igone. - llle, tænia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'.lryr. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. FiG. 4. - Le segment an
hweigoffer, Fig. 416 et 118, p. 134). Dans ces différents cas, la
zone
dégénérée occupe la substance blanche non diffé-
rochet. - li, troisième 'ventricule. - T'l, ventricule latéral. - Zn,
zone
réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optiqu
Vicq d'Alyr. - 17, ventricule latéral. Yoe, corne occipitale. - Zr,
zone
réticulée ou criiiaeëe. FIG. H. Le segment infé
lamus. - tllt, taenia thalami. - l'l, ventricule latéral. - Zr,
Zone
réticulée du thalamus. izcl, pli cunéo-limbiqti
um. Tga, pilier anté- rieur tlii 1 i-i-one. - Th, lhala mus.-11',
zone
de Wernicke. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE C
ments de la capsule interne par rapport au plan sagittal médian. La
zone
de transition entre la région thalamique et la ré
putamen. - XR, noyau rouge. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv,
zone
de Wernicke. Dans la région sous-thalamique de
Foret. - Tga, pilier anté- rieur du trigone. - Th, thalamus. - IV,
zone
de Wernicke. - II, bandelette optique. Biblioth
Cirl), refoulé en dehors par le corps genouillé externe (Cge) et la
zone
de Wernicke (W), est séparé du segment postérieur
eur (Cip) par une mince lamelle de substance grise appartenant à la
zone
réticulée du thalamus (Zr) (Fig. 47, p. 68). Qu
, taenia semi-circularis. - ]TSl, ventricule du septum lucidum. Zr,
zone
réticulée. lenticzclo-cauclées) qui, nées de la
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VCrst, veine du corps strié. - 1V,
zone
de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée.
'Azyr. - VCrst, veine du corps strié. - 1V, zone de Wernicke. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES
laire de la corne frontale. - L,, première circonvolution limbique.
Zone
, lame médullaire externe du thalamus. - lme, lame
icule latéral.- T'sph,,corne sphénoïdale du ventricule latéral.- TI',
zone
de Wernicke. - Zi, zona incerla de Forel. - 11,
(Cge) et une mince lamelle de substance grise qui appartient il la
zone
réticulée du thalamus (Zr). En dedans, il est e
het. - Il', champ de Wernicke. - xll, chiasma des nerfs optiques. Zr,
zone
réti- culée ou grillagée du pulvinar. - 11, ban
éparées par l'étroite lamelle de substance grise apparte- nant à la
zone
réticulée du thalamus (Fig. 25). Par son aspect,
as et en dehors. Il est situé en dehors du pulvinar (l'ul) et de la
zone
de Wernicke (\V) et occupe l'espace compris ent
, le segment rétro-lenticulaire (Cirl) est refoulé en dehors par la
zone
de Wernicke et le corps genouillé externe. Le s
pédonculaire. z Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr,
zone
réticulée. - JI, bandelette optique. - III, ner
passant par le corps genouillé externe, le segment postérieur de la
zone
réticulée du thalamus et sectionnant le segment r
sphénoïdale du ventricule latéral. - Zrp, segment postérieur de la
zone
réticulée du thalamique. Ses aspects sur les
érieur de la couronne rayonnante (Fig. 32). Méthode de Weigert. Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune (voy. Cas Courr
plégie gauche. Dans la région pédonculaire supérieure (Fig. 39), la
zone
dégénérée occupe la partie moyenne du pied du péd
e dégénérescence partielle de ce faisceau. - Méthode de Weigert. La
zone
dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l'atr
, pied du pédoncule cérébral; P', son faisceau interne sain; P(d), sa
zone
moyenne dégénérée. - l'cs, pédoncule cérébelleu
rébral, telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans ce cas, la
zone
dégénérée (P(cl) occupe dans la région pédonculai
e. A mesure que l'on approche du sillon pédonculo-protubérantiel la
zone
dégénérée (P(cl) se déplace : elle se porte en
halamus. tr,c, tienia semi-circularis. - ? (, t;enia thalami. - Zr,
zone
réticulée du thalamus. ronne rayonnante et à la
és par de la substance grise. De ce treillage, connu sous le nom de
zone
grillagée ou réticulée d'Arnold (Zr), se détach
) déterminent la dégénérescence du noyau externe du thalamus, et la
zone
dégénérée occupe dans la couche optique une rég
ns la couche optique une région qui correspond très exactement à la
zone
capsulaire dégénérée; comme cette dernière elle
e l'extrémité antérieure de la couche optique. Après avoir formé la
zone
grillagée (Zr) de l'extrémité antérieure du tha-
Fibres cortico-tha- lamiques supérieu- res. Elles unissent la
zone
rolandique aux noyaux externe et interne du t
aris. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. - Zr,
zone
réticulée du tha- lamus. II, bandelette optique
7, 26.) Les fibres cortico-thalamiques moyennes appartiennent à la
zone
rolandique et aux parties adjacentes des lobes
que leur direction est transversale; elles s'entre-croisent dans la
zone
grillagée (Zr), elles sont croisées par les fib
ibres radiées du thalamus (noyaux externe, interne et pulvinar), la
zone
de Wernicke et les segments rétrolenticulaire, po
. - 171, ventricule latéral. - Vsph, ven- tricule sphénoïdal. - Il,
zone
de Wernicke. X ? zone réticulée ou grillagée. F
téral. - Vsph, ven- tricule sphénoïdal. - Il, zone de Wernicke. X ?
zone
réticulée ou grillagée. Fia. 44. - Le segment p
ar et la partie postérieure du noyau externe, dont elles forment la
zone
réticulée- Parmi les fibres qui se détachent de
forment la zone réticulée- Parmi les fibres qui se détachent de la
zone
réticulée, les plus posté- rieures et les plus
p les plus nombreuses, forment le champ triangulaire de Wernicke ou
zone
de Wernicke (1TT), puis pénètrent et s'épuisent
rUCO- irenouilléos externes. 68 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Zone
de Wernicke. gros fascicules onduleux, et abord
on d'un champ compact de fibres, le champ triangulaire de Wernicke.
zone
de Wernicke (W) (dreieckiges FIG. 46. - Le pédo
-externes do la voie pédonculaire. Ces radiations unis. sent la
zone
auditive e corticale au corps genouillé inter
e. - VA, faisceau de Vice¡ d'.lzyr. - Vl, ventricule latéral. - IV,
zone
de Vernicke. Zi, zona in- certa de Forel. - Zr,
latéral. - IV, zone de Vernicke. Zi, zona in- certa de Forel. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Marl feld m. [Wernicke]
radiations cortico-genouillées externes à la suite de lésions de la
zone
visuelle corticale. Les autres, plus rares, se
tique. Tm, tubercule mamillaire. - '3, troisième ventricule. - 111,
zone
ou champ de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou g
- '3, troisième ventricule. - 111, zone ou champ de Wernicke. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optique.
et de la partie adjacente de l'opercule frontal, c'est-à-dire de la
zone
motrice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236).
écentral, dans la partie antérieure du lobe frontal, une importante
zone
motrice pour les mouvements des yeux (Fig. 240
es yeux (Fig. 240 et 241), et il n'y a rien d'étonnant à ce que cette
zone
excitable envoie, tout comme la zone motrice ro
rien d'étonnant à ce que cette zone excitable envoie, tout comme la
zone
motrice rolandique, des fibres dans le pied du pé
pied du pédoncule cérébral. Chez l'homme, l'existence même de cette
zone
motrice est encore à démontrer. Par exclusion,
d, dont le faisceau interne contenait quelques fibies saines, cette
zone
participât nettement à la lésion primitive. (Voy.
érieures et plus antérieures. Les fibres de la partie moyenne de la
zone
rolandique (zone corticale du membre supérieur)
antérieures. Les fibres de la partie moyenne de la zone rolandique (
zone
corticale du membre supérieur) forment les deux
la capsule interne (Cip). Les libres de la partie supérieure de la
zone
rolandique et du lobule paracentral (zone cortica
a partie supérieure de la zone rolandique et du lobule paracentral (
zone
corticale du membre inférieur) passent par la p
ateri (1898) en extirpant chez le chat la région temporale moyenne (
zone
auditive de Munck) constata par la même méthode l
s la région sous-optique, ainsi que nous avons pu le constater, une
zone
de dégénérescence à la partie postérieure du se
postérieure du segment postérieur de la capsule interne, mais cette
zone
fait défaut dans la région thalamique de la capsu
nce du locus niger accompagne toujours les lésions corticales de la
zone
rolandique, et le secteur dégénéré correspond ass
rolandique, et le secteur dégénéré correspond assez exactement à la
zone
de dégénérescence pédonculaire. La dégénérescence
e nombreuses fibres cortico-protubérantielles qui proviennent de la
zone
rolandique et dont les terminaisons s'échelonnent
égories do fibres do la v oic pédonculaire Leur origine dans la
zone
rolandique. Leurs terminai- sons. Leur orig
tico-médullaires (faisceau pyramidal), tirent leur J' origine de la
zone
rolandique, en particulier de ses trois quarts su
gyrus sigmoïde (c'est-à-dire dans la région désignée sous le nom de
zone
motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette
sumer ainsi , qu'il suit : Il existerait dans chique hémisphère des
zones
distinctes les unes des autres au point de vue
des autres au point de vue anatomique et partant fonctionnel : les
zones
des centres de projection ou zones des sphères
que et partant fonctionnel : les zones des centres de projection ou
zones
des sphères sensorielles (Sinnesspharen ou Projec
des sphères sensorielles (Sinnesspharen ou Projectionscentren) et les
zones
de centres d'association (Associationseentren).
et les zones de centres d'association (Associationseentren). Les
zones
des centres de projection seraient reliées par de
pocampe et la substance perforée antérieure (sphère olfactive). Les
zones
des centres d'association seraient dépourvues de
ux sphères sensorielles par de nombreuses fibres d'association. Ces
zones
, au nombre de trois, seraient : l'une postérieure
fications ap- portées par Flechsig à ses opinions. tactile. Les
zones
des centres de projection existeraient, ^d'après
même avec un développement plus considérable que chez l'homme. Les
zones
des centres d'association représenteraient les ce
é à modifier son opinion (1898); il admet aujourd'hui au lieu des 7
zones
corticales primitives (4 zones de projection et 3
; il admet aujourd'hui au lieu des 7 zones corticales primitives (4
zones
de projection et 3 d'association) « pour le moi
ves (4 zones de projection et 3 d'association) « pour le moins » 40
zones
corticales embryologiques; il admet en outre que
s corticales embryologiques; il admet en outre que ses «anciennes »
zones
d'association possèdent des fibres de projection
possèdent des fibres de projection mais en quantité moindre que les
zones
de projection. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
dans la région thalamique inférieure et moyenne il n'existe plus de
zone
dégénérée distincte, mais une diminution de volum
sa partie moyenne. Le pied du pédoncule gauche, présente une petite
zone
de dégénérescence (VP (d) consécutive à un foye
ce descendante du trijumeau. - ]'P, voie pédon- culaire ; VP(d), la
zone
dégénérée du pied du pédoncule gauche : Vu'(¡'),
; VP(d), la zone dégénérée du pied du pédoncule gauche : Vu'(¡'), la
zone
d'intensité maxima de la dégénérescence rétrogr
jet des fibres de pro- jection du manteau cérébral, l'étendue de la
zone
dégénérée est toujours plus grande que celle qu
Weigert montre dans le segment postérieur de la capsule interne une
zone
de dégénérescence qui, certaine- ment, n'est pa
corps genouillés externe et interne (Cge, Cgi) (Fig. 69-72), de la
zone
de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable
2), de la zone de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable de la
zone
réticulée (Zr) et des différents noyaux du thalam
o (Cirl) et sous-lenticu- laire (Cisl) de la capsule interne, de la
zone
de Wernicke (W), du pulvinar (l'ul), du corps g
du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), dans la
zone
de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la partie sup
ngual et fusiforme et du sillon collatéral ou occipito-temporal. La
zone
pointillée représente le siège d'un ramollissemen
entraîné la mort du malade. La coupe passe au-dessus du maximum de la
zone
de dégénérescence. - On constate néanmoins une
Cirl) et sous-lenticulaire (Cisl), de la capsule interne, de la
zone
de Wernicke (\V), du pulvinar (Pul) et de s
et sous-lenticulaires de la capsule intem- (Cirl) (Fig. 90), de la
zone
de Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cge)
blanche non différenciée de la face externe du lobe occipital. (Les
zones
dégénérées sont colo- rées en jaune, la lésion
, du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la
zone
de Wernicke (W), du pulvi- nar (Pul) (fibres ra
yenne de ce tubercule et du pilier antérieur du trigone (Tga). (Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
uée par les fibres calleuses dégénérées de l'hémi- sphère droit; la
zone
de dégénérescence qui coiffe le faisceau compact
), du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la
zone
de Wernicke (W), du pulvinar (Pul), du corps geno
faisceau de Tiirck (FT) et de la commissure antérieure (coa). (Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
de l'hémisphère droit. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune. Cas Bras. Cé
2) et du segment sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne. (Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 121 genouillé externe (Cge), de la
zone
de Wernicke et une dégénérescence plus limitée en
scence du corps genouillé externe (Cge), du pulvinar (Pul) et de la
zone
de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule cér
la zone de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule cérébral. - Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune. Méthode de W
culaire de la capsule interne (Cirl), de la partie supérieure de la
zone
de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Il existe
interne (Cirl), dans le pulvinar (Pul) et la paitie supérieure de la
zone
de Wernicke (W) (Fig. 97 et 98). Aucune fibre d
la partie adjacente du noyau ovtcrne du thalamus (Pul), do la
zone
de Wernicke (W), du corps ge- iiouillé evtern
la partie adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la
zone
de Wernicke (AV), du corps ge- nouillé extern
a capsule interne (Cip); de la lame médullaire externe (Lme), de la
zone
réticulée (Zn) du stratum zonale'(Strz), des fibr
e du thalamus. Dégénérescence (de la partie supéro-antérieure de la
zone
de Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cg
Intégrité du faisceau de Turck (FT); ce dernier refoule en avant la
zone
dégénérée du segment postérieur de la capsule i
la partio adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la
zone
de "Wernicke (\\-), <lu corps ge- nouillé
nc du corps calleux, soit dans le faisceau occipito-frontal (OF).
Zone
rolandique. (Lobe central : circonvolutions front
le rolandique, lobule paracentral.) -- Les lésions destructives de la
zone
rolan- dique, quel que soit leur siège, retenti
le pied du pédoncule cérébral (P) et la pyramide bulbaire (Py) et la
zone
dégénérée occupe toujours le segment moyen de l
les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule, le siège de la
zone
dégénérée dépend essentiellement du siège même
andique (OpR) et la partie adjacente de l'opercule frontal (Opl3), la
zone
dégénérée occupe le genou de la capsule [Ci(g)]
inférieure .antérieure et voisine de l'opercule rolandique, plus la
zone
dégénérée se rapprochera du genou de la capsule
ccompagne toujours d'une dégénérescence du thalamus, intéressant la
zone
réticulée (Zr) et les fibres radiées (fr), dont
en forment les quatre cinquièmes internes. Elles n'y occupent pas de
zones
distinctes, mais sont intimement mélangées les
age antérieur de la protubérance -et sur la pyramide bulbaire. La
zone
rolandique ne paraît pas posséder de fibres de pr
nfoncement du crâne. Lésion du deuxième quart supé- rieur de la
zone
ro- landique. Dégéné- rescence du segment p
les fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les lésions de la
zone
rolandique re- tentissent en outre sur les cour
-frontal est toujours partiellement dégénéré dans les lésions de la
zone
rolan- dique (cas Schweigoffer, Fig. 417 et 118
e du pariétal gauche. Com- pression de la partie supérieure de la
zone
rolandique par une esquille os- seuse, sur une
r de la capsule interne (Cip), de la lame médullaire externe, de la
zone
ré- ticulée (Zr), et des fibres radiées du no
bral et du locus niger. Méthode de Weigert, 3/2 grandeurnature. Les
zones
dégénérées sont colorées en jaune. FIBRES DE
e qui semble indiquer que le faisceau occipito-frontal reçoit de la
zone
rolandique plus de fibres se dirigeant vers le
énéres- cences secondaires consécutives à chacun des secteurs de la
zone
rolandique : 1° Lésion du lobule paracentral et
eur de la capsule interne, abandonne chemin faisant des fibres à la
zone
réticulée (Zr) et à la partie adjacente du noyau
ement du crâne ayant contus et lésé le deuxième quart supérieur de la
zone
rolan- dique et déterminé une monoplégie brachi
niger (Ln). (Fig. 115.) 3° Lésion du deuxième quart inférieur de la
zone
rolandique. - Le cerveau du cas Heudebert (Fig.
a capsule interne (Cip) et le pied du pédoncule cérébral (P). Mais la
zone
de dégéné- rescence est reportée encore plus en
du thalamus et du locus niger (Ln) dans la région adja- cente à la
zone
capsulaire ou pédonculaire dégénérée. 4° Lésion
à l'emporte-pièce, ayant détruit l'écorce du quart inférieur de la
zone
rolandique et le pied de la troisième FiG. 116.
de la capsule interne. Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature. Les
zones
dégéné- rées sont colorées en jaune. FIBRES D
pos- térieur de la capsule interne (Cip),dégénéres- cence de la
zone
réticu- lée, et des fibres radiées del'extrém
ns la région sous- thalamique de la capsule interne (Fig. 120) la
zone
dégénérée est limitée en dedans et en avant
Double lésion corticale : 1° lésion du deuxième quart inférieur de la
zone
rolan- dique ayant entraîné une dégénérescence
sion cor- vcale : 1° lésion du deuxicme quart infé- rieur de la
zone
ro- landnluc.Dégénéros- cence du deuxième c
ésion cor- ticals : lésion du deuxième quart iiité- rieur de la
zone
ro- landiduc. Dégénéres- cence du deuxième
xterne du thalamus (Fig. 125) et du pulvinar (Pul, Fig. 126), de la
zone
de "Wernicke (W), du corps genouillé externe (C
de la commissure antérieure Méthode de Weigert. 2° La lésion de la
zone
rolandique a entraîné une dégénérescence du deuxi
ous a déjà servi pour les localisations du 2" quart inférieur de la
zone
rolandique est un exemple typique de lésion du
oyau interne du thalamus (Ni), le corps genouillé externe (Cge), la
zone
de Wernicke (W) sont très dégénérés et ne contien
du lobe frontal (Fig. 126 et 127). Il est probable que les petites
zones
de dégéné- rescences qui existent dans la subst
ont complètement disparu (Fig. 131) et l'extrémité supérieure de la
zone
de Wernicke (W). Dans la région sous-optique (F
nt un nombre considérable de fibres saines; il en est de même de la
zone
de Wernicke et du pulvinar qui présentent à peu p
artie supéro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133). Une seconde
zone
de dégénérescence occupe le segment postérieur de
ment postérieur de la capsule interne (Cip); elle est séparée de la
zone
précédente par le faisceau de Tiirck (FT), qui ne
terne l",e, Il') au cuaiamus. Dégénérescence du pumnar ;W u) CL de la
zone
de w er- nicke (W.) Fig. 131). Cas Le Soguill
nte du segment pos- 1 érieur de la capsule in- terne (Cip), de la
zone
réticulée et des fibres radiées de la partie
rtie saines du faisceau de Turck (FT) qui refoulent en avant la
zone
dégéné- rée du segment posté- rieur de la cap
ntre que lorsque dans la région thalamique supérieure et moyenne la
zone
dégénérée occupe le segment rétrolenticulaire d
lamus (Th). Pas de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral. La
zone
dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weig
cas, bien plus par la minceur de ses fascicules que par l'étendue des
zones
dégénérées. Fig. 111. - Cas Moriceau. Hémisphèr
spectent le faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral, et la
zone
dégénérée en occupe le deuxième cinquième inter
ues fascicules de fibres intactes, saines, et plongées au sein de
zones
complètement dégénérées. Ces fibres saines exis
oyau externe du thalamus (Ne). ' Dégénérescence ex- trême de la
zone
réticulée (Zr) et du segment postérieur de
isceau lenticulaire de Forel. Dégénérescence du pulvinar (Pul), de la
zone
de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau rouge
ntre-croisée de la pyramide droite agé- ncsiee forme une petite
zone
sclérosée qui borde le sillon médian anté- ri
masse des fibres du cordon latéral gauche et met à nu une petite
zone
de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne posté
des noyaux externe et interne du thalamus, et limitent en dedans la
zone
dégénérée du segment postérieur de la capsule int
interne. Dégénérescence de la lame médullaire externe (Lme), de la
zone
réliculée (Zr) et des fibies radiées des deux lie
une dégé- nérescence de la lame médullaire externe (Lme), de la
zone
réticulée (Zr), aes fibres famées aes aeux tier
te néanmoins dans ces régions une dégénérescence très intense de la
zone
réticulée (Zr), de la lame médullaire externe (Lm
tra- verser, en fascicules denses et serrés (lsth, Fig. 9 6cl), la
zone
dégénérée du segment pos- térieur de la capsule
eur de la capsule interne (Cia), du faisceau géniculé (Ci(g), de la
zone
réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (L
le interne (Cip) consécutive à la lésion corticale fusionne avec la
zone
de dégénéres- cence consécutive à la lésion du
erne du pied du pédoncule et empiète sur le 3° cinquième. Une large
zone
de fibres saines la sépare du faisceau interne
adjacente du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et la
zone
dégénérée occupe, dans la région sous-oplique (
Dégéné- rescence partielle des fibres radiées du thalamus, de la
zone
de Wernicke, du segment rétrolenti- culaire et
capsule interne. Dans la région sous-thalamique (Fig. 187), cette
zone
dégénérée est refoulée en avant par le faisceau
des fibres radiées, de la lame mé- dullaire externe (Lme), et de la
zone
réti- culée (Zr) du noyau externe du thalamus (
ette lésion a entraîné une dégénérescence des fibres radiées, de la
zone
réticulée (Zr) et de la lame médullaire externe (
upe le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, la
zone
dégénérée occupe une situa- tion encore plus ex
vinar (Pul) qui ne contient ni fibres radiées, ni stratum zonale, ni
zone
de Wernicke; une dégénérescence du corps genoui
mi. Les circonvolutions cérébrales ne sont développées que dans les
zones
blanches des schémas; au niveau des régions tei
développement. Dans la moelle cer- vicale (Fig. 212) il existe des
zones
presque complètement dépourvues de fibres à myé-
mi), un noyau externe (Ne) remarquable par son développement et une
zone
réticulée (Zr) anormalement large (Fig. 203); on
nnent le noyau externe du thalamus, traversent en s'enchevêtrant la
zone
réticulée, puis se portent en haut et en dehors
nt défaut dans la moitié postérieure de la région thalamique, où la
zone
réticulée (Zr) anormalement large, s'applique con
forment les libres ra- diées du thalamus, s'enchevêtrent dans la
zone
réticulée, montent dans le segment postérieur d
ts du noyau lenticulaire et paraissent refoulées en dehors par la
zone
iéticulée relativement large du thalamus, -le s
gment posté- rieur de la capsule interne et à sa place on trouve la
zone
reticulée (Zr, Fig. 228) et plus bas la zona in
émontrèrent, dans la corticalité cérébrale du chien, l'existence de
zones
dont l'excitation donnait lieu il des mouvements
me. '1. Localisations corticales. 1. Localisations motrices. - La
zone
excitable ou motrice du cerveau occupe la parti
u faisceau pyra- midal dans son trajet bulbaire et médullaire. La
zone
motrice comprend trois centres moteurs principaux
la troisième circonvolution frontale. L'excitation électrique de la
zone
motrice a été pratiquée il différentes reprises
, car ils ont permis de localiser : le centre du pouce sur les cir-
Zone
motrice cor- ticale. Ses trois enitros prin
ncipaux. Excitation électri- que do ces centres chez l'homme.
Zone
du membre supérieur. Centro du pouco. 220 A
ion des doigts (Keen, Mills et Ilearn), elc. Par l'excitation de la
zone
de la face, on obtient de môme des mouvements i
r). Le centre du facial supérieur occupe la partie supérieure de la
zone
de la face, immédiatement au- dessous du centre
itant le pied de la deuxième circonvolution frontale en avant de la
zone
des doigts et de la main. C'est enfin sur le pied
mé parle deuxième sillon frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La
zone
motrice de l'homme d'après les recherches des chi
ns améri- cains el anglais, Keen, Mills, Nancrède, Ilorsley, etc.
Zone
de la lace. Centre facial ni- férieur. Cent
NTRES NERVEUX. Mouvements con- jugués do la tête et des yeux.
Zone
du membre inférieur. Troubles paralyti- que
nsécutifs aux lésions destructives des différents centres de la
zone
motrice corticale. Monoplégies cru- rales.
rotation de la tête el de déviation conjuguée des yeux. Quant à la
zone
du membre inférieur dont les mouvements sont peu
et le plus souvent automatiques, on n'a pu encore la décomposer en
zones
secondaires pour les différentes articulations. S
ents de la cuisse et du genou occupent la partie anté- rieure de la
zone
, tandis que celle des petits orteils siège en arr
rpendiculaire externe. Chez l'homme, les lésions destructives de la
zone
motrice s'accom- pagnent toujours de troubles m
Lorsque la lésion destructive intéresse la moitié supérieure de la
zone
motrice et le lobule paracentral, comme dans le
bilatéraux. particulier sur le singe, qu'il existe en réalité deux
zones
corticales, l'une anté- rieure, l'autre postéri
des yeux avec rotation de la tête du côté opposé au point exité. La
zone
anté- rieure ou frontale serait seule motrice e
rtie antéro- externe du gyrus précrucial. Pour Masini (1888), cette
zone
s'étendait en arrière sur la région motrice pro
caque et l'orang que chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la
zone
motrice occupe la région rolandique, empiète zono
Schafer (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Zone
motrice de l'urang. i Zone des membres. L
228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i
Zone
des membres. Leurs centres secon- daires. L
du sillon de Rolando, entre le centre de la face et celui du pouce.
Zone
des membres. - Chacun des centres moteurs compien
ouce, les grandes articulations occupant la partie supérieure de la
zone
, tandis que les centres des petites articulations
le, coude,poignet, main, lorsqu'on excite les régions élevées de la
zone
; elle suit un ordre inverse, - pouce, doigts, p
ou à sa périphérie. L'excitation de la partie antéro-supérieure de la
zone
détermine une progression spéciale de mouvement
le en dehors. Le mouvement obtenu par l'excitation électrique de la
zone
du membre inférieur varie suivant le siège d'ap
sion des orteils. Lorsqu'on électrise les régions antérieures de la
zone
, à la flexion du pied et aux mouvements des ortei
lorsque les électrodes sont appliqués à la limite antérieure de la
zone
. La différenciation des mouvements du membre infé
dans chacun des centres secondaires (en particulier dans ceux de la
zone
du membre supé- rieur) les mouvements propres à
d'uno IDPIne articulation. 230 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Zone
de la face. Sa division chez le macaque. Ré
nts secondaires, tertiaires, etc., si fréquents chez le macaque. La
zone
de la face est très étendue chez le macaque et su
e macaque et surtout chez l'orang. Elle est située au-dessous de la
zone
du membre supérieur, s'étend en avant jusqu'au si
digestif (lan- gue, pharynx) et du larynx. Ce qui caractérise cette
zone
, c'est qu'à l'encontre des zones des membres su
t du larynx. Ce qui caractérise cette zone, c'est qu'à l'encontre des
zones
des membres supérieur et inférieur, elle contie
dent à des mouvements bilatéraux. Horsley et Schafer divisent cette
zone
chez le macaque en deux régions : l'une supé- r
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 231 partie antérieure de cette
zone
détermine la protrusion, l'excitation de sa parti
ou du sillon de Rolando. L'excitation de la partie supérieure de la
zone
détermine la contraction de la partie supérieure
TRES NERVEUX. Centro cortical hi- latéral pour la langue. à
Zone
de la tête et des yeux. Son siège chez le m
ond de la bouche. Par l'excitation de la moitié inférieure de cette
zone
, la langue est tirée hors de la bouche, la poin
e lorsque l'électrode est appliqué aux limites supérieures de cette
zone
; elle est épaissie, gonflée, lorsque les électrod
es sont placés plus bas. L'excitation de la moitié inférieure de la
zone
de la langue détermine de haut en bas : la rota
rement concave et la pointe rétractée derrière l'arcade dentaire.
Zone
de la tête et des yeux. - Les représentations cor
rtie postérieure du segment postérieur (III), de telle sorte que la
zone
excitable de la capsule interne se confine au gen
intéressent la région thalamique moyenne et le globus pallidus, la
zone
excitable empiète de nouveau sur le segment ant
. A la partie postérieure du segment postérieur, il existe donc une
zone
inexcitable qui apparaît à peu près à l'union d
ÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les lésions do la
zone
rolandique s'ac- compagnent do troubles de la
vateurs, en ce qui concerne la topographie exacte dans l'écorce des
zones
de la sensibilité générale. Pour la plupart des
partielles ou totales de la région rolandique, - c'est-à-dire de la
zone
dite motrice - déterminent chez le chien, le sing
énumérés plus haut, et les sens spéciaux sont toujours intacts. Les
zones
corticales des sens spéciaux -vision, ouïe, goût,
ux -vision, ouïe, goût, odorat - sont en effet trop éloignées de la
zone
rolandique pour participer à la lésion de cette d
TRES NERVEUX. Son interprétation. Localisation et étendue de la
zone
sensitive corticale. pourra produire une hémi
phénomène sera bien plus constant encore, si, outre la lésion de la
zone
rolandique, il en existe une seconde au niveau de
ératoires consécutives à la lésion volontaire ou accidentelle de la
zone
motrice au cours d'une trépanation, les hémiplégi
si prépondérant, qu'il désigne la région rolandique sous le nom de
zone
sensible (1 ! ihlsphare). La plupart des clinic
Lisso, Flechsig, IIenschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la
zone
motrice et la zone sensitive dans la région rolan
Ienschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la zone motrice et la
zone
sensitive dans la région rolandique; d'autres a
que Charcot, Ballet, Nothnagel, Ferrier, v. Monakow, localisent la
zone
sensitive dans une région distincte de la zone mo
nakow, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la
zone
motrice. Ferrier place la zone sensitive dans l
sitive dans une région distincte de la zone motrice. Ferrier place la
zone
sensitive dans la circonvolution de l'hippocamp
nière qui doit juger en dernier ressort. Pour Charcot et Ballet, la
zone
sensitive comprend toute la partie postérieure
hémisphère (lobes occipital et pariétal) et empiète en avant sur la
zone
rolandique. Nothnagel localise la sensibilité g
. Nous avons vu plus haut que les lésions strictement limitées à la
zone
rolan- dique entraînent des troubles moteurs et
RÉBRALE. 239 Mais on peut se demander si, comme le veut Tripier, la
zone
sensitive est exactement superposée à la zone m
e le veut Tripier, la zone sensitive est exactement superposée à la
zone
motrice, ou si, plus étendue que cette dernière,
gue nettement ce cas, des lésions traumatiques ou opératoires de la
zone
rolandique, dans lesquelles les troubles du sen
st pas démontré que le lobule pariétal inférieur fasse partie de la
zone
sensitive corticale. En résumé, les troubles du
de lésions de ce lobe. En d'autres termes, rien ne démontre que la
zone
sensitive corticale s'étende plus en arrière qu
tre que la zone sensitive corticale s'étende plus en arrière que la
zone
motrice. C'est là un point qui nécessite encore
n, si on enlève dans le milieu de chaque sphère visuelle une petite
zone
circulaire et symétrique d'un centimètre et demi
tres sensitivo-moteurs de la face interne de l'hémisphère (111), la
zone
visuelle corticale (V) et la zone corticale de l'
interne de l'hémisphère (111), la zone visuelle corticale (V) et la
zone
corticale de l'olfaction (0). Il occupe la lace
e. - Ce der- nier appartient, comme nous le verrons plus loin, à la
zone
du langage. On a signalé, il est vrai, l'hémian
intra- cérébral, et appareil visuel périphérique. Connexions de la
zone
visuelle corticale avec la zone du langage. - L
suel périphérique. Connexions de la zone visuelle corticale avec la
zone
du langage. - La partie antérieure des hémisphère
erveux visuel : bandelettes optiques chiasma, et nerfs optiques. La
zone
X teintée en gris représente la localisation de
ur ou major du corps calleux. - Fil, faisceau uncinatus réunissant la
zone
de 'Wernicke (T,,) il la zone de Ilroca Fa. - I
Fil, faisceau uncinatus réunissant la zone de 'Wernicke (T,,) il la
zone
de Ilroca Fa. - Ici, Ip, circonvolutions antérieu
p, pilier postérieur du trigone. - VI, carrefour ventriculaire. - 1 ?
zone
de Wernicke. II, bandelette optique. .1'11, chi
incts pour l'espace, les couleurs et la lumière, superposés dans la
zone
visuelle. L'hémiachromatopsie résulterait de la
iani et Seppili, beaucoup plus étendue que ne le croit Munk. Chaque
zone
auditive serait en outre, d'après ces auteurs,
res circonvolutions temporales; il émet en outre l'hypothèse que la
zone
auditive droite est surtout préposée à la percept
droite est surtout préposée à la perception des sons, tandis que la
zone
auditive gauche est différenciée pour les sons ve
en se basant sur ses recherches expérimentales, que FiG. 247. - La
zone
corticale sensitivo-motrice et la zone corticale
mentales, que FiG. 247. - La zone corticale sensitivo-motrice et la
zone
corticale auditive de l'homme. Mai, région sens
a partie antérieure, celle des sons bas la partie postérieure de la
zone
auditive. Quoi qu'il en soit, d'après les quelq
ots (Pc) (Fig. 248). Par leur réunion, ces trois centres forment la
zone
du langage (Fig. 248) zone hautement différenci
leur réunion, ces trois centres forment la zone du langage (Fig. 248)
zone
hautement différenciée, appropriée à la fonctio
la fonction très spécialisée du langage, analogue el comparable aux
zones
sensilivo-motrices, auditives, visuelles, etc.,
les, etc., que nous venons de passer en revue. Mais, tandis que les
zones
sensilivo-mo- trices, auditives, visuelles, son
s et représentées dans deux régions symétriques des hémisphères, la
zone
du langage est unique : elle siège dans l'hémis
irconvolution temporale. Les centres secon- daires qui composent la
zone
du langage sont irrigués par un même vaisseau,
images motrices d'articulation, ou centre de Broca, Fic. 248. - La
zone
du langage et ses trois centres d'images : A, cen
mots. Kilo relève do lésions bilatérales du lobe temporal. La
zone
du lan- gage. Ses trois contre^ secondaires
aires. 248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Toute altération do la
zone
du langage retentit sur le lan- gage intérieu
euses fibres d'association, avec la face interne du lobe occipital,
zone
de la vision générale. Ces trois centres sont int
ment un tout complexe, indissolublement uni. Toute altération de la
zone
du langage en un point quelconque de son étendue
pli courbe. 11 ne faudrait pas croire toutefois qu'une lésion de la
zone
du langage entraî- nât des altérations égales p
s toutes les formes d'apliasie relevant de lésions siégeant dans la
zone
du langage. La conservation des trois images, a
e, le langage intérieur est atteint. Toute lésion destructive de la
zone
du langage détermine l'aphasie; celle-ci peut ê
langage détermine l'aphasie; celle-ci peut être totale si toute la
zone
du langage est détruite, ou partielle; elle FIB
a lésion occupe la partie antérieure ou la partie postérieure de la
zone
du langage, suivant qu'elle détruit le centre des
auditif et visuel des mots sera altéré. La lésion siégeant dans la
zone
du langage, le langage intérieur sera toujours al
tres du langage seront intacts et la lésion siégera en dehors de la
zone
du langage, sur les faisceaux d'association qui r
que - aphasie motrice sous-corticale - b) le pli courbe gauche à la
zone
visuelle générale - cécité verbale pure - conne
angage intérieur est intact, car la lésion siégeant en dehors de la
zone
du langage, aucun des centres de représen- tati
éral d'aphasies pures, par opposition aux aphasies par lésion de la
zone
du langage - aphasies motrice et sensorielle cort
Cette division des aphasies en deux grandes classes, suivant que la
zone
du langage est lésée ou non, introduite en path
t normal, tandis que l'aphasique moteur ou sensoriel par lésion de la
zone
du langage pense avec des idées et non avec des
250 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 249. - Les connexions de la
zone
du langage, en particulier du pli courbe, 1° avec
1° avec les centres de Wernicke (TI) et de Broca (Fj) ; 2° avec la
zone
corticale de la vision générale; 3° avec les zo
(Fj) ; 2° avec la zone corticale de la vision générale; 3° avec les
zones
motrices des deux côtés. La partie anlérieure (te
nsversale, les deux tiers posté- rieurs à une coupe horizontale. La
zone
du langage et ses fibres sont colorées en rouge.
et la première circonvolution temporale au centre de Broca et et la
zone
motrice corticale du membre supérieur Un certain
1 deux plis courbes. - paf, fibres rehaut le pli courbe gauche à la
zone
motrice du côté opposé. - pet" fibres reliant l
ion frontale droite. -pco, fibres reliant le pli courbe gauche à la
zone
corticale visuelle du môme côté. - pco', fibres
lle du môme côté. - pco', fibres reliant le pli courbe gauche il la
zone
corticale visuelle du côté opposé et passant pa
ntraires il une pareille hypothèse. Dans l'aphasie par lésion de la
zone
du langage - aphasie motrice ou senso- rielle l
le langage parlé. Dans l'aphasie par lésion située en dehors de la
zone
du langage - aphasie motrice sous-corti- cale,
ns mar- cher ensemble dans les aphasies relevant d'une lésion de la
zone
du langage. Comment pouvoir expliquer avec l'hy
epsie partielle peut faire défaut dans les lésions corticales de la
zone
motrice, et, en outre, - c'est là un fait aujou
classique, peut se rencontrer dans des lésions sous-corticales de la
zone
motrice. Etant donnée la disposition convergent
égénérescences secondaires à la suite de lésions corti- cales de la
zone
rolandique, que les zones dégénérées occupent dan
s à la suite de lésions corti- cales de la zone rolandique, que les
zones
dégénérées occupent dans le seg- ment postérieu
rière du genou qu'ils proviennent de régions plus supérieures de la
zone
rolandique. Lorsque le genou et la parlie adjac
t bulbaires, siégeant sur le trajet des fibres qui, provenant de la
zone
motrice, - neurones de premier ordre, - vont ac
on corticale et vont s'arbo- riser dans la corticalité rolandique -
zones
sensitives corticales. Or, il résulte des reche
es motrices pour aller s'arboriser dans les territories cor- ticaux
zone
sensitivo-motrice - d'où émanent ces dernières.
d'Azyr. VCsl, veine du corps strié. - n, ventricule latéral. - Zr,
zone
réticulée du thalamus. 11, bandelette optique.
- tsc, tænia semicircularis. - Sgc, substance grise centrale. - Zr,
zone
réticulée. 272 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e limi- tante externe, séparée de la lame médullaire externe par la
zone
réticulée et sont croisées à angle droit par le
. 142 à 162). En dedans de la capsule interne, entre celle-ci et la
zone
réticulée de la couche optique, on trouve alors
pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr.
zone
réticulée du Ihalamus. - If, bandelette optique.
contient les fibres commissurales, saines, du trigone cérébral. La
zone
dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weiger
de la circonvolution de 1 hippocampe Dégé- nérescence du tri-
zone
cérébral : al- \ eus, fimbria, piliers postér
psule interne avec le pied du pédon- cule cérébral ; l'aspect de la
zone
réticulée et de la lame médullaire externe du t
dullaire externe du thalamus, la continuation de cette lame avec la
zone
de Wernicke et la courbure que le pulvinar décr
icircularis. Vsph, corne sphénoïdale. - vt, voile terminale. - Il',
zone
de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette opt
h, corne sphénoïdale. - vt, voile terminale. - Il', zone de \\'CI Zr,
Zone
réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS
nt à la suite de lésions de la corticalilé cérébrale [lobe frontal,
zone
rolandique (cas Schweigoffer, Fig. 116 à 121, p
parait subir aucune espèce de modification; on n'y rencontre pas de
zones
d'atrophie limitée avec disparition, soit des f
toenia semi-circularis. - VSl, ventricule du septum lucidum. - Zr,
zone
réticulée. Toutes les fibres caudées ne travers
lamus. - lsc, taenia semi-circularis. - llle, toenia thalami. - Zn,
zone
réticulée du thalamus. surtout constituée par d
de la région thalamique de la capsule interne en particulier de la
zone
de transition qui sépare la région thalamique d
lier postérieur du trigone cérébral. lsc, toenia semi-circularis. IV,
zone
de Wernicke. culo-caudées. Contrairement au fai
e, en particulier du faisceau géniculé (Ci(g). Dégénérescence de la
zone
réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (L
LIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 335 6) Une dégénérescence de la
zone
réticulée, de la lame médullaire externe (Lme) et
e, du segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), de la
zone
de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Dégénéres
Marchi. 2/1 grandeur nature. Fic. 300. FiG. 300. - Cas Ronse. La
zone
de dégéné- rescence du système de fibres striée
au (NR), qu. lfait suite à la dégénérescence du champ de Forel. Ces
zones
dégénérées diminuent rapidement d'intensité de
corps de Glugge) for- tement colorés par l'osmium et entourés d'une
zone
de dégénérescence qui s'étend à la partie moyen
u niveau (Fig. 303 et or), soit en arrière (Fig. 304 et 305), de la
zone
capsulaire dégénérée (Cip (d)), puis s'irra- di
ne (Cip), soit en avant (Fig. 304), soit au niveau (Fig. 30a) de la
zone
capsulaire dégénérée (Cip (d)) puis s'irra- die
Ces coupes montrent la situation et l'étendue du foyer thalamique, la
zone
de dégé- nérescence qui l'entoure et les dégéné
t les conséquences. Dégénérescence des fibres radiées (fr) et de la
zone
réticulée (Zr), du thalamus, des radiations str
thalamus, des radiations strio-thalamiques (Rsth) en arrière de la
zone
capsulaire dégénérée (Cip, d), du faisceau lent
ièrement manifeste dans la région du globus pallidus adjacente à la
zone
capsulaire dégénérée. 2° La lésion thalamique a
yau interne, mais nous rattacherons au noyau externe du thalamus la
zone
grillagée ou réti- culée, le noyau semi-lunaire
et à la circonvolution limbique, et considère cette région comme la
zone
corticale du noyau antérieur. Nos recherches, bas
ularis. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. Zr,
zone
[réticulée du thalamus. - II, bandelette optiqu
ive de ces régions (Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, la
zone
corticale du noyau interne correspondrait aux d
e la lame médullaire interne et se rapproche par sa structure de la
zone
réticulée ou grillagée. - Au-dessus de ce noyau,
on étendue et dont le sépare la lame médullaire externe (Lmc) et la
zone
réticulée ou grillagée (Zr). Cette dernière ne co
de la calotte. Le secteur moyen de l'hémisphère représente donc la
zone
corlicale du noyau externe; les recherches expo
et deux noyaux accessoires : le noyau semi-lunaire de Flechsig et la
zone
réticulée ou grillagée. La Lame médullaire ex
ur même du noyau externe et du pulvinar, et sépare de ces noyaux la
zone
réticulée ou gril- lagée (Zr). Cette dernière,
n arrière, dans la région du pulvinar, où elle concourt à former la
zone
de Wernicke (W). Etudiée sur les coupes horizon
s accusée dans la région du pulvinar. Ici elle refoule en dehors la
zone
réticulée et le segment rétro-lenticulaire de l
ame médullaire externe s'épaissit considérablement et constitue une
zone
de fibres très compactes connue sous le nom de
t constitue une zone de fibres très compactes connue sous le nom de
zone
, de champ triangulaire de Wernicke (\V), (dreieck
naire de Flechsig, dépendance du noyau externe. Ses rapports
Zone
réticulce,de- pcuuance du noyau externe. Se
ous-optique et en particulier sur les radiations du noyau rouge. 2.
Zone
réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29, 43). La zon
noyau rouge. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29, 43). La
zone
grillagée se rat facile au noyau externe (Ne) e
Les mailles de ce réseau sont remplies par la substance grise de la
zone
réticulée ou grillagée, laquelle communique ain
ance grise du noyau externe et du pulvinar. On peut considérer a la
zone
réticulée deux segments : l'un antérieur, compr
interne (Cip), l'autre postérieur, en rapport avec le pulvinar, la
zone
de Wernicke (W) et le segment rétro-lenticulair
oisinage du genou de la capsule interne, le segment antérieur de la
zone
grillagée ou réticulée augmente peu à peu d'épais
a incerta du même auteur (Zi) (Fig. 32. Le segment postérieur de la
zone
réticulée est beaucoup plus épais que son segme
eau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W,
zone
de 1\'erniclce. - Zi, zona incerla de Forel. -
. - Zi, zona incerla de Forel. - rieure du segment postérieur de la
zone
réticulée disparait bientôt (Fig. 47, p. 69), e
) et le faisceau de Turck (FT) (Fig. 312). Ces deux segments. de la
zone
réticulée constituent chez le chat, le chien, le
sentent, suivant les régions, un groupement un peu spécial. Dans la
zone
réticulée ou grillagée, les cellules nerveuses
ce fondamentale abondante qui rem- plit toutes les mailles de celte
zone
. Çà et là, on trouve quelques rares cellules mu
rieur du noyau externe se rapproche par sa structure de celle de la
zone
réticulée : les petites cellules sont réunies e
pulvinar est adhérente dans toute son étendue et recouverte par la
zone
réticulée ou grillagée (Zr) les segments rétro-
PTIQUE. 363 FIG. 313. - Le pulvinar, le corps genouillé externe, la
zone
de Wernicke, le segment rétrolenticulaire de la
pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - 1 ?
zone
de 1\'er- nicke. sagittale et proviennent en
ip) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne, traversent la
zone
réticulée (Zr) et la lame médullaire externe (L
tum zonale dégénère en effet, non seulement après destruction de la
zone
corticale visuelle, mais encore dans les cas d'ab
Voy. p. 65), proviennent du lobe occipital, et en particulier de la
zone
visuelle et s'irradient dans les régions inféri
andelette optique (Bu). Profondément enclavé dans le pulvinar et la
zone
de Wer- nicke (\V), le corps genouillé externe
vinar avec la corti- calité cérébrale, en particulier avec la
zone
visuelle. Corps genouillé externe. Son aspe
antérieur (Br Qa) (Fig. 47, p. 69) et par le segment postérieur de la
zone
réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'insinuant entr
ercule quadrijumeau antérieur (BrQa) ou des fibres verticales de la
zone
de Wernicke Ces dernières fibres présentent la mê
xterne. 368 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses connexion avec la
zone
visliell corticale. Corps genouillé interne
bres visuelles centrales se réunissent en fascicules, traversent la
zone
de Wernicke et la zone réticulée du pulvinar, p
s se réunissent en fascicules, traversent la zone de Wernicke et la
zone
réticulée du pulvinar, puis entrent dans le seg
ouche sagittale du lobe occipital. Elles se rendent ensuite dans la
zone
visuelle corticale, c'est-à-dire dans le cuneus
tico-genouillés externes) (voy. p. 67), qui nées des cellules de la
zone
visuelle corticale s'arborisent dans le corps g
rieure, les noyaux externe (Ne), interne (Ni), antérieur (Na) et la
zone
réticulée (Zr) ; dans les régions thalamiques m
s de nombreuses libres radiées qui s'en- chevêtrent au niveau de la
zone
ré)icuIée(Fig. 31 et 31G) puis remontent dans la
; d'après Bechterew, consécutivement à l'ablation du lobe temporal (
zone
auditive, du chien, méthode de Marchi) avec lés
nes visuels corticaux, émellenl des fibres qui s'arborisent dans la
zone
visuelle corticale el reçoivent les arborisatio
ons d'argent, et cet auteur l'a comparée à l'aspect que présente la
zone
moléculaire de l'écorce cérébel- leuse vue sur
ui passe en avant du noyau rouge et dans le sens transversal, de la
zone
réliculée du thalamus à la sub- stance grise ce
strié. - VI, ventricule latéral. - T'3, troisième ventricule. - Zr,
zone
réticulée. - Il, bandelette optique. 396 ANAT
la zona incerla de Forel (Zi). Il s'agit ici d'une dépendance de la
zone
réticulée du thalamus qui longe entre les deux
es entre-croisées dans tous les sens, et se distingue surtout de la
zone
réticulée thalamique par l'absence de gros fasc
ième ventricule; l'autre, externe, plus mince, en connexion avec la
zone
réti- culée du thalamus, qui sépare le faisceau
capsule de fibres, et se continue en arrière avec le segment de la
zone
réticulée qui s'insinue entre le faisceau de Tiir
sphénoldale. - V3, troisième ventricule. - Zi, zona in- rerta. Zn,
zone
réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS 1N
ventricule. - U, circonvolution du crochet. - Zi, zona incerta. Zr,
zone
réticulée de la couche optique. - II, bandelette
tubercule olfactif, soit au- tour des cellules mitrales et dans la
zone
moléculaire du bulbe olfactif (v. Kolliker). Qu
mamil- laires directes et croisées, il établit les connexions de la
zone
corticale de l'olfaction avec le cerveau interm
ntra- cérébral, et appareil visuel périphérique. - Connexions de la
zone
visuelle corticale avec le pli courbe et la zon
- Connexions de la zone visuelle corticale avec le pli courbe et la
zone
du langage. La partie antérieure des hémisphères
eux visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et nerfs optiques. La
zone
teintée en gris représente la localisation de l
e et externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - F3,
zone
de Broca. F'3, troisième circonvolution frontale
eur ou major du corps calleux. - Fu, faisceau uncinatus réunissant la
zone
de Wernicke il la zone de Broca. - la, Ip, circ
leux. - Fu, faisceau uncinatus réunissant la zone de Wernicke il la
zone
de Broca. - la, Ip, circonvolutions antérieures e
p, pilie postérieur du trigone. - n. carrefour ventriculaire. - 1V,
zone
de Wernicke. A77, ner optique. - Il, bandelette
it' tales(CSgt) du lobe occipito-temporal, puis s'irradient dans la
zone
visuelle corlicale qui occupe plus particulière
polymorphes et les couches des cellules pyrami- dales géantes de la
zone
visuelle corticale. L'étude des dégénérescences
nérescences secondaires, on constale toujours que les limites d'une
zone
même complètement dégénérée ne sont jamais nette-
inea), nom généralement réservé depuis les frères Weber à la petite
zone
allongée située au-dessus de la fossette supérieu
e sur le plancher des diverticules laté- raux. Elle porte le nom de
zone
acoustique, d'area aCll5tica (Aa, Fig, 352 et 3
sous le nom de tubercule acoustique. Toute la partie moyenne de la
zone
acoustique est en général recouverte par les st
sont apparentes que dans la partie externe de leur trajet, dans la
zone
acoustique. Dans l'un et l'autre cas, la striat
striation longitudinale. Les stries recouvrent dans ce cas toute la
zone
auditive, interrompent les sillons latéraux, vo
losse). L'aile blanche exlerne n'est que la partie inférieure de la
zone
acous- tique ; elle forme un petit triangle, bl
piques sériées, on étudie les rapports qu'affectent les différentes
zones
de Retzius avec la structure du bulbe, on const
e pour se continuer avec le pédoncule cérébelleux inférieur, par la
zone
auditive, par les stries auditives qui recouvrent
par la zone auditive, par les stries auditives qui recouvrent cette
zone
et qui contiennent le tubercule acoustique, enf
aisse couche de substance blanche, dans laquelle on distingue trois
zones
nettement différenciées Bibliothèque des Intern
tricule. - ¡'l', voie pédoncu- laire. - VT, valvule de Tarin. - Il,
zone
de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf
doncu- laire. - VT, valvule de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr,
zone
réticulée. - III, nerf moteur oculaire commun.
ticulée. - U, circonvolution du crochet - Top, voie pédonculaire 11',
zone
de Wernicke. - ? bandelette optique. - ? nerf m
alotte, la formation réticulée n'apparaît que sous l'aspect de deux
zones
curvilignes situées l'une en avant, l'autre en
en avant, l'autre en arrière du pédoncule cérébelleux supérieur. La
zone
antérieure (coupe P 2, Fig. 393), mince et allo
fait défaut en tant que noyau plus ou moins nettement délimité. La
zone
postérieure est plus petite que l'antérieure, ell
chève et que la commissure de Wernekink diminue, puis disparaît, la
zone
postérieure s'accroit, atteint en dedans le raphé
ure s'accroit, atteint en dedans le raphé, puis se fusionne avec la
zone
anlérieure. Dans sa partie interne particu- Ses
i et mal délimité en dehors; il est adossé clans celle région à une
zone
parti- Fig. 395. - La formation réticulée de la
au (Vsd) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), il existe une
zone
irrégulière de substance grise, à laquelle abou
fsmi), qui traversent le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Cette
zone
constitue le corps ju,r;ta-l'esti(ol'/1lC (Cj),
peut de ce fait considérer à la formation réticulée deux régions ou
zones
: la région interne, longue et étroite, située le
fet ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 669 au-dessous de la
zone
des stries acoustiques (Coupe SI bis, Fig. 409, p
é sur cette coupe par un faisceau compact de fibres entourées d'une
zone
de substance grise. Les fascicules du corps jux
. La périphérie de la formation réticulée grise est occupée par une
zone
de fibres longitudinales fortement colorées par
ERVEUX. La couche externe couche intermédiaire, aux confins de la
zone
moléculaire où elles se dis- posent, en particu
longements protoplasmiques, au nombre de 3 à 6, se dirigent vers la
zone
moléculaire et s'y ramifient très irrégulièrement
gé de la jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) flk.
zone
granuleuse externe embryonnaire. - ms, zone moléc
après G. Retzius.) flk. zone granuleuse externe embryonnaire. - ms,
zone
moléculaire. - Iiiiiite interne de la zone molécu
xterne embryonnaire. - ms, zone moléculaire. - Iiiiiite interne de la
zone
moléculaire. ci/, ram if1cfltion du court cylin
v. 1\01- liker) siègent de préférence dans la partie profonde de la
zone
molécu- laire, mesurent 10 à 12 u. chez l'homme
empanachée. - n, fibres grimpantes. - ne, cellule névroglique de la
zone
des grains. ? grande cellule isolée du type Il de
llules de Purkinje, traversent radiairement toute l'épaisseur de la
zone
moléculaire et s'insèrent à la pie-mère par un
us jeunes, que chez les gens âgés. Elles traversent radiairement la
zone
moléculaire, éloignées les unes des autres d'une
de corbeilles terminales; 3° les cellules du type II de Golgi de la
zone
granuleuse. D'après Cajal, les cylindres- axes
ient à former les fibres radiées et les libres longitudinales de la
zone
moléculaire. Les fibres centripètes ou termina/
. Les fibres grimpantes sont des fibres épaisses, qui traversent la
zone
granuleuse et la zone intermédiaire en décrivan
s sont des fibres épaisses, qui traversent la zone granuleuse et la
zone
intermédiaire en décrivant un trajet plus ou moin
de 22 jours. Méthode rapide de Golgi (d'après t.. ILelziua). il k,
zone
granuleuse externe uIuJJ1'yunllail'u' - ils. xunc
IuJJ1'yunllail'u' - ils. xuncitiulecul.ire. igm, limite inlerne de la
zone
l1lulèlatlail'u, - i ? libres grimpantes de Caj
variable suivant les régions. Mince au niveau du verrais et dans la
zone
de transition entre le vermis et les hémisphère
dans celle région que Stilling, il tort à notre avis, a décrit deux
zones
d'entre-croisement, l'une interne, l'autre exte
'entre-croisement, l'une interne, l'autre externe, séparées par une
zone
intermédiaire (innerc et aussere Leur-» faiscea
èmes entourent le corps dentelé et ses noyaux acces- soires de deux
zones
concentriques, dont l'une, en contact immédiat
mots la synonymie des termes anatomiques qui seront employés. La
zone
des fibres qui borde immédiatement la substance g
tement la substance grise, cornes et commissure, a reçu les noms de
zone
marginale de Westphal, ou de zone cornu- commis
et commissure, a reçu les noms de zone marginale de Westphal, ou de
zone
cornu- commissurale ; elle répond à la zone radic
nale de Westphal, ou de zone cornu- commissurale ; elle répond à la
zone
radiculaire antérieure de Flechsig ; c'est, ain
suivant les niveaux, mais encore au même niveau suivant les cas. La
zone
qui est atteinte dans le tabes incipiens a été dé
r le nom de bande- lette externe ; ainsi que nous le verrons, celte
zone
varie beaucoup d'éten- due et de forme suivant
coup d'éten- due et de forme suivant les niveaux ; elle répond à la
zone
radiculaire moyenne de Flechsig. Il existe en
la zone radiculaire moyenne de Flechsig. Il existe en arrière une
zone
respectée au début du tabes, c'est le champ pos
but du tabes, c'est le champ postéro-externe, portion interne de la
zone
radiculaire postérieure de Flech- siy. La zon
tion interne de la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La
zone
marginale postérieure ou zone de Lissauer, n'a pa
laire postérieure de Flech- siy. La zone marginale postérieure ou
zone
de Lissauer, n'a pas besoin d'être définie ; c'
uer, n'a pas besoin d'être définie ; c'est la portion externe de la
zone
radiculaire postérieure de Flechsig. Dans la
continue avec un faisceau cunéiforme adossé à la périphérie dans la
zone
de transi- tion entre le renflement lombaire et
s faisceaux verticaux de la corne postérieure de Kôllikei. Enfin la
zone
d'entrée des racines, qui coupe en deux la zone d
Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des racines, qui coupe en deux la
zone
de Lissauer, n'a pas besoin d'être définie; dan
t lombaire, où la tête de la corne est presque superficielle, cette
zone
est très courte ; mais elle for- me un long tra
hérie. En avant, ce trian- gle se relie par des fibres isolées à la
zone
cornu-commissurale. Dans cette zone il ne reste
lie par des fibres isolées à la zone cornu-commissurale. Dans cette
zone
il ne reste qu'un très petit nombre de fibres dis
es et les faisceaux radiculaires verticaux, sont détruits, mais les
zones
de Lissauer et le réseau des fibres fines de la
rés par un réticulum de substance grise. Ces fibres endogènes de la
zone
cornu-commis- surale s'étendent très peu en arr
verticale d'un champignon à pied bulbeux. Les fibres endogènes de la
zone
cornu-commissurale ne s'étendent pas le long de
spect est semblable, mais le triangle et le faisceau conservé de la
zone
cornu-commissurale ont encore augmenté de volume
a séparatiou entre le triangle médian et le faisceau conservé de la
zone
cornu-radiculaire tend à s'accentuer. Le triangle
ulaires. Le long du septum, dans son 1/3 antérieur, il se forme une
zone
plus pâle, plus riche par conséquent en fibres
cordons postérieurs, d'autant plus nombreuses qu'on s'approche de la
zone
cornu-commissurale; ces fibres sont également p
ince ligne de fibres accolées au septum.Les fibres conservées de la
zone
cornu-commissurale ont accentué leur tendance à
antérieure en formant une traînée à contours vagues qui part de la
zone
commissurale, oc- cupe la région moyenne de cha
ec les deux tiers antérieurs du septum. Les fibres conservées de la
zone
cornu-commissurale sont nettement rejetées de côt
urale sont nettement rejetées de côté et la partie médiane de cette
zone
est très pâle, presque complètement dégarnie de
lètement dégarnie de fibres. Les fibres grosses disséminées dans la
zone
scléreuse n'ont guère varié depuis la 5e lombai
dian ; le premier est nettement tranché, le second est plus flou.La
zone
dégénérée forme dans son ensemble une équerre, do
ne, et dont la branche transversale effilée touche par sa pointe la
zone
d'entrée de la racine postérieure.Les fibres endo
radiculaires ver- ticaux de la corne postérieure reparaissent. Les
zones
de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne p
e ne changent pas d'aspect à ce niveau. Les fibres conservées de la
zone
cornu-radiculaire ont diminué de nombre ; elles
le situé comme au niveau de la racine précédente. 2e Lombaire. - La
zone
remplie par les libres radiculaires a augmenté de
réticulum myélaniqrce de cette colonne parait absolument normal. La
zone
cornu-radiculaire dont la portion ÉTUDE ANATOMI
es. . 10e Dorsale. On assiste, à ce niveau, à l'envahissement de la
zone
com- missurale par de grosses fibres, qui sont
niveau de la moitié antérieure du bord externe de la sclérose, une
zone
mixte où les fibres se mélangent à parties égal
ette pâle s'avançant en dedans et en arrière dans l'épaisseur de la
zone
sclérosée et se terminant insensiblement vers le
confirmer les données précédentes, en particulier l'intégrité de la
zone
de Lissauer et du réticulum des colonnes de Cla
e postérieure. Sont conservés : 1° le triangle sacré médian; 2° une
zone
en bordure, épaisse le long de la commissure et m
postérieure qu'elle accompagne en arrière jusqu'à la pointe; 3° les
zones
de Lissauer et le réticulum fin de la corne pos
entrée des racines par un angle très effilé de sclérose légère. Les
zones
conservées sont les mêmes qu'à la 3e sacrée.
e dans le cas de dégénération de la queue de cheval, on voit ici la
zone
médiane conservée devenir de plus en plus volumin
qu'il existe dans la moelle foetale. Le prolongement antérieur de la
zone
sclérosée devient à ce niveau de plus en plus é
ans le faisceau cunéiforme. A ce niveau on voit très nettement que la
zone
cornu-commissurale est infiniment mieux conserv
s la dégénéres- cence secondaire, d'où l'on peut conclure que cette
zone
est formée, au moins en majeure partie, par des
ostéro-externes, sont conservées au début du tabes. 2e Lombaire. La
zone
scléreuse prend ici l'aspect d'un quadrilatère, s
u-dessous. Par son petit côté interne ce quadrilatère s'adosse à la
zone
scléreuse du côté opposé, dont le séparent deux
Le grand côté antérieur est maintenu à distance de la corne par une
zone
margi- 26 NAGEOTTE nale qui n'existe pas dans
dans l'épaisseur des faisceaux cunéiformes. 4r° Lombaire. Les deux
zones
scléreuses sont ici séparées sur la ligne mé- d
t de leur angle postéro-interne est bien plus nette; le corps de la
zone
sclérosée est plus mince à sa partie moyenne et i
s au- tres et porte à son extrémité un petit crochet dirigé vers la
zone
d'entrée des racines. A gauche la figure est sy
e très mince et du trajet d'entrée de la racine postérieure par une
zone
plus large, qui semble représenter ici en petit l
augmente de volume tout en gardant la même forme. 8e Cervicale. La
zone
scléreuse est devenue très large. En dedans elle
ises ; elle est sépa- rée de la corne sur toute son étendue par une
zone
marginale de fibres saines, mais elle va touche
ue par une zone marginale de fibres saines, mais elle va toucher la
zone
d'entrée par son angle externe ; en arrière son
postéro-externe du renflement lom- baire. 7n Cervicale. Les deux
zones
sclérosées se rapprochent l'une de l'autre par
e le noyau cunéiforme, séparé du noyau et de la périphérie par deux
zones
d'aspect normal. Insensiblement la sclérose s'a
rimitif d'une capsule surrénale, il existait une dégénérescence des
zones
de Lissauer et des fibres fines de la corne pos
s de la corne postérieure ; dans mon observation, au contraire, les
zones
de Lissauer sont absolument intactes, de même.q
men ; en effet, si les fibres fines, et en particulier celles de la
zone
de Lissauer, provenaient des racines supérieure
: a) fibres horizon- z tales, b) fibres verticales disséminées, c)
zone
de Lissauer ou fibres verticales conglomérées.
ligeant les débris de myéline altérée). Zm, faisceau endogène de la
zone
marginale de Westphal ; 1'G, triangle de Gombault
ale de Westphal ; 1'G, triangle de Gombault et Philippe ; ZLe, ZLi,
zone
de Lissauer, portions externe et interne ; G.R.,
s externe et interne ; G.R., substance gélatineuse de Rolando ; SpR
zone
: spongieuse de la substance gélatineuse ; Spa, S
ndo ; SpR zone : spongieuse de la substance gélatineuse ; Spa, Spp,
zones
antérieure et postérieure de la substance spongie
ieure. On remarquera les ponts formés entre les deux portions de la
zone
de Lissauer par des fascicules obliques de fibr
existe encore, mais fort peu, dans le cordon de Goll (fig. 3). c)
Zones
de Lissauer ou fibres endogènes fines verticales
nes, et c'est ci tort qu'elles sont comptées actuellement parmi les
zones
radiculaires postérieures. -Cette proposition d
n au niveau des racines malades qu'au niveau des racines saines, la
zone
de Lissauer ne diffère absolu- ment pas de ce q
l'observation I avec la réalité d'une continuité entre les fibres des
zones
de Lissauer les fibres fines des racines postér
nes des racines postérieures serait la suivante : les fibres de ces
zones
seraient non pas afférentes, mais constitueraient
médullaire, et c'est pourquoi il ad- mit que les fibres fines de sa
zone
marginale n'étaient autre chose que la prolonga
le de trouver le plus petit doute exprimé sur la constitution de la
zone
en question. Sa nature exogène est un fait tellem
a recevoir, si bien que, sur une coupe transversale de la moelle la
zone
de séparation entre la portion extra-médullaire
avance plus ou moins loin en dehors du plan de la pie- mère ; cette
zone
, répondant à l'espace démyélinisé de chacune des
effectivement la continuité d'une fibre d'un bord l'autre de cette
zone
de démarcation, et cela d'autant plus qu'à ce n
lleurs été fort bien décrite par Lissauer. Il existe entre les deux
zones
de Lissauer des sortes de ponts formés par des fa
prend pour des fibres radiculaires, pénétrer effectivement dans les
zones
de Lissauer. Si l'on ajoute à cela que souvent
opinion des plus contestables,actuellement classique, concerne les
zones
de Lissauer ; personne ne doute en effet que la d
de Lissauer ; personne ne doute en effet que la dégénération de ces
zones
ne soit, comme le dit Pierre Marie dans ses Leçon
, dans le mémoire où il dé- crit cette lésion fait remarquer que la
zone
qui porle aujourd'hui son nom est prise dans le
UDE ANATOMIQUE DES COUDONS POSTERIEURS 35 et en particulier que les
zones
radiculaires et le réseau des colonnes de Clark
es de cette catégorie parmi ses 13 observations, la lésion de cette
zone
était tellement peu évi- dente que Lissauer n'o
postérieurs et des racines était « aussi avancée que possible », la
zone
en question contenait encore de 1/10 à 1/8 de l
ées pour s'expliquer à lui-même la conserva- tion relative de cette
zone
marginale qu'il croit être de nature exogène. P
disproportion entre la lésion des cordons postérieurs et celle des
zones
de Lissauer dans le tabes. La photographie repr
e dans le tabes incipiens qui fait l'objet de l'observation II, les
zones
en question sont absolument in- tactes ; il en
x cas anciens que j'ai revus à cette intention, j'ai trouvé que les
zones
de Lissauer tranchaient par leur inté- grité re
n interne sont encore remarquable- ment nombreuses, si bien que ces
zones
qui à l'état normal tranchent sur le reste de l
le tabes avancé, j'ai constaté des lésions très peu avancées de ces
zones
. ' En voilà plus qu'il n'en faut pour montrer q
à plus qu'il n'en faut pour montrer que dans le tabes la lésion des
zones
de Lissauer est tardive et que, de plus, elle n'a
que, de plus, elle n'atteint jamais l'intensité de la sclérose des
zones
radiculaires. La lésion des zones de Lissauer c
is l'intensité de la sclérose des zones radiculaires. La lésion des
zones
de Lissauer constitue en réalité dans le labes
ivant certaines circonstances accessoires. Si la dégénérescence des
zones
de Lissauer n'est pas proportionnelle à l'inten
36 NAGEOTTE . corne postérieure. Les cas de tabes anciens où les
zones
de Lissauer sont le plus altérées, sont aussi c
érieure ; dans la moelle D, représentée pi. VII. fig. 4 et 7 où les
zones
de Lissauer sont relalivement peu altérées, le ré
tous les cas de tabes anciens. Enfin dans l'observation II, où les
zones
de Lissauer sont intactes, le réticulum de la c
it conservé. Pour résumer cette longue discussion, je dirai que les
zones
de Lissauer sont constituées par des fibres end
hilippe, et un faisceau situé dans la région cornu- commissurale ou
zone
marginale de Vestphal. Ces deux formations, qui
e sacré médian, est seule dégénérée à l'exclusion du faisceau de la
zone
cornu-commissurale. Je reproduis ici (fig. 4 à
en 0 un faisceau cunéiforme qui se continue de chaque côté avec les
zones
radiculaires postérieures et qui représente la pr
elle. Leur observation n'est donc pas propice à la délimitation des
zones
endogènes dans le cône ter- minal. b) Faiscea
on des zones endogènes dans le cône ter- minal. b) Faisceau de la
zone
cornu-commissurale ou zone marginale de West- p
le cône ter- minal. b) Faisceau de la zone cornu-commissurale ou
zone
marginale de West- plial. L'étudedece faisceau
out à fait indécises ; dans le grand nombre de fibres qui, de cette
zone
marginale, paraissent (1) P. FLECHsiG, Die Leit
l partir de la 1e sacrée. En tout cas les fibres conservées de la
zone
marginale dans l'observa- tion I ne dépassent j
s (pl. VI), ce qui prouve que dans cette affection il y a toute une
zone
conservée entre la bandelette externe et la cor
une zone conservée entre la bandelette externe et la corne ; cette
zone
, zone radicu- laire antérieure de Flechsig, ne
one conservée entre la bandelette externe et la corne ; cette zone,
zone
radicu- laire antérieure de Flechsig, ne contie
beaucoup la majorité. Dans les tabes aussi avancés que possible, la
zone
de Westphal semble encore plus dense que dans l
les unes des autres les fibres restées saines et qui transforme une
zone
large à fibres endogènes clairsemées en une zone
qui transforme une zone large à fibres endogènes clairsemées en une
zone
étroite, à fibres endogènes plus tassées. Tel
iculaires; elles se concentrent néanmoins plus spécialement dans la
zone
de Lissauer, dans la limite interne de la sub-
do,et dans la portion profonde du cordon postérieur (champ ventral,
zone
cornu-commissurale de Dejerine) ». B. FIBRES EN
rrière en avant, la région spongieuse postérieure, au contact de la
zone
de Lissauer, la substance gélatineuse de Roland
apports existent entre la disparition de ces fibres et celles de la
zone
de Lissauer. Un point à signaler tout particuli
; je n'insisterai pas sur la diminution progressive de volume de la
zone
sclérosée dans son passage à travers la région do
ieures épargnées ; mais je voudrais étudier, à l'intérieur de cette
zone
sclérosée, les subdivisions qui résultent de l'
le, à quatre points qui sont : la bandelette externe de Pierret, ou
zone
radicu- laire moyenne de Flechsig dans les cord
iculaires des cordons postérieurs autres que la bandelette externe (
zone
radiculaire antérieure, champs postéro-externes,
bas de la moelle. Les fibres endogènes sont complètement intactes (
zones
de Lissauer, triangle médian sacré, zone margin
nt complètement intactes (zones de Lissauer, triangle médian sacré,
zone
marginale de Westphal, réseau fin de la corne p
nt dans ce cas, il existe en outre des atteintes portées aux autres
zones
radicu- laires, qui rendent ce cas peu propice
rquer d'abord que cette disposition est exclusivement limitée ci la
zone
de transition située entre la région dorsale et
ne postérieure, elle envoie seulement un petit prolongement vers la
zone
d'entrée des racines posté- rieures. En un mot,
ion de la bandelette externe est complètement inexacte. En effet la
zone
scléreuse est bien ici la bandelette externe, l
tte externe, le fait n'est pas douteux ; or la situa- tion de cette
zone
scléreuse ne varie pas d'un bout l'autre de la mo
STÈMES DANS LES ZONES RADICULAIRES. Cette disposition montre que la
zone
de la bandelette externe est prin- cipalement o
s mêmes racines postérieures, lesquels se canton- nent soit dans la
zone
radiculaire antérieure, soit dans la zone radicul
canton- nent soit dans la zone radiculaire antérieure, soit dans la
zone
radiculaire postérieure de la moelle. En un mot
ituent les fibres, trop peu nombreuses, qui sont conservées dans la
zone
scléreuse. D'autre part, la zone radiculaire anté
euses, qui sont conservées dans la zone scléreuse. D'autre part, la
zone
radiculaire antérieure n'est pas réservée à ces
Il ne reste donc pour leur passage que le champ postéro-externe ou
zone
radiculaire postérieure. Pour vérifier cette hy
les cordons postérieurs les fibres longues des racines passent par la
zone
radiculaire postérieure ou champs postéro exter
par la zone radiculaire postérieure ou champs postéro externes, la
zone
radiculaire moyenne, ou bandelette de Pierret,
tte de Pierret, étant réservée au passage des fibres moyennes et la
zone
radiculaire antérieure, ou zone marginale de West
u passage des fibres moyennes et la zone radiculaire antérieure, ou
zone
marginale de West- phal, étant occupée exclusiv
yennes. Toutefois tous les systèmes de fibres qui passent par cette
zone
paraissent avoir pour propriété commune de résist
erai remarquer encore que, sui- vant Flechsig, le développement des
zones
radiculaires postérieures et des cordons de Gol
hypothèse au sujet du passage des fibres longues des raimes par les
zones
radiculaires postérieures ; mais il a depuis re
s transversales de tous ces Lemboités se trouvent comprises dans la
zone
radiculaire postérieure, tandis que les branche
ans la bandelette de Pierret et, pour une plus faible part, dans la
zone
marginale de Westphal. Dans chaque bande radicula
a représentant la superposition des territoires radiculaires et des
zones
systématiques au niveau de la 4° lombaire. Les zo
ulaires et des zones systématiques au niveau de la 4° lombaire. Les
zones
endogènes sont en noir ; Z m, faisceau endogène
re. Les zones endogènes sont en noir ; Z m, faisceau endogène de la
zone
marginale de Westphal ou zone radicu laire anté
n noir ; Z m, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ou
zone
radicu laire antérieure ; T s, fibres du triang
du faisceau 111édio-pé1'iphé/'igue ou faisceau de Ho- clze) ; Z L,
zone
de Lissauer, coupée en deux par l'entrée de la ra
sversales réunies constitent les champs postéro-externes (C p e) ou
zone
radiculaire postérieure; les branches antéro-po
contenues en partie dans la bandelette ex- terne de Pierret (P) ou
zone
radiculaire moyenne, en partie dans la zone radic
terne de Pierret (P) ou zone radiculaire moyenne, en partie dans la
zone
radiculaire antérieure ; C o F, centre ovale de
B. Les fibres endogènes grosses forment : 1° un faisceau dans la
zone
cornu-commissurale; 2° le triangle médian sacré,
uelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. E. Les
zones
de Lissauer sont constituées par des fibres endog
a bandelette externe, mais par les champs postéro-externes. K. La
zone
marginale de Westphal, ou zone radiculaire antéri
r les champs postéro-externes. K. La zone marginale de Westphal, ou
zone
radiculaire antérieure, ne contient, outre les
18 ans). Méthode de Weigert Pal modifiée. Corne postérieure droite.
