Cette anatomie n'a jamais été exposée dans son ensemble et avec les détails qu'exigent ses applications immédiates. […] Il ne faut pas en vouloir à la photographie de ne pas interpréter la nature, puisqu'on ne lui demande que la réalité, la brutalité des choses; c'est pour cela même qu'elle est incomparable dans les sciences physiques ; mais elle n'a que des applications restreintes dans les sciences descriptives, et, quand il s'agit d'anatomie, elle est par trop impersonnelle pour montrer les organes, non pas tels que nous les disséquons, mais tels qu'il faudrait les avoir disséqués.