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177. (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10

Désormais, les élèves intelligents seront séparés des autres, et c'est aux médecins que reviendra la charge de faire la séparation, en se fondant sur l'examen physiologique du crâne et de tout l'organisme des enfants.

178. (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18

Vous savez déjà qu'il est né avec une cataracte congénitale ; voyez en outre la conformation de son crâne, de son menton, de ses oreilles : il est marqué par l'hérédité. […] Un instant après, il eut le crâne fracturé par une pierre lancée du rempart, et mourut en « se recommandant à Dieu et à la Sainte Vierge ß (3). 11 avait fait à une date indéterminée des donations à l'abbaye de Grand-Champ.

179. (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877

. — Crâne.

180. (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]

1849 JOURNAL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ PAR UNE SOCIÉTÉ DE MAGNÉTISEURS ET DE MÉDECINS SOUS LA DIRECTION DE M. DU POTET DE SENNEVOY. La vérité, n’importe par quelle bouche; ^ le bien, n’importe par quelles mains. TOME VIII. PARIS.

181. (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880

Cette expérience doit être faite avec la plus grande précaution ; la malade ne fait rien pour parer les chocs et tomberait directement sur son crâne si un aide ne la retenait.

182. (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]

Deux fois il vit paraître, quoique fort bien éveillé, mais ayant les yeux fermés, une lueur qui la première fois lui semblait partir de mes doigts et en suivre le mouvement, et la deuxième fois il déclara tout à coup, en manifestant une extrême surprise, qu’il voyait comme deux gouttes d'eau qui étaient suspendues au sommet de la cavité du crâne et qui éclairaient tout l’intérieur de sa tète de la plus vive lumière.

183. (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]

« Lorsque j’assistai, en 1845, aux séances de k Société du Mesmérisme, et que je vis les étonnants phénomènes qui se manifestaient par la simple apposition d'un doigt sur tel ou tel organe, représenté par telle ou telle protubérance du crâne, je fus émerveillé, et m'enthousiasmai d'autant plus que je suivais assidûment alors, à l'Athénée, le cours de phrénologie du célèbre professeur Chaales.

184. (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie

Au bout de cinq ou six jours on enlève les fds, mais ce n'est qu'après quinze ou vingt jours qu'on peut, sans s'exposer à la gangrène, séparer le lambeau du crâne. […] Ti'otoplastiquc, qui, à part le danger commun à toutes les opérations sur la peau du crâne, ne remédie à une simple dif-formité qu'en en produisant deux autres, ne nous paraît, ni par son but ni par ses résultats, devoir être admise au nombre des opérations dont la pratique se justifie suffisamment; d'autant que, à notre sens, une portion d'oreille artificielle peut remplir le même objet tout aussi bien, pour ne pas dire mieux, et sans le moindre inconvénient. […] Enfin il se rencontre des circonstances où le jaolype, remplissant la fosse nasale et se moulant sur ses anfractuosités, pénètre , par des prolongeuiens, soit dans le sinus maxillaire (Velpeau), dans la fosse zygomatique et «à travers le trou sphéno-palatin (Blandin, Cazenave), soit dans toutes les issues à-la-fois (Dupuytren), et même, par érosion et refoulement des os, se crée des voies nouvelles dans la fosse ptérygo-maxillaire (DelGiseco), à la voûte palatine (Janson), dans l'intérieur de l'orbite et du crâne (Hoffmann), et en général dans toutes les directions.

185. (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique

La région du crâne présente quatre ou cinq pustules, petites, non ombiliquées; trois pustules volumineuses, non ombiliquées, sur la face : l'une en avant du lo-bule de l'oreille droite ; l'autre à la commissure droite des lè-vres; l'autre enfin au-dessous de la lèvre inférieure.

186. (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]

1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.

187. (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]

Dans cette « situation, lorsqu’on touchait du doigt le crâne à « l’endroit du cervelet, on déterminait des commo-« tions qui avaient également lieu quand on appro-« chait un bâton de cire à cacheter frottée.

188. (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6

hypno_1892 REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE PARIS. — IMPRIMERIE BREVETÉE MICHELS ET FILS, PASSAGE DU CURE. 8 ET 10 REVUE L'HYPNOTISME ET DR LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteur» AZAM. professeur i la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BEAU VAIS, médecin do Mazas; BERNHEIM, prof. à la Faculté de Nancy :L BOUYER (d'Angoulême) : BREMAUD de Brest) BRIAND, médecin de l'Asile de Villejalf : CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHIILTOFF, professeur i l'Université de Kharkoff: COLUNEAU; COSTER (d'Amsterdam); W. DEKHTEREFF (de St-Pétersbourg); DUMONTPALUER, méd. de l'Hôtel-Dieu : Eug. DUPUY; Van EEDEN (d'Amsterdam): A. FOREL (de Zurich;; FRAENKEL (de Dessau); HACK Ti:KE (de Londres); G.GAUTIER; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; KINGSBURY (de Blackpool); W. IRELAND (d'Edimbourg): LACASSAGNE. professeur à la Faculté de Lvoo; LADAME (de Genève); LIEBEAULT (de Nancy): LEGRAIN, méd. de l'Asile de Vaucluse; Emile LAURENT; LLOYD-TUCKEY (de Londrea); LETOURNEAU. prof.

189. (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23

REVUE de L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE de L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE - PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , ¦-:-; Directeur : Docteur BERILLON collaborateurs fondateurs CHARCOT; DUMONTPALLIER : LUYS ; MESNET : Au*. VOISIN: AZAM : OELBŒUF (de Liège) ; HACKTUKE (de Londres) ; LIÉBEAULT (de Nancy) : ?. de JONG (La Haye) ; SEMAL (de Mons) ; TOKARSKI |de Moscou) : TARDE ; WETTERSTRAND (de Stockholm) ; Hamilton OSGOOD (de Boslon). principaux collaborateurs MM. les D" BABINSKI, m éd. de la Pitié ; BAHADDIN-BEY (de Constantinople) ; BRI AND, méd. de l'Asile de Villejuif ; BRISSAUD, prof, à la Faculté ; BINET-SANGLE, prof. & l'Ecole de psychologie ; Coste de LAGRAVE ; CRUISE (de Dublin) ; L.

190. (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie

E TU DES CLINIQUES SUR L'HYSTÉRO-ÉPILEPSÏE ou GRANDE HYSTERIE ÉTUDES CLINIQUES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE 0 u GRANDE HYSTÉRIE par LE DR PAUL RI CHER ancien interne, lauréat des hopitaux de paris, lauréat du la faculté PRÉCÉDÉ D'UNE LETTRE-PRÉFACE de M. le professeur J.-M. CHARCOT AVEC 105 FIGURES INTERCALÉES DANS LE TEXTE, ET 9 GRAVURES A L'EAU FORTE PARIS ADRIEN DELAHAYE et EMILE LECROSNIER, ÉDITEURS pla.ce de l'école-de-médecine 1881 Tous droits réservés. A M. LE PROFESSEUR J.

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