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134. (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18

Je lui suggère que les tissus, les ligaments suspenseurs de la matrice, actuellement relâchés et distendus, se resserrent, recouvrent leur tonicité, que l'organe déplacé remonte, se remet en place, reprend sa position normale, que désormais elle n'a plus besoin de pessaire ni de ceinture et que, par suite, elle ne souffre plus ni des reins, ni du ventre, ni de l'estomac, ni du cœur, ni de la tête, qu'elle va bien â la selle et qu'elle urine facilement, qu'elle n'a plus de pesanteur ni de tiraillements, qu'elle ne sent plus rien qui descend et qui veut tomber, etc.

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