Egger est arrivé à celte conviction que les anesthésies des'tabes ne sont jamais absolues, qu'elles n'existent que pour des irritations faibles et qu'elles disparaissent sous l'influence de la sommation. « Quand on rap- porte ces faits, dit il, aux lésions anatomiques, qui, d'après MM. […] Il nous paraît, malgré cela, infiniment probable que, chez les tabétiques, l'abolition des réflexes rotuliens, comme les anesthésies, ne sont ahsolues qu'en apparen- ce.