Zone
de Lissauer. Grossissement de 20 diamètres. 2
le à la 2a soirée. Méthode de Weigert Pal modifiée. Intégrité de la
zone
de Lissauer et du réseau des fibres à myéline f
e de la moelle à la lie sacrée. Méthode de Weigert. Intégrité de la
zone
de Lissauer. 4. Moelle D. Tabes avancé. Coupe d
e à la 110 sacrée. Méthode de Weigert Pal. Intégrité relative de la
zone
de Lissauer et des fibres endogènes fines verti-
-contraire, occuper dans les cor- dons postérieurs et latéraux des
zones
répondant d'une façon seulement approximative à
occupe la région du faisceau cérébelleux direct et une partie de la
zone
pyra- midale. La colonne de Clarke est très att
es s'étendent au delà du faisceau cérébelleux direct et occupent la
zone
pyramidale. Elles n'occupent donc pas un territoi
midale. Elles n'occupent donc pas un territoire déterminé, mais une
zone
située en avant de l'apex, que l'on pourrait dé
. 1" cervicale. On constate au niveau des cordons postérieurs une
zone
de sclérose affectant la forme d'un triangle, à s
qne entière- ment respectés ; on constate cependant en dehors de la
zone
marginale de Lissauer, dans le territoire qui r
'.latéral est très minime et n'est qu'une légère bande partant de la
zone
radi- culaire postérieure et se poursuivant dan
ale, prédominant à la partie postérienre du cordon ; elle occupe la
zone
du faisceau cérébelleux direct et commence à en
upe la zone du faisceau cérébelleux direct et commence à envahir la
zone
pyramidale. La méningite y est moins nette que da
e tabétique. Coloration de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la
zone
avoisinant le sillon postérieur et le cordon de G
. 3. La sclérose latérale occupe le faisceau cérébelleux direct et la
zone
pyramidale. Fig. 4. La sclérose des cordons pos
clérose dans le cordon postérieur est toujours plus marquée sur une
zone
médiane et triangulaire mais elle est plus diffus
rose est intense, dans la partie postérieure de ce cordon, entre la
zone
marginale de Lissauer et l'angle du cordou latéra
n latéral qu'elle contourne. La méninge est épaissie dans toute cette
zone
; elle l'est, à un moindre degré, dans le cordo
accentuée eu niveau de l'angle du cordon postérieur en dedans de la
zone
marginale de Lissauer ; elle occupe la même éte
ses limites sont plus nettement tranchées sur la face interne de la
zone
atteinte. 9e dorsale. -Même aspect topographiqu
ées et marginales ; dans le cordon latéral la sclérose oc- cupe une
zone
peu étendue, d'aspect triangulaire, dont la base
à certaines hauteurs le faisceau pyramidal en partie, et occupe la
zone
prééapexienne Les colonnes de Clarke sont, il e
: dégénérations diffuses du cordon postérieur avec intégrité de la
zone
cornu commissurale. Dans les cordons latéraux,
u cordon postérieur respectant relativement le cordon de Goll et la
zone
cornue-commissurale. Le cordon latéral est dégéné
one cornue-commissurale. Le cordon latéral est dégénéré suivant une
zone
triangulaire. Au niveau de la région lombaire,
Au niveau de la région lombaire, le cordon de Goll est sclérosé ; la
zone
cor- nue-commissurale est respectée ; mêmes lés
de Goll. Au niveau du cordon latéral, même forme triangulaire de la
zone
sclérosée qui occupe la zone pyramidale croisée
latéral, même forme triangulaire de la zone sclérosée qui occupe la
zone
pyramidale croisée ; la colonne de Clarke est n
Weigert). Dans les cordons latéraux, la sclérose occupe surtout la
zone
pyramidale et occupe un territoire nettement tr
les cornes postérieures. Dans les cordons latéraux, elle occupe la
zone
des faisceaux pyramidaux et des faisceaux céréb
a sclérose dans le territoire du faisceau pyramidal direct dans une
zone
affectant la forme et le siège du faisceau en c
le siège du faisceau en croissant de P. Marie et Guillain. Dans cette
zone
, on constate par ci, par là éparses des gaines
- ramidal croisé et du faisceau' cérébelleux direct séparées par le
zone
de fibres normales ou moins atteintes. Le cor
s et antérieurs ; dans les cordons latéraux, la sclérose occupe une
zone
triangulaire englobant le faisceau pyramidal et
tendue, dans les cordons posté- rieurs : elle envahit davantage les
zones
voisines des cornes postérieures et se prolonge
ant jusqu'à a commissure postérieure. Dans les cordons latéraux, la
zone
de sclérose u'est pas triangulaire, elle forme
combinées tabétiques 65 Le cordon latéral est sclérosé suivant une
zone
triangulaire occupant la plus grande partie de
est complètement sclérosé, sauf dans les parties laté- rales de la
zone
ventrale dans la portion marginale du cordon de B
ans le cordon postérieur, quelques fibres sont conservées dans deux
zones
symétriques situées de chaque côté de la com- m
cordon. 9° et 40e Dorsales. Dans les cordons postérieurs, les deux
zones
moins atteintes sont plus étendues, elles se pr
en une partie de la périphérie où elles persistent sous forme d'une
zone
bordante : les gaines sont conservées et forment
état normal, pour provoquer l'apparition du réflexe plan- taire. La
zone
excitable peut s'étendre à tout le membre inférie
taires, dans ces affections, est constitué par leur exagération. La
zone
exci table peut souvent même dépasser la plante
ent, siégeaient à la région lombaire et avaient leur maximum en une
zone
de la largeur d'une pièce de cinq francs, situé
. Partout ailleurs, la sensibilité est intacte ; il n'existe pas de
zone
d'anesthésie. Actuellement, le malade n'accuse
ec la substance blanche. Pas d'hémorragie autour. Elle présente une
zone
centrale donnant la sensation d'une ostéome et un
résente une zone centrale donnant la sensation d'une ostéome et une
zone
périphérique lui faisant corps, de consistance
lesquelles se voient encore des cellules graisseuses. Il n'y a pas de
zone
inflam- matoire en dehors de la coque (Fig. 2).
rébrales ; et, tour à tour, le lobe frontal est considéré comme une
zone
particulièrement silencieuse, ou au contraire c
grand des voies d'association qui unissent entre elles les diverses
zones
du cerveau et peuvent à un' appel donné, réagir
des lésions in- flammatoires marquées dans la région de la tumeur (
zone
temporale et face interne du lobe frontal) et a
oquevillées sur elles-mêmes, leur extrémité est boursouflée et, les
zones
de Lissauer sont complètement sclérosées. De mê
aux cérébelleux latéraux se poursuivent, de même que l'atrophie des
zones
postérieures. On voit égale- ment il ce niveau
re nettement l'atrophie de la corne posté- rieure et la sclérose de
zones
de Lissauer, de même que celle des racines pos-
dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures, sclérose de la
zone
de Lissauer et sclérose des racines postérieure
droite et à gauche de ces lignes surélevées blanches, apparaît une
zone
de congestion rouge vif. Une demi- heure après
. Dans le 5e ganglion lombaire gauche, les cellules ont disparu par
zones
, alors que dans d'autres endroits toutes les ce
supé- rieurs et inférieurs. - Peu de troubles de la sensibilité :
zone
d'hyperesthésie au tact et à la douleur dans le
eut distinguer, comme nous l'avons fait au début de ce travail, une
zone
circonférentielle et une zone médiane, la zone
'avons fait au début de ce travail, une zone circonférentielle et une
zone
médiane, la zone du pôle central et la zone du
t de ce travail, une zone circonférentielle et une zone médiane, la
zone
du pôle central et la zone du pôle périphérique.
irconférentielle et une zone médiane, la zone du pôle central et la
zone
du pôle périphérique. Or, dans la plupart des c
il nous a semblé que les cellules étaient moins nombreuses dans la
zone
circonférentielle que dans la zone mé- diane,et
étaient moins nombreuses dans la zone circonférentielle que dans la
zone
mé- diane,et même pour certains ganglions dans
t ces placards contras- tent par leur pauvreté en cellules avec les
zones
adjacentes où les cellules sont relativement'bi
lérose rénale de la néphrite interstitielle, où ils disparaissent par
zones
, au milieu des placards fibreux, et la comparai
hagique légère qui parait avoir dissocié les fibres nerveuses de la
zone
antéro-interne de Westphall et de la partie ant
le bord supérieur du corps de la 36 vertèbre cervicale à travers la
zone
intermédiaire aux 1116 et IVe segments cervicaux
le bord supérieur du corps de la 4e vertèbre cervicale à travers la
zone
intermédiaire aux IVe et V8 segments cervicaux de
faisceau de Goll dans sa partie postérieure. Pas de lésions dans la
zone
de Lissauer. La subs- tance réticulaire de bulb
E FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons postérieurs. La
zone
de Lissauer présente dans la région lom- baire
u 8° et 7e segment dorsal, c'est seulement la partie centrale de la
zone
de Lissauer qui est raréfiée et au-dessus il n'y
ire infé- rieure on constate une raréfaction bien prononcée dans la
zone
radiculaire latérale et moyenne A mesure qu'on
tense dans le voisinage du sillon postérieur, peu prononcée dans la
zone
radiculaire moyenne, et faisant tout à fait défau
dans les segments Dz3 a pparaît de nouveau une raréfaction dans la
zone
radiculaire moyenne. Cette lésion devient de plus
plus en étendue, surtout dans le sens antéro-posté- rieur; dans les
zones
radiculaires moyennes et internes réapparaissent
fais- ceau, celle qui avoisine la corne postérieure, de même que la
zone
commissu- rale et la partie périphérique resten
de Luis Hand. 298 RYDEL tie moyenne de la corne antérieure ; une
zone
de fibres intactes sépare cette courbe d'un côt
e. - La raréfaction est devenue plus intense ; elle occupe toute la
zone
avoisinante des cornes antérieures et gagne par u
ts périphériques et panaches de la deuxième couche de neurones ; la
zone
d'articulation est la couche plexiforme externe,
rones ; la zone d'articulation est la couche plexiforme externe, la
zone
qui contient les corps des seconds neurones est d
(Krause). Les fibres optiques sont immédiatement sous-jacentes à la
zone
des cellules multipolaires et séparées seulemen
ité est normale, il, n'existe ni hémi-anesthésie ni anestliésie par
zones
. Le malade n'accuse pas de modifications dans la
d'anesthésie viscérale (testiculaire, gastrique). La recherche des
zones
hystérogènes reste sans résultat. . Pas de trou
econnaissables comme si elles en étaient le prolonge- ment. Dans la
zone
de transition entre les bandes fibreuses et la fi
au contraire, elles forment autour d'eux des dépôts considérables à
zones
séparées où les capillaires disparaissent plus
E DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 359 conclut à l'extrême variabilité des
zones
dégénérées et à l'impossibilité de donner une r
ptiques dans l'amaurose tabétique : d'une part l'épaississement des
zones
méningées, d'autre part la disproportion entre le
ptique gauche ne présentait dans sa portion vasculaire qu'une mince
zone
de sclérose périphérique et un étroit quadrant ;
resteraient périphériques dans la portion crânienne. Sou- vent une
zone
de sclérose rayonnante part d'un vaisseau pie-mér
bute au pourtour des vaisseaux, et surtout à la périphérie, dans la
zone
sous-méningée du nerf. Ces considérations et ce
onc, au membre supérieur; à droite on trouve nettement indiquée une
zone
d'anesthésie sur le bord externe de l'avant-bras
nvolutions cérébrales. Parfois elle peut se décomposer en plusieurs
zones
suivant son épaisseur et le picro-car- min y mo
n y montre alors une fine bandelette interne fortement teintée et une
zone
externe plus pâle et même d'aspect souvent hyal
telle tendance végétative qu'elle entoure souvent le vaisseau d'une
zone
conjonctive épaisse, envahissante, faite de feu
? La méthode de Pal montre qu'elle est généralement entourée d'une
zone
démyélinisée plus ou moins épaisse, qui étudiée
chon épais, riche en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette
zone
les fibres nerveuses ont perdu leur gaine myélini
est impossible de dire ce qu'ils sont devenus. L'épaisseur de cette
zone
réactionnelle est très variable ; elle semble exi
nt exister parmi les différents éléments de la moelle en dehors des
zones
que nous avons plus spécialement envisagées.
ude des coupes ne permet pas ici de répondre, car il n'y a guère de
zones
en voie de dégénères- A 13ESs.1)I z Fig. 7,-
rmation et d'agrandisse- ment des cavités. Il se peut encore que la
zone
qui entoure la lésion primitive et qui est le s
s. Par contre, autour de la fente du cordon postérieur, il existe une
zone
assez étendue de démyélinisation. B. - Fag...
lle ne représente, on s'en rend bien compte d'après le dessin, qu'une
zone
de tissu dégénéré d'aspect hyalin. Bien que nou
limitées au trajet d'un vaisseau, mais ne répondant nullement à une
zone
de distribution vasculaire. En d'autres termes, s
sseau ou la stase lymphatique, peut créer autour de ce vaisseau une
zone
circulaire vide qui l'entoure comme d'un mancho
pas rare de noter en effet autour de certains vaisseaux altérés une
zone
de tissus désor- ganisés et détruits (1). Enfin
ustement le voisinage immédiat de la cavité et du sillon antérieur,
zones
où le développement du tissu conjonctif est le pl
es amas nucléaires. Dans la substance blanche, dégénérescence de la
zone
radiculaire antérieure depuis la substance gris
nt de la partie antérieure de la moelle, dépression au niveau de la
zone
radiculaire antérieure. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
mbre de prolongements. Quelques vaisseaux sont entourés d'une large
zone
claire. L'état de la méninge et de ses vaisseau
aplatie ; le pourtour présente une dépression nette au niveau de la
zone
radi- culaire antérieure. On ne trouve plus d
est encore un peu aplatie et qu'il y a une dépression au niveau des
zones
ra- diculaires antérieures ; à ce niveau aussi
niveau des zones ra- diculaires antérieures ; à ce niveau aussi la
zone
périphérique est moins colorée. La substance gr
n très marquée et même sclérose annulaire légère prédomi- nante aux
zones
radiculaires .intérieures. 440 LÉRI ET IvILSOtY
jours plus petite qu'une moelle normale. Dépression au niveau de la
zone
radiculaire antérieure, plus de sclérose périph
e, surtout à gauche, sclérose périphéri- que légère au niveau de la
zone
radiculaire antérieure gauche. Cornes antérieur
d'avant en arrière et présente une dépression sur le pourtour de la
zone
radiculaire antérieure. Les cornes antérieures
e volume de la moelle des cornes antérieures, légère dépression de la
zone
d'entrée des POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L
sauf quelques-unes très petites, ratatinées, entourées d'une large
zone
claire Le groupe intermé- dio-latéral a de bell
tites, effilées, ratatinées dans la corne antérieure gauche. Larges
zones
claires au pourtour des vaisseaux. Ependyme obtur
nsversalement et une légère dépression reparaît au pour- tour de la
zone
radiculaire antérieure. A gauche, quelques très f
t transversal des cornes antérieures. Légère dégénéres- cence de la
zone
radiculaire antérieure. Larges espaces au pourtou
rophie partielle et à la dépression de son pourtour au niveau de la
zone
d'entrée des racines antérieures, dépression' si
ionnellement à la lésion des cornes antérieures au même niveau. Les
zones
radiculaires antérieures étaient amincies ainsi
t que les parties superficielles du derme. Elle est limitée par une
zone
rouge vif, formant un contour très irrégulier,
ne rouge vif, formant un contour très irrégulier, déchiqueté; cette
zone
est formée par des bourgeons char- nus que nous
nt au-dessus des vertèbres lombaires, on constate, reposant sur une
zone
rouge de 2 centimètres de diamètre, 3 bulles ar
cen- trale déprimée, à fond plat, suppurant et blanchâtre et d'une
zone
périphéri- que, large de 1 centimètre, congesti
es et dont les bords sont franchement taillés à pic, entourés d'une
zone
de congestion très large (pansements humides au s
avité glénoïde, la paroi supérieure du conduit auditif externe, et la
zone
antéro-supérieure de l'apophyse mastoïde. Le sq
démontrent, d'après Okada, que dans les interventions portant sur la
zone
postérieure de l'apophyse, particulièrement dan
ïdite postérieure. Cette phlébite est caractérisée par un œdème de la
zone
postérieure de l'apophyse, blanc, dur et douloure
stoïdien externe, la profondeur du sillon sigmoïde et l'étendue de la
zone
de l'antrotomie. DISTANCE CIIIPAULT-SILLON Si
et non au tympanal. Chipault décrit, derrière l'épine de Henle, une
zone
triangulaire, criblée de petits trous : c'est la
e de Henle, une zone triangulaire, criblée de petits trous : c'est la
zone
de Chipault. Chez les enfants elle est toujours t
Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de l'apophyse mastoïde, la
zone
de la corticale digastrique comprise entre la rai
osseuse du sillon transverse dans sa partie la plus mince et dans la
zone
de l'apophyse. Or, comme nous le verrons plus loi
mètres toujours plus marquée au niveau de l'épine de Henle et dans la
zone
postérieure de l'apophyse. La corticale digastriq
rieures du conduit ; elle est séparée de la corticale externe par une
zone
d'étendue variable, que le chirurgien traverse au
graphiques des cellules. Autour de l'antre, en effet, on remarque une
zone
de petites cellules dont les dimensions vont en a
iveau la corticale digastrique peut être extrêmement mince. Dans la
zone
postéro-supérieure de l'apophyse, il existe des c
du tissu éburné : c'est la cellule mastoïdienne aberrante. Dans la
zone
postéro-inférieure, entre la rainure digastrique
nne aiguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire était limité à la
zone
postérieure de l'apophyse. La trépanation classiq
s avons opéré une fillette de 1 2 ans qui présentait, au niveau de la
zone
postérieure de la région mastoïdienne, un gonflem
OUPES CELLULAIRES PAR RAPPORT A LA CORTICALE EXTERNE DE L'APOPHYSE.
ZONE
DE L'ANTROTOMIE On a indiqué différents procédé
e CD et du bord antéro-externe de l'apophyse). On obtient ainsi trois
zones
, deux pour le corps de l'apophyse et une pour la
es, deux pour le corps de l'apophyse et une pour la pointe : i° Une
zone
triangulaire, antéro-supérieurc, anlrale, limitée
physe, en arrière par l'oblique EF ; elle montre l'épine de Henle, la
zone
criblée de Chipault et répond à l'antre mastoïdie
la zone criblée de Chipault et répond à l'antre mastoïdien ; 2" Une
zone
quadrilatérale, postérieure, sinusale, que limite
ale externe en haut, et s'en écarte à mesure qu'on descend ; 3° Une
zone
triangulaire, inférieure, apicale ; elle comprend
et désinsérer en partie le ventre postérieur du muscle digastrique.
Zone
de l'antrotomie. — G'est'au niveau du triangle an
e franchie, le chirurgien, pour atteindre l'antre, doit traverser une
zone
pneumatique, spongieuse ou compacte, nommée zone
, doit traverser une zone pneumatique, spongieuse ou compacte, nommée
zone
de l'antrotomie. Elle est limitée en haut par la
la planche VIII, on peut voir que la forme et les dimensions de cette
zone
présentent de grandes variations. Tantôt, on el
disposées presque parallèlement (lig. i-5), laissant entre elles une
zone
étroite dont l'étendue peut être encore restreint
crânes d'adultes, dont la calotte avait été sciée, l'épaisseur de la
zone
de l'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre l
'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre le sillon siginoïde et la
zone
de Chipault : c'est la mesure sillon-Chipault. El
à un sillon sigmoïde superficiel ne correspond pas toujours une large
zone
d'antrotomie. Cela prouve que « sillon très profo
de Korner qui eut une vogue retentissante. Ce auteur affirmait que la
zone
de l'antrotomie était moins étendue chez les brac
ll, Garnault et Okada, qu'il est imposible de prévoir l'étendue de la
zone
de l'anlrotomie d'après l'indice céphalique. Et n
e minutieusement la paroi interne de l'antre, celle de l'aditus et la
zone
de la fenêtre ovale. ïrouve-t-on une fistule au-d
une brèche qui parle de la paroi interne de l'antre pour aboutir à la
zone
comprise entre la fente unguéale et le bord inter
parence, au niveau du quadrant postéro-inférieur du tympan droit, une
zone
bleuâtre, et, en avant, une ligne jaunâtre qui ma
érie. Au niveau du segment inférieur on aperçoit par transparence une
zone
bleuâtre. » Ces hémorragies veineuses se produi
tit repli, appelé par Schwalbe repli supérieur, qui la divise en deux
zones
d'inégale étendue, l'une postérieure, plus petite
re mousse. La face interne est divisée par un sillon vertical en deux
zones
dont l'une, l'antérieure, est plus grande que la
er parcours, dont la longueur atteint 12 millimètres, il traverse une
zone
de tissu osseux compact, interposée entre la cavi
e prémastoïdienne. Gellé, qui l'a étudiée spécialement, désigne cette
zone
sous le nom de massif osseux du facial. Ce dernie
toïdien, à travers lequel émerge le facial, se montre au milieu d'une
zone
limitée en avant par l'apophyse styloïde, en arri
Les centres corticaux du facial siègent sur le quart inférieur de la
zone
rolandique (aire faciale). « La rétraction horizo
ter.) Le centre du facial supérieur occupe la partie supérieure de la
zone
de la face, immédiatement au-dessous du centre du
rouve placé derrière l'olive supérieure ou protubérantielle ; dans la
zone
du corps trapézoïde, on l'aperçoit entre l'olive
ébrai, produit la chromalolyse des cellules nerveuses au niveau de la
zone
postérieure du noyau secondaire médian. Les fib
, des courants galvaniques au niveau de l'anastomose et dans toute la
zone
innervée par le facial. » Trois mois après l'inte
rt et ses deux côtés délimitent, sur la face externe du cervelet, une
zone
à travers laquelle on débride les abcès cérébelle
vons vu que le sinus sigmoïde répond, sur la corticale externe, à une
zone
quadrilatérale dont les limites sont indiquées su
cavités auriculaires. L'évidement terminé, le chirurgien attaquera la
zone
sinusale de l'apophyse, creusant d'abord en haut
ses au cours de l'intervention. A-t-on trouvé, en fouillant dans la
zone
sinusale, des cellules malades, atteintes manifes
u contraire, pour découvrir le sinus sigmoïde sain, on a traversé une
zone
d'aspect absolument normal, si d'autre part le ma
au niveau de la fosse cérébrale moyenne, la région mastoïdienne et la
zone
de la fosse sub-arcuata au niveau de la fosse cér
cellules, disposées dans l'ordre suivant : i° Le stratum zonale, ou
zone
moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2°
zonale, ou zone moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2° La
zone
des petites cellules pyramidales; 3° La zone des
ules polymorphes ; 2° La zone des petites cellules pyramidales; 3° La
zone
des grandes cellules pyramidales; 4° La zone des
lules pyramidales; 3° La zone des grandes cellules pyramidales; 4° La
zone
des corpuscules polymorphes. Chez l'homme, au n
z l'homme, au niveau du lobe temporal, on constate, dans la troisième
zone
de Cajal, une couche de très petites cellules pyr
bres, que Flechsig a pu relier exactement l^radiatio acustica à cette
zone
de l'écorce. De ces circonvolutions transverses,
ition verbale. — Le centre des images auditives des mots siège sur la
zone
postérieure de la première circonvolution tempora
'enceinte de la scissure de Sylvius, et forment dans leur ensemble la
zone
du langage de Freud. ((Chacun de ces centres, com
position dans la corticalité générale : centre de Broca, accolé à la
zone
motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec
accolé à la zone motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec la
zone
auditive ; pli courbe, contigu à la zone visuelle
nicke, en continuité avec la zone auditive ; pli courbe, contigu à la
zone
visuelle. Ces centres sont intimement unis entre
montre l'anatomie, formant un tout complexe indissolublement uni, une
zone
unique avec trois centres secondaires ». L'aphémi
des trois centres, toute lésion portant sur un point quelconque de la
zone
de Freud, retentit inévitablement sur les autres.
d'autres termes, jamais de forme pure d'aphasie avec une lésion de la
zone
du langage, toujours altération de tous les modes
o-sphénoïdal. On peut l'observer exceptionnellement au niveau de la
zone
rolandique. D'après une statistique de Grûnert, 9
ts, qui répondent à la caisse, au labyrinthe et à l'antre, existe une
zone
de substance blanche encéphalique, allongée dans
t deuxième temporal en dehors. Examinée sur une coupe frontale, cette
zone
apparaît sous la forme d'un sablier. Le segment i
ébut cette lésion reste absolutement latente, puisqu'elle atteint des
zones
corticales dépourvues de signification physiologi
e autres, ils seraient dus aune compression des centres moteurs de la
zone
rolandique. Pour d'autres, Bergmanii, Sahli, Kôrn
n ou à l'hypertension crânienne, indique une lésion de l'écorce de la
zone
rolandique. Un malade de Picqué en fournit un e
r le ganglion de Gasser et produire des douleurs névralgiques dans la
zone
de distribution du trijumeau. § 2. — CERVELET
qui est figurée sur la planche XVII, on remarque à la périphérie une
zone
de substance grise macroscopiquement plus importa
importante que celle du cerveau, et, au centres des hémisphères, une
zone
de substance blanche, de forme plus ou moins tria
côtés (Bechterew), et remonte jusqu'à la protubérance. Arrivé dans la
zone
du trijumeau, il s'incurve et pénètre dans le péd
vant, croisent le genou du facial, deviennent longitudinales dans une
zone
située en dehors et en avant du noyau de la VIe p
a fosse cérébelleuse. Si le foyer d'ostéite se montre au niveau de la
zone
sinusale, on pénétrera dans la loge cérébelleuse
en arrière du canal demi-circulaire horizontal et, en dehors, vers la
zone
sinusale de l'apophyse. A une profondeur qui vari
ostérieur, et on ouvrira aussitôt après la fosse cérébelleuse dans la
zone
du sac endolymphatique. On peut agrandir cette
ieure rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'évidement de la
zone
postérieure de l'apophyse, allant à la rencontre
inus latéral. On devra évider tout d'abord la partie supérieure de la
zone
sinusale, en se rapprochant de l'astérion, car c'
yer primaire d'ostéite mastoïdienne. Tout procédé qui s'éloigne de la
zone
mastoïdienne risquera donc de passer à côté, et d
upes cellulaires par rapport à la corticale externe de l'apophyse :
zone
de l'antrotomie............................ 29
stéatome. Au-dessus du canal demi-circulaire externe, se trouve une
zone
de tissu spongieux qui constitue une partie de la
st un agrandissement de la figure 1. Il est destiné à bien montrer la
zone
postéro-interne de la cavité tympanique où se tro
es à montrer combien sont variables l'étendue et la disposition de la
zone
de l'antrotomie. Figure i . — Le trait de scie
tympano-mastoïdienne, pour bien montrer le rapport du facial avec la
zone
opératoire. La portion tympano-mastoïdienne desce
ce postéro-interne de la cavité antro-mastoïdienne, on distingue deux
zones
: l'une postérieure ou sinusale, l'autre antérieu
Figure 5. — Le même temporal que sur la figure 3. On a effondré la
zone
sinusale de la cavité antro-mastoïdienne afin de
ité antro-mastoïdienne afin de pouvoir explorer le sinus sigmoïde. La
zone
présinusale a été conservée. Elle est limitée ext
a troisième circonvolution frontale. On a donc sous les yeux toute la
zone
du langage (Freud), avec ses trois centres : i" l
e des images auditives des mots, centre de Wernicke, qui siège sur la
zone
postérieure de la première circonvolution tempora
te, sur la face externe du lobe postérieur-supérieur du cervelet, une
zone
à travers laquelle on débride les abcès cérébelle
pito-temporale. La portion descendante du sinus latéral parcourt la
zone
postérieure de l'apophyse ; elle n'est pas procid
urt la zone postérieure de l'apophyse ; elle n'est pas procidente. La
zone
de l'antrotomie est large et peut être éviclée sa
irculaires. L'antre, assez vaste, est entouré de toutes parts par une
zone
de structure aréolaire qui constitue le groupe ma
canal demi-circulaire supérieur. En dedans de l'antre, on trouve une
zone
de tissu aréolaire, comprise entre les canaux dem
rque deux cellules mastoïdiennes postérieures, séparées par une large
zone
de tissu compact ; la première, postéro-supérieur
microtome, et de pou- voir ainsi étudier dans toute sa hauteur, la
zone
de transition située entre la partie thalami-
4" ventricule. AC, arrière-cerveau. AqS, aqueduc de Sylvius. .t7 ?
zone
trapézoïde. D, bulbe. lill, bande- " ...lette o
on humain d'environ sept semaines et demi. (D'après W. His.) Ach,
zone
choroïdienne. AFr. zone trapézoïde. Aqs, aqueduc
pt semaines et demi. (D'après W. His.) Ach, zone choroïdienne. AFr.
zone
trapézoïde. Aqs, aqueduc de Sylvius. CA, cerveau
mbryon humain d'environ deux mois et demi. (D'après W. His.) Aèh,
zone
choroïdienne. - AT1', zone trapézoïde. - Aqs, aqu
x mois et demi. (D'après W. His.) Aèh, zone choroïdienne. - AT1',
zone
trapézoïde. - Aqs, aqueduc de Sylvius. - B, bulbe
l'un supérieur, l'autre intérieur. Le segment supérieur répond à la
zone
choroïdienne de His (Area chorioidea) et se conti
ieur, situé au-dessous de la commissure antérieure, porte le nom de
zone
trapézoïde de His (Area tra- pezoïdes), et appa
ntermédiaire. Sa partie inférieure, impaire et médiane, répond à la
zone
trapézoïde de His et persiste pendant toute la
troisième ventricule en avant. Sa partie supérieure correspond à la
zone
choroïdienne de His; elle est plus étendue que la
ol- factif de Broca, que His propose de désigner sous le nom de
zone
de Broca. Les : racines olfactives interne et
main d'environ quatre semaines et demie. (D'après . W. His.) Ach,
zone
choroïdienne. - ATr, zone trapézoïde. - Cst, corp
ines et demie. (D'après . W. His.) Ach, zone choroïdienne. - ATr,
zone
trapézoïde. - Cst, corps strié. Fch, plexus cho
ntre elles, vers le troisième et le quatrième mois, au niveau de la
zone
choroïdienne de His, et au niveau du pli margin
emporal jusqu'au trou de Monro ; à ce niveau il se continue avec la
zone
choroïdienne de His (fig. 43, 45, 50), qui repr
dont le sommet correspond à la commissure blanche antérieure. Là
zone
choroïdienne de His (fig. 41 et 43) donne naissan
rigone. Septum lucidum et ventricule de la cloison. La suture des
zones
choroïdiennes, s'effectue vers le milieu du trois
épare les têtes des deux noyaux caudés (fig. 64). L'accollement des
zones
choroïdiennes ne se fait qu'au niveau de ses bord
que, et il ne peut être rapproché morphologiquement des autres ven-
Zone
choroïdionno o de Hi,. Pli marginal. Origin
nou font irruption au niveau des bords supérieur et antérieur de la
zone
choroïdienne, celles du tronc et du bourrelet, le
lial des cellules est manifeste, on peut distinguer avec His, trois
zones
sur une coupe transversale d'un canal neural em
versale d'un canal neural embryonnaire quelconque de Vertébré : une
zone
moyenne, la zone des noyaux, et deux zones laté
l neural embryonnaire quelconque de Vertébré : une zone moyenne, la
zone
des noyaux, et deux zones latérales, claires et d
lconque de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux, et deux
zones
latérales, claires et dépourvues de noyaux, don
s, claires et dépourvues de noyaux, dont l'interne porte, le nom de
zone
des colonnes (Sâulenschicht) et l'externe celui
icht) et l'externe celui de voile marginal (Randschleier). (His) La
zone
des noyaux constitue Multiplication des cellu
cellules épithéliales. Absence de stratifi- cation. Les trois
zones
du canal neural em- bryonnaire. Zone dos no
fi- cation. Les trois zones du canal neural em- bryonnaire.
Zone
dos noyaux. Zone des colonnes. Voile marginal
trois zones du canal neural em- bryonnaire. Zone dos noyaux.
Zone
des colonnes. Voile marginal. Fw. 1J. - Lame
cordons ganglionnaires. pendant longtemps la plus large des trois
zones
; elle représente le tissu de soutènement primor
ésente le tissu de soutènement primordial de la substance grise. La
zone
des colonnes présente un développement ultérieu
t à mesure qu'elles se trans- forment et qu'elles émigrent dans les
zones
pro- fondes. Les cellules germinatives typiqu
les termina- tives. - re, octoplasma. - 1'11, endoplasma. - ZC,
zone
des colonnes. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 1
iale se transformant en spongioblastes. - Vm, voile marginal. - ZC,
zone
des colonnes.-ZCSp, zone des corps spongioLla
ngioblastes. - Vm, voile marginal. - ZC, zone des colonnes.-ZCSp,
zone
des corps spongioLlastiques. HISTOGENÈSE DU S
ents internes des spongioblastes, constituent par leur ensemble, la
zone
des colonnes de His. Dans leur trajet plus ou moi
de prolifération des auteurs (fig. 78). Entre les colonnes de la
zone
interne, on trouve les cellules germina- tives
blastes et en cellules névrogliques, et leur émigration dans la
zone
moyenne, c'est-à-dire dans la zone des corps sp
, et leur émigration dans la zone moyenne, c'est-à-dire dans la
zone
des corps spon- gioblastiques, on trouve, ent
gioblastiques, on trouve, entre les faisceaux de co- lonnes de la
zone
interne, des intervalles vides, cor- responda
g. 78). Lorsque toutes les cellules germinatives ont émigré dans la
zone
moyenne, la zone interne diminue de hauteur, les
outes les cellules germinatives ont émigré dans la zone moyenne, la
zone
interne diminue de hauteur, les corps spongio-
aine chez l'embryon humain Les prolongements nterncs forment la
zone
des colonnes. 1 ij Chaîne do f>rolif6-
es colonnes. 1 ij Chaîne do f>rolif6- ration. FIG. 16. -
Zone
des colonnes formées par les ]11'0- longements
imitante interne. - Nu, nids vides dos cellules germinatives. - ZC,
zone
des colonnes. - ZCSp, zone des corps spongiohia
vides dos cellules germinatives. - ZC, zone des colonnes. - ZCSp,
zone
des corps spongiohiastiqucs. l<'lG. 77. Cell
e repos. Dlli, membrane limitante interne. .Sp, spongioblastes. ZC,
zone
des colonnes. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
l'aspect contraste nettement avec le réseau a larges mailles des
zones
interne et moyenne, constitue le voile marginal
itante interne. - WCSp, noyau des corps spon- giolilastiques. - ZC,
zone
des colonnes. Fic. 79. - Section frontale d'une
limitante interne. - Nb, ncuroblastes. - Sp, spongioblastes. - ZC,
zone
des colonnes. - ZCsp, zono des corps spongiohla
ar l'extension du réseau et l'agrandissement des mailles soit de la
zone
des colonnes, soit du voile marginal. Il s'agit i
ngium. Comme il a été dit plus haut, c'est entre les colonnes de la
zone
interne de His, sous la membrane limitante intern
mité, abandonnent la membrane limitante interne et émigrent dans la
zone
des corps spongioblastiques (fig. 82). Elles re
s gcrmmativcs. Ci, cellules de transition. - Sp, spongioblastes. -ZC,
zone
des colonnes. Fig. 82. - Jeunes neuroblastes de
inguer dans cette colonne de noyaux une partie médio- ventrale, la.
zone
de la corne antérieure,, ,. et une partie lat
e de la corne antérieure,, ,. et une partie latéro- darsale, la
zone
de la corne latérale. Dans toute la hauteur d
e de la moelle cervicale, les racines motrices qui naissent des
zones
de la corne antérieure et de la corne lat £ ï
Ganglioblastes. ordres de racines sont distincts. Les racines de la
zone
de la corne latérale forment le nerf spinal ; l
par conséquent, en arrière de celle des racines qui naissent de la
zone
de la corne antérieure. Les racines antérieures
es, vers la pie-mère, à la superficie du cervelet. En traversant la
zone
moléculaire ils forment les fibres de Berg- Cel
llules géantes : telles sont les cellules pyramidales qéantes de la
zone
rolandique de l'écorce cérébrale, les cellules
miques, qui se terminent librement entre les fibres nerveuses de la
zone
corticale superficielle (fig. 110). Les dendrites
e très intensivement et on constate autour d'elle l'existence d'une
zone
claire, qui correspond à l'espace qu'elle a aband
lfactive de la souris, on trouve, en outre, surtout au niveau de la
zone
de transition de l'épithélium olfactif avec l'é
mie : Étage frontal supérieur ou troisième étage frontal et pli de la
zone
externe (Gratiolet). - Sapero-t'rolltal gyrus (
nvolution - . frontale interne (Charcot). - Second pli ou pli de la
zone
externe du lobe fronts-pariétal (Gratiolet). -
s les noms de carrefour olfactif de Broca (CB) (lig. 179 à 182), de
zone
de Broca (Broca'sches Feld) (His), de Gyrus ves
um lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - : ;7,,
zone
réticulée, ou grillagée. II, bandelette optique
n godronnée. Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. ? bandelette optique. -
eptum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - zr,
zone
' réticulée, ou grillagée. - II, bandelette opt
isième segment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une
zone
de substance blanche comprenant la .couronne rayo
. i gone, et repose sur la substance innominée de Reichert (Sti),
zone
de sub- - stance grise, de constitution complex
s, limitent le pédoncule cérébral en avant (fig. 245 et 246). Cette
zone
a été comparée à une anse, à une écharpe posée
spect spécial, absolument caractéristique, qui lui a valu le nom de
zone
réticulée (st-alii22z l'eticulatwn d'Arnold) ou
u le nom de zone réticulée (st-alii22z l'eticulatwn d'Arnold) ou de
zone
grillagée (Gitterschicht) (Zr). . Après avoir f
) ou de zone grillagée (Gitterschicht) (Zr). . Après avoir formé la
zone
réticulée, les fibres pénètrent dans l'intérieur
qui Son pédoncule su- périeur. Son pédoncule pos- térieur.
Zone
réticulée ou grillagée d'Arnold. f Noyaux du
ar la lame médullaire externe du thalamus (Lme) qui le sépare de la
zone
réticulée et des segments postérieur et rétro-len
élimité sur ces coupes; il se présente en effet sous l'aspect d'une
zone
claire, beaucoup moins éclatante que celle du cin
te foncée. Enfin, bordant le fond des sillons, on trouve une petite
zone
claire qui correspond aux fibres en U de Meynert,
ormée, en dedans, par le stl'atll1u zonale (strz) et en dehors par la
zone
réticulée ou grillagée (Zr). En dehors des no
ule interne (Cipi, par une ligne de libres blanches, répondant à la
zone
réticulée ou grillagée (Zr). - Cing, cingulum.
mils. - Vcst, veine du corps strié. l'l, ventricule latéral. - ZI',
zone
réticulée ou grillagée. 390 ANATOMIE DES CENTRE
e. - VI, ventricule latéral. Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 398 ANATOMIE DES CENT
ventri- cule du septum lucidum. - Vcst, veine du corps strié. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 400 ANATOMIE DES CENTRE
éparée du segment postérieur de la cap- , sule interne (Cip) par la
zone
réticulée (Zr). ' La capsule interne (Cia, Cip,
. - La couche optique (Th) est nettement délimitée en dehors par la
zone
réticulée (Zr) et la lame médullaire externe (Lme
. - Voc, corne occipitale. - Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES CENTRE
é en dehors par la lame médullaire externe du thalamus (Line) et la
zone
réticulée (Zr), qui le séparent du segment postér
e du ventricule latéral. - Vsl, ventricule du septum lit 1 -S.\ Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CE
tiolet (RTh). En pénétrant dans le pulvinar, ces fibres forment une
zone
réticulée qui se confond avec la zone réticulée (
vinar, ces fibres forment une zone réticulée qui se confond avec la
zone
réticulée (Zr) du noyau externe du thalamus (Ne
ieur de la capsule interne ; elles s'entre-croisent au niveau de la
zone
réticulée (Zr) avec les fibres des régions voisin
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 414 IL. ANATOMIE DES CE
fibres du corps genouillé externe) et forment avec ces dernières la
zone
de WIJ/'IIÍi : ke(W). Le segment postérieur de la
On y voit apparaître un sillon, entouré d'une écorce grise et d'une
zone
claire de fibres courtes d'association. Ce sillon
Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale. - IV,
zone
de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e qui répond à sa face dorsale, on trouve une région triangulaire, la
zone
de 11%ernicl,w (W), dont la base coiffe le corp
répond il la queue du noyau caudé (NC'). La face antérieure de cette
zone
est séparée du pu/amen (NL.,) par les dernières
éno'idale du ventricule latéral. - Zi, zona incerta de Forel. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dont la sépare la
zone
réticulée (zr) (coupe n° 69, fig. 247). Sa paroi
a zona incerta du même auteur (Zi), qui se continue en haut avec la
zone
réticulée (Zr). Limitée en dedans par la substa
rne est limité en dehors par la lame médullaire externe (Lme) et la
zone
réticulée ou grillagée (Zr) qui le séparent du se
n du crochet. - V3. troisième ventricule. - Zi, zona incerta. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
ge, substance grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une
zone
de fibres nerveuses bien décrite par Forel et que
h, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zi, zona incerta. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optiqu
, circonvolution temporale profonde. - V" troisième ventricule. - IV,
zone
de Wernicke. ? filets radiculaires de la troisi
ro- fonde. - VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. - IV,
zone
de Wcrnickc. Z1', zone réticulée. - 11 T, fibre
cule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc. Z1',
zone
réticulée. - 11 T, fibres radiculait : es de sa t
cule latéral.- Vsph, corne sphé- noïdale du ventricule latéral. IV,
zone
dé \\'crnicl : e. - 1.1', zone réticulée ou grill
- noïdale du ventricule latéral. IV, zone dé \\'crnicl : e. - 1.1',
zone
réticulée ou grillagée. 468 ANATOMIE DES CENTRE
lièrement triangulaire, bien décrit par Wel'l11cke,. le champ ou la
zone
de l1'cl'lliclw (W) pré- sente un sommet supéri
nt en arrière de ce dernier (fig. 254 et 255); il s'applique sur la
zone
réticulée (Zr) du pulvinar (Pul) et se confond
igone. - 1'l, ventricule latéral. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV,
zone
de Weruicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. -
latéral. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV, zone de Weruicke. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. - Ill, noyau de la troi
tricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. ? bandelette oplique. - V
che optique (Th) est en outre par une couche de fibres blanches, la
zone
réticulée ou grillagée (zr). En arrière, au niv
sur le pied du pédoncule cérébral (P), dont elle est séparée par la
zone
réticulée (zr). Les parties antérieures du pied
des faisceaux de fibres il direction verticale, qui passent entre la
zone
réticulée (zr) elle globus lJallidlls (NL2, 1)'
vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W,
zone
de Wernickc. ;1', zone réticulée ou grillagée.
corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de Wernickc. ;1',
zone
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
e des libres blanches il direction verticale, qui appartiennent il la
zone
de Wernicke (W). C'est dans cette région que no
uronne r·ayozznautr. (C ? ovale, et de là dans l'écorce grise de la
zone
rolandique. (Voy., t. II, Coupes sagit- tales m
. - Vsph, corne sphén6t,\<'t¡,\Q.lrv : c\U¡li ? u latéral. - zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, nerf optique. j ! i ?
terne du piulvinar (Pul); il est entouré en haut et en avant par la
zone
réticulée (zr) et séparé du deuxième segment du n
ontinue au niveau du pied de la couronne rayonnante (pCR), avec une
zone
de fibres claires, qui appartiennent à la couronn
roisement des fibres calleuses et des fibres de projet- tion. Cette
zone
claire est limitée en dehors par une seconde couc
cule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 2 ? ',
zone
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
la capsule interne, on trouve une mince lame de substance grise, la
zone
réticulée de la couche optique ou zone grillagé
lame de substance grise, la zone réticulée de la couche optique ou
zone
grillagée d'Arnold ('l,r), riche en gros fascicul
stérieur de la capsule interne et s'entre- croisent au niveau de la
zone
réticulée. (Zr), avec des faisceaux semblables ve
n du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. ZI',
zone
réticulée ou grillagée. - II, bandelette optique.
. - II, bandelette optique. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES NERVEUX.
zone
irrégulière, riche en fibres, le champ de Forel (
PES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5t3 entre-croisement au niveau de la
zone
réticulée (Zr), soit le stratum zonale (strz),
[¡uuin thalami (tth) est très accusé. Le stratum zonale (strzl, la
zone
réticulée (Zr) et la lame médullaire externe du
{J sième ventricule par l'épendyme. Zi, zona incerta de F.orel. Zr,
zone
retj ? ( ? )9\H1 gril- lagée. 77°, bandelette o
yel' (Ln) qui se confond en haut avec la zona incata de Foret et la
zone
réticulée du thalamus (Zr). - Le segment postér
crochet. - Il troisième ventricule. - VI, ventricule latéral. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
ibres se joignent un certain nombre d'autres, qui proviennent de la
zone
claire de fibres situées en dedans du faisceau
es qui traversent les îlots supérieurs du pu- tamell, il existe une
zone
verticale, riche en fibres sectionnées transversa
le, riche en fibres sectionnées transversalement, comprise entre la
zone
réticulée du thalamus (Zr), et les îlots morcelés
tricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. -I/I, fibres radiculair
ne, et d'autre part à la lame cornée qui sur le dessin répond il la
zone
claire, située entre le corps genouillé externe
e de volume, est surtout représentée par son noyau externe (Ne). La
zone
réticulée (Zr) et la lame médul- laire externe
ment des fonctions très importantes : il relie en effet à gauche la
zone
visuelle au centre auditif des mots. En dehors
q d'A/.yr. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 566 ANATOMIE DES CENT
de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du ventricule latéral. - W,
zone
de Wernicke. ;, couche superficielle du tubercu
eur du trigone. tth, toenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. COUPES MICROSCOPIQUES
en dehors par des îlots de substance grise, qui appartiennent à la
zone
réticulée ou grillagée d'¡11'11f11cl (Zr); ils
re-croiser en abordant COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 587 la
zone
réticulée (Zr), sous forme de gros fascicules qui
re- couvert par le stratum zonale. - T'l, ventricule latéral. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 588 ANATOMIE DES CENTRE
dal. Dès la première apparition de la capsule interne au niveau des
zones
de tran- sition (fig. 303 et 304), on voit donc
(thalamus).W, ventricule latéral. - ventricule du septum lucidum. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 590 ANATOMIE DES CENT
pointillé tout particulier. Le noyau externe (Ne) est séparé de la
zone
réticulée (Zr) qui constitue la limite externe de
ver régulièrement la capule interne, qui appartient encore ici à la
zone
de transition. Elle est en effet très large sur c
g, trigone. - Th, couche optique. VC) ? veine du corps strié. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES CENTRE
a couche optique (Th). Cette dernière est limitée en dehors par une
zone
grise, la zone réticulée (Zr), morcelée par un
que (Th). Cette dernière est limitée en dehors par une zone grise, la
zone
réticulée (Zr), morcelée par un grand nombre de
es extrémités antérieure et postérieure. Dans ces mêmes régions, la
zone
réticulée est beaucoup plus large; on y distingue
tie adjacente au segment postérieur de la capsule interne (Cip), la
zone
réticulée (Zr) se réduit à une très mince lame
se dirigent toutes vers la couche optique (Th), elles traversent la
zone
réticulée (Zr) et la lame médullaire externe du
lami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V,
zone
de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée.
cq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V, zone de Wernicke. - Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 598 ANATOMIE DES CENTRE
e la queue du noyau caudé (NC'), deviennent onduleuses, traversent la
zone
réticulée (Zr) sous forme de gros fascicules, e
t elles constituent les fibres radiaires. Après avoir tra- versé la
zone
réticulée (Zr), elles s'entre-croisent avec une c
de libres il direction verticale, et forment avec ces dernières une
zone
de fibres très com- pacte décrite par Wernicke,
la glande pinéale). En dehors, la couche optique est limitée par la
zone
réticulée (Zr) qui a aug- menté d'épaisseur, su
ité postérieure de la couche optique, c'est-il-dire au niveau de la
zone
de Wernicke, ainsi qu'au niveau de son extrémité
orps strié. VI, ventricule latéral. Vsph, ventricule sphénoïdal. W,
zone
de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée.
ricule latéral. Vsph, ventricule sphénoïdal. W, zone de Wernicke. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 602 ANATOMIE DES CENT
(NL3) et la queue du noyau caudé (NC), s'incurvent au niveau de la
zone
réticulée (Zr) et traversent horizontalement le
ns de décrire, par la lame médullaire externe du thalamus (Lme) et la
zone
réticulée (Zr). La lame médullaire interne du t
ricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Il ?
zone
de Wernicke. Zi, zona incerta de Forci. Zt', zo
ule latéral. Il ? zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forci. Zt',
zone
réticulée ou grillagée. tricule (V3), lequel s'
faisceau de Vicq d'Azyr (VA), dont le bord externe recouvert par la
zone
réticulée (Zr) entre dans la constitution de la
ce du lobe occipital et dégé- 2èi,eiii a la suite des lésions de la
zone
visuelle corticale qu'elles relient au corps ge
ouillé externe (Cge) dont il est séparé par le prolon- gement de la
zone
réticulée (Zr), présente par contre, sur cette co
ui dégénèrent à la suite des lésions de la corticalité rolandique. La
zone
de dégénérescence se rapproche d'autant plus du
(Pul). Le corps genouillé externe (Cge) est augmenté de volume; la
zone
de Wernicke (W) se réduit, au sur et à mesure q
erta occupe la place où, sur les coupes précédentes, se trouvait la
zone
réticulée ou grillagée (Zr), elle se continue d
ns sa partie centrale, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois
zones
de fibres : la zone externe, superficielle, entre
, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois zones de fibres : la
zone
externe, superficielle, entre dans la constitut
constitution du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), la
zone
moyenne se rend vers la région du ruban de lfei
la zone moyenne se rend vers la région du ruban de lfeil (rgRm), la
zone
profonde, encore très réduite, est située en ar
u de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du ventricule latéral. W,
zone
de Wernicke. - Zi, zona incerta de Fore). 614
ntricule latéral. Vsph, cornc sphénoïdale du ventricule latéral. 1\',
zone
de Wernicke. Zi, zona incerta de Forel. Il, ban
e (le). Les radiations optiques forment ici, comme précédemment, la
zone
de Wernicke (W), en s'entre-croisant avec les fib
capsule, dégénèrent dans une étendue proportionnelle il celle de la
zone
motrice corticale détruite, par contre, les fib
teignent le corps de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la
zone
de substance grise qui fait suite à la zona in-
entricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. z ?
zone
réticulée ou grillagée. 634 ANATOMIE DES CENTRE
lame médullaire externe du thalamus (Lme), bordée en dehors par la
zone
réticulée ou grillagée (Zr), s'étend du t<t'ni
me cornée (le), jusqu'au faisceau de Vicq d'Azyr (VA). En avant, la
zone
grillagée tend il disparaître; elle est remplacée
nt, la zone grillagée tend il disparaître; elle est remplacée par une
zone
riche en fibres, sectionnées transversalement,
ricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zi, zona incerta de Forel. Zn,
zone
réticulée ou grillagée. 636 ANATOMIE DES CENTRE
isceau thalamique, de Forel (Fth). En avant et séparé de lui par la
zone
incerta (Zi) du même auteur, on voit apparaître l
l), et cet épaississenient correspond il la partie supérieure de la
zone
ou du champ de Wernicke, que nous allons rencontr
d'Azyr. - i'3, troisième ventricule. Zi, zona incerta de Forel. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 038 ANATOMIE DES CENTRE
amus. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Fiv,
zone
de Wernicke. Zi, zona inc'erta de Forel. Zr, zone
Vicq d'Azyr. Fiv, zone de Wernicke. Zi, zona inc'erta de Forel. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE
t elle concourt il former une partie du stratum zonale (strz). La
zone
de Wernicke (W) s'est un peu élargie. Les fibres
i que les fibres du stratum zonale. A la partie posté- rieure de la
zone
de Wernicke (W) et de la zone réticulée ou grilla
nale. A la partie posté- rieure de la zone de Wernicke (W) et de la
zone
réticulée ou grillagée (Zr), on trouve la secti
latéral. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11',
zone
de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 4
de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11', zone de Wernicke. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 41 G43 ANATOMIE DES C
Au sur et à mesure que l'on descend, le pulvinar (Pul) diminue et la
zone
de Wernicke (W) augmente. On reconnaît encore t
Va, troisième ventricule. ]A, faisceau de Vicq d'Azyr. 1V, champ ou
zone
de Wernicke. xCM' , entre-croisement de la commis
de Wernicke. xCM' , entre-croisement de la commissure de Meynert. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. II, bandelette optique.
hors, entre la partie postérieure de la capsule interne (Cip) et la
zone
de 1,Veii ? icke(W). Le noyau rouge (NR) s'est
nar (Pul). Au niveau du pulvinar, ces fibres s'entre-croisent avec la
zone
de Wernicke (W), et se perdent dans le segment
rijumeau antérieur (BrQa), et en dehors par la partie élargie de la
zone
de Wernicke (W). Le pulvinar (Pul) reçoit encor
étro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Il est séparé de la
zone
réticulée (Zr) par le champ ou la zone de Werni
ne (Cirl). Il est séparé de la zone réticulée (Zr) par le champ ou la
zone
de Wernicke (W), considérablement accru de volu
u antérieur (BrQa) et par quelques fibres du ruban de Reil (Rm). La
zone
réticulée ou grillagée (Zr) sépare la zone de W
u ruban de Reil (Rm). La zone réticulée ou grillagée (Zr) sépare la
zone
de Wernicke (W) du segment rétro-lenticulaire de
halamus). Tm, tubercule mamillaire. 1'3, troisième ventricule. 117,
zone
ou champ de Wernicke. Zr, zone réticulée ou gri
ire. 1'3, troisième ventricule. 117, zone ou champ de Wernicke. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. x
factif. U, circonvolution du crochet. 1*3, troisième ventricule. 117,
zone
de Wernicke. xll, chiasma des nerfs optiques. x
nerfs optiques. xM, entre-croisement de la calotte de Meynert. Gn,
zone
réticulée ou grillagée. ? bandelette optique. 6
ncore du bras du tubercule quadrijumeau a»tr·nir.ac>·(f3rQa). La
zone
de Wernicke (W) s'est accrue. Dans sa partie anté
es du corps genouillé externe (Cgc). Les fascicules de fibres de la
zone
de Wernicke sont lins, serrés, et extrêmement n
crochet. IV, champ de Wernicke. xi, chiasma des nerfs optiques. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
est séparé du noyau rouge et de la capsule, de ce dernier, par une
zone
de libres entre-croisées dans tous les sens dont
dont l'origine est encore inconnue. Il existe toutefois dans cette
zone
un groupe de fibres plus colorées qui s'en déta
cus niger, traverse le ruban de Reil médian (Rm) et se perd dans la
zone
mal délimitée, située entre le tubercule quadri
cule cérébral (P), en arrière du locus niger, au niveau de la large
zone
d'émergence de la troisième paire. Le pied du p
amp de Wernicke. xM, entre-croisement de là calotte de Meynert. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. H
(RTh), qui pénètrent dans le pulvinar (Pul) après avoir traversé la
zone
de Wernicke (W). Mais le pulvinar reçoit en outre
ent en arrière et en dedans, s'entre-croisent avec les fibres de la
zone
de Wernicke (V) et s'irradient dans le pulvinar (
onne naissance au niveau de sa partie postérieure, aux libres de la
zone
de Wernicke (W), et reçoit en avant la bandelet
les faisceaux de la substance réticulée de la calotte (SR). Dans la
zone
claire qui sépare cette substance 'réticulée du
lle présente, ainsi que Baillarger l'a montré en 1840, une série de
zones
concentriques, au nombre de six, alternativemen
ches grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre par une
zone
blanche, mince et mal délimitée en général, la st
'écorce du cerveau des mammifères, quatre couches, à savoir : 1° la
zone
moléculaire;, 2° la zone des petites cellules p
ifères, quatre couches, à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la
zone
des petites cellules pyramidales; 3° la zone de
moléculaire;, 2° la zone des petites cellules pyramidales; 3° la
zone
des grandes cellules pyramidales; '. 4° la zone
yramidales; 3° la zone des grandes cellules pyramidales; '. 4° la
zone
des cellules polymorphes (fig. 330).' La nomenc
, la région de l'insula et la région occipitale. Région rolandique (
zone
psycho-motrice).-Les cellules de l'écorce de la
llules $pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1°
Zone
moléculaire (1r couche de Meynert, couche granule
tieda, couche des fibres tangentielles) (fig. 329, 339, A). - Cette
zone
a une épaisseur de 0 ? 25 environ au niveau des c
aignées. Sur des préparations colorées par le carmin (fig. 329), la
zone
nzolé- culaire parait constituée par une substa
inghaus, Jendrassik, Vulpius, Kaes, constitue le réseau d'Exner, la
zone
corticale tangentielle, les fibres zonales ou le
Ecoroodumautcau cérébral. Les quatre couche de Ramon y Cajal.
Zone
moléculaire (1" couche), Son épaisseur. Fib
ut tangentielle; elles s'enchevêtrent avec des fibres provenant des
zones
sous-jacentes (cylindres-axes ascendants des cell
éments augmente à mesure qu'ils deviennent plus profonds, et la
zone
des petites cel- lules pyramidales se conti-
nsi insensiblement, et sans ligne de démarca- tion nette, avec la
zone
des grandes cellules pyrami- dales. Quelle
qui se terminent librement entre les fibrilles nerveuses de cette
zone
. Ces ramifications protoplas- miques n'ont pas
s dendrites se réduisent au panache terminal qui se ramifie dans la
zone
moléculaire, particulièrement développée chez c
es pyramidales, les cellules situées immédiatement au-dessous de la
zone
moléculaire ne sont pas de forme véritablement
des cellules voisines, et occupent presque toute l'épaisseur de la
zone
moléculaire. Quant aux dendrites basi- laires,
s du cylindre-axe, Cajal les a vues remonter parfois jusque dans la
zone
moléculaire. D'après Golgi qui les a découvertes,
s cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fig. 339). -Dans cette
zone
, qui mesure à peu près 0 ? \32, on retrouve encor
de petit diamètre et dont la dendrite principale se dirige vers la
zone
moléculaire. La majorité des cellules de celte
dirige vers la zone moléculaire. La majorité des cellules de celte
zone
est toutefois constituée par des éléments ovoïdes
llules pyramidales, mais n'atteignent jamais la couche moléculaire,
zone
dans laquelle se trouvent les terminaisons en p
axe, qui naît parfois d'une dendrite, monte en ligne droite dans la
zone
moléculaire, où il se divise en fins rameaux, à
eynert (couche des fibres d'association externes) (Kaes). Ces trois
zones
, caractérisées par la grande densité de leur fe
densité de leur feutrage de fibres, sont reliées entre elles par deux
zones
de fibres plus clairsemées, formant un feutrage
a strie externe de Bail- larger, on peut désigner, avec Edinger, la
zone
externe sous le nom de feu- FiG. 343. Coupe tra
. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. C83 trage super-radiaire et la
zone
interne sous celui de feutrage inler-radiaire.
de la deu- xième couche (2° plexus). Origine de ces libres.
zone
corticale tangenlielle, stratum zonale, premier p
minal des cellules pyramidales et s'engendre dans l'épaisseur de la
zone
moléculaire. C'est en outre sur le panache dend
s cellules fusiformes verticales (B. iig. 346). - Au- dessous de la
zone
moléculaire, on trouve trois ou quatre rangées de
pôles deux dendrites, l'une ascendante qui va se rami- fier dans la
zone
moléculaire, l'autre descendante qui forme une ar
latérales, qui se ramifient en se dirigeant horizontalement dans la
zone
du ruban de Vicq d'Azyr. On rencontre encore da
ans la zone du ruban de Vicq d'Azyr. On rencontre encore dans cette
zone
, ou dans celle qui est située au-dessous, des c
La dendrite ascendante ou principale se termine en panache dans la
zone
moléculaire, et le cylindre-axe peut être suivi j
s pyramidales moyennes sous-jacentes, dendrites qui donnent à celle
zone
intermédiaire un aspect strié ou radié, de là son
ure, elles donnent naissance à des dendrites se rami- fiant dans la
zone
moléculaire , particularité qui les rapproche des
érieur du trigone. tri, thalamus.- hic, taenia semi-circularis. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE C
cci- pitale et surtout dans la première circonvolution limbique. La
zone
des celulles pyramidales petites et moyennes s'
s de cette couche. Leurs dendrites ascendantes s'arborisent dans la
zone
molécu- laire et impriment à la 3c couche un as
ant d'aborder les parties supérieures de la couche moléculaire, une
zone
pauvre en cellule, le stratum radiatum. On a dé
ellulaires sont plus éloignés les uns des autres et constituent une
zone
plus large, mal délimitée, absolument semblable à
s cellules polymorphes. Cajal distingue dans le stratum oriens deux
zones
: l'une inférieure, l'autre supérieure. La zone
tratum oriens deux zones : l'une inférieure, l'autre supérieure. La
zone
inférieure renferme des cellules fusiformes et ir
me le cylindre-axe horizontal des cellules du type II de Golgi delà
zone
supérieure (fig. 354, b). La zone supérieure du
llules du type II de Golgi delà zone supérieure (fig. 354, b). La
zone
supérieure du stratum oriens, beaucoup plus épais
coup plus épaisse que la précédente, mérite d'après Cajal le nom de
zone
plexiforme. Cette zone reçoit les dendrites inf
a précédente, mérite d'après Cajal le nom de zone plexiforme. Cette
zone
reçoit les dendrites inférieures, ainsi que les
st relativement rare (Cajal) Stratum oriens I (3e couche). j. z
Zone
inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de c
Cajal) Stratum oriens I (3e couche). j. z Zone inférieure. Sa
zone
plexiforme. Cellules de cette zone. Cellule
. j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de cette
zone
. Cellules de Golgi à cylindre-axe hori- zon
Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. - B, couche des grains. - C,
zone
plexiforme de la couche des cel- lules polymorp
- C, zone plexiforme de la couche des cel- lules polymorphes. - D,
zone
des cellules irrégulières de la même couche. - a,
llules ovoïdes du stratum granulosum se terminent aux confins de la
zone
moléculaire, dans des régions riches en vaissea
rès Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des grains. C,
zone
plexiforme ou partie supérieure de la couche de
che des cellules polymorphes (3° cou- che). Sa subdivision en
zones
superficielle, moyenne et profon- de. Cellu
ules po- Jymorphes. Cellules à. cylindre- axe ascendant de la
zone
superficielle. cellules ovoïdes du stratum gran
ne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette couche trois ou quatre
zones
secondaires à savoir : la zone limi- tante su
ns cette couche trois ou quatre zones secondaires à savoir : la
zone
limi- tante superficielle ou zone des cellule
zones secondaires à savoir : la zone limi- tante superficielle ou
zone
des cellules pyramidales, la zone moyenne ou
limi- tante superficielle ou zone des cellules pyramidales, la
zone
moyenne ou plexi- forme et la zone profonde o
des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme et la
zone
profonde ou zone des cellules fusi- formes; c
midales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou
zone
des cellules fusi- formes; ces deux derniè- r
ype II de Golgi. : Les cellules à cylindre-axe ascendant occupent les
zones
superficielle et moyenne. Elles correspondent a
pyramidales d'un dense feutrage péricellulaire. Les cellules de la
zone
superficielle sont pyramidales ou étoilées, encla
aire où elle s'arborise ; les dendrites basilaires s'épuisent dans la
zone
superficielle ou dans la. zone plexiforme. Le c
drites basilaires s'épuisent dans la zone superficielle ou dans la.
zone
plexiforme. Le cylindre-axe ascendant se détach
lergranidaire de Cajal. Les cellules à cylindre-axe ascendant de la
zone
moyenne sont globuleuses ou polymorphes^. 368,
cellules à cylindre-axe descendant (lig. 368, j, g), rares dans la
zone
superficielle, sont plus fréquentes dans les zone
g), rares dans la zone superficielle, sont plus fréquentes dans les
zones
moyenne et profonde de la couche des cellules p
épines très nombreuses Cellules à cylindrc- axe ascendant de la
zone
moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant
de la zone moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant de la
zone
profonde. Fie. 368. - Coupe de la circonvolutio
Ramon y Cajal.) .l, couche moléculaire. - B, couche des grains. C,
zone
plexiforme de la couche des cellules polymorphe
rains. C, zone plexiforme de la couche des cellules polymorphes. D,
zone
des cellules irrègulières de la mème couche. a, g
un panache de branches variqueuses et parallèles, qui traversent la
zone
moléculaire et se terminent, aux confins de cel
Golgi. Ces cellules émettent une dendrite épaisse, qui traverse la
zone
moléculaire et se termine par un élégant panach
dendrites latérales plus ou moins obliques, qui se ramifient dans la
zone
moléculaire, et à un épais cylindre-axe pourvu
es des cellules mitrales, soit . ceux des cellules fusiformes de la
zone
moléculaire du bulbe olfactif, soit encore des
des grains et celle des cellules mitrales, et se terminent dans la
zone
moléculaire par une ramification divergente, fo
ellules pyra- midales et envoient leurs dendrites ramifiées dans la
zone
moléculaire, très réduite en général au niveau
Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. lobe, et se groupent de
ion du crochet. troisième ventricule. - VI, ventricule latéral. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optiqu
e change, le segment rétro- lenticulaire n'est plus seul altéré, la
zone
dégénérée gagne le segment posté- rieur de la c
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - VV,
zone
de Wernicke. - Zi, zona incerta. Gn, zone rétic
ventricule latéral. - VV, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta. Gn,
zone
réticulée ou grillagée. 1 780 ANATOMIE DES CENT
sceau d'association qui relie le lobe occipital, et en particulier la
zone
visuelle, au lobe temporal. Ce faisceau dégénèr
r du trigone. tth, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr,
zone
réticulée ou grillagée. 792 ANATOMIE DES CENTRE
Pc], première circonvolution pariétale [I',], précunéus [l'rC]).-La
zone
dégénérée se cantonne aux parois inférieure et
, ainsi que Vialet l'a bien indiqué, les libres saines traverser la
zone
des fibres dégénérées, et aborder soit le forceps
bique, le forceps minor. Après la réunion de ces deux faisceaux, la
zone
dégénérée s'enfonce dans la profondeur du force
rescence du stratum calcarinum, de la masse blanche du cunéus et la
zone
de dégénérescence qui occupe la partie supéro-int
orps calleux, relèvent évidemment delà lésion du cunéus. Quant à la
zone
de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure
centraux, où elle retentit sur les fibres radiées du pulvinar, sur la
zone
de Wernicke et la partie postéro-externe du cor
ngual et fusiforme et du sillon collatéral ou occipito-temporal. La
zone
pointillée représente le siège d'un ramollissemen
miques, qui s'accuse avec une netteté remarquable en avant, dans la
zone
de Wernicke, le pulvinar et le corps genouillé ex
mposés déjà en deux régions distinctes : les faisceaux de Goll et les
zones
radiculaires postérieures; les faisceaux antéro
divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck,
zones
radiculaires antérieures; aujourd'hui, pour ne
bien d'autres découvertes, à savoir : les faisceaux de Gowers, les
zones
de Lissauer, les zones marginales antéro-externe
tes, à savoir : les faisceaux de Gowers, les zones de Lissauer, les
zones
marginales antéro-externe et postéro- externe d
le centre ovale de Flechsig, etc., etc. Et cette multiplication des
zones
, des faisceaux, des régions plus ou moins autonom
Zone marginale externe, ou faisceau profond du cordon latéral. V.
Zone
externe de LissallC1', W. Zone interne de Lissa
V. Zone externe de LissallC1', W. Zone interne de Lissauc1', X.
Zone
marginale antéro-externe de Wcstphal. X'. Zone
e de Lissauc1', X. Zone marginale antéro-externe de Wcstphal. X'.
Zone
marginale postéro-externe de Westplrol. Y. Fais
marginale postéro-externe de Westplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou
zone
radiculaire du faisceau postérieur. Z. Faisce
. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur (
zone
radiculaire). H. Cordon de Coll. I. Commissur
érieur. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur sain. 1-J.
Zones
enflammées des cor- dons antérieurs. K. Zone
- dons antérieurs. K. Zone altérée du cordon posté- rieur. L.
Zone
altérée du cordon laté- ral gauche. M. Coupe
sseau altéré. JV. Coupe transversale d'un vais- seau altéré. 0.
Zone
peu lésée du cordon la- téral droit. Figure 1
eu lésée du cordon la- téral droit. Figure 14. MYÉLITE DIFFUSE.
Zone
moyennement enflammée. La figure représente un
presque exclusivement cantonnées dans les cornes antérieures en des
zones
presque symétriques. A-A. Zones saines des corn
Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la
zone
radiculaire posté- rieure droite. Presque tout
de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la
zone
radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES
lité de la coupe, la partie indemne de la moelle est réduite à deux
zones
marginales latérales presque symétriques. On reco
ur. II-II. Parties indemnes des cor- dons antéro-latéraux. 1-I.
Zones
slérosées des mêmes cordons. J. Cordons posté
ose latérale gauche. L. Partie moins altérée de la même plaque.
M. Zone
sclérosée du faisceau postérieur. Ces deux pr
ccupant la moitié droite de la moelle presque tout entière, et deux
zones
irrégulières dans la moitié gauche. .iL Corne a
ntérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau postérieur sain. I.
Zone
respectée du faisceau antéro-latéral droit. J
L. Partie de cette plaque située dans le faisceau lat. gauche.
M. Zone
sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone scl
sté- rieur. K. Zone saine du cordon antéro- latéral droit. L.
Zone
altérée du même cordon. il/. Zone sclérosée du
don antéro- latéral droit. L. Zone altérée du même cordon. il/.
Zone
sclérosée du cordon pos- térieur droit. N. -
ieur droit. N. - Zone sclérosée du cordon postérieur gauche. 0.
Zone
sclérosée du cordon an- térieur gauche. P. Zo
ieur gauche. 0. Zone sclérosée du cordon an- térieur gauche. P.
Zone
sclérosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26
de Weigert. Les altérations sont extrêmement intenses : seules les
zones
marginales et une partie de la substance fondam
érieur. J. Zone marginale peu altérée du cordon postérieur. A'.
Zone
sclérosée des cordons postérieurs. FIGURE 28.
sure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur. l.
Zone
de Westphal du cordon postérieur indemne. J.
colorée par la méthode de Pall. La sclérose est cantonnée dans des
zones
analogues à celles de la préparation précé- den
agit d'un cas de tabès au début, les lésions sont cantonnées dans les
zones
radicu- laires moyennes de Burdach. - A. Corn
ur. G. Faisceau antéro-latéral. II. Cordon de Goll respecté. I.
Zone
de Lissauer et zone pos- térieure du faisceau d
téro-latéral. II. Cordon de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et
zone
pos- térieure du faisceau de Bur- dach indemn
uer et zone pos- térieure du faisceau de Bur- dach indemne. .1.
Zone
de Westphal non alté- rée. K-K'. Zones de Bur
Bur- dach indemne. .1. Zone de Westphal non alté- rée. K-K'.
Zones
de Burdach sclé- rosées. Cette pièce qui nous
re postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau latéral. - I.
Zone
antéro-externe de West- phal. - J. Cordon de
e West- phal. - J. Cordon de Goll. K. Faisceau de Burdach. L.
Zone
postéro-externe de Westphal. Figure 52. ATA
a partie postérieure des cordons posté- rieurs, et ayant envahi les
zones
de Lissaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne
E. Canal central. F. Sillon antérieur. G. Cordon latéral. IL
Zone
de Westphal moins altérée. I. Faisceau de Bur
a épargné la partie posté- rieure des faisceaux de Burdach, et les
zones
de Lissauer. Seul le cordon de Goll est altéré
issure antérieure. G. Sillon antérieur. IL Faisceau latéral. I.
Zone
antérieure de Westphal. J. Zone de L.issaüer.
antérieur. G-G. Zones de Lissaüer indemnes se confondant avec la
zone
postérieure des faisceaux de Bur- dach. J7. Z
ach. J7. Zone antéro-externe de Westphal. l. Partie moyenne de la
zone
radiculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire.
al et colorée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la
zone
des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure.
ire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la
zone
des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi
occupe les faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite
zone
du faisceau de Gowers. A. Corne antérieure. B
érieur. H. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1.
Zone
sclérosée du faisceau de Gowers. J. Colonne d
ssure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur. I.
Zone
de Westphal indemne. J. Zone de Lissauer peu al
MALADIE DE FRIEDREICH. Colonne de CLARKE. La figure représente la
zone
de la colonne de Clarke, dans la région dorsale,
880 PREMIÈRE PARTIE DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES POINTS OU
ZONES
HYSTÉROGÈNES DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES
n. La pression sur la région sous-mammaire agit plus vite ; mais la
zone
hystérogène par excellence c'est la région sus-
attaque hystéro-épileptique. Il n'y a pas de douleur spontanée. 3°
Zone
intercostale gauche, dans le huitième espace inte
elle détermine de la suffocation. C'est à ce moment qu'intervient la
zone
hystérogène rachidienne ; son intervention se man
querait jamais de jouer un rôle dans l'aura. Le clou hystérique et la
zone
intercostale n'y participeraient pas. Sommeil.
'hémianes- 8 thésie et de l'hyperesthésie ovarienne. Parfois, les
zones
hystérogènes sont doubles et symétriques ; — dans
a sensibilité commence à revenir au niveau des plaques. Peu à peu, la
zone
semble s'agrandir et finit par avoir 6 centimètre
e de simples points sensibles sans être encore tout à fait normaux.
Zones
hystérogènes. — Pas de clou hystérique, bien que
de toute la tête ait été faite avec soin. — Il n'y a pas non plus de
zone
hystérogène sternale; ni de zone hystéro-gène au
vec soin. — Il n'y a pas non plus de zone hystérogène sternale; ni de
zone
hystéro-gène au niveau des flancs ou du rebord de
ent des palpitations, des sensations douloureuses occupant les autres
zones
hystérogènes, des « sautements et des bouillonnem
ues-uns des symptômes permanents de l'hystérie (anesthésie partielle,
zone
hystérogène latéro-mammaire) qui suffisent à expl
n vigoureuse ne nous a point paru suspendre les convulsions (?). 3°
Zone
latéro-mammaire droite. — Elle siège au niveau de
assure qu'elle ne ressent pas d'habitude de douleurs au niveau de la
zone
rachidienne ni de la zone latéro-mammaire ; mais,
pas d'habitude de douleurs au niveau de la zone rachidienne ni de la
zone
latéro-mammaire ; mais, avant les attaques, elle
raillements, des élancements, qui vont du siège de la rachialgie à la
zone
latéro-mammaire et réciproquement. Aura. — Quat
sensation de vertige : P... perd connaissance, l'attaque éclate. La
zone
latéro-mammaire droite ne participe que par excep
nts qu'on fusille sur la place du Châtelet, etc.2 1 II n'y a pas de
zone
latéro-mammaire gauche. — Depuis quelques mois, P
qu'elles possédaient une intensité différente : La plus active est la
zone
rachidienne, puis vient la région ovarienne, enfi
ive est la zone rachidienne, puis vient la région ovarienne, enfin la
zone
latéro-mammaire droite. L'hyperesthésie ovarienne
après ou avec une hémianesthésie du côté droit, nous avons toutes les
zones
hystérogènes du côté gauche. OBSERVATION VI S
imparfaite, nous ne prendrons que les passages qui se rapportent aux
zones
hystérogènes. 1° Rachialgie. — Elle s'étend de
prédomine dans les gouttières gauches. Dans toute la hauteur de cette
zone
; des deux côtés, et dans une largeur maxima de 3
pontanée et, dans les attaques ordinaires, d'origine ovarienne, cette
zone
ne participe pas aux phénomènes de l'aura. Provoq
geur. — A gauche, la sensibilité est plus délicate au niveau de cette
zone
que dans les parties voisines. —Adroite, actuelle
té existe, mais est obtuse, si ce n'est, précisément, au niveau de la
zone
hystérogène du flanc droit. Le chatouillement sim
zone hystérogène du flanc droit. Le chatouillement simultané des deux
zones
est plus vif à gauche. La pression d'une seule
ltané des deux zones est plus vif à gauche. La pression d'une seule
zone
ne détermine d'attaque qu'à la condition d'être t
à la condition d'être très forte. La pression, même modérée, des deux
zones
à la fois amène une attaque : un jour, en serrant
flanc à l'autre, s'entre-croisant et faisant participer à l'aura les
zones
hystérogènes des flancs : cette phase (aura hysté
occupent bien, comme nous l'avions annoncé, le côté sain. — L'une des
zones
est double et symétrique, celle des flancs. — Leu
ps. A quoi tiennent ces anomalies? Nous l'ignorons. Disparition des
zones
hystêrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêc
nt la découverte de cette région. C'est ainsi que Geneviève 1 dont la
zone
hystérogène siège au niveau des 7e, 8e et 9e vert
iveau des apophyses épineuses des 6e, 7e, 8e vertèbres dorsales. — 2°
Zone
de chaque côté du sternum, au niveau du 4e espace
espace intercostal : la pression détermine un peu d'oppression. — 3°
Zone
latéro-mammaire double, plus intense à gauche. —
de la Salpêtrière, t. I, p. 48-108. * Voir pour la description des
zones
hystérogènes chez d'autres malades : Iconogr. pho
conduisait naturellement à rechercher s'il en était de même pour les
zones
hystérogènes. L'expérience a montré que très fréq
'on comprime la région ovarienne d'une hystérique, l'excitation de la
zone
hystérogène la plus active ne parvient plus à pro
qu'elles peuvent être généralement arrêtées par une surpression de la
zone
excitée, le sont aussi, le plus souvent, par la c
rsonnellement les attaques de sommeil. OBSERVATION IX Sommaire. —
Zones
hystérogènes. — Caractères du sommeil. — Descript
1'Iconographie (p. 93-122). Nous allons la compléter en décrivant les
zones
hystérogènes qu'elle présente et les caractères d
hémi-anesthésie gauche complète et une analgésie du côté droit. 1°
Zones
hystérogènes. — Clou hystérique. — Rien à la pres
ère, on a produit des attaques en pressant involontairement sur cette
zone
. (On lui a appliqué des pointes de feu de chaque
taques de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons écrit sur les
zones
hystérogènes et le sommeil des hystériques, elle
à l'état ordinaire. — Attaques de sommeil. — Amaurose hystérique. —
Zones
hystérogènes. — Effets de la pression. — Prodrome
ore ce matin, à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche (
zone
hystérogène), M. Charcot provoque quatre petites
. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques par la pression de la
zone
hystérogène : la parole est revenue. — La malade
partie àw. sternum qui correspond aux troisièmes cartilages costaux [
zone
hystérogène). Enfin, D... est réveillée par la co
ombent lourdement. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire. Les
zones
hystérogènes sont : Io les deux régions ovarienne
e Y hystérie; hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne du côté gauche,
zones
hystérogènes, grandes attaques. Chez elle, de m
et en 1879. — Trépidation spontanée. — Troubles de la sensibilité. —
Zones
sensibles. — Effets de l'électrisation. — Zones h
de la sensibilité. — Zones sensibles. — Effets de l'électrisation. —
Zones
hystérogènes. Hel... Eudoxie, célibataire, sans
t abolie sur tout le corps, sauf au-dessus de l'ombilic où il y a une
zone
sensible mesurant 10 centimètres de hauteur, s'ét
n s'effilant et comprenant les régions ovariennes. Au niveau de cette
zone
, la malade perçoit le pincement, mais non le simp
centimètres de haut, finissant aux crêtes iliaques). Dans toutes ces
zones
, la sensibilité reste obtuse, il faut que la piqû
chappent à la malade : c'est en particulier ce qu'on observe pour une
zone
située à la partie supérieure et externe des gran
lire par l'éther ; effets consécutifs. — Action du nitritc d'amyle. —
Zones
hystérogènes. —Nouveaux détails sur l'aura.—Létha
s la malade voyait des yeux rouges, des dents bleues, du sang, etc.
Zones
hyslérogèncs. — 1° Ovaralgie à droite; — 2° rachi
— 1° Ovaralgie à droite; — 2° rachial-gie (voir t. II, p. 161) ; — 3°
zones
latéro-mammaires, avec prédominance du côté droit
ésence d'un état qui ne manquait pas de gravité. La compression des
zones
hystérogènes amena des attaques à la suite desque
res. — Phénomènes vaso-moteurs. —Effets de i'éther, du chloroforme. —
Zones
hystérogènes : leur rôle dans l'aura. — Améliorat
trois minutes. — Dans les deux cas, elle se réveille promp-tement.
Zones
hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. (Voir t. II
e complète; la pression de l'ovaire ne détermine pas d'attaques. — 2°
Zones
la-téro-mammaires droite et gauche , avec prédomi
une largeur d'un centimètre et demi; la pression simultanée des deux
zones
produit une attaque. — 3° Clou hystérique] la pea
eur de quatre centimètres et une largeur de trois centimètres ; cette
zone
est la plus active ; une pression, même modérée,
ure environ cinq minutes. C'est alors qu'intervient la rachialgie, la
zone
hystérogène par excellence, chez B...; cette zone
t la rachialgie, la zone hystérogène par excellence, chez B...; cette
zone
est le siège de sensations analogues à des coups,
La sensibilité a reparu par tout le corps (peau et muqueuses.) — Les
zones
hystérogènes n'existent plus ; la compression de
— la mobilité du caractère, les troubles vaso-moteurs ; — le rôle des
zones
hystérogènes dans le développement de Y aura; — e
atives d'ancsthéèic générale et d"hémiancsthésie gauche. — Sommeil. —
Zones
hystérogènes. — Aura. — Description des attaques.
ent elle a des insomnies, et ne dort pas plus d'une ou deux heures.
Zones
hystérogènes.— a) Clou hystérique.—Il siège au ni
te et ne se propageant-pas vers les tempes. —La sensibilité, dans ces
zones
, existe, mais est obtuse. — La pression ne provoq
attaque : « Il n'y a pas moyen, dit-elle, d'avaler la, boule. » Cette
zone
, comme intensité, vient immédiatement après celle
tensité, vient immédiatement après celle de la région ovarienne. c)
Zone
intercostale gauche. — Elle se trouve au-dessous
sque les attaques s'éloignent, la sensibilité cutanée au niveau de la
zone
intercostale gauche (côté où l'anesthésie est per
it une attaque, mais moins promptement que la pression exercée sur la
zone
rachidienne. Un jour, en se couchant, S... s'est
chidienne. Un jour, en se couchant, S... s'est cognée au niveau de la
zone
intercostale gauche, et elle est tombée en attaqu
che. — L'anesthésie est complète dans cette région. — Il n'y a pas de
zones
sus ou sous-claviculaires, ni au niveau des flanc
si, pendant cette phase, qui ne dure que trois ou quatre minutes, les
zones
hys-térogènes interviennent. La boule ne redescen
es attaques, S... se plaint de fatigue, de douleurs-dans la tête. Les
zones
hystérogènes ne seraient le siège d'aucune douleu
bs* XII et XIII, confirme les descriptions que nous avons données des
zones
hystérogènes, de leur rôle dans la succession des
es. TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Des
zones
hystérogènes et du sommeil chez les hystériques.
ystériques. \ Observation I..................... 4 Des régions ou
zones
hystérogènes............. 36 Description.......
