au début qu'immédiatement avant l'accès, la malade ne s'est jamais blessée.

182. (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]

1847 JOURNAL DU MAGNÉTISME REDIGE PAR UNE SOCIÉTÉ DE MAGNÉTISEURS ET DE MÉDECINS SOUS LA DIRECTION DE M. LE BARON DU POTET. La vérité, n’imporle par quelle bouche; le bien, n'imporle par quelles mains. TOME IV. PARIS BUREAUX : BUE D'ANTIN, 12.

183. (1851) Journal du magnétisme [Tome X]

Je m’étais cru malheureux jusqu’alors; et enfin, tout près du port, je n’avais lait qu’edlourer des lèvres la coupe d’amertume : j’allais la vider à longs traits.

184. (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]

Ils adouciront lesâpretés premières en frottant de miel, à la mode antique, les bords de la coupe qui contient la boisson sacrée; leur miel il eux est la clarté; tous leurs efforts tendront à dissimuler les difficultés de la science sous la lucidité de l’exposition et la simplicité du langage.

185. (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]

1855 JOURNAL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOCS LA DIRECTION OE M. le baron DU POTET. La vérilé, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains. TOME QUATORZIÈAIE. PARIS. BUREAUX ; RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (palais-koval) JOURNAL DU MAGNÉTISME!

186. (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11

L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rèditleur en tief : Docteur Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS MM. les Docteurs AZAM. prof. à la Faculté de Bordeaux ; R. ARTHUR 'de Sydney); AUBRY(deSt-Brieuc); BARETY (de Nice); DE BEAU VAIS. mCd.de Mazaa; BËRNHEIM. prof, à la Faculté de Nancy; J. BOUYER (d'Angouléme) ; P. BONNIER; BREMAUD (de Brest); BRIAND, méd. de l'Asile de Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHARCOT, prof.à la Faculté de Paris, membre de l'Institut CHILTOFF, prof, à l'Université de Kharkoff; COLLINEAU ; W.

187. (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20

Ces attributs avaient un caractère symbolique et consistaient en coupes, en aiguières, en cornes d'abondance.

188. (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21

REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE VTNGT-ET-UNIÈME ANNÉE REVUE L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON COLLABORATEURS FONDATEURS CHARCOT; DUMONTPALLIER, LUYS; MESNET; Aug. VOISIN; Azam; DELBOEUF (de Liège); HACKTUKE (de Londres); LIÉBEAULT (de Nancy); A. de JONG (La Baye); SEMAL (de Mons); TOKARSKI, (de Moscou); TARDE. PRICIPAUX COLLABORATEURS MM. les Drs BABINSKI, méd. de la Pitié; BRIAND, méd. de l'Asile de Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Facullé des lettres de Montpellier; DAMOGLOU (du Caire); GUIMBEAU ; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; BINET-SANGLE; O. JENNINGS, P.

189. (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]

Je partis pour Patras, où je " vis ,a déesse Ilygie, non telle que la représente Aristo-«phane, agile, gracieuse, ses robustes flancs ceints d’un « léger vêtement, tenant en main la coupe d’une muse d’où « s élance un serpent ; mais je la vis sous une forme mysté-« rieuse à cinq faces.

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