. - La moelle parait normale.
« Georget, dans sa Physiologie du système nerveux, et Olivier d’Angers, dans son Traité de la moelle épinifre, ne nous en apprennent pas davantage. […] « On comprend dès lors pourquoi la nature a tant prodigué ce tissu : c’est pour arrêter partout, dans l’économie, le fluide électrique qu’y produisent surtout les séciéteurs au contact du sang et l’envoyer, à l’aide des nerfs, là où le réclament les besoins de la vie, et surtout dans le cerveau et la moelle épinière, qui n’en sont que les collecteurs et non les producteurs.
Si ce sont les muscles inférieurs qui sont paralysés, c'est sur le trajet de la moelle épinière, comprimée par les liquides, qu’il faut porter son action.
1860 JOURNAL DU MAGNÉTISME BËUIUt Pai' : Société (le Maynétiseurs et de ülédccins sous LA DIRBCTiOH DE M. LE BARON DU POTET. La vérUé, n’iinporic par quelle bouche; le bien, n'importe par queile^i mains. -6©3— TOME DIX-NEUVIEME. «• SERlb.
Moelle épinière. - Rien àl'examen macroscopique, à part un épaississement de la dure-mère, sur une hauteur de Ou, 10.
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES ENFANTS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1901 PAR BOURNEVILLE Avec la collaboration de MM. AMBARD, BOYER (J.), CROUZON, MOREL (L.), PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET OBERHUR. Volume XXII Avec 14 figures dans le texte et 1G planches. PARIS AUX BUREAUX DU 1 PROGRÈS MÉDICAL 14, rue des Carmes, 14. FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108.
Parmi ces exercices nous pouvons signaler celui qui consiste à faire souffler une bougie à une distance de plus en plus éloignée, à souffler dans un sifflet, à faire gonfler un bal- lon de caoutchouc ou une simple vessie d'animal, a faire tourner un moulin Ù vent, a gonfler un sans-gêne, à lan- cer un pois dans uu tube de sureau, à faire avancer une bille sur une longue planche il rainure, bille que Ion pour- ra prendre d'abord en moelle de sureau, puis en liège, enfin en bois.
1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.
Etat cataleptique très manifeste, raideur musculaire, nystagmus, abolition de la sensibilité au contact et à la douleur : on peut impunément lui enfoncer des aiguilles dans les masses musculaires sans la réveiller, promener une barbe de plume sur les cornées et la muqueuse nasale sans éveiller la moindre sensation ; abolition de la sensibilité réflexe de la moelle constatée par la titillation de la plante des pieds ; bruits du cœur faibles mais réguliers ; clignotement permanent des paupières, contraction des pupilles, contracture des mâchoires qui empêche l'alimentation de la malade ; absence de sensibilité olfactive.
REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE VTNGT-ET-UNIÈME ANNÉE REVUE L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON COLLABORATEURS FONDATEURS CHARCOT; DUMONTPALLIER, LUYS; MESNET; Aug. VOISIN; Azam; DELBOEUF (de Liège); HACKTUKE (de Londres); LIÉBEAULT (de Nancy); A. de JONG (La Baye); SEMAL (de Mons); TOKARSKI, (de Moscou); TARDE. PRICIPAUX COLLABORATEURS MM. les Drs BABINSKI, méd. de la Pitié; BRIAND, méd. de l'Asile de Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Facullé des lettres de Montpellier; DAMOGLOU (du Caire); GUIMBEAU ; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; BINET-SANGLE; O. JENNINGS, P.
REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE VINGT-DEUXIÈME ANNÉE REVUE de L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON collaborateurs fondateurs CHARCOT ; DUMONTPALLIER ; LOTS ; MESNET ; Aug. VOISIN ; AZAM DELBŒUF (de Liège) ; HACKTUKE (de Londres) ; LIÉBEAULT (de Nancy) ; A. de JONG (La Haye) ; SEMAL (de Mons) ; TOKARSKI, (de Moscou) ; TARDE. principaux collaborateurs MM. les Drs BABINSKI, méd. de la Pitié ; BRIAND, méd. de l'Asile de Villejuif ; CRUISE (de Dublin) ; L. DAURIAC, prof. à la Faculté des lettres de Montpellier ; DAMOGLOU (du Caire) ; GUIMBEAU ; GRASSET, prof, à la Faculté do Montpellier BINET-SANGLE ;O.JENNINGS,P.JOIRE,(deLiUe) ;JAGUARtBB(8an-Paulo) ; LACASSAGNE, prof. à la Faculté de Lyon LA DAME (de Genève) ; LEGRAI de l'Asile de Vaucluse ; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY cadres) ; MANOUVRIER ; prof. à l'Ecole d'Anthropologie ; MASOIN.pr' à l'Univeraité de Louvain ; MILNE BRAMWELL (de Londres) MAB1LLE, méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN, prof, à l'Ecole de psychologie ; MORSELLI (de Gênes) ; DE PACKIEWICZ (de Riga) ; ORLITZKY (de Moscou) ; R.PAMART ; PITRES, prof.à la Faculté de Bordeaux ; RAFFEGEAU (du Vésiuet) ; Félix REGNAULT ; Charles RICHET, prof, a la Faculté de Paris ; Van RENTERGHEM, (d'Amsterdam) ; Von SCHRENK-NOTZING(de Munich) ; RAYMOND, prof, à la Faculté de médecine ; STADELMANN (de Dresde) ; J. VOISIN.méd. de la Salpêtrière ; VLAVIANOS(d'Athènes) ; WETTERSTRAND (de Stockholm) ; et MM.
J’ai magrtétisé des individus pour des affections de1 la moelle épinière; je n’en ai ni guéri ni soulagé un seul.
1849 JOURNAL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ PAR UNE SOCIÉTÉ DE MAGNÉTISEURS ET DE MÉDECINS SOUS LA DIRECTION DE M. DU POTET DE SENNEVOY. La vérité, n’importe par quelle bouche; ^ le bien, n’importe par quelles mains. TOME VIII. PARIS.
J’ai remarqué que les douleurs de la moelle épinière, qui 11’ont pas complètement disparu, étaient exaspérées sous l’influence du vent du nord.
TRAITÉ COMPLET DE L'ANATOMIE DE L'HOMME ANATOMIE CHIRURGICALE ET MÉDECINE OPÉRATOIRE AVEC TRAITÉS COMPLEMENTAIRES de SCLEROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC DEUXIÈME PARTIE TEXTES GENERAUX L. GUÉRIN, ÉDITEUR DÉPÔT ET VENTE A LA LIBRAIRIE THÉODORE MORGAND. PARIS, 5, RUE BONAPARTE 1866-1867 Réserve de tous droit! OPÉRATIONS SPÉCIALES QUI SE PRATIQUENT SUR DES ORGANES COMPLEXES OU SPÉCIAUX. CHIRURGIE OPÉRATOIRE DES ORGANES SITUÉS A LA FACE.