A son passage, sur les oreilles et sur les yeux, ce bandeau est renflé par des tampons qui sont adaptés aux cavités qu'ils doivent obturer. […] Nous n'avons point la prétention de faire ici une étude complète de l'embryologie, mais simplement rappeler quelques-unes de ses particularités et notamment que le canal de Wolff ou peut-être plus exactement les ampoules qui constituent le corps de Wolff, après avoir formé le rein primitif, donnent naissance dans la cavité abdominale à i'éminence génitale et vont par le canal de Wolff s'ouvrir dans le cloaque (sinus uro-génital).
Quand on lui dit d'avaler, par exemple, un peu de bouillon, elle ne le fait qu'à l'aide d'une cuiller; elle remplit celle-ci à moitié, en projette le contenu dans la cavité buccale et la retire avec une certaine rapidité, afin de recueillir, au niveau du menton, la portion du liquide qui sans cela tomberait sur sa chemise; l'autre portion qui est restée dans la bouche donne lieu, au moment de sa déglutition à une sorte de glouglou faci- lement perceptible pour les personnes avoisinantes; il est rare que les liquides s'engagent dans lès fosses nasales.
Deux fois il vit paraître, quoique fort bien éveillé, mais ayant les yeux fermés, une lueur qui la première fois lui semblait partir de mes doigts et en suivre le mouvement, et la deuxième fois il déclara tout à coup, en manifestant une extrême surprise, qu’il voyait comme deux gouttes d'eau qui étaient suspendues au sommet de la cavité du crâne et qui éclairaient tout l’intérieur de sa tète de la plus vive lumière.
1853 JOURNAL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE NI le baron DU POTET La vérité, n'importe par quelle bouche; le bien, n'importe par quelles mains. TOME DOUZIÈME. PARIS. BUREAUX : RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (PALAIS-ROTAl.) JOURNAL 1)1 MAGNÉTISME.
1855 JOURNAL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOCS LA DIRECTION OE M. le baron DU POTET. La vérilé, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains. TOME QUATORZIÈAIE. PARIS. BUREAUX ; RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (palais-koval) JOURNAL DU MAGNÉTISME!
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUIl L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de bicêtre pendant l/année 1904 BOURNEVILLE Arec lu collaboration de DURAND, FRIEDEL PERRIN. Volume xxv Avec 17 figures dans le texte. PARIS aux nunnAUx m; PROGRÈS MÉDICAL rue îles Carmes, 14 Félix ALCAN EDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 4904 (Bicêtre et Fondation Vallée) PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Service pendant l'année 1904. I.
E TU DES CLINIQUES SUR L'HYSTÉRO-ÉPILEPSÏE ou GRANDE HYSTERIE ÉTUDES CLINIQUES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE 0 u GRANDE HYSTÉRIE par LE DR PAUL RI CHER ancien interne, lauréat des hopitaux de paris, lauréat du la faculté PRÉCÉDÉ D'UNE LETTRE-PRÉFACE de M. le professeur J.-M. CHARCOT AVEC 105 FIGURES INTERCALÉES DANS LE TEXTE, ET 9 GRAVURES A L'EAU FORTE PARIS ADRIEN DELAHAYE et EMILE LECROSNIER, ÉDITEURS pla.ce de l'école-de-médecine 1881 Tous droits réservés. A M. LE PROFESSEUR J.
1861 résumé de mes observations : Au milieu de la nuit, s’il s’est couché tard, vers dix ou onze heures, s’il s’est mis au lit de bonne heure, Olivran, qui ne dort jamais couché sur le dos, prend cette position ; en même temps, il étend ses membres, et tous ses muscles entrent en contraction ; viennent ensuite quelques mouvements convulsifs des bras ou de tout le corps, puis des commandements de marine articulés d’une voix forte. Lorsqu’il a eu dans la journée une contrariété ou une discussion, il la raconte, menace son adversaire, et lui adresse même quelquefois de vigoureux coups de poings qui heureusement frappent dans le vide ; nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les yeux toujours fermés, il élève les bras en portant le corps en avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dégager lentement celle-ci avant de commencer son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler, se livre le plus souvent avec le bras à des mouvements désordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes, succèdent quelquefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la hauteur du soleil ; enfin il se prépare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour le voir aussitôt, sans s’éveiller, retomber en arrière comme une masse inerte. C’est le moment le plus commode pour l’examiner avec soin, car il est dans l’état suivant : insensibilité complète, contraction générale et violente de tous les membres, les membres inférieurs sont allongés, les supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres doigts ; la mâchoire inférieure est fortement encore le même bruit cle pas.
