Il nous a montré ces faits que, hier encore, on croyait nouveaux ou controuvés, se produisant à toutes les époques de l’histoire : chez les ascètes de l’Inde qui croient s’unifier avec la Divinité par la contemplation perpétuelle du bout de leur nez ou de la cavité de leur nombril ; chez les derviches tourneurs, qui s’hypnotisent au mçyen de ces danses étranges que l’on retrouve sous une'forine analogtie chez les Aîssa-Ouhas de l’Afrique, où M.