VI..................... 78 Etat de la sensibilité au niveau de ces
zones
...... 82 Disparition des zones.................
t de la sensibilité au niveau de ces zones...... 82 Disparition des
zones
................. 83 Observation VII............
au-dessus de la selle turciqne. De cette façon reste délimitée une
zone
ovalaire avec son diamètre maximum dans le sens a
et qui présente les dimensions d'une noix. Dans le centre de cette
zone
on peut distinguer un point central plus foncé.
mme les autres métacarpiens. Les premières phalanges présentent des
zones
de raréfaction aréolaire, enfin tous les cartil
on membre inférieur gauche. La plus atteinte sous ce rapport est la
zone
au-dessous de l'ombilic. Le sens articulaire es
les fibres autour du sillon antérieur : assez bien aussi, une large
zone
autour de la racine antérieure; presque aussi b
s forme d'étroites languettes vers le centre. On constate aussi une
zone
de fibres assez bien conservées le long de la com
es tumeurs peuvent être des métastases ou naître dans diffé- rentes
zones
de la colonne vertébrale (myélome). Les ostéomes
condaire ascendante (des faisceaux de Goll et de Burdach et dans la
zone
périphérique des cordons antéro-latéraux). Au-d
voies pyramidales latérales. A gauche, dégénérescence notable de la
zone
radiculaire (depuis les IIe et Ici' segments lo
ire on constate une dégénérescence du champ ovale de rlecUsig,de la
zone
radiculaire gauche et une dégénérescence moins
la moelle sacrée, le triangle de Gombault-Philippe est dégénéré. La
zone
radiculaire gauche se rapproche davantage de la
térieure des cordons latéraux.Ils sontaussi assez nombreux dans la
zone
nommée névroglique périphérique, surtout là où
grise. Quant aux cordons antérieurs les lésions s'y voient dans la
zone
périphé- rique antérieure. La zone périphériq
les lésions s'y voient dans la zone périphé- rique antérieure. La
zone
périphérique médiane (autour du sillon antérieur)
s masses on peut distinguer un point plus rouge (cylindraxe) et une
zone
rosée (la gaine de myéline). Les masses roses les
ie et vers la commissure grise). Dans le cordon latéral gauche, une
zone
périphérique claire et un foyer allongé dans la
brunâtre, la coupe jaune sans structure. Reins augmentés de volume,
zone
corticale élargie, pyra- mides très rouges ; da
e volume, zone corticale élargie, pyra- mides très rouges ; dans la
zone
corticale, raies jaunâtres et rouges (dilata- t
tentif pour les déceler. On {constate alors un aspect aréolaire des
zones
périphériques des cordons antéro-latéraux, les cl
s et gorgés de sang. Avec un fort grossissement on constate dans la
zone
péri- phérique des cordons antéro-latéraux des
de plus petits, ovales, dans le cordon postérieur droit, près de la
zone
périphérique, non loin de la ligne médiane. --
paraissent de grands foyers irrégu- liers ; ils se trouvent dans la
zone
radiculaire aussi bien que dans le voisinage de
es cordons latéraux et postérieurs. Légère démyélinisation dans les
zones
périphériques des cordons latéraux et antéro-la
nime. Dans les cordons antérieurs, pas de lésion (seulement dans la
zone
radicu- laire droite antérieure'une légère démy
remarque des corpuscules amyloïdes. Ils occupent principalement la
zone
périphérique névroglique (gliüse Randschichte).
liüse Randschichte). On peut en voir un nombre considérable dans la
zone
périphérique des cordons postérieurs. De là ils p
substance grise on voit les fibres nerveuses plus pâles que dans la
zone
périphérique de la moelle. Le long de la corne
iphérique de la moelle. Le long de la corne postérieure gauche, une
zone
très pâle. La racine postérieure gauche est tou
le cordon antéro-latéral gauche, une légère démyélinisation dans la
zone
périphérique et un petit foyer dans le cor- don
nière. On peut voir des cellules isolées sarcomateuses môme dans la
zone
périphérique névroglique (aliiise Randschichte).
ine certitude la présence de cellules sarcomateuses isolées dans la
zone
périphérique de la névroglie. Les racines médul
llules isolées pouvait être constatées dans la moelle même (dans la
zone
névro- glique périphérique). En parlant de la
egments éloignés des endroits comprimés des dégénérescences dans la
zone
radiculaire des cordons postérieurs (compressio
le ou qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une
zone
cérébrale toujours la même, ce jour-là la preuve
, qui nous permet de diviser le manteau encéphalique en aires ou en
zones
à caractères nets et distincts, nous fournira dan
cheveux sont rares et grisonnants et manquent complètement, sur une
zone
assez large, au vertex. La branche pariétale et l
s deux cas, nous trouvons, autour de l'ulcération tuberculeuse, une
zone
irrégulière d'ostéite condensante, avec des travé
se voit de deux côtés.Les troubles sensitifs de même. Il n'y pas de
zone
d'hyperesthésie. Quant au sens des attitudes, le
isceaux de Goll principalement) et une dégénérescence dif- fuse des
zones
périphériques des cordons antéro-latéraux. Au-des
côte en avant et le bord inférieur de l'omoplate en arrière. Pas de
zone
d'hyperesthésie. Les douleurs ne sont pas trop
dération en premier lieu la limite supérieure de l'anesthésie et la
zone
des douleurs en ceinture. En nous servant des s
foyer occupant le cordon postérieur se trouve dans la proximité de la
zone
périphérique postérieure, aussi bien dans le co
le reste du tissu ; de même les cordons antérieurs montrent dans la
zone
postérieure une structure alvéolaire et le tissu
où les fibres nerveuses persistent encore en nombre suffisant (les
zones
périphériques des cordons antéro-latéraux, la rég
dons antéro-latéraux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la
zone
périphérique postérieure du 'cordon pos- térieu
tout le cordon latéral gauche et plus pro- fonde (scléreuse) de la
zone
périphérique bien étroite. Tout le cordon latéral
une sclé- rose considérable de la voie pyramidale latérale et d'une
zone
assez large des cordons latéraux et antérieurs,
moitié gauche de la moelle est plus clair- semée que la droite. La
zone
autour des cornes antér;eures est relativement la
us, maltraitées qu'à droite). Quant à la structure de la tumeur, la
zone
périphérique est plus intensive- ment colorée,
moins colorée et possède une structure du tissu conjonctif. Dans la
zone
périphérique, de même que dans la centrale, on vo
ement sur la surface de tumeur. Elles la limitent ou constituent sa
zone
périphérique en se colorant intensivement (fuch
e dans les cordons postérieurs (surtout dans le gauche) et dans les
zones
périphériques du cordon latéral gauche. Dans la
ça et là vers les parois on rencontre quelques globules sanguins. La
zone
périphérique de la tumeur est constituée par un
peu nombreuses. On remarque aussi une légère dégénérescence dans la
zone
radiculaire de deux cordons postérieurs. Le mén
égion des cordons latéraux. Bien évidente est la dégénérescence des
zones
radiculaires dans les deux cordons postérieurs,
tique. 3. Continuation du foyer alvéolaire. 4. Dégénérescence de la
zone
radiculaire gauche. 3, 6. Foyer nécrotique dans
situés dans les cordons postérieurs (la région de commissure et des
zones
radiculai- .res) et dans les antérieurs (le fon
in. 4. Vaisseaux dilatés. 5. Foyer en coin. 6. Foyer alvéolaire. 7.
Zone
radiculaire gauche dégénérée. 8. Foyer allongé al
t dorsal. On y voyait deux grands foyers du type alvéolaire dans la
zone
périphérique des deux cordons latéraux et d'aut
le cordon latéral droit. A part cela, une faible dégénérescence des
zones
radiculaires dans les cordons postérieurs. En s
squ'à une certaine limite et aux membres supérieurs, anesthésie des
zones
radiculaires). Il était évident qu'il s'agissai
énérescence dans les cordons postérieurs dépendait de la lésion des
zones
radiculaires des cordons postérieurs et non de ce
rieurs (1-11). On y voit seulement une certaine raréfaction dans la
zone
périphérique des cordons antérieurs est un peti
raréfaction des fibres dans la substances blanche (surtout dans les
zones
périphériques) et dans la grise (le réseau des fi
érieurs sont un peu moins bien colorés, par exemple la région de la
zone
radiculaire gauche. Pas de gommes syphilitiques.
uche, est complètement dégénérée (la raréfaction des libres dans la
zone
radiculaire 1), tandis que sa voisine immédiate
ont révoqué en doute le rôle des cellules pyramidales géantes de la
zone
dite motrice dans le mécanisme des mouvements v
nacre. Lecture, 16 mai 1909. jixiii 25 370 31ARINESCO ques la
zone
corticale du bras chez un garçon flui présentait
de Brodmann. Smith (8), de son côté, a décrit égale- ment plusieurs
zones
dans le domaine des circonvolutions centrales. Ce
une structure particulière qui lui permet de le distin- guer de la
zone
pariétale. Dans la circonvolution postcentrale, l
s la circonvolution postcentrale, l'auteur admet deux ou même trois
zones
qui se prolongent comme deux bandes en croissan
issant à la face interne du lobule paracentral. D'après Brodmann la
zone
polandique de l'homme est divisée par la scisur
géantes. La limite entre les deux centres, abstraction faite d'une
zone
de passage très courte où les deux types sont c
par Brodmann. Sans vouloir pousser à l'infini les subdivisions des
zones
corticales déjà très nombreuses ainsi que cela
echerches de Brodmann, je dois cependant faire remarquer que ni les
zones
1, 2, 3 et 4 de cet auteur (fig. 4) n'offrent p
olume des pyramides géantes varie dans les différents niveaux de la
zone
motrice, en diminuant au sur et mesure qu'on s'
pt chiens auxquels ils ont sectionné les fibres de projection de la
zone
motrice pour voir si les lésions cellulaires qu
llet et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la
zone
motrice de l'écorce centrale après la section exp
De quelles cellules de cette région prend-il son origine ? 3° Cette
zone
d'origine du faisceau pyramidal correspond-elle a
e d'origine du faisceau pyramidal correspond-elle avec celle dite :
zone
motrice excitable ? 4° Coïncide-t-elle avec une
dans la couche polymorphe. Puis les lésions ne se limitent pas à la
zone
précentrale, mais ils en trouvent également dan
s'arrêtent aux conclusions sui- vantes : 10 Chez les primates, la
zone
corticale exacte de l'origine des fibres cor- t
el- lules pyramidales géantes de la couche sous-granulaire de cette
zone
et ces cellules ne donnent probablement pas nai
'origine de ces fibres cortico-spinales coïncide exactement avec la
zone
motrice excitable, ces fibres innerveraient d'apr
rition des cellules de Betz ; ils s'en ont servi pour délimiter la
zone
(1) CHARCOT et Marie. Deux nouveaux cas de sclé
ieds de la première et deuxième frontale participent également à la
zone
motrice. Les cas les plus récents viennent de con
trois cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la
zone
motrice de Brodmann. Les lésions sont plus inte
les relations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la
zone
motrice. J'ai groupé tous ces cas de la manière
a capsule interne. Examen microscopi- que. Les coupes sériées de la
zone
motrice du côté du foyer montrent la disparitio
de la capsule interne ou de la substance blanche sous-jacente à la
zone
rolandique, nous permet de faire une tentative
olandique, nous permet de faire une tentative de localisation dans la
zone
dite motrice. On constate dans ces conditions u
que entre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la
zone
cérébrale occupée par les cellules lésées. Dans
la substance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la
zone
motrice corticale. En comparant ce cas avec ceu
, la réaction cellulaire suivie dans les différentes portions de la
zone
motrice nous montre qu'il existe toujours un rapp
sions des cellules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la
zone
motrice, zone qui corres- pond assez bien à la
ules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la zone motrice,
zone
qui corres- pond assez bien à la distribution d
oins accusées dans les lobules paracentraux que dans le reste de la
zone
motrice. Or, dans mes cas, et en général, dans
. Thoma Jonnesco a pra- tiqué l'ablation d'une grande portion-de la
zone
motrice. Quoique l'écorce fut enlevée sur une g
olando ce fait est bien expliquable. J'ajouterai encore que dans la
zone
de la circonvolution fron- tale ascendante laqu
ron- tale ascendante laquelle correspond aux mouvements de la main,
zone
excisée dans le cas de Brodmann, les cellules d
ement de la ligne mamillaire, une bande s'incurvant au-dessus de la
zone
du sein, allant en s'amincissant progressivement
erforants antérieurs, à toute la peau de la partie antérieure de la
zone
du 2e espace intercostal, en enchevêtrant ses r
, la branche perforante latérale n'a pas de filet antérieur vers la
zone
antéro-externe du tronc, mais va se jeter en to
téro-latérale du tho- rax et pour le sein, rameau débordant dans la
zone
laissée libre par l'ab- sence du filet antérieu
ssi de la partie postéro-interne du bras (PI. XLI). Et autour de la
zone
du 3e espace, il irradie assez largement dans la
autour de la zone du 3e espace, il irradie assez largement dans la
zone
intermé- diaire des anastomoses avec ses voisin
ille, avec une grande tache oblongue à la par- tie supérieure de la
zone
latérale, s'étend sur la largeur moyenne d'une ma
Cette différence de plans, qui lui fait emprunter successivement des
zones
correspondant d'une part aux territoires ressor
la face latérale (rameaux latéraux), et presque horizontal vers la
zone
médiane antérieure (rameaux antérieurs (Van Gehuc
° segments médullaires, elle vient recouvrir vers la ligne médiane la
zone
d'enchevêtrement des rameaux perforants antérie
407 droite(fig. 7 et 8),et un peu au-dessus, sensiblement sur la
zone
d'efflorescence de la branche postérieure du 2e
e; s'étendant d'arrière en avant et de haut en bas sous forme d'une
zone
(ri-.10) ayant en moyenne la largeur assez cons-
sternum et le scapulum. Il est évident que la ligne médiane est une
zone
intermédiaire entre les deux nerfs symétriques
t surtout les régions intercostales; 5 recouvrent manifestement les
zones
de répartition des filets de la bran- che antér
. Mais on peut s'apercevoir que dans la distribution d'un nerf, les
zones
innervées par les branches sensitives seules so
ue. Sa disposition paraît bien recouvrir la partie interne des deux
zones
intercostales ; mais sa disposition remarquableme
iquent une disposition en bande paraissant bien se rapprocher de la
zone
métamérique D 11, avec irradiation partielle ve
ira des trou- bles cutanés à type segmentaire, c'est-à-dire sur une
zone
tributaire du segment spinal par lequel passent
pourquoi les troubles tro- phiques s'observent uniquement dans les
zones
de distribution des bran- ches centripètes des
plir l'exa- men. L'examen de la sensibilité révèle la présence de
zones
d'hypoesthésie et d'hy- poalgie, en corresponda
: à droite, détachement rétinique complet ; à gauche, pré- sence de
zones
de cl.oroïdite. Ouïe. Weber latérisé à droite,
e d'an- ciens méningitiques. La dure-mère médullaire présente une
zone
épaissie, adhérente, dure ; haute de cinq à six
rne est en partie détruite : à ce niveau existait avant la mort une
zone
cutanée, livide, ayant l'aspect d'une escarre du
Elle est abolie encore sur le membre su- périeur gauche et dans une
zone
limitée en avant par la ligne mamillaire jusqu'
fe fraîche. Le tissu nerveux y est absolument invisible,excepté une
zone
périphé- rique large de il ? millimètre entoura
a moelle est analogue à la précédente, avec cette différence que la
zone
périphérique saine autour des cordons autéro-la
latéraux est plus large. . Au niveau du VIle segment cervical cette
zone
périphérique est encore plus large. Le reste de
postérieurs, immédiatement au-dessous de l'arachnoïde, on voit une
zone
étroite de masse noire (dans la pie-mère). La
moelle est mieux conservée que la gauche, qui ne con- tient qu'une
zone
très étroite de tissu normal. A part cela toute l
té, ainsi que d'autres neurologistes, une anesthésie dans certaines
zones
cor- respondant'aux racines postérieures compri
ouvait assez rarement celle anesthésie radiculaire. Généralement la
zone
d'anesthésie radiculaire, si elle existe, passe
sse immédiatement en (, anesthésie médullaire». Quelque- fois cette
zone
est séparée de l'anesthésie médullaire par une zo
que- fois cette zone est séparée de l'anesthésie médullaire par une
zone
de sensibilité all'aiblie (Heilbronner). Parm
y compris le sens musculaire (au- dessus de la ligne de limite, la
zone
insensible apparaît quelquefois comme une zone
ligne de limite, la zone insensible apparaît quelquefois comme une
zone
hyper-sensible). Dans quelques cas rares on a con
ujours se rappeler la loi de Sherrington complétée par Bruns (toute
zone
de peau est innervée par les racines de 3 ou 5 se
dans les hypochondres ou au ventre). Rarement peut-on constater une
zone
anesthésique et encore plus rarement des atroph
ans un de ces cas la malade se plaignait de fortes douleurs dans la
zone
brachiale, et ces douleurs repoussaient au second
à tel point envahie par le néoplasme qu'il n'en reste qu'une mince
zone
du tissu normal (R. Schulz). Dans des cas excep
ent donc c que, chez les gauchers, les conséquences des lésions des
zones
du langage de l'hémisphère cérébral droit offre
celles qui s'observent chez les droitiers, par suite de lésions des
zones
du langage de l'hémisphère cérébral gauche. Il
auche. Il y a, en effet, dans notre cas, trois points altérés de la
zone
du langage de l'hémisphère droit, d'une importa
lusion que la moitié postérieure de l'insula gauche appartient à la
zone
acoustique du langage, et que, à ce point de vu
remarquer que le gyrus temporales transverses repré- sente une des
zones
les plus importantes pour la fonction du langage.
, et à la superficie complexe du lobe occipital, c'est-à-dire à des
zones
qui, pour la formalion et le (1) Mingazzini, Le
phère acoustique. En somme, le gyrus temporalis transuersus est une
zone
qui reçoit des fibres de projection (acoustiques)
, donne naissance à des voies d'association qui le relient avec des
zones
visuelles et avec d'autres zones du langage. Voil
ssociation qui le relient avec des zones visuelles et avec d'autres
zones
du langage. Voilà pourquoi une participation de
la couronne rayonnante (laquelle, à notre avis, n'est autre que la
zone
réticulée de la couronne rayonnante décrite par
chevêtrent avec les radiations calleuses et dis- paraissent dans la
zone
sous-corticale. Le faisceau sous-calleux ne repré
l s'étale au-dessus-de la voûte du ventricule et se confond avec la
zone
sous-épendymaire. Un certain nombre de ses fibr
e qu'inutile. 1 Il décrit le faisceau du noyau caudé de Sachs et la
zone
réticulée de la couronne rayonnante, lesquels s
-frontal également intrigant de Dejerine. Schroder maintient que la
zone
réticu- lée de la couronne rayonnante est formé
ns l'écorce de la face interne de l'hémisphère. Les fibres ni de la
zone
réticulée ni du faisceau du noyau caudé ne peuv
deux espèces de fibres ; la majorité de ces fibres appartient à la
zone
réticulée de la couronne rayonnante, les autres,
faisceau occipito-frontal de Dejerine, une correspond absolument à la
zone
réticulée de la couronne rayonnante de Sachs et
illée de ce cas se réduit à pratiquer l'exa- men histologique de la
zone
motrice et des lésions méningées. L'écorce est
liaires, jusqu'à leur pénétration dans la sclérotique. Peut-être la
zone
marginale du nerf opti- que est-elle un peu moi
r cette lésion n'entrave en rien l'ossification périostale, mais la
zone
cartilagi- neuse active étant lésée, la croissa
Lichtheim, un an après l'opération on pouvait encore constater une
zone
d'anesthésie radiculaire. Quelquefois on n'obse
pithélium présente plusieurs assises cellulaires superposées. Dans la
zone
sous-épendymaire immédiate il y a parfois multi
te des plaques de sclérose» Il existe par- fois, sur les bords, une
zone
intermédiaire où il n'existe que quelques rares
on constate que le carmin s'est amassé en presque totalité dans la
zone
sous-épendymaire et particulière- ment dans la
vers la profon- deur, réactions cellulaires et névrogliques dans la
zone
immédiatement sous-jacente à l'épithélium. Du
r places oedématiée et qu'elle a une tendance à proliférer dans les
zones
où l'inflamation est la plus intense. 2° L'aort
e la troisième frontale et de la frontale ascendante, il existe une
zone
déprimée irrégulièrement circu- laire, ayant à
grise corticale. Le long de la convexité frontale, on remarque une
zone
déprimée, d'aspect cicatriciel et présentant. t
s, granules d'hématoï- dine, etc. Immédiatement au-dessous de cette
zone
, un faisceau qui se distin- gue par l'intensité
nt toute l'épaisseur de la couronne rayonnante pour arriver dans la
zone
sous-épendymaire. Pour nous, 636 ARCHAMBAULT
le faisceau sagittal médian. Ce fais- ceau reçoit constamment de la
zone
sous-épendymaire avoisinante des fibres dirigée
du trigone se détache un fascicule légèrement arqué qui traverse la
zone
sous-épendymaire pour se recourber ensuite vers
,qui ne font que traverser le pied de la couronne rayonnante et la
zone
sous-épendymaire dans leur trajet de la capsule
champ irrégulièrement rectangulaire qui se laisse répartir en trois
zones
superposées et plus ou moins bien délimitées. La
ncore dans l'intérieur de leur circonvolution d'origine. La seconde
zone
, formée par le faisceau sagittal médian ou faisce
p qui nous intéresse. En dedans, où elle recouvre le trigone, cette
zone
est franchement dégénérée ; en dehors, elle se
chement dégénérée ; en dehors, elle se continue directement avec la
zone
sous-épendymaire qui lui abandonne un nombre de
onne un nombre de plus en plus grand de fibres saines. La troisième
zone
et la plus inférieure est représentée par le tr
nterne se rend toujours avec la même régula- rité de trajet dans la
zone
sous-corticale de la circonvolution limbique et
ité postérieure du noyau lenticulaire. Elle transmet toujours il la
zone
sous-épendymaire les radiations calleuses de la
la plupart vers la ligne médiane. Ces fascicules qui émanent de la
zone
sous-épendymaire voisine se répartissent de telle
u faisceau sa- gittal médian qui côtoie le ventricule, ainsi que la
zone
sous-épendymaire et les deux piliers du trigone
ement les fascicules plus grossiers du trigone pour arriver dans la
zone
sous-corticale de la circonvolution de l'hippocam
a totalité des fibres du trigone se trouvent ainsi relé- guées à la
zone
sous-corticale de l'isthme de la circonvolution l
e de la paroi ven- triculaire interne, le tapétum est formé par une
zone
nettement verdâtre qui semble bien représenter
mais ce développement tardif et ébauché ne s'observe que lorsque la
zone
verdâtre de la paroi ventriculaire interne a co
bres peuvent être suivies avec la plus grande facilité jusque dans la
zone
sous-corticale des deux lèvres de la scissure c
e de la couche sagittale interne est extrêmement décoloré et que la
zone
sous-épendymaire est occupée par une couche de
rsent obliquement les couches sagit- tales pour disparaître dans la
zone
sous-épendymaire, en sorte que l'on peut admett
e détacher du trigone un certain nombre de fibres qui se rendent à la
zone
sous-épendymaire de la corne frontale en passan
ec la partie antérieure du faisceau sagittal médian, jusque dans la
zone
sous-corticale de la circonvolution la plus pos
êtement épendymaire et présente une désintégration considérable de sa
zone
marginale. La corne frontale est très aplatie d
t en arrière et qui s'étend sur toute la longueur comprise entre la
zone
sous-épendymaire de la corne frontale et l'ergo
triculaire in- terne et se prolonge en avant et en arrière, dans la
zone
sous-épendymaire de la corne frontale d'une par
élimités sur un certain nombre de coupes, grâce à la présence d'une
zone
pâle intermédiaire qui est de la plus grande ut
convolution limbique où il se dessine nettement sous la forme d'une
zone
radiée.Le progrès de cette substitution de domain
n de sa faible coloration et que l'on voit passer lente- ment de la
zone
sous-épendymaire à la zone sous-corticale de la c
t que l'on voit passer lente- ment de la zone sous-épendymaire à la
zone
sous-corticale de la circonvolution limbique. L
sagittales médianes et se trouve ainsi à constituer le tapétum. La
zone
radiée du trigone est encore visible sur un cer
ecroise partout avec les libres calles que la convexité envoie à la
zone
sous-épendymaire. Ces radiations se rassemblent
sphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne occipitale, la
zone
sous-épendymaire est alimentée par de fines rad
gauche, que celle couche de fibres se rend tout d'une pièce dans la
zone
sous-corticale delà première circonvolution lim
enir, à savoir que la couche sagittale interne fronlo-pariétale, la
zone
réticulée de la couronne rayonnante de Sachs, r
leux. 5° La couche sagittale interne du lobe fi,onto-pai-i étal, la
zone
réticulée de Sachs, représente la couronne rayo
e. Ses limites sont nettes, en apparence, mais il est entouré d'une
zone
dans laquelle les fibres nerveuses sont démyéli
s; on observe, à la périphérie du cordon latéral gauche, une petite
zone
marginale nécrosée, qui est le pointde départ d
ramidaux direct et croisé jusque dans les segments lomho-sacrés, la
zone
prépyramidale, le faisceau antérolatéral descen
part (fig. 7) elles occupent : 10 dans les cordons postérieurs, les
zones
moyennes et externes des faisceaux de Burdach e
elques fascicules profonds et centraux des fais- ceaux de Goll ; la
zone
marginale esl indemne ; 2° le cordon antéro-lal
, à l'exception de la partie postérieure du cordon latéral et de la
zone
marginale du cordon antérieur. 3° dans le cordo
séminés, tandis qu'un amas dense se trouve en un point limité de la
zone
marginale ; il représente la dégénérescence asc
(voies courtes), d'autre part, un déplacement des fibres occupant la
zone
des faisceaux cérébelleux. La raréfaction des
ns l'intérieur des cordons antéro-iatéraux ; celles qui occupent la
zone
du faisceau py- ramidal croisé se massent dans
t des fibres qui occupent la partie marginale des cordons latéraux (
zone
des faisceaux cérébelleux) se fait d'avant en arr
bien limité de grains noirs qui occupe au niveau du segment C,, la
zone
du faisceau de Gowers (fig.7) atteint par un dépl
ns notre observation, des- fibres qui occupent déjà en Ce et Ci, la
zone
du faisceau de Gowers, sont transférées dans la
re (fig. 7) arri- vent en contact avec elle (fig. 10) tandis que la
zone
du faisceau.de Go- wers reçoit l'appoint de nou
l pour aller au bulbe, il faut isoler un petit groupe qui occupe la
zone
pro- fonde du faisceau pyramidal croisé ; il ar
dans la substance réticulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la
zone
moyenne. - 3° Un groupe postérieur se détache d
é é dans la moelle cervicale que des fascicules entiers quittent la
zone
attri- buée au Gowers pour passer au cérébelleu
noirs. - Ce groupe occupe dans la substance réticulée (fig. 16) la
zone
limitée parle noyau du facial, l'olive supérieu
u de Gowers (fig. 17), aboutit dans la protubérance (fig. 18) il la
zone
antéro-interne de la formation réticulée, dans
érieur. Les réflexes crémastériens sont abolis ; l'excitation de la
zone
abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne liau à auc
a région sacrée et des régions fessières, se sont ulcérées ; en ces
zones
la peau est souvent imbibée d'urine et une esca
re tumeur. Les veines n'étaient nullement dilatées au-dessous de la
zone
comprimée ; et le segment de moelle en rapport
ment quelque altération de celles qui sont situées au contact de la
zone
de Lissauer. En un mot les fibres radiculaires
Schultze, 'et du faisceau de Hoche sont normales ou à peu près. La
zone
rétro-commissurale est altérée. La racine pos
Le 3e segment dorsal ne porte pas de dépression nette au niveau de la
zone
où s'exerçait la compression. Mais toute la par
ec prolifération du tissu de soutien. Les libres radiculaires de la
zone
d'entrée sont atteintes pour la plupart d'al- t
coup plus noirs que les faisceaux latéraux. On peut noter que les
zones
occupées par les fibres endogènes et qui étaient
gère des cor- dons de Goll, et un très minime éclaircissement de la
zone
d'entrée des fibres de la racine postérieure ga
us l'influence d'une excitation portant sur le membre inférieur. La
zone
de production était limitée par le pli inguinal
spondants ; les os du carpe ne sont augmentés de volume que dans la
zone
cubitale. Les autres doigts paraissent normalemen
ésique en forme de bloc irrégulier qui n'a aucune relation avec les
zones
de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comp
c les zones de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comprend une
zone
d'anesthésie absolue et une zone d'hypoeslhésie
e qu'il intéresse. Il comprend une zone d'anesthésie absolue et une
zone
d'hypoeslhésie qui dépasse de quelques centimèt
it pour se rendre compte de cette disposition de l'anesthésie. La
zone
de l'hypoesthésie suit avec assez de régularité e
supérieur est très fréquent. Il comprend presque toujours une vaste
zone
formée par le front, les orbites, le nez, dans
térations trophiques des mains ou des pieds. Quoique la présence de
zone
d'hypoeslhésie ou de transition constitue la règl
van- tes : la première, bien connue de tous, consiste en ce que des
zones
d'une assez grande étendue et importance, privé
Et que, lorsqu'elles ne peuvent pas être innervées, la peau de ces
zones
souffre alors facilement de lésions d'ordre rég
al. Chez le second : S..., on ne peut relever que la présence d'une
zone
d'hy- poesthésie superficielle et profonde à to
édullaire centrale qu'à la disparition des éléments cellulaires des
zones
grises marginales. Quoiqu'il en soit, cet auteu
AULT dre son tiers moyen ; elle atteignait tout particulièrement la
zone
grise dorso médiane dont la substance moléculai
ne intégrité parfaite du noyau médian de la couche optique et de la
zone
capsulaire frontale du noyau rouge, on z ohsema
quelle intéres- sait surtout la substance médullaire centrale et la
zone
marginale grise latérale. Ici encore, il s'agis
tale, cependant, ne représente pas à lui seul toute l'étendue de la
zone
corticale du noyau rouge ressort nettement de c
rajet des radiations de la calotte, c'est-à-dire, en traversant les
zones
péri-capsulaires frontale et latérale du noyau
au. Les phénomènes dégénéra- tifs se limitent assez étroitement aux
zones
grises dorso-médiane et laté- rale, et intéress
optique, puis, après avoir traversé la région sous-thalamique et la
zone
capsulaire frontale du noyau rouge, elle s'épui
iveau du tiers antérieur de ce noyau dont elle intéresse surtout la
zone
grise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est st
passant par la lame médullaire exlerne, elle se rend jusque dans la
zone
grise latérale du tiers moyen du noyau rouge :
itution de la partie médiane de la lame médullaire externe et de la
zone
capsulaire frontale du noyau rouge, et se termine
oitié antérieure de ce noyau. Les fibres s'épuisent au niveau - des
zones
grises médiane et dorso-médiane du noyau rouge et
lamo-rubrique provenant du noyau interne, du centre médian et de la
zone
réticulée de la couche optique et peut-être mêm
par le champ Il, de- Forel, pour entrer dans la constitution de la
zone
capsulaire latérale du noyau rouge. Les fibres
au niveau de son tiers moyen, dans la substance grise réticulée des
zones
latérale et centrale. Ici encore, c'est surtout
sses grises du segment inférieur de la couche optique, y compris la
zone
réticulée, . et peut-èlre aussi la zona incerla
une dégénérescence très nette, laquelle s'épuisait au niveau de la
zone
grise latérale du tiers moyen du noyau rouge. t
oure de toutes parts le noyau rouge de façon à former une véritable
zone
péri-capsulaire bien délimitée (Haubenstrahlunj
avant le' pôle antérieur ou frontal du noyau rouge, c'est-à-dire la
zone
péri-capsu- laire frontale (frontales Mark des
a couche optique, ces fibres concourent à former cette partie de la
zone
péri-capsulaire qui recouvre en bas et en dehor
ès de son an- gle postéro-exlerne et qu'elle s'épuise au niveau des
zones
sous-capsulaires postérieure et postéro-médianë
. Cette dégénérescence capsu- laire se présente sous la forme d'une
zone
arquée, laquelle semble émaner du champ de libr
daire atteint sur- FiG. 2. 1 202 LA SALLE ARCHAMBAULT tout la
zone
marginale sous-capsulaire supérieure, où un petit
nce la partie supérieure du noyau rouge où elle atteint surtout les
zones
marginales dorsales et dorso-médiane, mais on n
t dorso-médiane, mais on note également que la dégénérescence de la
zone
dorsale s'étend légèrement en bas et en dehors
psule interne et aborde ensuite le champ p de Wernicke ainsi que la
zone
dite du faisceau temporo-thalamique d'Arnold. L
nettement toutefois que la dégénérescence s'épuise au niveau de la
zone
dorso-médiane du noyau rouge, laquelle est notabl
té le segment inférieur. Immédiatement en dehors du noyau rouge, la
zone
dégénérée semble se bifurquer, une partie re- m
au- tres termes, qu'il existe une dégénérescence très manifeste des
zones
mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noy
ste des zones mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noyau. La
zone
ventro-lalérale n'est que légèrement touchée. I
excepté au niveau du lobe pariétal, il s'en suit également que les
zones
de dégénérescence se trouvent Schéma 1\° III.
rouge, et on voit très nettement qu'elle s'épuise au niveau de ses
zones
dorsale, dorso-médiane et ventro-laté- rale. On
a forme d'un hémicycle fortement décoloré, le- quel occupe toute la
zone
marginale sous-capsulaire latérale du noyau rouge
nale sous-capsulaire latérale du noyau rouge. La décoloration de la
zone
dorso-médiane est encore visible mais elle est mo
que d'Arnold se laisse tou- jours facilement constater ainsi que la
zone
dégénérée qui sépare la capsule interne du pied
qui sépare la capsule interne du pied du pédoncule cérébral. Cette
zone
paraît être plus considérable que sur la coupe
du trigone. Sur les coupes prises plus en avant, la décoloration des
zones
mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noya
siblement modifié. La décoloration marginale im- plique surtout les
zones
dorso latérale et ventro latérale, mais tandis qu
out les zones dorso latérale et ventro latérale, mais tandis que la
zone
dorso latérale renferme des libres sttiées, la zo
s tandis que la zone dorso latérale renferme des libres sttiées, la
zone
ventro latérale en est presque totalement dépou
la zone ventro latérale en est presque totalement dépourvue. Celle
zone
présente, en effet, celte homogénéité très spéc
antéro-pustérieur la lésion se loca- lise assez étroitement dans la
zone
sous-corlicale du bord supéro-interne de l'hémi
terne ou dorso-latéral, et une dégénérescence moins étendu» ? de sa
zone
sous-capsulaire ventro-latérale. Le corps du vent
p- sule latérale du noyau rouge et qu'elle s'épuise surtout dans la
zone
marginale dorso-latérale, et, en plus faible pa
a zone marginale dorso-latérale, et, en plus faible partie, dans la
zone
ventro-latérale de ce noyau. La coupe suivant
e assez étroitement au quart supérieur de ce noyau et intéresse les
zones
marginales dorso-latérale et dorso-médiane ains
n détruit, par des prolongements assez superficiels, l'écorce et la
zone
sous-corticale du tiers inférieur de la frontale
supérieur de ce noyau. La dégénérescence atteint en particulier la
zone
marginale grise dorso-latérale et la capsule dors
res qui recouvre ce noyau en dehors. Au niveau de l'écorce et de la
zone
sous-corticale de la circonvo- lution pariétale
particu- lièrement bien délimité. La dégénérescence partielle de la
zone
dorso-médiane, . par contre, échappe à l'observ
dans la substance profonde de l'opercule rolandique et même dans la
zone
sous-corticale du pied de la troisième circonvo
ié et anguleux, et qu'il présente une dégénérescence notable de ses
zones
marginales grises dorso-médiane et ventro-latér
s généralisée mais nettement plus accentuée toutefois au niveau des
zones
marginales grises dorsale et dorso-médiane. La
nce très marquée, laquelle atteint surtout la capsule dorsale et la
zone
marginale grise dorso-latérale, et, à un degré be
rginale grise dorso-latérale, et, à un degré beaucoup moin- dre, la
zone
ventro-latérale. Il existe encore une certaine ra
et cela avec la plus grande réserve, le lobule paracentral dans sa
zone
corticale du noyau rouge. Donc, si d'une part
re dans la substance même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les
zones
marginales grises dorsale et dorso-médiane. D'u
tteint tout particulièrement, ainsi que nous venons de le dire, les
zones
marginales dorsale et dorso-médiane. Près de la
yau rouge, la dégénérescence porte encore essen- tiellement sur les
zones
dorsales de ce noyau, mais fréquemment elle imp
ales de ce noyau, mais fréquemment elle implique nettement aussi la
zone
ventro-latérale. Le tiers antérieur du noyau ro
e tiers antérieur du noyau rouge demeure généralement -intact, sans
zone
de dégénérescence véritable, bien que l'on obse
apsule latérale du noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans les
zones
margi- nales grises ventro-latérale et dorso-mé
n constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge, que la
zone
grise neutro-tatérate participe à la réaction d
à la réaction dégénérative, mais à un degré beaucoup moindre que la
zone
dorso-tatérate. Quant à la capsule anté- rieure
secondaire intéresse surtout la capsule dorsale de ce noyau et les
zones
marginales grises dorso- latérale et dorso-médi
e porte encore sur la capsule dorsale mais elle atteint surtout les
zones
mar- ginales grises dorso-latérale et ventro-la
ostérieur, la dégéné- rescence porte sur capsule dorsale el sur les
zones
marginales grises dorsale et dorso médiane; au
t dorso médiane; au niveau du tiers moyen, elle atteint surtout les
zones
marginales grises dorsale et ventro-latérale. -
de ce noyau, la dégénérescence intéresse la capsule frontale et ies
zones
marginales grises dorso-médiane et dorso-lalérale
au niveau du tiers moyen, elle intéresse la capsule latérale et les
zones
marginales gri- ses dorso-latérale et ventro-la
au rouge, la dégénérescence porte sur la capsule dorsale et sur les
zones
marginales grises dorso-médiane et dorso-latéra
rso-latérale ; au niveau du tiers moyen, elle intéresse surtout les
zones
marginales grises dorso-latérale et ventro-latéra
décrits déjà par von Monakow. On constate, en effet, au niveau des
zones
dégénérées du noyau rouge, la disparition plus
S CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROCSË"^' '" lit se transforment en
zones
fonctionnelles véritablement actives, sous l'in-
operculo-ruhriques, el, en particulier, du contingent fourni parla
zone
corticale du facial. Primitivement, il est prob
otif du facial, puis- que dans les lésions siégeant au niveau de la
zone
motrice, le malade ne peut contracter le facial
antérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les
zones
marginales dorso-mélliane et dorso-lalérale.
egment moyen du noyau rouge et entrent en relation surtout avec les
zones
marginales dorso latérale el ventro-latérale. L
ostérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les
zones
marginales dorso médiane et dorso latérale. Il
ur gauche. A ce niveau, il n'y a pas d'analgésie véritable mais une
zone
d'hypoalgésie occupant : la face postérieure du
ourdeur du bras. Le prurit persiste. Sensibilité objective : Même
zone
d'hypoesthésie à tous les modes. Il semble bien
t de celle-ci, par exemple par l'habitude, par la compression d'une
zone
hystérogène, etc. 2° Le pouvoir impulsif et pla
d'au- teurs soutiennent même que ces centres ont leur siège dans la
zone
somes- thésique de Flechsig où résident précisé
nt de celle-ci, par exemple par l'habitude, parla compression d'une
zone
liystérogène, etc. : on explique aussi le fait
phonies hystériques rebelles. Dans un cas décrit par Janet (2), les
zones
hystérogènes, dont la compression provoquait des
entru, IU09) faisait ses expériences sur le chien. Il détruisait la
zone
motrice et provoquait ainsi une dégénérescence
ourcisseurs est provoqué par des excitations assez légères, mais la
zone
réflexogène ne déborde pas la plante du pied.
- son réseau de fibres à myéline est plus dense que d'ordinaire. La
zone
incerta, le faisceau thalamique et le faisceau de
fibrillaires entourant le. noyau externe de la couche optique ; la
zone
reticularis et la lamina medullaris externa son
inférieurs après excitation de la plante du pied sont vifs, mais la
zone
ré Il exogène ne dépasse pas les limites physio
normale sauf au niveau des membres inférieurs où l'on constate une
zone
d'hypoes- thésie très accentuée sous la plante
VIII ECTRODACTYLIE métacarpo-phalangienne (Ilippel et Ri/baud.)
zone
sun ras '\ ? ,... . M ? ('Y¿ DI';S JIErBRES 337
par un même facteur, à savoir par des foyers encéphaliques dans la
zone
ou dans le voisinage de la zone motrice. Il f
ar des foyers encéphaliques dans la zone ou dans le voisinage de la
zone
motrice. Il faut donc admettre que l'épilepsie
ontradictions apparentes. Ues tumeurs, méningites, traumatismes des
zones
; dites motrices, de l'écorce cérébrale, peuvent
atre ans et qui a passé treize ans de sa vie à voyager sur l'Ama-
zone
et dans la Cordillière, tantôt sur le fleuve imme
rmaux. Les réflexes plantaires ne sont pas exagérés. Nulle part des
zones
d'hypéresthésies. Je fais marcher le malade dev
dère comme réactionnelles formaient dans quelques places une petite
zone
autour de ces amas de cellules et dans quelques a
aux para- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet endroit c'est la
zone
motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paraly
emps et l'ischémie consécutive a dû altérer d'une certaine façon la
zone
motrice, sauf son tiers supérieur, ce qui expli
les phéno- mènes convulsifs de notre malade. Cet endroit c'est la
zone
motrice et par analogie aux lésions matérielles
leur acti- vité. La présence de bullettes de gaz aux différentes
zones
cérébrales avait déterminé chez notre malade l'
descen- dantes consécutives aux lésions destructives des diverses
zones
de l'écorce cérébrale du chien et du singe, ont
Masini, l'aire excitable du larynx embrasserait « presque toute la
zone
motrice ». Pour que les phé- nomènes de parésie
même temps, la circonvolution postcrucialc, bref, presque toute la
zone
motrice ! Non pas, sans doute, que cette aire m
excite par l'électricité l'écorce cérébrale, et spéciale- ment la
zone
motrice, le cervelet n'a point de part dans les
coïncider avec les centres moteurs de ces membres. En dehors de ces
zones
, la percussion ne provoquait aucune réaction mo
anatomo-pathologiques de Seppilli sur la nature des fonctions de la
zone
motrice du cerveau humain, nous 1 Fenomeni di i
quelque exagération à prétendre que les lésions destructives de la
zone
motrice s'accompagnent tou- jours, en même temp
catc°al et des deux lobules pariétaux. Telle serait l'étendue de la
zone
sensitive corticale (zona sensitiva cutaneo-mus
sensitiva cutaneo-muscolare). Elle coïncide de tous points avec la
zone
dite mo- trice ; elle est seulement plus étendu
, avait, dès 1881, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la
zone
motrice à la région préfrontale de la face inte
corps calleux. « Que ce cas soit suffisant pour étendre en avant la
zone
motrice, je ne le crois pas, écrivait alors Ton
crites de la sensibilité gé- nérale 1. Voilà pour l'étendue de la
zone
sensitive de l'écorce cérébrale. Mais, comme le
altération du sens musculaire, la lésion s'étendait uniquement à la
zone
motrice. Si les obser- vations cliniques confir
aire ont un siège dis- tinct de celui de la sensibilité cutanée, la
zone
corti- cale de la sensibilité générale apparaît
localisée dans les lo- bes pariétaux, la seconde coïncidant avec la
zone
dite motrice. Les observations cliniques recuei
nels à des lésions correspondantes et exacte- ment localisées de la
zone
corticale sensitive ? S'il en était ainsi, cett
alisées de la zone corticale sensitive ? S'il en était ainsi, cette
zone
pourrait être subdivisée en cen- tres de la fac
bilité cutanée et musculaire sont confondus ou « engrenés » dans la
zone
motrice, ils ne dégénèrent pas à la fois après l'
e la place à la Salpêtrière. Sensibilité conservée, normale. Pas de
zone
hystéro- gène. Les attaques surviennent toujour
Ce malade présentait une hémianesthésie'incomplète à gauche et des
zones
hystérogènes ; les phénomènes de l'aura se mani
couches stratifiées de l'écorce, soit dans celle de pré- tendues
zones
spéciales du cerveau, une indication physiologi
il est vrai, que les unes ou les autres pré- valent dans certaines
zones
ou se trouvent même séparément groupées dans un
rtaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans une même
zone
. C'est pour soumettre à un examen nouveau les d
rès différentes, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la
zone
motrice, et la première circonvolution du lobe
s périphériques des fibres. La spécificité de fonction des diverses
zones
cérébrales dépend, non point de l'organisation
iverses zones cérébrales dépend, non point de l'organisation de ces
zones
elles-mêmes, mais de la spécificité des organes
u'il en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la
zone
motrice du cerveau ? ... Mais cette zone renferme
blement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais cette
zone
renferme en même temps, sans doute confondues a
ctions motrices, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions des
zones
motrices , provo- quer des troubles de la sensi
sui- vante de Golgi, une base anatomique : « Dans les différentes
zones
de l'écorce cérébrale, les fonctions de la sens
ême que ces éléments sont inégalement répartis dans les différentes
zones
de l'écorce, et que les ré- gions où prédomine
périphériques des sens : la spécificité de fonction des différentes
zones
cérébrales serait déterminée par la spécificité
boutir, et non par une spécificité d'organisation anatomique de ces
zones
». C'était la doctrine de Meynert et de Wundt;
ents nerveux de la sensibilité et de la motilité coexistent dans la
zone
visuelle, parce qu'il n'est point de perception
ture et de disposition des éléments histologiques'dans les diverses
zones
de l'écorce cérébrale, telle qu'elle ressort de
bien réellement à Golgi1. » Ces organes fusiformes, situés dans la
zone
de passage du muscle au tendon, donnent inserti
rieures. Les cellules pyra- midales ne sont pas cantonnées dans une
zone
dis- tincte de la Fi ; on les rencontre dans to
ents de l'innervation motrice et de la sensibilité générale dans la
zone
dite motrice, c'est-à-dire dans la région front
des cordons latéraux, de presque tous les cordons postérieurs (les
zones
les plus anté- rieures sont seules épargnées),
ures sont seules épargnées), et d'une partie de la substance grise (
zone
latérale intermédiaire aux cordons antérieurs et
provoqué de l'exagération des battements du pouls en comprimant des
zones
névralgiques. Quant à lui il attache plus d'imp
vèle les particularités suivantes. Sur la face antérieure du corps,
zone
d'anesthésie totale à la piqûre à la chaleur et
sensible coupant transversalement les seins à leur partie moyenne.
Zone
d'hémianesthésie gauche, descendant jusqu'au ge
tion des pyramides et subissant la dégénérescence descendante. La
zone
marginale externe ou faisceau profond du cordon
t externe entre le faisceau pyra- midal croisé et la périphérie. La
zone
marginale externe de Lissauer (Z L e, 8) qui fo
iangulaire à la corne postérieure. Le faisceau de Gotvers (F G, 3),
zone
latérale antérieure mixte de Flechsig, faisceau
ie périphérique du précédent. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 339 La
zone
marginale postérieure de Westphall (Z, W, 7) im
formant la partie externe et antérieure du faisceau de Burdach. La
zone
marginale interne de Lissauer (Z L i, 9) forman
le interne de Lissauer (Z L i, 9) formant un triangle analogue à la
zone
externe, et appliqué contre le sommet de la cor
e des cordons postérieurs qui laisse cependant presque in- tacte la
zone
antéro-externe. La sclérose est aussi intense dan
fibres ascendantes sont beaucoup moins altérées. Au niveau de la
zone
de Lissauer, les fibres transversales sont inde
du sang. Ces infiltrations hémorrhagiques existent surtout dans les
zones
sclérosées et .on y voit des trabécules émanés
de leucocytes. Si l'on examine à l'aide d'un fort grossissement la
zone
de sclérose, on constate qu'elle est constituée
on de la région lombaire à la région dorsale. - Les fibrilles de la
zone
marginale de Lissauer sont presque intactes. Le
ansversales qui pénètrent dans la corne postérieure ont disparu. La
zone
qui limite de chaque côté le point d'émergence
rties du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes postérieures. (
Zone
de Westphal.) Les fibres fines de la substance
. La sclérose du faisceau pyramidal gagne un peu plus du côté de la
zone
marginale. La colonne de Clarke offre une dispa
partie des cordons de Burdach qui avoisine les cornes postérieures (
zone
antéro-externe de Westphall) est moins atteinte
ers la région intermédiaire des cornes antérieures et postérieures (
zone
limitante). - La DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 3
, atrophiées et sans prolongements. Région dorsale supérieure. La
zone
antéro-externe de Westphall présente une diminu
on cervicale inférieure. Les racines postérieures sont intactes. La
zone
qui les limite de chaque côté est normale. Dans
on de Burdach on trouve une grande abondance de fibres normales. La
zone
antéro- externe de Westphall offre une altérati
es fibres nerveuses ; et aussi (lésion peu importante du reste) des
zones
vacuolaires dans la périphérie d'un certain nombr
ente les altérations suivantes : la subs- tance grise et surtout la
zone
marginale des cornes postérieures paraît normal
daux et la presque totalité des faisceaux posté- rieurs, excepté la
zone
(antéro-externe qui est intacte, fait commun au
du reste de très grandes variations. Dans la région lombaire, la
zone
antéro-externe de Westphal est indemne, tandis
rieure du cordon de Burdach est altérée. Dans la région dorsale, la
zone
antéro-externe, n'est pas tout à fait intacte,
ostérieure est moins altérée que dans la région lombaire. Dans la
zone
de transition entre la région dorsale et la rég
Fig. 38. 356 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. inférieure correspond à la
zone
de Lissauer (on sait que cette zone n'a été étu
E. inférieure correspond à la zone de Lissauer (on sait que cette
zone
n'a été étudiée que dans la région lombaire), e
que l'on se rapproche des parties supérieures, de sorte que dans la
zone
de transition entre la région lombaire et la ré
région dor- sale, elle est déjà intacte (/ ? . 28). Plus haut, les
zones
de Lissauer, tant interne qu'externe, sont comp
auer, tant interne qu'externe, sont complète- ment respectées. La
zone
marginale externe est saine dans toute son éten
et ont disparu en plusieurs endroits. Les fibres fines de la même
zone
sont également atteintes, et ont disparu en maj
té noté par Friedreich. La névroglie est épaissie dans toutes les
zones
sclé- rosées ou remplacée par un' tissu fibrill
tement étudiés. Toutefois, peut-être en diffère-t-il en ce que la
zone
marginale de Lissauer, du moins dans la région
ortance exagérée à la notion d'intégrité ou d'alté- ration de cette
zone
. En effet, en s'en rapportant aux travaux de Li
.7 DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 359 La participation ou non de la
zone
de Lissauer à la lésion ne serait donc pas, com
- lorés ; d, libres fines restantes ; e, fihres saines entourant la
zone
. PSYCHOLOGIE DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE;
tte. Cependant, derrière la com- missure postérieure, il existe une
zone
peu étendue où les fibres nerveuses sont bien c
s situées à la région externe des cordons de Goll ont disparu et la
zone
dégénérée des faisceaux de Burdach est devenue
ux côtés du cordon de Goll, le faisceau de Burdach offre une légère
zone
décolorée qui n'arrive pas jus : qu'à la périph
Dans les cordons latéraux, on observe à la partie postérieure, la
zone
déjà signalée dans la région dorsale. A la part
ndant, la région cervicale et à la région lombaire, il existait une
zone
intacte, située au voisi- nage des cornes posté
au alltéro-latéral, il y avait, à la péri- phérie de la moelle, une
zone
annulaire de «sclérose qui s'élargissait au niv
des cordons latéraux était limitée aux faisceaux pyra- midaux : une
zone
de tissu sain la séparait des cornes postérieur
partie supérieure de la moelle, la dégénérescence entreprend une
zone
étroite correspondant générale- ment au faiscea
base est dirigée vers la périphérie et laissant intacte une petite
zone
contiguë aux cornes postérieures. On retrouvera
e que certains points de la périphérie, à savoir de chaque côté, la
zone
superfï- cielle des cordons de Burdach et la pa
ordons postérieurs et celles des cordons latéraux, il se trouve une
zone
de tissu sain. Cette même condition est égaleme
andelettes obliques 1 (fig 39 et.) La symétrie que présentent ces
zones
indemnes, le fait qu'elles se rencontrent avec
e appartient à Friedreich. (Archives de Vinchoio, t. LXX.) Les deux
zones
obliques sont très nettement indiquées dans la
édiane, à la partie externe des cordons de Goll, on distingue une
zone
(Voir fig. 42'), qui, sans être absolument inco
qu'une légère teinte noirâtre. Au microscope, on constate que cette
zone
ne ren- ferme que quelques fibres à myéline trè
s'arrêter à la partie antérieure du sillon médian postérieur. Cette
zone
relativement inco- lore ne se rencontre qu'à la
être serait-il permis de les identifier et de conclure que si cette
zone
a été épargnée par la sclé- rose, ce n'est pas
hterew2 a distingué deux segments dans les cordons de Burdach : une
zone
antérieure et une zone postérieure ou périphéri
segments dans les cordons de Burdach : une zone antérieure et une
zone
postérieure ou périphérique. Dans le tabes dors
'olog. ()ent1'albtail 1884, p. 31. 390 ANATOMIE PATHOLOGIQUE La
zone
périphérique des cordons de Burdach que nous av
ous avons trouvée intacte dans notre cas, correspond peut-être à la
zone
postérieure de Bechterew. Mais, la dégénération
de la moelle dorsale (voir fig. 2'), on se trouve en présence d'une
zone
en forme de coin, occupant la partie postérieur
coin, occupant la partie postérieure des cordons latéraux. Cette
zone
répond à peu près au faisceau cérébel- leux et
n qui contourne la corne postérieure; h, canal épendymaire; ? ', i,
zone
externe de Lissaller saine. Pl. I, fig. 2. - Co
- lorés ; d, fibres fines restantes ; e, fibres saines entourant la
zone
. Ce numéro renferme un tableau relatif au Mémoi
présenter une topographie radiculaire et parfois des anesthésies en
zones
radiculaires. Il insiste sur l'extrême variabilit
anesthésie remon- tant jusqu'au pli de l'aine, avec, au-dessus, une
zone
d'hyperesthésie ; eschare sacrée, taches violac
e double, hypoesthésie pour tous les modes, limitée en haut par une
zone
d'hyperesthésie circulaire à hauteur de la colo
lacée par une élévation blanche linéaire de la peau, entourée d'une
zone
rouge hyperhémique. De cette façon je pourrais
hisme est très net, avec ligne centrale, anémique très surélevée et
zone
de congestion diffuse large de 2 centimètres. O
vec ligne ortiée anémique très surélevée, large de 2 millimètres et
zone
de congestion diffuse. OEdème des pieds. La fac
ne blanche, ortiée qui se surélève rapidement et est entourée d'une
zone
de conges- tion diffuse large de 2 centimètres.
que nous décrirons plus loin. A côté de cela on remarque une petite
zone
arrondie, grandement dégénérée, située entre la
e, située entre la bandelette optique et le faisceau normal ; cette
zone
est peu considérable et représente à notre avis
peu décoloré, mais en grande partie respecté). En second lieu, cette
zone
dégénérée contient un bon nombre de radiations
UE CENTRAL (Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ? Conclu sagittale externe,
zone
dégénérée ; sur la fig. 6, on voit la zone dégéné
Conclu sagittale externe, zone dégénérée ; sur la fig. 6, on voit la
zone
dégénérée se confondre avec il ....... .1 LE
T LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 187 ici on constate l'existence d'une
zone
grandement dégénérée à peu près limi- tée à la
nous avons trouvé la solution du problème. Nous avons dit que cette
zone
dégénérée renferme les fibres du faisceau optique
ibres situées au-dessous de la paroi ventricu- laire inférieure. La
zone
dégénérée que nous avons décrite plus haut a remo
le corps quadrijumeau antérieur ; elle semble se continuer avec la
zone
dégénérée de la couche, sagittale externe, mais
a décoloration de la substance profonde diminue progressivement et la
zone
dégénérée de la couche sagittale externe remont
es sont directement inter- rompues à des niveaux antérieurs ; cette
zone
renferme donc un certain nom- bre de fibres cor
le lobule fusiforme et la circonvolution de l'hip- pocampe." Une
zone
dégénérée considérable occupe la partie inférieur
raît dans les couches superficielles du corps quadriju- meau. Cette
zone
dégénérée renferme les radiations thalamiques des
lution pariétale supérieure). Au-dessous du ventricule, on voit une
zone
très dégénérée, située immédiatement en dedans
he sagittale externe et qui se porte vers le lobule lingual ; cette
zone
renferme les fibres du faisceau de Vialet (cin-
ste, en outre, un petit foyer cortical de la deuxième temporale. La
zone
dégénérée de la couche sagittale externe a abando
ement et on remarque, en dedans de la couche sagittale externe, une
zone
totalement dégénérée ayant la forme d'une triangl
c les fibres provenant de la première tem- porale à former l'énorme
zone
dégénérée qui, à ce niveau, passe dans le pulvina
sous de la partie interne de la paroi, ventriculaire inférieure. La
zone
dégénérée s'est déjà épuisée en partie dans ce pu
que, qu'elle traverse complètement ; arrivée au bord interne, cette
zone
se divise en deux zones secondaires dont l'une
complètement ; arrivée au bord interne, cette zone se divise en deux
zones
secondaires dont l'une se dirige vers le corps
énéré, mais il un degré moindre que sur les coupes postérieures. La
zone
dégénérée n'occupe que la partie inférieure du
du corps quadrijumeau antérieur ; cette décoloration correspond aux
zones
secondaires que nous avons étudiées sur la coup
lamiques des régions postérieures de l'hémisphère n'ont pas la même
zone
d'irradiation, on parvient à établir les connexio
x se rendant à la capsule interne » (Wernicke, Gratiolet, Foville),
zone
réticu- lée de la couronne rayonnante (Sachs),
e de la couche optique immédiatement attenante. Nous avons suivi la
zone
dégénérée à travers toute l'étendue du lobe tempo
iste à cet endroit, que l'on peut dire d'une façon générale : cette
zone
plus compacte appartient à la couche sagittale
tale interne de la couroune rayonnante du lobe fronto- pariétal, la
zone
réticulée de la couronne rayonnante de Sachs, con
matisation habituelle du tabes incipiens est visible, néanmoins les
zones
radiculaires postérieures présen- tent déjà un
pâle tandis que la sclérose n'est pas encore très intense dans les
zones
radiculaires moyennes ; ce n'est donc pas un cas
se des faisceaux pyramidaux et une lésion à peine perceptible d'une
zone
très étroite d'un cordon postérieur, répon- dan
mettait sur son compte la conservation relative, dans le tabes, des
zones
qui portent son nom ; nous savons aujourd'hui q
es, des zones qui portent son nom ; nous savons aujourd'hui que ces
zones
sont endogènes, mais la remarque de Lissauer su
lutions. Parois de l'abcès. On distingue dans la paroi de l'abcès 3
zones
: une externe, une moyenne, une interne. La z
oi de l'abcès 3 zones : une externe, une moyenne, une interne. La
zone
externe renferme des cellules nerveuses dont les
noyau, clair, est un peu plus gros que normalement. Plus près de la
zone
moyenne, on rencontre d'autres cellules névrogl
es, augmentent au sur et à mesure qu'on se rapproche de la deuxième
zone
, et varient d'aspect suivant le degré de leur d
NDROME MÉNINGÉ. (E. Dupré ct .A. Devaux.) A. Paroi de l'abcès. 2e
zone
; capillaire de néoformation avec cinq cellules e
éoformation avec cinq cellules en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e
zone
; partie voisine de la zone de nécrose ; plasmaze
es en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e zone ; partie voisine de la
zone
de nécrose ; plasmazellen et deux cellules réti
azellen et deux cellules réticulées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire
zone
; cellules névrogliques en dégénérescence. ' D.
r chromatine nucléaire, s'ordonnent surtout autour des vaisseaux.
Zone
moyenne. Au faible grossissement elle apparaît co
existe d'autres, plus petites, où le protoplasma réduit à une mince
zone
périphérique, affecte le même aspect. L'ordonnanc
petit nombre, sont représentés surtout par des polynu- cléaires.
Zone
interne. Celle-ci est formée des éléments précéde
ementallongés que nous avons signalés indique l'existence, dans les
zones
supérieures de l'écorce, d'altérations plus ancie
ce de toute lésion tuberculeuse spécifique dans les méninges et les
zones
supérieures de l'écorce, chez un phtisique en p
épilep- tiques (Archives de méd. expérim., 1891). Vient ensuite une
zone
vacuolée, atteignant une profondeur de 5-8 mill
dans les faisceaux coupés en biais ou transversalement. Dans cette
zone
on remarque au carmin des cellules « arai- gnée
s de la substance blanche sont seules régulièrement entourées d'une
zone
vacuolée, qui paraît augmenter avec les dimension
aires di la tés, contenant quelquefois de petites hémorrhagies.Deux
zones
se différencient (à gauche) (Pl. LX, 3 et 4) :
vides, quelquefois remplies de masses amorphes. En dehors de cette
zone
et surtout aux endroits A de la Planche LX, la co
t le néoplasme émerge même complètement au pôle frontal. Les deux
zones
décrites plus haut se retrouvent à travers tout l
tout le lobe frontal gauche, mais à mesure que la tumeur grandit la
zone
vacuolée s'étend aux dépens de celle des grosse
ituées dans la substance blanche, ne tardent pas à s'entourer d'une
zone
va- cuolée. Celles de l'écorce ne le font pas.
e ce fait que les nerfs cutanés sont constamment dégénérés dans les
zones
anesthésiées, on doit admettre en effet, avec not
ées que par de petites boules noires ou brunes, entourées de minces
zones
protoplasmiques et réunies les unes aux autres
s- sale du cordon gauche (côté opéré). On y distingue nettement une
zone
en tra- pèze, occupant par sa base la plus larg
la plus large environ un sixième de la périphérie du tronc nerveux,
zone
où les fibres fines myéline apparaissent très rar
issent très raré- fiées. est aisé de noter de plus, dans cette même
zone
, la multiplication des noyaux, ce qui implique
ré, au-dessus des racines sectionnées (10e et 11e thoraciques), une
zone
démyélinisée en croissant. Nous n'avons pu malheu
nées, il n'existait dans le cordon du côté opéré qu'une très petite
zone
dépeuplée, et les numérations comparatives n'on
tradural). On re- marque dans la partie supérieure de la coupe, une
zone
en croissant où les fibres fines à myéline sont
aru compa- rable des deux côtés, et nous n'avons jamais constaté de
zones
dépeuplées dans les ganglions du côté opéré. Il
la gaîne de myéline au voisinage du cylindraxe avec persistance de la
zone
externe seule. Nous n'avons pas rencontré non p
comme trace de cette dégénérescence dans le sympathi- que', que des
zones
raréfiées, nettement visibles sur les coupes tran
e gros calibre et 2.880 fibres fines. Le cordon gauche montrait une
zone
en trapèze dont le côté le plus large se trouva
rd de la coupe, comprenant environ le sixième de la section totale,
zone
dans laquelle les fibres à myéline apparaissaient
roits ; intégrité des splanchniques el des ganglions semi-lunaires,
zone
de raréfaction des fibres fines dans la corde s
2 fibres fines. Il n'existait sur les coupes de ces deux nerfs aucune
zone
de sclérose ni de raréfaction des fibres. Le sp
s. Les fibres fines étaient légèrement raréfiées dans une très petite
zone
, sur environ 1/16 de la périphérie. Du côté gau
vons pu examiner que le cordon'du côté droit, lequel présentait une
zone
en croissant, périphérique, presque tota- lemen
lement privée de fibres à myéline. Sur des coupes plus élevées, cette
zone
pre- nait une forme triangulaire. Nous n'avons
tologiques que les foyers de la sclérose en plaques vraie. Dans les
zones
scléreuses de la myélite syphilitique en plaque
Bielschowsky, Lapinsky, Redlich, Siemerling, Probst. 2° Dans les
zones
de sclérose n'appartenant pas à la sclérose en pl
e de même que la IVe paire. Partie antérieure. A gauche, existe une
zone
scléreuse qui détruit le pé- doncule cérébelleu
es- que complètement conservées. ' Région bulbaire supérieure. La
zone
de sclérose occupe les deux pyra- mides, les no
iforme et le faisceau solitaire sont complètement remplacés par des
zones
scléreuses. Dans la moitié droite l'olive est m
niveau toute la section transverse du bulbe est transformée en une
zone
de sclé- rose ; on y rencontre encore quelques
iers de fibres normales ; d'autres sont représentées par de petites
zones
circulaires légèrement jaunâtres (PI. LII, fig. 4
fait et celui de l'in- tégrité des cellules nerveuses au milieu de
zones
complètement sclérosées cons- tituent une autre
colorée par la méthode de Weigert et est représentée par de petites
zones
pâles contenant ou non le cylindraxe encore bien
é variable d'hypertrophie, parfois très prononcée, surtout dans les
zones
intermédiaires entre le tissu sain et le tissu
on trouve aussi d'autres fibres plus ou moins atrophiées. Dans -les
zones
de sclérose existent, éparses, quelques cellules
plaques légitime. Il vaudrait la peine d'examiner régulièrement ces
zones
dans tous les cas de sclérose en plaques et par
IS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des
zones
ciliaires et périciliaires du cervelet ; plaques
e inférieure jusqu'à la 88 racine dor- sale existent de très larges
zones
de sclérose entrecoupées par des petits îlots de
de la paroi, infiltration, parfois dégénération hyaline. Sclérose des
zones
ciliaires et periciliaires du cervelet avec lés
ande partie des cylindraxes et des cellules ganglionnaires dans les
zones
des sclérose, absence de dégénerescences second
(fig. 2). A la 5° racine le cordon latéral droit est remplacé par une
zone
de sclérose dans toute sa moitié antérieure. La
rose occupe en même temps la commissure grise,le cordon de Goll, la
zone
cornu-commissurale et la corne latérale droite
ts par la sclérose : il y reste un petit état de tissu sain dans la
zone
radiculaire interne (fig. 4). Au niveau des li'et
eil sur ces cou- pes photographiées pour voir immédiatement que les
zones
de sclérose, au moins certaines d'entr'elles, n
nt oblitérées. L'espace périvasculaire est en général formé par une
zone
claire remplie d'un tissu très mou et contenant p
ntenant parfois des noyaux ronds ou ovalaires. Tout autour de cette
zone
la névroglie est plus dense et contient un plus
gé surtout dans la partie postérieure de la moelle et au niveau des
zones
scléreuses. Plaques de sclérose disséminées sans
Augmentation des noyaux de névroglie dans la corne antérieure d'une
zone
médullaire non transformée dans une plaque de scl
s. ? ' FiG. 14. Infiltration et gliose périvasculaires dans la même
zone
. Coloration'\, hé- matoxyline-éosine. Grossisse
surtout des petits capillaires, s'accentue de plus en plus dans la
zone
de dégénérescence des bouts sectionnés et donne
dégénérescence des bouts sectionnés et donne ainsi naissance à une
zone
de croissance comparable à celle qui a été for-
mps le trajet des ramifi- cations vasculaires et pénétrant dans les
zones
nécrosées qui avoisinent les ré- gions mieux co
iatement au-dessus de la région comprimée on voit par ci par là des
zones
de nécrobiose dans lesquelles il n'y a que des
l est possible que les corpuscules amylacés qu'on trouve dans cette
zone
de dégénérescence proviennent de ces rendements
trouvé dans celui-ci des fibres de nouvelle formation même dans les
zones
de nécrobiose, In où il n'y a que les corps granu
nettement la dissociation syringomiélique de la sensibilité. Les
zones
où cette dissociation syringomyélique s'observent
gèrement rosé, piqueté de points plus rouges et est limitée par une
zone
de couleur brun foncé ci bords arrondis. Cette
teux franc d'un placard éruptif. A peine sur les bords y a-t-il une
zone
légèrement pigmentée, large environ d'un centimèt
es fibrilles névrogliques qui forment un feutrage épais. Dans les
zones
intermédiaires au néoplasme et au tissu cortical
peu le tissu nerveux sans le détruire immédiatement. Il existe une
zone
où cellules pyramidales, cellules névrogliques
s les fibres ne sont pas atteintes d'atrophie, celle-ci procède par
zones
, des petits groupes de fibres atrophiées sont s
t toutes les phases de ce processus. C'est la même distribution par
zones
de l'atrophie ; en outre, des libres déjà très
ns- tate encore ici que cette dégénérescence graisseuse se fait par
zones
, des petits groupes de fibres dégénérées sont p
lus nombreuses, de chaque côté, sur les bords du septum médian. Les
zones
de Lissauer sont également plus pâles. Les corn
la Ille sacrée ; la dégéné- ration est un~peu plus intense dans la
zone
radiculaire moyenne et dans la zone de pénétrat
est un~peu plus intense dans la zone radiculaire moyenne et dans la
zone
de pénétration des racines. Au niveau de la 111,
la zone de pénétration des racines. Au niveau de la 111, sacrée la
zone
cornu- commissurale et le centre ovale de Flech
du cordon postérieur est au contraire pâle, il en est de même de la
zone
de Lissauer (PI. LXXIX A'). La corne postérieur
sont un peu plus abondantes sur les bords du septum médian, dans la
zone
radiculaire postéro-externe et dans la zone de Li
septum médian, dans la zone radiculaire postéro-externe et dans la
zone
de Lissauer. L'atrophie des cornes postérieures
RINE ET ANDRÉ-THOMAS Ile et Ire lombaires. L'intégrité relative des
zones
cornu-commissurales, du septum, des zones radic
L'intégrité relative des zones cornu-commissurales, du septum, des
zones
radiculaires postérieures est encore plus apparen
idérable ; elle est cependant encore très appréciable au niveau de la
zone
radiculaire moyenne; les fibres sont au contrai
les fibres sont au contraire relativement bien conservées dans les
zones
cornu-commissurales et dans l'angle postéro-exter
m médian et surtout en avant où elles se confondent avec celles des
zones
cornu-commissurales. Le faisceau de Bur- dach e
- dach est au contraire relativement bien coloré, surtout en avant (
zone
cornu- commissurale) et en arrière (zone radicu
coloré, surtout en avant (zone cornu- commissurale) et en arrière (
zone
radiculaire postéro-externe), un peu moins dans
ne radiculaire postéro-externe), un peu moins dans son tiers moyen (
zone
radiculaire moyenne) ; en somme les fibres y sont
me dégénération diffuse subsiste dans les cordons pos- térieurs, la
zone
cornu-commissurale est seule intégralement respec
ERTROPIIIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 la région dorsale ; la
zone
radiculaire moyenne est toujours la plus prise.
inique est maigre, de même les fibres sont très clairsemées dans la
zone
de Lissauer, les collatérales réflexes font presq
l ; dans les cordons de Burdach, elles prédominent toujours dans la
zone
radiculaire moyenne ; cette zone est particulière
elles prédominent toujours dans la zone radiculaire moyenne ; cette
zone
est particulièrement pâle au niveau de la VIIe
abituelles, leur réseau est pâle, amaigri, et même les fibres de la
zone
de Lissauer sont très clairsemées ; les collaté
oll et du cordon de Burdach sont plus in- tensivement colorées : la
zone
radiculaire moyenne est toujours la zone la plus
tensivement colorées : la zone radiculaire moyenne est toujours la
zone
la plus prise dans les cordons de Burdach : l'a
Burdach : l'aspect de la corne postérieure et de son réseau, de la
zone
de Lissauer, est le même que dans la région cervi
d'atrophie dont la caractéristique topographique est l'invasion par
zones
et la caractéristique histologique une atrophie
roi est formée d'une rangée de cellules cylindriques entourée d'une
zone
de fibres névrogliques mesurant de 1 à 2 millimèt
région lombo-sacrée, une dilatation du canal central entourée d'une
zone
de sclérose névroglique. Nous ren- voyons pour
n début de myé- lomalacie dans les deux cordons latéraux et dans la
zone
de Lissauer droite, immédiatement au-dessus du
s des cordons postérieurs,diffuses, mais avec prédominance pour les
zones
radiculaires. En dehors de la moelle, les racin
s ; dans les cordons postérieurs, dégénération nette, respectant la
zone
commissurale et la partie marginale des cordons p
le supérieure, on trouve, au niveau des cordons pos- térieurs, deux
zones
dégénérées : 1° l'une à la partie interne des cor
s ni pour les lésions ? Une seule fois (obs. V) nous avons noté une
zone
d'anesthésie radiculaire, isolée entre deux rég
, isolée entre deux régions où la sensibilité était normale ; cette
zone
d'anes- thésie ne coïncidait ni avec la lésion
nterne, et de là dans le pulvinar, le corps genouillé externe et la
zone
triangulaire de Wer- nicke ; et d'autre part da
iveau de la partie moyenne de la pa- roi ventriculaire externe, une
zone
en grande partie respectée que l'on dési- gne R
ramollissement récent... la coupe passe au-dessus du maximum de la
zone
de dégénérescence. On constate néanmoins une dégé
ux lames. Cependant l'on n'observe sur les plans postérieurs qu'une
zone
de dégénérescence très limitée, elle se porte en
ui tire son origine du corps genouillé ex- terne et qui n'a d'autre
zone
d'irradiation que la sphère visuelle corticale.
l'écorce cérébrale et correspond (pour nous) en grande partie à la
zone
rolandique. Comme cette dernière, elle est' sub
: rétine (écorce), capsule interne (entre le corps genouillé et la
zone
réticulée), pédoncule; mais sont séparées du fais
sont séparées du faisceau de Tûrck et de la voie pyramidale par la
zone
réticulée. Ce petit fascicule létino-quadrigémi-
lalamo-corticales qui trans- mettent les impulsions sensitives à la
zone
motrice. Mais pour nous, ces fibres sont peu no
un certain nombre de faits qui la rendent assez vraisemblable. La
zone
rolandique reçoit dans sa partie postérieure les
. Le centre visuel du chien était ainsi représenté par une longue
zone
d'écorce qui s'étendait, sur la seconde circonvo-
les faisceaux directs. » Ainsi, une destruction unilatérale de la
zone
visuelle du chien provoquait une amaurose presque
le a bien son centre fonctionnel, sa localisation centrale, dans la
zone
occipito-pariétale des hémisphères du chien, ma
tre en clinique un grand nombre de faits négatifs relativement à la
zone
senso- rielle de l'écorce. » Ces cas, ils les e
s cas, ils les expliquaient : 4° par l'extension considérable de la
zone
visuelle corticale ; 2° par la difficulté que p
elles le même rapport entre les hallucinations et les lésions de la
zone
sensorielle de l'écorce ? Il ne fallait pas s'a
llucination peut résulter aussi de la synergie morbide de plusieurs
zones
sensorielles. Dans le premier cas, on s'expliqu
aient de l'excitation directe de centres moteurs siégeant dans la
zone
corticale du centre de l'audition. Cette hypoth
s sen- soriels diffèrent-ils de ceux qu'on observe en excitant la
zone
motrice de Hitzig ? Les auteurs italiens ne le
moindre aux fonctions de l'audition; il y aurait là une sorte de
zone
commune où seraient en parties confon- dues ces
rvations permet toutefois d'admettre, écrit Seppilli, que dans la
zone
frontière de la scissure de Sylvius il existe G
nt être beaucoup plus considérables pour cette région que pour la
zone
psychomotrice. Pour la substance blanche des lobe
de moins de cinq mois, la région psychomotrice est dépourvue de la
zone
des mouvements oculaires J. HOUlll : -10VITCII.
ales antérieures et postérieures, on note aucun changement dans ces
zones
pendant la compression. Dans une seconde séri
esthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens, et les
zones
htéroèrlPS des muqueuses; recherches clinique*;
sé, et, au cours de ses observations il a été amené à découvrir des
zones
hystérogènes qu'on n'avait pas encore signalées
le conduit et le tympan étaient sensibles et réciproquement. Les
zones
hétérogènes des muqueuses seraient ordinaires che
étérogènes des muqueuses seraient ordinaires chez les hystériques à
zones
extérieures ; elles siègent d'habitude sur les
e conduit lacrymal inférieur. La connaissance de l'existence de ces
zones
explique certains phé- nomènes qu'on a observés
stant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la
zone
des cellules pyrami- dates moyennes et de celle
uches de Meynert que l'on peut facilement réunir en une; c'est la
zone
de transition entre la substance grise la subst
uggestion (tous les procédés en usage, fixation du regard, tam-tam,
zones
hypnogènes se ramenant à la suggestion du somme
érale viennent à occuper, soit au début, soit ultérieurement, les
zones
cérébrales dont l'altération provoque le syndro
es cellules pyramidales globuleuses; autour d'elle existe une large
zone
claire, même sur les pièces qui, à dessein, n'o
rillaire ondulé, ressemblant au tissu conjonctif ordinaire, dans la
zone
moyenne de l'écorce. C'est là une altération fo
es aires corticales sur lesquelles doit porter son intervention. La
zone
. Voy. Arch. de Neurologie, n" .ïl, pag. 337 et
ut entier a été enlevé, peut encore courir, pourquoi l'ablation des
zones
motrices du chien, une fois les effets du traum
troubles du mouvement volontaire consécutifs aux destructions de la
zone
motrice ? « Je les ai considérés, dit Hitzig, d
é tactile dans les parties correspondantes du corps, si bien que la
zone
motrice ne serait qu'une manière de surface sen
des réflexes. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétendue
zone
motrice, subdivisée en « sphères sensibles », où
fluence réflexe des éléments excitables de l'écorce, et pour qui la
zone
motrice, assimilée à une surface sensible périp
térations des organes centraux de la sensibilité, elle considère la
zone
mo- trice comme constituée à la fois par des ce
croissant de faits en faveur de la nature mixte des fonctions de la
zone
excitable du cerveau. Outre Tripier, Petrina, K
la sensibilité générale observés dans les lésions corticales de la
zone
motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoi
bservés dans les lésions corticales de la zone motrice. C'est cette
zone
. 1 Lllssana et Lemoigne, Des centres moteurs e
méritent d'être étudiés avec soin... » Dans le cas de Déjérine, la
zone
motrice corticale était seule lésée; les conduc
es du célèbre physiologiste anglais, pour qui les fonctions de la
zone
motrice sont distinctes de celles des centres cor
ns destruc- tives, soit expérimentales, soit pathologiques, de la
zone
motrice, ne semblent pas être de nature ataxique
aucune altération de cette fonction chez les animaux. opérés de la
zone
motrice. Ainsi, les aires excitables- du cervea
midal), et s'atrophie secondairement aux lésions destructives de la
zone
motrice. Il en résulte- rait que la restitution
en résulte- rait que la restitution partielle des tondions de cette
zone
après la se- maine qui suit l'opération, ne peu
les altérations de la motilité qui suivent les mêmes lésions de la
zone
motrice corticale. Si l'animal survit assez lon
de Hitzig (1874), dans les lésions superficielles de l'écorce de la
zone
motrice ', sans que les ventricules latéraux ai
sitive, des phénomènes consécutifs aux lésions destructives de la
zone
excitable du cerveau, à peine en citerait-on qu
logiste, « afin de sauver son idée d'un rap- port existant entre la
zone
excitable et les organes du mouvement, avait do
tzig a découvert les troubles moteurs consécutifs aux lésions de la
zone
excitable, Schiff nous a révélé ceux de la sens
e fait de la disposition des partiesdu cerveau dans la région de la
zone
excitable. Cf. encore XXXIII (188î), p. 201-71, 1
XXXIII (188î), p. 201-71, 1, Ein neuer Versuch an der e2 ? egbai-ez
Zone
dei, Ili-iii,inde, contre l'article publié par
lconque de sensibilité dans ses expériences sur les fonctions de la
zone
motrice. Il a donc localisé ailleurs, sur le lo
que, cinq jours après la section de ces cordons, l'excitation de la
zone
motrice demeurait sans effet. Les résultats con
se propagerait jusqu'à l'écorce 2; de là l'inexcitabilité de la «
zone
motrice ». Suivant Horsley, la perte des réacti
lésion 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la
zone
motrice ne serait qu'un centre trophique pour l
ns latéraux : ils n'auraient pas de rapport 'fonctionnel avec cette
zone
. Si donc Horsley n'a pu -constater la perte des
ns de Schiff sur la nature réflexe des effets de l'excitation de la
zone
motrice, l'ancien professeur de physiologie de
r- dons postérieurs de la moelle sont en relation directe avec la
zone
motrice corticale, et que, si cette zone n'est
n relation directe avec la zone motrice corticale, et que, si cette
zone
n'est plus excitable cinq jours après la sectio
ivergentes. Déjà, d'ailleurs, Hitzig avait vaguement indiqué que la
zone
excitable de l'écorce cérébrale devait renferme
sorte de formule, assez obscure, de la nature fonctionnelle de la
zone
excitable, les mots « entrée » et « sortie » de
ne peuvent désigner que les éléments moteurs et sensitifs de cette
zone
2. Hitzig aurait donc dû admettre la nature mix
électrique de régions déterminées de l'écorce, l'inexcitabilité des
zones
environnant l'aire motrice, la localisation des
ion et de l'audition l'hypothèse qu'il avait appliquée à ceux de la
zone
1 Tamburini.-Cont1'ibu : ione alla fisiologia e
SIOLOGIE. excitable. Celle-ci d'ailleurs n'est plus confinée à la
zone
motrice. Car les effets de l'électrisation des ré
ique d'une durée et d'une intensité suffisantes : si l'on excite la
zone
de l'audition, par exemple, les convulsions déb
érébrales. Ainsi, la surface du cerveau ne doit pas être divisée en
zones
distinctes du mouvement et de la sensibilité. «
de l'ouïe, il existerait, confondus avec les centres moteurs de la
zone
exci- table, des centres de sensibilité général
se trouvent pas localisés dans l'aire corticale appelée jusqu'ici «
zone
motrice », dénomination à abandonner, puisque c
usqu'ici « zone motrice », dénomination à abandonner, puisque cette
zone
n'est pas exclusivement motrice. Toutes les dif
ndépendante. C'est ainsi que Bechterew a déterminé, en dehors de la
zone
motrice proprement dite, des points aussi const
s généraux. Or ces points excito-moteurs n'appartiennent pas à la
zone
motrice, c'est-à-dire au gyrus sigmoïde, où se
aussi bien différenciés queceux qui résultent de l'excitation de la
zone
motrice proprement dite. Mais, en dépit de ces
l'hypothèse générale de Tamburini. Quel que soit le centre de la
zone
motrice extirpé, les altérations du mouvement e
iani l'ont quelquefois observée dans des lésions destructives de la
zone
excitable) avec ¡ une perte partielle des repré
expérimental : 1° Après une' extirpation partielle ou totale de la
zone
dite motrice,' · les phénomènes de parésie ou d
OLOGIE. tionnels varie avec l'étendue de ces lésions. Si toute la
zone
motrice des membres est détruite, et si cette d
iences que si, pour délimiter exactement un centre quelconque de la
zone
excitable, 'on se fonde, non sur les réactions
corps strié avait été détruit avec une portion considé- rable de la
zone
excitable de l'écorce, les phénomènes de défici
localiser nettement les différents centres sensitivo-moteurs de la
zone
excitable, attendu que ces centres, comme ceux
nte ou que la moelle soit très excitable. Exner professe que chaque
zone
motrice est en rapport avec les mouvements des
si l'on applique à chaque hémis- phère ce qui est dit ici de chaque
zone
excitable de ? 4. 408 PHYSIOLOGIE. l'écorce.
trouvé lésé chez les chiens, après des lésions destruc- tives de la
zone
motrice, par Bianchi et d'Abunl ! o\ comme par
s moteurs chez le chien, consécutifs à une lésion unilatérale de la
zone
exci- table ; la paralysie était naturellement
oubles de la motilité volontaire, qui succèdent aux lésions de la
zone
motrice ou des faisceaux pyramidaux croisés, ne
c ! )'see)t(<e)[/t consécutive a lesioni sperimenlali in diverse
zone
delta corleccia cérébrale. Riv. speiiment. di fre
aite chez des ani- maux qui ont subi des mutilations étendues de la
zone
motrice. A les voir, personne ne dirait qu'ils
ns touchant les effets des destructions partielles ou totales de la
zone
motrice sur l'excitabilité de la substance* bla
s membres. La sensibilité y est également un peu obtuse à gaucho.
