Au repos, les images terrifiantes du temps de guerre, déterminent dans les centres nerveux des complexus de sensations internes, qui constituent la peur et aboutissent à la fuite, c'est-à-dire à la production de mouvements : pendant l'action au contraire, la production de mouvement, accompagnée de perceptions motrices, qu'il s'agisse du chargement d'une arme ou d'une marche en avant, se substitue aux visions angoissantes du champ de bataille.