. ^ 1 - La valériane a été vantée comme un remède à une infi-, nité d'états morbides; mais le grand nombre de ses échecs a conduit au scepticisme, etonenestvenuàlaconsidérercomme - n'agissant pas autrement que par la suggestion. 30 grammes de poudre de valériane n'ayant fait éprouver à Trousseau qu'un peu de céphalalgie, d'incertitude, de troubles de l'ouïe, de la vue et de la motilité, on en conclut * que son action phy- siologique est presque nulle. […] Mais dans tous les cas graves ou non, c'est toujours la même cause, l'hystérie, et c'est toujours le même mécanisme, la suggestion religieuse, qui sont en jeu; c'est, toujours la névrose guérie par une émotion forte.