Zones
hystérogènes . - 10 Point sensible à égale distan
'agit de paralysies transitoires ou à répétition ou en dehors de la
zone
d'hémiplégie. Le tabes doit être soupçonné chez u
paralysé et par les stigmates de l'hystérie (troubles de la vision,
zones
hystérogènes, plaques d'anesthésie, attaques hyst
ormé par un bloc central de subs- tance caséeuse, enveloppé par une
zone
circulaire d'un tissu de sclérose, formé de lam
ur de cette sorte de coque fibreuse est représenté par une nouvelle
zone
de noyaux accumulés en nodules circulaires fusi
s vaisseaux capillaires. Tous ces nodules et en général toute cette
zone
nucléaire ré- pondent à un processus d'irritati
ar la petite tumeur kystique. Enfin, encore plus en dehors de cette
zone
d'irritation, on remarque,sur- tout vers la par
connaissons suffisamment les attributs physiologiques de certaines
zones
corticales pour pouvoir en déduire à priori les t
d'épilepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la
zone
motrice : et nous serions en règle avec la phys
n posthume, en collaboration avec M. Pitres, la région motrice à la
zone
rolandique (1) ; et Nothnagel arrive, de son^côté
nient l'existence de centres moteurs corticaux ; ils pensent que la
zone
rolandique est tout simple- ment constituée par
puyant sur les résultats de ses belles expériences, soutient que la
zone
excitable de notre cerveau est constituée, à la f
i provoquent ces décharges peuvent se trouver situées, soit dans la
zone
motrice, comme c'est la règle, soit « en dehors
ns la zone motrice, comme c'est la règle, soit « en dehors de cette
zone
, à une distance plus ou moins grande de ses limit
e pariétal supérieur. II. - Les lésions corticales siégeant dans la
zone
psycho-motrice ou en dehors, surtout celles-là
suivie de la paralysie des muscles du côté opposé du corps. Cette «
zone
motrice » occupe à peu près la partie moyenne de
d'elle, Meynert localisa les centres de sensibilité, l'on fil de la
zone
frontale le siège de l'intelligence et pendant qu
ement dans l'immense majorité des cas sinon dans tous les cas où la
zone
corticale dite motrice est lésée. Mais cette ét
Doyen Pitres, étudie les anesthésiés consécutives aux lésions de la
zone
motrice. Sans nous arrê- ter aux très intéressa
'auteur qui lui ont permis de conclure que, après l'abolition de la
zone
motrice, il y a dans tous les cas des symptômes
aire, et il est seulement en droit de dire que la destruction de la
zone
rolandique n'abolit pas la perception de la sen
a sphère tactile. Flechsig explique comment la destruction de cetle
zone
n'amène pas de paralysie des muscles oculo-moLe
dont le centre serait plus loin bien que l'excitation de cetle même
zone
provoque comme Munk l'a montré des mouvements d
rs, surtout accusés à droite, une sensation d'engourdissement dans la
zone
du cubital. Depuis plusieurs mois, existent des
tuées dans les cordons postérieurs. Les altérations portent sur les
zones
de Lissauer qui sont entièrement sclérosées. Le
édian postérieur de Gombault et Philippe est conservé, ainsi que la
zone
qui limite la corne posté- Nouv. Iconographie D
d et Léopold-Lévy) .l. (Méthode de P.il.) z 6° sacrée. Sclérose des
zones
de Lissauer, et d'un triangle correspondant à la
C. (Méthode de Pal.) - 1'" sncn4·. Sclérose un peu moins marquée des
zones
de Lissaucr, et d'un tctritorre situé il la par
postérieur. Le champ cornu-commissural, le champ postéro-externe, la
zone
limitante de la corne postérieure sont conservé
d-Lévy) A. (Méthode de Pal.) - si ;' lombaire. Sclérose moyenne des
zones
de Lissauer, triangle de sclérose atteignant le
llon médian postél ieur limité par les champs postérieurs conservés :
zone
cornu-commissurale, zone limitante corne postér
imité par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commissurale,
zone
limitante corne postérieure, champ postéro-exte
re, champ postéro-externe. B. (Méthode de Pal.) 10mb ? Sclérose des
zones
de Lissauer, triangle de sclérose comme sur la fi
rose comme sur la figure précédente, un peu plus postérieure. Mêmes
zones
conservées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire L
eure. Mêmes zones conservées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire Les
zones
de Lissauer, la zone radiculaire moyenne et les c
ervées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire Les zones de Lissauer, la
zone
radiculaire moyenne et les colonnes de Clarke s
nt le siège d'une sclérose peu intense. On remarque l'intégrité de la
zone
d'entrée des racines (Westphal) comptise entre
s lésions existent mais sont re- lativement moins marquées dans les
zones
de Lissauer. Un plus grand nombre de racines po
serve au Pal sa coloration habituelle, le champ postéro-externe, la
zone
limitante de la corne postérieure. Entre ces diff
la zone limitante de la corne postérieure. Entre ces différentes .
zones
, à la partie interne du cordon de Burdach, limité
énétration en quantité moyenne de fibres postérieures au niveau des
zones
de Lissauer, moyennement dégénérées, triangles de
rie de la moelle, et limitée par les champs postérieurs conservés :
zone
cornu-commis- surale,zone limitante de la corne
ée par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commis- surale,
zone
limitante de la corne postérieure, champ postéro-
Sur la préparation on les voit se conti- nuer manifestement sur la
zone
qui limite la corne postérieure. Les mêmes cham
ntité. Les racines postérieures pénètrent en assez grand nombre. La
zone
de Lissauer est faiblement touchée. (PI. XI, B.
pé du peu d'inten- sité des altérations des cordons postérieurs. La
zone
de Lissauer est légèrement sclérosée; des fibre
surtout au groupe interne des fibres radiculaires postérieures. La
zone
de sclérose qui correspond à la bandelette extern
s plus discrète et plus éloignée des cornes. Restent conservés : la
zone
cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
gnée des cornes. Restent conservés : la zone cornu-commissurale, la
zone
limitante de la corne postérieure qu'on voit en
re qu'on voit encore se continuer avec les fibres postérieures, une
zone
en forme d'L qui borde le sillon postérieur et
lette périphé- rique), enfin un champ postéro-externe comprenant la
zone
d'entrée des raci- nes de Westphal. Les colonne
ordons postérieurs. Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose des
zones
de Lissauer, dans lesquelles pénètrent un assez
e. Légère sclérose des co- lonnes de Clarke. On trouve intacts : la
zone
cornu-commissurale, la zone limitante de la cor
lonnes de Clarke. On trouve intacts : la zone cornu-commissurale, la
zone
limitante de la corne postérieure, le champ pos
g° ° dorsale. L'aplatissement des cordons postérieurs est notable. La
zone
de pénétration des racines est atteinte, ses fi
ons manifestes dans le 5e inférieur du champ postéro- interne. La
zone
cornu-commissurale devenue plus externe est bien
us externe est bien conservée. Il en est de même d'une partie de la
zone
radiculaire moyenne. D'uue façon générale, il c
on cervicale inférieure. Les lésions plus manifestes portent sur la
zone
de Lissauer, le 1/5 postérieur du cordon de Goll,
atteint pas la périphérie de la moelle ; elle en est séparée par la
zone
limitante de la corne postérieure. Restent intact
la zone limitante de la corne postérieure. Restent intactes encore la
zone
cornu- commissurale devenue plus externe, la pa
trer d'emblée dans les, cordons postérieurs et se continuer avec la
zone
limitante de la corne postérieure. (Pl. XII, C.
nt, légitime, mais il est, en général, atténué. En particulier, les
zones
endogènes, tant ascendante (zone cornu-commis-
ral, atténué. En particulier, les zones endogènes, tant ascendante (
zone
cornu-commis- surale) que descendante (virgule
vi) .-1. (Méthode de Pal.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des
zones
de Lissauer, de la partie moyenne du faisceau d
terue. Légère sclérose des colonnes de Clarke. Sont conservées : la
zone
cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
olonnes de Clarke. Sont conservées : la zone cornu-commissurale, la
zone
limitante de la corne postérieure, le champ posté
erne. li. (Méthode de Pal.) z° doisiile. Sclérose moins marquée des
zones
de Lissauer, du \< postérieur du champ posté
du \< postérieur du champ postéto-interne. Sont conservées : la
zone
cornu-commissurale, la partie interne et moyenne
ch. C. (Méthode de Pal.) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des
zones
de Lissauer, du 5' postérieur du cordon de Goll
Westphal (1) a démontré, en effet, qu'il existe dans la moelle une
zone
dont la lésion détermine l'abolition du réflexe.
du réflexe. Placée à l'union des régions lombaire et dorsale, celte
zone
est limitée : en dedans par une ligne virtuelle
atineuse et le point de pénétration des racines postérieures. Cette
zone
, dite par Westphal zone d'entrée des racines, est
pénétration des racines postérieures. Cette zone, dite par Westphal
zone
d'entrée des racines, est, d'après cet auteur,
rsement, lorsque les réflexes ont été conservés jusqu'à la mort, la
zone
d'entrée des racines reste intacte. Il en était a
, la veille à gauche. Les lésions dépassaient peine la limite de la
zone
.Westplial vit, dans un cas personnel, l'aboliti
igne de Westphal fut constaté 3 mois avant la mort. L'étendue de la
zone
atteinte était plus considérable. « Kraus (3) c
perte du réflexe patellaire d'un côté, la diminution de l'autre. La
zone
de Westphal était plus sclérosée du côté correspo
unique symptôme l'abolition uni- latérale du réflexe rotulien : La
zone
de Westphal était atteinte de ce seul (1) Westp
es, seul symp- tôme nerveux, était en rapport avec une lésion de la
zone
de Westphal. Dans notre cas, on constate que la
e lésion de la zone de Westphal. Dans notre cas, on constate que la
zone
d'entrée des racines est conser- vée. C'est don
Quant à propos de la localisation souvent primitive au niveau de la
zone
de Westphal, que la dégénération du tabes atteint
es et plus épaisses à la périphérie qu'au centre. Une coupe dans la
zone
de transition, entre la tumeur et le segment du
our nous rapprocher du centre de la tumeur, nous constatons dans la
zone
transitoire, un périmysium externe élargi aux d
tion, fait voir que les traînées larges du périmysium externe de la
zone
transitoire sont très riches en vaisseaux, que
limite entre la peau saine et la surface malade est formée par une
zone
violacée (lilac ring). En dedans de ce liseré,
t une compression passagère, soit une irritation momentanée vers la
zone
rolandique. En tous cas le malade n'est pas u
on d'exostoses sur la table interne des os du crâne au niveau de la
zone
motrice; que ces exos- toses s'établissent dans
'est-à-dire, d'une mince couche de cartilage hyalin, gar- nie d'une
zone
d'ossification et constituée comme dans une extré
ossification progresse en général du centre à la périphérie, que la
zone
fibreuse qui entoure la tumeur et qui est desti
tout le cordon pos- térieur d'une façon à peu près symétrique ; la
zone
cornu-commissurale et le centre ovale de Flechs
des cordons postérieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des
zones
radiculaires postérieure et moyenne, la zone an
accusée au niveau des zones radiculaires postérieure et moyenne, la
zone
antérieure n'est pas très touchée. La zone de Lis
stérieure et moyenne, la zone antérieure n'est pas très touchée. La
zone
de Lissauer est altérée. (PI. XXII, E.) Dans
lérose des cordons postérieurs, symétrique, prenant la totalité des
zones
radiculaires postérieure et moyenne respectant pr
diculaires postérieure et moyenne respectant presque entièrement la
zone
radiculaire antérieure, surtout la zone cornu-com
tant presque entièrement la zone radiculaire antérieure, surtout la
zone
cornu-commissu- rale. La zone de Lissauer est a
ne radiculaire antérieure, surtout la zone cornu-commissu- rale. La
zone
de Lissauer est altérée. Le centre ovale de Flech
lechsig paraît con- servé. Même dans les parties les plus altérées (
zones
radiculaires postérieure et moyenne) il y a un
nte, bien que plus accusée au niveau des cordons postérieurs où les
zones
radiculaires antérieure et cornu-commissurale s
antérieure et cornu-commissurale sont sclérosées. Au contraire, la
zone
de Lissauer est relativement peu atteinte. (PI.
- Même topographie des lésions. Dans les cordons posté- rieurs, la
zone
radiculaire antérieure possède beaucoup de fibres
re que, d'une manière gé- nérale, le centre ovale de Flechsig et la
zone
cornu-commissurale sont relati- vement, sinon c
coloration de la peau du visage est nor- male, sauf au niveau d'une
zone
hyperémiée, qui, longue de 2 centimètres, s'éte
d'une couche mince de cartilage hyalin. Cette couche présentait une
zone
d'ossification et était constituée comme dans une
ots et chacun d'eux régit un groupe distinct de muscles. Il y a des
zones
chargées de percevoir les impressions que les age
ations qui se passent dans la profondeur de nos organes. Il y a une
zone
distincte pour per- cevoir les impressions lumi
e chargée de percevoir les sons, et ainsi du reste. Ces différentes
zones
, véritables centres, sont reliées et associées
ns une certaine étendue de surface, et que l'électrisation de cette
zone
excitable pro- voque des contractions musculair
des crises épileptiques en rapport avec une tumeur vasculaire de la
zone
ro- landique que l'examen histologique montra ê
d'oreilles, etc.). Au niveau de l'ovaire gauche il existe aussi une
zone
hystérogène ; on en trouve d'autres au vertex,
ant très attentivement avec le gauche tout au moins en dehors de la
zone
du petit épanchement surtout avant qu'eût été p
ications d'axones ascendants de cellules des couches infé- rieures (
zone
des grains, zone des pyramides géantes, zone des
ascendants de cellules des couches infé- rieures (zone des grains,
zone
des pyramides géantes, zone des corpuscules pol
couches infé- rieures (zone des grains, zone des pyramides géantes,
zone
des corpuscules polymorphes) ; 4° des ramificat
rphes) ; 4° des ramifications collatérales d'axones de cellules des
zones
supérieures (couches des pyramides petites et m
ce plexus nerveux. L'observation toujours plus approfondie de cette
zone
a déjà per- mis à Cajal de la subdiviser en deu
ini avec les corps et les dendrites des cellules indigènes de cette
zone
, c'est-à-dire de la couche des cellules étoilées,
inement en contact avec des cen- taines de cellules nerveuses de la
zone
des cellules étoilées et avec un nombre considé
ture les innombrables fibres myéliniques qui se distribuent dans la
zone
des cellules étoilées, dès qu'on admet que les
e, ou strie de Gennaiu, entre les cellules étoilées de la quatrième
zone
. Ajoutez qu'en traversant cette région, les axo
latéraux courts, dont un ou plusieurs prolongements montent dans la
zone
des cellules étoilées, à cylindraxe ascendant,
E CRITIQUE. La couche cles cellules pyramidales géantes, ou sixième
zone
, est formée d'une ou deux rangées de puissants
llules polymorphes. La couche des cellules polymorphes, ou septième
zone
, renferme quatre espèces d'éléments nerveux : 1
e en arc au-dessous des corps cellulaires avant de monter dans la
zone
des cellules étoilées et de s'y ramifier et envoi
aux couches inférieures. La tige pro- toplasmique s'épuise dans la
zone
des cellules étoilées ; 2' cellules fusiformes
re, non sans abandonner des collatérales destinées aux plexus de la
zone
de Gennaiu et il d'autres zones ; 3° cellules du
latérales destinées aux plexus de la zone de Gennaiu et il d'autres
zones
; 3° cellules du deuxième type de GOLGI, à cyli
ème type de GOLGI, à cylindraxe court, s'arborisant dans cette même
zone
des cellules polymorphes; 4° cellules-triangula
s cellules du premier type se rencontrent peut-être dans toutes les
zones
stratifiées des circonvolutions, quoique jusqu'ic
scendant; les branches de celui-ci peuvent descendre jusque dans la
zone
des cellules polymorphes. L'axone, d'une finess
est d'associer dans le sens vertical les pyramides situées dans des
zones
distinctes d'un territoire cortical. Les cell
ques à fort calibre dont Czar, a suivi les ramifications dans la 4"
zone
de l'écorce de l'aire visuelle lui ont rappelé
irmaient pour toutes les sphères corticales de la sen- sibilité les
zones
d'association de Elixiisig demeurant en dehors
e c'était à prévoir, l'anesthésie augmenta et dessina exactement la
zone
du fémoro-cutané. Dix jours après l'opération,
, à l'autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des
zones
motrices. M. JOFFROY trouve considérable le rôl
y prennent naissance. On distingue dans cette écorce deux sortes de
zones
: les zones de projection et les zones d'associ
aissance. On distingue dans cette écorce deux sortes de zones : les
zones
de projection et les zones d'association. Les p
cette écorce deux sortes de zones : les zones de projection et les
zones
d'association. Les premières com- muniquent dir
uent avec la périphérie qu'indirectement, par l'in- termédiaire des
zones
de projection. Il n'existe pas de zones n'ayant
, par l'in- termédiaire des zones de projection. Il n'existe pas de
zones
n'ayant que des fibres centrifuges ou que des f
t que des fibres centrifuges ou que des fibres centri- pètes. Toute
zone
de projection est donc susceptible et de recevo
eur d'avoir établi qu'il s'agit là d'une loi générale : que toute
zone
de projection est en rapport avec la périphérie d
res. - L'oeil en tant qu'organe sensoriel (rétine) correspond à une
zone
du cortex bien déterminée : le centre visuel co
doué de la sensibilité générale (trijumeau) correspond à une autre
zone
de pro- jection. Celle-ci doit faire partie de
à une autre zone de pro- jection. Celle-ci doit faire partie de la
zone
de projection du reste de la face : rien ne' no
nte, et aux pieds des deuxième et troisième frontales '. Ces deux
zones
peuvent être lésées isolément ou simultanément
u simultanément (hémianesthésie, hémianopsie) L'existence de deux
zones
de projection centripète, nous permet déjà de c
ction centripète, nous permet déjà de concevoir l'existence de deux
zones
de pro- jection centrifuge (motrice) superposée
ntage encore. Les yeux se dirigeaient en bas par l'excitation de la
zone
supérieure du lobe occipital, en haut par l'exc
a zone supérieure du lobe occipital, en haut par l'excitation de la
zone
inférieure, latéralement par ' Joanny Roux. Réf
DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 181 l'excitation de la
zone
intermédiaire. Il note que les mouve- ments éta
a clinique et l'anatomie patholo- gique.. Voilà donc une première
zone
corticale jouant un rôle dans les mouvements de
ge elle-même ses déplacements. B. Centre oculo-moteur antérieur. La
zone
de projec- 1 Toute cette élude nous montrera qu
e nous permettent de supposer que ces mouvements ont pour centre la
zone
de projection sensitive, correspondant probable
D'après Mott et Schaeffer l'excitation du tiers supérieur de cette
zone
produirait une déviation latérale, et un abais-
e au point de vue moteur, de même qu'au point de vue sensitif, deux
zones
de projection corticales. L'une, le centre ocul
ales. L'une, le centre oculo-moteur antérieur, corres- pondant à la
zone
de projection de la sensibilité générale (triju
tale. L'autre, le centre oculo-moteur posté- rieur, correspond à la
zone
de projection sensorielle (rétine) au niveau de
au lenticulaire, mais peut se produire dans un point variable d'une
zone
plus large, constituant la région de l'hémorrag
es entrent en jeu dans la voie motrice; l'un qui va de l'écorce des
zones
motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'au
) eut survécu plus de six jours à son iclus. Chez ce malade dont la
zone
motrice était inaltérée, les troubles de la mot
ans le centre ovale, vers l'écorce céré- brale, au niveau de la
zone
rolandique, en con- tournant le noyau caudé e
ne rayonnante de lieil, des fibres unissant la capsule interne à la
zone
rolandique. En résumé, il s'agit d'une hémorrag
inière a révélé l'existence des lésions suivantes : Au niveau de la
zone
d'infection, le nerf présentait : 1° des alté-
u'à la fragmentation et l'atrophie de ce filament). Au-dessus de la
zone
d'infection, l'envahissement microbien diminuait
lésions secondaires. D'après l'auteur, les lésions du nerf dans la
zone
d'infection 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
particulier des neurones psychiques. Il peut arriver aussi que les
zones
psychomotrices soient atteintes. La mauvaise nu
zones psychomotrices soient atteintes. La mauvaise nutrition de la
zone
psychique peut tenir à l'ané- mie, à la toxhémi
utour de quelques petits vaisseaux et surtout près des méninges des
zones
d'infiltration limité, mais assez serrée de pet
ion périphérique indirecte, dont l'excitation porte en dehors de la
zone
d'innervation du système phonateur, produit des
a gorge, la bouche, la langue, les lèvres, presque toujours dans la
zone
d'innervation des nerfs phonateurs. Pourtant on
lement cérébraux doivent être représentés dans l'écorce, dans des
zones
distinctes, mais fonctionnellement réunies et ana
voix est d'abord peu précise, mais aussitôt qu'elle arrive dans la
zone
des organes phonateurs elle est plus nette. I
ière lombaire ; point hystérique au niveau de la septième dorsale ;
zone
hystérique au niveau des flancs et au-dessus de
erts, la pupille te dilate au point que l'iris ne forme plus qu'une
zone
presque imperceptible. Comme le corps se pencha
est maintenant normale. On constate la dispa- rition du clou et des
zones
hystériques ainsi que de la rachialgie. Juin. A
ains cas, la sensibilité à la douleur est seule atteinte, et que la
zone
d'analgésie s'étend parfois plus haut que la '
inte, et que la zone d'analgésie s'étend parfois plus haut que la '
zone
de thermo-anesthésie, permet de penser qu'il exis
constate une dégénérescence qui monte jusqu'au bulbe. Seulement la
zone
de dégénérescence est de plus en plus pauvre, c
se limitent essentiellement aux cordons antérieurs et encore à leur
zone
médiane. Ces fibres sont indubitablement, pour
oisé. Une petite partie de ce faisceau rayonne dans la région de la
zone
acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande partie, sous
et ? lIÜnzer, Schaffer). Il y a donc lieu de for- muler que dans la
zone
en virgule de Schultze il n'y a que les branches
dégénérées s'échelon- nent successivement en dedans, en quittant la
zone
d'entrée radiculaire, à partir du niveau des ra
aire, à partir du niveau des racines lésées, vers le bulbe ; -, les
zones
qui correspondent aux racines dégénérées de la mo
ns la dégénérescence des deuxième et troisième racines dorsales, la
zone
de dégénérescence (abstraction faite d'un très
ste des corps très nombreux, bleus, à contours irréguliers, dont la
zone
extérieure, plus pâle, se pro- longe dans un pl
tre à bords dentelés ou projeté en rameaux touffus se détache de la
zone
en question à l'état de noyau beaucoup plus fon
ucoup plus foncé. En réalité ce sont des fibres mous- seuses à deux
zones
, une zone externe, et une zone interne. La zone
foncé. En réalité ce sont des fibres mous- seuses à deux zones, une
zone
externe, et une zone interne. La zone interne (
sont des fibres mous- seuses à deux zones, une zone externe, et une
zone
interne. La zone interne (objectif à immersion
s- seuses à deux zones, une zone externe, et une zone interne. La
zone
interne (objectif à immersion de Siebert apochrom
à la région centrale de l'organe qui nous occupe contraste avec la
zone
bleu clair externe. La zone externe, proba- ble
rgane qui nous occupe contraste avec la zone bleu clair externe. La
zone
externe, proba- blement moins riche en substanc
ns et entoure simultanément plusieurs cellules. Ce même tissu de la
zone
externe glisse au-dessus des fibres détachées d
aux voussures des amas de granulations, ce qui fait supposer que la
zone
centrale des renflements mousseux constitue des
n proto- plasma finement grenu, avec un noyau central entouré d'une
zone
plus claire. Ce sont des cellules nerveuses, bi
ter et coordonner les diverses impressions, dans le voisinage de la
zone
dé la vision directe ; il renforce ou affaiblit
ation pénible se transforme en une véritable brûlure qui dépasse la
zone
précé- dente en haut et en bas, allant de l'arc
atorze jours après l'admission. Autopsie. - Le cerveau présente des
zones
de coloration très différentes : les lobes occi
sl. Que le cerveau soit sur- mené par le fonctionnement exagéré des
zones
motrices (étals maniaques), sensitives (mélanco
riences sur des chiens. Excitation au moyen du courant induit de la
zone
motrice de l'écorce, ou bien injections hypoder-
s se rattachent à des expériences con- sécutives à l'ablation de la
zone
motrice de l'écorce pendant l'attaque d'épileps
me qui apparaît comme résultant d'une excitation d'en- semble de la
zone
motrice de l'écorce cérébrale et des centres qui
et vésicales dé l'attaque ; les unes et les autres dépendent de la
zone
motrice de l'écorce du cerveau. - P. KERAvAL.
téral; il existe un ramollissement dont le pourtour seul atteint la
zone
des ganglions centraux et la capsule interne. Int
c- tions sensitives, de même qu'après l'ablation expérimentale de
zones
corticales déterminées, d'autres éléments des mêm
entale de zones corticales déterminées, d'autres éléments des mêmes
zones
peuvent être dressés aux nouvelles fonctions co
eu les piqûres, peu le froid et le chaud, notamment au centre de la
zone
en question. Il éprouve des douleurs sponta- né
l'at- teinte des fibres sensitives. Rougeur avec hyperthermie d'une
zone
circonscrite de l'avant-bras malade, constituan
tion de la pie-mère par de nombreuses cellules rondes au niveau des
zones
d'entrée des racines. Ces foyers aug- mentent e
partent deux ou trois vaisseaux déjà altérés qui s'en vont dans la
zone
intacte. Les foyers, ceux surtout qui occupent
e cerveau, en effet, soit surmené par le fonctionnement exagéré des
zones
motrices (manie), sensitive (mélancolie), senso
l'angle externe des cornes antérieures, une sclérose qui forme une
zone
transversale s'étendant presque jusqu'à la péri
tance grise semble normal. Les fibres nerveuses qui constituent les
zones
radiculaires antérieures semblaient aussi moins
urtout nets sur des coupes de la région cervi- cale au niveau d'une
zone
siégeant à l'union de la moitié anté- rieure av
avons pas réussi non plus à provoquer ces accidents en irritant les
zones
épileptogènes d'après les données de MM. Brown-
face supérieure de la couche optique, immédiatement en dehors de la
zone
où le ventricule latéral émet son prolongement
cation d'un morceau de glace abaisse la température sur une large
zone
. Dans le premier cas, la contraction des plus fin
e du défaut d'exploration de la sensibilité, du champ visuel et des
zones
hystérogènes. L'hérédité se trouve en jeu d'une
f. Psych. u. Nervenkrank, XVI, n ). P. K. BIBLIOGRAPHIE 1. Des
zones
hystérogènes et hypnogènes, des attaques de somme
de sommeil; par le Dr Pitres. (Bordeaux, 1885, in-8°, 70 p.) Les
zones
hystérogènes sont, selon la définition de l'auteu
ons. On sait que c'est M. le professeur Charcot qui a découvert les
zones
hystérogènes. M. Pitres, continuant les recherche
élève le Dr Gaube (Bordeaux, 1882). On rencontre fréquem- ment des
zones
hystérogènes dans l'hystérie vulgaire, ou petite
gènes dans l'hystérie vulgaire, ou petite hystérie. - Il existe des
zones
hystérogènes sur les membres. MM. Bourneville e
es que chez plus de la moitié des hystériques vulgaires, il y a des
zones
hysté- rogènes sur les membres supérieurs ou in
avait aussi sur le tronc ou la tête. Dans la majorité des cas, les
zones
des membres et du thorax sont exclusivement spa
s des membres et du thorax sont exclusivement spasmogènes, et les
zones
ovarienne ou épigastrique exclusivement spasmo-fr
spasmo-frénatrices. - Au point de vue de leur siège anatomique, les
zones
hystéro- gènes doivent être divisées en zones c
siège anatomique, les zones hystéro- gènes doivent être divisées en
zones
cutanées, sous-cutanées etviscé- rales. 1° Les
re divisées en zones cutanées, sous-cutanées etviscé- rales. 1° Les
zones
cutanées, les plus rares de toutes, sont celles
ps en ignition, la pulvérisation de quelques gouttes d'é- ther. Les
zones
cutanées siègent dans les expansions nerveuses
des régions cutanées qui sont complète- ment anesthésiques. 2° Les
zones
sous-cutanées, qui sont plus com- munes, résist
r la compression énergique des troncs nerveux qui se rendent il. la
zone
sous-cutanée, sur tous les points où ils sont acc
ls sont accessibles dans leur trajet entre la moelle épinière et la
zone
. 3° Les zones viscérales, ont pour siège le par
sibles dans leur trajet entre la moelle épinière et la zone. 3° Les
zones
viscérales, ont pour siège le parenchyme de l'o
n a été faite par M. Féré, qui a vu chez une hystérique enceinte la
zone
hystérogène du flanc gauche s'élève graduelleme
es de la gestation. Cependant M Pitres pense qu'il peut y avoir des
zones
ovariennes et mammaires sous- cutanées, car il
- cutanées, car il arrive chez certains malades qui possèdent ces
zones
, à arrêter l'attaque en pinçant un pli de la peau
s comprimer profondément l'abdomen. On peut faire dis- paraître les
zones
hystérogènes par l'électrisation statique, la gal
xemple sur un membre), la réfrigération de la peau qui recouvre une
zone
sous-cutanée, l'application des siuapismes sur
ecouvre une zone sous-cutanée, l'application des siuapismes sur les
zones
cutanées ou sous-cutanées. (Les sina- pismes ap
ées circulairement autour d'un membre font dispa- raître toutes les
zones
situées au-dessous d'eux, et sont sans action s
tes les zones situées au-dessous d'eux, et sont sans action sur les
zones
situées au-dessus). Les zones hypnogènes sont d
d'eux, et sont sans action sur les zones situées au-dessus). Les
zones
hypnogènes sont des régions circonscrites du corp
l'état de veille les sujets préalablement hypnotisés. La principale
zone
hypnogène connue est le vertex, dont la pressio
s- tantanément le sommeil hypnotique. M. Pitres a observé que les
zones
hypnogènes se rencontrent sur tous les points du
lques hystériques facilement hypnotisables n'en possèdentaucun. Les
zones
ont en général de un à quatre ou cinq centimètr
à quatre ou cinq centimètres de diamètre; si la compression de ces
zones
produit l'effet spécifique, une com- pression e
s zones produit l'effet spécifique, une com- pression en dehors des
zones
ne donne lieu qu'à une douleur plus ou moins vi
fonds chez des sujets particulièrement excitables. De même que les
zones
hystérogènes, les zones hypnogènes peuvent être
articulièrement excitables. De même que les zones hystérogènes, les
zones
hypnogènes peuvent être divisées en zones cutan
s zones hystérogènes, les zones hypnogènes peuvent être divisées en
zones
cutanées, sous-cutanées, viscérales.- Parmi ces
divisées en zones cutanées, sous-cutanées, viscérales.- Parmi ces
zones
, les unes provoquent le sommeil, ce sont les zone
ales.- Parmi ces zones, les unes provoquent le sommeil, ce sont les
zones
hypno- gènes proprement dites ; les autres la f
oprement dites ; les autres la font cesser brusquement, ce sont les
zones
hypnofrénatrices. Les premières se subdivisent eu
pnofrénatrices. Les premières se subdivisent eu trois groupes : les
zones
hypnogènes simples, dont la pression pratiquée
eille détermine une phase, toujours la même, du sommeil hypnotique;
zones
hypnogènes à effets successifs, dont la pressio
à mesure que cette pression' devient de plus en plus énergique; les
zones
hypnogènes à effets incomplets, dont la pressio
it passer le sujet endormi d'une phase du sommeil dans l'autre. Les
zones
hypno-frénalrices sont susceptibles des mêmes s
l'étude de trois malades, qui possèdent un très grand nombre de ces
zones
, distribuées irrégu- lièrement sur toute la sur
ments des doigts, etc. - Chez quelques malades, presque toutes les
zones
hypnogènes sont situées sur le côté gauche du cor
nes sont situées sur le côté gauche du corps, et presque toutes les
zones
hypno-frénatrices sur le côté droit. Or ces mal
ésiques. Cependant il n'y a aucun rapport entre la distribution des
zones
et l'état de la sensibilité, car le transfert d
transfert de l'hémianesthésie ne s'accompagne pas du transfert des
zones
. - Les zones hystérogènes et hypnogènes coïncid
l'hémianesthésie ne s'accompagne pas du transfert des zones. - Les
zones
hystérogènes et hypnogènes coïncident quelquefo
ion plus énergique produit l'attaque. Cependant les deux espèces de
zones
conservent leur individualité, car par l'électr
ur individualité, car par l'électricité statique, on peut abolir la
zone
hystérogène, tandis que la zone hypnogène demeure
tricité statique, on peut abolir la zone hystérogène, tandis que la
zone
hypnogène demeure intacte. L'auteur étudie ensu
léthargie plus profonde, dans laquelle la pression de l'ovaire, des
zones
hystérogènes ne produit absolument rien. A. BINET
e la largeur du faisceau pyramidal, mais qui est bien situé dans la
zone
de celui-ci. On Voy. t. X, p. i. cas de sclér
isagent cette extension de la sclérose comme liée, à l'existence de
zones
de propagation du processus inflammatoire de la
t surtout des cornes antérieures; d'autre part on trouve dans les
zones
radiculaires antérieures un certain nombre de c
ntière- ment disparu : .C'est donc bien là une preuve que dans la
zone
de substance blanche qui contient les faisceaux
e homme de vingt et un ans. Phases classiques de la grande attaque;
zone
hysté- rogène. Arrêt de la crise par la pressio
oins forte. La douleur spontanée, du côté gauche a disparu. Mais la
zone
sous-axillaire d'hyper- esthésie subsiste. La p
une piqûre. Il pleure et se plaint de son côté gauche. Pas d'autre
zone
hyslé- rogène. 26 janvier et jours suivants.
cune couleur. La thoracalgie gauche a disparu. Mais il reste là une
zone
liysté- rogène dont la pression provoque la cri
ion du testicule, soit par la pression des fosses iliaques ou de la
zone
d'hyperesthésie, soit par tout autre moyen. On
st le pemphigus qui précède parfois l'apparition des plaques et des
zones
anesthésiques, d'ailleurs inconstant. Suit une
e segment antérieur ? Recherche vaine. l, Impossihle "de trouver la
zone
trophique et,le trajet des fibres conductrices. P
« der granzlichen Schieht, der grauen substanz » et dergeneischten
zone
» et pénétrant dans l'extrémité du dernier, il
urs au délire, perversion des senti- ments affectifs. - Insomnie. -
Zones
hyperesthésiques, très douloureuses même sponta
ones hyperesthésiques, très douloureuses même spontanément, : clou,
zone
latéro-vertébrale, sous-mammaire, sous-clavicul
rendre. 7. - Attaque convulsive. 8. Applications d'aimant sur les
zones
hyperesthésiques (ovaire gauche, dos à gauche ;
eut constater une diminution fort nette de l'hyperesthésie dans les
zones
citées. 9. = Deux attaques avec période de déli
plètement. La sensibilité générale et spéciale reparaît alors : les
zones
hype- resthésiques sont douloureuses comme à l'
emande à rester seule parce qu'elle a peur de tuer quelqu'un. 25.
Zones
hyperesthésiques, spontanément douloureuses sous
a moelle; 5" L'apparition rapide de troubles vaso-moteurs dans la
zone
des nerfs affectés; 6" Leur résistance à tout t
base, et que les signes d'inflammation fussent très peu marqués. La
zone
dite corticale motrice était atteinte dans une
nstaté; on n'observa pas non plus de symptômes moteurs, bien que la
zone
corticale motrice du côté droit fût envahie. Ic
nt, se com- plètent à mesure que le territoire devient libre sur la
zone
des centres sensoriels et des instincts. Cett
de même du goût et de l'odorat. Dans l'hypochondre droit existe une
zone
hystérogène. La compression du testicule droit
droite à gauche ; en plus, existe une hémiplégie faciale gauche. La
zone
hystérogène, le testicule dont la pression arrê
te la partie supérieure jouit de la sensibilité et du mouvement. La
zone
hystérogène a abandonné l'hypo- chondre gauche,
émiplégique et hémiatrophique à gauche. La force au dynamomètre, la
zone
hysthérogène, toul est transféré comme dans le
érescence scléreuse de la lisière de substance blanche de certaines
zones
déterminées de l'écorce dans la démence paralytiq
dorsal), 118. Vaso-moteurs de la peau de l'homme, par Bucb, 87.
Zones
(des) hystérogènes et hypno- gènes, des attaque
xiste entre la partie insensible et les parties saines une sorte de
zone
intermé- diaire où les troubles sont moins marq
d'amyotrophie, et de troubles de la sensibilité can- tonnés dans la
zone
du nerf cubital. Dans notre observation II, on
is va en diminuant progressivement. Elle dépasse habituellement les
zones
anatomiques rigoureuses de l'innervation cubita
et engourdissements, diminution de la sen- sibilité tactile dans la
zone
du nerf. On notait une augmentation du diamètre
bilité au tact, à la piqûre, à la température est diminuée dans la.
zone
innervée par le cubital. L'examen électrique fa
dorsale et première lombaire). Dans deux autres cas il existait des
zones
étendues d'anesthésie. La délimitation scrupuleus
. par sa partie supérieure se confond avec la limite inférieure de la
zone
qui 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
r- male au contactet au froid, semble diminuée à la douleur; pas de
zones
douloureuses; la malade voit les couleurs (viol
région qui, comme on le sait, estle siège de la plus fréquente des
zones
DOCUMENTS SATIRIQUES SUR MESMER. 105 hystérog
corps, sauf une diminution très marquée pour la main droite : cette
zone
d'anesthésie et d'analgésie, qui occupe toute cel
contact que le cùté droit(hémiliypoestfusie gauche). 11 existe une
zone
où l'anesthésie et l'analgésie sont complètes : c
iste une zone où l'anesthésie et l'analgésie sont complètes : cette
zone
occupe tout le membre supérieur gauche et se te
'ovaire gauche est douloureuse et détermine une attaquc oenvulsive (
zone
hyslérogèlle). NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL.
loureuse perçue par la malade. Autour de l'oeil gauche il y a une
zone
d'aneslhésie légumentaire, com- prenant les pau
renant les paupières supérieure et inférieure, el s'étendanl dans une
zone
' périorbitaire d'environ deux centimètres. L
ésie et l'analgésie sont complètes pour l'hémicalotte crânienne, la
zone
périorbitaire, la cornée et la conjonctive et le
anges des doigts qui ont leur sensibilité normale, de même que deux
zones
qui ont la forme de manchons d'une hauteur de sep
moitié gauche est tou- jours hyperesthésique; mais, de ce côté, les
zones
d'aneslhésie et d'analgésie complètes ne sont p
e, la cornée et la con- jonctive restant anesthésiques ainsi que la
zone
périorbitaire. Le 23 novembre '1 888, M. Charco
ec raideur qui dure depuis deux jours. Réveillée par pression de la
zone
hystérogène qu'elle porte dans le flanc gauche, e
sur la cornée et la conjonc- tive de l'oeil gauche; de même dans la
zone
périorhitaire. Là face et la tête sont en effet
devenues com- plètement insensibles. Autour de l'oeil existe une
zone
d'anesthésie tégumentaire; elle com- prend les
t oeil, anes- thésie et analgésie de la cornée et delà conjonctive,
zone
d'anesthésie tégumentaire périphérique. Nous
is consulter le docteur X... qui diagnostique une hyperesthésie des
zones
sus-orbitaires et propose l'extraction de dix-
ès accentué, la malade ne peut ouvrir l'oeil. L'hylereslhésic de la
zone
périorhitaire est toujours très marquée au simp
tiers supérieur et du tiers moyen du dos de la main, au niveau d'une
zone
décolorée, manifestement moins foncée que les d
lots pigmentaires de la largeur d'une lentille se voient dans cette
zone
décolorée. La partie inférieure du dos de la main
dispostion est la môme que celle du côté opposé. Au-dessus de cette
zone
brun-rougeâtre est une plaque décolorée répon-
normaux. Le front a gardé sa couleur normale, il l'exception d'une
zone
d'environ 2 centimètres qui s'étend au ras des
ment inférieur du tronc se limitant au-dessous de l'ombilic par une
zone
transversale figurée dans l'observation rapport
ntracturés. A la vérité, cette anesthésie s'irradiait au delà de la
zone
d'action de ces muscles, mais non dans des prop
(ordinai- rement présentée par la malade) par la pression des deux
zones
hystérogénes habituelles situées au-dessous du
lète avec un arc de cercle, altitudes passionnelles, en pressant la
zone
liystérogèiio située au niveau de l'angle de l'
en de la sen- sibilité montre, outre une hémianesthésie gauche, une
zone
d'anesthésie comprenant toute la moitié droite
face et du cou. Au réveil, là contracture a disparu et avec elle la
zone
d'anesthésie circonscrite qui l'ac- compagnait.
au niveau du genou gauche dont les téguments sont llyperesthésiés.
Zone
hystéro- gène au niveau des 3°, 4., 51 et 6a ve
essus, en bas jusqu'à la clavicule et un peu au-dessous, existe une
zone
d'anesthésie totale à la piqûre (fig. 57). Dans
e une zone d'anesthésie totale à la piqûre (fig. 57). Dans une même
zone
adroite (côte liémianesthésique) il s'est fait un
Nous constatons alors que la sensibilité a reparu à gauche dans la
zone
sus- indiquée, alors que le côté droit du cou e
ure et forme une, corde rigide sous la peau. Il existe à gauche une
zone
d'anesthésie cutanée à base triangu- laire se l
paraître la contracture. Au réveil, la sensibilité a reparu dans la
zone
anesthésique. Le 18 avril, mêmes phénomènes sur
Le 18 avril, mêmes phénomènes survenus après une attaque; outre la
zone
d'anesthésie gauche, il s'est fait un transfert
de la sensibilité à gauche, et de l'insensibilité à droite dans la
zone
indiquée. · 181. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
e tout le membre inférieur gauche (la plante du pied exceptée). Une
zone
hystérogène très sensible située au pli de l'ai
nément ou qu'elles soient provoquées par la pression exercée sur la
zone
hystérogène sus-indiquée, offrent il peu près t
n constate chez elle lous les signes d'une coxalgie hystérique avec
zone
hyperesthésique dans la région externe du pli d
ion mammaire et axillaire et sur v la face postérieure du mollet.
Zone
(l'hyperesthésie inguinale et fessière. Perle d
I), il est facile de constater qu'elles se limitent exactement à la
zone
atrophiée, bien que celle-ci soit très étendue; i
cune modifi- cation. Le malade a de chaque côté, dans le flanc, une
zone
hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La pr
e zone hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La pression de ces
zones
n'airétc pas les attaques, mais elle les provoq
30 secondes : rougeur faible sur la ligne tracée, entourée de deux
zones
pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone rouge pér
e tracée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième
zone
rouge périphérique, s'étendant au loin. Fin d
' minute : extension de la saillie blanche, qui envahit la première
zone
pâle et arrive aux limites de la zone rouge périp
nche, qui envahit la première zone pâle et arrive aux limites de la
zone
rouge périphérique. 4° ou 5e minute : l'élevure
la saillie de l'élevure varie de 1 à milli- mètres et davantage; la
zone
rouge périphérique s'étend de 2 à 5 cen- timètr
l'instant d'auparavant. Chez cette malade, la pression seule d'une
zone
hystérogène était susceptible d'amener le révei
e 1889) est toujours dans la même situation. Je ne retrouve plus la
zone
hystérogène de la région sternale. Les périodes
tiques. » M. Charcot réveille alors la malade par la pression d'une
zone
hystérogène située au niveau de l'ovaire gauche
eau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une
zone
limitée en haut et à droite par une ligne horizon
eau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une
zone
limitée : en haut par une ligne horizontale passa
s bourses et la verge du même côté ne sont pas comprises dans cette
zone
, à l'inverse de ce qui existe surla fig.83. Dan
ur. Pas de différence entre la sensibilité des deux côtés du corps.
Zone
hystérogène du mamelon; aura si l'on ne fait que
, faits suivants : 1. Aspect typique des attaques. 2. Présence de
zones
hystérogènes. ' 3. Possibilité d'arrêter à volo
ernière attaque, bien por- tant, robuste, ne présentant plus aucune
zone
hystérogène ou analgé- sique. Il est à regrette
au- tre part, fait beaucoup plus remarquable, on constatait dans la
zone
d'in- nervation cutanée du nerf circonflexe, de
que ci- jointe, vous montre une superposi- tion parfaite entre la
zone
d'liypoes- thésie, notée chez notre malade, et
surtout à droite, une autre bande scléreuse occupant en arrière la
zone
postéro-interne bordant le septum médian, pour
xpansion dans la direction de la colonne vésiculaire de Clarke. Les
zones
radiculaires sont également altérées, surtout cel
mi- nance dans la partie postérieure du faisceau de Goll et dans la
zone
radiculaire postérieure. Dans le cordon antér
ostérieurs sont encore le siège d'une sclérose occupant surtout- la
zone
médiane et dans celle-ci la zone postérieure. Tou
'une sclérose occupant surtout- la zone médiane et dans celle-ci la
zone
postérieure. Tout le long Pl IV. L Battaille
schine) on voit des stries partant du centre et s'irradiant vers la
zone
claire périphé- rique. Ce sont peut-être des tr
nées de substance nucléaire qui ont échappé à la dégénération. La
zone
claire périphérique n'est pas produite par une si
ulaire. Quand le noyau est ainsi rétracté on peut voir nettement sa
zone
de dégénération. J'ai observé ces modifications
ation. J'ai observé ces modifications dans des cas bénins ; mais la
zone
claire n'est pas aussi large, le nombre des noy
schéma annexé à la leçon de M. Raymond). Le malade sent, dans cette
zone
^ toutes les impressions mais beaucoup moins, pa
oprement dites, on a observé, chez quelques malades, l'existence de
zones
d'hyperesthésie. b) Anesthésie. L'anesthésie es
partie postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à une
zone
innervée par le petit sciatique,- ainsi que vou
it le domaine innervé par le sciatique, et ses bran- ches, moins la
zone
d'innervation des péroniers ? Au contraire, dan
ralysie sensitivo-motrice, aux membres inférieurs, était limitée la
zone
d'innervation du péronier. A propos de ces deux
hésie et une paralysie de la vessie et du rectum, et associée à une
zone
d'anes- thésie cutanée, à distribution bien net
nence des matières fécales et de constipation, avec anesthésie de la
zone
génito-périnéo-ano-fessi8re, et, en outre, une
thésie re- monte jusqu'au-dessus du pubis. Elle se continue par une
zone
transver- sale d'hyperesthésie, qui répond au t
re dorsale, l'hyperesthésie fait place à l'anesthésie dans cette même
zone
. Il n'y a pas lieu de compter sur une rétrocess
érale de la jambe ; enfin, au pied, l'anesthésie ne respecte qu'une
zone
contiguë au bord interne. La vessie et le rectum
e de poitrine hystérique. Cette association presque constante d'une
zone
hystérique cutanée et de troubles trophiques no
ureuses et qui présentent, fait expressément noté par Fow- ler, des
zones
hyperesthésiques ou hystérogènes du vagin ou du c
s chirurgiens, recourent à l'extirpation des ovaires atteints d'une
zone
hystérogène. Fort heureusement que ces idées ne
mécanisme du sein hystérique est là tout entier, - il s'agit d'une
zone
hyperesthésique-hystérogène dont l'exaltation, mi
fluence des causes qui président ordinairement à l'exal- tation des
zones
hyperesthésiques, lesquelles se transforment alor
ation des zones hyperesthésiques, lesquelles se transforment alors en
zones
hystérogènes. La pression directe, les émotions
es. La pression directe, les émotions vives peuvent faire entrer la
zone
du sein en action, de même qu'elle subit l'influe
in en action, de même qu'elle subit l'influence de l'excitation des
zones
de voisinage, ou de celles qui, siégeant au nivea
ns. Au moment où, sous l'action de ces diverses causes, s'exalte la
zone
de la région mammaire, le ou les seins, nous sa
, du rachis, s'unissant aux phéno- mènes douloureux partis d'autres
zones
hyslérogènes de voisinage, qui s'exaltent pour
onvulsif n'est pas un accompagne- ment obligé de l'exaltation de la
zone
hystérogène mammaire ; il est bien rare cependa
jours dif- ficile, étant susceptible de produire l'exaltation de la
zone
hystérogène. En se plaçant dans ces conditions
il est difficile parfois de déplacer un stigmate de la nature d'une
zone
hyperesthésique et le sein hystérique n'est pas
ment vas- LE SEIN HYSTÉRIQUE 117 cularisé, sous l'influence d'une
zone
de ce genre. D'autant que l'affection est presq
ection parfaitement caractéri- sée qui est sous la dépendance d'une
zone
hyperesthésique-hystérogène de la peau de la ré
ras jusqu'au coude : 'ces crises survenaient aussi FIG. 13 et 14. -
Zone
d'hypoesthésie consécutive il la section du cubit
eil. D'autre part le malade nous délimita sur son membre malade une
zone
d'anesthésie tac- tile occupant : du côté dorsa
trophiques proprement dits. A la suite de notre intervention, la
zone
que nous avions antérieurement notée sur le dos
l, le diagnostic de névralgie de la VHP racine cervicale droite. La
zone
hypereslhésique fut en effet, par cet examen, l
ès arrachement de la branche dorsale cutanée du cubi- tal, la
zone
d'hypo- esthésie située du côté dorsal se t
e la tête cubitale; c'est en deux points bien détermi- nés de celle
zone
hyperesthésique que les crises douloureuses avaie
mbre avant la résection des racines postérieures. Fie. 11 et 4S.-
Zones
et bandes d'hyperesthésie en pointillé. En noir,
voquait une légère extension de la main. D'autre part tandis que la
zone
et les bandes d'hypéresthésie avaient complètem
mes constater, sans aucune hési- tation possible, la présence d'une
zone
d'hypoesthésie tactile occupantla face interne
en dehors les limites du territoire autrefois hyperesthésie. Cette
zone
englobait les zones anesthé- siques résultant d
tes du territoire autrefois hyperesthésie. Cette zone englobait les
zones
anesthé- siques résultant des opéra lions antér
it les zones anesthé- siques résultant des opéra lions antérieures,
zones
qui se détachaient du 1 FiG. 21.- Spécimen de
E DE LA VIIIe RACINE POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 143 reste, sur la
zone
nouvellement atteinte, par l'intensité beaucoup p
e soir du même jour, je pus constater que la partie brachiale de la
zone
hypoesthésique avait disparu. Le lendemain, 12
érieures et pos- térieures correspondant peu près aux limites de la
zone
qu'occupait les jours précédents l'hypoesthésie
l'hypoesthésie transitoire et situées par conséquent Fia. 22 et 23.
Zones
d'hypoesthésie transitoire, constatée chez le mal
us en avons fait le diagnostic par la délimitation rigoureuse de la
zone
hyperesthésique qui correspondait non au territ
pporte, une saillie osseuse de la deuxième vertèbre lombaire et une
zone
douloureuse sus-jacente (vestiges d'une ancienn
émités supérieures. Anesthésie des membres supérieurs et du dos par
zones
: de toutes les variétés de la sensibilité, la tb
nels ; elle ne présente pas de diminution de la sensibilité, pas de
zones
d'analgésie ; aucun autre stigmate d'hystérie.
ntral. Etal compact con- servé avec raréfaction commençante dans la
zone
intermédiaire. La raré- faction superficielle e
a SALPÊTRIÈRE suivant le niveau des coupes de la région dorsale. La
zone
radiculaire moyenne est partout respectée. Près
ordons postérieurs qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans la
zone
radiculaire postérieure. Cependant," il est a b
les préparations traitées par la méthode de Pal, on constate que la
zone
radiculaire moyenne et toute la bande de substanc
ormales, tandis que la partie médiane des cordons postérieurs et la
zone
radiculaire postérieure (de la nomenclature de Fl
RIÈRE qui regarde leurs fibres nerveuses. De même semble intacte la
zone
de Lissauer. m Les cornes antérieures et post
ache des tendons ou en n'importe quel point du tégument cutané, des
zones
hystérogènes dont la compres- sion est suscepti
Pharyngien aboli. Rotuliens normaux ; un peu plus forts à droite.
Zones
hystérogènes. - Colonne dorsale dans sa moitié su
le dans sa moitié supérieure. Vertex. Points ovariens. Toutes ces
zones
sont douloureuses et si la pression est continuée
Au niveau de la cuisse sur laquelle siège l'ul- cération, dans une
zone
limitée par des lignes circulaires passant en hau
ple diminution de la sensibilité dans les régions symétri- ques aux
zones
d'anesthésie du côté gauche. Enfin larges plaqu
et gauche du tronc, sur la nuque et la région occipitale. Pas de
zones
hystérogènes. Point douloureux épigastrique. An
ère les températures élevées sont encore perçues. A gauche, dans la
zone
symétrique, il existe une thermo-anesthésie qui
rieure de la cuisse gauche. Ajoutons qu'on observe encore une petite
zone
sensible à la piqûre, à la face dorsale des qua
myéline a disparu ; cette bande semble bien être en rapport avec la
zone
de diffusion des leucocytes. - La lésion des va
e transversale qui comprend la commissure postérieure et une petite
zone
adjointe des cordons postérieurs; elle s'arrête l
nombre des cellules pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la
zone
motrice. Les faisceaux pyramidaux sont égalemen
empérature géné- rale, et l'élévation la plus grande correspond aux
zones
dans les- quelles le processus inflammatoire es
es cou- ches stratifiées de l'écorce, soit dans celle de prétendues
zones
spé- ciales du cerveau, une indication physiolo
e, il est vrai, que les unes ou les autres prévalent dans certaines
zones
ou se trouvent même séparément groupées dans un
rtaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans une même
zone
. Ce fut même pour soumettre à un examen nouveau
très différente, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la
zone
motrice, et la première circonvolution du lobe
iques des fibres nerveuses. La spécificité de fonction des diverses
zones
cérébrales dépend, en effet, non point de l'org
nes cérébrales dépend, en effet, non point de l'organisation de ces
zones
elles-mêmes, mais de la spécificité des organes
qu'il en existe, des cel- lules incontestablement motrices Uans la
zone
motrice du cerveau ? Mais cette zone renferme e
ntestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette
zone
renferme en même temps, sans doute confondues a
actions motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions des
zones
motrices, provoquer des troubles de la sensibil
hèse suivante de Golgi, une base anatomique. Dans les différentes
zones
de l'écorce cérébrale, les fonctions de la sensib
périphériques des sens : la spécificité de fonction des différentes
zones
cérébrales serait déterminée par la spécificité
, et non point par une spécificité d'organisation anatomique de ces
zones
. » C'est la doctrine de Meynert. Quoique Meyner
t distinctes. Les deux sortes d'éléments nerveux coexistent dans la
zone
visuelle, parce qu'il n'est point de perception
à revoir les impressions du monde extérieur jusqu'aux dif- férentes
zones
centrales correspondantes. Sur le premier point,
llement iden- tique ». La spécificité fonctionnelle des différentes
zones
corti- cales du cerveau résulte, non d'une comp
trijumeau, les olfactifs, l'optique gauche sont déjà intéressés. La
zone
cortico-intellectuelle est menacée. La dénutritio
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dire la masse tactile de Flechsig, ou
zone
motrice des auteurs, fait un large détour à tra
e, en se propageant de bas en haut, apparaîtra avant tout dans la
zone
radiculaire du faisceau de Burdach du segment tra
par À. HoCHE. (Neurolog. Centl'albl., XV, 1896.) Il s'agit de la
zone
ovale de Flechsig située des deux côtés de la c
e la cloison postérieure, sur le milieu de la moelle (centre ovale,
zone
médiane, champ médian) à laquelle Gombault et P
que les fibres de la virgule de Schultze ne prennent pas part à la
zone
en question. Les fibres de la zone médiane siègen
hultze ne prennent pas part à la zone en question. Les fibres de la
zone
médiane siègent, au-dessous de l'endroit lésé,
acine dorsale, un champ dégénératif corres- pondant exactement à la
zone
cornu-radiculaire de P. Marie. On voit très net
e la 6e racine dorsale. A la hauteur de la 1" racine dorsale, cette
zone
se dirige en dedans ; elle n'est sépa- rée de l
raie de tissu sain qui s'amincit encore d'arrière en avant. Ici la
zone
dégé- nérative forme un L, dont la branche vert
n postérieur, et lui est même contiguë à son extrémité latérale. La
zone
radiculaire postérieure apparaît donc comme le
orsale qui vont au cerveau. Au niveau de la 7e racine cervicale, la
zone
dégénérative a diminué parce que un certain nombr
n'y en a plus qu'un petit vestige près de la corne postérieure. La
zone
dégénérative forme maintenant un triangle dont
ression mentale parait accompagner surtout les cas où il existe des
zones
superficielles douloureuses à la partie inférie
ous les mammi- fères, Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1°
zone
moléculaire; 2° couche des petites pyramides; 3
he des grandes pyramides; 4° couche des cellules polymorphes . 1.
Zone
moléculaire. Lescellules de la névroglie se press
ulaires de Mar- tinotti. Mais la plupart des fibres nerveuses de la
zone
moléculaire proviennent des quatre types de neu
ndraxe fin, tantôt oblique, tantôt horizontal, et demeurant dans la
zone
moléculaire : cellules spéciales, ou cellules d
zone moléculaire : cellules spéciales, ou cellules de Cajal, de la
zone
moléculaire; 2° cellules fusi- {ormes, à direct
qui paraissent être des fibres nerveuses, restant toujours dans la
zone
moléculaire (cellules polyaones de Lenhossek) ;
ines collatérales qui se perdent dans les fibrilles nerveuses de la
zone
moléculaire; 4° cellules fusiformes unipolaires.
comme le pense Cajal, des cellules d'association, unissant à cette
zone
aux strates inférieures de l'écorce : du prolonge
es du faisceau tangentiel (Veratti). Les cellules spéciales de la
zone
moléculaire, presque toutes pluri- polaires, pr
ales les plus hautes du cylindraxe remontent quelquefois jusqu'à la
zone
moléculaire elle- même. Dans les vertèbres infé
llules se réduisent, chez les batraciens, au bouquet terminal de la
zone
moléculaire, sans branches latérales de la tige
ta- tion très nette et la tige qui les supporte n'atteint jamais la
zone
moléculaire; elle fait souvent défaut. Le cylin
lindraxe THÉORIE DES NEURONES. 289 presque en droiture jusqu'à la
zone
moléculaire, où il se divise en deux ou trois g
ns les diverses couches de l'écorce cérébrale et atteignent même la
zone
molécu- laire, où elles s'arborisent. D'autres
rande partie des fibres venues du bulbe olfactif montent dans cette
zone
et s'y arborisent dans les ramures protaplasmiq
e, au sens que nous avons dit, naîtrait donc dans l'épaisseur de la
zone
moléculaire. 151 THÉORIE DES NEURONES. 291 Ca
ctrique de l'écorce cérébrale : les excitations dif- fusées dans la
zone
moléculaire agiraient soit directement sur les
yramidales, soit indirectement sur les fibrilles nerveuses de cette
zone
; bref, « le stimulant du physiolo- giste agirai
s longs; des organes à fonctions motrices, tels que le cervelet, la
zone
rolandique, renferment un grand nombre de cellu
sont immenses, et bien propres à déconcerter l'imagination. Dans la
zone
moléculaire, point commun de rencontre d'une «
rescentes des cylin- draxes et des collatérales existant dans cette
zone
peuvent com- 292 REVUE CRITIQUE. - muniquer a
es : 1° courants des quatre espèces de cel- lules autochtones de la
zone
moléculaire; 2° courants des cellules à cylindr
nules à la périphérie du cytoplasma laissant autour du noyau une
zone
claire qui s'étend jusque dans les prolongements
jusque dans les prolongements protoplas- miques ; c) mélange d'une
zone
de granules périnucléaires à la zone périphériq
las- miques ; c) mélange d'une zone de granules périnucléaires à la
zone
périphérique; d) extension de ces éléments chro
quefois pour expliquer ces changements : inhibitions de cer- taines
zones
cérébrales; interférences des courants nerveux; a
rand nombre de fibres tangentielles; ces dernières en occupent deux
zones
délimitées par une couche de cellules fusiforme
es, parce que chez eux il y a abseuce de connexion directe entre la
zone
motrice de l'écorce cérébrale et la substance g
Purkinje et celles qui se développent dans la couche profonde de la
zone
granuleuse externe pour prendre part à la forma
raxe. D'après Flechsig l'écorce cérébrale doit être divisée en deux
zones
distinctes ; une zone reliée aux masses grises
l'écorce cérébrale doit être divisée en deux zones distinctes ; une
zone
reliée aux masses grises inférieures par des fibr
eliée aux masses grises inférieures par des fibres de projec- tion (
zone
des centres de projection) et une zone uniquement
des fibres de projec- tion (zone des centres de projection) et une
zone
uniquement cons- tituée par des fibres centripè
ripètes et centrifuges reliant entre eux les centres de projection (
zone
des centres d'association). La zone des centres
ux les centres de projection (zone des centres d'association). La
zone
des centres de projection est constituée par quat
56 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Ce sont là les
zones
ou les sphères sensorielles ou plutôt les sphèr
l'écorce cérébrale en dehors des sphères sensorielles constitue la
zone
des centres d'association. Cette zone est formé
res sensorielles constitue la zone des centres d'association. Cette
zone
est formée de trois sphères distinctes : 1° le
à ce moment et à plus forte raison pendant la vie intra-utérine des
zones
de l'écorce qui correspondent à ces sphères son
ly avait en outre une légère dégénérescence diffuse au milieu de la
zone
radiculaire. Ce cas s'accorde aussi avec deux c
plégies, les hémi- plégies accusent celle des circonvolutions de la
zone
rolandique. » Les muscles de l'oeil, le pneumog
moelle épinière. Microscopiquement on trouva des altérations de la
zone
périphérique de la moelle entière; dans l'intumes
re gra- vement atteinte dans sa partie cervico-dorsale, où toute la
zone
marginale est dégénérée, tandis que la partie c
u-dessus des mame- lons, de là jusqu'au niveau de la deuxième côte,
zone
de sensibi- lité incertaine. Douleurs dans cett
euxième côte, zone de sensibi- lité incertaine. Douleurs dans cette
zone
et pins tard dans la par- tie interne des deux
rection ascendante, constitue, au sur et à mesure de son trajet, la
zone
cornu-radiculaire, la zone BIBLIOGRAPHIE. 1191
ue, au sur et à mesure de son trajet, la zone cornu-radiculaire, la
zone
BIBLIOGRAPHIE. 1191 1 des bandelettes externe
laire, la zone BIBLIOGRAPHIE. 1191 1 des bandelettes externes, la
zone
interne des fibres longues. Les systèmes endogè
: 1° au niveau du système radiculaire postérieur; 2° au niveau des
zones
endogènes ; 3° au niveau du cordon de Goll. De no
racines. Cet envahissement du système radiculaire pos- térieur, par
zones
successives, constitue la première étape anato-
ue du tabès. Le labes avancé est caractérisé par la destruction des
zones
endogènes descendantes (virgule de Schultze; band
de Flechsig; faisceau triangulaire médian du cône terminal;, et des
zones
endogènes ascendantes (fibres cornu-commissural
s ascendantes (fibres cornu-commissurales); celte destruction des
zones
endogènes constitue le deuxième étage anatomique
La lésion est, avant tout, une lésion primitive, quelle que soit la
zone
atteinte, endogène ou exogène, au niveau des raci
t atteint dans son ensemble mais il y a lieu de distinguer diverses
zones
inégalement sclérosées. Le maximum des lésions
es. Le maximum des lésions siège en deux points : au niveau de la
zone
de Lissauer où l'on ne distingue que de très rare
ibres éparses; la dégénérescence gagne le cordon postérieur vers la
zone
cornu-radiculaire. L'ensemble de la lésion dess
euses à mesure que l'on se rapproche du septum médian. La seconde
zone
des lésions occupe une grande partie du cordon
côté est concave, restant séparé vers son milieu du septum par une
zone
ovale à peu près saine. En ces deux régions, le
n se détache avec netteté sur le fond du cordon postérieur. Trois
zones
sont beaucoup moins atteintes, offrant une majori
uent de cohésion, marque évi- dente d'une sclérose commençante. Ces
zones
correspondent : en arrière et en dehors à la mo
s côtés à la corne postérieure, et s'insinuant entre celle-ci et la
zone
scléreuse ci-dessus décrite. La substance grise
cordon postérieur possède un plus grand nombre de libres saines. La
zone
de Lissauer est intacte ou à peu près. Pour ce
érieur proprement dit, elle occupe de pari et d'autre du septum une
zone
symétrique. Cette zone sclé- reuse a la forme d
elle occupe de pari et d'autre du septum une zone symétrique. Cette
zone
sclé- reuse a la forme d'un triangle allongé do
ez près de la périphérie de la moelle, mais en reste séparée par la
zone
radiculaire posté- rieure. Cette bande, qui cor
très peu de fibres saines dissé- minées à de larges intervalles. La
zone
de Lissauer est légèrement lésée. Tout le res
libres manquent, sans nul doute, dans les unes et les autres des
zones
postérieures. Le contraste est moins frappant ent
ent sains les faisceaux de Lissaüer et radiculaires postérieurs. La
zone
des fibres ascendantes est simplement repré- se
suit très exactement la direc- tion pour aller se confondre avec la
zone
cornu-radiculaire posté- rieure et atteindre la
envoie une expansion en forme d'ergot dont l'axe se dirige vers la
zone
de Lissauer; cet ergot entame le faisceau coniu
ordons ;it)Léto-IaLériux. Il est cependant facile de distinguer des
zones
plus fournies de libres, et l'on doit en partic
dans toute la hauteur de la moelle l'intégrité presque complète des
zones
de Lissauer. L'inté- grité est absolue le plus
très peu prononcée. L'intégrité des racines postérieures et de la
zone
de Lissaüer, ou le peu d'intensité de leurs lés
mais aussi, tout au moins en partie, celle des fibres endogènes; la
zone
de Westphall est en particulier fort malade sur
le de fibres saines, qui appartiennent, selon toute apparence, à la
zone
de Pierret ; elle est très allongée de haut en
rescence diffuse des cordons pos- térieurs atteignant à la fois les
zones
exogènes et endogènes avec intégrité presque co
les zones exogènes et endogènes avec intégrité presque complète des
zones
de Lissaüer et cornu-radiculaire moyenne, lésio
plus nettement opposable au tabès vulgaire), et des deux premières
zones
radiculaires dans toute la hauteur de la moelle
a sclérose des champs atteints qui occupent, au moins en partie, la
zone
radiculaire antérieure. Ce premier fait per- me
générescence des cordons de Goll et, de proche en proche, celle des
zones
radiculaires moyennes et puis de la zone de Lis
oche en proche, celle des zones radiculaires moyennes et puis de la
zone
de Lissaüer. Le processus est donc nécessaireme
u reconnaître comme sains le centre de Flechsig et une partie de la
zone
de Weslphall, aucune autre localisation n'a été
one de Weslphall, aucune autre localisation n'a été possible, et la
zone
de Westphall elle- même n'a pas conservé son in
les minimes lésions des racines sensitives et des deux premières
zones
radiculaires. Sans doute on pourrait dire que le
règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure et la
zone
de Lissauer. Pour aller jusqu'au bout, il n'y a r
a montré une lésion profonde à conlouis bien définis intéressant la
zone
motrice gauche, sans aucune lésion des autres p
tres méritent le nom de sensilivo-moteurs, mais que les limites des
zones
sensitives ne sont pas aussi nettes que celles
imites des zones sensitives ne sont pas aussi nettes que celles des
zones
motrices, qu'elles dé- bordent ces derniers pou
tal droit, tout près de la pariétale as- cendante, et entouré d'une
zone
de petits noyaux d'aspect inflam- matoire ; auc
obule pariétal supérieur; 2°les lésions corticales siégeant dans la
zone
psycho-motrice ou en dehors surtout celles-là p
erre, le malade steppe. La paralysie s'étend principalement dans la
zone
. z du sciatique poplilé interne. Plus rarement
upe de l'hémisphère gauche révèle contre les ganglions centraux une
zone
triangulaire longue de 2 centimètres, ayant la fo
aines adossée le long du tiers moyen de la corne pos- térieure, une
zone
de fibres dégénérées, la plus importante presqu
ntre même du cordon postérieur. Elle se réunit ainsi à une nouvelle
zone
de dégénération moins accusée généralement, cel
très rare qu'elle délimite exactement sa topo- graphie. Dans les
zones
où la dégénérescence est peu marquée, on observ
on qui trace, dans la plupart de nos moelles de paralytiques, cette
zone
de dégénération souvent la plus accusée à la ré
rasthénique et très hypochondiraque ; il est aussi astig- mate sans
zone
d'anesthésie. Rien à l'optlialmoscope. Influence
me le facial et l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la
zone
motrice du centre du bras. P. Keraval. XLVIII
t la plus altérée. Le territoire de l'anesthésie est déminé par une
zone
d'hypéresthésie bien marquée, zone large SYRI
l'anesthésie est déminé par une zone d'hypéresthésie bien marquée,
zone
large SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE la MOEL
opbie très prononcée. Au mois de juillet, on trouve au-dessus de la
zone
d'hyperes- thésie une diminution de la sensibil
e prononcée que sur la périphé- rie latérale de la moelle ; dans la
zone
radiculaire postérieure du côté gauche on aperç
sclérose systématique de tout le tractus moteur, les cellules de la
zone
rolandique comprises. Or, c'est ici qu'apparait
ravers de doigt au-dessous de ce niveau, et au côté opposé dans une
zone
plus étroite située dans la partie interne de la
eur de la cuisse, dans la partie dorsale des deux mains et dans une
zone
étroite qui s'étend sur toute la face antérieur
lom- baire avec la moelle dorsale, c'esl-à-dire au niveau de cette
zone
dite par Westphal « zone d'entrée des racines »
e dorsale, c'esl-à-dire au niveau de cette zone dite par Westphal «
zone
d'entrée des racines », située en avant de la s
ude, l'auteur décrit avec détails la structure histolo- gique de la
zone
périphérique corticale, d'après les résultats fou
ubstance grise, tandis que les fibres longues se servent plutôt des
zones
marginales périphériques. - - P. KERAVAL. XII
résentent deux espèces de lésions : une lésion récente occupant des
zones
radicu- laires circonscrites qui siège au beau
rne du crâne, ayant produit une compression ou une irritation de la
zone
rolandique. R. C. LXXXVI11. Note sur la paralys
départ de notre description, en leur associant la description de la
zone
immédiatement voisine. Après cela nous passerons
ion que nous avons employées, ne peut pas y être étudié. Dans cette
zone
donc nous trouvons des cellules nerveuses à noy
rment deux noyaux. Un grand nombre de cel- lules nerveuses de cette
zone
périvasculaire présentent d'autres altérations,
ent ce processus inflammatoire. Autour de la piqûre se trouve une
zone
plus ou moins étendne de tissu nécrosé qui, avec
résorbé intégralement. Le second jour déjà après la blessure, cette
zone
nécrosée est entourée par une autre appelée zon
la blessure, cette zone nécrosée est entourée par une autre appelée
zone
inflammatoire, qui sépare le tissu ' Virchow, U
t vers le quatrième ou cin- quième jour après la blessure que cette
zone
est le siège de phénomènes inflammatoires les p
es modifications profondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette
zone
dégénèrent. La zone inflammatoire est en- touré
fondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette zone dégénèrent. La
zone
inflammatoire est en- tourée elle-même par une
nt. La zone inflammatoire est en- tourée elle-même par une dernière
zone
, qui est très étendue quelquefois, oit les élém
ments nerveux ont subi une dégéné- rescence plus ou moins prononcée
zone
de dégénéres- cence. La prolifération commencée
noncée zone de dégénéres- cence. La prolifération commencée dans la
zone
inflamma- toire continue longtemps après. Si la
de foyers forme il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'une
zone
de dégénérescence autour des foyers inflam- mat
n de la diminution du volume des circonvolutions affectées. 4. La
zone
inflammatoire, formée elle-même des foyers infl
mée elle-même des foyers inflammatoires, est entourée par une autre
zone
que les uns .(Ziegler, Cocn) appellent zone de
entourée par une autre zone que les uns .(Ziegler, Cocn) appellent
zone
de dégénérescence, d'aulres (Friedmann) zone d'
egler, Cocn) appellent zone de dégénérescence, d'aulres (Friedmann)
zone
d'irritation. Chez nous cette zone s'étend très
nérescence, d'aulres (Friedmann) zone d'irritation. Chez nous cette
zone
s'étend très loin du groupe des foyers inflamma
trophie d'un certain nombre de cellules nerveuses. C'est dans cette
zone
et dans le voisinage immédiat des foyers inflam
. C'est comme cela que nous nous expli- quons l'existence de larges
zones
d'encéphalite chronique autour des petits foyer
La faiblesse des quatre membres correspond aux altérations de la
zone
de dégénérescence. Enfin les crises épileptiforme
racines postérieures sont parquées dans le cordon postérieur et la
zone
de Lissauer du même côté. 3. Il n'y a pas de
i imperceptiblement passent de l'aire du faisceau pyramidal dans la
zone
de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la ré
uppose vraisemblablement une hémato- myélre. Toutefois à droite une
zone
d'anesthésie correspondrait aux première et deu
sceau latéral dé la pyramide, qui normalement demeure en deçà de la
zone
limitée par une ligne tirée de dehors en avant
a circonvolution de l'hippocampe ; 3° la région visuelle : c'est la
zone
du sillon de l'ergot de Morand, une partie du c
and une autre région sensible de 1 écorce est excitée, telle que la
zone
tactile, olfactive, ou auditive; l'outil de la
issement : nodules péribronchiques plus ou moins étendus, entourés de
zones
de splénisation. —2° Emploi d'un fort grossis-sem
fort grossis-sement : altérations de la pneumonie catarrhale dans les
zones
de spléni-sation ; fréquence d'un réseau fibrineu
ion et de plus, le mode de répartition des lésions à divers degrés en
zones
concentriques. Tandis que le centre de la région
centriques. Tandis que le centre de la région hépatisée est gris, les
zones
périphériques en sont encore à la période d'hépat
t resté en place. — C, tissu conjonctif péribronchique épaissi. — [),
zone
d'hépatisation péribronchique (alvéoles remplis d
e de centres de formation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux
zones
: 1° une zone centrale caséeuse, percée d'un trou
formation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux zones : 1° une
zone
centrale caséeuse, percée d'un trou déchi- Char
qui n'est autre chose que ce qui reste du conduit alvéo-laire; 2° une
zone
périphérique, composée de cellules soudées par un
ements sessiles ou pédicules et qu'on reconnaît aisément pour être la
zone
embryonnaire qui se retrouve à la périphérie de t
te différence de siège, tout est semblable. Dans les deux cas, deux
zones
; une zone périphérique embryonnaire, une zone cen
ce de siège, tout est semblable. Dans les deux cas, deux zones; une
zone
périphérique embryonnaire, une zone centrale ca-s
ans les deux cas, deux zones; une zone périphérique embryonnaire, une
zone
centrale ca-séeuse non colorée par les réactifs o
non colorée par les réactifs ordinaires. La séparation entre les deux
zones
est marquée par une zone intermédiaire, qui prése
fs ordinaires. La séparation entre les deux zones est marquée par une
zone
intermédiaire, qui présente l'aspect d'une bande
chaque folli-cule ; les cellules épithélioïdes les enveloppent d'une
zone
moyenne; les zones externes embryonnaires de chaq
; les cellules épithélioïdes les enveloppent d'une zone moyenne; les
zones
externes embryonnaires de chaque folli-cule se co
C'est jus- tement ce que fait la caséification. La forme même de la
zone
caséeuse donne à penser que la mortification se p
la mortification se produit tout à coup, tout d'une pièce. Dans cette
zone
, tout semble à peu près homogène, demi-transparen
ermédiaire se sera portée un peu plus en dehors, en même temps que la
zone
embryonnaire s'élargit aussi. Et c'est ainsi que
la- bles bourgeons charnus. Le lissu pulmonaire sous-jacent à cette
zone
s'est transformé petit à petit, sur une épaisseur
bercule diffère-t-il du tubercule en pleine évolution destructive? La
zone
embryonnaire plus large a subi l'évolution fibreu
dans la partie centrale. Des vaisseaux se sont dévelop-pés dans cette
zone
embryonnaire, qui ne se connaît plus qu'à la prés
e processus curalif est quelque peu accentué, on peut suivre, dans la
zone
embryonnaire or-dinairement visible, les deux pha
l'appa-rence de l'agglomération tuberculeuse en pleine évolution. La
zone
caséeuse est dislincle, les travées élastiques en
éeuse est dislincle, les travées élastiques encore visibles ; mais la
zone
embryonnaire n'est plus qu'une paroi kystique fib
, il ne s'agit pas d'évolution par-tielle fibreuse, s'opérant dans la
zone
embryonnaire, au pour-tour de la zone caséeuse, c
lle fibreuse, s'opérant dans la zone embryonnaire, au pour-tour de la
zone
caséeuse, comme dans le tubercule présentant cett
tion de plusieurs tubercules primitifs; dis-position concentrique des
zones
; cellules géantes souvent re-connaissables; stru
.— (Dessin demi-schématique).— A, tubercule de guérison entouré d une
zone
fibreuse où serpentent des capillaires, D. — C, c
mérations tuberculeuses. Les nodules sont plus volumineux. Il y a une
zone
périphérique fibreuse et une zone centrale égalem
es sont plus volumineux. Il y a une zone périphérique fibreuse et une
zone
centrale également fibreuse, mais où se dessinent
M. Charcot fait remarquer qu'il est bien difficile d'admettre que la
zone
centrale, après avoir subi la fonte caséeuse, a é
tubercule tout entier est dans l'état qu'il présente à l'ordinaire :
zone
em-bryonnaire ; parois alvéolaires infiltrées de
À l'examen microscopique, on reconnaît qu'elles sont composées d'une
zone
externe de petites cellules arrondies, appartenan
éristique de la tuber-culose. Autour de la cellule géante, existe une
zone
dite moyenne, formée de cellules plus volumineuse
e dite moyenne, formée de cellules plus volumineuses que celles de la
zone
externe, cellules épithélioldes, comme les appell
, c'est-à-dire par la cellule géante, et s'étend progressivement à la
zone
moyenne, c'est-à-dire des grosses cellules, puis
c. Telles ne sont pas les cellules volumineuses, épithélioïdes, de la
zone
moyenne, non plus que les petites cel-lules lymph
non plus que les petites cel-lules lymphoïdes ou cytoblastions de la
zone
externe, aux-quelles on s'est beaucoup attaché au
12, 15 follicules agglo-mérés se montrent entourés et réunis par une
zone
commune de petites cellules : ils forment ainsi u
téristique. Ces follicules sont enveloppés, comme on l'a dit, par une
zone
commune composée de petites cellules embryonnaire
d'examiner la périphérie de l'amas tuberculeux; en particulier, la
zone
des alvéoles encore libres ou dont les parois inf
du centre caséeux du tubercule élémen-taire, existe, constamment, une
zone
continue, d'une certaine épaisseur, qui suit exac
ment tous les contours du bord limi-tant de la région centrale. Cette
zone
offre, sur les couches traitées par le carmin, un
élastiques sont là moins apparents que dans cette dernière région. La
zone
en question est essentiellement constituée par du
uper leurs cavités. « Ce qui rend, dit M. Charcot, l'étude de cette
zone
encore » plus intéressante, c'est la présence hab
g, et » alors au voisinage immédiat de la région centrale, quand la »
zone
est mince, quelquefois sur deux rangs, quand elle
aître la description qu'a donnée M. Grancher de ce qu'il appelle la
zone
embryonnaire, dans ses études sur un cas de pneum
es auteurs. (Dessin fait sur nature par M. le professeur Charroi). A,
zone
centrale caséeuse. B, cellules géantes. C. zone e
ofesseur Charroi). A, zone centrale caséeuse. B, cellules géantes. C.
zone
embryon-naire. D, coupe de vaisseaux artériels. A
elle envahit progressivement les parties périphériques de l'îlot. La
zone
dite embryonnaire, remarquable par la présence de
bronches. — E, E', Artères. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C,
zone
caséeuse. — F, F', zone embryonnaire. coupes, c
res. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone caséeuse. — F, F',
zone
embryonnaire. coupes, comme une seconde zone, a
one caséeuse. — F, F', zone embryonnaire. coupes, comme une seconde
zone
, autour et en dehors delà zone embrtjonnaire (Fig
ryonnaire. coupes, comme une seconde zone, autour et en dehors delà
zone
embrtjonnaire (Fig. 39 et 40). Ces produits div
éribronchiques ou péri-acineux (nodules errati-ques), limités par une
zone
embryonnaire avec ou sans l'ac-compagnement des l
que. L'oubli de ces règles a conduit à laisser passer inaperçue cette
zone
em-bryonnaire qui, limite la région caséeuse des
égions où le poumon offre les lésions de l'inflammation simple. Cette
zone
embryonnaire a été pour la première fois décrit
a constitution. On peut, en semblable circonstance, reconnaître trois
zone
s dans le folli-cule. La partie centrale est occu
le est occupée par une cellule géante ; autour de celle-ci existe une
zone
de cellules qui, en raison de leurs caractères sp
iaux, ont recule nom de cellules épithé-lioïdes ; enfin une troisième
zone
, plus extérieure, est formée par des éléments plu
sième zone, plus extérieure, est formée par des éléments plus petits,
zone
de tissu embryonnaire ou de tissu réticulé, suiva
ps avec elle. Leur protoplasma se renfle au moment où ils abordent la
zone
des noyaux; à ce niveau, ils sont encore assez so
es ; au-delà, ils se perdent en se fondant dans la masse grenue de la
zone
centrale. Si on pousse l'opération plus loin, on
gent, sans structure, fixant forte-ment l'acide picrique ; en dehors,
zone
très épaisse de noyaux; plus en dehors enfin, de
ngements rayonnants dans toutes les directions. Sur un seul point, la
zone
de noyaux est interrompue dans une certaine étend
et d'une partie renflée. Or, pour le pédicule aussi bien que pour la
zone
périphérique de la partie renflée, la structure d
elle est la modification particulière qui pro-duit les cellules de la
zone
épithélioïde du follicule ; telle est celle qui a
ont nous reconnaissons l'existence au niveau de son pédicule et de sa
zone
périphérique, c'est-à-dire qu'il a été constitué,
ssement : nodules péri-bronchiques plus ou moins étendus, entourés de
zones
de splénisation. —2° Emploi d'un fort grossis-sem
fort grossis-sement : altérations de la pneumonie catarrhale dans les
zones
de spléni-sation; fréquence d'un réseau fibrineux
ollicules tuberculeux, 266 ; — ag-glomérés, 271, 272; —isolés, 290: —
zones
des —, 291. G Gaîne lymphatique, 269. Gangr
ein, 77; — de la pneumonie, 182. Granulations tuberculeuses, 243; —
zones
, 244; — grises, 258, 260, 279, 305; — histologie,
6, 110, 116, 192. 234, 2H6; — er-ratiques, 280, 286; — coupe, 241 ; —
zones
, 41; — extension, 242, 285; — localisation, 242,
ix (modifications de la — dans les anévrismes de l'aorte), 504. Z
Zone
embryonnaire du tubercule, 282, ¿83, 284, 286,287
ure de la moelle et les faisceaux pyramidaux sont remplacés par des
zones
de sclérose complète. Dans la partie antérieure
squ'aux postérieures. Les faisceaux pyramidaux sont sclérosés et la
zone
non colorée est bien plus large que lorsqu'il s
la moitié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La
zone
postérieure et médiane et ce qui représente le
er une crise d'hystérie, l'hypéresthésie hémicranienne devenant une
zone
spasmogénique comme d'autres névralgies peuvent
s de la sensibilité de la cuisse gauche, bien limités, occupent une
zone
qui commence en avant et en dehors à 8 centimèt
ures, pour occuper, au sein de ces dernières, soit des fibres d'une
zone
embryonnaire déterminée, soit à la fois toute l
de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les
zones
sensitivo- motrices de l'hémisphère droit., R.
