Et cependant les faits cliniques que nous rapportions dans les pages précédentes nous semblent bien plaider en faveur de la thermométrie véritablement cérébrale; il y a là un faisceau d'observations dont nous avons cherché à montrer l'impor- tance ; ces faits sont concordants, étudiés avec soin, publiés par des auteurs qui font autorité : on doit donc les considérer comme valables àcertains égards, et, même en réservant la ques- tion purement physiologique, reconnaître qu'il s'agit là d'une méthode nouvelle qui appelle des recherches cliniques nom- breuses, et doit par conséquent être prise en grande considéra- tion par les observateurs 1.