Bien qu'on ait exhumé un projet d'opération décrit par Roonhuysen, en i633, il est bien certain qu'avant les travaux de Jobert, on en était encore à la période de tâtonnements, et cjue la plupart des fistules vésico-vaginales étaient considérées comme une infirmité incurable ; Dieffenbach lui-même écrivait encore en i845 que la guérison d'une fistule vésico-vaginale était un événement des plus rares. […] L'omission de ces précautions a parfois été suivie d'inflammation grave de l'utérus ou de ses annexes; ce danger existe encore pendant toute la période d'éhmination de l'escharre.