ERVEUSE. - à signaler dans les grands organes splanchniques. Pas de
zones
- hystérogènes. Champ visuel rétréci concentriq
erse au-dessous de la septième dorsale. L'excitation d'une certaine
zone
(voy. Neurol. Centzwl6l., 1893) au niveau de la
be et la cuisse se fléchit sur le bassin. L'excitation légère de la
zone
fémorale en question produit invariablement la
cette substance; elle avait épargné notam- ment invariablement les
zones
des cornes antérieures et posté- rieures, ainsi
e plus forte destruction. Il semble évident à M. Rothmaun que cette
zone
de dégénéres- cence tend à atteindre l'aire du
volution sigmoïde anté- rieure, en avant du sillon crucial, sur une
zone
d'un centimètre de diamètre, qui correspond à l
tenant pepsine et acide chlo- rliydrique. Une section autourde la
zone
corticale en question n'empêche nul- lement la
lement la genèse de ces phénomènes, tandis que la résection de la
zone
elle-même fait disparaître l'action sécrétoire, a
loie un courant électrique intense : c'est donc bien l'écorce de la
zone
qui agit. Agit-elle par les mouvements de l'es-
es encore. B. Les expériences V et VI, permettent de rattacher à la
zone
corticale déjà indiquée le phénomène mental de
uit chez les animaux à la vue des ali- mentes. Si l'on enlève cette
zone
des deux côtés. (exp. V.), on peut présenter au
I. A la suite de la section du nerf vague droit, l'excitation de la
zone
corticale de sigmoïde gauche provoque une sécré
che provoque une sécrétion gastrique moindre que l'excitation de la
zone
symétrique droite, et inversement quant à la se
vague gauche. Après la section des deux nerfs, on excite en vain la
zone
de droite ou celle de gauche, le suc gastrique
nimal auquel on apris soin préalablement de détruire l'écorce de la
zone
sécrétoire de la sigmoïde antérieure, produit, de
membranes méningées, ayant toujours comme siège de prédilection les
zones
péri et paravasculaires ; 3° Les lésions des ce
ns de leur entrecroisement sont presque les mêmes : il se forme une
zone
symétrique qui se développe en arrière paral- l
900.) Les trois centres d'association de Flechsig, suivis de ses 40
zones
embryogéniques corticales, qu'il répartit en tr
la limite de tout foyer de sensation ou de perception il existe des
zones
de perfectionnement évolutif. L'existence de ce
des images d'objets ayant agi sur les sens, nous fait penser que la
zone
de perception est la zone du souvenir de ce qui
agi sur les sens, nous fait penser que la zone de perception est la
zone
du souvenir de ce qui est perçu. Toute la zone
de perception est la zone du souvenir de ce qui est perçu. Toute la
zone
pariéto-occipitale associative de Flechsig est,
'oeil, des images d'objets; vers les limites antérieures de la même
zone
, sont engendrés des symboles graphiques des objet
leurs rapports. De même la première temporale est une partie de la
zone
du langage incluse dans le champ auditif sensorie
de la zone du langage incluse dans le champ auditif sensoriel. La
zone
motrice, toute zone de projection qu'elle soit, r
age incluse dans le champ auditif sensoriel. La zone motrice, toute
zone
de projection qu'elle soit, reçoit cependant to
ection qu'elle soit, reçoit cependant toutes les ondes des diverses
zones
et de la sphère tac- tile du corps, ce qui lui
Les mouvements sont consécutifs aux perceptions sensorielles. La
zone
motrice est bien plus une zone d'association que
ifs aux perceptions sensorielles. La zone motrice est bien plus une
zone
d'association que la grande zone d'association
La zone motrice est bien plus une zone d'association que la grande
zone
d'association postéro-inférieure, et, cependant,
ive. Le pied des frontales est en réalité un champ d'évolution dela
zone
motrice : sa partie moyenne, prolongement du ce
ontales, a une valeur fonc- tionnelle bien supérieure à celle de la
zone
motrice destinée aux mouvements ordinaires des
e frontale, à ceux des muscles en question adaptés à l'écriture. La
zone
motrice s'est développée intellectuellement, pa
uite d'une association psychique beaucoup plus élevée que la grande
zone
d'association postérieure de Flechsig. Les numé
u cerveau par coup de feu dans la région temporale droite en pleine
zone
motrice. Après un coma de dix-huit heures le ma
xtension. 8. Sentez le membre supérienr droit : la percussion de la
zone
d'hyperesthésie cérébrale du membre supérieur d
t gestes pour éloigner le chien z La tête me fait mal Je percute la
zone
hyperesthésiée (bord postérieur du frontal droi
uffrances du malade paraissaient atroces. Le simple frôlement de la
zone
hyperesthésiée du cuir chevelu correspondant au
rait, des cris aigus. Mais en appuyant l fortement mon pouce sur la
zone
d'hyperesthésie, je calmais la douleur qui repr
e à la cessation de la compression. La percussion légère de la même
zone
reten- tissait avec violence dans la mâchoire.
opique testiculaire gauche, se plaignit pour la première fois d'une
zone
d'hyperesthésie au niveau de son anneau inguina
d'un équivalent psychique de ces névroses, ou joue le rôle d'une
zone
spasmogèneprovocatrice d'une attaque d'hystérie g
ltaïque, ainsi est augmentée la quantité des rayons chimiques de la
zone
du violet du spectre, par suite des vapeurs du
és. La flamme est d'abord d'un bleu violet, puis, se produisent des
zones
concentriques de vert, de jaune, de rouge brun
ébrospinales : ils se mani- festent, dans le premier, sous forme de
zones
tricho-anesthésiques au niveau du mamelon et de
l'hystérie, l'épilepsie, la migraine ophthalmique. L'alternance de
zones
de tricho-anesthésie ou de tricho-hypoesthésie
ce de zones de tricho-anesthésie ou de tricho-hypoesthésie avec des
zones
de tricho-hyperesthésie se voit dans le tabes.
esthési- ques. M. Bechterew a constaté l'hyperesthésie pilaire en
zone
superpo- sée à la région anesthésique dans les
omme lieu d'élection ,analgésique pour les injections du calomel la
zone
située il quatre centimètres en dehors du sillo
ession. L'examen de la sensibilité cutanée révèle l'existence d'une
zone
hyperesthésique à cette place. 27. La malade es
INIQUE NERVEUSE. constater alors une ovarie bien caractérisée, avec
zone
hyper- esthésique correspondante de la peau de
a peau de la tête qui est la moins affectée : à la tête, on voit la
zone
du nerf ethmoïdal (nasal interne) atteinte à l'
n, G seu- lement eurent des attaques complètes à l'excitation de la
zone
épileptogètre, 14 se contentèrent de se gratter
nomènes dans la patte paralysée ; les 16 autres, quand on excita la
zone
épilepto- gène, manifestèrent, la plupart passa
ière : les deux épaules, les bras et les mains sont compris dans la
zone
anesthésiée. A la face antérieure du corps la sen
passant par les dixièmes côtes, à partir de laquelle com- mence une
zone
d'extrême hyperesthésie qui descend jusqu'aux a
e qui descend jusqu'aux aines. A la face postérieure du corps, la
zone
de sensibilité normale s'étend de l'angle infér
sauf deux petits points très sensibles au-dessous de l'omoplate e (
zones
hystérogcnes) : l'excitation électrique de ces de
ré la pâleur de la peau. Toutes les lignes de démarcation entre les
zones
de sensibi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 403
EUSE. 403 lité et d'insensibilité sont nettes et tranchées : pas de
zone
de tran- sition. Quand la sensibilité est reven
, disposés en plusieurs couches autour du noyau. En dehors de cette
zone
centrale, pignomorphe, on voit une zone périphé
noyau. En dehors de cette zone centrale, pignomorphe, on voit une
zone
périphérique, plus ou moins large, où les corpusc
19. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 4335 toutefois dans une étroite
zone
centrale, qui correspond à la tache jaune; je v
une gomme, ou d'une plaque .de méningite développée au niveau de la
zone
rolandique de .l'un des hémisphères. - .-Tout
occipital. Seulement, suivant les uns, il ne dépasse pas l'étroite
zone
représentée par les lèvres de la scissure calca
occipitales. Leurs lieux d'aboutissement constituent précisément la
zone
visuelle corticale. Or, ainsi que je vous le la
- tant, on n'est pas encore fixé sur les limites exactes de cette
zone
. - D'après Henschen, elles ne dépasseraient pas
pas les deux lèvres de la scissures calcarine. D'après Vialet, la
zone
visuelle corticale comprendrait, indépendamment
ce blanche sous-jacente de cette scissure étaient intactes dans une
zone
de 2 centimètres carrés de surface, qui, partan
a région maculaire est en connexion avec toutes les par- ties de la
zone
corticale visuelle, et je vous rappelle que von
icale visuelle, et je vous rappelle que von Monakow assigne à-cette
zone
une étendue beaucoup plus grande qu'on ne le fa
suis expliqué, là-dessus, il y a un instant. Donc, pour peu que la
zone
visuelle reste intacte dans une faible portion
un point quelconque de son parcours compris entre le chiasma et la
zone
corticale visuelle, donnera lieu, à une hémiano
en sera encore de même, dans le cas d'une lésion qui désorganise la
zone
corticale visuelle. Une lésion, qui réalise l'u
. ictus apoplectique, est l'indice d'une brusque inhibition de la
zone
rolandique gauche ou de la portion sous-jacente d
es accidents supposent la suppres- sion de l'apport sanguin dans la
zone
rolandique, dans les deux premières circonvolut
moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue la plus grande partie de la
zone
rolandique, c'est-à-dire, les trois quarts infé
externe du cerveau. On peut donc la considérer comme l'artère de la
zone
visuelle corticale. En fin de compte, je form
comment se présente Fig. 29. - Les parties ombrées représentent la
zone
de distribution de l'artère cérébrale moyenne.
t les autres dégénèrent, dans les cas de lésions destructives de la
zone
corticale visuelle. Peut-être l'atrophie de la
ert et pour le rouge; 4° souvent on rencontre une expan- sion de la
zone
d'achromatopsie; 5° le degré du rétrécissement ne
, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note la présence d'une
zone
hystérogène parfaitement caractérisée. Enfin no
ncters. Sensibilité. Abdomen, anesthésie complète au niveau d'une
zone
limitée en haut par une ligne horizontale située
orter les ali- ments à sa bouche. Dynamomètre MD : 0 ; MG : 4 K. La
zone
d'a- nesthésie a gagné du terrain aux membres s
isation des phénomènes paralytiques, correspond une extension de la
zone
d'anesthésie (voir fig. 2). Uue exception doit
ques centimètres au-dessus du sillon interfessier, existe une vaste
zone
d'anesthésie occupant toute la partie postérieu
les épaules, la nuque. En avant, au-dessus de l'arcade de Fallope,
zone
d'anesthésie occupant toute la paroi antérieure
° un territoire sen- sible à la température, qui comprend, outre la
zone
précédente, les deux faces de la main, et qui s
- Extrémités inférieures toujours paralysées et cyanosées. 20. La
zone
de sensibilité à la température a gagné du ter-
jour en jour plus étendus. 7. Modifications de la sensibilité. La
zone
du membre droit sensible à la température et à
reparait, mais seule, aux faces 'dorsale et palmaire, des mains; la
zone
sensible à la tempé- CAS DE PARALYSIE DES QUATR
de, puis au niveau de l'insertion du del- toïde. Simultanément la
zone
sensible au contact (doigts), persiste sans mod
ication, mais la sensibilité à la douleur reparaît, d'abord dans la
zone
correspondant au carpe et au métacarpe, où seul
es mêmes que ceux qui ont succédé immé- diatement à l'opération. La
zone
de l'anesthésie (zona anoes- thética) est au ni
tatons une légère hémianesthosie droite et l'existence de plusieurs
zones
(hystérogènes; ovarienne et sous-mammaire droit
usieurs zones (hystérogènes; ovarienne et sous-mammaire droite; une
zone
symé- trique sous-mammaire gauche. La malade se
hénomènes de diffusion et de propagation du stimulus à la véritable
zone
épi- leptogène. Cette zone était constituée par
e propagation du stimulus à la véritable zone épi- leptogène. Cette
zone
était constituée par un grand nombre (molti) de
au découverts par Fritsch et Hitzig. Quels rapports soutenait cette
zone
épileptogène avec le reste de l'encéphale ? Alb
es pédoncules cérébraux et leurs expansions. Après l'ablation de la
zone
épileptogène, il déterminait des accès d'épilep
logiques, les traumatismes cérébraux, les lésions irritatives de la
zone
motrice provo- quent la fonction épileptogène d
des premiers, au point de vue anato- mo-clinique, l'existence de la
zone
épileptogène d'Albertoni -. De leur côté, Lucia
Il n'y a de nouveau, dans le travail d'Albertoni, que le nom de «
zone
épileptogène » donné à la zone motrice des extrém
travail d'Albertoni, que le nom de « zone épileptogène » donné à la
zone
motrice des extrémités antérieures et postérieu
l'exci- tation du cerveau et établi que, loin d'être confinée à une
zone
spéciale, la propriété épileptogène de l'écorce
t le sys- tème cortical, se localiser en un point circonscrit de la
zone
motrice, ou se propager d'un point au reste de
rce s'étend d'un point initial à une partie ou à l'ensemble de la
zone
motrice, l'accès convulsif intéressera successive
moteurs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en particulier la
zone
motrice, est pour Luciani l'organe central des
épileptiques. L'excitation morbide, directe ou indirecte, de cette
zone
, est la cause essentielle du processus. L'excit
ale, la perte de conscience, coïncident précisément avec ceux de la
zone
motrice de l'écorce (Eulenburg et Landois). L'e
es les critiques de Luciani contre la doctrine de l'existence d'une
zone
épileptogène, Albertoni conteste que l'écorce s
e les surfaces sensibles périphériques dans l'épilepsie réflexe; la
zone
motrice ne faisait que donner le signal de l'at-
es chiens nés de parents ayant subi des lésions circonscrites de la
zone
motrice, treize et neuf mois auparavant, mais qui
ouvé aucun écho, et que, pour la plupart des auteurs italiens 2, la
zone
épileptogène s'étend à toute la zone motrice, c
art des auteurs italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute la
zone
motrice, c'est-à-dire aux centres des extrémité
s ces au- teurs mêmes, l'excitabilité de différents points de cette
zone
est loin d'être uniforme. C'est ainsi que Lucia
ces décharges peuvent siéger, soit aux confins, soit en dehors des
zones
mo- trices proprement dites. Dans le premier ca
itrzezztale, déc. 1881. Cf. Arch. per le mal. nen]. 1885, 83 : a La
zone
dite motrice chez l'homme peut être aussi considé
xcitation portée sur cette région doit être plus intense que sur la
zone
motrice; les accès convulsifs sont moins forts
econdes après le passage du courant). Comme, après l'ablation de la
zone
motrice, les excitations du lobe occipital ne p
conclut que les accès résultent de la propagation du processus à la
zone
motrice. Mais, d'accord sur les faits, les aute
tion de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de l'écorce de la
zone
motrice met fin aux convul- sions ; celle de la
ltèrent beaucoup plus l'intelligence que celles de n'importe quelle
zone
sensorielle. Quelques nou- velles expériences d
x, excités par un stimulus morbide parti de l'écorce même, soit des
zones
sensorielles, soit des zones sensitives, et ce
ide parti de l'écorce même, soit des zones sensorielles, soit des
zones
sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la zone co
sorielles, soit des zones sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la
zone
corticale motrice serait affectée. Dans l'épile
n- traire, l'accès convulsif serait primitivement provoqué par la
zone
motrice corticale, et ce n'est qu'éventuellement,
ubstance grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en particulier la
zone
motrice, n'est pas l'unique centre épileptogène
t la succession des accès. Donc, au point de vue clinique aussi, la
zone
exci- ' B. Tomaschewski. Zur Frage ùber die Bet
s. Les méninges s'enlevèrent très facilement, excepté sur une vaste
zone
comprenant, à droite, la partie pos- térieure d
oit. La consistance du cer- veau était très faible dans toute cette
zone
. L'écorce, aussi bien que les faisceaux médulla
i-gélati- neuse. A l'examen microscopique, il n'existait dans celte
zone
aucun élément nerveux, mais une quantité consid
QUES. 123 d'accès d'épilepsie partielle en l'absence complète de la
zone
motrice opposée ; il leur attribue les mêmes pr
' M. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la
zone
motrice du côté gauche, sans pouvoir localiser av
XIII. Contribution A la QUESTION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA
ZONE
POSTÉRIEURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par P. ROSENBA
lités, à la pariétale ascendante ainsi qu'au lobule paracentral. La
zone
motrice du cerveau est donc également un centre s
les cordons postérieurs se composent de plusieurs pièces. Puis, les
zones
moyennes du cervelet (notamment le vermis supé-
chives de Neurologie, t. XIII, p. 81; - t. XII, p. 105, 107) et les
zones
voisines de la formation réticulaire. Puis, le
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169' - Et d'abord, réexaminons cette
zone
d'anesthésie partielle avec dissociation syring
ons rien à changer à ce qui a été dit. Mais la disposition de cette
zone
est bien singulière. Pourquoi cette forme de la
l. 17" fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE NERVEUSE. cédez -moi qu'ici la
zone
d'anesthésie partielle se rat- tache à une alté
15. Hachures obliques : hémidysesthésie. Hachures hori- zontales :
zone
de dissociation syringomyélique de la sensibilité
, ni pendant la durée de la présence du drain dans la plaie. Aucune
zone
céré- brale importante n'était alors impression
, ils sont un peu exagérés. Sensi- bilité : On remarque une étroite
zone
d'anesthésie autour de la partie dorsale au niv
de leurs fibres blanches émanant de l'arc olfactif, une sorte de
zone
radiculaire. Par sa structure et ses con- nexio
dont les fonctions seraient inconnues. Pour les circonvolutions, la
zone
latente des localisations diminue de jour en jo
c'est l'encéphalite à la fois interstitielle et parenchymateuse des
zones
corticales antérieures frontales; à côté d'elle
uve de l'encé- phalite interstitielle prédominante ou seule dans la
zone
moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrièr
s la zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrière, dans la
zone
postérieure, moins atteinte, on ne trouve génér
différents centres, outre leur territoire propre, ont entre eux des
zones
d'irradiation, des territoires communs, d'où l'
ions sans que les autres soient plus ou moins troublées. Toutes les
zones
sensitivo-sensorielles convergeraient, chez le ch
schromatopsie,- ni polyopie monoculaire, ni micromégalopsie. Pas de
zones
hyslérogènes vraies, mais il existe deux points d
igastrique qui remonte à la gorge jusqu'au niveau du larynx. Pas de
zones
hystérogènes, ni même hyperesthésiques; pas d'a
tie, on trouva une boursouflure légère, un peu pâle, entourée d'une
zone
rougeâtre, douloureuse au toucher et à la press
boursouflure con- sidérable avec érythème papuluire apparut, et la
zone
voisine, large de 4 ou 5 centimètres, était ext
ales, même détruites en totalité, ne peuvent donner naissance à une
zone
scléreuse aussi étendue, et dont vous pouvez vo
tes, à propos des réactions électriques, des réflexes cutanés de la
zone
hyperesthésique de la limite supérieure de la r
ivant, a été véri- fiée sur certaines radiographies ; on y voit une
zone
semi-opaque prolongeant le bord inférieur de la
in, on note autour des canaux de Havers en voie d'élargissement une
zone
qui renferme de petits ostéoblastes aplatis, pr
aissables, au voisinage immédiat du canal central du système. Cette
zone
demeure toujours étroite. En somme, ce sont là
Histologiquement, il y a production d'un tissu ostéoïde sous forme de
zones
de décalcification sous-périostique et péri-can
ommissurales et cornu-radiculaires sont plus riches en fibres. La
zone
de Lissauer contient un certain nombre de fibres
blanche appa- raît criblée de petites lacunes, sans membrane, sans
zone
de réaction, rondes, mais de dimensions variabl
té immédiate de la tumeur, où pourtant la substance blan- che a une
zone
sclérosée. C'est dans le corps calleux qu'il para
ouré de tissu conjonctif, le séparant partout du cerveau ; point de
zone
inflammatoire. Les nerfs des Ira et IIe paires
loin d'occuper toute la coupe. Nous avons rendu sur la figure 6 la
zone
de leur densité maxima ; on voit que c'est la plu
aux correspondants. Destruction de fibres nerveuses limi- tée à une
zone
étroite située directement en avant au-dessus et
RS 155 Partout séparation nette d'avec le tissu cérébral ; point de
zone
d'in(lamma- tion. Grosses cellules araignées à
elles des tuberculomes, on aperçoit un centre caséeux entouré d'une
zone
vasculaire rougeâtre. ' L'étude histologique
décolorées à gauche. Le pied du pédoncule gauche ne présente pas de
zones
nettement dé- générées, la comparaison entre le
la partie antérieure des tubercules qua- drijumeaux postérieurs, la
zone
de ramollissement cesse, on voit à ce niveau le
des noyaux de la lile paire et il était côtoyé à sa gauche par une
zone
de ramollissement qui dépassait le ruban de Rei
ureux dans la portion corticale de la glande, moins heureux dans la
zone
intermédiaire, échouant en un désordre chaotiqu
sse, ni ne crache ; l'examen des deux ponmons est négatif, sauf une
zone
de submatité à la base droite où l'oreille entend
muscles extenseurs du tronc d'un côté ou de l'autre, l'existence de
zones
hyper- esthésiques dans le territoire des nerfs
; « moins systématisées, diffusément répandues à travers toutes les
zones
, exogènes et endogènes, elles seraient dues pou
s croisées et les cordons postérieurs et disparition des fibres des
zones
de Lissauer. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊT
e leur étendue, et cela d'une façon à peu près égale ; toutefois la
zone
cornu-commissurale présente encore un certain n
rale présente encore un certain nombre de tubes nerveux normaux. La
zone
d'entrée des racines postérieures est également
ure. En outre, la lésion est moins accentuée au niveau d'une petite
zone
qui semble dessiner la virgule de Schultze. Ici,
Leur lésion porte sur une grande partie du cordon, respectant deux
zones
: 1° La partie tout antérieure (zone cornu-comm
ie du cordon, respectant deux zones : 1° La partie tout antérieure (
zone
cornu-commissurale) ; cette zone, où il y a trè
es : 1° La partie tout antérieure (zone cornu-commissurale) ; cette
zone
, où il y a très peu de fibres dégénérées se pro
e le centre ovale de Flechsig. On observe cependant dans cette petite
zone
quelques rares fibres dégénérées. Quant au re
très fortement atteintes par le processus dégénératif, ainsi que la
zone
de Lissauer. 2° Plus en dedans, une région où l
fibres sont dégénérées. La lésion est diffuse et ne respecte que la
zone
cornu-commissu- rale et la partie externe et ma
veau du cordon de Goll et de la bandelette externe de Pierret. La
zone
d'entrée des racines postérieures est manifesteme
es lésions sys- tématiques, les localisations dans les racines, les
zones
de Lissauer, les colonnes deClarke. De plus ell
X. Moelle cervicale. Sclérose des mêmes bandelettes externes et des
zones
de Lissauer. Double dégénérescence mais prédomina
5. Obs. X. Moelle cervicale. Sclérose des bandelettes externes, des
zones
de Lissauer et de la partie interne des cordons
lle lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, à l'exception de la
zone
de Westphal,du triangle de Gombault et Philippe e
la zone de Westphal,du triangle de Gombault et Philippe et de la
zone
marginale postérieure ; sclérose totale des zones
Philippe et de la zone marginale postérieure ; sclérose totale des
zones
de Lissauer. Raréfaction des aires pyramidales
t et la dégénérescence symétrique des bandelettes de Pierret et des
zones
de Lissauer. Les racines postérieures sont très a
DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 221 Le foie est gras ; les cellules de la
zone
péri-portale contiennent des goutte- lettes de
s rondes. Remarquons que dans ces cordons antéro-latéraux, entre la
zone
périphé- rique sclérosée et les aires des faisc
rique sclérosée et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une
zone
de tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules
arence plus grande au niveau des bandelettes externes radiculaires (
zone
radiculaire moyenne) et de la partie interne du c
e radiculaire moyenne) et de la partie interne du cordon de Goll ; la
zone
de Wesphall est intacte. Au microscope, dans
beaucoup plus grande et va jusqu'à la disparition complète dans les
zones
radiculaires moyennes, dans les zones de Pierre
disparition complète dans les zones radiculaires moyennes, dans les
zones
de Pierret, et dans la partie moyenne des cordons
zones de Pierret, et dans la partie moyenne des cordons de Goll. Les
zones
radiculaires postérieures et antérieures sont c
la périphé- rie. Cordons postérieurs sclérosés à l'exception de la
zone
de Wesphal, du triangle de Gombault et Philippe
de la zone de Wesphal, du triangle de Gombault et Philippe et de la
zone
marginale postérieure ; la zone de Lissauer est
ngle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; la
zone
de Lissauer est complètement détruite (pl. XXXI
moelle les lésions du tabes incipiens, c'est-à-dire la sclérose des
zones
radiculaires moyennes (bandelettes de Pierret),
oit des lésions dans la partie interne des cordons de Goll, dans la
zone
de Lissauer et dans les racines postérieures. D
Le lendemain, l'eschare est constituée et on y reconnaît les trois
zones
, en même temps le talon gauche est également le
racines sont congestionnées. Weigert-Pal. Seuls sont décolorés les
zones
de Lissauer et quelques faisceaux clairsemés de
les aires pyrami- dales et les cordons postérieurs. Au niveau de la
zone
de Lissauer, elles ont disparu (pi. XXXIII, fig
le faisceau fondamental du cordon latéral, et d'autre part dans les
zones
de Lissauer, les bandelettes externes et le bor
ains de Nissl ; le noyau n'est pas excentrique ; il n'existe aucune
zone
de dégénérescence gra- nulo-pigmentaire ou autr
position observée dans le tissu encé- phalique où, en dessous de la
zone
vasculaire, existe un amas de tissu conjonc- ti
x et les cy- lindraxes coupés dans toutes les directions. Dans la
zone
des cellules on voit un lacis très serré de fibre
ons adénoïdes en sont cause. On a noté bien souvent l'absence des
zones
d'anesthésie que l'on ren- contre d'habitude ch
nes d'anesthésie que l'on ren- contre d'habitude chez l'adulte. Les
zones
d'hyperesthésie semblent plus fréquentes ; la c
ueuse. Les réflexes sont normaux, le cornéen en particulier, aucune
zone
d'anesthésie, seuls quelques points d'hyperesthés
de la sensibilité au niveau des membrés supérieurs révèle quelques
zones
d'hyperesthésie, quelques autres d'anesthésie c
nes de l'ossification normale. 1° Ossification chondrale. - Dans la
zone
d'ossification on peut distinguer trois cou- ch
cartilage indilférent vers la diaphyse (voy. PI. LVI, fig. 9). a)
Zone
de prolifération. Les cellules du cartilage indif
tité notable de substance interstitielle parfaitement hyaline. b)
Zone
de rivulation. Les cellules multipliées augmenten
ommencent à se calcifier. Ces deux couches forment ensemble une mince
zone
bleuâ- tre translucide de 1 à 2 millimètres d'é
e d'ossification (Couche ossiforme). Elle se présente comme une mince
zone
d'un jaune mat de 1/2 millimètre d'épaisseur. C
cartilage indifférent, au lieu de se continuer insensiblement avec la
zone
de prolifération, en est séparé par pne bande t
actif de cette membrane. b) Au-dessous de cette bande fibreuse, la
zone
de prolifération est très défec- tueuse. Au lie
ion fibreuse (Voy. s. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). c) La
zone
de rivulation est rudimentaire et souvent totalem
PI.LIV, fig.l0 et PI.LY,fig.13). 504 PORAK ET DURANTE Dans cette
zone
d'ossification scléreuse, l'un de nous a décrit,
tion et dont sommet atteint et même dépasse le bord supérieur de la
zone
de proli- fération pour atteindre le cartilage
ssification chondkalb. Fio. 9. Ossification chondrale normale. a)
zone
cartilagineuse de prolifération. b) zone de rivul
tion chondrale normale. a) zone cartilagineuse de prolifération. b)
zone
de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d)
roplasie. Coupe longitudinale de l'épiphyse supérieure du fémur. a)
zone
du cartilage indifférent. - f, f') bande fibreuse
. - f, f') bande fibreuse séparant le cartilage indiffé- rent de la
zone
de rivulation. - g) bourgeon vasculaire faisant c
s vaisseaux de la bande fibreuse avec ceux de la moelle osseuse. s)
zone
de ri- vulation. La rivulation y fait complètem
gineuses rares et dispersées sans ordre. Le bord inférieur de cette
zone
se calcifié par places c) au niveau de la ligne
res. Fio. 11. Rachitisme congénital (pseudo-achondroplasique). a)
zone
de prolifération. b) zone de rivulation très nett
congénital (pseudo-achondroplasique). a) zone de prolifération. b)
zone
de rivulation très nette. Les colonnes cellulaire
constituent la couche ostéoide. Fio. 12. Dysplasie périostale. b)
zone
de rivulation très nette, plus haute et plus régu
ce bourgeon. c) La bande fibreuse fait défaut à ce niveau, mais la
zone
de rivulation est très irrégulière et sa substanc
modifications que l'on y relève sont de faible importance. Dans la
zone
de multiplication les cellules sont parfois un pe
et, plus loin, constituent des lamelles concentriques ; mais cette
zone
de tissu com- pact n'atteint que 1/2 ou 1/3 de
est constituée par une sclérose du cartilage de conjugaison dont la
zone
de rivulation est détruite, par une absence d'o
nanition maternelle sont carac- térisées par l'épaississement de la
zone
de rivulation,l'aliongement des colonnes cellul
sformation fibreuse du cartilage de conjugaison avec atrophie de la
zone
de rivulation qui ressemblait étrangement au débu
une sclérose avec calcification du cartilage de conjugaison dont la
zone
de rivulation disparaît. L'ossification périostal
utes ces formations sont plus petites que d'ordinaire, mais sauf la
zone
moins bien colorée au niveau de la partie plus
de la figure 407, on ne trouve rien de particulier, sauf la susdite
zone
claire qui occupe toujours le même endroit. L
e S 4 est très diminuée dans ses dimensions est tout entourée d'une
zone
assez claire. Les noyaux de Deiters, du Facial,de
nakow se présentent, sur ces coupes, absolument normaux. Persiste la
zone
claire du stratum complexum. Sur une coupe pa
cendante du trijumeau sont normaux. Sur cette coupe n'existe plus la
zone
clairsemée du pont. La voie pédonculaire est tr
es lobes latéraux du cervelet) présentent par ci par là des petites
zones
pâles SCLÉROSE EN PLAQUES 589 Coupes transver
et le cervelet apparais- sent complètement normaux, sauf une petite
zone
très pâle dans la substance blanche des hémisph
orés par l'hématoxyline. La décoloration du corps ciliaire et de la
zone
périciliaire, ainsi que nous l'avons ci-dessus
s en avons déjà parlé ; je ferai cependant encore remarquer que les
zones
décolorées que nous y avons décrites plus haut ne
noncée. Ces lésions sont généralement plus accentuées au niveau des
zones
de raréfactions maintes fois mentionnées, comme
Goll (PI. LXII). Au niveau des zen racines cervicales à droite, la
zone
du faisceau pyramidal est très claire et contie
action des cordons de Goll est limitée à leur moitié antérieure. La
zone
cornu-commissurale et la commissure grise sont
érivasculaire. Les altérations ne se limitent pas aux vaisseaux des
zones
sclérosées ou dégénérées, mais elles existent aus
es de sclérose complète dans la substantia nigra de Soemmering; des
zones
de raréfactions sans dégénérescences secondaire
ne vasculaire : à ce dernier égard les lésions des vaisseaux et des
zones
périvasculaires nous témoi- gnent le fait avec
e est surtout manifeste au 592 CATOLA niveau de la sclérose de la
zone
cornu-commissurale et de la commissure grise.
lus nombreuses dans les couches profondes de la lamelle que dans la
zone
superficielle. Au-dessous de ce cette bande exi
tement hyperémiés ; les deux substances se distinguent mal, mais'la
zone
corticale n'est nullement atrophiée. Surrénales n
state que les foyers que nous venons de décrire sont reliés par une
zone
infiltrée (PI. LXXV a). Les cellules épendymair
de polynucléaires. Les vaisseaux infiltrés sont en-dessous de cette
zone
; en quelques points on trouve dans celle-ci des
de tissu très infiltrée on voit tous les vaisseaux entou- rés d'une
zone
d'infiltration analogue à celle décrite plus haut
eur. Sur coupe transversale on voit un mince filet gris cerclant un
zone
légèrement teintée en gris. Substance grise. La
tra dans le 4* ventricule et, à la façon d'un érysipèle, envahit la
zone
sous- épendymaire. Il faut croire que le tent
s pour ainsi dire incompressibles. C'est alors que surviennent, par
zones
et peut-être d'après une certaine sélection (vo
nesthésie diminua au membre inférieur droit, mais ensuite parut une
zone
d'anesthésie ther- mique plus profonde dans la
sie est très caractéristique ; il faut remarquer la formation de la
zone
thermanes- thésique dans la sphère de deux raci
ules. Le sens de température s'est également amélioré. Il reste une
zone
thermanesthésique, occupant les membres supérie
maintenant nous occuper, est au contraire à peu près définitive. La
zone
motrice est en effet la mieux connue à l'heure
trice est en effet la mieux connue à l'heure actuelle de toutes les
zones
corticales. Le centre cortical des mouvements d
sommes arrêtés déjà, et dans leur mode de répartition diffé- rentes
zones
corticales que nous allons maintenant déter- mi
leur trois observations de sensibilité double dans le domaine de la
zone
soumise à la douleur sept observations prouvant
ttacher la disparition du phénomène du genou, ou plus exactement la
zone
d'entrée des fibres radiculaires dans la substa
t qu'on la dirige en arrière paral- lèlement à la ligne médiane, la
zone
radiculaire des cordons postérieurs se trouve e
t en dehors la partie externe des cordons postérieurs, envahisse la
zone
radiculaire, de façon à atteindre spécialement
s qui pénètrent dans la subs- tance grise, tout autre segment de la
zone
radiculaire et des racines postérieures n'ayant
lie. Atrophie d'une partie des fibres ner- veuses, surtout dans une
zone
périphérique qui correspond à l'al- tération la
La sensibilité tactile est partout conservée, à l'ex- ception d'une
zone
large comme la paume de la main sur la poi- tri
ce trouble, distribué d'une manière asymétrique, par régions, en
zones
, non seulement dans le stade initial de l'affec
une certaine période de la maladie 111me L. (OBs. XVI ! ) avait une
zone
thermanesthétique nettement limitée dans la rég
e hémianesthésie n'est pas régulière, mais elle est com- posée de
zones
séparées et de régions tantôt non net- tement d
ement très différents dans diverses régions. La même disposition en
zones
, en segments, s'observe pour des différents deg
yenne, là où la région analgésique d'un côté ne conflue pas avec la
zone
analgésique de l'autre. Les muqueuses de la cav
au point de vue des troubles de de la motilité. La première est la
zone
motrice corticale, la seconde est une zone dite
lité. La première est la zone motrice corticale, la seconde est une
zone
dite latente. Si nous établissons cette divisio
n face d'arguments contrariant par exemple la donnée suivante : (la
zone
corticale dite latente est ainsi nommée, parce
notre division. ' Voir tome XVI, p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La
zone
motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, enc
a zone motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, encore appelée
zone
épilepto-ène en raison du nombre de faits ana-
u'elle circonscrit le point de départ des accès épileptoïdes, cette
zone
répond d'après M. le professeur Charcot à la ci
lacé avec Nothnagel le pied des circonvolu- tions frontales dans la
zone
latente, sauf évidemment le pied de la troisièm
rontale (aphémie) et de la deuxième frontale gauche (agraphie) La
zone
corticale latente au point de vue des troubles de
mprend toute l'étendue de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la
zone
motrice. Dans la zone latente corti- cale, on p
de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone motrice. Dans la
zone
latente corti- cale, on peut essayer de disting
ans la zone latente corti- cale, on peut essayer de distinguer deux
zones
secondaires mal connues du reste dans leur éten
ires mal connues du reste dans leur étendue et leurs limites ; la
zone
intellectuelle et la zone sensitive. La zone inte
e dans leur étendue et leurs limites ; la zone intellectuelle et la
zone
sensitive. La zone intellectuelle (PL. I, fig.
et leurs limites ; la zone intellectuelle et la zone sensitive. La
zone
intellectuelle (PL. I, fig. 1, violet) occupe d
ux tiers antérieurs de la deuxième et de la troisième frontales. La
zone
sensitive semble correspondre aux circonvolutio
nvolutions pariétales, ' Nous ne représentons pas l'extension de la
zone
motrice corticale au lobule paracentral, afin d
'assigner à l'écorce des lobes occipitaux exclusivement, le rôle de
zone
sensitive n'est qu'en partie vrai et seulement
e Meynert, dont nous parlons plus loin. Enfin M. Ballet3 donne à la
zone
sensitive corticale une étendue beaucoup plus c
corce située en arrière du pied des cir- convolutions frontales. La
zone
motrice y est incluse, par- ticipant dès lors à
trice y est incluse, par- ticipant dès lors à la constitution d'une
zone
seizsz*tivo-inotrice. Les circonvolutions situé
s que nous signalons plus haut et d'autres encore démontrent que la
zone
sensitive corticale doit certainement dépasser
a région occipitale. En somme, rien de précis sur les limites de la
zone
corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré
mites de la zone corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré la
zone
sensitive occipitale sur la figure. Outre les
oint coloré la zone sensitive occipitale sur la figure. Outre les
zones
intellectuelle et sensitive, à peu près cir- co
es intellectuelle et sensitive, à peu près cir- conscrites, dans la
zone
latente de l'écorce, se trouvent encore dissémi
psie, le ptosis, dont nous avons indiqué le siège. Chacune de ces
zones
de l'écorce cérébrale est l'aboutissant ' Grass
restrictions, non seulement sur le siège à l'écorce cérébrale de la
zone
sensitive, comme de la zone intellectuelle, mais
sur le siège à l'écorce cérébrale de la zone sensitive, comme de la
zone
intellectuelle, mais aussi sur le trajet intra-
centrifuges. Nous colorerons sur les dessins, de la même teinte la
zone
cortico-cérébrale et le faisceau cérébro-médul-
centrifuges partent de l'écorce cérébrale, de toutel'étendue de la
zone
corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les f
rébrale du faisceau pyramidal, dépasse certainement la limite de la
zone
motrice proprement dite, car une por- tion de s
être pas motrices et que l'étude anatomo-clinique désigne comme une
zone
dont la lésion se révèle par des troubles psychiq
omme une zone dont la lésion se révèle par des troubles psychiques (
zone
intellectuelle). Ce sont ces fibres cérébrales an
icules moteurs partant de différents points bien circonscrits de la
zone
corticale motrice. Chacun de ces fascicules mot
ide très allongée, à base supérieure corticale, formée par toute la
zone
mo- trice corticale, à sommet inférieur pédoncu
vec le sillon antérieur de la moelle ; en dehors, ils répondent aux
zones
radiculaires antérieures. Sur des coupes de la
opposé du corps; si elles sont bornées à une partie seulement de la
zone
motrice, l'hémiplégie est partielle; si elles son
erf sectionné, on est en effet conduit à attribuer aux cellules de la
zone
corticale motrice, une influence trophique anal
la moelle, consé- cutives aux lésions destructives localisées à la
zone
motrice corticale, au centre ovale ou à la caps
e. Car les cornes antérieures de la moelle paraissent être avec les
zones
radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
centripète, les prenant à la périphérie pour les con- duire à cette
zone
corticale, Dans la moelle, le faisceau sensitif
contrairementau cordon antéro- latéral où l'on peut voir une large
zone
presque latente, la zone radiculaire antérieure
ntéro- latéral où l'on peut voir une large zone presque latente, la
zone
radiculaire antérieure (partie fondamentale de
- présenté dans sa portion contiguë à la corne postérieure par la
zone
radiculaire interne des racines rachidiennes post
nes posté- rieures ou bandelettes externes des cordons postérieurs (
zone
de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig
bres radiculaires postérieures; la parésie révèle la sclérose de la
zone
radiculaire externe des racines rachidiennes po
e, que la couche optique précisément limite en de- dans. Enfin la
zone
sensitive corticale, à laquelle se rend le faisce
sc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, -1 ;
zone
radiculaire antérieure (Pierrot) ou partie fonda-
5; cordon de Goll. 6, G; bandelette externe du cordon postérieur ou
zone
radiculaire interne des racines rachidien- nes
ties de la moelle où, premièrement, les con- ducteurs sensitifs des
zones
anesthésiées sont encore séparés par ceux d'aut
atérale; dans la thermanes- thésie à forme hémiplégique, ou avec la
zone
therma- nesthétique sur la poitrine et le ventr
és, sans que pour cela on relie « l'épilepsie » alors observée à la
zone
locale atteinte. Je ne vois nulle part jusqu'ici
ent intentionnel à l'existence de foyers scléreux dans ces diverses
zones
. Une 2° observation person- nelle : étude criti
isc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, 4 ;
zone
radiculaire antérieure (Pierret) ou partie fonda-
; cordon de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du cordon postérieur ou
zone
radiculaire interne des racines rachidien- nes
l. Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Duval et Picot pensent que les
zones
de ramollissement de la calotte dans les crânes
rne du frontal, de l'ethmoïde et du sphénoïde, sont entourées d'une
zone
d'ostéite de réac- lion ; il s'agit des crêtes
rande netteté que toules les fois que le tabes laissait intacte une
zone
appelée par Westphal « zone d'entrée des racines
fois que le tabes laissait intacte une zone appelée par Westphal «
zone
d'entrée des racines » clans la ré- gion dorso-
nfirmée par les recherches ultérieures, et Westphal a pu définir sa
zone
d'entrée des racines (2), « une zone placée en
s, et Westphal a pu définir sa zone d'entrée des racines (2), « une
zone
placée en hauteur à l'union des régions lombaire
atineuse et le point de pénétration des racines postérieures. Cetle
zone
est toujours intéressée quand les réflexes rotu-
s les réflexes rotuliens ont été conservés jusqu'à la mort et où la
zone
d'entrée des racines était intacte ; on y trouv
VATION ET DU RETOUR DES REFLEXES ROTULIENS 81 avec une lésion de la
zone
de Westpha) ; dans une autre observation de Non
unique symptôme l'abolition unilaté- rale du réflexe patellaire; la
zone
de Westphal était atteinte de ce seul côté. E
Westphal était atteinte de ce seul côté. Est-ce une lésion de la
zone
d'entrée des racines qui expliquerait chez cert
tabes au début, alors que cette lésion existait nettement : mais la
zone
de Weslphal était intacte. Observation'. B...,
nt fermes, non cavitaires ; à la coupe, la corti- cale présente des
zones
infimes d'un blanc brillant tranchant sur la colo
- Les cordons postérieurs ne por- tent aucune lésion apparente ; la
zone
de Lissauer n'est pas sclérosée ; on voit les r
- On voit apparaître dans le cor- don postérieur du côté droit une
zone
de sclérose assez bien délimitée dans sa forme
postérieur, moins une petite étendue tout il fait en arrière ; cette
zone
sclé4 reuse respecte un petit territoire ovalai
tion du faisceau ovale de Flechsig. L'autre branche verticale de la
zone
de sclérose, orientée légèrement eu ohli- , Scl
corne postérieure dont elle reste séparée cependant partout par une
zone
saine qui correspond précisément à la zone d'en
ependant partout par une zone saine qui correspond précisément à la
zone
d'entrée des racines de Westplial. La branche h
ilieu du cordon postérieur, dans son tiers postérieur. En somme, la
zone
de sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni
Lien la région de la bandelette externe de Pierre, appe- Ire encore
zone
rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La zone d
e, appe- Ire encore zone rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La
zone
de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la zone d'
de Flechsig (1), La zone de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la
zone
d'entrée des racines de Wesiplial est intacte ;
inférieure (1'E lombaire el 1 le dorsale) . - On ne trouve plus de
zone
de sclérose en nappe ; toutes les raci- nes pos
ires radiculaires, c'est-à-dire la bandelette externe de Pierrot ou
zone
radicu- laire moyenne. Les autres territoires r
autres territoires radiculaires des cordons postérieurs, savoir la
zone
radiculaire antérieure, les champs postéro extern
SSEI1AND intacts ; le cordon de Goll est respecté. D'autre part, la
zone
de Lissauer, le triangle médian sacré, la zone
té. D'autre part, la zone de Lissauer, le triangle médian sacré, la
zone
marginale de Wesiplial, le réseau fin de la cor
on plus aucun éclaircissement au sujet de ce point controversé : la
zone
de Lissauer est-elle lésée précocement ou tardi
ent dans le tabes ? Pour Dejerine et Thomas (2), l'altération de la
zone
de Lissauer est la première après celle de la ban
um formé par les fibres fines de la corne postérieure ; il croit la
zone
/le Lis- sauer occupée par des fibres endogènes
, de cette sclérose de la bandelette externe avec l'intégrité de la
zone
d'entrée des racines de Westplial, dont nous avon
,so-loiîibaii-e,ol7e ? îi une intégrité plus ou moins absolue de la
zone
d'entrée des racines, autrement dite zone radicul
us ou moins absolue de la zone d'entrée des racines, autrement dite
zone
radiculaire des 3° et si paires lombaires. 2°
e est le signe de TVestpltal ; dans ce cas, la lésion siège dans la
zone
radiculaire des : : le et se paires lombaires.
n siège bien dans la ¡'rfgion dorso-lombai1'e de la moelle. Mais la
zone
de lVestplwl ou zone radiculaire des 3e et 1° p
¡'rfgion dorso-lombai1'e de la moelle. Mais la zone de lVestplwl ou
zone
radiculaire des 3e et 1° paires lombaires est r
s, ataxi- ques ou non, étendus ou non anatomiquement, pourvu que la
zone
de Westplial reste relativement intacte. La con
la lésion intéresse, à la région dorso-lombai re de la moelle, une
zone
exactement définie appelée « zone d'entrée des ra
dorso-lombai re de la moelle, une zone exactement définie appelée «
zone
d'entrée des ra- cines de Wesipliil ». Cette
finie appelée « zone d'entrée des ra- cines de Wesipliil ». Cette
zone
peut rester intacte dans quelques cas rares, et l
liniquement et anatomiquement très caractérisé. D'autre part, cetle
zone
peut être seule atteinte elle signe de Westplia
e des autres lésions médullaires des tabès. Est-ce une lésion de la
zone
d'entrée des racines qui explique- rait chez ce
du cou et des omoplates, nous n'avons constaté aucune trace de ces
zones
hyperalgésiques qui, signalées d'abord par Vilm
réu- nit le pli courbe et la première circonvolution temporale à la
zone
de Broca et à la zone motrice corticale du memb
et la première circonvolution temporale à la zone de Broca et à la
zone
motrice corticale du membre supérieur ». 13...p
qu'il. lit, en recopia nt, formé les lettres d'une façon normale. La
zone
motrice n'exerce donc pas d'influence notable s
ALISÉE AVEC ACHROMIE ASSOCIÉE 147 d'un mulâtre blanchi en certaines
zones
, et avec une symétrie indiscutable pour certain
rchromie est homogène, les teintes en sont fondues; mais,en certaines
zones
, notamment à la partie inférieure de l'abdomen
ydrose ; très épaissie. Sur ce fond hyperchromique se dessinent des
zones
achromiques, décolorées de façon assez variable
une nuance rosée qui tire sur le coloris « fleur de pêcher » ; les
zones
achromiques sont irrégulières mais à.con tours bi
st plus manifeste dans les joues un peu étendues d'hypochromie, les
zones
plus réduites sont tantôt symétriques. Par opposi
sibilité pour le plan antérieur est il peu près conservée. Dans les
zones
que l'on peut encore plisser l'hypoesthésie est
mélanodermie combinée à du vitiligo. La disposition des différentes
zones
montre pour la plupart d'entre elles une symétr
rfois primitives, parfois secondaires par décoloration centrale des
zones
byperpigmentées (et à ce sujet notre malade ne
n corpusculaire,mais on y recon- naît des granulations fines. Cette
zone
granuleuse se continue sans ligne de démarcatio
Cette zone granuleuse se continue sans ligne de démarcation avec la
zone
périphérique voisine. A côté des cellules où l'
ïde et plus tard ellipsoïde. A mesure que la rétraction progressera
zone
vide qui se forme entre la face interne du noya
distillée, et examinées immédiatement. On voit autour du noyau une
zone
périnu- 222 MAfiINESCO cléaire plus ou moins
'occipital en arrière. La présence du poumon est indiquée par une
zone
claire qui remplit les deux cages thoraciques j
re, le poumon remonte jusqu'à la base du crâne. On ne note que deux
zones
sombres : L'une, à la base gauche, indice très
ccupés par du tissu conjonctif réticulé. Enfin (fig. g), dans les
zones
d'aspect vitreux, la raréfaction des fibres ner-
rmal et forme des travées fibreuses, mais on ne trouve plus ici des
zones
de tissu réticulé, ni un épaississement concentri
st très irrégulièrement répartie. Dans le même fragment, il est des
zones
où les fibres musculaires, de volume normal, sont
cordons antéro-latéraux, parfois systématisées et siégeant dans les
zones
des faisceaux pyrami- daux ou des faisceaux cér
ons décrites. Les faisceaux antéro-latéraux présentent sur toute la
zone
marginale un éclaircissement notable, qui s'att
es, et l'éclaircissement au cordon de Goll porte non seulement sur la
zone
marginale, mais également sur la profondeur jus
ément ouateux jusque sur ses bords ; de plus il s'élargit, mais les
zones
sous- périostées nouvelles ne se calcifiant plu
s, entre le territoire central et le territoire périphéri- que, une
zone
intermédiaire relativement saine. - Cette notio
stérieure et détruisant la région centrale, la base des cornes, les
zones
adjacentes du faisceau pyramidal et la corne po
cordons latéraux, où la ligne de démarcation entre le gliome et les
zones
de dégénérescence est assez mal établie ; dans
prement parler, mais plutôt delà sclérose névroglique qui occupe les
zones
dégénérées. Le tissu conjonctif qui parcourt
e postérieure de la ceinture circulaire du fais- ceau latéral et la
zone
antérieure de la périphérie du faisceau antérieur
'à gauche quoique à un degré moindre, la par- tie postérieure de la
zone
périphérique du faisceau latéral. Sur la dure-mèr
i comprime le plus la moelle du côté de la partie postérieure de la
zone
péri- phérique du faisceau latéral gauche. L'
ent cervical, la trans- parence des fibres apparaît surtout dans la
zone
périphérique des faisceaux postérieurs, là où p
appa- raissent le long de la base des racines postérieures, dans la
zone
radiculaire et dans la partie postérieure du fa
virons de la fissure antérieure et dans la moitié postérieure de la
zone
périphérique des faisceaux latéraux. Dans les r
ite. La sensibilité sous toutes ses formes est diminuée surtout aux
zones
de l'ophtalmique et du maxillaire supé- rieur,
n de l'ophtalmique et du maxillaire supérieur : hyposthésie dans la
zone
maxillaire inférieure. Les autres sensibilités
a région fasciculée et rouge châtain dans la région rétractée. La
zone
médullaire est bien représentée formée de belles
ions radiculaires mettent en évi- dence des territoires disposés en
zones
parallèles à l'axe des membres. Les chirurgiens
. Les chirurgiens ont bien étudié la répartition des territoires en
zones
parallèles à l'axe des membres. Ils ont, de cet
une maladie des centres nerveux. 2° La sclérodermie en bandes ou en
zones
, dont les variétés de localisa- tion rappellent
-bras droit était enveloppé d'une énorme gaine mélanodenni- que. La
zone
de peau teintée remontait jusqu'au-dessus'du coud
he. Ces deux faisceaux sont intéressés dans toute leur étendue ; la
zone
dégénérée arrive au contact de la circonférence d
à droite. Autour de l'épendyme, il existe autour des vaisseaux, une
zone
assez étendue de la commissure grise où les tub
ers postérieur du cordon, cette virgule vient se confondre avec une
zone
de sclérose plus étalée, comprenant le tiers po
moitié externe du tiers postérieur de ce dernier. En aucun point la
zone
de dégénérescence ne touche a la substance gris
loppé. 2) Par les colorants nucléaires, on peut s'assurer que les
zones
dégé- nérées sont généralement constituées par
égénérescence (ou plutôt atrophie des tubes nerveux) intéressant la
zone
qui sépare le faisceau de Goll du faisceau de B
ux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les
zones
radiculaires des cordons postérieurs sont partout
seulement. Du reste, comme nous le faisons remarquer plus haut, la
zone
radiculaire de ces cordons postérieurs est part
nerveuses. Ces altérations qui intéressent surtout les fibres de la
zone
moyenne des circonvolutions, existent d'une façon
ise en cause pour expliquer les lésions des cordons postérieurs. La
zone
cornu- radiculaire étant en effet partout indem
7 kilogrammes. Les téguments du bras droit sont parsemés de petites
zones
cicatricielles si- mulant des vergetures et con
st exagérée dans la région postéro- externe de l'épaule et du bras (
zone
du circonflexe) ainsi que dans la région antéro
rconflexe) ainsi que dans la région antéro-externe de l'avant-bras (
zone
du musculo-cutané et du radial). La sen- sation
sen- sation au contact d'un corps chaud est exagérée dans les mômes
zones
. Au pincement,- à la piqûre de la peau, hyperal
Au pincement,- à la piqûre de la peau, hyperalgésie très vive dans la
zone
sensitive du circonflexe (face postérieure de l
conflexe (face postérieure de l'épaule et externe du bras). Dans la
zone
sensitive du musculo-cutané (face antéro-externe
'hyper- algésie est un peu moins marquée. Moins vive encore dans la
zone
sensitive du radial (face postérieure du bras e
ain. La sensibilité Ù la piqûre et au pincement est normale dans la
zone
sensitive du brachial-cutané interne et de son
e, ainsi que du cubital. Peut-être très légère hyperalgésie dans la
zone
sensitive du nerf médian (face palmaire des 10e
ormaux. Mais la sensibilité à la douleur est très exagérée dans les
zones
sensitives et motrices du nerf circonflexe, du
uche qu'à droite. Tout autour du bourrelet saillant on remarque une
zone
érythé- mateuse s'effaçant à la pression et tou
dermographisme persiste encore dix minutes après l'impression et la
zone
éry- thémateuse est encore visible une demi-heu
actilité tégumentaire. thermesthésie, etc. Ces centres occupent les
zones
sensitives paicto-occipitcles. A cet appareil spi
rs les centres supérieurs et corticaux former les images auditives (
zones
auditives temporales). Ces deux appareils sont
e sens des attitudes segmentaires dont le siège cortical occupe les
zones
d'appropriation motrice, zones purement sensoriel
es dont le siège cortical occupe les zones d'appropriation motrice,
zones
purement sensorielles et, par abus, nommées mot
ecte, dont le siège cortical est surtout la pariétale ascen- dante,
zone
purement sensorielle indispensable à l'exercice d
entation d'attitudes, qui selon moi ne sont pas plus réellement des
zones
motrices que le sens des représentations d'atti
idents hystériques : il se plai- gnit successivement d'une série de
zones
hystérogènes à l'épigastre, dans le dos, sur le
. SPILLMANN se continuant insensiblement avec la peau saine par une
zone
violacée. Au niveau de la moitié inférieure, il
sse pas plisser. Celte bande se continue vers l'ais- selle avec une
zone
blanchâtre de 3 à 4 centimètres de long, irréguli
s le sens antéro-postérieur est de 15 millimètres. Il siège dans la
zone
la plus externe du noyau lenticulaire, au nivea
tée. A la partie postérieure des cor- dons de Burdach se trouve une
zone
de fibres normales correspondant à la bandelett
une bande de tissu sain, séparée en arrière de la périphérie par la
zone
cornu-commissurale. Les cordons de Goll sont al
racines postérieures, séparée de la périphérie de la moelle par une
zone
de fibres saines. Les colonnes de Clarke présente
a leur niveau ; elle est moins intense dans les cordons de Goll. La
zone
voisine des racines est intacte. Enfin les zones
cordons de Goll. La zone voisine des racines est intacte. Enfin les
zones
de Lissauer sont peut-être un peu touchées. L
récédée, pendant un temps variable, d'une espèce de dermatite de la
zone
d'implantation. Cette dermatile se traduit par un
e des plus marquées au niveau des cordons de Goll et de Burdach, la
zone
cornu- commissurale était à peu près intacte. L
de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la région lombaire, les
zones
de Lissauer sont un peu touchées ; mais en géné
t qu'aux membres supérieurs leur siège d'élection se trouve être la
zone
de distribution du cubital. , Biswanger (1) (18
ais en faisant remarquer qu'il ne faut pas s'attendre à trouver une
zone
d'anes- thésie exactement superposable au champ
e tronc dans la ligne mamillaire ; elle rejoint dans l'aisselle une
zone
d'anesthésie, comprenant tout le territoire d'inn
tronc, aux membres supérieurs, et à la cuisse gauche dans une petite
zone
à la face antéro-interne. Hyperalgésie en bande
ure . - Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cuisse ; Dans la
zone
d'anesthésie ; elle s'étend atout le thorax à par
de la ligne bi-axillaire à la ceinture, et à la'cuisse dans la même
zone
où l'on trouve de l'hyperalgésie. (A suivre.)
n en retrouve un certain nom- bre intactes. Je n'ai pas relevé la
zone
de dégénérescence partielle du faisceau fondament
ue la tumeur hypophysaire irrite à distance, par action réflexe, la
zone
psycho- motrice, et est ainsi la cause des conv
ns l'aisselle droite. Il y a cependant dans toute cette étendue des
zones
où la perception tacite existe, quoique très ém
gauche, la perception est normale. Il y a de l'hypoesthésie dans la
zone
du cubital, au bras gauche, aux deux mains. B
st perçu très faiblement à la racine des orteils droits et dans une
zone
en ceinture remontant il gauche jusqu'à la lign
re. Hypoalgésie depuis les orteils jusqu'au pli fessier, et dans la
zone
cubitale jusqu'à l'articulation du poignet. Hyper
s'étend sur les deux seins. On constate également l'existence d'une
zone
d'anesthésie occupant la moitié droite du crâne à
B. Face postérieure. - Anesthésie comme à la face antérieure dans les
zones
correspondantes. Au niveau des omoplates, zon
térieure dans les zones correspondantes. Au niveau des omoplates,
zone
anesthésique transversale, qui, réunie à la zon
eau des omoplates, zone anesthésique transversale, qui, réunie à la
zone
mamillaire antérieure, forme une ceinture complèt
genoux ; hypoalgésie jusqu'aux plis inguinaux. Hypoalgésie dans la
zone
d'anesthésie crânienne. B. Face postérieure. A
ieure. - Hyperesthésie à toute la surface du corps, excepté dans la
zone
d'anesthésie crânienne où il y a di- minution d
esthésie sur la fesse gauche et l'anesthésie en demi-calotte. Une
zone
de dysesthésie s'étend en corset depuis la ligne
ouffre actuellement de démangeaisons douloureuses aux bras, dans la
zone
d'innervation du cubital, depuis le coude jusqu'à
le (Pl. LXIX). I. TACT. - A. Face antérieure. - Anesthésie dans une
zone
comprenant la région ombilicale et les trois qu
main et aux deux derniers doigts à gauche; à droite, dans toute la
zone
du cubital et aux deux derniers doigts ; enfin, d
e à la face antérieure, cette plaque d'analgésie est entourée d'une
zone
d'hypoalgésie qui complète le corset et descend
qu'à i'articu)ation tihio-tarsienne. Hypoesthésie au froid dans une
zone
ovalaire, s'étendant du creux épigastrique jusq
respecte la sensibilité tactile, elle s'établit à demeure dans une
zone
aux limites bien définies et ces limites sont s
ues que la deuxième, s'accompagnant d'hypo- esthésies thermiques en
zones
disséminées au lieu de la dissocialion syringom
hérie, d'autre part la surface tégumentaire se trouve subdivisée en
zones
, en segments dont chacun tire son innerva- tion
guës. On conçoit dès lors que tout autre sera la distribution d'une
zone
d'a- nesthésie quand elle dépend de l'altératio
entaire : A chaque segment (en hauteur) de la moelle correspond une
zone
d'innervation sensitive périphérique et on a pu a
es première et deuxième racines dorsales se traduit par une étroite
zone
d'anesthésie de la face interne des bras et des a
main. Une lésion d'où émane la 81 paire cervicale produit une môme
zone
d'anesthésie à la face dorsale et à la face ven
ace dorsale et à la face ventrale du membre supérieur contiguë à la
zone
précédente, mais qui se continue sur le bord cubi
eltoïdienne etc. Si l'on compare sur nos schémas la disposition des
zones
d'anesthésie avec la distribution anatomique no
bué il 11L< : NDlllK Martinez Ro- KES, plus connu sous le nom de
Zone
, représente encore une consultation féminine :
ans la capsule externe, elle laisse indemne à sa partie moyenne une
zone
de substance blanche qui tapisse l'insula (caps
siège d'un gonflement considérable ; la pression légère produit une
zone
de pâleur blanchâtre qui disparaît rapidement, ma
n point du corps cet homme ne présente ni taches hyperchro- miques,
zones
érythémateuses, ni plaques d'infiltration dermiqu
dans Fig. 1. — AA, cordons latéraux. — A, faisceau de Tiïrck. — BB,
zones
radiculaires postérieures. — CC, cornes postérieu
stérieures. — CC, cornes postérieures. — DD, cornes antérieures. — F,
zone
radiculaire antérieure. — E, cordons de Gall. c
lution de Broca. On sait que la destruction des circonvolutions de la
zone
dite motrice produit, si elle est générale, l'hém
jeunes garçons. Sommaire. — Contracture hystérique. — Amblyopie. —
Zones
hystérogènes. Phases de l'attaque d'hystéro-épile
lésions cérébrales en foyer occupant la capsule interne. Fig. 14. —
Zones
hystérogèncs de la face antérieure du corps. (Fig
ses épineuses. Ce sont là les points ou plaques hystéro- Fig.iiS, —
Zones
hystérogènes de la face postérieure du corps (loc
esthésie est générale, mais plus prononcée à gauche, présente trois
zones
hystérogènes : le point ovarien, un point lombair
point lombaire gauche, et un point bregma-tique. Que sont donc ces
zones
hystérogènes ? ce sont des régions du corps plus
e^anomalie de position ou de développement, représenternine partie de
zone
hystérogène, ou bien c'est le prépuce dont la sen
çon a été faite, M. Gaube a publié d'intéressantes recherches sur les
zones
hystérogènes. De cette étude, entreprise sous la
de M. le professeur Pitres, de Bordeaux, il résulte qu'il existe des
zones
hystérogènes sur les membres supérieurs ou inféri
nes hystérogènes sur les membres supérieurs ou inférieurs, et que ces
zones
ont les mêmes propriétés que celles que l'on renc
'on rencontre sur le tronc ou sur la tête (Gaube : Recherches sur les
zones
hystéroijènes, Thèse de Bordeaux, H82.) Ch. F.
nes hystéroijènes, Thèse de Bordeaux, H82.) Ch. F. L'étendue de ces
zones
est 1res variable, souvent elles ne sont pas plus
l est hémianesthésique gauche avec amblyopie, et qu'il présente trois
zones
hystérogènes (bregma, fosse iliaque gauche, régio
. En outre, il y a des plaques d'hypéresthésie au crâne et au vértex (
zone
hystérogène). Vers les 4 h. 1/2 ou 5 h. (vers les
es ; quinze jours après, il n'était plus question d'attaques, puis la
zone
hystérogène bregmatique disparut, et quand le pet
'achromatopsie, pas de dyschromatop-sie (Fig. 22) ; 3° Toute trace de
zone
hystérogène fait défaut. Quoi qu'il en soit, en
qu'elle n'ait ni anesthésie cutanée, ni ovarie, elle a de nombreuses
zones
hystérogènes parallèlement situées sur les deux s
s externes et la partie interne de l'articulation du coude droit. Les
zones
des deux seins, des mollets et du coude droit ont
les deux cas, elles ne diffèrent par aucun caractère essentiel. Trois
zones
hystérogènes ont été découvertes : deux d'entre e
t conservé dans toute l'étendue du membre supérieur droit. La seule
zone
hystérogène constatée chez G... occupe le testicu
oient spontanées ou provoquées par l'excitation artificielle de cette
zone
hystérogène sont toujours précédées par une sensa
une lésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la
zone
motrice, au centre brachial et consécutive elle-m
ve d'une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dans la
zone
motrice du bras; mais il ne s'agit pas là d'une a
ganique du cœur, foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la
zone
motrice du bras, une telle lésion, dis-je, pourra
in, ce qui n'avait pas été fait jusque-là, s'il existait chez lui des
zones
hystérogènes. On en trouva, en effet, une située
r le testicule droit. On remarqua qu'une excitation même légère de la
zone
sous-mammaire déterminait très facilement les div
s brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci :
zone
d'anesthésie correspondant au territoire des nerf
t bien différent dans les deux cas. En effet, tandis que chez P... la
zone
d'insensibilité englobe l'épaule tout entière et
e tout entière et s'étend même au-delà, chezD..., au contraire, celle
zone
est beaucoup moins étendue, puisqu'elle respecte
tiens à vous faire remarquer, Messieurs, que cette disposition de la
zone
aneslhésique est justement celle qui a été observ
branches de ce plexus !, vous voyez, dis-je, que la disposition de la
zone
d'anesthésie cutanée est exactement la même que c
as de Por..., nous reconnaissons que, chez lui, la distribution de la
zone
d'anesthésie est tout autre : par en haut, du côt
re le plexus cervical. D'un autre côté, nous savons que chez P..., la
zone
d'anesthésie s'arrête, par en bas, à la main (Fig
cérébral du côté opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la
zone
motrice du bras qu'il faut la placer. De plus, po
quelques travaux récents, qu'elle n'est pas étroitement limitée à la
zone
motrice, et qu'elle s'étend en arrière des circon
dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la
zone
motrice brachiale, du côté opposé à la monoplégie
lié, Messieurs, qu'à la suite d'une excitation un peu prolongée de la
zone
sous-mammaire, survint chez Pin..., une attaque h
inq travers de doigt. Le bras presque tout entier est contenu dans la
zone
d'anes thésie qui, pour continuer la comparaiso
inture, l'impuissance motrice est devenue complète, vous voyez que la
zone
d'anesthésie s'est immédiatement étendue par en b
main se meuvent librement. En conséquence, la limite inférieure de la
zone
d'anesthésie se trouve déplacée une fois de plus
ura, qui, dans la règle, la précèdent, par l'excitation de véritables
zones
hystô-rogènes, dont les unes occupent la peau qui
que, sur la presque totalité de la moitié gauche du corps —quelques
zones
sont restées indemnes, —il existe une anesthésie
ence d'une lésion organique de la Fig. 86 et 87. — Distribution des
zones
d'anesthésie dans les cas de paralysie partie des
'admettre que cela dépend d'une lésion dynamique affectant celles des
zones
motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale
egment correspondant du membre. Les limites qui séparent les diverses
zones
d'anesthésie ainsi produites, sont représentées é
la poitrine est restée sensible, la limite de la séparation entre la
zone
sensible et la zone insensible siège vers le mili
tée sensible, la limite de la séparation entre la zone sensible et la
zone
insensible siège vers le milieu delà paroi axil-l
voque actuellement par la pression de la fosse iliaque gauche ; d'une
zone
circonférenlielle au-dessus du genou et à la chev
la sensibilité montre en effet du côté gauche, en dehors de ces trois
zones
hystérogènes, une analgésie de toute la moitié ga
par un examen minutieux (exploration de la sensibilité, recherche des
zones
hystérogènes...), par l'étude des antécédents.
ations de l'hystérie. Souvent le malade présente de l'anesthésie, des
zones
hystérogènes ; l'un avait des vomissements, un au
jeunes garçons. Sommaire. — Contracture hystérique. — Amblyopie. —
Zones
hystérogènes. — Phases de l'attaque d'hystéro-é
us brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci:
zone
danesthésie correspondant au territoire des nerfs
, 299, 400; — Paraplégies —, 441; — Mutisme —, 422. Hystérogènes (
Zones
), 86. Hystéro-traumatiques (Paralysies), 299, 399
; — de la paralysie générale, 413; — de la maladie de Basedow, 413.
