Après sa journée remplie par ses devoirs, il se re- tirait le soir dans un pauvre petit pavillon, qu'il appelait sa cabane, perdu dans les vastes enclos de la maison, et là, après un court sommeil de quelques heures, il se mettait au travail avant l'aube, hiver comme été, et composait les ouvrages qui l'ont placé à un si beau rang dans la science. […] En février 1891, un soir, il se rend de Paris à Montrcuil par un froid très vif, dort bien- la nuit suivante.