La conscience supprimée, il ne reste, à la place de la sensation qui avorte, que sa cause ou occasion organique, c’est-à-dire qu’un certain jeu des fibres et des nerfs, auquel le moi absent demeure indifférent.
La conscience supprimée, il ne reste, à la place de la sensation qui avorte, que sa cause ou occasion organique, c’est-à-dire qu’un certain jeu des fibres et des nerfs, auquel le moi absent demeure indifférent.