Zones
hystérogènes, .85 ; — chez la femme, 232; — chez
s cel- lules de l'épendyme ont le plus proliféré, plus que dans les
zones
sus et sous-jacentes. Les fissures de la corne
na- lyse des images, : \1. 81elsclro\\'sky conclut qu'il existe des
zones
où l'on est en présence de fibres persistantes
mêmes que dans les conditions normales. On trouve, par contre, des
zones
dont l'aspect permet de se demander si, à côté
1902). A l'aide de faibles courants d'induction, on lié termine les
zones
de l'écorce du cerveau dont l'excitation produi
OGIE PATHOLOGIQUES. isolés des muscles des yeux. Puis on enlève ces
zones
et 14 jours après on tue l'animal : on traite l
t. Nombreuses figures. L'écoree du cerveau du chien contient quatre
zones
suscep- tibles d'engendrer des paralysies des m
s suscep- tibles d'engendrer des paralysies des muscles oculaires :
zone
frontale, pariétale, temporale, occipitale. Il
terne de la couche optique de Forel, dans le corps de Luys, dans la
zone
11 de Forci, enfin ici dans la partie externe d
: elles se dirigent en dedans, franchissent la couche grillagée, la
zone
de Wcrnicke, et arrivent à la partie antérieure
s la partie externe, pour traverser, en se dirigeant en arrière, la
zone
grise intercalée entre le ruban de Reil supé- r
du faisceau de Go\Yers dont elle occupe la plus grande partie. Les
zones
limites externes et la zone mixte des cordons l
elle occupe la plus grande partie. Les zones limites externes et la
zone
mixte des cordons latéraux sont envahies par des
érescence ; ici le domaine du cordon latéral du cervelet est en une
zone
étroite assez purement conservée. Dans la moell
- fondamentales. P. Keraval. t\ 1.- Sur la doctrine de Flechsig des
zones
perceptives et des zones associatives ; par le
. t\ 1.- Sur la doctrine de Flechsig des zones perceptives et des
zones
associatives ; par le prof. L. Bianchi. (.1 nl1,
et de son développement, puisque il semble établi ([ne certaines
zones
du manteau possèdent un plus grand nombre de libr
onll'PI't'ncoJ'e i la 111Yl ? linisalion des fibres appartenant aux
zones
dites intermédiaires et terminales est soumise
er. A ce point de vue, on n'arrive pas à comprendre l'existence des
zones
associa- tives, telles que Flechsig les a conçu
ives, telles que Flechsig les a conçues, étant donné que toutes les
zones
perceptives sont des zones associatives. La loi d
es a conçues, étant donné que toutes les zones perceptives sont des
zones
associatives. La loi de pro- gressivité qui exi
perception, nous la rencontrons dans l'agrandissement successif des
zones
sensoriel- les, dont le produit est progressive
phénomènes psy- chiques n'est pas celui que Flcchsig a imaginé. Les
zones
inter- médiaires et terminales sont des terres
s terres vierges, qui attendent en- core le défrichement. L.. Les
zones
perceptives qui comprennent toutes les zones asso
défrichement. L.. Les zones perceptives qui comprennent toutes les
zones
asso- ciatives postérieures sont des centres de
l1la¡ ? t'spl'o\euanLde autres centres percepifs. Les lésions de la
zone
du langage démontrent que les images ver- hales
duisent le plus de dom- mage il l'intelligence sont les lésions des
zones
perceptives du langage, et spécialement delà zo
les lésions des zones perceptives du langage, et spécialement delà
zone
auditive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5.
e auditive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5. Les lésions de la
zone
visuelle donnait aussi des résultats presqu'ido
tls lroulllusintellcclucls, sauf IlnautL la 1(ion c.Lilen- due à la
zone
auditive du langage. La perle de l'intelligence à
cipalement à la part qu'elle comprend, dans l'hémisphère gauche, la
zone
du langage. Tout le monde saiL que l'intelligence
es intellectuels profonds. Dans tamicroceptialie on peut trouver la
zone
occipitd-parieto- lemporale très développée par
l'idiotisme le plus profond et le plus grave. Il existe une seule
zone
, dont les lésions ne produisent jamais de troub
ultés mentales supérieures ; c'est celles des lobes frontaux. Celle
zone
est en rapport avec toutes les autres : elle ré
st en rapport avec toutes les autres : elle réunit les produits des
zones
sensorielles, et excite leur activité. Elle n'a
pas de fibres de projection. Les expériences, les maladies de celte
zone
, et l'anatomie embryologique concourent à démon-
e zone, et l'anatomie embryologique concourent à démon- (rurtlue la
zone
frontale est le siège de la synthèse intellectuel
somnambulique. Dans ces I rois états on trouve : 1° ou que quelques
zones
du cerveau tombent dans l'inertie, tandis que d
l'li\iU' l'.\a¡.r<;I'¡"l' ; 2° ou bien que l'aclivilé de cerlaines
zones
se trouve supprimée, tandis que celles d'autres
de cerlaines zones se trouve supprimée, tandis que celles d'autres
zones
est, simple- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 141
l y a une limitativn générale de l'activité dans presque toutes les
zones
du cerveau ; mais non d'é- gale degré. "- Le
'une série d'expériences, l'auleurtirelcsconclusions suivantes : La
zone
corticale motrice est le centre exclusif des conv
n- dance prononcée de la dégénérescence il se subdiviser en deux-
zones
. L'une, inférieure, occupe la branche horizontale
trouve jusqu'à la pointe du lobe temporal, (fit. 11, 13, 14.). La
zone
supérieure, à peu près totalement dépourvue de li
eure du noyau caudé (\. C.) qu'elle touche presque. Entre les deux-
zones
se trouve un court Fig. 9. DÉGÉNÉRESCENCE SEC
es, il n'y a plus de différence entre les IUi. des deux côtés. La
zone
dégénérée supérieure, passant en dessus de la poi
énérescence se subdivise dans une ré- gion plus frontale en a), une
zone
inférieure se rendant au lobe temporal ; b. une
ale en a), une zone inférieure se rendant au lobe temporal ; b. une
zone
supérieure allant il c. g. c. et au pul vinar ;
ceau d'association qui relie le lobe occipital et en particulier la
zone
visuelle au lobe temporal » . Ceci paraît être
e Fli. est un faisceau de projection reliant le Thalamus opt. il la
zone
corticale visuelle. Il se base sur l'examen de
orts intimes à travers le centre ovale, iraient se terminer dans la
zone
pararolandique sensitivo-motrice. Le phénomène
ré- tend en tirer. C'est la région des bandelettes externes ou la
zone
intermé- diaire qui sont les plus sensibles à l
une lésion lneutlo-sysLt;ntalil«e,enclogène,clui com- merce par la
zone
de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs d
zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs de la moelle (
zone
intermédiaire, bandelettes externes), et qui, sel
ntoxication syphilitique chroni- que des cordons postérieurs. Cette
zone
est sans exception, dans tous les (roubles des
utxe, ( : ltvosLel : ). On constate de plus chez ce malade, dans la
zone
du trijumeau, des Iroub les scnsi tifs (troubles
muscles de la face aux muscles de l'oreille. 11 peut arri\er que la
zone
réflexe soit plus étendue et que la piqûre du t
,-I1. Les libres endogènes grosses forment : a. un faisceau dans la
zone
cornu-commissu- rale ; h. le triangle médio-sac
quelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. V. Les
zones
de Lissauer sont constituées par des fibres endog
la bandelette externe, mais par les champs Postéro-eternca.- 1. La
zone
marginale de Weslphal, ou zone radiculaire anté
les champs Postéro-eternca.- 1. La zone marginale de Weslphal, ou
zone
radiculaire antérieure, ne contient, outre les li
espondant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la
zone
motrice. 11 faut distinguer avec le plus grand
es lignes du texte et gène la lecture de l'autre oeil dans toute la
zone
de projection. Si donc Valentine était vraiment
effet la formation, dans les conducteurs qu'ils cons- tituent,cles
zones
mauvaises conductrices que j'ai appelées lès ne
indigence intellectuelle du jeune homme ; il en esl de même pour la
zone
de 13roea et l'insula, quant il son langage. Il
ritation ; 2" Les seg- ments antérieurs de l'écorce conlicnnenl des
zones
dont l'irrita- tion fait fluor jusqu'à 'lU, 45,
individus. Celte période est moindre quand on ex- cite la première
zone
, [dus grande quand on excite la seconde ? 4" Cn
Les portions (l'u- rine recueillies après l'irritation des diverses
zones
corticales ne contiennent ni albumine, ni sucre
du mamelon. Au-dessus, sur une étendue de 2-3 cen- timètres est une
zone
d'hyperesthésie, L'étude histologique révèle un
dominent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise (
zone
postérieure exceptée) surtout au niveau du deux
e fonctionnellement les libres nerveuses sensitives situées dans sa
zone
d'action ; et qu'une telle injection pratiquée
térique, par Gar- gano, 239. ' FLECHXtc. Sur la doctrine de des
zones
perceptives et des zones associatives, par Bian
39. ' FLECHXtc. Sur la doctrine de des zones perceptives et des
zones
associatives, par Bian- chi, 137. Folie. Dram
et affections banales de l'appareildigestif, par Rouyer, 317. '
Zones
perceptives et asso- ciatives. Voir ilechiig.
ions de la vue et de l'ouïe observées. Les kystes trou- vés dans la
zone
rolandique des deux hémisphères expliquent l'épil
e et à gauche il existait des kystes dans le lobe temporal, dans la
zone
rolandique et au pôle frontal. Leur volume étai
et on voit en outre une raréfaction des fibres à myé- line dans la
zone
des faisceaux pyramidaux directs et croisés (fig.
aussi fortement dégénéré que dans les segments sus-jacents. Dans la
zone
des faisceaux pyramidaux croisés la disposition d
ns de Goll ont repris leur aspect normal sauf à la périphé- rie. La
zone
marginale des cordons antéro-latéraux montre enco
n dorsale, atténuation progressive au-dessus et au-dessous de cette
zone
). , Il est donc logique d'admettre que la diffu
e anté- rieure, elles sont séparées des fibres horizontales par une
zone
pâle. Les fibres myéliniques allant dans la moe
retournent en arrière, au-devant se rencontrent des deux côtés des
zones
pâles et fusiformes (partie de la substance gél
nant complètement disparu. Le plancher du 4e ventricule bordé d'une
zone
pâle et étroite est privé de myéline. Du milieu
ont le noyau, refoulé à une extrémité, est encore entouré par une
zone
formée de petits grains plus fortement teintés,
le nerveuse de l'écorce dont le noyau est à peine indiqué par une
zone
plus claire et dont le proto- toplasma est divi
u niveau de la partie externe de la fosse cérébrale antérieure, une
zone
assez étendue de pachyméningite adhésive unissait
lée, d'abord de la tumeur, en- suite de l'écorce cérébrale dans des
zones
plus ou moins rapprochées du néoplasme, puis de
virons des cloisons et sont peut-être un peu plus nombreux vers les
zones
périphériques de la tumeur, ce sont des vaisseaux
contrairement à ce qui se passe pour les vaisseaux, on remarque une
zone
, mince en comparaison de la paroi, se teintant be
eaucoup plus fortement, surtout par le mélange de Van Gieson. Cette
zone
, qui semble jouer le rôle de membrane endothéli
suc. La dure-mère adhère toujours à ces néoplasmes, tantôt par une
zone
assez étendue comme dans notre cas, tantôt par un
les aspects les plus intéres- sants de nos préparations. Dans la
zone
périnéoplasique,les lésions sont d'autant plus év
Cette chromatolyse existe constamment et à des degrés variables. La
zone
périnucléaire est ordinairement atteinte en derni
llule, il y a un cercle clair, périphérique, qui contraste avec une
zone
centrale plus foncée; au contraire le noyau est-i
traire, les plus volumineux sont ordinairement au dehors. Dans la
zone
paracentrale, les mêmes lésions se retrouvent à u
n degré moin- dre. H y a moins de cellules sans noyau, toutefois la
zone
de décoloration péri- phérique, l'absence de gr
oisième variété dans l'intérieur et autour des vaisseaux. Dans la
zone
occipitale nous observons le minimum des lésions.
ertaines .cellules offrent des altérations analogues à celles de la
zone
paracentale, d'au- tres au contraire paraissent
nt : 1° en une chromatolyse périphérique, ou plutôt n'atteignant la
zone
périnucléaire qu'en dernier lieu ; 2° diminution
i se teinte encore énergiquement et cons- titue autour du noyau une
zone
plus foncée. Plus en dehors, on trouve une colo
les lésions n'ont été retrouvées dans notre observation que dans la
zone
tout à fait voisine du néoplasme. Le reste de l'é
ion de produits toxiques sur les cellules de l'écorce. A côté de la
zone
péri-néoplasique, où nous avons retrouvé les al
riel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de troubles sensitifs, pas de
zones
hyperesthésiques ou hystérogènes. NOUVELLE ICON
de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les
zones
sensitivo-motrices de l'hémisphère droit. 1
pos- térieur, qui dans leur centre, des deux côtés contiennent une
zone
sans myé- line, avec une petite hémorrhagie. A
s cordons latéraux sont plus larges, on remarque à la périphérie, une
zone
pâle, correspondant aux pyramides. Au côté oppo
s au niveau de la région lombaire. Ces poils s'implantaient sur une
zone
assez limitée. Ils étaient si drus et poussaient
Femme de 45 ans, présentant au niveau de la région lombo-sacrée une
zone
de 15 centimètres de diamètre couverte de poils
s transformations du carti- lage de conjugaison se passent dans des
zones
nettement séparées entre elles, se succédant ré
cartilagineuses sont disposées sans ordre, ne for- mant jamais une
zone
sériée. Le cartilage s'ossifie par calcification
ïdes. « Ce qui frappe surtout, dit Spillmann, c'est l'absence de la
zone
d'ossification cartilagineuse, qui empêche l'ac-
; on perçoit, dans les 2e et 3e espa- ces intercostaux gauches, une
zone
de battements. La région du coeur est en- dolor
aire). On a constaté plusieurs fois une sensibilité, assez vive des
zones
pseudo-ovariennes. Pas de zones hystéogènes vraie
ois une sensibilité, assez vive des zones pseudo-ovariennes. Pas de
zones
hystéogènes vraies. Organes des sens. Champ vis
tiguïté, il partir de la tumeur et rayonnant autour d'elle dans une
zone
plus ou moins étendue, mais, au contraire, une le
. Dans notre observation, en dehors des lésions constatées dans la
zone
juxtanéoplasique, et sur la nature desquelles o
plètement décalcifiés. En dehors de l'enveloppe fibreuse,existe une
zone
épaisse fortement colorée par l'hé- matoxyline,
mbranes ménin- gées, ayant toujours comme siège de prédilection les
zones
péri et pava- vasculaires. III. - Les lésions
au de Flechsig que dans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La
zone
de sclérose du cordon postérieur est plus petit
sceau de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales supérieures la
zone
de sclérose occupe dans les cordons postérieurs
de la moelle et devient de plus en plus mince vers le centre. Cette
zone
de sclérose a la forme d'un cône. Les faisceaux c
iminué ; les sillons sont plus larges et plus profonds. On voit une
zone
non colorée entre les couches granuleuse et mol
tions, les sillons sont très larges. Dans l'écorce, existence d'une
zone
non colorée entre la couche granuleuse et la co
hés de la ligne médiane. Sur le côté supéro-externe nous voyons une
zone
oblongue dont les fibres sont bien colorées par
cédente rien ici n'indique la place du fais- ceau pyramidal. Aucune
zone
amyélinique, aucune sclérose n'indiquent la po-
re immédiatement en arrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une
zone
de fibres fines forme la bordure antérieure et an
nt en arrière du sillon antérieur, et de les voir se jeter dans cette
zone
qui forme la bordure antérieure etantéro-intern
commun que les stigmates du côté des seins chez les hys- tériques (
zones
hyperesthésiques et hystérogènes, zones frénatric
ins chez les hys- tériques (zones hyperesthésiques et hystérogènes,
zones
frénatrices, etc.). Mais il est relativement ex
val et pharyngien sont diminués, le réflexe cornéen est conservé.
Zones
hyperesthésiques et hystérogènes au niveau des de
stigmates permanents comme l'anesthésie profonde du côté droit, les
zones
hyperesthésiques des ovaires et des seins, le clo
ûlure, de lancées fulgurantes, ma malade présente manifestement une
zone
hétérogène profonde et une zone superficielle sur
a malade présente manifestement une zone hétérogène profonde et une
zone
superficielle sur l'aréole : la pression ou le
avait des mouvements res- semblant à la chorée. La superposition de
zones
hyslérogènes au gonfle- ment de la glande est e
t et les désordres objectifs de la sensibilité sur une partie de sa
zone
cutanée, voilà des données plus que suffisantes
ques ; d'un autre côté, l'hypoes- thésie est plus apparente dans la
zone
innervée par le cubital. Observation II. Le 2
s, les canaux de Havers sont au contraire très rétrécis. Il y a des
zones
compactes où ils ont entièrement disparu. En somm
sur quatre examens histologiques, a trouvé chaque fois, à côté des
zones
raréfiées, des zones d'ostéite néoformatrice ca
istologiques, a trouvé chaque fois, à côté des zones raréfiées, des
zones
d'ostéite néoformatrice caractérisées par le ré
e par travées le long des vaisseaux, et ceux-ci sont entourés d'une
zone
étoilée de sclérose, surtout dans la substance
'entre elles est rétrécie par la prolifération endothéliale, et une
zone
de sclérose périartérielle se continue avec la sc
ements. A la région cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de
zones
pâles dans la substance blanche. Au carmin, on
squ'aux dernières sa- crées.une légère raréfaction des fibres de la
zone
de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon
zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon postérieur, la
zone
spongieuse de la substance gélatineuse la corne
plus marquée à ce point que dans les deux cordons voi- sins. Cette
zone
, on le sait, formée de fibres très fines provenan
s abolis. En tout cas, il ne s'agit là que d'une lésion légère. Les
zones
radiculaires internes sont d'ailleurs abso- lum
erveuses, dans la partie moyenne des cordons postérieurs et dans la
zone
radiculaire postérieure. Les zones radiculaires
es cordons postérieurs et dans la zone radiculaire postérieure. Les
zones
radiculaires moyennes étaient partout conservées.
aches vineuses ont foncé de couleur. Les cheveux sont décolorés par
zones
, et de blond foncé sont devenus d'un blond plus
tion s'accompagne d'autres troubles trophiques : la décoloration en
zone
des cheveux, les taches pigmentaires vineuses d
; la face est souvent grimaçante. Pas de troubles oculaires, ni de
zones
hystérogénes. L'état de X... a peu varié au poi
il est obnubilé seulement as la hanche. En outre D... présente deux
zones
hystérogènes (la pression à ce niveau amène l'a
pharyngé, le sens musculaire et articulaire; qu'il pré- sente deux
zones
hystérogènes, que son champ visuel est rétréci, q
visuel et l'oeil n'ont pu être examinés, car ce malade présente des
zones
hystérogènes rétiniennes qui l'empêchent de fix
ement abolis dans la moitié gauche du corps. Il existe en outre des
zones
hystérogènes, l'une au niveau du pli de l'aine du
it remplacé 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1 par une
zone
douloureuse située au niveau de la colonne lombai
une zone douloureuse située au niveau de la colonne lombaire; cette
zone
hystérogcne n'existe plus. Ces points sont très s
voquent des attaques/si la pression persiste. En outre, il existe une
zone
spasmo-frênatrice au niveau du pli de l'aine du
eau du pli de l'aine du côté droit, dans une région symétrique à la
zone
spasmogène du côté gauche. Sa compression arrête
'appui de notre thèse : l'hémianesthésie sensitivo-sensoriclle, les
zones
hystérogènes et spasmo- frénatrice, le mutisme
totale. Le sens musculaire est conservé. Anesthésie pharyngée. Deux
zones
hystérogènes dans la fosse iliaque droite et dans
ulaire et articulaire est conservé mais très affaibli à droite; les
zones
hystérogènes n'existent plus; il a toujours des
ystérique : l'hémianesthésie cutanée, l'anesthésie pha- ryngée, les
zones
hystérogènes, etc.. en sont une preuve évidente.
nes thoraciques et abdominaux com- plètement sains. Mais il y a des
zones
d'hyperesthésie douloureuse, au-des- 'sous des
bsence des stigmates sensitivo-sensoriels; elle avait cependant des
zones
d'hyperesthésie douloureuses. En outre, tout ici
rdue. Sensibilité à la douleur et à la tempéra- ture très diminuée.
Zone
d'anesthésie plus marquée au niveau du scapulum
. Zone d'anesthésie plus marquée au niveau du scapulum droit; cette
zone
dessine à peu près l'os sous-jacent. L Anesthés
mie linéaire est aussi le procédé à suivre si l'on veut débrider la
zone
motrice ou rolandique, ou mettre à décou- vert
iétal, j'ai confectionné un lambeau en fer à cheval en enlevant une
zone
du crâne parlant de la base de la suture fronto-s
r, durant les phases d'aggravation qui succèdent à l'excitation des
zones
hystérogènes, aux attaques, aux émo- tions, etc
luence des attaques, d'une émotion même légère, de l'excitation des
zones
hystérogènes, qu'il peut persister des années e
us les autres symptômes possibles de la névrose, les stigmates, les
zones
hystérogènes, les attaques convulsives anté- ri
la fixation du regard déter- mine rapidement l'attaque convulsive.
Zone
hystérogène. On peut aussi provoquer l'attaque
du flanc droit, soit dans le flanc gauche. La compression de cette
zone
, tout comme la fixation du regard sur un objet
n colère, ou contrarié. Il s'accroît surtout lorsqu'on comprime les
zones
hystéro- gènes qu'il présente au niveau des fla
cas particu- lier, le début subit du tremblement, l'existence d'une
zone
hystérogène, l'action excitatrice exercée par l
stérogène, l'action excitatrice exercée par la compression de celle
zone
sur le tremblement, le rétrécissement du champ
droite. 2° Un rétrécissement concentrique du champ visuel. 3° Une
zone
hystérogènc siégeant dans le flanc droit. La comp
e hystérogènc siégeant dans le flanc droit. La compression de celte
zone
détermine une sensation de boule qui remonte au c
diagnostique être provoqué, arrêté, exagéré par la compression des
zones
hystérogènes. Il est plus rapide elplus régulie
des phénomènes d'aura. On déterminerait même une attaque. C'est une
zone
hystérogène. D'autre part, il n'y a pas de défo
ssi haut que les figures 8 et 9 l'indiquent. Il y a en ce point une
zone
où la sensibilité est simplement affaiblie. Exp
essous de l'ombilic. Parfois on trouve au-dessus de cette ligne une
zone
étroite d'hyperesthésie. Non seulement l'anes-
ne se produit pas, quelque insistance que l'on mette à comprimer la
zone
ovarienne. La sensibilité générale est partout
r toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires.
Zone
hystérogène. Lorsqu'on exerce une pression un peu
nt, elle sanglote. Parfois l'attaque recommence. La compression des
zones
hystéro- gènes déjà indiquées ne l'interrompt p
e membre supé- rieur droit partir du tiers inférieur du bras. Cette
zone
d'analgésie est limitée par une ligne circulair
out le membre inférieur gauche, la plante du pied exceptée ; 3° une
zone
hystérogène correspondant au pli de l'aine du c
droit. Nous n'avons pas pu constater chez ce malade l'action de la
zone
hysté- rogènc sur ce tremblement, car cette zon
ade l'action de la zone hysté- rogènc sur ce tremblement, car cette
zone
est très sensible; la plus légère pression prov
ngue ne présentent aucun trouble de la motililé. Il n'existe aucune
zone
hystérogène. La malade n'a jamais eu d'attaques
raits sont irréguliers, fine- ment tremblés. La compression de la
zone
hystérogène détermine l'accroissement de l'am-
es points rétro-maHeoIaircs interné et exlerné du côté droit. Ces
zones
et trajets douloureux ne semblent pas correspondr
ccompagnées de perte de connaissance), l'absence d'anesthésie et de
zones
liysléro- gènes, le diagnostic de tremblement h
ose des cordons postérieurs sur toute leur étendue; altérations des
zones
radiculaires surtout dans la région dorsale, pe
guë au noyau triangu- laire et qui représente la continuation de la
zone
radiculaire spinale. La racine ascendante de la
ure postérieure et s'étendait latéralement jusqu'au voisinage de la
zone
radiculaire; il partir de la région dorsale la
bas au noyau du moteur oculaire externe et étaient entourées d'une
zone
de ramollissement inflammatoire. GEORGES GUiNON
ou- leur. Cette analgésie monoplégique se continue en haut avec une
zone
inter- médiaire où la douleur est perçue, mais
ivement que dans les régions symétriques du côté opposé. Dans cette
zone
de transition, les sensations dou- loureuses de
e l'analgésie. Il y a également, pour ce mode de sensi- bilité, une
zone
de transition où les perceptions deviennent progr
s sont larges, égales; elles réagissent normalement. Il existe deux
zones
douloureuses profondes, une au niveau de la rég
autre très étendue au niveau des dernières côtes du côté droit. Ces
zones
ne sont pas hystérogènes. La région lombaire pr
existait du côté gauche a fait place à une analgésie; il reste une
zone
hyperesihésique interscapulaire qui existait dé
sibilité. - La sensibilité est'normale dans tout le corps, sauf des
zones
d'hyperesthésie aux deux genoux et au cou-de-pied
rcussion de la colonne vertébrale ne semble pas douloureuse; pas de
zones
douloureuses. Rien aux yeux. `1cJ novembre 1887.
'hyperesthésie varient assez souvent de siège. Il existe encore une
zone
hystérogène dou- loureuse au niveau de la régio
particulier aux mains. Anesthésie pharyngée. Il existe en outre une
zone
douloureuse au niveau des régions dorsale et lo
ur toute la surface du corps. Anesthésie pharyngée. -Il existe deux
zones
hystérogènes : l'une dans le flanc droit, l'aut
uver de la céphalalgie et une menace d'attaque comme s'il avait des
zones
hystérogènes sur la rétine. Il a en plus une sort
rs celle pression profonde provoque une vive douleur. Il existe une
zone
douloureuse dans l'abdomen, qui est le siège d'nn
ocalisée à une région ; il est douloureux dans sa tota- lité. Cette
zone
ne produit pas les phénomènes de l'aura. Il y a e
te zone ne produit pas les phénomènes de l'aura. Il y a encore deux
zones
analogues sur la colonne rachidienne, au niveau d
e avec cette idée. D'autre pari, l'hystérie semble démontrée par la
zone
douloureuse du rachis, par la distribution de l
hystérique est tout à fait spéciale ; elle est représentée par une
zone
douloureuse, cutanée ou musculaire plutôt qu'osse
rarement complète dans le tabes, elle y est en outre distribuée par
zones
irrégulières, par plaques, avec une cer- taine
dys- chromalopsie. Le réflexe pharyngé est conservé. 11 existe deux
zones
dou- 418 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
E DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 419 hémihyperesthésie,
zones
douloureuses, crises de pleurs, etc. L'ori- gin
cilement et est animée de mouvements spasmodiques. Il existe deux
zones
hystérogènes, l'une dans le milieu de la colonne
s marquée du sens articulaire. Abolition du réflexe pharyngé. - Une
zone
douloureuse, non hystérogène, au niveau de la t
ésies dans la glioma- tose se disposent, comme dans l'hystérie, par
zones
géométriquement délimitées occupant un segment
é ainsi. Au début, lorsque cet homme n'avait pas d'attaques, pas de
zones
hystérogènes, pas dc troubles des sensspé- ÉTUD
aduellement avec les régions intactes. Il y aurait là une espèce de
zone
de transition graduelle qu'on ne retrouverait pas
ne lui sont pas exclusives, et elles ne sont pas localisées il une
zone
limitée. Si l'on avait tenté une intervention c
sur- face est violacée, piquée de points noirâtres, entourée d'une
zone
d'érythème. Pas de sucre, ni d'albumine dans le
re, une fois apparue, suit graduellement sa marche, s'entoure d'une
zone
érythémateuse, inflammatoire; les parties sphac
n franc et couvertes d'une croûte noirâtre. Chacune, entourée d'une
zone
érythémateuse. Insensibi- lité de la peau envir
re) et une partie rapprochée (surtout antérieure), séparées par une
zone
pauvre en cellules. Dans la pre- mière on renco
es du segment rapproché (antérieur) du noyau du même côté ; à cette
zone
appartiennent encore une partie des cellules la
re décrit dans le noyau de Burdach et aux envrions on rencontre une
zone
qui parait être en rapport cons- tant avec l'in
e de la coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la
zone
postérieure est la plus altérée. Il existe une
l'irritation de l'écorce. · Objectivement, on trouve souvent des
zones
d'hyperesthésie où la moindre pression détermin
ù la moindre pression détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des
zones
où il y a des troubles paresthésiques, rarement
vu une gomme guérir sans opération. Existe-il dans l'encéphale des
zones
où une gomme puisse impunément se développer, d
nomènes de, déficit ? On l'a dit souvent, et on a désigné du nom de
zones
latentes certaines portions qui répondent à peu
m de zones latentes certaines portions qui répondent à peu près aux
zones
que Flechsig', contrairement à Déjerine2, consi
considère comme dépourvues de fibres de projection, et qualifie de
zones
d'asso- ciation. Sans doute les zones de proj
projection, et qualifie de zones d'asso- ciation. Sans doute les
zones
de projection ont une symptomato- logie plus gr
empêchent l'influx nerveux d'arriver à l'écorce ou d'en sortir. Les
zones
d'association, les sphères psychiques de Flechs
us difficiles à dépister. Mais nous ne croyons pas qu'il existe des
zones
véritablement latentes, les admettre serait aff
plus ou moins accusés suivant le siège de la lésion au niveau d'une
zone
de- pro- jection ou d'une zone d'association. N
e siège de la lésion au niveau d'une zone de- pro- jection ou d'une
zone
d'association. Nous nous sommes déjà expliqués
ne zone d'association. Nous nous sommes déjà expliqués au sujet des
zones
dites latentes : cette latence résulte seulemen
e la face postérieure des cuisses et de la face externe des jambes (
zone
de distribution du plexus sacré) ; au- dessus d
uvaient des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411
zones
où la substance grise était granuleuse en partie,
ltat de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une
zone
motrice, produit l'épilepsie jacksonieune. Ici c'
horizonta- lement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une
zone
atrophiée de 3 centimètres de largeur. T' est a
oscopique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la
zone
motrice, de l'insula, de la région occipitale suf
tement détruit; le cordon de Burdach est aussi envahi, ainsi que la
zone
de Lissauer et la corne postérieure. A la régio
un nodule sous-cutané de lajambe voit se développer tout autour une
zone
où les douleurs sont telle- ment aiguës qu'une
e ; du reste le troubles de la sensibilité n'affectent nullement la
zone
de distribu- tion de l'un des filets nerveux de
es ses formes. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions de la
zone
motrice corticale ; par Henri Verger L'auteur
, que l'auteur va chercher les modifications dans les lésions de la
zone
corticale motrice. De ses expériences, faites s
ésultats. Chez l'homme, comme chez le chien, dans les lésions de la
zone
dite motrice du cerveau, la sensibilité tactile e
entres de perception des sensations et qu'on ne peut placer dans la
zone
rolandique que les seuls centres d'association
cons- tante, à la périphérie des cellules moyennes et grosses, une
zone
marginale, d'environ 10 de largeur, très dévelo
du prolongement nerveux. Autour du noyau, enfin, existe une petite
zone
homogène, claire et dépourvue de granules. Quan
piqûre, au froid et à la chaleur. A cette même époque, on note une
zone
d'hyperesthésie sus-mammaire et ovarienne gauch
e une zone d'hyperesthésie sus-mammaire et ovarienne gauche, et une
zone
douloureuse à l'angle inférieur de l'omoplate g
r la méthode de Wei,ert-Pal, dans les deux cordons postérieurs, une
zone
pâle à forme triangulaire dont la base est diri
e et le sommet vers la commissure postérieure. La pâleur de cette
zone
relève d'une part de la finesse des fibres nerv
utre part, de la disparition de quelques- unes d'entre elles, cette
zone
se montre aux régions lombaire et dorsale avec
dant dégénéré constitue un faisceau plus volumineux qui occupe la
zone
de Lissauer et la zone radiculaire postéro-intern
ue un faisceau plus volumineux qui occupe la zone de Lissauer et la
zone
radiculaire postéro-interne : dans cette derniè
nue à mesure que l'on monte; 3° Il n'y a de déérescetice ni dans la
zone
radiculaire antérieure du cordon postérieur, ni
un faisceau plus grêle, plus mince, situé en grande partie dans la
zone
de Lissauer et empiétant un peu sur la zone rad
n grande partie dans la zone de Lissauer et empiétant un peu sur la
zone
radiculaire postéro-interne ; 5° pour le faisce
<</, avril 1897). E. B. LXV111. D'UN faisceau spécial de la
zone
latérale DE la moelle épinière; par le D1' Alex
de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau cérébelleux direct,
zone
externe de Lissauer et zone limitante latérale,
croisé, faisceau cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et
zone
limitante latérale, aussi appelée zone marginale
zone externe de Lissauer et zone limitante latérale, aussi appelée
zone
marginale ou faisceau profond du cordon latéral
n dégénérescence mais que cette dernière affecte aussi en partie la
zone
limitante latérale, dont la partie antérieure mon
taux antérieurs et latéraux, tandis que la partie postérieure de la
zone
forme contraste avec la partie antérieure en de
a corne antérieure de la corne postérieure. Il parait donc que la
zone
limitante latérale doit être dès lors considéré
minuée aux deux membres inférieurs, presque abolie dans cer- taines
zones
sans disposition régulière, ne répondant ni à des
lus que d'hypoesthésie : il n'y a pas de transition brusque, pas de
zone
d'hyperesthésie. Il semble . qu'il y ait un cer
contenant de la soupe pour la sensation de chaud), sauf dans une
zone
étroite allongée à la face interne du bras, où le
es muscles. Les troubles de la sensibilité sont iden- tiques : même
zone
d'hypoeslhésie à la face interne du bras. yd<
e. 7 septembre. A gauche, l'hypoesthésie au contact s'étend à une
zone
plus large : face interne du bras, de l'avant-bra
ion dorsale, l'anesthésie est remplacée par de l'hyperesthésie ; la
zone
de l'hyperesthésie par de l'anesthésie. b). La
auteur à laquelle nos coupes aient porté, d'excavations, ni même de
zones
où la tumeur parût dégé- nérer ou se ramollir ;
as là un artifice de préparation, si la chute des cellules dans ces
zones
que nous regardons comme fibrillées, n'a pas si
s toniques et cloniques comme celle qui résulte de l'excitation des
zones
corticales motrices. Cela ne veut pas dire que
dans la commotion cérébrale, même chez les animaux privés de leurs
zones
corticales motrices ; on les observe encore qua
oniques à succession ra- pide, caractéristiques de l'irritation des
zones
corticales motrices, ne peuvent être engendrées
é dans tous ses modes, sauf en ce qui concerne la faradisation; une
zone
identique existe à gauche, mais elle ne dépasse
ieure, s'infléchit en dehors et occupe le bord. Mais, à droite, une
zone
indemne, étroite, occupe la limite intermédiair
rdacli; au niveau du quart antérieur des cordons postérieurs, cette
zone
disparaît. Le faisceau du cordon latéro-cérébelle
t dégénéré, si ce n'est un court segment de celui-ci con- tigu à la
zone
marginale de Lissauer. Dégénérescence assez mar-
d'un nerf ou son trajet; 2° ceux dans lesquels le ncevus occupe la
zone
intermédiaire entre deux terri- toires nerveux
celui-ci. Ce sont les épilepsies réflexes, preuves évidentes que la
zone
épileptoèiie peut être trouvée presque partout su
toniques et cloniques, ceux 506 BIBLIOGRAPHIE. qui partent de la
zone
motrice ou des parties avoisinantes, et doivent
uit que sous l'in- fluence d'une lésion siégeant directement sur la
zone
motrice. D'où l'indication absolue de l'interve
x ». Viennent ensuite toutes les tumeurs corticales situées dans la
zone
motrice, les cicatrices fendant l'écorce mo- tr
lésion. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la
zone
motrice, l'aura sensitive précède les convulsio
aient. Une troisième inter- vention est décidée et, en explorant la
zone
motrice, M. Winkier trouve au niveau du lobule
ermination de ce premier foyer, qui peut être situé en dehors de la
zone
motrice, que dépend le résul- tat de l'opératio
, puis de la présence de stigmates hystériques et en particulier de
zones
hyperestésiques du cuir chevelu. La pseudo-méni
hives, 2e série, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions de la
zone
motrice corticale, par Verger, 348. Anévrysme
e secondaire de la -. par Soukhanofï, 402. Faisceau spécial de la
zone
laté- rale de la -, par BrLice, 403. Tumeur d
eprésentant la projection des champs visuels de l'OD et de l'OG. La
zone
blanche marque le champ visuel pour le blanc. L
s du champ visuel. Il existe, dans l'intérieur du champ visuel, une
zone
au niveau de laquelle un objet n'est point perç
es cas, il peut se dévelop- per jusqu'à ne laisser subsister qu'une
zone
étroite de vision centrale. On voit même le rét
le champ visuel n'existe pour ainsi dire plus, il est réduit à une
zone
très étroite entourant le point de fixation. Si
omplètes en degré, dans des hémianopsies en voie de régression; une
zone
achromatopsique a souvent t été précédée par un
t une aphasie par défaut d'impression. Elle dénote une lésion de la
zone
de Wernickc. L'anarthrie, dans laquelle le mala
e temps vient toucher légèrement, prendre un simple contact avec la
zone
de Wernicke,, l'unique partie du cerveau présid
tale, un centre postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la
zone
.* visuelle occipitale. Les impressions sensit
ntiels. 4, fibres lon- gues se rendant après entrecroisement à la
zone
sensitivo-motrice de l'écorce. 5, fibres cérébe
ébelleuse, aux noyaux rouges,, puis par la capsule in- terne à la
zone
sensitivo-motrice du cerveau. a, nerf cochléa
résulte d'un obstacle quelconque au passage du courant d'air vers la
zone
olfactive. Cet obstacle. pourra être une atrési
nde valeur à la recherche des stigmates, mais on pourra déceler des
zones
hysterogenes. Le diagnostic de l'ictus épilepti
inal et la flexion des orteils, parfois enfin, par excitation d'une
zone
hystérogène, couper d'une crise convulsive le som
prononcée. Elle dépend dune lésion en foyer située au niveau de la
zone
lenticulaire (Pierre Marie) de l'hémisphère gauch
e la zone lenticulaire (Pierre Marie) de l'hémisphère gauche, celte
zone
, étant constituée par un quadrilatère cérébral
sie, anarthrie de Pierre Marie), lorsque les lésions intéressent la
zone
lenticnlaire ou la zone de Wernicke. Mais, en d
Marie), lorsque les lésions intéressent la zone lenticnlaire ou la
zone
de Wernicke. Mais, en dehors de ces cas particu
estation dysartbrique siège sur l'hémisphère droit, au niveau de la
zone
correspondante du langage sur l'hémisphère gauc
semblable. Les lésions qui provoquent son apparition intéressent la
zone
temporo-pariétale. En avant de celle zone, dans
parition intéressent la zone temporo-pariétale. En avant de celle
zone
, dans un quadrilatère (Pierre Marie) limité par
llll ? le pied de la couronne rayonnante. Un foyer situé dans cette
zone
provoque l'nraarllcrie. Celle I. Ces mouvements
Marie, deux foyers distincts sont nécessaires, l'un intéressant la
zone
lenticulaire, l'autre la zone temporo- pariélal
sont nécessaires, l'un intéressant la zone lenticulaire, l'autre la
zone
temporo- pariélale de Wernicke. Dans le. premie
hrie de Brocaap)iasiede Wernicke) dans le second. En dedans de la
zone
de Wernicke. tout foyer intéressant les faisceaux
ent d'une destruction, par hemorrhagie ou par ramollissement, de la
zone
de Wernicke de l'hémisphère gauche chez les droit
chez les droitiers, de Ihemi- sphère droit chez les gauchers. Celle
zone
comprend le gyrus suprainar- ginalis (pariétale
rement le pied de ces dernières circonvolutions. La lésion de celle
zone
ne détermine pas d'hémiplégie. Celle-ci dépend
ussi, du moins au début, des trou- bles relevant de la lésion de la
zone
de Wernicke adjacente. Aphasie chez les gaucher
se confondre avec celui de la voie prin- cilalu, pour atteindre la
zone
sensitive corticale. je Centres de réception co
corticale. je Centres de réception corticaux. La topographie de la
zone
sensitive, au niveau du cortex, comme du reste
la zone sensitive, au niveau du cortex, comme du reste celle de la
zone
motrice, est une question actuellement à l'ordr
dualiste (Charcot, Ballet, Redlich, von Monakow) soutenant que .la
zone
sensitive dépassait, les limites de la zone mot
akow) soutenant que .la zone sensitive dépassait, les limites de la
zone
motrice, en arrière dans la région du lobe parié-
la circonvolution pariétale ascendante ne faisait pas partie de la
zone
motrice; cette dernière s'étendant uniquement e
ienne conception classique sur les localisations corticales : 1° La
zone
motrice est cantonnée en avant du sillon de Ilola
ar excellence. La participation de la pariétale ascendante il cette
zone
est, niée par les uns, considérée comme très mi
onsidérée comme très minime par d'autres (Rossi et Roussy). 2° La
zone
sensitive est limitée au niveau du-cortcx, en arr
uer sur la peau, avec un crayon dermogra- phique, les limites de la
zone
anesthésique ou hypcrcsthésique. On se rappelle
u hypcrcsthésique. On se rappellera, au cours de cet examen, qu'une
zone
anesthésique s'étend légèrement quand on l'expl
trécit dans le cas contraire ; on devra donc, avant de délimiter la
zone
anesthésique, faire l'épreuve dans les deux sen
(fracture de la voùte crânienne, etc.), lésion qui vient frapper la
zone
corticale sensitive elle-même ou les voies de c
- thésie empiète sur le côté corres- pondant, sous la forme d'une
zone
d'hypoesthésie occupant le membre inférieur.
eresthésie pour tous les modes de sensibilité superficielle; b) une
zone
d'anesthésie étroite, transversale, faisant suite
thésiques, et située juste au-dessus d'elle; c) enfin, une nouvelle
zone
hyperesthésique surmontant la précédente; d) la
) ; .. c) une bande étroite d'hyperesthésie légère, au-dessus de la
zone
anes- thésique; .. d) l'intégrité parfaite de
jours. A gauche, -anesthésie très nette jusqu'au niveau de l'aine,
zone
d'hypoesthésie au-dessus, surmontée elle-même d'u
aine, zone d'hypoesthésie au-dessus, surmontée elle-même d'une petite
zone
d'hyper- esthésie (en pointillé). (Cas nlén...,
de terminer ce qui a trait à la topographie de la distribution des
zones
anesthésiques dans les affections de la moelle, r
u tronc; il, 2, 5, centres métamériques du membre supérieur; z, ? s",
zones
de sensibilité circulaire du membre supérieur c
ins) d'après la loi établie par Sherrington, de l'empiétement de la
zone
de distribution cutanée d'une racine sur les zo
empiétement de la zone de distribution cutanée d'une racine sur les
zones
de distribution des deux racines adjacentes (voit
former la queue de cheval. Examinons quelle est la topographie des
zones
d'anesthésie pour cha- - C.111-le des racines d
u niveau du ;le segment lombaire), l'anesthésie occupe, en plus des
zones
aneslhési- ques précédentes, celle de distribut
ieures précises de L,; sont encore incertaines ainsi que celles des
zones
respectives de L. et L4. (Voir à ce propos les di
médullaires. On sait que chaque segment médullaire correspond a une
zone
de projection cutanée ayant la même topographie
s nerfs atteints. Lorsque plusieurs nerfs sont pris (névrites), les
zones
d'anes- thésie, correspondant au territoire d'i
Elles sont habituellement localisées et on a longtemps décrit les «
zones
hysté1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont
ocalisées et on a longtemps décrit les « zones hysté1'ogènes » ou «
zones
spasmogènes », dont la pression provoquait, pen
dont la pression provoquait, pensait-on, l'attaque hystérique. Ces
zones
ne sont en réalité que le ré- sultat de l'auto-
e anglais, Henri Ilead('), a attiré l'attention sur la présence des
zones
ly-perestllésidues cutanées dans les affections v
toujours, suivant cet auteur, clans les affections viscérales, des
zones
d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les membres
zones d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les membres et la tête,
zones
dont la topographie est directement en l'apport a
d'eau tiède. Les réflexes cutanés à ce niveau sont exagérés. Ces
zones
d'hyperesthésie clans les affections viscérales p
ésentent la même topographie et les mêmes maxima douloureux que les
zones
érup- tives du zona; l'élude de la sensibilité
rnière affection a donc pu servir à établir les limites exactes des
zones
hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres,
nes hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres, Ilead décrit les
zones
suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,), zone dors
. Sur le tronc et les membres, Ilead décrit les zones suivantes :
Zone
dorso-cuhitale (D,), zone dorso-hrachiale (\)2)'
mbres, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,),
zone
dorso-hrachiale (\)2)' srapulo-h\1lnérale : (IL
(Du), sacro- fémorale (D,2), génito-crurale (L,). Il n'y a pas de
zone
hyperesthésique correspondant aux 2e, 5e, 4e seg-
ndant aux 2e, 5e, 4e seg- ments lombaires; au-dessous on trouve les
zones
de Lez, de S,, de S2' de S., de S, (sacro-anale
,, de S2' de S., de S, (sacro-anale). Au niveau de chacune de ces
zones
, il existe deux ou trois points de douleur maxi
il existe deux ou trois points de douleur maxima. Ces différentes
zones
sont hyperesthésiées en totalité ou partiellement
dernier cas, on ne retrouve que les deux ou trois points maxima par
zone
. La limite supérieure et inférieure de ces zones
s points maxima par zone. La limite supérieure et inférieure de ces
zones
est absolument nette, et il n'y a pas, comme da
s les unes sur les autres; aussi, d'après Ilead, la topographie des
zones
hyperesthésiques est-elle segmentaire et non ra
e lésé. Dans les cas de trauma- tisme de la moelle, on retrouve des
zones
hyperesthésiques ayant la même topographie que
du cou, de la face et du crâne, il existe également de nom- breuses
zones
hyperesthésiques : zones fronto-nasale, orbitaire
crâne, il existe également de nom- breuses zones hyperesthésiques :
zones
fronto-nasale, orbitaire moyenne, temporo-front
-labiale, mentonnière, steI'11O-lllastoïdienne, sterno-nucbalc. Ces
zones
cepilaiiqucs répondent à des affections de voisin
s affections des viscères thoraciques ou abdominaux, on observe des
zones
céphaliques hyperes- thésiques. Ilead insiste
par la douleur réfléchie (douleur sympathique), qu'il rapproche des
zones
hyperalgésiques. Nous ne pouvons faire ici la d
ralgésiques. Nous ne pouvons faire ici la description détaillée des
zones
hyperes- thétiques décrites par Ilead dans les
le siège d'une affection viscérale. Malheureusement, jusqu'ici, les
zones
hyperesthésiques de Ilead n'ont pas été retrouv
e, n'a pas la même valeur objec- tive que celle de la recherche des
zones
anesthésiques, connue le l'ait remarquer Thornb
ie. Dans l'hystérie, elle est presque constante, et s'accompagne de
zones
hyperesthésiques douloureuses, désignées sous l
ps, à la face, à la nuque, aux membres, au coccyx, sous la forme de
zone
douloureuse limitée, ne répondant pas à un terr
BILITÉ SUBJECTIVE. 577 tifs répondent, au niveau de la cuisse, à la
zone
d'innervation cutanée du nerf fémoro-cutané. ..
si que l'on peut observer lIes 'hyperesthésies douloureuses dans la
zone
d'inner- vation du brachial cutané interne, de
al cutané interne, du rameau cutané interne du nerf radial, dans la
zone
d'inner- vation cutanée du radial, du cubital,
ement, d'engourdissement, ou des douleurs souvent violentes dans la
zone
d'innervation de la branche crurale du fémoro-c
e, de lésions discrètes méningo-vasculaires ou de l'intégrité de la
zone
d'en- trée des racines postérieures, des bandel
de l'hyperes- - lhésie avec une zonesus-jacente d'anesthésie et une
zone
d'hyperesthésie supérieure à la précédente; enf
à un point de départ extra-plantaire. Il démontre seulement que la
zone
d'excitation du réflexe de Babinski n'est pas lim
ubstance hlanche de la moelle par où pénètrent ces libres; c'est la
zone
d'entrée des racines ou bandelettes externes de C
es racines ou bandelettes externes de Char- col et Pierre ! . Celte
zone
est limitée par les cornes postérieures en dehors
s une paralysie que l'on observe mais une anesthésie localisée à la
zone
de distribution de la Ve paire. Parfois la lésion
e quand il existe des lésions de l'hémisphère gauche intéressant la
zone
du langage. Parfois, cependant, ces malades ont l
sie prononcée surtout vers le haut de la région. Au-dessus de cette
zone
d'hypcresthésie se décèle une bande étroite d'ane
mais sans contracture. La peau de celle région est anesthésique. La
zone
insensible remonte moins haut que l'hyperes- th
insertion sur le cubitus. La longue portion s'insère sur la petite
zone
triangulaire située au-dessous de la cavité glé
muscle orbi- culaire des paupières est divisé généralement en deux
zones
concentri- ques : une zone orbilaire ou externe
upières est divisé généralement en deux zones concentri- ques : une
zone
orbilaire ou externe qui répond au pourtour de l'
e zone orbilaire ou externe qui répond au pourtour de l'orbite, une
zone
palpébrale ou interne qui répond aux paupières. L
t se fixer à la' face externe de la branche du maxillaire depuis la
zone
d'insertion du faisceau superficiel jusqu'à la
OCALISATIONS CORTICALES MOTRICES D'après les auteurs classiques, la
zone
corticale motrice siégerait au niveau des circo
nte) et du lobule paracentral ; certains anatomistes étendent cètte
zone
sur le pied de la première et de la deuxième ci
pariétale supérieure. Trois territoires principaux existent dans la
zone
corticale motrice : le territoire du membre inf
e. jack-sonieniie et les résultats de l'excitation électrique de la
zone
corticale motrice, les auteurs (Keen; Mills, Ho
re du sillon de Rolando ; dans TOPOGRAPHIE CEREBRALE. " 595 cette
zone
prérolandique ils ont localisé, ainsi que le mont
le cerveau humain, admettent également le siège prérolandique de la
zone
motrice. 0. Vogt, Campbell, Broadmann, Gordon H
landique ainsi que le pied de Fi et de F, participent aussi à cette
zone
motrice. Rossi et Roussy font quelques réserves
erves sur la participation possible de la pariétale ascendante à la
zone
motrice. De toutes ces constatations cliniques
la lésion siège à-la partie supérieure, moyenne ou inférieure de la
zone
rolan- dique. Les paralysies très limitées par
des membres, d'après cet auteur, sont [G. GUILLAIN,] Pig. 4 et 5.
Zone
corticale motrice du chimpanzé (d'après Grunbaum
'après l'observation des sujets trépanés (d'après Lamacq) ; 4° La
zone
corticale motrice du chimpanzé, d'après Grunbaum
les chez l'homme d'après Ch. K. llills (1904). Les rapports de la
zone
rolandique avec la surface du crâne sont im- po
e coude, vers la main. Les irradiations se montrent parfois dans la
zone
radiculaire externe, parfois dans la zone radic
montrent parfois dans la zone radiculaire externe, parfois dans la
zone
radiculaire interne, parfois aussi tout le memb
as de paralysie du nerf médian. Quand ils existent, ils occupent la
zone
de distribution cutanée du nerf (partie externe
frontale ascendante : de plus cote MALADIES DU LARYNX. 657 de la
zone
qui commandait les. mouvements d'adduction, ils t
ntricule. On connaît la figure clas sique de Semon qui a figuré une
zone
relativement très étendue qui com- mande l'abdu
ion bilatérale des cordes, c'est-à-dire l'acte respiratoire, et des
zones
plus petites qui correspondent à l'adduction bila
n et Horsley). - CS, sillon cru- cial; Coi-8- sillon coronaire; ab,
zone
de l'abduction; ad, zone de l'adduction; ac, zone
on cru- cial; Coi-8- sillon coronaire; ab, zone de l'abduction; ad,
zone
de l'adduction; ac, zone de l'accélérai ion res
llon coronaire; ab, zone de l'abduction; ad, zone de l'adduction; ac,
zone
de l'accélérai ion respiratoire. C58 TROUBLES
jumeaux postérieurs; es, calamus scriplorius ; ac, aile grise.
Zone
d'vhdactiowbidatérale. Zone d'adduction bilatér
lamus scriplorius ; ac, aile grise. Zone d'vhdactiowbidatérale.
Zone
d'adduction bilatérale. Zone d'aidtiction unila
grise. Zone d'vhdactiowbidatérale. Zone d'adduction bilatérale.
Zone
d'aidtiction unilatérale. Zone donnant la posil
le. Zone d'adduction bilatérale. Zone d'aidtiction unilatérale.
Zone
donnant la posilion'ca- davérique. .MALADIES
e domaine du nerf sensitivo-moteur altéré, exception faite pour les
zones
limitantes de ce domaine à cause de la transmis
interosseux; les troubles sensitifs et trophiques sont limités à la
zone
du cubital et du brachial cutané interne; des p
teurs et quadriceps fémoral. Les troubles sensitifs siègent dans la
zone
de distribution des mêmes nerfs. Les compressio
assis, car la lésion médullaire siège généralement au-dessous de la
zone
qui innerve le tronc; au contraire, l'articulat
l'encéphale, lieu d'origine d'un certain nombre de nerfs crâniens,
zone
où s'entre-croisent les grandes voies sensitive e
ion nous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani- mal la
zone
motrice du cerveau d'un côté, dans la région rola
tendues ou circonscrites, envahir un membre entier, se répartir. en
zones
méta- mériques-ou en bandes suivant à peu près
anes génitaux, le cou, et autour de la ceinture, à la hauteur de la
zone
de striction maxima du corset chez la femme. Les
nc éclatant, porcelanique ; elles sont généralement entourées d'une
zone
hyperpigmentée. Au toucher, elles sont lisses et
panat1'o- phie locale de Gowers. Dans cette maladie, « certaines
zones
circonscrites du visage, du tronçon des membres
su cicatriciel. A la fin, le mal perforant est peu douloureux : une
zone
anesthésique borde. -- d'ailleurs l'ulcération. I
lésion centrale soit de l'écorce cérébrale (Ch. Bichet) soit d'une
zone
située entre le corps strié et la couche optiqu
stion. Il existe généralement chez l'in- dividu qui vomit ainsi une
zone
hystérogène à l'épigastre. Un certain nombre de
es, en plus des caractères spéciaux il touie l'hystérie gastrique :
zone
hystérogène épigastrique -houle oesophagienne dég
moitiés cet abdomen distendu. Les ovaires peuvent correspondre des
zones
d'hyper- ou d'anesthésie. Sous le chloroforme e
un cercle inflammatoire, puis un sillon d'éli- mination limitent la
zone
de sphacèle; du pus parait dans le sillon et sous
tricielle, l'aspect déprimé et gaufré qui se trouve au centre de la
zone
pigmentée. 4° Dans certains cas, c'est une loca
son siège si spécial, par un réseau ntaculeuv circons- crivant des
zones
décolorées et presque pathognomoniques de la syph
uvent un indice de syphilis : on sait qu'il est caractérisé par des
zones
d'achromie entourées par des zones d'hyper- chr
it qu'il est caractérisé par des zones d'achromie entourées par des
zones
d'hyper- chromie. Suivant Pierre Marie et Crouz
. Elle suffit parfois, notamment au niveau du rachis, à déceler une
zone
, une apo- physe douloureuses. La douleur éveill
éral par l'accumulation du liquide céphalo- rachidien. En effet, la
zone
sonore n'est de règle au niveau des parié- taux
ec déviation compensa- trice. La paralysie infantile frappant une
zone
[tins ou moins étendue des muscles spinaux est
n à irradier : par exemple, on irradie l'hypophyse par les diverses
zones
temporo-1'rontales et par la bouche, on irradie l
'une près de l'autre. Les lignes de llux inertes sont ponctuées. La
zone
de la plus grande densité est ombrée. 12011 APP
ué dans la profondeur de l'hémi- sphère cérébral gauche dans la
zone
des lignes de flux les plus denses et les plus
courant; la figure 16 fait comprendre comment de chaque côté de la
zone
correspondant à la polarité de l'électrode se tro
la zone correspondant à la polarité de l'électrode se trouvent des
zones
correspondant à des pôles de nom contraire. Au ni
multanée d'anesthésies plus ou moins étendues. Ou bien il s'agit de
zones
d'hyperesthésie, dont quelques-unes sont parfois
estifs de l'électricité, plus particulièrement lorsqu'il existe des
zones
hystérogènes à la création desquelles, comme on l
upes microscopiques symétriques des deux pédon- cules, comparer les
zones
de dégénérescence ou mesurer, par la méthode qu
microtome et de pouvoir ainsi étudier, dans toute sa « hauteur, la
zone
de transition située entre la partie thalamique d
ouvées sur des schémas. Lorsqu'il existe une lésion corticale de la
zone
rolandique et que l'on désire étudier les dégén
xamen du liquide céphalorachidien, M 55. - ol)h- talmique, 955.
Zone
corticale motrice, 595. 62590. - Imprimerie LAn
HÉMIPLÉGIE CONSÉCUTIVE. (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA
ZONE
MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECON
ivent se rapportent toutes deux à des destructions partielles de la
zone
motrice du cerveau. Dans l'une la lésion s'est
tral qui constitue le prolongement de Fa, elles s'atténuent dans la
zone
qui ressortit à la circonvo- lution Pa : cette
passage aux fibres de pro- - jection de la partie supérieure de la
zone
corticale psycho-motrice. La figure 4 représent
e ont prouvé que dans les régions corticales et sous-corticales les
zones
motrices des membres supérieur et inférieur son
t dans la profondeur, peut atteindre les libres de projection de la
zone
rolandique moyenne, et inversement. Dans les de
nisyndromes céré- braux par la lésion d'une portion seulement de la
zone
qui leur donne-naissance est une loi générale »
oplégie brachiale ou crurale, il faut donc que la destruction de la
zone
motrice correspondante soit limitée à l'écorce cé
Ceci s'accorde avec les recherches récentes qui ont démontré que la
zone
motrice corti- cale est formée exclusivement (o
por- tante dans une certaine région, soit marquée plus loin par une
zone
de sclérose de plus grandes dimensions. C'est
paraissait faire défaut plus haut. Inversement, de l'étendue de la
zone
scléreuse qui marque le trajet de la dégénéresc
- landiques. Répartition uniforme des fibres de projection de cette
zone
motrice restreinte sur toute l'étendue de la ca
. En repérant les circonvolutions qui restentonvoit(PLIV, A) que la
zone
détruite comprend : la circonvolution F3, l'ope
projection). Cet étalement des fibres de projection provenant d'une
zone
motrice réduite des deux tiers environ est enco
tater que, malgré cette ré- duction quantitative considérable de la
zone
motrice, la motilité du côté opposé du corps a
proportion. Ils doivent être attribués en partie au reliquat de la
zone
motrice lésée, en partie à ]'action de l'hémisp
ents du membre inférieur est due évidemment à la conservation de la
zone
rolandique supérieure. D'autre part on peut com
partie dans la répartition anormale des fibres de projection de la
zone
motrice que nous révèle l'examen des coupes bis-
la suite d'une destruction des parties inférieure et moyenne de la
zone
motrice corticale on doit, dans la' règle, consta
oque ou même avant. Malgré la destruction d'une grande partie de la
zone
motrice corticale, une voie descendante s'est for
peu de chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la
zone
motrice du cerveau n'a laissé qu'un déficit fon
tout le cordon postérieur, à l'exception des formations endogènes,
zone
cornu-commissurale, extrémité inférieure du centr
atement en contact avec le bord postérieur de la corne postérieure (
zones
radiculaires anté- rieure et postérieure). 1
e cordon postérieur droit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la
zone
antéro-interne, zone marginale de West- phal, s
roit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la zone antéro-interne,
zone
marginale de West- phal, surtout dans sa partie
ur , centre du centre ovale de Fleschsig (fais- ceau de Hoche). Les
zones
de Lissauer droites sont décolorées et le réticul
e cordon de Goll sauf le faisceau de Hoche continué en avant par la
zone
cornu-commissurale encore-très large, quoique m
rès large, quoique moins que sur les coupes au Pal de Llv. Toute la
zone
marginale de Westphal est donc respectée. Les z
de Llv. Toute la zone marginale de Westphal est donc respectée. Les
zones
externe et interne de Lissauer droites contienn
postérieurs droits. Elle y est massive, ne laissant indemnes que la
zone
cornu-commissurale, tout à fait en avant et une
DROME DE LHÉIfI-QUEUE DE CHEVAL 12S Dans S11 même persistance de la
zone
cornu-commissurale et extension en arrière du f
illon médian postérieur jusqu'au bord postérieur de la moelle et la
zone
cornu-commissurale de plus en plus petite (PI. XX
ubsiste que le triangle de Gombault et Philippe. Ainsi ces régions,
zone
marginale de Westphal, faisceau de Hoche et trian
tives aux lésions des racines postérieures. ' Le dessin net de la
zone
marginale de Westphal, cornu-commissurale, du f
t leur communauté d'origine. ' Particulièrement la diminution de la
zone
cornu-commissurale à me- sure que l'on descend
e mince le long de la commissure et du col de la corne postérieure (
zone
marginale de Westphal) et enfin par des semis d
rescence tertiaire, le réticulum fin des cornes postérieures et les
zones
de Lissauer restent intactes. » J'ai, dans le
stérieure droite. Il n'est d'ailleurs peut-être pas certain que les
zones
de Lissauer ne contiennent aucune fibre radicul
eures existent aussi dans le triangle de Gombault et Philippe et la
zone
cornu-commissu- rale de la région lombaire infé
l'existence de fibres provenant des racines postérieu- res dans le
zone
cornu-commissuralede la région lombaire inférieur
existe donc des fibres provenant des racines postérieu- res dans la
zone
cornu-commissurale, puisque cette zone est pleine
cines postérieu- res dans la zone cornu-commissurale, puisque cette
zone
est pleine de granulations au Marchi dans L; ma
cette zone est pleine de granulations au Marchi dans L; mais cette
zone
contient aussi des fibres endogènes puisqu'elle
fait probable, on trouverait simplement dans la moindre étendue des
zones
anesthésiées que des racines lésées la démonstrat
la pie-mère sont tous très gorgés de sang, mais leurs parois et la
zone
périvasculaire sont intactes. Racines. Dans l'é
liniques ont pris une coloration noir foncé (fig. 5), tandis que la
zone
centrale de chaque fibre, correspondante au cyl
Cette différence se rend surtout évidente entre 138 G. CATOLA la
zone
du faisceau pyramidal croisé et la partie plus an
tié de ce qu'il était au niveau de la moelle cervicale. Cependant les
zones
de pénétration ou de sortie des racines restent
es les unes des autres par une espèce d'étranglement progressif des
zones
intermédiaires. , Méthode de Cajal. - Moelle ce
au niveau des diffé- rents prolongements et parfois encore dans les
zones
les plus périphériques de leur protoplasme. '
thodes nous ont paru suffisantes à démontrer que les vaisseaux, les
zones
périvasculaires, le tissu de soutien et le canal
lanche médullaire, boules qui étaient très nombreuses au niveau des
zones
radiculaires postérieures. Il considéra cette a
ération légère et diffuse de la moelle avec lésion plus intense des
zones
radiculaires postérieures. Ransohoff (1902) en
ROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 143 et dégénération des
zones
radiculaires postérieures. Au niveau de la moel
ion des fibres myéliniques était cantonnée ex- clusivement dans les
zones
radiculaires postérieures. Les racines posté- r
onctif interfasciculaire n'est pas proliféré : les vaisseaux et les
zones
périvasculaires ne nous offrent rien de pathologi
parées par un trait, le trait radiculaire.constituant une espèce de
zone
neutre au niveau'de;laquelle nos méthodes histo
XV Pio. 7. Coupe transversale de la moelle lombaire supérieure. Zp,
zone
pyra- midale. Méthode de Marchi. - Même grossis
duites par l'excitation du tendon du muscle correspondant, ou de la
zone
cutanée dans la région en général sus-jacente au
travers de doigt en dessous de l'angle de l'omoplate. Dans cette
zone
inférieure, il semble d'ailleurs que la thermoane
femme vierge et sont surmontés cha- cun d'un mamelon entouré d'une
zone
pigmentée parfaitement visible. La palpation ré
rinéale. Stigmates hystériques : anesthésie pharyngée et cornéenne.
Zones
mo- biles d'anesthésie tégumentaire irrégulière
és. Les douleurs sont atroces el l'on peut constater l'existence de
zones
d'anesthésie et d'hyperesthésie, tous faits qui
la plus externe de l'écorce cérébrale est «ici représentée par une
zone
névroglique exactement figurée (PI. XLIX). Cett
entée par une zone névroglique exactement figurée (PI. XLIX). Cette
zone
est formée de fibrilles névrogliques assez épaiss
s doute coïncidé avec la tumeur, celle-ci ayant refoulé en avant la
zone
motrice ((i.9). Il n'est pas question d'une destr
doute mis presque totalement hors de fonction. En dehors de cette
zone
vient, comme d'habitude, celle des cellules névro
rmes qui n'eurent au- cun caraclère jacksonien à la proximité de la
zone
motrice ? Ou faut-il mettre l'épilepsie en rapp
à l'angle du ventricule latéral, laissant entre lui et l'écorce une
zone
de 2-3 mm. de tissu plus ou moins intact. IIII'
que la localisation de la tumeur correspondrait assez bien avec la
zone
lenticulaire de M. Pierre Marie. Le centre sensor
mettre que cette néoplasie éventuelle s'est développée dans une des
zones
dites silencieuses. La durée relativement longu
ue de la motilité ou de la sensibilité. La. lâche de déterminer une
zone
silencieuse, comme siège de celte tumeur éventu
terne. Du bas en haut de la moelle nous la trouvons séparée par une
zone
saine de la corne postérieure et envoyant une min
ine de la corne postérieure et envoyant une mince expansion vers la
zone
d'entrée des racines postérieures. Ses différents
de sensibilité périphériques à disposition transversale; mais si la
zone
d'entrée des racines postérieures est aussi attei
sociera une topographie longitudinale, radiculaire ; enfin si cette
zone
d'entrée des racines postérieures est la seule lé
des racines postérieures puisque la substance grise confine à cette
zone
d'entrée. Mais cet argument ne sau- rait s'appl
bilité, on constatait une anes- thésie totale, dans l'étendue d'une
zone
périnéo-scroto-fessière, d'une bande longitudin
tactile était moins compromise, partout. On constatai en outre, une
zone
d'hypoesthésie le long du bord externe de la fa
roubles de la sensibilité : les uns, objectifs, consistent dans une
zone
d'anesthésie ano-périnéo-scrolale, qui empiète su
tiers supérieur de la face pos- térieure de la cuisse, et dans une
zone
d'hypoesthésie, qui côtoie le bord Fig. : 3.
l'hématoxyline-éosine par exemple, l'attention est attirée par une
zone
plus claire dans laquelle le tissu semble raréfié
fié, moins coloré et les noyaux moins abondants. Au centre de cette
zone
se trouve un vaisseau de volume variable, assez
mpue, disloquée et on en trouve alors des fragments partout dans la
zone
moyenne de la lacune, on la reconnaît facilement
me nerveux, on distingue dans les parois de la cavité lacunaire trois
zones
concentriques disposées autour de la cavité et
en s'atténuant à mesure qu'on s'éloigne de la lacune. Le première
zone
et la plus atteinte est constituée par le bord mê
ement dans cette région : on ne les voit pas du reste dans toute la
zone
altérée : c'est l'élément le plus sensible et q
hyme. 1 C'est un peu schématiquement que nous avous distingué trois
zones
dans le tissu cérébral péri-lacunaire.Nous avon
Il n'y a pas de dé- marcation absolument nette entre cette seconde
zone
et la troisième. Si nous regardons en effet une
tre à la péri- phérie nous voyons que les altérations de la seconde
zone
après avoir occupé une surface variable qui n'e
là un critérium qui nous permet de dire que nous sommes hors de la
zone
de désintégration. Seuls les vaisseaux conserve
lles changent dans leur étendue. Tantôt la lacune est limitée par une
zone
de désintégration très large tantôt très étroit
énomènes de la vie vé- gétative ? Certainement pas à la surface des
zones
rolandiques réservées sur- tout aux parties org
motricité appropriée, la psychomotricité. L'ancienne conception des
zones
motricesde l'écorce, motrice comme les cornes a
coup de notre sens des attitudes (1890). Verger (p. 706) dit : « La
zone
psycho-motrice dont on peut délimiter les limit
ations électriques, ne peut pas être considérée absolument comme la
zone
sensitive de la moitié 176 ô BONNIER opposée
matiquement en jeu l'irritation suffisante et spéciale de certaines
zones
correspondantes du champ cortical des représent
sciente et l'autre pas ; et bien que le réflexe moteur qui part des
zones
sensorielles dites psycho- motrices soit d'un a
au rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région s'unit aux
zones
pariétales. Il est en outre très probable que l
en outre très probable que le faisceau sensitif général apporte aux
zones
psy- chomotrices des notions analogues, indispe
out à la tête. Le nerf vestibulaire de l'oreille se dirige vers les
zones
pariétales, comme le faisceau sensitif médullai
CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 205 ce tissu, au voisinage de cette
zone
, de petits nodules de tissu pathologique très a
isseaux. En certains points de la tumeur, particulièrement dans les
zones
plus claires où les vaisseaux et les petites ce
, sans que l'autopsie ait révélé de lésion autre qu'au niveau de la
zone
motrice gauche. Cette observation pourrait être
as de troubles des membres inférieurs, mais lorsqu'on appuie sur la
zone
temporale gauche on provoque un mou- vement de
. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective,, à part une
zone
d'hyperes- thésie dans toute la région temporo-
, on n'observait aucun symptôme indiquant une altéra lion grave des
zones
motrices ; il n'y avaitpasde paralysie notable,
a constipation et la stase papillaire ; et de par son siège dans la
zone
psycho- motrice, il aurait pu y avoir en outre
externe. On peut faire la même observation pour le champ visuel. La
zone
interne de la vision paraît légèrement rétrécie
o-Sienne-Chen que chez Liao-Toun-Chen. Notons ici qu'il y avait une
zone
complètement insensible dans la zone médiane du p
. Notons ici qu'il y avait une zone complètement insensible dans la
zone
médiane du pont d'union. La coordination motric
de se disséminer. Il y a la, à l'extrémité interne du ganglion, une
zone
étroite plutôt radiculaire que cellulaire et que
s centrales de la gaine fibreuse ont un aspect analogue, il y a une
zone
de transition dans la- quelle il est difficile
elle et profonde normales sauf au niveau des seins où il existe une
zone
d'hyperesthésie au tact. Pendant la station deb
ne postérieure et la racine antérieure est elle-même entourée d'une
zone
inflammatoire analogue. Ce tissu néoformé est c
es fascicules une certaine compression. Plus près du ganglion cette
zone
inflammatoire disparaît, et l'on ne trouve plus
structure est fibreuse pour la couche périphérique ; au contraire la
zone
interne appartenant aux méninges molles a le mê
gulièrement sur la ligne médiane, mais épargnant néanmoins quelques
zones
de la face postérieure du même côté gauche du cor
l'abolition du réflexe pharyngien, du ré- flexe nasal, ainsi qu'une
zone
hysté1'Ogène dans la fosse iliaque et sur la face
stigmates d'hystérie (abolition des réflexes pharyngien et cornéen,
zones
hystéro- gènes, rétrécissement du champ visuel
cas. «Bien plus, si les manifestations myoclonillues ont envahi la
zone
d'in- nervation du bulbe,necal;hezpasvoscrainte
rophiées sans aucune hyperplasie des noyaux ou épaississement de la
zone
fibreuse de la capsule. Cette diminu- tion port
ait à peine émoussée, dans l'étendue de cette même bande. Une autre
zone
d'anesthësie occupait la plante du pied gauche.
aut. L'examen de la sensibilité objective va mettre en évidence une
zone
d'a- nesthésie, qui occupe la moitié gauche du
, de la partie avoisinante delà fesse et de la cuisse. En haut, cette
zone
d'anesthésie est limitée par une ligne horizont
roisième et quatrième foyers sont peu étendus et constitués par des
zones
de myélite plutôt que par des ramollissements. L'
férieures de la protubérance), on dis- tingue très nettement-deux* -
zones
dégénérées : 1,'une très considérable en arrièr
iscrète en avant, séparées par un espace relativement sain. Dans la
zone
postérieure, il ne reste plus une fibre saine. Ce
in. Dans la zone postérieure, il ne reste plus une fibre saine. Cette
zone
répond aux fibres sectionnées par le foyer F2;
uper toute la région désignée par M. et Mme Déjerine sous le nom de
zone
du ruban de Reil médian. Dans cette région, les
réellement. Les rapports du ruban de Reil dans sa dernière portion (
zone
du ruban S02 BABINSKI ET NAGEOTTE de Reil méd
ABINSKI ET NAGEOTTE de Reil médian) sont les suivants : en avant la
zone
dégénérée répond au faisceau pyramidal, dont el
alamique de Forel et de la zona iacertc; en dehors elle s'adosse à la
zone
grillagée qui la sépare du segment rétro-lentic
. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le ruban de Reil droit présente une
zone
de dégénérescence légère qui répond précisément
très confluentes au milieu, elles vont en se raréfiant soit vers la
zone
moléculaire, soit vers la zone des grains. A un
es vont en se raréfiant soit vers la zone moléculaire, soit vers la
zone
des grains. A un fort grossissement, on ne dist
s vigoureusement colorés en bleu. On ne voit pas de protoplasma. La
zone
médullaire des lamelles cérébelleuses offre des s
guë aussi, c'est-à-dire que l'on voit dissé- minée partout, dans la
zone
des cellules et dans l'axe blanc des circonvoluti
pyramidales ganglionnaires que nous devions voir cependant dans la
zone
où le fragment a été prélevé. Toutefois, petites
rtérioles pénétrantes du bulbe, quelles que soient la hauteur et la
zone
considérées, présen- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L
constitutives. La couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la
zone
des cellules nerveuses, moins épaisse, offre su
e modification variable suivant les points observés, portant sur la
zone
des cellules nerveuses ; elle consiste en ceci
alement répartie; sur une des faces de la circonvolution observée, la
zone
des cellules a toute son épaisseur et sur la fa
ues petites cellules pigmentaires en couche assez homogène, sous la
zone
moléculaire et plus bas quelques cellules pyram
Notamment les traînées des fibres transver- sales superficielle, la
zone
interolivaire, les arborisations médullaires de l
la périphérie de certains os longs, après la macération, une petite
zone
laissa reconnaître assez bien le cartilage conj
2.960 grammes. Congestion muscade, avec infiltration graisseuse des
zones
périphériques des acini. Quelques granulations tu
une douleur à l'épigastre produite par une pression légère. Pas de
zones
véritablement hystérogènes, il est vrai, mais à
ui la sensibilité générale, il me fut impossible de retrouver une
zone
quelconque d'anesthésie, ce qui était singulièrem
outes les fibres sensitivo-sensorielles s'y réunissaient, plusieurs
zones
secondaires, admises ensuite par Ballet 3. C'es
sé chez les individus porteurs de lésions en foyer siégeant dans la
zone
rolandique, dans cette zone que depuis Charcot
rs de lésions en foyer siégeant dans la zone rolandique, dans cette
zone
que depuis Charcot et Pitres ont dénommée la zone
dique, dans cette zone que depuis Charcot et Pitres ont dénommée la
zone
mo- trice. Beaucoup d'observations en l'ont foi
montrer que le siège des sensations musculaires se trouve dans la
zone
rolandique. Les auteurs dont nous analysons les
uestion. Claparède et Bourdicault-Dumay acceptent l'existence d'une
zone
sensitive musculaire conjointe à la zone sensit
cceptent l'existence d'une zone sensitive musculaire conjointe à la
zone
sensitive tactile, et comme elle superposée il
njointe à la zone sensitive tactile, et comme elle superposée il la
zone
motrice proprement dite, Abba se croit en ' Hen
- sante et qu'elle identifie le fonctionnement des éléments de la
zone
rolantique à celui des autres éléments sensoriels
énérale. En outre de leur rôle de perception, les éléments de cette
zone
auraient un rôle mnésique. C'est là que se fixe
ce d'inten- sité dans la représentation mentale. La dénomination de
zone
motrice reste donc vraie quand même dans cette
ce reste donc vraie quand même dans cette théorie, appli- quée à la
zone
rolandique, puisqu'en dernière analyse c'est de l
ne et montrent leurs éléments dégénérés, nécrosés. En dehors de ces
zones
de ramollissement jaune, qui ne se voient plus
des fourmillements cutanés, un froid aux pieds continuel, avec deux
zones
de sensation brûlantes au milieu, du tibia; la
ne importance spéciale, au point de vue de la locali- sation, à une
zone
parfois fort large de dissociation syryngomyé-
nt de procéder à de nouvelles études et de délimiter exactement les
zones
corticales. La myélinisation du cerveau des ani
re jusqu'en haut, jusque dans la formation réticulaire du bulbe, la
zone
radiculaire du territoire dégénéré du faisceau
ute l'écorce, au lieu de se propager par irradiation en partant des
zones
les plus affectées comme dans l'épilepsie Jack-
autres parties du tégument. M. P. A1 me demande jusqu'où s'étend la
zone
active de la peau. M. Babinski. Les recherches
é de nombreuses obser- vations cliniques la loi d'après laquelle la
zone
motrice du télencé- phale exerce par les fibres
mi-circulaires, les relations fonctionnelles du laby- rinthe et des
zones
rolandiques. Au chapitre de l'olfaction, M. Sou
éfend la thèse de l'hétérogénéité. Il a découvert dans la quatrième
zone
de la scissure calcarine des cellules étoilées
ct. Au pincement et à la piqûre, on parvient à délimiter quelques
zones
très nettes d'hypoesthésie très marquée, dissémin
tion de l'anesthésie des membres et des viscères et l'apparition de
zones
d'hyperesthésie siégeant à la calotte en des en
es endroits bien déterminés, toujours iden- tiques à eux-mêmes. Ces
zones
, voilées avec l'anesthésie totale, devenaient d
spondantes; et, lorsque la sensibilité était devenue nor- male, les
zones
disparaissaient. Est-on en droit de conclure qu
ale, les zones disparaissaient. Est-on en droit de conclure que ces
zones
sont superposées à des surfaces de l'écorce qui
de doute pour ce qui concerne les membres car la localisa- tion des
zones
des membres est superposable à la localisa- tio
réelle des centres viscéraux. Or, l'expérience de la percussion des
zones
viscérales n'est- elle pas une preuve de plus e
ecte- ment qu'il existe des centres viscéraux ? ` ? Je percute la
zone
de l'estomac, par exemple ; je demande à la mal
ENT MÉCANIQUE DE L'HYSTERIE. 223 3 1° Je percute au cuir chevelu la
zone
d'hyperesthésie d'un organe : je donne naissanc
nt ; 4° Le sujet extériorise dans l'organe dont j'ai persécuté la
zone
d'hyperesthésie : donc, l'onde vibratoire a actio
pothèse de l'inter- vention du trijumeau; p) que, si je percute des
zones
diffé- rentes, j'obtiens des extériorisations d
e que ces points sont les centres des organes dont on a percuté les
zones
d'hy- peresthésie. Donc, si en percutant une
a percuté les zones d'hy- peresthésie. Donc, si en percutant une
zone
hyperesthésique correspon- dant à un organe don
ane en question un centre donné de l'écorce, auquel se superpose la
zone
d'hyperesthésie. Par conséquent, l'expé- rience
a- tion de gêne et d'angoisse respiratoire. Il n'existe pas d'autre
zone
hystérogène. Pas de sensation de boule. Pas de
e; sensibilité tac- tile, thermique, à la douleur intactes ; pas de
zones
hystérogènes. Vision : pupilles égales, non con
t B, que la table interne lait partie du fragment osseux ; ces deux
zones
, véritables couronnes irrégulières de trépan, son
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. même cerveau on peut trouver certaines
zones
corticales ayant un poids spécifique élevé, tan
la forme du corps de la cellule, en divers segments de l'écorce. La
zone
olfactive, surtout au niveau de la lame perforé
lame perforée antérieure qui va à l'insula et s'intercale entre la
zone
olfactive frontale et la zone olfactive temporale
va à l'insula et s'intercale entre la zone olfactive frontale et la
zone
olfactive temporale, la circonvo- lution de l'h
e les fibres nerveuses, prennent, successivement, dans les diverses
zones
corticales de Flechsig, leur forme définitive, et
le trousseau sortir du corps de Luys, pénétrer dans l'écorce de la
zone
psychomotrice; puis, de celle-ci descend un tro
pinéale; ce sont de fortes fibres inconnues des auteurs (cinquième
zone
des fibres spéciales du noyau lenticulaire de F
partie antérieure de la capsule interne, qui vont à la région de la
zone
sensible du corps : leur calibre et leur colora-
les se distinguent des autres fibres dans les circonvolutions de la
zone
sensible du corps. Chez le chien, elles sortent d
'après l'auteur, dans une atteinte relativement peu prononcée de la
zone
radiculaire de Westphal au niveau des segments mé
térisée avec céphalalgie localisée, douleur à la percussion de la
zone
rolandique, etc. Le diagnostic de lésion tuberc
landique, etc. Le diagnostic de lésion tuberculeuse au niveau de la
zone
rolan- dique semblait s'imposer mais le malade
ns la proximité des centres de projection, sur ce qu'on a nommé les
zones
marginales. Certaines familles de ces images so
es troubles sensitifs occupaient plusieurs SOCIÉTÉS SAVANTES. 349
zones
indépendantes, l'existence d'une de ces zones au
OCIÉTÉS SAVANTES. 349 zones indépendantes, l'existence d'une de ces
zones
au niveau de l'espace iliaque postéro-supérieur
été publié par nous encore tout récemment (1891). La cellule de la
zone
motrice de l'écorce du cerveau est l'organe d'u
de Burdach, la dégénérescence est le moins accusée au niveau de la
zone
postéro-externe (ceci est très net au niveau de
ns noirs entre le faisceau de Burdach et le faisceau de Goll; cette
zone
de dégénérescence est REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
la virgule de Schultze et une lésion réelle, quoique faible, d'une
zone
postéro- médiane. En outre, le cordon postérieu
e celles de la virgule; au niveau de la première paire lombaire, la
zone
de Schultze ayant disparu, il reste cette dégén
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. médiane descendante, indépendante de la
zone
de Schultze, que l'on peut suivre jusque dans l
ies antérieures du cordon postérieur. La plu- part des fibres de la
zone
postéro-médiane paraissent provenir de plans pl
s chez deux hystériques qui présentaient des algies diverses et des
zones
d'anesthésie. Il ne faut voir là, bien entendu,
Bien plus : la part délicate de l'orientation qui appar- tient à la
zone
auditive s'est aussi laissée envahir dans les mêm
ect est différent, et on trouve autour du noyau coloré en bleu, une
zone
blanchâtre circulaire limitée en dehors par le
rcon- volutions de l'hémisphère droit, et particulièrement dans les
zones
psychomotrices de ces dernières, que nous les a
on d'enceinte de la scissure de Sylvius et lobule de l'insula), une
zone
de lésions moins accusées. Autour de cette zone
e de l'insula), une zone de lésions moins accusées. Autour de cette
zone
les circonvolutions sont petites, arrêtées dans l
septième côte. De la septième à la cinquième côte on constatait une
zone
d'hyperesthésie très nette. A l'autopsie on tro
du sixième nerf dorsal, c'est-à-dire des nerfs correspondants à la
zone
d'hyperesthésie. En terminant l'auteur fait rem
ceaux de Gowers, l'intégrité absolue des cordons postérieurs et des
zones
radiculaires postérieures, du REVUE DE PATHOLOG
trons le mode de production de l'anesthésie hystérique de certaines
zones
cutanées et celui des paralysies musculaires hy
es voies de moindre résistance; 3° par exci- tations transmises des
zones
« sensitivo-idéatives » aux centres moteurs cor
eux, et qu'une délimitation rigoureuse de groupes cellulaires ou de
zones
nerveuses est impossible. Aussi, vouloir locali
esquels ils sont en relation. La région occipito-angulaire est la
zone
visuelle de l'écorce. La destruction complète d
est la zone visuelle de l'écorce. La destruction complète de cette
zone
dans un hémisphère produit - l'hémiopie permane
port avec la moitié latérale correspondante des deux rétines; 2° la
zone
du centre visuel d'un hémisphère est en rapport
est en rapport avec la moitié supé- rieure des deux rétines; 3° la
zone
inférieure du centre usuel est en rap- port ave
rtie inférieure de la moitié correspondante des deux rétines; îo la
zone
intermédiaire du centre \isuel est en rapport ave
l'exception de cette lésion du lobe occipital, tout le reste de la
zone
visuelle était intact, cepen- dant cet animal é
. - Centres corticaux du chien d'après Munk. ,1, 7.ne w.uelle. - B,
zone
uuuitiw, c'est-a-dire la zone de sensibilité tact
d'après Munk. ,1, 7.ne w.uelle. - B, zone uuuitiw, c'est-a-dire la
zone
de sensibilité tactile (Illilils- phure) - D. l
- phure) - D. l1l(mbl'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur. - E,
zone
de la tête - F, région de l'oeil. - C, région d
bservé. L'autopsie a montré un ramollissement avec résorption d'une
zone
considérable de l'hémisphère opposé com- prenan
fiation. Archives, t. XXI 7 Fig. 11. - Rapports des yeux avec la
zone
visuelle chez le chien (d'après Munk). i)8 PH
s symboles visuels et les choses signifiées. Donc, une lésion de la
zone
de la vision la plus claire peut paralyser l'id
mollissement dans le cerveau. En particulier, il y avait une petite
zone
qui avait détruit la plus grande partie de la cir
s toutes les expériences sont d'accord pour com- prendre dans cette
zone
la moitié postérieure de la seconde cir- convol
sion claire (macula lutea) du côté opposé. La portion moyenne de la
zone
visuelle avoisinant la faux est le centre de la
i en résultent. Munk décrit comme les effets de l'extirpation d'une
zone
circu- laire de l'écorce dans la région A, mesu
ène une atrophie strictement confinée aux régions comprises dans la
zone
visuelle. La différen- ciation d'un centre excl
, sans qu'on puisse savoir jusqu'où s'étend, d'arrière et avant, la
zone
affectée à cette fonction ». L'observation du «
un foyer cen- tral, possèdent aussi des territoires communs, des
zones
d'irradiation, où ces centres « s'engrènent », se
une seule sans que les autres soient plus ou moins troublées. Ces
zones
d'irradiations, ces territoires communs, sont b
ain ont des limites bien mieux définies et plus fixes. Toutes les
zones
d'innervation sensitivo-sensorielles convergera
e trouve à cet égard le seul critérium. VII. Dans les différentes
zones
de l'écorce céré- brale, les deux types de cell
on de la colonne latérale restât intacte, qui est située dans cette
zone
limitée par la prolongation en dehors des commis-
flexe tendineux patellaire ne sont pas réunies en trousseau dans la
zone
d'entrée ladiculaire postérieure. P. K. XXIX. C
ion d'une des bandelettes op- tiques du lapin - à l'extirpation des
zones
visuelles du lobe occi- pital - à la section tr
blissent une communication entre le nerf optique et le réseau de la
zone
latérale du corps genouillé externe ; ce ré- se
réaction dégénératrice complète; l'anes- thésie occupait les mêmes
zones
, elle portait uniquement sur la sensibilité tac
ds sont également sensibles des deux côtés. Il existe en outre cinq
zones
douloureuses : deux ovariennes, deux sus-mammai
t une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces
zones
réveille les phénomènes de l'aura sans provoque
ce vaste champ d'expériences qu'est la Salpêtrière. 1 Pitres. Des
zones
hystérogènes et hypnogènes; des attaques de som
ssieurs, J'arrive maintenant à la signification physiologique de la
zone
de Rolando du singe et de l'homme et de son hom
circonvolution du pli courbe. Ainsi était détruite presque toute la
zone
motrice de la convexité de l'hémisphère, les cent
é par la section de physiologie, et la position des lésions dans la
zone
motrice, et leur limitation furent définitiveme
Aujourd'hui, il est hors de doute que les lésions corticales de la
zone
motrice de l'homme telles qu'elles détruisent et
j'ai 110 cas d'hémiplégie du côté opposé par lésion générale de la
zone
rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions l
one rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions limitées de cette
zone
; dont 11 cas de monoplégie crurale par lésion
ysie du bras et de la face par lésion de la moitié inférieure de la
zone
rolandique et 10 cas de paralysie faciale par lés
destruction profonde etétendue(mais probablement incomplète) de la
zone
motrice de l'hémisphère opposé. La pos- sibilit
r les chiens démontre aussi clai- rement 3 que la destruction de la
zone
motrice corticale n'altère pas la sensibilité d
rvable de la sensibilité tactile en général après les lésions de la
zone
motrice, et je vais maintenant examiner en déta
ces troubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties que la
zone
motrice de l'écorce. Ceci s'applique plus parti
ussi incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la
zone
motrice est dans la majorité des cas essentiell
même observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la
zone
motrice certicale avec paralysie, dans les- que
est vrai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la
zone
motrice, on a observé un certain degré d'altéra
e lésion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la
zone
motrice, il a été démontré que des lésions dest
t l'étendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la
zone
motrice corticale sans trouble de la sensibilit
cette espèce de preuve. Car des 110 cas de lésion géné- rale de la
zone
de Rolando produisant une hémiplégie, dans 52 c
ace du corps '. Des 19 cas de lésions de la moitié inférieure de la
zone
de Rolando produisant une paralysie de la face et
blable au second. Des dix cas de maladie du tiers inférieur de la
zone
de Rolando produisant une simple paralysie facial
de la moitié du tronc. 11 semble donc que de 284 cas atteignant la
zone
de Rolando en totalité ou en partie, dans 100,
PATHOLOGIQUE. Dans 28 de ces cas la lésion n'était pas confinée àla
zone
de Rolando, mais englobait les lobes adjacents
nsiderée par plu- sieurs comme la caractéristique des lésions de la
zone
corticale motrice doit être, à mon avis, regard
té générale du côté opposé du corps. Les lésions corticales de la
zone
motrice causant une paralysie complète peuvent
ériences que j'ai décrites' 1 après la destruction bilatérale de la
zone
postfrontale, les ani- maux ne purent tourner n
sieurs cas, qu'après que les symptômes qui suivent l'ablation de la
zone
postfrontale ont entièrement disparus, la destr
tfrontale ont entièrement disparus, la destruction ultérieure de la
zone
préfiontale produit une paralysie de la tête et
nte, après la cautérisation la plus entière apparemment de toute la
zone
frontale excitable, de la face médiane et convexe
aient pas entièrement détruits. Il est difficile d'enlever toute la
zone
frontale, sans blesser la tête du corps strié.
