Pichard, examinant la relation du traitement peu fructueux d’un paralytique, se plaint de ce que l’on continue de magnétiser directement la partie paralysée, au lieu de s’adresser à l’organo central du mouvement.
Pichard, examinant la relation du traitement peu fructueux d’un paralytique, se plaint de ce que l’on continue de magnétiser directement la partie paralysée, au lieu de s’adresser à l’organo central du mouvement.