En juillet 1842 , par un temps sec et chaud, un de mes collègues, élève de la pharmacie Pelletier-Duclou, âgé de vingt-trois ans, lymphatique et fort irascible, fut affecté d’une fièvre inflammatoire d’un mauvais caractère.
En juillet 1842 , par un temps sec et chaud, un de mes collègues, élève de la pharmacie Pelletier-Duclou, âgé de vingt-trois ans, lymphatique et fort irascible, fut affecté d’une fièvre inflammatoire d’un mauvais caractère.