ient de mourir. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Ciiamrard (E.). De la
zone
mitoyenne ntédico jttdiciaire. - Brochure in-8°
C'est là le point le plus important, on trouve de chaque côté deux
zones
d'anesthésie complète. Une première zone, zone
rouve de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première
zone
, zone cruro-fessière, qui comprend la partie infé
de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première zone,
zone
cruro-fessière, qui comprend la partie infé- ri
, qui comprend la partie infé- rieure de la région fessière, et une
zone
ano-périnéo-scrotale, qui comprend l'anus, le p
incontinence des urines et des matières fécales. Bien noter que les
zones
anesthésiées sont symétriques et qu'elles ont,
'au pouce. Cette affection s'est établie par le fait d'une série de
zones
développées successivement, chaque éruption éta
inales, et finalement convulsions cloniques des membres supérieurs,
zones
hystérogèues le long de la colonne vertébrale e
dans toute leur étendue, sans même qu'il soit fait mention d'une
zone
intacte correspondant au centre ovale de Flechsig
térieur et cela dans ses deux moitiés antérieure et postérieure. La
zone
postérieure n'est autre que le triangle médian et
. rieure une région médiane et garnie de tubes il myéline ; cette
zone
décrite habituellement par les auteurs comme corn
er de sa disposition à un réseau plus élevé de porter ici le nom de
zone
ou de faisceau sulco- commi=sural postérieur ou
les différentes coupes comprises entre ces deux hauteurs, les deux
zones
saines médianes existent toujours, l'une antérieu
(fia. 8). Coupe au niveau de la première paire sacrée (fig. 9). La
zone
antérieure répond à la description habituelle d
en ici à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où la
zone
postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du
a même que précédemment, mais en plus des régions sus-indiquées les
zones
radiculaires se peuplent rapidement en remontan
nt son siège habituel sans prolongement postérieur ni angulaire. La
zone
Fig. 8. Fig. L' Fiv. 10. OS ANATOMIE. a
l'on se reporte à d'autres observations on peut admettre que celle
zone
a subi un déplacement vers les parties latérales
xième dorsale. Même disposition que sur la coupe précédente pour la
zone
cornu-commissurale. En remontant dans la moel
s nous contenterons de signaler que sur les'coupes supé- rieures la
zone
dégénérée occupe exactement dans le cordon Fifl
te dégénérescence est topographiquement absolument superposable aux
zones
restées intactes dans le fait de MM. Souques et
ir de la 110 paire dorsale et seulement pour ce qui a trait à notre
zone
postérieure les figures de Hoche mériteraient d
les régions inférieures où il y a absence de dégénération dans la
zone
cornu-commissurale. Pour le moment qu'il nous suf
térieur n'est pas uniquement formée par des fibres radiculaires La
zone
limitant le sillon médian postérieur est restée l
re le cordon postérieur était complètement dégénéré sauf dans une
zone
assez large, bordant la commissure grise et se pr
mé- dian. Il est très important de signaler que l'étendue de ces
zones
saines augmentait à mesure que l'on se rapprochai
es et d'un grand nom- bre de fibres du cordon antéro-latéral... une
zone
de fibres en dégénérescence au sommet du cordon
urt trajet. Nous allons étudier d'abord les fibres groupées dans la
zone
appelée communément, cornu- commissurale, qui r
sont des mieux établis. M. Marie constatant l'intégrité de cette
zone
dans le tabes, a émis l'hypothèse qu'elle est com
maladie d'ori- gine endogène détermine des lésions au niveau de la
zone
cornu-commissurale et dans d'autres régions don
eval, les libres radiculaires n'existent qu'en petit nombre dans la
zone
cornu-commissurale. On devait donc retrouver ce
culaires, à côté des lésions ascendantes de la moelle, existait une
zone
cornu-commissurale respectée, ceux-là sont asse
la moelle, seul le faisceau postérieur a subi la dégénérescence, la
zone
antérieure cornu-commissu- rale est saine ; mai
lombaire moyenne. 11111. Dé,jerine et Spiller' men- tionnent cette
zone
comme intacte jusqu'à la hauteur de la troisièm
ire, et dans leur cas à la hauteur de la première paire lombaire la
zone
cornu-commissurale est dégé- nérée, il n'y avai
éralement les fibres endogènes à ce niveau troisième lombaire. La
zone
cornu-commissurale en remontant se déplace en q
res à la suite de lésions des nerfs de la queue de cheval ces mêmes
zones
dégénérées sont au contraire retrouvées intacte
posterouatérieu à la région dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la
zone
cornu-commissurale, en plus des fibres endogènes
sion siège plus bas la virgule de Schultze sera rem- placée par les
zones
cornu-commissurales dont nous avons Archives, 2
manière de voir pourquoi, outre l'intégrité souvent constatée de la
zone
cornu-commissurale dont nous avons parlé plus h
le centre ovale de Flechsig et, à la région cervicale seulement, la
zone
postéro- externe des cordons postérieurs, ainsi
s signes d'altération cor- ticale paraissent se limiter à certaines
zones
intellectuelles, il ne faut pas trop se presser
de forme spéciale, mais ces cellules ne sont pas limitées dans des
zones
spéciales de l'écorce. Aussi les différents mod
de l'écorce plutôt qu'à la distribution de ces cellules dans des
zones
spéciales de la surface corticale. (American jour
c. T. G. 28°,1 ; T. D. 26°. Tem- pérature du sourcil : 30°,3. Les
zones
anesthésiques présenlent leur ordinaire dispositi
e surface carrée répondant à peu près à l'omoplate gauche, et à une
zone
plus vaste comprenant les fesses et les faces p
sée, légèrement foncée sur les bords, flanquée de chaque côté d'une
zone
rougeâtre s'étendant sur une largeur de 3 à 4 m
ne demi-heure après, la rougeur est encore visible, avec une légère
zone
pâle sur les bords. Le dermographisme peut être
topsie, on a trouvé une tumeur située au niveau du lobe frontal. La
zone
rolandique et le lobe temporal n'étaient le siège
vidence, outre l'état mental, par des troubles de sensibilité de la
zone
gastrique, et par le retentisse- ment de toutes
ition topogra- phique des divers centres moteurs à la surface de la
zone
rolandique; dans le type facial, par exemple, l
'observe aussi assez fréquemment chez les femmes qui présentent des
zones
hyper- esthésiques du vagin ou du col utérin. E
la peau qui recouvre cet organe. Il s'agit donc, en réalité, d'une
zone
hyperesthésique hystérogène dont l'exaltation a
face interne de l'avant-bras jusqu'au coude. Il existait aussi une
zone
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 295 d'anesthési
u cubital, après un examen attentif, ce diagnostic fut rectifié. La
zone
hyperesthésique correspondait, non au territoire
rrête à gauche au niveau de la troisième côte, au-dessus existe une
zone
d'hyperesthésie de 2 centimètres environ de hau
rrête à la deuxième côte, c'est-à- dire moins bas qu'à gauche, puis
zone
hyperesthésique et au dessus enfin la sensibili
s sont également dénivelés à la périphérie. 11 reste à expliquer la
zone
d'hyperesthésie trouvée de chaque côté du tronc
sse pendant le sommeil, les mouvements intention- nels l'exagèrent.
Zone
d'anesthésie comprenant, du côté gauche, tout l
de soutène- ment. Ce n'est pas cependant une véritable sclérose. La
zone
radi- culaire moyenne est partout respectée. Le
ui enregistre les com- munications ayant lieu entre eux, dans cette
zone
qu'il appelle l'at- mosphère fluidique de l'âme
s signes cliniques que présente un malade frappé d'une lésion de la
zone
du langage qui occupe les circonvolutions d'en-
verbale pure, surdité verbale pure, ont leur siège en dehors de la
zone
du langage intérieur, elles ne portent que sur
actuellement à admettre un centre de l'agraphie. L'anatomie de la
zone
du langage est ensuite minutieusement exposée p
lleux et vont à l'autre hémisphère. De toute la corticalité de la
zone
du langage partent des fibres de projections ve
pied du pédoncule puis arrivent aux noyaux moteurs du bulbe. Cette
zone
du langage est irriguée par l'artère sylvienne
anches. Les aphasies vraies sont produites par les lésions de cette
zone
du langage, tous les modes du langage sont atte
d'une lésion des fibres de conduction centripète ou centrifuge ; la
zone
du langage étant intacte, il y a intégrité du l
grise du même côté, établissant ainsi une communica- tion entre la
zone
rolandique cérébrale et l'écorce cérébelleuse;
ula de Reil, en dehors. Cette région appartient aux trois premières
zones
mésolobaires d'un centimètre d'épaisseur. Vu la
erches anatomo-pathologi- ques, j'admettrai un district pour chaque
zone
, et, dans chacun de ses districts, je tiendrai
au fond de la deuxième scis- sure frontale, pour les deux premières
zones
; au fond de la scissure précentrale, pour la tr
mières zones; au fond de la scissure précentrale, pour la troisième
zone
; la deuxième à la convexité de la troisième fro
me à la convexité de la troisième frontale, pour les deux premières
zones
; à la convexité de la quatrième frontale, pour
zones ; à la convexité de la quatrième frontale, pour la troisième
zone
; et la troisième, au fond de la partie supérieu
aut avec les fibres arquées (voir Topographie cérébrale, deuxième
zone
, face postérieure°-), nous pouvons, en retranch
eux (gyri-forn i cati). Il n'est donc pas surprenant que, sur cette
zone
la ligne en question coupe les faisceaux, au li
; la troisième, 10. Ace niveau, la région se modifie. Dans les deux
zones
précédentes, la section coupait trois frontales
e frontal et le lobe pariétal. En somme, dans les trois premières
zones
mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseur, zon
s trois premières zones mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseur,
zones
qui, conte- nant, sur le trajet du bord externe
illimètres seulement pour la scissure de Sylvius dans la première
zone
. La partie latente du centre ovale dans ces tro
lissent une remarquable indépendance de la circulation des diverses
zones
de l'écorce. Ensuite la doctrine de M. le D' Lu
SIE ET ÉPILEPSIE. 55 à admettre chez certains sujets l'existence de
zones
épileptogènes (gastrique, utérine, périphérique
RECUEIL DE FAITS. légère piqûre d'épingle s'entoure de suite d'une
zone
de rougeur diffuse. Pas d'illusions ni d'halluc
mais c'est à peine s'il existe entre les deux faisceaux une petite
zone
noyée de fibres mixtes. Le faisceau de fibres d
une couche moyenne formée des cordons latéraux céré- belleux ; une
zone
externe presque entièrement constituée par les
eur, grosse par elle-même comme une pomme, est entourée d'une large
zone
de ramollisse- ment qui s'étend dans tous les s
Lions ascendantes. Le lobe occipital est parcouru dans les mêmes
zones
par des fibres de tous calibres, parallèles à la
reux signalés; le pôle demeurera un certain temps en chacune de ces
zones
, tandis qu'il sera simplement promené de-ci de-
ptoide, clonique et délirante pendant les attaques, hémianesthésie,
zones
hystérogènes, etc. Plusieurs autopsies faites c
e les principaux phénomènes de la grande hystérie : hémianesthésie,
zones
hysté- rogènes, etc. Un ca d'arthropathies chez
. Foyer d'encéphalite inters- titielle circonscrite au niveau de la
zone
motrice. Foisn...(Célestine), Agée de vingt ans
mier. , ? qmn ! ) ? & Dans le fait de Dussaussay, la 'troisième
zone
est dépassée en arrière, puisque le foyer hémor
pouvait en être différemment, puisque, d'une part, notre troisième
zone
mésolobaire est comprise dans le bloc désigné v
ique, à savoir : que le corps strié fait partie des trois premières
zones
mésolobaires, tandis que la couche optique leur
nt cette circonvolution comme privilégiée. , Elle appartient à la
zone
motrice. La circonvolution correspondante du cô
dante du côté droit serait privée d'activité, elle dépendrait de la
zone
latente. «En dépit du bon sens et de la physiol
s rectus appartient à la deuxième frontale; ils ont réservé à cotte
zone
les termes de : = Gyrus orbilalis médius dulobu
h). Synonymie : Etage frontal supérieur ou troisième et pli de la
zone
externe, de Gratiolet; Première frontale externe;
octobre 1883. 1 t0 REVUE CRITIQUE. Les traits du tableau de cette
zone
sont fréquemment défi- gurés par les plis de pa
pli courbe en ar- rière, baptisé du nom de lobule du pli courbe la
zone
antérieure. Il,en résulte qu'aujourd'hui, selon
ectant les centres trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9'(
zones
des nerfs moteurs et des muscles), occasion non t
forcément, par le tableau de l'atrophie dégénératie,tomate 8'de la
zone
d'action périphérique de ces centres. ? 311, oh
. 11 n'y a pas de trouble marqué de la sensibilité spéciale. Pas de
zones
douloureuses ou liystérouèiies. Toutefois la ma
lus spécialement sous la dépendance des parties supé- rieures de la
zone
motrice, nous avons vu que, dans les accès, il
UTIONS CÉRÉBRALES. 3H l'autopsie nous a montré que, au niveau de sa
zone
, les lésions étaient beaucoup moins prononcées
convolution frontale interne. ' Synonymie : Second pli ou pli de la
zone
externe du lobe fronto-pariélal (Gratiolet) ; G
. b. En arrière, \e lobule paracentral. Ce petit'rectangle est la
zone
de réunion supérieure et mé- diane des deux cir
p. 231. revue U.W.1'l'f)\11E E'l' DE PHYSIOLOGIE. 323 nage de la
zone
motrice. Les centres destinés aux sensations tac-
pyra- midat de la capsule interne, des fibres qui pénètrent dans la
zone
motrice, exerce une influence des plus délétère
ce une influence des plus délétères sur le développe- ment de cette
zone
. La lésion porte spécialement sur les cellules
a bandelette optique sectionnée, c'est-à-dire perte de fonction des
zones
des deux rétines qui occupent le même côté que
éro-interne des faisceaux de Goll; que l'étendue et le volume de la
zone
de dégénérescence secondaire ne paraissent pas
bras et de l'avant-bras, à la main, dans les doigts, sur les mêmes
zones
que la paralysie. La douleur est en ces régions
ences instituées chez le chien. Dans tous les cas d'extirpation des
zones
motrices de l'écorce du cerveau, la substance b
on de Broca étaient tou- jours affectés et toujours, dans ces trois
zones
, la raréfaction des fibres nerveuses à myéline
lobe occipital et dans certaines portions de l'insula. Aucune autre
zone
que celles qui viennent d'être citées ne contie
ons ascendantes, en dehors du lobe occipital, il n'y a pas d'autres
zones
du manteau dont la subs- tance grise contienne
x le bagage des concep- tions ne doive être cherché dans toutes les
zones
de l'écorce, ou plutôt de toutes les parties de
ue, plus ou moins aiguë a entravé une partie du travail actif de la
zone
corticale gauche qui préside à la conversion ps
des débris de cils. Aussi, Watdeyer iiieliiie-t-il à croire que les
zones
en apparence privées de cils vibraliles sont de
i succède constamment à l'extirpation de couches corticales dans la
zone
motrice, et qui se rencontre dans certains fais
gne mé- diane qui passe par l'axe du sujet, tantôt sous la forme de
zones
circons- crites, segments géométriques plus ou
on de Goll adjacentes à la scissure médiane pos- térieure ; 3° La
zone
comprise entre le cordon de Goll et le cordon de
résen- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la
zone
occipitale. Si chez elle beaucoup de symptômes
alonmire, - sous-astragalienne, - présentant son maxi- mum dans une
zone
d'un diamètre de 3 il Il. centimètres, siégeant i
ètres, siégeant il l'union du tiers moyen et du tiers externe de la
zone
inférieure du talon. 2° Cette douleur estl'éll'
ieure de l'anesthésie. pace intercostal ; puis, si on dépasse cette
zone
, la sensibilité redevient normale ; elle se con
presque complètement détruit ; il ne reste du cordon latéral qu'une
zone
fatciforme périphérique, qui correspond à peu p
ngement de simple infiltration embryonnaire qui se confond avec une :
zone
de ramollissement périépendymaire (Pl. IX, A, cou
termine par deux- prolongements, l'un effilé, qui s'éteint dans la
zone
marginale antérieure, l'autre qui se confond avec
rs elles-mêmes, s'en distingue ce- pendant par l'existence, dans la
zone
qui les sépare, d'une infiltration luxuriante d
les cellules sont pressées les unes contre les autres en plusieurs
zones
concentriques. Au niveau même des tumeurs, l'
la tumeur et dans le milieu de la végétation médullo-méningée, des
zones
plus pâles où les noyaux ont perdu l'affinité c
nt à une infiltration embryonnaire récente, en particulier dans les
zones
périphériques de la gomme, on voit de nombreux ca
us ou moins dense suivant les points, mêmes cellules géantes, mômes
zones
de dégénérescence caséeuse, même refoulement des
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Weigert ou d'Azoulay, qu'une
zone
pâle symétriquement disposée sur les flancs int
(2), dilatation du réseau vas- culaire, dégénérescence caséeuse des
zones
centrales, etc. Par contre, l'examen des région
t l'absence de paralysie du bras droit (intégrité du plexus) et une
zone
d'a- nesthésie croisée, gauche, moins élevée qu
ns chercher à élucider la pathogénie : nous voulons parler des deux
zones
d'hypel'esthésie super- posées aux territoires
ice de la moitié gauche du corps au-dessus de la 1 re paire dorsale
zone
pG (parésie du bras gauche, pa- (1) J. SoTTAs,
voisinage du foyer : de là, l'hyperesthésie du territoire innervé, la
zone
HD, superposée à.la zone d'anesthésie AD. L'e
l'hyperesthésie du territoire innervé, la zone HD, superposée à.la
zone
d'anesthésie AD. L'explication précédente s'app
MD2, détermine la paralysie droite du corps au-dessus de la lésion,
zone
PD ; que la participation loca- lisée de la col
ovoque l'anes- thésie opposée, à partir de la racine suivante, SG',
zone
AG ; enfin que l'irritation de voisinage, en o'
'entrecroisement de la racine SG2, a pour effet d'hyperesthésier la
zone
In, superposée à la zone d'anes- thésie AG. T
cine SG2, a pour effet d'hyperesthésier la zone In, superposée à la
zone
d'anes- thésie AG. Toute cette conception phy
du crâne, laquelle était le siège d'une légère hyperostose. Dans la
zone
de transition céphalo-rachidienne, la dure-mère
central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2
zones
arrondies où la substance grise est très raréfi
xes, cependant la déglutition est normale; la contractilité dans la
zone
du facial est aussi normale. Les membres supéri
e, dans la région hypoesthésique, Il semble bien qu'il existe une
zone
hypoesthésique en'demi-ceinture, à droite au ni
st normale suivant ses divers modes. Toutefois, il existe certaines
zones
de la ré- gion antéro-externe des jambes et de
froid et à la chaleur exagérée. Sensibilité élec- trique conservée.
Zone
hyperesthésique cutanée dans la région mammaire
e du crâne, laquelle était le siège d'une légère hyperostose. Dans la
zone
de transition' céphalo-rachidienne, la dure-mèr
la pression de la tumeur qui s'avance vers elles. C'est surtout aux
zones
de transition, près des tissus fortement infilt
central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2
zones
arrondies où la substance grise est très raréfi
vical qui paraissent plus libres sont engaiuées aussi par une étroite
zone
de masses néoformées. La structure des tumeur
e la moelle ; il est sur toute la hauteur plus ou moins entouré d'une
zone
d'infiltration nucléaire. Le parenchyme, fibr
rées sont les cordons postérieurs, et dans les cordons latéraux les
zones
périphériques et celles qui avoisinent les corn
es faces supérieure et in- férieure de la tumeur pénètrent dans des
zones
de proliférations nucléaires confluentes qui pe
ège sur les deux hémisphères, au niveau du lobule para- central, la
zone
atteinte est plus considérable à droite. Le caill
du canal de l'épendyme en dehors duquel elle com- mence jusqu'à la
zone
de Lissauer, ovalaire, il grand axe dirigé dans l
runâtre uniforme, ceux de l'an- nulaire et du pouce présentent deux
zones
de coloration très distinctes et nette- ment tr
ion très distinctes et nette- ment tranchées. , A l'annulaire, la
zone
postérieure basale est d'une teinte uniformément
one postérieure basale est d'une teinte uniformément jau- nâtre. La
zone
antérieure, noirâtre dans son ensemble, présente
ines bandes ondulées d'une teinte plus claire. A la vérité, cette
zone
antérieure est transparente et elle doit sa color
ant. Au pouce, la coloration est à peu de chose près, identique. La
zone
posté- rieure est d'un jaune sale ; la zone ant
ose près, identique. La zone posté- rieure est d'un jaune sale ; la
zone
antérieure laisse voir éparses sur un fond noir
es s'est effectué ce dédoublement. Toutefois, en se fondant sur les
zones
de colorations différentes précédemment décrite
tiers inférieurs de l'avant-bras droit. En avant et en arrière, la
zone
anesthésique est coupée en manche de veste ; -,
ues des ongles citez une hystérique qui, précisément pré- sente ses
zones
anesthésiques au niveau des mains. Observation
ngourdisse- ments, des fourmillements. Or, elle présente : 1" une
zone
d'anesthésie tactile et d'analgésie localisée à
isée à la région thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° une
zone
d'anesthésie tactile et d'analgésie occupant la
ien sont variées et nombreuses les voies de communication entre les
zones
motrices de la surface cérébrale et les membres.
assez grand nombre de cas cliniques. Nouspensons, en effet, que la
zone
corticale sensitive, dont nous avons essayé de
t à une variété spéciale d'anesthésie. Et si l'homogénéité de cette
zone
n'est peut-être pas absolue, en ce sens, que ce
point que sur tel autre, tout au moins, les diverses régions de la
zone
, se suppléent-elles aisément au point de vue de
NSITIF. 85 un assez grand nombre de faits, que la destruction de la
zone
motrice est parfaitement compatible avec l'inté
fréquemment troublée à la suite des altérations destructives de la
zone
motrice que dans les cas de lésions occupant un
its nous autorisent à conclure qu'il existe dans l'écorce une vaste
zone
sensitive, qui vraisemblablement comprend toute
térielles dans les circonvolutions du côté gauche et sur une petite
zone
du côté droit, accompagnées des dilacérationsde
ander, M. Wernicke constate l'ennlobement du lobe occipital dans la
zone
d'atrophie ; cependant, MM. Heinhard et Sander
econd jour, le cerveau commence à brunir et à se dessécher dans les
zones
les plus extérieures jusqu'à ce que, finalement,
jours et demi après l'attaque. L'autopsie décèle simplement deux
zones
nettement limitées d'infiltration (syphilitique)
ute importance pour le traitement. CH. F. VII. Recherches sur les
zones
hystérogènes; par R. GaunH : , 1882. Thèse de B
omble une grande partie des lacunes laissées dans l'Iris- toire des
zones
bystérogenes. 111\I. 13ourneville et Rennard, dan
s Eludes cliniques de /ti/s<ët'o-] ! 7epSM n'avaient observé ces
zones
4lui'à la tête et au tronc, et M. Charcot, dans
x membres inférieurs qu'aux supérieurs. D'une manière générale, les
zones
hystérogènes sont fréquemment, mais non constam
leur niveau n'est pas constant; chez une même malade, on trouve des
zones
anesthésiques et d'autres qui sont sensibles. E
romes des crises. Quelques malades présentent en même temps que des
zones
hysiérogènes des zones qui sentie siège d'une d
ues malades présentent en même temps que des zones hysiérogènes des
zones
qui sentie siège d'une douleur vague et qui peu
'une douleur vague et qui peuvent devenir hystérogenes. Certaines
zones
peuvent disparaître et d'autres apparaissent. U
Certaines zones peuvent disparaître et d'autres apparaissent. Une
zone
exclusivement excito-motrice peut devenir, suivan
ivant le degré de la compression, excito-motrice ou frénalrice. Une
zone
exclusivement motrice peut devenir, selon le de
t. Sous l'influence du froid excessif (pulvérisations d'éther), les
zones
hystérogenes des membres et des seins ne se con
on détermine une attaque. La chaleur ne met pas en jeu l'action des
zones
et ne les influence en aucune façon. Les piqûre
ne déterminent pas non plus l'attaque; la sensibilité spéciale des
zones
hystérogenes siège pro- fondément ; il n'y a qu
iège pro- fondément ; il n'y a que la pression qui la révèle. Les
zones
hystérogenes des membres ont pour siège les irrad
périphériques. La compression des troncs nerveux qui innervent ces
zones
provoque l'attaque, tout comme la compres- sion
nt ces zones provoque l'attaque, tout comme la compres- sion de ces
zones
elles-mêmes. Les zones mammaires comme les zone
'attaque, tout comme la compres- sion de ces zones elles-mêmes. Les
zones
mammaires comme les zones ovariennes (Charcot.
res- sion de ces zones elles-mêmes. Les zones mammaires comme les
zones
ovariennes (Charcot. Féré, Baraduc) siègent dans
Iamarch, qui amène l'ischémie, font disparaître progressivement les
zones
hystérogenes ; mais, au-dessus du territoire isch
rculation. Souvent l'application d'un sinapisme fait disparaître la
zone
; mais, au dessus, le nerf garde son excitabilit
la zone; mais, au dessus, le nerf garde son excitabilité. Quand une
zone
est unilatérale, l'application d'un sinapisme s
sparaître sans transfert. Quelquefois le sinapisme appliqué sur une
zone
hystérogène fait disparaître la zone symétrique.
le sinapisme appliqué sur une zone hystérogène fait disparaître la
zone
symétrique. Une injection sous-cutanée d'eau di
étrique. Une injection sous-cutanée d'eau distillée au niveau d'une
zone
la fait disparaître ; mais, au dessus, le nerf
e. L'électrisation locale (courants voltaïques ou faradiques) d'une
zone
l'eu'ace pour un temps, tandis que le nerf conser
eu'ace pour un temps, tandis que le nerf conserve au- dessous de la
zone
son excitabilité. (Des courants faradiques semb
pour chaque malade), dont l'application puisse faire disparaître la
zone
hystérogène, sans toutefois influencer l'action
BIBLIOGRAPHIE. 267 lution par l'éthérisation, l'excitabilité des
zones
et du nerf dis- parait. Les courants agissant
ants ou descendants) et sur le cerveau, font disparaître toutes les
zones
hystérogenes et l'excitabilité des troncs nerve
térogenes et l'excitabilité des troncs nerveux qui s'y rendent. Les
zones
h3stero- gènes effacées par des actions locales
inaux. La fréquence des modifications influe sur la persistance des
zones
. Cn. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Tuberculose de
chaque côté du canal central ; mais, laissant à la périphérie une
zone
qui est fournie par d'autres vaisseaux. » (Voy. l
rsale. Au-dessus de cette ligne se trouve, toujours à droite, une
zone
d'anesthésie qui atteint la sixième vertèbre dors
. Au-dessus de cette région analgésique existe, à gauche une petite
zone
d'hyperesthésie, correspondant à la zone d'anes
xiste, à gauche une petite zone d'hyperesthésie, correspondant à la
zone
d'anesthésie du côté droit. Le sens de la tempé
ies primitives, immédiates ou directes, des), par Sanders, 237.
Zones
Ilystérogencs (recherches sur les), par Gaube,
ns fréquentes. Dans la journée Ler... avait ses grandes attaques.
ZONES
HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaque pouvai
ertaine région de la peau que M. Brown-Séquard désigne sous le nom de
zone
épileptogène. Cette zone, située du même côté du
que M. Brown-Séquard désigne sous le nom de zone épileptogène. Cette
zone
, située du même côté du corps que la lésion nerve
me bornerai à constater l'existence chez les hystéro-épileptiques de
zones
absolument comparables aux zones épileptogènes du
nce chez les hystéro-épileptiques de zones absolument comparables aux
zones
épileptogènes du cochon d'Inde et que je désigner
es épileptogènes du cochon d'Inde et que je désignerai sous le nom de
zones
hystéro-épileptogènes, ou plus simplement de zone
rai sous le nom de zones hystéro-épileptogènes, ou plus simplement de
zones
hystérogènes. Gen... possède entre les deux cir
e zones hystérogènes. Gen... possède entre les deux cirioplates une
zone
hyperesthé-siée dont le simple attouchement suffi
aques il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la pression de la
zone
indiquée n'a-mène plus aucun phénomène convulsif.
nent tous à la fois et avec une grande intensité. Gl... possède une
zone
hystérogène différente. La zone est double, il fa
grande intensité. Gl... possède une zone hystérogène différente. La
zone
est double, il faut toucher à la fois deux points
int ne produit aucun résultat. Au contraire, chez Suzanne N..., une
zone
hystérogène existe t'ir,. 9- — Principales zone
z Suzanne N..., une zone hystérogène existe t'ir,. 9- — Principales
zones
hystérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'. Zon
9- — Principales zones hystérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'.
Zones
sus-mammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones s
stérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'. Zones sus-mammaires. 2.
Zone
mammaire. 3, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5.
eure du corps. 1, 1'. Zones sus-mammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'.
Zones
sous-axillaires. i, 4', 5. Zones sous-mammaires.
ammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5.
Zones
sous-mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'.
, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5. Zones sous-mammaires. 6, 6'.
Zones
costales. 7, 7'. Zones iliaques. 8, 8'. Zones
es. i, 4', 5. Zones sous-mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'.
Zones
iliaques. 8, 8'. Zones ovariennes. vers la mê
mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'. Zones iliaques. 8, 8'.
Zones
ovariennes. vers la même région, mais d'un seul
gauche au-dessous dusein, pour provoquer les Fig. 10. — Principales
zones
hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale
s Fig. 10. — Principales zones hystérogènes. Face postérieure. 1.
Zone
dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure.
es hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale supérieure. 2.
Zone
dorsale inférieure. 3. Zone latérale postérieur
ure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure. 3.
Zone
latérale postérieure de Suz. N... convulsions.
érogène qui, contrairement à ce qui se passe le plus souvent pour les
zones
hystérogènes postérieures, n'est pas situé sur
plate (fig. 10, n° 3). Witt... ressemble sous ce rapport à Gl... Sa
zone
hystérogène est double et existe de chaque côté,
ns, presque sous les aisselles (fig. 9, n° 3, 3'). Chez Marc..., la
zone
hystérogène est également double, elle siège un p
uliette Dub... possède, sans compter l'hyperesthésie ovarienne, trois
zones
hyperesthésiques capables, par leur excitation, d
rnum, l'excitation demeure sans effet. Ernestine Pil... possède une
zone
hystérogène sur la partie anté-rieure delà poitri
du mamelon, (fig.9,n°2). Léonore Rob..., comme Dub..., possède une
zone
antérieure et une zone postérieure. Antérieuremen
). Léonore Rob..., comme Dub..., possède une zone antérieure et une
zone
postérieure. Antérieurement la zone est double, p
ossède une zone antérieure et une zone postérieure. Antérieurement la
zone
est double, placée presque immédiatement au-desso
acée presque immédiatement au-dessous du sein (fig 9, n° 4 et 4'). La
zone
à gauche est beaucoup plus sensible qu'à droite.
e,;tandis qu'à droite il faut insister da-vantage. Postérieurement la
zone
est unique, située sur la ligne médiane, mais bea
région lombaire (fig. 10, n° 2). Enfin je rappellerai qu'il est une
zone
d'hyperesthésie com- mune à toutes nos malades
rie ou hyperesthésie ovarienne qui ne diffère en rien d'essentiel des
zones
hystérogènes que je viens d'indiquer (fig. 9, n°8
iscère profondément situé dans le petit bassin, tandis que les autres
zones
hystéro-gènes sont plus ou moins superficielles.
plus prompte et plus complète. Il résulte de ce qui précède que les
zones
hystérogènes ont une situation des plus variables
r, d'après les faits que nous avons eu l'occasion d'observer, que le^
zones
hystérogènes occupent le tronc exclusivement' qu'
nfin elles existent plus fréquemment à gauche qu'à droite, et que les
zones
unilatérales que nous avons rencontrées ont toujo
s que nous avons rencontrées ont toujours été situées à gauche. Les
zones
hystérogènes n'affectent avec î'hémianesthésie au
'ovarie existait du côté opposé à I'hémianesthésie. Très souvent la
zone
hystérogène existe sur la ligne médiane, comme
que des deux côtés. Dub... est anesthésique à gauche et possède une
zone
hystéro-gène double sur la partie antérieure de l
et sur ce point seulement la sensibilité à la piqûre persiste. Les
zones
hystérogènes ne sont pas en tout temps également
permettre cette expression, se trouve en quelque sorte déchargée, les
zones
hystérogènes s'amoindrissent ou même dis-paraisse
influence bien connue des attaques convulsives sur l'excitabilité des
zones
hysté-rogènes, on peut voir cette excitabilité s'
, — et dontle mode d'action nous échappe complètement. L'action des
zones
hystérogènes ne se borne pas à provoquer les atta
compression ovarienne l'est également pour l'excitation de toutes les
zones
hystérogènes que nous avons signalées. L'expérien
nner la préférence à la pression. Quand la malade possède plusieurs
zones
hystérogènes, l'attaque occasionnée par l'excitat
hez chacune de nos malades suivant la situation et le nombre de leurs
zones
hystérogènes, et le résultat obtenu ne saurait ch
malade retombe sur son lit dans la résolution la plus complète. des
zones
hystérogènes, le début de la période épileptoïde
t la malade à la réalité : c'est, en première ligne, l'excitation des
zones
hystérogènes et particulièrement la compression d
prédominance marquée du côté gauche. Je rappellerai ici que les deux
zones
hystérogènes de cette malade se trouvent égalemen
ur ovarienne existe aussi à gauche. Elle possède, en outre, plusieurs
zones
hystérogènes. (Voy. p. 37.) Le bruit du gong prov
même côté. En outre de l'hyperesthésie ovarienne, elle possède trois
zones
hystérogènes (voy. p. 37). Le bruit du gong ne
du côté gauche, douleur thoracique au-dessus des seins au niveau des
zones
hystérogènes, strangulation, batte-ments dans les
plète de l'œil gauche (elle ne voit pas le violet). Elle possède deux
zones
hystérogènes, l'une sous-mammaire du côté gauche,
nes-thésique à gauche. Elle est ovarienne du même côté et possède une
zone
hystérogène mammaire gauche (voy. p. 37). Elle
à gauche et achromatopsique incomplète du même côté. Elle possède une
zone
hystérogène au niveau du sein gauche. Quelque tem
la pression est limitée à l'ovaire (ovaralgie); car partout, dans la
zone
correspondante et voisine, il y a anes-thésie. Ce
les temps de répit. » La compression ovarienne et l'excitation des
zones
hystérogènes conservent, pendant l'état de mal ép
rversions de courants continus, compression ovarienne, exci-tation de
zones
hyperesthésiques) dont l'influence sur les attaqu
La compression ovarienne ne pouvait être main-tenue. L'excitation des
zones
hystérogènes du dos et des aisselles demeurait sa
ième phase.) Pendant cet état de léthargie hypnotique, l'action des
zones
hys-térogènes, dont j'ai parlé, page 32, persiste
e 32, persiste avec cette particularité bien curieuse, que toutes les
zones
hystérogènes autres que le point ovarien détermin
ique. La malade n'a absolument conscience de rien ; la pression de la
zone
hystérogène, qui arrête l'attaque, ne détermine p
coups de pied... etc. y Elle est anesthésique totale et n'a plus de
zone
hystéro-épilep-togène. Elle s'endort plus diffi
BULISME, En temps ordinaire B... porte sur le sommet de la tête une
zone
hyperesthésique ; la pression en est fort doulour
epsie. Elle a sur le som-met de la tête et entre les deux épaules une
zone
d'hyperesthésie, dont l'at-touchement provoque un
. Elle supporte courageusement la douche. L'action de celle-ci sur la
zone
hyperesthésiée, entre les deux épaules, n'a jamai
ovoqué d'accès, ce qui arrive aux malades qui portent en ce point une
zone
hystérogène. La femme de chambre raconte que la
elles ne sont pas plus perçues qu'auparavant. Un peu plus tard cette
zone
de sensibilité s'est étendue, et dans les cas ext
ion ovarienne, des interver-sions électriques, et de l'excitation des
zones
hystérogènes. — Je ne reviendrai pas ici sur ce q
rai pas ici sur ce qui a été dit de la compression ovarienne et des
zones
hystérogènes (pag. 28 et 32) et il sera parlé plu
rfs intercostaux. En effet, de même qu'une première excitation de ces
zones
d'hyperesthésie provoque les convulsions, une nou
itime, pour l'hyperesthésie ovarienne, une mention spéciale parmi les
zones
hyperesthésiées. e. — influence de la musique
l'anesthésie partielle que l'on voit manquer le transfert, ou bien la
zone
redevenue sensible, s'accroître peu à peu à chaqu
nté fig. 9 et 10, les régions du corps occupées de préférence par les
zones
hystérogènes, aux endroits où, d'après le dire de
Vura hysterica.................................................. ^~
Zones
hystérogènes.....................................
sion ovarienne, des interversions électriques, et de l'excitation des
zones
hystérogènes............... 583 b) . Marche de
nt dans la région intermédiaire du lobule, celle qui s'étend entre la
zone
cen-trale confinant à la veine intra-lobulaire et
nd entre la zone cen-trale confinant à la veine intra-lobulaire et la
zone
périphéri-que confinant aux ramifications inter-l
on d'abord transitoire, puis permanente de la veine centrale et de la
zone
capillaire qui y atteint immédiatement, a pour ef
l. Toujours est-il que l'altération se prononce primitivement dans la
zone
moyenne du lobule. Les cellules hépatiques, altér
-lobulaire qui a pour siège la péri-phérie de la veine centrale et la
zone
immédiatement située en dehors de celle-ci. Cette
elle sorte que le lobule hépatique était absolument enveloppé par une
zone
conjonctive, en même temps que la substance même
'un noyau central formé prin-cipalement de matière colorante et d'une
zone
radiée, constituée par de la cholestérine. Je ne
a, grande majorité des calculs biliaires: 1° un noyau central; 2° une
zone
moyenne, en général constituée par plusieurs la-m
cture de la couche moyenne après ce qui en a été dit plus haut. Cette
zone
est d'ordinaire, je le répète, composée de crista
a une écorce, elle se distingue presque toujours très nettement de la
zone
moyenne par sa couleur, son appa-rence stratifiée
semblant constitué prin-cipalement par de la matière colorante , une
zone
moyenne composée de cholestérine disposée en pyra
ine au microscope à la forme des petits fragments qu'on détache de la
zone
radiée du calcul. Elle se reconnaît aussi, quand
ds. Mais le plus communément la cholestérine cristalline constitue la
zone
radiée moyenne. Il existe un noyau et une écorce,
melleux; la couleur jaune ouverte y est souvent' in-terrompue par des
zones
blanchâtres de choleslérine. En gé-néral, la coul
forme de coin, dans la subtance corticale. Ces abcès, entourés d'une
zone
violacée, ne sont pas sans analogie, vous le voye
bout de quelques mois (sclérose périlobulaire). Mais, en général, la
zone
la plus externe du lobule est eE quelque sorte di
) Gornil et Ranvier. — Manuel d'histologie pathologique, p. 922. la
zone
la plus voisine, du lobule; au lieu de ces cellul
s, apla-ties, comme on aurait pu s'y attendre, sauf peut-être dans la
zone
la plus externe où il y a sur deux rangées parfoi
gethiere. Halle 1865, Taf. IV, f. 1), R, substance corticale. — Gr,
zone
limitante. — M, substance médullaire. 1,Capsule
on des pyramides de Malpighi, peut être elle-même sub-divisée en deux
zones
, à savoir : Io la zone papillaire ; 2° la zone-li
ighi, peut être elle-même sub-divisée en deux zones, à savoir : Io la
zone
papillaire ; 2° la zone-limitante ou intermédiair
-bach, 1.1, p. 489, fig. 138, Edit. angl.) p, région papillaire. — g,
zone
limitante. — r, couche cor-ticale. Les stries fon
tes, correspondent par leur position aux fascicules vasculaires de la
zone
limitante. Les parties trans-parentes de la régio
s par en haut jusqu'à la capsule rénale ; ils en sont séparés par une
zone
étroite qui n'est qu'un prolonge-ment de la subst
s des anses Fig. 2o. — Coupe transversale du rein au niveau de la
zone
limitante. — a, de Henle formées aux dépens tub
s cette région que deux variétés de tubes urinifères. B. bans la,
zone
limitante, au contraire, on trouve trois va- Fi
e du lobule se voit le prolongement médul-laire; à la périphérie, une
zone
constituée par les parties contiguës du labyrinth
ance exacte de la disposition lobulaire que pré-sente le rein dans la
zone
corticale est indispensable à l'ana-lomo-patholog
ladie de Bright. B. Sur des coupes transversales pratiquées dans la
zone
li-mitante ou intermédiaire, au voisinage de la c
t aplati ; il n'y a plus de con-tournés d'aucune espèce. C. Dans la
zone
papillaire, l'épithélium cylindrique des tubes co
capillaires à mailles plus ou moins larges, qui, sur les bords de la
zone
limitante, communique d'ailleurs avec le système
correspondantes du rein la sé-crétion d'eau; or, tandis que dans les
zones
correspondantes aux parties cautérisées la colora
ain les canalicules contournés ; ceux-ci paraissent remplacés par une
zone
d'une teinte rouge, produite par le carmin: l'exa
s ou fusiformes ; et avec un peu d'attention, on reconnaît dans cette
zone
rouge la lumière, singulièrement rétrécie et comp
mplis de cylindres granuleux ou transparents. — 3° En dehors de cette
zone
, se voient les glomérules de Malpighi enveloppés
intermédiaire à la substance médullaire et à la substance corticale (
zone
limi-tante), correspond à la voûte artérielle.
en-dront le siège d'une stase sanguine. Dans les veines droites de la
zone
limitante, cette stase aura des conséquences par-
ace et fissure interlobulaire très agrandis entourant le lobule d'une
zone
complète de tissu conjohetif. — Les vaisseaux san
aires du centre de l'espace. Ces deux vaisseaux sont entourés par une
zone
de tissu conjonctif adulte. C,C, Canalicules bi
e zone de tissu conjonctif adulte. C,C, Canalicules biliaires de la
zone
intermédiaire, leur direction générale est perpen
Partie centrale de l'espace. Région des canalicules volumineux. L',
Zone
intermédiaire dans laquelle les canalicules sont
les canalicules sont de calibre moyen et dessinent des réseaux. C,
Zone
embryonnaire, et de cirrhose intralobulaire. Les
s —, 178. Vomissements (Des), dans la colique hépatique, 166. Z
Zones
du rein, 290 ; — limitante, 291 292, 294, 398 ; —
inverse de ce qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la
zone
psycho- motrice de l'écorce ou de la substance
ration dans les parties internes des faisceaux de Goll et dans la
zone
radiculaire des colonnes postérieures ; 3° un pro
ns. La sensibilité à la douleur est assez obtuse et l'on relève des
zones
d'analgésie multiples du côté de l'extension et
ticale ne sont pas les mêmes que celles des autres tissus. Dans les
zones
corticales l'influence tro- phique des impulsio
trie dans les deux hémisphères. Dans la moelle épinière se voit une
zone
d'égale largeur au voi- sinage immédiat de la m
de la coordi- nation des produits reçus ou fournis par les diverses
zones
sensitivo- motrices du cortex, et opère la synt
es à l'extension de la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la
zone
motrice ; 5° convulsions fréquentes mais de nat
encore que les points d'élection de ces tumeurs cavitaires sont les
zones
radiculaires postérieures et les parties adjace
par la certitude de l'irritation d'un point toujours le même de la
zone
motrice, l'opération doit alors enlever non seu
évidemment sur l'anatomie normale des cor- dons postérieurs et des
zones
adjacentes. Nos connaissances à ce sujet se son
son long trajet ascendant, à travers les cordons postérieurs et les
zones
adja- centes. De même, supposons un foyer de
niveau du sillon collatéral, son faisceau à fibres grêles occupe la
zone
dite de Lissauer, tandis que son faisceau à gro
SE. mentionner. Un- peu plus haut, les grosses fibres occupent la
zone
dite cornu-radiculaire ; cette zone a la forme d'
les grosses fibres occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette
zone
a la forme d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe
sant (fig. 1). Sa pointe postérieure touche la partie interne de la
zone
de Lissauer, sa pointe antérieure arrive au bord
les mêmes grosses fibres, quoique diminuées de n'ombre, occupent la
zone
dite de la bandelette externe ; le croissant pr
es (procédé de Wuigert-Pal). 7 ? 1. La racine postérieure occupe la
zone
cornu-radiculaire, disposée sous fotme d'un cro
s dégénérations secondaires, les fibres courtes ne dépassent pas la
zone
de Lissauer et la zone cornu-radiculaire ; elles
ires, les fibres courtes ne dépassent pas la zone de Lissauer et la
zone
cornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des
rieure, abordant la moelle, suit un trajet ascendant bien délimité (
zone
cornu-radiculaire, zone de la bandelette extern
le, suit un trajet ascendant bien délimité (zone cornu-radiculaire,
zone
de la bandelette externe, zone du triangle post
en délimité (zone cornu-radiculaire, zone de la bandelette externe,
zone
du triangle postérieur). Mais, DES LOCALISATION
adiculaire occupe la plus grande éten- due des cordons postérieurs (
zones
pointillées). Toutefois, il n'atteint pas en av
, et nous comprendrons aisément les conclusions suivantes : en B (
zone
d'entrée ou de Lissauer) sont situées les fibres
bres fines de la racine postérieure qui pénètre à ce niveau ; en a (
zone
cornu-radiculaire) le faisceau à grosses, fibre
s de la moelle. ' Les champs radiculaires ou exogènes occupent : la
zone
cornu-radicu- laire (a); les bandelettes extern
bandelettes externes (a', a") ; les triangles postérieurs (a'"). B,
zone
de Lissauer ; D, cordons latéraux ; E, région pér
elette la plus externe est celle de la racine qui a pénétré dans la
zone
cornu-radiculaire immédia- - tement sous-jacent
ES DU TABES DORSALIS. 189 pas en entier ; ils respectent' certaines
zones
remplies par les faisceaux endogènes. Dans ce
se place de chaque côté du sillon médian postérieur. 11 occupe une
zone
irrégulièrement ovalaire, un peu effilée à ses de
on sacrée inférieure et du cône terminal. Il est représenté par une
zone
décolorée, de chaque côté du sillon médian post
scicules endo- gènes ascendants forment la plus grosse partie de la
zone
cornu-commissurale, surtout développée au nivea
e au niveau des ren- flements, lombaire ou cervical. On sait que la
zone
, dite cornu-commissurale, occupe l'angle formé
postérieures adjacentes, sur le point de pénétrer dans ia moelle ; B,
zone
de Lissauer (faisceau grêle) ; C, corne postéri
, cordons latéraux : E, commissure grise ; F, colonnes de Claire.
Zones
radiculaires (faisceau à grosses fibre*). - En a,
de Claire. Zones radiculaires (faisceau à grosses fibre*). - En a,
zone
cornu-radiculaire ; en a', a", zone des bandele
ceau à grosses fibre*). - En a, zone cornu-radiculaire ; en a', a",
zone
des bandelettes externes ; en a ? zone des libres
rnu-radiculaire ; en a', a", zone des bandelettes externes ; en a ?
zone
des libres longues (champs postérieurs). Zones
tes externes ; en a ? zone des libres longues (champs postérieurs).
Zones
endogènes. - En b, zones endogènes descendantes (
e des libres longues (champs postérieurs). Zones endogènes. - En b,
zones
endogènes descendantes (faisceau triangulaire mé-
elette périphérique, virgule de Sclmlsr, suivant la région ; en 4',
zones
endogènes ascendantes (région coriia-coiiiiiiissu
mine au niveau des bandelettes externes (deux tiers antérieurs). La
zone
cornu-radicu- laire (a) attenant au boi d inter
roportion qui existe, à tous les niveaux, entre la décoloration des
zones
d'entrée et des champs poste- rieurs, et celle
ration des zones d'entrée et des champs poste- rieurs, et celle des
zones
de trajet (bandelettes externes et leurs deu\ tie
o-lombaire, virgule de Sclmltze). Les fibres endogènes ascendantes (
zone
cornu-com- missurale) sont également prises, ma
sensiblement ana- logue, quelles que soient les régions examinées (
zones
exo- gènes ou endogènes). Là aussi, le processu
eure, colonnes de Clarke) nous ont paru intacts ; dans toutes ces
zones
, nous n'avons constaté que la diminution plus ou
xtension rapide; cette lésion entraîne très vite la destruction des
zones
endogènes des cordons postérieurs, ascendantes
par un foyer qui englobe tous ces nerfs, en en respectant certaines
zones
et cela, dès le début de la maladie. Il y a là
'une frayeur ayant occasionné une perte de connaissance. Elle a des
zones
d'anesthésie sur les quatre membres. Le tremble-
nérale est intacte. Il ne m'est pas possible de constater ni aucune
zone
d'anesthésie, ni aucune plaque d'hypéresthésie.
te est celle qui comprend un certain degré de parti- cipation de la
zone
antérieure psychique sous forme de phénomènes d
ment constituées par un noyau volumineux que l'on voit déjà dans la
zone
des cellules polygonales, qui augmente dans la
it déjà dans la zone des cellules polygonales, qui augmente dans la
zone
des petites cellules et atteint tout son développ
zone des petites cellules et atteint tout son développement dans la
zone
des grandes cellules pyramidales. Ces cellules se
t douloureuse, surtout eu arrière et à gauche, la pression de cette
zone
déterminant des mouvements réflexes, des contrac-
région huccale et pharyngée était excessivement sensible. Pour les
zones
hys- térogènes, pensera-t-on qu'il existe un po
ellules des noyaux du pont de Yarole, qui, une fois arrivées à la
zone
moléculaire, s'appliquent contre la tige ascendan
ites des cellules de Purkinje. Tout mouvement volontaire, parti des
zones
rolandiques de l'écorce cérébrale, doit donc ag
ière, il faut accorder une atten- tion spéciale à l'existence d'une
zone
, parfois considérable, de dissociation syringom
mmédiatement au-dessus de la région complètement anesthésiée. Cette
zone
d'analgésie et. de thermoanesthésie peut être e
érieures. ' Dans la moelle, ces modifications se localisent dans la
zone
d'expansion des faisceaux des racines postérieu
abétiques dans la moelle, se localise presque exclusivement dans la
zone
d'expansion de l'articulation spinalis postérie
cette idée, nous conseillons de pratiquer la cra- niectomie dans la
zone
rolandique, en levant une portion du crâne part
Mexico). L'épilepsie jacksonienne est molivée par des lésions de la
zone
psychomotrice de l'encéphale. Elle offre des fo
oïde, un second à deux centimètres au-dessous de celle apophyse. La
zone
doulou- reuse est limitée en arrière à trois ou
poumon, du tube digestif ou de l'urine. On ne trouve ni ovarie, ni
zone
hystérogène en aucun point du corps. Le réflexe
tuels. L'effet est instantané, et dure autant que la pression des
zones
mentionnées, mais qu'on suspende la pression, ins
1 Remarquons qu'en aucun des points d'inhibition, on ne trouve de
zones
hystérogènes. Les symptômes que nous venons de
is n'exerça aucune influence sur l'astasie. De plus la pression des
zones
postérieures du tronc qui supprime les troubles
que de la marche et les régions cutanées que nous avons vu être des
zones
d'inhibition pour les mouvements convulsifs ast
cules qua- drijumeaux, protubérance; pédoncules cérébelleux) et des
zones
radiculaires postérieures/ Il est probable que
ésie, mais conservation partielle de la sensibi- lité à la douleur.
Zone
d'anesthésie nettement délimitée, rétré- cissem
'origine et la terminaison des fibres ner- veuses dans les diverses
zones
foetales. 1. La zone des racines antérieures re
on des fibres ner- veuses dans les diverses zones foetales. 1. La
zone
des racines antérieures reçoit beaucoup de fibres
les cordons postérieurs. - 2. Les fibres du premier sys- tème de la
zone
radiculaire moyenne émanent, dans leur ensemble,
rke, notamment dans les renflements, les fibres se dirigent vers la
zone
limitrophe des cordes antérieures et postérieures
montant, soit en descendant. - 3. Quant aux fibres placées dans la
zone
médiane, impossible d'en savoir plus long. - 4.
sont disséminés sur toute la surface de la coupe trans- verse de la
zone
radiculaire moyenne. Mais il est impossible de sa
oir par quelle voie les fibres des cordons de Goll arrivent dans la
zone
radiculaire moyenne. Je n'ai pu constater l'ass
olonnes de Clarke dans les cordons postérieurs. 5. Les fibres de la
zone
radi- culaire postérieure médiane proviennent t
toutes des racines postérieures qui passent directement dans cette
zone
. Elles abandonnent les cordons postérieurs par
t en dedans dans les cornes postérieures. Les libres externes de la
zone
radiculaire postéro-médiane sortent latéralement
rieure d'où elles se dirigent t en avant. La masse principale de la
zone
radiculaire postéro-médiane court à travers la.
incipale de la zone radiculaire postéro-médiane court à travers la.
zone
radiculaire moyenne et arrive dans les cornes p
s qui rayonnent et les grandes cellules nerveuses. Les fibres de la
zone
radiculaire postéro-médiane ne montent donc pas
de ces deux espèces d'organes soit le même. 6. En ce qui regarde la
zone
radiculaire postéro-latérale, les fibres se per
t avec les fibres radiculaires postérieures. Donc, les fibres de la
zone
radiculaire moyenne entrent princi- palement en
palement en rapport avec les colonnes de Clarke; les fibres de. la
zone
postéromédiane s'unissent surtout aux cornes anté
; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des cordons grêles. Les
zones
foetales contiennent chacune les élé- : ments d
dont nous venons de parler. Sont atteintes : '. des premières : les
zones
radiculaires moyennes - les zones, médianes des
tteintes : '. des premières : les zones radiculaires moyennes - les
zones
, médianes des cordons postérieurs (dont l'évolu
ostérieurs (dont l'évolution est parallèle).' Puis, d'habitude, les
zones
radiculaires postéro-latérales, les cor-; dons
iculaires postéro-latérales, les cor-; dons de Goll. Plus tard, les
zones
radiculaires postéro-médianes Finalement les zo
. Plus tard, les zones radiculaires postéro-médianes Finalement les
zones
radiculaires antérieurs. Au sur et à mesure de
radiculaires antérieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de
zones
des cordons postérieurs marche la lésion des fi
L'autopsie décèle : dégénérescence des cordons postérieurs et de la
zone
d'entrée des faisceaux radiculaires, épais- sis
roubles de nutrition qui déterminent de l'irritabilité de certaines
zones
corticales; cette irritabilité, impuissante d'abo
e faits sur les stigmates per- manents : anesthésie, hyperesthésie,
zones
hystérogènes, sur la diathèse de contracture, l
d'oie ou du pied, et cela, surtout pour le premier, en excitant des
zones
qui d'ordinaire ne le provoquent point. Il en e
nt des mains. Hérédité. On ne constate pas d'autre anomalie, qu'une
zone
hyperesthésique au niveau du bregma. Les trembl
l'articulation du genou du même côté est rigide. En compri- mant la
zone
hystérogène, on provoque l'entre-bâillement des p
e même pour le pharynx; hémi'hypo-esthésie du côté gauche du corps.
Zones
d'hyperesthésie sur la tète, au niveau de la co
mêmes phénomènes que chez la première malade; la pression sur la
zone
ovarique n'interrompt pas plus le sommeil que dan
s conclusions de ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la
zone
motrice du cerveau peut déterminer chez le chie
Voici par exemple, un malade présen- tant dans la jambe blessée une
zone
d'anesthésie circonscrite; il en fait son cheva
dans cet oeil; tou- 252 SOCIÉTÉS savantes. tefois sur une petite
zone
du côté de la tempe le champ visuel est conserv
, des paralysies avec contracture, par sclérose ayant détruit les
zones
psychomotrices; le bec-de-lièvre, la gueule de
ndent se complètent à mesure que le territoire devient libre sur la
zone
des centres sensoriels et des instincts. 3t2
centre auditif, nous avons les musiciens; avec l'inté- grité des
zones
motrices, les sculpteurs, etc. A l'état normal,
es animaux nouveau- nés. Ainsi la destruction ou la résection de la
zone
motrice corti- cale qui se traduit chez l'adult
vec la fonction spéciale de celles-ci (main) et avec l'activité des
zones
corti- cales motrices. Nulles ou à peu près che
tout, comme celles que nous venons de signaler, à la périphérie des
zones
pyramidales supposées. Les fibres des systèmes py
pour caractère, d'occuper assez uniformé- ment toute la coupe de la
zone
pyramidate. Les autres fibres cons- tituent-ell
cendante. Si l'on divise la coupe transverse du pédoncule en quatre
zones
, on voit que le quart externe renferme des fibr
rt voisin con- tient les faisceaux des pyramides. Dans la troisième
zone
adja- cente, c'est-à-dire en dedans de ce derni
le passent dans le tiers supérieur de la capsule interne. Enfin, la
zone
la plus interné du pédoncule ne contient ni les
mouvements de défense énergiques, sans sensations d'aura. C'est une
zone
hyperesthésique et non hystérogène. Les membres
sse iliaque gauche et au-dessous de la mamelle gauche existent deux
zones
hystérogènes déterminant des sensations d'aura,
, 1883-81, suite malattie dell. sistema nervoso. Milan, 1885. Des
zones
hystérogénes et lzpnogézzes; des attaques de somm
permit de reconnaître au niveau de la partie moyenne du sternum une
zone
hystéi-ogdize très limitée, dont le moindre att
tité de sang par le nez et par la bouche ; à partir de ce moment la
zone
hystéro- gène disparut et il devint possible, s
eproduisirent dans le même ordre de succession : 4 apparition de la
zone
hys- térobène ; 2° épistaxis; 3° disparition de
ition de la zone hys- térobène ; 2° épistaxis; 3° disparition de la
zone
; et cela à di- verses reprises. Cette zone n'ex
is; 3° disparition de la zone; et cela à di- verses reprises. Cette
zone
n'existe plus aujourd'hui et il y a plus de deu
s les jours, amenèrent une extension ascendante et symétrique de la
zone
sensible qui s'étendit au tronc et aux mem- bre
ercher s'il n'existe pas à la partie posté- rieure du tronc quelque
zone
hystérogène, nous remarquons que la tête ne rep
ait enlevé : à gauche, en deux séances, le lobe frontal et toute la
zone
motrice; a droite, outre les mêmes régions, la
ofonde des deux lobes occipitaux; anéantisse- ment eomplet des deux
zones
visuelles; et cependant il voyait parfaitement.
pyramidaux, il ne se produit pas de phénomènes spasmodiques si les
zones
radiculaires des cor- dons postérieurs des segm
e grise bi-latérale des cordons postérieurs et en particulier des
zones
radiculaires postérieures jusque dons la moelle c
septique détermine aussi une nécrose centrale ; puis, se montre une
zone
de dégénérescence avec amas granuleux assez abo
e dégénérescence avec amas granuleux assez abondants ; enfin, une
zone
irritative moins intense et se limitant essentiel
ariétale inférieure gauche, ramollissement englobant précisément la
zone
sur laquelle, il y a trois ans il appelait l'at-
ue, l'analgésie du côté droit sont descendues encore davantage; une
zone
d'anesthésie tactile de la largeur de 15 centim
centimètres est venue s'ajouter aux anesthésies précédentes; cette
zone
est limitée en haut et en bas par des lignes ho
nomènes révélateurs de la diathèse hystérique, tels que : ovarie,
zones
hypéresthésiques, analgésiques, rétrécis- semen
. Il est dans la moelle un système anatomique inter- médiaire aux
zones
motrices et sensitives, qui s'ad- joint aux fib
ico 1883-84, etc., p. 27. ' Voy. ]'ob. d'Albertine dans Pitres, Des
zones
hystérogènes et hypno- gènes; des attaques de s
ve assez souvent que l'on peut constater nettement la pré- sence de
zones
hypéresthésiques. C'est ce qu'a très bien noté
si que ces points hypéresthésiques sont sou- vent en même temps des
zones
hystérogènes et la recherche ou la connaissance
ps des zones hystérogènes et la recherche ou la connaissance de ces
zones
inaugurée par M. Charcot et récemment très éten
t'intérêt à provoquer cette attaque et la connaissance d'une de ces
zones
deviendra capitale. Ces zones pouvaient exister
taque et la connaissance d'une de ces zones deviendra capitale. Ces
zones
pouvaient exister avant l'apparition de l'attaq
comme elles ont apparu sans raison déterminante appréciable. Ces
zones
hystérogènes ont été expressément notées dans l
re ce matin à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche (
zone
hystérogène) M. Char- cot provoque qua ! re pet
ttaques, par la pression sous- mammaire. D Nous avons dit que les
zones
hystérogènes pouvaient exister avantl'apparitio
minait des attaques convulsives. Au bout de trois ans et demi cette
zone
disparût un beau jour, ' Des zones /t ! /s<&
u bout de trois ans et demi cette zone disparût un beau jour, ' Des
zones
/t ! /s<<;')'oyene6', etc. 978 ô REVUE CR
ur la malade ne nouspermirentpas de déceler la réapparition decette
zone
ou d'aucune autre de même nature. Du reste, pen
us avons déjà vu que M. Charcot avait observé que la pression d'une
zone
hystérogène faisait cesser le sommeil en provoq
la dénutrition qu'elle entraine. Or, sachant que la pression d'une
zone
hystérogène, par l'attaque convul- sive qu'elle
ous nous croirons toujours autorisé à rechercher l'existence de.ces
zones
et à nous en servir, une fois constatées, au mieu
esthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens, et les
zones
hystérogènes des muqueuses; par Licnwtiz. Th. B
es sens, goût, odorat, ouïe. Dans la seconde partie il s'occupe des
zones
hystérogènes de ces mu- queuses. Onze observati
pport avec celle des autres maladies de la sensibilité. Quant aux
zones
hystérogènes des muqueuses, elles paraissent tr
r la cornée, la conjonctive et le conduit lacrymal infé- rieur. Ces
zones
sont ordinairement symétriques. L'auteur leur a
va un peu loin lorsqu'il leur en donne une plus considérable qu'aux
zones
exté- rieures et prétend qu'elles sont plus fac
que les symptômes de l'ataxie se manifestent, l'autre périphérique (
zones
radi- culaires externes), qui est, si on peut s
inter- tubulaire n'est pas épaissi. Dans les cordons de Goll et les
zones
radiculaires externes, en particulier, rien n'i
lquefois passagère, (douze faits), ou incom- plète (treize faits de
zones
épargnées, deux faits de ligne médiane dépassée
ale et lombaire, la lésion des cordons postérieurs avait atteint la
zone
d'entrée radiculaire, tandis qu'elle avait respec
t la zone d'entrée radiculaire, tandis qu'elle avait respecté cette
zone
du côté droit. AI. Westphal présente des prép
grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la
zone
motrice du cerveau. - Ces deux cas ont été exam
nt été examinés au point de vue des questions sui- vantes. Quand la
zone
motrice est lésée : 1° l'atteinte seule de la s
tte malformation. Discussion. M. 13.1DLICH. C'est l'absence de la
zone
médiane de l'encéphale qui détermine l'étendue
inges supérieurs'. On voit qu'il existe à la surface du cerveau une
zone
exci- table entre deux zones non excitables; la
u'il existe à la surface du cerveau une zone exci- table entre deux
zones
non excitables; la première correspond chez les
ique, chez les autres animaux à la région sigmoïdienne; la seconde (
zone
inactive) comprend les lobes frontal et occipit
couronne rayonnante de Reil, faisceaux blancs correspondants à la
zone
motrice et seuls excitables. Ce sont d'avant en a
rdinairement à l'articulation de la hanche, et s'accompagnent d'une
zone
hypéresthésique des téguments très caractéristi
réflexes faibles, nous obtenons la flexion par la percussion d'une
zone
assez limitée (lieu d'élection; voir p. 42), chez
vant- bras et même parcelle de la région carpienne. L'étendue de la
zone
ré- flexogène est donc variable elle aussi. I
asionne indirectement, par suite de l'excitation de la peau dans la
zone
du tendon du quadriceps, un mouvement réflexe q
myélie peuvent abolir transitoirement les réflexes au-dessous de la
zone
atteinte Les phénomènes de shock dis- parus, on
on constate une abo- lition des réflexes tendineux au-dessous de la
zone
lésée ('). Si cette irré- flectivité n'est pas
ents est plus grande, la durée de la contraction plus longue, et la
zone
réflexogène plus étendue. La flexion du pied, de
e déterminer ainsi une sorte de contracture transitoire. Quant à la
zone
réflexogène, qui, à l'état normal, est ordinair
n évidence et où la déter- mination de la limite supérieure de leur
zone
de production est impor- tante à connaître. J'i
n réflexe du pied en pinçant la peau du membre inférieur hors de la
zone
plantaire, par exemple à la face dorsale du pied
en même temps qu'on abaisse l'extré- mité antérieure du pied. La
zone
réflexogène est plus ou moins étendue suivant les
emment l'intérêt, qu'une excitation du membre inférieur, hors de la
zone
plantaire, inca- pable de produire une flexion
ce relative de l'attitude en flexion. Dans cette première phase, la
zone
réflexogène serait limitée, comme à l'état phis
zone réflexogène serait limitée, comme à l'état phisiologique, à la
zone
plantaire, et ce n'est qu'ultérieurement qu'ell
ès Riddoch, si je l'ai bien compris, dans la section incomplète, la
zone
réflexogène du réflexe en flexion ne dépasserait
physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que par l'excitation de la
zone
plantaire et que les mouvements sont plus rapid
peut dire en général que chaque partie des téguments peut servir de
zone
réflexogène à des réactions motrices très varia
Nous nous proposons de démontrer que l'anesthésie organique dans la
zone
limitrophe possède, au moins dans certains cas, u
des fluctuations dans l'intensité de l'anesthésie, surtout dans la
zone
limitrophe ; mais la frontière qui sépare la zo
, surtout dans la zone limitrophe ; mais la frontière qui sépare la
zone
hypoesthésiée de celle où la sensibilité est tout
contraire, toutes deux quand on applique les deux excitants sur la
zone
normale. Conclusions. 1° Le territoire d'une an
me trouble s'étend de C 7 jusqu'à D 6 environ ; au-dessous de cette
zone
, on trouve de l'hypoesthé- sie thermique avec h
barrage que lui oppose la lésion spinale. Et si l'excitation de la
zone
anesthésiée ne provoque aucune réaction motrice
troisième et quatrième foyers sont peu étendus et constitués par des
zones
de myélite plutôt que par des ramollissements.
st relativement intacte, sauf tout à fait en avant où il existe une
zone
de dégénérescence légère consécutive au petit f
LSION ET MYOSIS BULBAIRES 299 M. et 1\1"'e Déjerine sous le nom de
zone
du ruban de Reil médian, à la partie inférieure
e (Goll, Burdach, trijumeau). Le ruban de Reil droit présente une
zone
de dégénérescence légère qui répond précisément
té de Biologie, an. 97, p. 1080. 3° Tumeur cérébrale, comprimant la
zone
rolandique gauche; hémiplégie permanente ; intégr
U FAISCEAU PYRAMIDAL 327 brale avec thrombose; ramollissement de la
zone
psycho-motrice dé l'écorce de l'hémisphère gauc
à la fois le sympathique et la moelle ? La limite supérieure de la
zone
de produc- tion de tous les phénomènes spontané
la sensibilité est plus élevée, surtout si nous tenons compte de la
zone
d'hypoesthésie nette : elle se trouve reportée à
iatrie und Neurologie, IgOI). x « REMARQUES SUR LA PERSISTANCE DE
ZONES
SENSIBLES A TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DANS LES
re, la température (le froid surtout) (fig. 3 1 sont perçus sur des
zones
à topographie presque identiques. La sensibilité
se, on observe une conservation relative de la sensibilité. Sur cette
zone
, la malade perçoit, mais d'une façon inconstant
emble intéresser le domaine des cinq racines lombaires ; il y a une
zone
sensible en selle. » On pourrait penser qu'il e
iste dans certaines paraplégies d'origine médullaire, au-dessous de
zones
complètement ou presque complètement anesthésiées
ous de zones complètement ou presque complètement anesthésiées, des
zones
où la sensibilité est conservée ; . 2° L'exis
ènes d'abolition et de conservation de la sensibilité sui- vant des
zones
radiculaires existent chez des malades atteints d
s la pratique on devra toujours examiner d'une façon minutieuse les
zones
des racines sacrées chez les malades atteints d
, l'anesthésie des racines sacrées ; 7° Enfin, l'existence de cette
zone
sacrée sensible permet d'affirmer que la lésion
sale et l'on pourra peut-être apprécier, d'après l'étendue de cette
zone
sacrée intacte, le degré de profondeur de la lési
premier genre d'erreur : une excitation de la peau au-dessus de la
zone
en question peut, surtout si elle est douloureuse
('). Lorsque (') Voir à ce sujet : Remarques sur la persistance des
zones
sensibles à topographie radiculaire dans les pa
sie. a) Anesthésie complète, tact, douleur, tem- pérature. · b)
Zone
où la sensibilité thermique est nor- male. ' ,
(fig. 48) par une bande claire au niveau du cordon de Burdach ; la
zone
radiculaire externe correspondant à ces racines
upe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des
zones
radiculaires externes dans les cordons postérieur
. arachnoïde; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm.
zone
marginale de démyélinisation. Fig. 4g. 5e seg
R. A. et postérieures R. P. ; on voit sur cette coupe avec netteté la
zone
de démyélini- sation marginale Zm ; et des grai
ion méningée qu'à la compression ; elles se traduisent : 1° par une
zone
marginale de dégénérescence et d'oedème qui se
térieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyramidaux ; la
zone
de démyélinisation marginale ZM, est intense.
beau répéter l'exa- men, l'anesthésie reste toujours absolue. Cette
zone
d'anesthésie totale est nettement séparée du te
uite normale : le domaine de l'anesthésie totale est surmonté d'une
zone
d'hypoesthésie qui se laisse subdiviser en deux
nt chacune occupe le territoire d'un segment environ. La pre- mière
zone
d'hypoesthésie marquée, d'une hauteur de trois à
nt le froid comme une piqûre parfois insupportable. Dans la seconde
zone
d'hypoesthésie légère, présentant la même étendue
très ancienne il n'en est pas ainsi ; on retrouve, il est vrai, la
zone
d'hypoesthésie légère à peu près semblable à cell
olition complète per- manente de toute sensibilité, n'occupe qu'une
zone
relativement restreinte, ou n'existe même pas d
n au-dessous de celle-ci (voir les fig. 55, 56, 57 et 58). Ainsi la
zone
intermédiaire entre l'hypoesthésie légère et l'an
e intermédiaire entre l'hypoesthésie légère et l'anesthésie maxima (
zone
d'hypoesthésie marquée) est parfois très étendue
dans certains sché- mas de M. Head antérieurs à nos recherches, la
zone
relativement réduite de l'anesthésie maxima, si
ire atteint, se trouve encadrée, en bas et en haut, par deux larges
zones
d'hypoes- thésie (voir fig. 55, 56 et 58). No
ignement de l'anesthésie maxima et par l'étendue considérable de la
zone
intermédiaire (zone d'hypoesthésie marquée). On
ésie maxima et par l'étendue considérable de la zone intermédiaire (
zone
d'hypoesthésie marquée). On peut, croyons-nous,
au-dessous de la compression, et que l'on n'a pas tenu compte de la
zone
d'hypoesthésie marquée, à cause de l'instabilit
repère. Nous avons constaté en effet dans nos observations, que la
zone
d'hypoesthésie marquée est nettement séparée de
es par l'exploration clinique (niveau de l'anesthésie, niveau de la
zone
des réflexes de défense) et l'épreuve de Sicard
anesthésique s'étend, sur une hauteur de 2 centimètres environ, une
zone
d'hypoesthésie légère (v. schéma). La sensibili
i de l'aine. Toutefois, nous avons pu les faire apparaître dans une
zone
dont la limite supérieure dépassait légèrement la
ions, l'anesthésie complète, permanente, n'occupe d'habitude qu'une
zone
relativement restreinte ou n'existe pas du tout ;
nsibilité tactile. Les troubles de sensibilité cantonnés dans cette
zone
semblent bien sous la dépendance de lésions rad
saient par cette ambulance, dite de triage, qui fonctionna dans une
zone
comprise entre 3 et 6 kilomètres de la ligne de
lomètres des premières lignes, dans les formations sanitaires de la
zone
des étapes, les accidents pithiatiques sont par
roit par rapport au pied gauche. » Il existe d'autre part une large
zone
anesthésique sur la face dorsale du pied et à l
franche ; par contre, il n'y a pas de transition brusque entre cette
zone
d'hypoes- thésie légère et la région située au-
inutes chacune sur la région verté- brale qui a été divisée en deux
zones
. L'ampoule était réglée de telle sorte que chaq
sée en deux zones. L'ampoule était réglée de telle sorte que chaque
zone
a reçu environ 15 unités H. Les rayons étaient
ie de Paris, 12 février 1910). 168. Remarques sur la persistance de
zones
sensibles à topograpgie radiculaire dans les pa
-Séquard par coup de couteau 358 X. Remarques sur la persistance de
zones
sensibles à topographie radiculaire dans les pa
esthé- sie testiculaire et au point de vue topographique dans une
zone
hystérogène iliaque, dont la compression a plus
ortant sur la sensibilité générale et spéciale : dyschromatopsie.
