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134. (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales

D'abord, elle fut si peu prononcée que la malade n'en eut pas connaissance ; puis petit à petit le cou grossit d'une ma- nière sensible et devin t le siège de battements qui attirèrent son attention. […] On ne retrouve en particulier ni vertiges, ni pertes de connaissance, ni crises convulsives ; on ne re- trouve ni zones hystérogènes, ni anesthésies cutanées, ni rétrécissements des champs sensoriels ; on ne retrouve pas davantage les signes physiques de l'alcoolisme.

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