. — Si l'on a pas remis de bonne heure l'os disloqué, il se forme dans la cavité un coagu-lum qui empêche de le remettre, pour faire fondre ce coagulum, fomenter avec un mélange d'une partie d'huile distillée d'os humains et de deux parties d'huile de tartre.
REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE VTNGT-ET-UNIÈME ANNÉE REVUE L'HYPNOTISME et de la PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur en chef : Docteur Edgar BÉRILLON COLLABORATEURS FONDATEURS CHARCOT; DUMONTPALLIER, LUYS; MESNET; Aug. VOISIN; Azam; DELBOEUF (de Liège); HACKTUKE (de Londres); LIÉBEAULT (de Nancy); A. de JONG (La Baye); SEMAL (de Mons); TOKARSKI, (de Moscou); TARDE. PRICIPAUX COLLABORATEURS MM. les Drs BABINSKI, méd. de la Pitié; BRIAND, méd. de l'Asile de Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Facullé des lettres de Montpellier; DAMOGLOU (du Caire); GUIMBEAU ; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; BINET-SANGLE; O. JENNINGS, P.
Sont-ils réfugiés dans les cavités nasales ou autres, vous dirigez contre eux du camphre en poudre, de sorte qu’ils ne sauraient échapper à une complète destruction.
hypno_1892 REVUE DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE PARIS. — IMPRIMERIE BREVETÉE MICHELS ET FILS, PASSAGE DU CURE. 8 ET 10 REVUE L'HYPNOTISME ET DR LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteur» AZAM. professeur i la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BEAU VAIS, médecin do Mazas; BERNHEIM, prof. à la Faculté de Nancy :L BOUYER (d'Angoulême) : BREMAUD de Brest) BRIAND, médecin de l'Asile de Villejalf : CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHIILTOFF, professeur i l'Université de Kharkoff: COLUNEAU; COSTER (d'Amsterdam); W. DEKHTEREFF (de St-Pétersbourg); DUMONTPALUER, méd. de l'Hôtel-Dieu : Eug. DUPUY; Van EEDEN (d'Amsterdam): A. FOREL (de Zurich;; FRAENKEL (de Dessau); HACK Ti:KE (de Londres); G.GAUTIER; GRASSET, prof, à la Faculté de Montpellier; KINGSBURY (de Blackpool); W. IRELAND (d'Edimbourg): LACASSAGNE. professeur à la Faculté de Lvoo; LADAME (de Genève); LIEBEAULT (de Nancy): LEGRAIN, méd. de l'Asile de Vaucluse; Emile LAURENT; LLOYD-TUCKEY (de Londrea); LETOURNEAU. prof.
hypno_1890 91.498 REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE BULLETIN L'HYPNOTISME ET LA PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Jusqu'à nos jours, les philosophes n'admettaient pas qu'il y eût d'autre moyen, pour arriver à la connaissance des facultés de l'âme, que de recourir à la méditation et au raisonnement. Baser la recherche des causes sur l'expérimentation leur eût paru déroger aux principes essentiels de la philosophie classique. Depuis Aristote, qui avait trouvé par l'observation interne tout ce que cette méthode imparfaite et empirique peut nous apprendre, la psychologie était restée stationnaire. Les découvertes modernes sur la physiologie du système nerveux avaient bien élargi un peu le domaine de l'antique psychologie. Mais, faute d'un procédé d'expérimentation directe sur les phénomènes de l'intelligence, il semblait impossible que jamais la psychologie fût à la hauteur des autres sciences.
ARCHIVES DE E NEUROLOGIE ARCHIVES N E U R DE 11 L 0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fonder par d.-M. CIItIRC(1T PIIIM1KE SOUS LA DiiiFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales ?