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168. (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

ARCHIVES Dr. NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOURNEVILLE PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté Je médecine de Paris.

169. (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]

1847 JOURNAL DU MAGNÉTISME REDIGE PAR UNE SOCIÉTÉ DE MAGNÉTISEURS ET DE MÉDECINS SOUS LA DIRECTION DE M. LE BARON DU POTET. La vérité, n’imporle par quelle bouche; le bien, n'imporle par quelles mains. TOME IV. PARIS BUREAUX : BUE D'ANTIN, 12.

170. (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]

La face palmaire repose légèrement sur la table, et personne ne doit toucher à son voisin, si ce n’est par le petit doigt dont la face palmaire sera appliquée sur la face dorsale du petit doigt du voisin.

171. (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]

« Je soulfrais depuis bien des années de cruelles douleurs causées par une violente inflammation de l’épine dorsale, à. tel point que mes jambes s’étaient repliées sur mon corps. […] ZL.T.T.., « Maintenant, grâce à vous, je marche avec une sensation de vie nouvelle dans l’épine dorsale, sensation que j’avais Sresque oubliée, et avec un degré de confiance et de sûreté ans les jambes que je n’espérais plus jamais éprouver.

172. (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]

1860 JOURNAL DU MAGNÉTISME BËUIUt Pai' : Société (le Maynétiseurs et de ülédccins sous LA DIRBCTiOH DE M. LE BARON DU POTET. La vérUé, n’iinporic par quelle bouche; le bien, n'importe par queile^i mains. -6©3— TOME DIX-NEUVIEME. «• SERlb.

173. (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904

le ic orteil forme une saillie sur la face dorsale du pied (des deux côtés) et repose sur le 3e et 5e orteils, il y a une légère palmature entre le 2° et 3° orteils.

174. (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

Néanmoins, les neuro-pathologistes doivent convenir de leur ignorance entière de la part exacte prise ici par la syphilis tant pour la paralysie générale que pour le tabes dorsal. […] Dès lors, la paralysie générale et le tabès dorsal seraient les résultats, non de l'action directe du virus syphilitique, mais com- me un empoisonnement en retour produit par le dit virus ou ses dérivés.

175. (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901

PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES ENFANTS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1901 PAR BOURNEVILLE Avec la collaboration de MM. AMBARD, BOYER (J.), CROUZON, MOREL (L.), PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET OBERHUR. Volume XXII Avec 14 figures dans le texte et 1G planches. PARIS AUX BUREAUX DU 1 PROGRÈS MÉDICAL 14, rue des Carmes, 14. FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108.

176. (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]

1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.

177. (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5

REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE L'ONYCHOPHAGIE Sa fréquence chez les dégénères, et son traitement psychothérapique Par M. le docteur E. BERILLON Médecin inspecteur-adjoint des Asiles d'aliénés. De toutes les habitudes vicieuses ou nuisibles que les neuro-logisles et les psychiàtres rencontrent chez les dégénérés, l'habitude de se ronger les ongles esl certainement la plus fré-quente. Dès que l'attention du clinicien est appelée sur celle habitude, il ne larde pas à constater chez un grand nombre de sujets des deux sexes et de tout âge. la déformation des doigts si caractéristique qui en est la conséquence. Ne fut-ce que par sa fréquence, celle habitude mérite d'être désignée par une appellation spéciale, C'est pourquoi nous avons cru devoir créer pour elle un néologisme, onychophagie. de W£- ongle, et -sa^:». manger.

178. (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14

REVUE L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Peraissant tous Les mois PSYCHOLOGIE - PEDAGOGIE - MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteuretchef Docteur EdGar BÉRILLon collaborateurs fondateurs CHARCOT; DL'MONTPALLIEU ; LUYS; MESNET; ? te VOISIN; DELUCKUF 'M Liège) ; FTACKTCKB [-te Londres); SEMAI, (de Mon»). pathcipadz ooixabo&atkdbs qjl. le* DoeUarc AZASI, prof.àI· Kiculii de Bordeaux; &ARRTY (de Nice); I1HRNHEIM, prof, à la Faculté Nuv; BABXNSKI, m«d. de la Pitié; P. BONNIER; UREMAUI) (de Oroit); BRIAN O, méd. Un l'Aallo de Vlllejulf; CRCISR (de Uublio); I- DAUItlAC, prof, a la Faculté des lettre» de Montpellier OUIMBEAD; W.

179. (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]

« Homme de soixante-sept ans, douleurs rhumatismales , depuis trois mois, à l’épine dorsale, à la jambe et au pied droits, marchant avec un bâton ; douze séances, cessation des douleurs, facilité dans la marche, sans bâton...

180. (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]

1856 JOURNAL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. LE BARON DU POTET. La vérité, n’importe par quelle bouche; / le bien, n’importe par quelles mains. TOME QUINZIÈME. PARIS.

181. (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]

J’essayai de combattre le mal ; je dégageai l'épine dorsale par des frictions.

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