Cette dame, vers la fin de février 1859, commença à ressentir les effets de trop grands efforts pour surmonter le mal rnoral que causent toujours des maux trop réels. […] Une seule séance le débarrassa de son mal. […] MAL DE TÊTE. […] « Le mal physique est souvent une conséquence du mal moral, le désordre suit nécessairement la déraison. […] Prévoir le mal, c’est le rendre en quelque sorte nécessaire.