Pourquoi une main de femme? […] Cette femme jouit d’une très-bonne santé. […] Etant revenu à mon hôpital, dix jours après, il me demanda la permission de toucher le mal avec l’acide, pendant que la femme était dans son état naturel. […] La femme s’écria presque immédiatement que sa tête était en feu, et elle courut à travers la salle, éperdue de souffrance. […] Jamais joie ne m’a paru plus vive que celle exprimée par les traits de l’heureuse femme.