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159. (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19

5« Elle n'avoit aucun mouvement, ni volontaire, ni naturel, qui fût sensible, pas même celui que l'on fait en dormant pour avaler la salive; le seul mouvement du cosur et des artères se falsoit sentir, encore étoit-ce bien faiblement. […] Les mouvements de tangage et de roulis faisant déplacer dans l'espace le corps des passagers d'une façon qui n'est pas habituelle, le sang contenu dans les artères et dans les veines est soumis k une agitation incessante et inaccoutumée qui en contrarie la marche ordinaire et régulière ; tantôt il y a trop de liquide, tantôt une quantité insuffisante dans telle ou telle région, dans tel ou tel organe.

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