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166. (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]

Sa volonté est libre, et personne ne remarque d’altération ni dans sa raison ni dans son maintien habituel ; il rit et exprime ses doutes su?

167. (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882

ln2non n'offraient aucune altération.

168. (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888

Ces altérations sont moins marquées 1\ droite.

169. (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17

REVUE de L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE DIX-SEPTIÈME ANNÉE REVUE de L'HYPNOTISME et db la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGAI/ê7 MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON xJ¿4,at] COLLABORATEURS FONDATEURS CBARCOT; DUMONTPALLIER; LUYS; MESNET; Aug. VOISIN; AZAM; DELBŒUF {de Liego) ; HACKTUKE (de Londres); SEMAL " (de Möns). PRINCIPAUX COLLABORATEURS ??. loi D" BERNHEIM. p' à la Faculté de Nancy ; BABINSKI, méd. de la Pitié; BREMAUD (de Brest); BRIAND, méd. de l'Asile de Villejuif; CRL'ISE (de Dublin); L. DACR1AC, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier, GUIMBEAU; W.

170. (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22

REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE VINGT-DEUXIÈME ANNÉE REVUE de L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON collaborateurs fondateurs CHARCOT ; DUMONTPALLIER ; LOTS ; MESNET ; Aug. VOISIN ; AZAM DELBŒUF (de Liège) ; HACKTUKE (de Londres) ; LIÉBEAULT (de Nancy) ; A. de JONG (La Haye) ; SEMAL (de Mons) ; TOKARSKI, (de Moscou) ; TARDE. principaux collaborateurs MM. les Drs BABINSKI, méd. de la Pitié ; BRIAND, méd. de l'Asile de Villejuif ; CRUISE (de Dublin) ; L. DAURIAC, prof. à la Faculté des lettres de Montpellier ; DAMOGLOU (du Caire) ; GUIMBEAU ; GRASSET, prof, à la Faculté do Montpellier BINET-SANGLE ;O.JENNINGS,P.JOIRE,(deLiUe) ;JAGUARtBB(8an-Paulo) ; LACASSAGNE, prof. à la Faculté de Lyon LA DAME (de Genève) ; LEGRAI de l'Asile de Vaucluse ; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY cadres) ; MANOUVRIER ; prof. à l'Ecole d'Anthropologie ; MASOIN.pr' à l'Univeraité de Louvain ; MILNE BRAMWELL (de Londres) MAB1LLE, méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN, prof, à l'Ecole de psychologie ; MORSELLI (de Gênes) ; DE PACKIEWICZ (de Riga) ; ORLITZKY (de Moscou) ; R.PAMART ; PITRES, prof.à la Faculté de Bordeaux ; RAFFEGEAU (du Vésiuet) ; Félix REGNAULT ; Charles RICHET, prof, a la Faculté de Paris ; Van RENTERGHEM, (d'Amsterdam) ; Von SCHRENK-NOTZING(de Munich) ; RAYMOND, prof, à la Faculté de médecine ; STADELMANN (de Dresde) ; J. VOISIN.méd. de la Salpêtrière ; VLAVIANOS(d'Athènes) ; WETTERSTRAND (de Stockholm) ; et MM.

171. (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880

La respiration et la circulation n'offrent pas d'altérations appréciables. — Les seins sont très gros et la malade y éprouve fréquemment des élancements qui seraient plus intenses à l'époque des règles.

172. (1851) Journal du magnétisme [Tome X]

Voilà pourquoi j’entendais des discours savants sans les comprendre ; comment les médecins , se succédant au lit du malade, avec chacun une médecine différente, étaient pour moi autant d'énigmes ; comment, en voyant les représentants de tant de dieux d’origine différente, je restais ébahi; comment ce qui paraissait ici vérité , se traduisait ailleurs par mensonge et imposture; et je me disais: Ce sont les précepteurs des hommes qui font tous leurs malheurs. lit ce n’est pas assez que le lait reçu par l’enfant soit sophistiqué par l’altération morale et physique de la nourrice qui le donne, il faut encore que l’enfant, dès ses premiers pas, devienne la victime de nos erreurs, et qu’il suive les sentiers perfides où nous fîmes tant de chutes. […] « Tout ce qui a mouvement, vie et sensibilité, et qui n’a pas atteint la forme humaine, est destiné à changer ses formes et son mode d’existence ; et chaque altération est accompagnée d’une mort dans quelques-unes ou dans toutes les parties ou portions de l’organisme vital; mais il n’y a point d’extinction de la vie, d’anéantissement delà personnalité dans aucuue organisation ou principe humains.

173. (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904

PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUIl L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de bicêtre pendant l/année 1904 BOURNEVILLE Arec lu collaboration de DURAND, FRIEDEL PERRIN. Volume xxv Avec 17 figures dans le texte. PARIS aux nunnAUx m; PROGRÈS MÉDICAL rue îles Carmes, 14 Félix ALCAN EDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 4904 (Bicêtre et Fondation Vallée) PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Service pendant l'année 1904. I.

174. (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]

Comment pouvons-nous être assurés que celle-ci nous par* vient pure de toute altération?

175. (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901

PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES ENFANTS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1901 PAR BOURNEVILLE Avec la collaboration de MM. AMBARD, BOYER (J.), CROUZON, MOREL (L.), PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET OBERHUR. Volume XXII Avec 14 figures dans le texte et 1G planches. PARIS AUX BUREAUX DU 1 PROGRÈS MÉDICAL 14, rue des Carmes, 14. FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108.

176. (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]

et que vous appelez magie, — j'admets, dis je, que cet état résulte, toujours à un degré différent, d’un dérangement dans les rapports qui lient habituellement l’âme avec les organes ; j’admets que ce dérangement est toujours causé par une altération dans la qualité, la disposition, la quantité, en un mot, dans l’équilibre du fluide nerveux, ou fluide vital, ou fluide magnétique, ou émanation animale, comme tous voudrez l’appeler, et qui me semble l’intermédiaire entre le corps et l’âme.

177. (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]

1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.

178. (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques

Pour localiser avec une certaine précision une altération circonscrite, il faut, de toute nécessité, lorsqu'on a affaire à des hémisphères si anormaux, en reproduire l'image aussi exactement que possible, soit en le copiant soigneusement si l'on sait dessiner, soit en le photographiant, sort en le décalquant au stéréographe.

179. (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]

1853 JOURNAL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE NI le baron DU POTET La vérité, n'importe par quelle bouche; le bien, n'importe par quelles mains. TOME DOUZIÈME. PARIS. BUREAUX : RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (PALAIS-ROTAl.) JOURNAL 1)1 MAGNÉTISME.

180. (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]

. , Mais si certaines altérations organiques, physiques et chimiques survenues dans le corps humain trouvent des reinè:les efficaces dans des moyens du même ordre, physiques et chimiques, il n’en est pas moins évident pour tout médecin vita-lisle qu’un grand nombre de désordres résultant du trouble dans les rapports entre les forces vives (âme et électricité vi taie) et les organes, soient bien plus efficacement influencés par les forces vives elles-mêmes que par des agents médicinaux.

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