Zones
hystérogènes multiples. - Description générale
provoquées : arrêt possible des attaques par la conzpres- sion des
zones
hystérogènes. Absence d'élévation de la tempéra
rrière, elle y reste exactement limitée. On constate, en outre, des
zones
d'hyperesthésie dans les points suivants : ZONE
e, en outre, des zones d'hyperesthésie dans les points suivants :
ZONES
HYSTÉ11OGi ? NES. 35 1° au niveau de la 5e apop
est également aboli à droite. 21 février. On découvre une nouvelle
zone
d'hyper- esthésie située sur le crâne au niveau
vo- lonté en exerçant avec le doigt une forte compression sur la
zone
hystérogène (clou hystérique). Cet état do la s
les muqueuses ; rien de nou- veau du côté des organes des sens. ,
Zones
hystérogènes.-Zones iliaques de la grandeur d'une
i produit une sensation d'oppression etde constriction au cou; la
zone
du flanc gauche (côté sensible) présente la dimen
sion d'une pièce de 5 francs et est insensible ; au contraire, la
zone
du flanc droit, de la largeur d'une pièce de 50 c
à fait jusqu'à la ligne médiane. Enfin, on constate deuxnou- velles
zones
d'environ un centimètre de diamètre et placées
la sensibilité générale et la sensibilité spéciale; - les points ou
zones
hystél'ogènes, se pré- sentant absolument avec
re, t. III. (2) M. Charcot a parlé maintes fois dans ses leçons des
zones
hys- térôgènes. L'un de nous, utilisant l'ensei
e; de plus, il éprouverait une sensation de brûlure au niveau de la
zone
bregmatique. A ce moment, ses oreilles sifflent
ement en portant la main sur la tête de l'enfant pour explorer la
zone
d'hyperesthésie située au niveau du bregma ; à pe
mes conditions a pu être arrêtée par la compression énergique de la
zone
bregmatique (clou hystérique). Après ses atta
l rend parfaitement compte de ce qu'il a ressenti au moment où la
zone
hystérogène a été excitée; il décrit alors les ir
urvenu; la sensibilité reste intacte à gauche, abolie à droite. Les
zones
hystérogèncs n'ont paru subir aucune modificati
pas eu trace d'attaque depuis le début de ce traitement. Toutes les
zones
hystérogènes ont disparu et on peut maintenant
es ont disparu et on peut maintenant comprimer de toute sa force la
zone
bregmatique sans déterminer aucune sensation an
femmes hystériques, nous avons constaté dans ce cas la présence de
zones
hystérogènes se comportant de la même façon. La
compression des testicules a été de nul effet : - celle des autres
zones
déterminait seulement quelques- uns des phénomè
ut en bas le siège d'une dégénérescence avancée; mais même dans les
zones
les plus malades les tubes forment un poin- til
rdons postérieurs sur les coupes colorées par la méthode de Pal. La
zone
malade a une forme triangulaire : elle est limité
forme triangulaire : elle est limitée en avant et en dehors par la
zone
marginale de Westphal qui est parfaite- ment in
parle centre ovale de Flechsi, qui est déjà un peu plus pâle que la
zone
de Westphal; enfin en arrière par les champs po
es, tranchent nettement sur la région primitivement atteinte. Les
zones
de Lissauer sont également dégénérées. Dans la
ent dégénérées. Dans la moitié supérieure du renflement lombaire la
zone
mar- ginale de Westphal s'amincit, mais les cha
s, de telle sorte qu'ils tranchent encore mieux que plus bas sur la
zone
malade. Dans la région dorsale les cordons post
ur; c'est à peine si une mince bordure un peu plus foncée marque la
zone
de Westphal. Les colonnes de Clarke présentent
centre. ri. 1 ? . Observation II. Moelle lombaire ; sclérose des
zones
radiculaires et des zones de Lissauer; intégrit
vation II. Moelle lombaire ; sclérose des zones radiculaires et des
zones
de Lissauer; intégrité relative des champs postér
elative des champs postéro-externes, du centre ovale et surtout des
zones
marginales de Westphal. Coloration de Pal. 28
eur partie postérieure; en avant il reste sur leurs bords une mince
zone
légèrement plus foncée. , En dehors des cordons
ntense de la région dorsale. Enfin, plus en dehors, on aperçoit une
zone
dégénérée curviligne, dont l'extrémité antérieure
ité antérieure se con- fond presque avec la bande précédente; cette
zone
, qui correspond exactement à la bandelette exte
médiaire; intégrité ' relative des champs postéro-externes et de la
zone
de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA
omitantes des autres éléments de l'écorce : c'est ainsi que dans la
zone
malade les cellules sont incontestablement moin
de les cellules sont incontestablement moins nombreuses que dans la
zone
saine; de plus on sait qu'à l'é,tat normal les
up moins intense que les autres parl'hématoxy- line; et ici dans la
zone
saine il en est ainsi, tandis que dans la zone
line; et ici dans la zone saine il en est ainsi, tandis que dans la
zone
malade, comme d'ailleurs toujours chez les paraly
es fihres=à'm ? éline superficielles est absolument normal, dans la
zone
saine,- il entrés'altéré dans la zone malade. 1
absolument normal, dans la zone saine,- il entrés'altéré dans la
zone
malade. 1, - Il ' 1 ? T ? 0-> -i > "<oU*
sence de parole chez un enfant. Si son cerveau a été frappé dans la
zone
de la mémoire auditive des mots, il y aura le m
es de schémas mul- tiples, ont amené l'auteur à reconnaître que les
zones
douloureuses remarquées dans, les affections vi
mbre de maladies générales, .correspondent pour certaines aux mêmes
zones
que l'herpès zoster,en ce qui regarde les nerfs '
tout] en acquérant des dimensions, plus considérables, ! dans,. la
zone
`la , plus extérieure, tau moins, du côté où'le
existence de ces formations cylindroïdes foncées, entou- rées d'une
zone
claire non protoplasmique et situées au centre
vitreuses dont un exemple nous est fourni par l'obsolescence de la
zone
centrale du tubercule. De leur côté, les cellul
ives sur sa face profonde, et de l'autre le tissu endoneurial de la
zone
corticale du faisceau' deviendra le siège d'une
de toutes parts, mais surtout du côté du faisceau nerveux, par une
zone
alvéolaire. Lestroma interfasciculaire est pres
dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une
zone
vitreuse. En b, le reticulum initialavec ses ce
ensé; le corps même du fo)er ne renferme que peu d(n oyaux, mais la
zone
périphérique, surtout à gauche (n.), est assez
- T t .7.1 > . « -<, z Fig.16.- 1/500.1" Grossissement de la
zone
B delà figure 2 (pi. I). Formation mésoneuriale
droit est moins'atteint'que'le"gauche et tous deux conser- vent une
zone
moins sclérosée à leur partie interné; toute cett
blent s'isoler'dans Jle corpsi de la cellule et s'entourer, d'une !
zone
plus éclaire ;' enfin f on voit les corps cellu
;\ v-.a.v ? qui sont,jointes ^a 1 observation, la participation des
zones
deLissauer,i du réticulûm"des"colonnes de Clark
obablement de l'hyperplasie inflammatoire de la névro- glie dans la
zone
tabétique. La paralysie du bras tenait à un foyer
teurs. Les . fibres radiculaires postérieures qui pénètrent dans la
zone
d'entrée radiculaire -.postérieure,, de,Westpha
de,Westphal, (bandelettes externes de Pierret avec une partie de la
zone
radiculaire moyenne de Flechsig) ,sont graduell
s fibres, longitudinales des 5 racines. quit entrent] dans la, même
zone
au-dessous des premières; sur la ligne médiane
ojsi v ? 11 ,r - - ? a Dans ces conditions, le tabes comprend trois
zones
de dégéné- cence : celle des fibres radiculaire
survie bord' médian de la' corne postérieure, entré les'deux autres
zones
, celle des racines des par- tiesun'p'(éu plus p
ieure 'et l'extrémité postérieure' de lascissùre postérieure. Cette
zone
contient des fibres ascendantes. Il a°moius défib
i .eé" dé fibres' radiculaires postérieures intram édul 1 aires. La
zone
marginale'de Lissauer participe à cette dégénér
tudinaux postérieurs, du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite
zone
du pédoncule cérébral droit ? , i <)0 .- q .
nts.;En ce qui concerne les cordons pôstérieurs,ily a intégrité des
zones
de Lissauen si préma- turément'dégénérées dansi
a, de même que dans le tabès ? les parties les plus.antérieures des
zones
antérieures et,l'étroite2lésion,i qi ? caresse'
fines') : des'colonnes de Clarke.j Lésions des parties moyennes des
zones
radiculaires ;4 atteinte,s précoce) de la moelle
x' de l'autrec8té.'=lLeseascetidants`Lnedsônt'"donc *> point. la
zone
motrice- par' excellence; £ mais> elles-' prés
érieurs' du' èordorl, : latéral,4 parfois même de la région' de la -
zone
i marginale rdeo Lissauer."1 Leiitrousseau^' post
de' la zone' radiculaire po'stéro-médiane, du système latéral de la
zone
radiculaire moyenne et des faisceaux de Goll. I
zone radiculaire moyenne et des faisceaux de Goll. Intégrité de la
zone
radiculaire antérieure, du système médian de la
térieure, du système médian de la zone' radiculaire. moyenne, de la
zone
marginale de Lissauer. Hyperplasie de la' subst
convolution pariétale ascendante, qu'elle atteint par conséquent la
zone
motrice et que l'observation, loin de contredir
s si on ren- contre une 'lésion quelconque siégeant en dehors de la
zone
motrice, on'sera.tout,naturellement porté à la
is au lit" de la. malade (méningite ; tubercule cérébral dans.une
zone
, ndifférente,iolqîqqtal. ? ) ? Ia,dernière àL la.
ent cérébraux doivent, être représentés, dans l'é- core ? dans, des
zones
di;stinetes,j maislfonçtionnellement ' réunies
étriquement (SUT les deux hémisphères, intéressant, au niveau de la
zone
sensitivo-motrice, 0 i&fiontàle, le quart i
alite, symétriques dans les deux hémisphères, n'intéressant dans la
zone
sensi- tivo-motrice que le pied de la troisième
de toutes parts; mais surtout du côté du faisceau nerveux,'par une
zone
alvéolaire. Lestroma interfasciculaire est pres
dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une
zone
vitreuse. En b, le reticulum initial avec ses c
nsé ; le corps même du foyer ne renferme que peu de noyaux, mais la
zone
périphérique, surtout à gauche (n), est assez n
y montre surchargé de noyaux. Fig.l6.- 1/500. Grossissement de la
zone
B delà figure 2 (pi. I). Formation mésoneuriale
côté, une explo-ration attentive ferait reconnaître l'existence d'une
zone
d'a-nesthésie, dirigée transversalement et forman
ient conservé leur sensibilité ou se montre-raient hyperesthésiés. La
zone
d'anesthésie qui formerait la limite supérieure d
re-croisés, qu'elle sera plus étendue en hauteur; ainsi se produit la
zone
d'anesthésie plus ou moins haute sui-vant les cas
s leur parcours. C'est pourquoi les par-ties situées au-dessous de la
zone
transverse d'anesthésie con-servent la sensibilit
de celle des nerfs périphériques. 2° Vient ensuite la sclérose des
zones
radiculaires posté-rieures, subslratum anatomique
hie lente des muscles, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des
zones
radiculaires postérieures — douleurs ful-gurantes
central. — r/, racines antérieures. — e, racines postérieures. — a',
zone
radiculuire anté-rieure. — h', zone radiculaire p
— e, racines postérieures. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h',
zone
radiculaire postérieure. par suite de l'apparit
e ces parties est venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une
zone
de substance blanche, laquelle est en connexion a
blanche, laquelle est en connexion avec les racines nerveuses. Ces
zones
, dans la nomenclature proposée par M. Pierret. po
la nomenclature proposée par M. Pierret. portent les unes, le nom de
zones
radiculaires antérieures (Fig. 12, a"1); elles en
a constitution des faisceaux anléro-latéraux ; les autres s'appellent
zones
radiculaires postérieures (Fig. 12, tt). Avec l'a
ième semaine environ) se développent, dans le sillon qui sépare les
zones
radiculaires postérieures, deux pe-tites éminence
me temps, une formation analogue a lieu dans le sillon qui sépare les
zones
radiculaires antérieures. Elle est relative aux p
grès dudéveloppement, ils inclinent àse confondre : en avant avec les
zones
radiculaires antérieures, en arrière avec l'extré
radiculaires antérieures, en arrière avec l'extrémité antérieure des
zones
radiculaires postérieures, de manière à ne plus s
qui passerait par la commissure. En dehors, elle se rap-proche de la
zone
corticale delà moelle dont elle n'est séparée que
cordons latéraux. Il est à remarquer que, en dehors, elle touche à la
zone
corticale. {Fig. 19). B. En second lieu, qu'obs
xie locomotrice compliquée d'atrophie muscidaire. — A, sclérose de la
zone
radiculaire postérieure. — C, corne antérieure ga
Fig. 29. — A, A, cordons latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B,
zones
radiculaires postérieures. — G, C, cornes postéri
ieures. — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes antérieures. — F,
zone
radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. s
ttement déterminé et à prendre rang dans la clinique usuelle ; 2° les
zones
radiculaires postérieures Je place sous vos yeu
cles du membre inférieur gauche étaient paralysés et atrophiés. A, La
zone
radiculaire du côté gauche en partie sclérosée. B
rophiés. A, La zone radiculaire du côté gauche en partie sclérosée. B,
Zone
radiculaire droite saine. G, Les méninges à ce ni
, est exempte d'altération ^Ca s communiqué par M. Pierret). 3° les
zones
radiculaires antérieures, F ; elles ont été laiss
e. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices) et les
zones
radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
ndantes) sont désignées par les travaux récents comme représentant la
zone
motrice, ou, autrement dit, comme la seule région
c'est-à-dire une région appartenant, pour une part, au domaine de la
zone
mo-trice corticale. Tant que l'épilepsie partie
production des dégénérations secondaires à la suite des lésions de la
zone
motrice corticale, voir Charcot, Leçons sur les l
bien par le carmin, pourvu d'un gros nucléole et entouré d'une petite
zone
arrondie ou ovalaire de pigment jaune. (Pl. VII,
vaisseaux qu'ils con-tiennent ont des parois épaissies. Quant à la
zone
radiculaire antérieure, elle est atteinte de sclé
orsale elle est limitée au trajet des faisceaux radi-culaires et à la
zone
corticale. De plus, au niveau du point d'émer-gen
qui lui est immédiatement sous-jacente et il en est résulté une mince
zone
de sclérose corticale ayant son maximum d'épaisse
ombaire, ces diverses lésions disparaissent la couche corticale et la
zone
radiculaire antérieure se retrouvent dans un état
es que consécutivement à l'altération spinale. Quanta la sclérose des
zones
radiculaires antérieures, l'examen d'un certain n
on plus considérable, où elle forme autour de la corne antérieure une
zone
d'une certaine largeur, sont précisément ceux où
st plus vraisemblable, que ce processus irritatif a été transmis à la
zone
radiculaire par l'intermédiaire des fibres nerveu
nerveuses en voie de destruction à la région lombaire, alors que les
zones
radiculaires antérieures se retrouvent dans cette
Coupe transversale de la moelle épinière à la région cervicale. — A,
Zone
radiculaire antérieure sclérosée. — C, Corne anté
ent de nombreuses cellules nerveuses. Il n'y a plus de sclérose de la
zone
radiculaire antérieure, T. Fig. 3. — Partie moy
antérieure, T. Fig. 3. — Partie moyenne de la région dorsale. — A,
Zone
radiculaire anté-rieure sclérosée. — C, Corne ant
ostérieurs, 3, 4. — Par extension de la sclérose la-térale, 3i. — Des
zones
radiculaires postérieures 215., Secoussesfibril
tige de Ménière, 311, 347, 350, 353." Z Zona, 109, 112, 118, 197.
Zones
radiculaires antérieures,236. — postérieures, 236
également de la diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES. ' 29 lement avec une aggra
THOLOGIE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉ
te chronique. Foyeas étendus de ramollissement cérébral occupant la
zone
rolundique du côté gauche (couches corticales m
quelques frémissements se manifestant parfois dans les muscles DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES. 31 de la face (des lèvres
s symptômes la traduction de désordres corticaux, autrement dit des
zones
motrices du cerveau, désordres siégeant vraisem
onvolutions précédentes ne consti- tuent qu'une minime partie de la
zone
sensitive I » : Dans notre cas, la localisation
l n'y a pas de centres sensitifs à proprement parler, il existe une
zone
sensitive, qui comprend toute la partie cortica
igne de cette limite pour se rapprocher des lobes postérieurs cette
zone
, jusque-là encore sensitivo-motrice, devient ex
. Le Blat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES
ZONES
cérébrales motrices. 33 1° sur les deux tiers s
e du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la
zone
grise : couches situées au som- met de cette ré
, a son sommet tronqué au segment postérieur de la capsule interne (
zone
2,olai ? dique de Charcot). Or, on sait que les
sen- sil)1(3 dans les traits, la langue est déviée d gauche. des
zones
cékébralks motrices. 35 Les mouvements du membr
de processus de réparation. En outre, le corps calleux lui-même DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES. 37 est gravement intéressé
comme dans 1'OnsERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES. 39 de la faculté du langag
re, les expériences de l'iourens et l'observation de Bastian. DES
ZONES
CÉRÉBRALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au
la langue); 20 Que les lésions destructives de l'écorce grise de la
zone
rolandique (frontale ascendante et lobule parac
rt de la lésion est, dans l'espèce, le vaisseau. Autre preuve : les
zones
de dégénérescence descendante secondaire ne déc
t par des altérations pathologiques de l'encéphale, notamment de la
zone
corticale motrice seule, soit par une lésion de l
ême temps une lésion des cordons postérieurs, et en particulier des
zones
radiculaires postérieures, les symptômes spas-
lle. Albuminurie, collapsus. 2 janvier; éruption herpétique dans la
zone
sus-men- tionnéo, rien autre. On faradise le ma
NÉ. 163 de la moelle (cordons pyramidaux, cérébelleux, de Goll et
zones
radiculaires postérieures). A la même période a
omme dans l'observation 2fi, de West- phal) un ramollissement de la
zone
motrice et des circonvo- lutions situées à l'ex
blation des sphères corticales de la vue chez le chat montre que la
zone
A' reçoit des fibres de projection du pulvinar, d
xterne, des couches supérieures du tubercule bijumeau antérieur, la
zone
A2 affecte des rapports semblables d'abord avec
fin, à un faible degré, avec le tubercule bijumeau antérieur ; - la
zone
A3 (ou plutôt la portion de cette zone qui comp
le bijumeau antérieur ; - la zone A3 (ou plutôt la portion de cette
zone
qui compte dans la sphère visuelle) reçoit de nom
fracorticaux. En ce qui concerne les centres optiques primaires, la
zone
As plus de rapports avec les faisceaux du nerf
lus de rapports avec les faisceaux du nerf optique entrecroisés, la
zone
A2, avec les faisceaux du nerf optique non entr
la zone A2, avec les faisceaux du nerf optique non entrecroisés; la
zone
A' est pro- bablement en connexion avec les deu
le ascendante ainsi qu'une partie de la troisième temporale, sur la
zone
limite entre les lobes occipitaux et temporaux
is de la vie. Puis s'est opérée une accalmie. La localisation de la
zone
motrice explique la parésie des extrémités; la
commence principalement dans les cordons de Goll ainsi que dans les
zones
des cordons cunéiformes qui ont la forme d'un F
oyau cruciforme, doublé de volume, , est le point de départ d'une
zone
de destruction qui, pénétrant dans les pyramides,
- seur, de bien connaître les allures topographiques des diverses
zones
corticales en ce qui concerne leur richesse respe
à faire contracter les muscles de ce membre par l'irritation de la
zone
motrice correspondante, à l'aide d'un courant b
e sûr qu'au moins la sensibilité du mouvement est loca- lisée aux
zones
motrices ; or, nous savons qu'une irritation dé
t électrique, soit par des autres procédés, ils ont appliqué sur la
zone
motrice correspondante un courant moins fort qu
le sait, que les images des mouvements sont emmagasinées dans les
zones
motrices. Comment donc pourrait-on com- prendre
ience confirme plutôt l'hypothèse de Wernicke, que l'irritation des
zones
motrices par l'électricité agit aussi par l'évo
i : plusieurs fois, quand ils ont appliqué le courant faible sur la
zone
motrice d'un muscle, qui était mis en contracti
une lésion destructive d'une partie de la subs- tance corticale des
zones
motrices, même en laissant intacts les centres
n influence inhibitive ? De ce fait il est à conclure que certaines
zones
du cerveau ne retrouvent point leurs influences
s des fibres d'association); la voie principale est évidemment la
zone
motrice correspondante. Il est facile à com- pr
plus tard s'il existe dans ces ré- gions occipitales de véritables
zones
épileptoyènes, ou bien s'il y a seulement dans
upposer dans cette partie de la substance blanche l'existence d'une
zone
épileptogene qu'il appartient à l'expérience de
ssement rouge. D'après les auteurs, c'est vraisemblablement à cette
zone
de ramollissement rouge, qu'il faudrait attribu
dons de Gott avec vascularisation anormale, petites hé- morrhagies,
zones
transparentes grises : le centre de l'organe est
e aux courants d'induc- tion. Grande prudence pour la recherche des
zones
, pour la durée de la séance. Commencer par le t
ans l'écorce du dans la paralysie proâressive), pacZacher, 30S ; ^
zones
motrices), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement (
-jaunâtre, de consistance du mastic de vitrier. Autour de ce noyau,
zone
d'inflammation particulièrement in- Lense. Simp
u niveau du 4. segment lom- sont assez faibles ; ici, tandis que la
zone
d'entrée des raci- nes postérieures se présente
rieure : au niveau du 3e segment lombaire et . au-dessus encore, la
zone
d'entrée des racines postérieures paraît absolu
u du 2- se -ni en t sac s'é- largit en avanten correspondance de la
zone
cornu-commissurale les libres sont presque tout
pendiculairement l'une à l'autre, dont l'une, plus large, occupe la
zone
périphérique en s'atténuant pro- g-ressi, ement
upe la zone périphérique en s'atténuant pro- g-ressi, ement vers la
zone
d'entrée des racines postérieures peu dégénérée
et s'atténue, elle aussi, progressivement, s'arrêtant presque à la
zone
cornu-com- missurale qui contient seulement que
Entre le septum ella bande adjacente dégénérée, on trouve une mince
zone
occupant les deux tiers inférieurs qui [tarait re
qu'on peut consta- ter, au niveau du '2e- 1er segment lombaire une
zone
légèrement décolorée, située de chaque côté du
s cornes pos- térieures, plus neLLe à droite, rejoignant à peine la
zone
cornu- commissurale. Dans plusieurs segments do
dedans du septum paramédian par une mince bande aspect normal. Ces
zones
décolorées à un plus fort grossissement pré- se
se fit sur les terri- toires des et et cervicales, ainsi que sur la
zone
de la à la 1 le ra- cines dorsales et à la fess
eleva l'exis- tence de la douleur viscérale réfléchie au niveau des
zones
té- gumentaires, déterminées pour chaque organe
e avec hyperesthésie cranienne du type réfléchi : au niveau de la
zone
nasale et frontale chez les hallucinés de la vue
ébrale et pariétale chez les hallucinés de l'ouïe ; au niveau de la
zone
temporale chez les hallucinés de de L 111'l'oCl
drie. Enfin, à part quelques observations isolées, les prétendues
zones
de douleur viscérale réfléchie de \4. llead n'ont
ier la sen- sibilité profonde par l'irritation cutanée de certaines
zones
; il semble bien difficile d'apporter quelque ri
es modes, sauf à la douleur, où elle semble un peu diminuée. Pas de
zones
hystérogènes, pas de troubles des sensibilités
ce est amincie, les circonvolutions sont - aplaties surtout dans la
zone
frontale et pariétale. Les cellules qui se trou
piques, démon- trent que l'absence de corticalité, spécialement des
zones
pariétales et frontales, entraîne la perte de c
es, et des auteurs tels que Meynert confessent que l'atrophie des
zones
corticales chez les déments n'est que souvent en
entes s'y rattachent. Chez l'enfant à la naissance, les voies des
zones
de la sensibilité spéciale ne sont pas constitu
Lorsqu'on enlève à un individu atteint d'épilepsie jacksonnienne la
zone
lésée de l'écorce cérébrale, on enlève, avec le
s impulsions motrices : en effet : 1° après l'ablation totale de la
zone
corticale motrice ou après section des pyramida
jacents, elles vont se développant et s'unifiant à mesure que les
zones
les plus élevées du névraxe entrent en activité.
, on constate un hématome du côté droit dépassant les limites de la
zone
rolandique avec épaississement de la dure- REVU
dégénérescence, en l'espèce secondaire, esl due à une lésion de la
zone
1llOlri('1' de' l'I;C(II'('(' Ironlale. Xalurclle
au de la 10e' dorsale eL de la le lombaire, ai Cordons antérieurs :
Zone
de dégénérescence occupant les dl'tI\ bords du
au niveau de la sortie des dernières racines 1» Cordons latémllE;
Zone
de dégénérafion correspondant au territoire, du
à la périphérie, sur- tout, à la périphérie antérieure ; dans celle
zone
périphérique qui fl'appe déjà macroscopiduemunt
gonflée aussi, très pâle, parfois il peine perceptible. Dans celle
zone
périphérique on rencontre encore, au Marchi, de
ux,autant dans le sillon antérieur que dans la moelle, même dans la
zone
centrale, sont légèrement épaissis dans leurs d
re; en arrière elle s'élargit touchant presque la périphérie. Cette
zone
, dans les segments sous-jacents, devient toujou
que sous-méningée qui part du sillon antérieur et va rejoindre la
zone
fortement dégénérée du F Py C ; cette légère sclé
inférieurs où tout le cordon anféro-latéral ne nous montre d'autres
zones
dégénérées que celle du']' Py C. , , . " Immé
veau des segments C : l, (; '2, devient plus accusée, tandis que la
zone
dégénérée occupe dans le sens antéro-postérieur
t de Gowers se continue à ce niveau... 'r L'examen histologique des
zones
dégénérées dans les segments au-dessus et au-de
de libres grêles el une discrète prolifération néxroyliquc dans les
zones
dégénérées, puis disséminées parfont, des libre
ent l'1ll.iliéb et quelques cellules géantes : il est entouré d'une
zone
d'inflamma- tion intense. La dure-mère est dans
urs, oui toutefois épargne le triangle de Gombault et Phillippe, la
zone
eOI'nu-eomln iS"l1mle d la zune COl'n lH'adicul
ont muins duc') ! ures(j[ucut'eb[ud( ? a.xun(id.6fn ? tie : t'eLt.e
zone
prend à peu pl'ès la fOl'med'ull ql1acldlatèl'e
médiane de cha- tluecortlun.v sommet arrondi, qui s'avance dans la
zone
COl'nU-COIl1- misuralu; en arriire, cel(e rono
> tcanLu tle cltathte cûLi; tltt sult- tum pour y comprendre la
zone
des libres noires du triangle de Gombault el Ph
la dégéné- rescence des cordons postérieurs, tout en respectant la
zone
d'en- t.r6cdt ? ['acint ? csLpiUt.tHf)u&( ?
? csLpiUt.tHf)u&( ? ("-(;itan)pspusL61'o-c.\t.ei'ne ! -t't les
zones
cornu commissurales sont plus paies que dans les
, à cheval sur le septum ; comme dans tous les segments étudiés, la
zone
cornu-radiculaire est intacte : les champs poslé-
poslé- ro-externes deviennent à ce niveau plus foncés, ainsi que la
zone
cornu-commissurale qui, surfout dans le segment
le qui, surfout dans le segment L1 ? enriclli(lu libres saines ; la
zone
dégénérée occupe de préférence, dans celte régi
nes ; la zone dégénérée occupe de préférence, dans celte région, la
zone
radiculaire moyenne. Dans la moelle dorsale, la
res, soit dans leur trajet sous-arachnoi- dien.soit au niveau de la
zone
d'entrée, sont intactes ; les collatéra- les ré
ont intactes ; les collatéra- les réflexes sont lrès abondantes, la
zone
de Lissauerne parait pas raréfiée, non plus que
éseau myélinique de la colonne de Glarke. A tort grossissement .les
zones
dégénérées de la moelle lU1l1 ho-a- cree montre
de plus ou moins large de tissu sain bordant la substance grise, la
zone
d'entrée des racines, la pie-mère et la moitié po
qui sont lésés. A un plus fort grossissement, on constate dans les
zones
dégénérées une simple diminution des libres ner
uleux, pas de faits dégénérai ifs récents des libres. Au niveau des
zones
décolorées, léger épaississeménl des sepla et p
e la sensibilité pour toutes les sensations limitée en haut par une
zone
ifltyperesthésie passant au niveau de la \'( ? Ít
t conservées : une prolifération discrète de la névroglie occupe la
zone
dégénérée. Dans la région dorsale iu- fi·rimre
1 ? eg-m, l'en ical, le ,;oI1lmel du triallde cOI'l'epolldant il la
zone
dé- générée louche eulelllentia 1l1Oii il' clu
ît généralement que les racines posté- rieures proprement dites, la
zone
marginale de Lissitiiei-, les fibres des racine
- surtout rassemblées dans la région ventrale du cordon postérieur (
zone
cornu-commissurale de P. Marie) '. Ce qui témoign
s). Que le cer- veau soit surmené par le fonctionnement exagéré des
zones
mo- trice (états maniaques), sensitive (mélanco
analogue à celle du tissu hépatique. Ce disque est le centre d'une
zone
blanc grisâtre, qui présente en tous sens, à pa
tous sens, à partir du centre, la largeur de deux papilles. Cette
zone
s'atténue graduellement et se confond avec la cou
tre signe distinctif de haute valeur existe dans le caractère de la
zone
blanchâtre qui entoure le centre. Celle-ci est né
l'alcoolisme, etc. ; 2° Remarquons que dans les cas d'affection des
zones
endogènes ces altérations sont en général en co
gènes ces altérations sont en général en continuité avec celles des
zones
'exogènes, que dans les champs ventraux, par ex
parties les plus envahies sont ordinairement celles voisines de ces
zones
; 3° Les toutes premières altérations des racine
es zones; 3° Les toutes premières altérations des racines, même des
zones
de Lissauer et surtout des ganglions, qui coïnc
ibres et des différents étages de la moelle. La parti- cipation des
zones
endogènes me parait due en premier lieu à une p
ment leurs parties extra-médullaires), leurs continuations dans les
zones
d'entrée, etc., souvent aussi leurs collatérale
s ne le sont pas entièrement. Dans les faisceaux postérieurs, les
zones
radiculaires et les fibres exogènes sont les part
a substance grise il est nécessaire de distinguer chez l'homme deux
zones
: zones des cellules radiculaires occupant la p
nce grise il est nécessaire de distinguer chez l'homme deux zones :
zones
des cellules radiculaires occupant la partie an
iculaires occupant la partie antéro-externe de la corne antérieure,
zone
des cellules cor- donales ou rétro-radiculaires
t les lésions intéressent les fibres commissu- rales du cerveau, la
zone
rolandique, les fibres du faisceau pyra- midal,
auteur jusqu'à la deuxième dorsale. En <Nr- geur, elle occupe un
zone
comprise entre le sillon antérieur en avant, et
romatiques de grosseur des plus diverses. Les plus gros forment une
zone
à la périphérie du protoplasma; ils résultent de
gros blocs chromatiques, les premières offrant presque toujours une
zone
marginale d'éléments chromatophiles qui manque au
e est ovale ou arrondi, nettement .limité, central et entouré d'une
zone
plus pâle, non striée et à bords mal délimités
ucléole est presque tou- jours central et volumineux, entouré d'une
zone
pâle et mal limitée '(noyau). - Généralement
Au moment où l'on constate les germes évidents des cellules dans la
zone
sensitivo-motrice, on ne constate en d'autres rég
partie inférieure du lobe limbique ; 6) le lobe temporal, et c) la
zone
moléculaire dans tous les lobes; à tous les degré
ques hystériques, ou pré- sentent des stigmates permanents tels que
zones
hyperesthésiques, soit anesthésiques, ou hémian
obtenu ne soit plus apparent que réel et qu'il ne reste limité à la
zone
rectale où e produit un refroidissement local.
s paraissent représenter la lésion essentielle; peut-être aussi les
zones
sensitives de la moelle ont-elles été suffisamm
ur, cette disposition était très frappante. Hitzig ajoute que cette
zone
hyperestllésique est parti- culièrement sensibl
être jeter quelque lumière surla pathologie du tabes, c'est que les
zones
ancsthésiques peuvent être doubles, ce qui semble
sont représentés par de la douleur ou de l'endolorissement dans la
zone
de distribution du nerf malade, et des douleurs
siège de la lésion spinale, la sensibilité était conservée dans la
zone
innervée par le nerf cutanée externe. Le malade
es aussi semblent prendre part à la destruction. On remarque que la
zone
la plus inférieure de la pie-mère est le siège d'
est obscure et diffuse la symptomatologie des lésions de certaines
zones
du cerveau. z Dans les « centres moteurs cortic
hésie froide : dans l'une, le symptôme n'est pas limité à certaines
zones
, mais il envahit toute une extrémité, ou bien l
te forme de psychro-esthésie est complètement isolée, limitée à une
zone
spéciale, qui suit plus ou moins exactement le
eurs situés dans l'hémi- sphère cérébral du côté opposé et dans une
zone
limitée de l'écorce grise de cet hémisphère.
s le moyen de se renseigner sur la topographie et les limites de la
zone
motrice corticale, entrevue par M. Jackson. Nat
développant un foyer d'irritation dans un territoire limité de la
zone
motrice corticale. A la suite de l'extirpation de
entre elles les méninges, au niveau des deux tiers inférieurs delà
zone
rolandique. Puis on a déterminé les limites exa
le à la main... 1 Le 17 décembre 1892, on mit à nu la portion de la
zone
motrice corticale dont l'excitation produisait
squ'on applique l'excitateur électrique en des points voisins de la
zone
excisée. Peu importe. Voyons seulement à quels
au voisinage du sillon de Rolando, par conséquent dans l'aire de la
zone
motrice. Eu égard au résultat théra- peutique,
d'une intervention opératoire radicale excision d'un fragment de la
zone
cor- ticale, au niveau du foyer épileptogène pr
oquée en appliquant l'excitateur électrique sur un territoire de la
zone
rolandique, du jour où il fut établi que l'exti
a zone rolandique, du jour où il fut établi que l'extirpation de la
zone
rolandique empêche l'excitation électrique du c
ère, au moment où fut pratiquée l'extirpation d'un fragment de la
zone
motrice. Inversement, les échecs n'ont pas été ra
mes, 28 série, t. Xf. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. compression de la
zone
rolandique, par le fragment osseux réimplanté ;
e à la suite de l'extirpation d'un fragment ou de la totalité de la
zone
motrice, sont essentiellement' transitoires : c
ique, on a trouvé en état d'intégrité apparente le territoire de la
zone
rolandique, qu'il y avait tout lieu de considér
compte des attaques, en conséquence d'une irritation exercée par la
zone
rolandique. Force est donc d'admettre que le tr
me quand il s'exerce sur la portion du crâne, qui corres- pond à la
zone
rolandique, peut engendrer une épilepsie partie
rticale, sans occasionner de lésions appréciables de l'écorce de la
zone
motrice. Il faut donc admettre que l'épilepsie
succès fournis, jus- qu'alors, par l'extirpation de fragments de la
zone
rolandique, dans des cas d'épilepsie partielle
s connaissances touchant la topo- graphie des centres moteurs de la
zone
rolandique, que nous tenions de l'expérimentati
rite, avec occlusion ultérieure du vaisseau et ramollissement de la
zone
qu'il alimente. La syphilis dès centres nerveux
res fortement rétractiles. En outre on rencontre dans la tumeur des
zones
de transition entre ces divers états qui montre
actère circonscrit de la tumeur; 20 son encapsulement; 3° certaines
zones
diffuses, d'aspect sarcomateux rencontrées dans
ons de la bouche, à l'aide d'un instrument fin, pour y dépister des
zones
parfois assez restreintes d'anesthésie ou d'hyp
homme soit à la fois névrosé et supérieur il il est névrosé par une
zone
de son système nerveux et supérieur par une aut
eil, il localiserait la lésion supposée corticale de ce malade à la
zone
inférieure du centre oculomoteur en avant de la f
Mar- fan, etc.) permettaient de supposer que ce centre était à la
zone
psychomotrice, tout près du centre du facial in
rrête au premier sillon temporal. En faveur de la localisation à la
zone
psycho-motrice, nous pouvons encore invoquer un
contredisent à cette localisation et le feraient placer plutôt à la
zone
psychomotrice, à la partie inférieure des circo
e tient pas à une disposition anato- mique, isolant ces nerfs de la
zone
pychomotrice ; elle se déduit physiologiquement
érieur et du releveur de la paupière supérieure sont placés dans la
zone
psychomotrice. PATHOLOGIE MENTALE. LES MÉLANC
ovaires ne sont pas dou- loureux à la pression. Il n'existe pas de
zones
hystérogènes. Il n'y a pas d'hypertrophie gangl
ions de la peau ne paraissaient pas altérées et même, au niveau des
zones
myxoedémateuses, la peau ne présentait pas cett
des altérations de leurs parois. Il existe en même temps plusieurs
zones
de ramollissement au niveau de la région pariét
à l'étude des tumeurs de l'ancé- phale. Trois faits de tumeur de la
zone
rolandique ; un cas de tumeur de la base du crâ
es qui ne fera pres- que jamais défaut et souvent la présence d'une
zone
hystérogène. Après l'attaque d'apoplexie, due à
e relative, la présence dans le domaine de la cinquième paire d'une
zone
hypéresthétique hystérogène et la terminaison h
froid. , Dans la première, le symptôme n'est pas limité à certaines
zones
, mais disséminé aux extrémités des membres et a
norrhéiques : aussi a-t-on donné à ces deux localisations le nom de
zones
génitales. L'auteur a pu observer un grand nomb
à trajets complètement isolés. Le progrès ulté- rieur en a lieu par
zones
ou par trousseaux. L'écorce se compose donc de
en a lieu par zones ou par trousseaux. L'écorce se compose donc de
zones
sjoëcMt/e embryogéniques dont chacune est carac
pres quant aux communications conductrices. Il y a ainsi quarante
zones
corticales et peut-être plus. Deux nouveaux cen
ieuse à un ouvrage d'ensemble sous presse. Il fait remarquer que la
zone
1 reste toute la zone motrice de Charcot (les a
nsemble sous presse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la
zone
motrice de Charcot (les ascendantes), la zone 5
zone 1 reste toute la zone motrice de Charcot (les ascendantes), la
zone
5 constituant le territoire visuel de Vialet (c
coin et partie connexe postéro-inférieure du lobe occipital). Ces
zones
, d'après l'époque de leur développement, doivent
s moyen) ; les circonvolutions transverses du lobe temporal; toutes
zones
cons- tituant des centres sensoriels primaires.
rontale ; le pied de la troisième frontale ; le gyrus subangulaire (
zone
13, entre la deuxième temporale et les occipi-
tiers antérieur de la première temporale etc., qui ne sont que les
zones
mar- ginales de centres sensoriels, mais sont a
uvelles recherches, la première frontale se com- poserait de quatre
zones
corticales, la troisième frontale, de trois zon
oserait de quatre zones corticales, la troisième frontale, de trois
zones
. La partie triangulaire de celle-ci appartiendrai
s sensoriels primordiaux. La deuxième pariétale comprendrait quatre
zones
; une, petite, tout à fait antérieure, serait p
serait placée dans l'opercule (centre sensoriel secon- daire) ; une
zone
postérieure formerait une voie de passage à la
érieure formerait une voie de passage à la deuxième occipitale; une
zone
, contiguë au tiers moyen de la pariétale ascend
ourbe. Celle-ci seule serait un territoire terminal ; toutefois, la
zone
qui forme la plus grande partie du lobule parié
s territoires terminaux. L'avant coin serait décomposable en quatre
zones
corticales, dont un territoire ter- minal qui,
inal qui, généralement, appartiendrait un gyrus fornicatus, et deux
zones
marginales. L'insula aussi serait de quatre zones
rnicatus, et deux zones marginales. L'insula aussi serait de quatre
zones
, dont l'une, sorte de transition entre les terr
ses, qui est placé immédiate- ment à côté des ascendantes. Chaque
zone
corticale tire son caractère de l'ordonnancement
re de l'ordonnancement de la myélinisation. Dans telle catégorie de
zones
, ce sont les fibres de projection qui commencen
ont les fibres d'association ; ce qui permet déjà de distinguer les
zones
en centres de projections et en centres d'asso-
iation (notamment en ce qui concerne le corps calleux). Dans aucune
zone
il n'y a genèse simultanée des deux catégories
ent nulle part les premières ; elles ne se myélinisent que dans les
zones
corticales déjà munies de conducteurs sensibles
liniques. M. Flechsig admet cependant des variétés individuelles de
zones
corticales embryogéniques, des types inverses d
insignifiante par la substitution aux dénominations ayant cours des
zones
cor- ticales embryogéniques composantes. Le r
mais sous réserve d'autres examens plus complets et plus finis des
zones
embryogéniques. Les territoires terminaux ont,
rties d'un territoire primordial, ou des centres sensoriels à leurs
zones
marginales. Mais, à côté de cela, il n'est pas ra
de la sphère visuelle, envoyer concurremment des conduc- teurs à la
zone
39 (pli courbe et partie supérieure de la premièr
, tout petit, reçoit beaucoup de fibres corticofuges(Koelliker). Le
zone
39, qui correspond prin- REVUE DE THÉRAPEUTIQ
aiment possible de consi- dérer les conducteurs en rapport avec ces
zones
comme des fibres de projection ? Les fibres du
ce telle que des toxines non éliminées suffisent pour exciter les
zones
épileptogènes. Telle est aussi l'avis de M. L.-W.
jà, des troubles syringomyéliques de la sensibilité au-dessus de la
zone
de l'anesthésie complète dans un cas de myélite
esthésie, elle disparut rapidement au commen- cement dans certaines
zones
, mais depuis elle s'est fixée à d'autres et exi
sque totalement disparu de la surface de la jambe, excepté dans une
zone
étroite située dans sa partie posté- rieure qui
es des deuxième et troisième couches de l'écorce cérébrale dans les
zones
psycho- motrices, une atrophie dégénérative plu
L'examen de la sensibilité cutanée fait constater la présence d'une
zone
d'hyperesthésieà la face dorsale de l'avant-bras
e d'hyperesthésieà la face dorsale de l'avant-bras gauche, et d'une
zone
d'anesthésie, de la largeur de la main, à la régi
ns de plusieurs tours d'une très longue ficelle. Il n'existe pas de
zone
hystérogène. Le champ visuel est notablement ré
mes permettant de conclure à l'existence d'un caillot comprimant la
zone
rolandique droite, M. Pluyette applique sur ce po
erne de la dure-mère et les os crâniens ; il comprime et aplatit la
zone
rolandique droite, d'où hémiplégie de tout le c
ite. Hémorragie iiiti,,i-ai,achizoïdie2ziîe. Hématome comprimant la
zone
rolandique gauche. F. F..., cinquante et un ans
ort. Autopsie. La face interne de la dure-mère correspondant à la
zone
rolandique de l'hémisphère cérébral gauche, est t
la moindre sensation. Au membre inférieur, il exisLe trois petites
zones
sensibles, situées l'une à la partie anté- rieu
troisième au 10 PATHOLOGIE NERVEUSE. niveau du creux poplité. La
zone
anesthésique se termine brus- quement à la raci
i soit appliquée directement contre le pavillon de l'oreille ; 4°
Zones
hypéresthésiques. Il en existe trois : au niveau
bilité montre une anesthésie complète du membre supérieur droit. La
zone
insensible s'étend jusqu'à la moitié de la clav
tie postérieure de la jambe. Anesthé- sie du côté gauche delà face.
Zones
hypéresthésiques au niveau de la fosse iliaque
complète au tact et à la chaleur et absolue à la dou- leur, avec
zones
hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des tr
parésiés, se terminant brusquement à la racine des membres; tics
zones
d'hypéresthésie au niveau des fosses iliaque dr
au niveau du bord externe des cornes pos- térieures, on trouve des
zones
dont le tissu est aminci, raréfié, mais dontla
tral6., 1886.) Observation de dégénérescence primitive de certaines
zones
du système de conductibilité motrice ou cas pur
bande dégénérative parlant du centre de cette lésion, traversant la
zone
correspondante du centre ovale, irradiant dans
t fait entrer en fonction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la
zone
motrice. La région de l'écorce plus en dedans d
enne de la i" originelle. (Klle ne se confond pas davantage avec la
zone
du facial (Ilitzig - Ktilz - Ecl : larcl); clu'il
le de la salivation. Quant à l'excitabilité électrique des diverses
zones
du cerveau selon les espèces animales, M. Becht
des sens et du mouvement complètement développés. Dans chacune des
zones
correspondantes on voit des cellules nerveuses
ts du cerveau ne se montre qu'après que les fibres nerveuses de ces
zones
se sont revêtues de substance, de manchons de m
IEHEN. (Arch. r Psych., XVIII, 1.) On extirpe chez deux chiens la
zone
qui commande au mem- bre antérieur gauche, chez
n'existe pas de connexion, du moins de connexion directe, entre la
zone
corticale motrice, au moins des deux régions sus-
ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE, REMARQUES SUR deux
ZONES
du BULBE; par L. DARH5CIIER'ITSCII et L. ),'liEUD
de Goll à l'extrémité inférieure. En ce qui concerne le Bulbe, sa
zone
ou champ externe contient, à part le reste du c
du noyau de Deiters part la racine ascendante de l'acous- tique. La
zone
ou champ interne du bulbe, limitée par le raphé e
tudinales qui, par les fibres arciformes, viennent des noyaux de la
zone
ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce
ù les fibres radiculaires viennent pénétrer dans corne postérieure (
zone
d'entrée mdiculllÍ1'e de Westphal) a été respec
cté exclusivement du côté droit. Donc c'est à l'altération de cette
zone
qu'est due la disparition du phénomène du genou ;
constate à la suite de l'accou- chement une paralysie limitée à la
zone
de distribution du sciatique poplité externe, o
de la façon suivante : 10 Sensibilité ci la douleur. Il existe une
zone
d'analgésie com- mençant au-dessous de la tête
sibilité au tact. Elle est conservée dans une étendue- ].'Ig. Il. -
Zone
d'analgésie chez le malade de l'Observation VII.
cédent. Bien qu'elle n'existe pas, on ne peut nier Fig. 1>. -
Zone
d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la
reporter aux schémas joints à l'OBSERVA- TION VU, on verra que la
zone
d'anesthésie correspond exac- tement à la zon
U, on verra que la zone d'anesthésie correspond exac- tement à la
zone
de distribution du sciatique poplité externe et
erne). SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 173 cependant que la
zone
cutanée du musculo-cutané est restée indemne. O
veuse, exiger que l'anesthésie soit exactement super- posable à la
zone
de distribution que l'on voit sur les schémas r
pied droit et de la demi- circonférence externe de la jambe droite (
zone
sensitive du scia- tique poplilé externe) et un
la sensibilité, le membre inférieur droit doit être partagé en deux
zones
d'étendue iné- gale : la première, qui comprend
rdives, est le ramollissement. Il siège presque toujours dans les
zones
motrices soit au niveau des circonvolutions, so
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. · LUI. Contribution A la théorie DES
ZONES
épileptogènes ; par E. A. HontÉN. (Centralbl. f
ière et la portion contiguë du nez sous l'oeil. En pressant sur une
zone
située au-dessus et en avant de l'oreille gauch
les doigts, principalement du côté gauche. - Donc, il s'agit d'une
zone
épileplogène nette sans cause périphérique avec
ua un peu, quoique pour peu de temps, le pouvoir épileptogène de la
zone
et le nombre des accès. P. Keraval. LIV. DE la
e dans la région verté- brale, au niveau de la sixième dorsale, une
zone
d'hyperesthésie qu'il suffit de presser, même s
ne sphère liquide, à cette seule dif- férence que quelques-unes des
zones
correspondantes à celles de la rétine optique o
les de tous les autres nerfs rachidiens sensitifs au niveau de la
zone
radiculaire postérieure de Charcot; et c'est de
la bande diagonale, qui n'est qu'un faisceau destiné à raccorder la
zone
radiculaire aux différents étages de l'axé nerv
a pu arriver à un accord remarquable sur le lieu et l'étendue des
zones
respectives. Dupuy2 a regardé la diffusion extrap
laplus externe et la plus postérieure ducordon postérieur; puis, la
zone
dégénérative gagne les libres de la racine post
sceau de Goll ; la section des racines du plexus brachial forme une
zone
dégénérative qui 428 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
r rappelle ses travaux au sujet du système des fibres propres de la
zone
limitante de la substance blanche (trousseau d'
t superficiel des deux circonvolutions postérieures de l'insula. La
zone
de dégénérescence porte surtout sur la partie l
pertes de connaissance, ni crises convulsives ; on ne re- trouve ni
zones
hystérogènes, ni anesthésies cutanées, ni rétré
; par contre les cellules de la corne postérieure droite et de la
zone
intermédiaire du même côté présentaient des lésio
ion de la lésion au centre visuel ou aux fibres qui l'unissent à la
zone
calcarine, le centre auditif ou ses voies d'acc
-même, par sugges- tion d'un état psychique gai, par excitation des
zones
idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l'état ment
difiant l'état mental dans le sens du rire, enfin par excitation de
zones
spasmogènes spéciales à l'attaque con- vulsive
t est plus régulier. La face interne du la dure-mère est marbrée de
zones
colorées en ocre clair, dues à des c.r()'ttua.s
lité normale tant pour la finesse que pour la localisation ; aucune
zone
d'anesthésie, ni d'hyperesthésie ; aucune doule
eu. Souvent les mouvements sont très lents. Il se peut aussi que la
zone
réflexogène monte jusqu'au pli fessier et descend
jambe, on obtient la flexion plantaire du pied et des orteils ; la
zone
ré- flexogène peut en ce cas partir de la cuiss
nfer- ment deux espèces de libres descendantes, des libres courtes (
zone
de dégénérescence en virgule) et des fibres lon
courtes (zone de dégénérescence en virgule) et des fibres longues (
zone
de dégé- nérescence ovale), d'où viennent ces l
ourrait toutefois que quelques-unes de ces fibres.pénètrent dans la
zone
en virgule, mais ce n'a pas encore été démontré
du nerf, qui n'est jamais réalisée à la périphérie, existe dans la
zone
corticale du cerveau et l'auteur dresse des tab
sont assez nullement localisées. Nous n'avons pu délimiter aucune
zone
cutanée (l'anesthésie ou d'hyperesthésie : pas
iter aucune zone cutanée (l'anesthésie ou d'hyperesthésie : pas de,
zones
Itystérogèncs. La sensibilité con- jonctivale e
igine se- rait une excitation partie de l'utérus et transmise aux
zones
motrices de l'écorce cérébrale. Le rôle de' la gr
calotte sur les noyaux de la 3e paire et côtoyé à sa gauche par une
zone
de ramollissement qui, dépassant le ruban de It
de tout un côté de la face. 11 s'agit surtout d'une hyperplasie de
zones
mésodermiques avec participation de diverses po
par contre, l'anesthésie cutanée est presque complète, il part deux
zones
d'hyperesthésie (oculaire et ovarienne). Le blé-
u pariétal gau- che qui fut perforé. 11 en résulta la section de la
zone
motrice de la capsule interne gauche avec hémip
étendue à tout le cordon antéro-latéral, épargnant, d'une part, une
zone
marginale latérale correspondant aux faisceaux
nt la couche propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur, une
zone
en dégénérescence graisseuse se montre qui forme
einules enflammées et considérablement dilatées. Dans une troisième
zone
, l'inflammation se poursuit, caractérisée surto
enant à leur centre des amas de leucocytes. Enfin, une der- nière
zone
nous montre des éléments nerveux plus ou moins
nées, rassem- blées en plus grand nombre autour des vaisseaux. La
zone
externe, zone d'irritation,large, mais mal délimi
blées en plus grand nombre autour des vaisseaux. La zone externe,
zone
d'irritation,large, mais mal délimitée. est par
existants, il reste des traces plus manifestes que dans la deuxième
zone
: des fibres myéli- niques abondantes en voie d
ment gonflés et fragmentés.Enfin Friedmann ajoute (page 511) une 4e
zone
, plus extérieure où le tissu fonda- mental névr
fondie de l'histologie de la paroi de l'ab- cès. Il lui reconnaît 3
zones
: 1° l'abcès, composé de leu- cocytes polynuclé
cès, composé de leu- cocytes polynucléaires fortement tassés; 2° la
zone
de la capsule formée de deux couches : l'une in
allèles, fortement tassées et pauvre en vais- seaux; - 3° enfin une
zone
d'irritation, où le processus irritatif frappé
peut avec Kôlpin, reconnaître à la paroi de l'abcès cérébral trois
zones
principales : une zone interne granuleuse, une
ître à la paroi de l'abcès cérébral trois zones principales : une
zone
interne granuleuse, une zone moyenne d'organisa-
cérébral trois zones principales : une zone interne granuleuse, une
zone
moyenne d'organisa- tion défensive, une zone ex
nterne granuleuse, une zone moyenne d'organisa- tion défensive, une
zone
externe d'irritation. I. La couche interne, gri
eulement dans la partie la plus externe. Dans les points où cette
zone
interne occupe une ré- gion normalement riche e
modes de disparition de la cellule nerveuse. II. A cette première
zone
, granuleuse, en succède une seconde moyenne, ca
rants, extrê- mement pauvres en noyau. La seconde couche de cette
zone
est caractérisée,com- me l'a bien indiqué Kôlpi
és de sang. et entourés d'un manchon diapédétique. Dans toute cette
zone
, sur les coupes favo- rables, on peut reconnaît
la neuronophagie : la chroma- tolyse est plus fréquente que dans la
zone
précédente. L'étendue de cette zone moyenne, vé
est plus fréquente que dans la zone précédente. L'étendue de cette
zone
moyenne, véritable paroide l'ab- cès est assez
face interne, mais différenciée sur sa face externe, avec ses deux
zones
, nettement et par- tout reconnaissables. Elle c
lle circonscrit de toutes parts l'abcès. III A la limite de cette
zone
externe, il existe une zone de transition,zone
s l'abcès. III A la limite de cette zone externe, il existe une
zone
de transition,zone d'irritation de Iioeplin, cara
A la limite de cette zone externe, il existe une zone de transition,
zone
d'irritation de Iioeplin, caractéri- sée surtou
ue diapédétique. Mais il n'y apas l'in- filtration embryonnaire des
zones
précédentes. Les cellu- les nerveuses sont norm
l'abcès. Cependant Westphal, dans son observation II, décrit une
zone
névroglique ; mais pour lui, elle ne prend pas
qui présentent la même architecture générale que ceux- ci. Dans la
zone
moyenne, les fibrilles névrogliques sont d'abor
ment disposées en réseau lâche et ténu à la partie interne de cette
zone
, puis- se tassent en couches parallèles à mesur
assent en couches parallèles à mesure que l'on se rapproche de la
zone
externe, suivant exactement la disposition que no
n différente des fibrilles névrogliques dans les deux couches de la
zone
moyenne, son parallélisme avec la disposition d
, le syndrome de Brow- Séquard comprend en outre : a) Une étroite
zone
d'azestlzesie placée à la limite supérieure de la
a) Une étroite zone d'azestlzesie placée à la limite supérieure de la
zone
d'hyperesthésie du côté de la lésion (111. I. B
d'hyperesthésie du côté de la lésion (111. I. B). Quelquefois, cette
zone
d'anesthésie est elle-même surmontée d'une étro
eresthésie. Inversement, il arrive que, du côté opposé, une étroite
zone
d'hyperes- thésie confine à la limite supérieur
t à la fois les diverses manières d'être de la sensibilité. Dans la
zone
susdite, le malade était à la fois insensible a
de froid. Toutefois, vers les parties les plus périphériques de la
zone
d'anesthésie, il y avait seulement hypoesthésie a
D'autre part,la moindre pression exercée sur les mus- cles, dans la
zone
d'anesthésie superficielle, était très bien perçu
face postéro-eaterhe du bras, on notait de l'liypoestliésie dans une
zone
élroile,triangulaire,qui correspondait la la zo
stliésie dans une zone élroile,triangulaire,qui correspondait la la
zone
d'innervation deramuscules provenant des 3e et
onnienne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la
zone
motrice, et particulièrement de la couche des g
ice, et particulièrement de la couche des grandes cellules de cette
zone
. Si donc le syndrome est fréquent dans les méni
es, les méningo-encéphalites, bref dans les lésions intéressant les
zones
les plus superficielles de l'écorce, il manque
formation néoplasique. De plus, les tumeurs situées en dehors de la
zone
rolandidueaccusentsurtout leur présence par (1)
cicatricielle une sensation de froid et de douleur assez vive. Cette
zone
de douleurs subjectives occupe la cicatrice, la
i- ble de se coucher sur le côté gauche et sur le dos. Dans cette
zone
le frôlement léger de la peau n'est pas douloureu
ple pli fait à la peau réveillent les mêmes phénomènes. Mais ici la
zone
d'hyperesthésie est beaucoup plus étendue et co
peresthésie est beaucoup plus étendue et correspond à peu près à la
zone
des douleurs spontanées. Si on pratique, dans c
ais me trouver mal. » Et effectivement il s'agit là d'une véritable
zone
hysté- rogène, capable de provoquer une crise.
hysté- rogène, capable de provoquer une crise. En dehors de cette
zone
hyperesthésique, la sensibilité générale et spé
ses, à peine accentuées au niveau du cordon antérieur (sauf dans la
zone
limitante) et du faisceau de Gowers. Le faiscea
forme d'une bouteille il goulot allongé. . Suivant les hauteurs la
zone
radiculaire postéro-interne est ou non inté- re
Enfin dans la région lombaire, c'est encore de part et d'autre de la
zone
médiane que les lésions sont prédominantes dans
rtent sur- tout sur la partie médiane des cordons postérieurs et la
zone
radiculaire postérieure. Elles sont d'ailleurs,
- ceaux antéro-latéraux (faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs,
zone
li- mitante de la moelle en général). Les auteu
ansformée en un fin ré- seau d'aspect particulier; plus rarement la
zone
de dégénérescence péri- phérique est granuleuse
itués autour du noyau, constituant une sorte d'éperon en face de la
zone
d'émission des expansions protoplasmi- ques pri
e l'hypoesthésie, dans une étendue correspondante, sans compter une
zone
d'anesthésie contiguë au rebord des fausses côt
e passant par la 7e vertèbre dorsale ; à sa limite supérieure cette
zone
d'hyperesthésie était bordée par une étroite band
t au même niveau que l'hyperesthésie du côté droit, il existait une
zone
d'anesthésie, bordée en haut par une étroite band
ésie, la conservation du sens musculaire était intacte et une large
zone
d'anesthésie au tronc s'étendant de la 40e il la
ation de la température locale. De plus, à sa limite supérieure, la
zone
d'anesthésie était bordée par une étroite bande d
it périphérique par rapport à celui de l'extension. Dès lors, si la
zone
spinale cubitale est envahie, la lésion retenti
isième, radio-tabétique, caractérisé par l'atrophie des muscles de la
zone
radiale, griffe de flexion, et s'accompagnant d
ers l'oreille et vers la région parotidienne suit rigoureusement la
zone
d'innervation de la branche nerveuse auriculaire
la région supérieure de l'épaule, vers le trapèze, appartient à la
zone
d'émergence des branches sus-acromiales. Un seu
Observation II. Noevlls vasculaire veineux plan développé sur la
zone
d'innervation du plexus cervical superficiel dr
aviculaire Fig. 2. - Nævus vasculaire veineux plan développé sur la
zone
d'innervation du plexus cervical droit. 268 G
suivant plus ici le trajet des branches, mais intéressant toute la
zone
d'innervation. Nous la voyons, en effet, occupe
ordant légèrement sur la muqueuse, mais laissant indemne une petite
zone
triangulaire interne. Entre ce prolongement lab
'à la base de l'aile du nez. Au point de vue de la distribution des
zones
d'innervation, ce nmvus occupe donc les territo
mposées par des intervalles de peau saine. Ces taches occupent la
zone
d'innervation cutanée du maxillaire supé- rieur
, et de 8 cent. 1/2 en dedans. Ce naevus correspond exactement à la
zone
d'épanouissement de la bran- che postérieure ré
orie de Boerensprung faisant dépendre la répartition des nævi de la
zone
d'innervation cutanée, Alexander objecte encore q
veau de ces lignes de démarca- tion, mais au contraire bien dans la
zone
d'innervation d'un groupe ner- veux anatomiquem
grande étendue des lésions les place manifestement en dehors de la
zone
anastomotique. En opposition avec cette théorie
un nerf, ou son trajet; 2° Ceux dans lesquels le noevus occupe la
zone
intermédiaire entre deux territoires nerveux vo
ps cellulaire est représenté par une cellule pyramidale eps de la
zone
psycho-mo- trice de l'écorce cérébrale, et dont
également-que du côté de l'hémisection, la limite supérieure de la
zone
d'hyperesthésie dépasse la limite supérieure qu
e hauteur supérieure à 300 mètres, c'est-à-dire qu'il circule dans la
zone
comprise entre la surface de la terre et la courb
e savez, à susciter isolément la mise en activité des fonctions de la
zone
solandique par la percussion ou la pression des p
'entend qu'à peine; B... est encore aphone. Percussion à gauche de la
zone
crânienne correspondant a un point de l'écorce si
», il lui rend la faculté d'écrire en pressant le cuir chevelu de la
zone
crânienne correspondant au centre d'Exner. Inut
r Rainaldi, qui suit ici une troisième théorie, c'est en percutant la
zone
correspondante au lobule pariétal supérieur (P1)
haryngien est aboli. Le réflexe rotulien est aboli. On trouve une
zone
assez étendue d'anesthésie cutanée sur le devant
ine et un pou à droite, tandis que sous le sein gauche, on trouve une
zone
qui paraît hyperesthésiée. Je dis qui parait, car
à la rotule et la base au milieu do la cuisse. Un peu au dessus, une
zone
plus petite où la sensibilité est simplement reta
antes : 1° Le cercle d'expansion du rouge rétinien est égal à celte
zone
de la rétine à l'intérieur de laquelle sont éprou
sente des troubles de la sensibilité, consistant surtout en certaines
zones
d'hyperes-thésie cutanée. A l'état de repos, il a
confiée s'ingénia par diverses manœvres, telle) que l'excitation des
zones
hystérogènes, puis l' application de l'aimant à p
es cris de douleur. Le champ visuel est rétréci à 45 degré;. Pas de
zone
hystérogène ou hypno-gène. On constate un tremb
e la malade a eues ont été peu nombreuses, mais bien accotées; pas de
zones
spasmogènes ni d'aura. Marie P... s'endort en t
tôt se déclare un accès très prononcé. Nous n'avons pu découvrir de
zone
spasme— frénatrice, de sorte que l'accès, une foi
Par M. le Dr CROCQ Fils. de Bruxelles. Suite et fin (1) 11. — DES
ZONES
HYPNOGÈNES. Charcot et Richer ont observé que l
e cette question : « Je désigne, dit Pitres, sous le nom générique de
zones
hypnogènes. des régions circonscrites du corps, d
ent à l'état de veille, les sujets préa-lablement hypnotisés ». Les
zones
hypnogènes peuvent se rencontrer, d'après l'auteu
D'après la nature des effets qu'elles provoquent. Pitres a divisé ces
zones
en hypnogènes proprement dites et en hypno-frénat
sommeil, les autres le faisant cesser brusquement. Dans le groupe des
zones
hypnogènes proprement dites, il distingue : (1)
rement dites, il distingue : (1) Voir le numéro précédent. 1° Les
zones
hypnogènes simples qui, comprimées à l'état de ve
t de veille, déterminent invariablement une phase constante. 2° Les
zones
hypnogènes à effets successifs dont la compressio
successivement lieu à des phases de plus en plus profondes. 3° Les
zones
hypnogènes a effets incomplet», dont la compressi
de veille, mais peut modifier les phases du sommeil hypnotique. Les
zones
hypno-frénatrices sont également divisées en troi
l'hypnotiseur peut se suggestionner lui-même; ces recherches sur les
zones
hypnogènes sont excessivement intéressantes, mais
Pitres qu'après avoir fait des recherches personnelles. Fig. 28. —
Zones
hypnogènes de Anna M.. Dans les quatorze observ
avons rapportées au chapitre I, nous avons recherché chaque fois les
zones
hypnogènes et voici ce que nous avons observé : d
ier cas. chez Jeanne U..., Jean S... et Mme M..., il n'y avait aucune
zone
qui, comprimée, amenait le sommeil; mais dans la
es : deux aux bosses frontales et un au vertex ; Julie M... avait une
zone
hypnogène très étendue mais unique, allant des ar
res des seins, ovaires, régions poplitées. plis du coude. fig. 29 —
Zones
hypnogènes de Marie P... Louise T... en présent
uinales, parties externes des cuisses. Adrienne C... n'avait aucune
zone
hypnogène; Joséphine D... en avait trois : deux a
dessus de la rotule gauche et un dans l'aisselle gauche. Fig. 30. —
Zone
hypnogènes de Louise T... Dans d'autres cas enc
ous avons obtenu des résultats analogues ; toujours nous avons vu des
zones
hypnogènes simples, jamais nous n'avons observé l
vons vu des zones hypnogènes simples, jamais nous n'avons observé les
zones
à effets successifs ni les zones a effets incompl
les, jamais nous n'avons observé les zones à effets successifs ni les
zones
a effets incomplets ; nous ne pouvons affirmer la
nous ne pouvons affirmer la réalité de ces deux dernières espèces de
zones
parce que nous avons pris pour ligne de conduite,
ouver bientôt un cas qui nous enlève nos derniers doutes. Quant aux
zones
bypno-frénatrices. nous n'en avons vu qu'une fois
yant sur l'ovaire droit la malade se réveillait: ici encore c'est une
zone
hypno-frénatriée simple, les deux autres variétés
mportant, c'est qu'on rencontre fréquemment chez les hystériques, des
zones
circonscrites dont la pression provoque le sommei
sujet sans qu'il le sache ou sans qu'il le veuille, en comprimant ces
zones
hypnogènes. Pitres s'est posé cette question et v
épondre avec certitude à cette question, les expériences fig- 31. -
Zones
hypnogènes. d'Alice V... du laboratoire sont sa
Joséphine D..., on peut facilement se convaincre que la pression des
zones
hypnogènes peut endormir le sujet sans qu'il le s
le veuille. Lorsque nous avons recherché pour la première fois les
zones
hypno- gènes de Joséphine, elle ne savait pas c
pouvons éviter les doutes de Pitres, et déclarer que la pression des
zones
hypnogènes est capable d'endormir le sujet sans q
semblables. Comme précédemment aussi, si nous enlevons l'objet de la
zone
sensible, le sujet ne ressent pas les piqûres.
s les divers états hypnotiques, 329 et suiv. Fig. 28, 29, 30. 31. —
Zones
hypnogènes, 354 et suiv.
noyau et les granulations protoplasmiques. La loca- lisation de ces
zones
mortifiées à la partie supérieure de la glande in
e l'endocarde. Le myocarde paraît normal ; cependant, au niveau des
zones
sous-endocardique et sous-péricardique, il est
ossède une épaisseur normale ; au-dessous de la capsule, existe une
zone
fortement pigmentée, assez épaisse, faisant régul
, assez épaisse, faisant régulière ment le tour de l'organe : cette
zone
, examinée à un grossissement suf- fisant, paraî
en déplaçant de quelques millimètres la préparation on passe d'une
zone
peu altérée à une autre dont les lésions sont bea
- rité que dans les gros nerfs du creux axillaire, c'est-à-dire des
zones
où les fibres nerveuses raréfiées sont entourée
nt légèrement épaissis ; les veines sont plutôt congestionnées. Les
zones
d'entrée des racines sont partout bien colorées,
s racines sont partout bien colorées, d'aspect normal, ainsi que la
zone
de Lissauer et les fibres collatérales, très abon
e antérieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la
zone
motrice de l'encéphale est le siège de l'affect
quem- ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehors de la
zone
motrice. Si on ajoute qu'à ce moment, des obser
ypothèse que les foyers de méningo-encépha- lite, localisés dans la
zone
motrice, auraient pu donner lieu au tableau cli
ue temps l'oedème apparaissait, débutant, comme la douleur, dans la
zone
primitivement lésée et devenant plus ou moins rap
l'influence de cette réaction du sympathique que s'établit dans la
zone
lésée une transsudation exagérée de la lymphe dan
res ; puis, au delà de cette première gaine lamelleuse commence une
zone
de tissu conjonctif fibreux moins dense dont le
est moins épais dans les régions supé- rieures du thorax et dans la
zone
sous-claviculaire. Les seins très développés, a
plusieurs mois est actuellement cicatrice ; on trouve à sa place une
zone
cyanosée arrondie de 7 il 8 centimètres de diam
ssant une pointe en arrière qui va sectionner quelques fibres de la
zone
réticulée et détruire la partie tout il fait po
ban- donnent des branches collatérales et vont se terminer dans les
zones
péri- phériques de la substance grise (1). Eh b
ses dans le domaine des artères postérolalérales. Le champ ventral (
zone
cornicommissurale de P. Marie) et les parties des
mminente, pour l'opium comme pour le haschich. Aux confins des deux
zones
, opium et haschich se combinent d'ailleurs, com
e, dans un premier territoire, comprenant la face, et en arrière la
zone
de distribution de CI et de C2, les troubles sens
erreurs dans la reconnaissance du chaud et du froid. Une seconde
zone
, où les troubles sont plus marqués, comprend en a
ntensité de ces troubles diviser la moitié droite du corps en trois
zones
bien distinctes. A gauche il n'existe qu'une band
emarquera que la dissociation syringomyélique n'existe que dans les
zones
très limitées (moitié de la tête à droite, territ
une disposition ra- diculaire, variable avec les régions : dans une
zone
comprenant les 2° et 3e racines cervicales, la
té droit de la moelle cervicale, une lé- sion syringomyélique de la
zone
sensitive qui, peu intense en Ci, l'est davanta
ondant de la moelle la lésion se propagea gauche où elle atteint la
zone
sensitive. Voici donc bien établie l'existence
qui entourent les vaisseaux) et des vacuoles. Puis vient une large
zone
d'araignées gonflées, semées très régulièrement d
, d'un feutrage de grosses cellules araignées-. En dehors vient une
zone
contenant des vacuoles et des placards amorphes
us ; dans le reste de son trajet, le cubitus n'apparaît qu'en trois
zones
représentées par trois surfaces arrondies, de l
trois surfaces arrondies, de la dimension d'un petit pois ; ces trois
zones
osseuses siègent, l'une au milieu de l'os, les
rcussion du thorax faite postérieurement du côté droit, on note une
zone
de matité qui s'étend de l'épine de-1'omoplate et
late et descend en bas à côté de la colonne vertébrale. Sur cette
zone
on n'entend ni le frémissement vocal, ni le murmu
e frémissement vocal, ni le murmure respiratoire,en dehors de cette
zone
d'obscuritéle son est nettement tym- panique, t
to-diaphragmatique du même côté. Dans le diamètre transversal cette
zone
, qui a un profil bien net, occupe toute la larg
seaux. On ne peut saisir aucune pulsation dans les limites de celte
zone
; à gauche on peut voir les contractions du ven
gie avec ceux observés par Hblder et par Rosenheim, on constata une
zone
de matité tout le long de la colonne vertébrale
, aussi bien que dans les deux cas de Hôlder et de Rosenheim, cette
zone
de matité allait en augmentant de haut en bas.
ous nous dirigeâmes vers les iles Seychelles, afin d'entrer dans la
zone
du calme ; mais nous ne trouvâmes pas la bonace
celte rareté qui a fait nier par Weigert leur pré- sence dans cette
zone
. Dans la substance blanche il y a de gros aslrocy
che LXI. Dans la figure 1 toute la couche moléculaire, y compris la
zone
des cel- lules de Purkinje, est le siège d'une
itue la couche des grains dans toute son épaisseur et s'étend de la
zone
des cellules de Purkinje à la substance blanche
Cependant elles ont une tendance très marquée à prédominer dans les
zones
lesplus internes des circonvolutions semi-lunaire
vent dans la substance blanche autour du noyau dentelé. Ce sont les
zones
de prédilection, mais les plaques et les lacune
endance à la formation lacunaire est nulle. Là tout au contraire la
zone
de sclérose atrophique est toujours très limité
s de Purkinje le réseau névroglique est particulièrement dense ; la
zone
des grains et la substance blanche se recon- '
trice. La région frontale pouvait être soupçonnée aussi bien que la
zone
des circonvolutions pariétales. Or, l'autopsie mo
aucun trouble appréciable. La percussion du crâne ne révèle aucune
zone
douloureuse. Les réflexes rotuliens sont très v
dante, énucléable en quelque sorte. Elle s'étend en avant jusqu'aux
zones
rolaiidiqlies. La faux du cerveau très épaissie
nairement déformés. 370 SOUQUES Le siège de cette tumeur dans une
zone
silencieuse explique la longue absence de tout
e de tout symptôme localisateur. Son étendue jusqu'au voisinage des
zones
rolandiques rend compte de l'hémiplégie bilatéral
e, la cavité est limitée par l'épithélium épendymaire recouvrant la
zone
névroglique. Dans tous les segments dans lesque
s, un peu nerveuse, a son attention attirée le 18 mars 1907 par une
zone
douloureuse siégeant au-dessus de l'oei) droit.
ecchymotique générale et surtout les placards violacés, et aussi la
zone
douloureuse, occupent très nettement le territoir
eau de la substance cérébrale à laquelle elle adhère par une petite
zone
de un millimètre d'épaisseur présentant un fin pi
t re- marquer que ces exostoses, développées de bonne heure dans la
zone
d'ac- croissement tenant à la diaphyse, ont été
du tronc y compris le bras droit. Dans chaque flanc il existe deux
zones
pseudo-ovariennes hypresthésiques; de même on c
ux zones pseudo-ovariennes hypresthésiques; de même on constate une
zone
profonde de même nature au niveau de la 6 NOUVE
ettent d'en faire un accident hystérique et de la classer parmi les
zones
hyperesthésiques et hystérogènes. C'est ce que
La sensibilité au tact et à la température est altérée dans les mêmes
zones
et de la même façon que la sensibilité à la dou
à la hanche gauche un abcès gros comme une noisette, entouré d'une
zone
enflammée, rouge, large comme la paume de la main
s la profondeur du membre et les douleurs à la pression il existe une
zone
d'anesthésie (figure 34), comprenant en bas la
au niveau de la jonction du tiers moyen avec le tiers supérieur. La
zone
d'anesthésie présente un abaisse- ment notable
ésente aucun trouble du mouve- ment. Sensibilité. Au niveau de la
zone
d'anesthésie qui existait à la face dorsale du
, sensation dont les limites sont exacte- ment celles de l'ancienne
zone
d'anesthésie. La sensibilité à la piqûre est en
ié interne de cette face antérieure, et le bord interne du pied. La
zone
d'innervation du nerf saphène interne et celle de
ers supérieur de la jambe. Dans les deux tiers inférieurs, ces deux
zones
sont séparées par une troisième zone à sommet a
ux tiers inférieurs, ces deux zones sont séparées par une troisième
zone
à sommet angulaire, zone qui va en s'élargissant
deux zones sont séparées par une troisième zone à sommet angulaire,
zone
qui va en s'élargissant jusqu'au niveau de la p
cuper la moitié interne de la face supérieure du gros orteil. Cette
zone
est innervée par le mus- culo-cutané et par le
par le nerf saphène externe. Examinons maintenant le tracé de la
zone
d'anesthésie de notre malade (fig. 37) : elle r
érieur. - F. Mus- culo-culanc ? G. Nerf saphène externe. FiG. 37.
Zone
d'anesthésie chez D. 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. tibial antérieur. Il est vrai que, dans cette
zone
d'anesthésie, se dis- tribuent aussi des fibres
domaine du tibial antérieur, on a constaté de l'anesthésie dans la
zone
où les fibres du musculo-cutané sont plus nombr
lus nombreuses que celles du tibial antérieur, c'est-à-dire dans la
zone
qui remonte à la partie antéro-externe de la jamb
antéro-externe de la jambe. Or, le malade a remarqué que dans cette
zone
, alors que l'anesthésie était le plus marquée,
e nerf, en sorte que les endroits sensibles dissé- minés dans cette
zone
d'anesthésie correspondaient aux plaques d'in-
seuls presque disparu et il n'existe plus, au niveau de l'ancienne
zone
d'anesthésie, qu'une sensation assez intense d'en
cularités suivantes (fig. 45, 46). Sur la face antérieure du corps,
zone
d'anesthésie totale à la piqûre, à la chaleur e
n- sible coupant transversalement les seins il leur partie moyenne.
Zone
d'hé- miancslhésie gauche, descendant jusqu'au
blement plus petit que normalement. La recherche du thymus ou d'une
zone
de matité au niveau du sternum, suivant les ind
droit, où le malade perçoit à peine les piqûres d'épingle Mans une
zone
par- tant en bracelet au-dessus des malléoles e
nsibilité au, froid donnent les mêmes résultais; dans toute la même
zone
le malade perçoit il peine la différence entre
, sauf pour la région' externe de la cuisse droite qui présente une
zone
d'anesthésie (intéressant tous les modes de sen
s'étendant jusqu'à,la partie ex- terne et antéro-externe du genou,
zone
peu près verticale, large de trois ou quatre tr
ère période du mal perforant. Toutefois, il n'est pas entouré d'une
zone
anesthésiée. A cette même place se serait dévelop
inée à la maladie de Friedreich, 43, 44,47; schémas de sensibilité,
zones
hys- térogènes dans l' , 1, 2, 4, 5, 17, 18, 20
mbe, 36. Paralysie agitante (attitude dans la), 81, 82. Péroné (
zone
d'anesthésie dans la fracture du), 37. Pied (
tie postérieure qu'en avant. A l'œil nu on aperçoit facilement deux
zones
de teinte différente ; la plus superfi-cielle est
topographique du cerveau et des localisations cérébrales. Ces deux
zones
sont séparées par un petit liséré blanchâtre dans
lanche désignée sous le nom de ruban de Vicq-d'Azyr (Pl. IV, 1). La
zone
superficielle de la substance corticale est const
ment les circonvolutions de l'étage inférieur du lobe occipital. La
zone
profonde de la substance grise corticale est form
référable de considérer cette couche corticale comme composée de deux
zones
, renfermant, l'une des cellules pyramidales, et l
aine de myéline; réduite à son filament axile, elle se porte vers une
zone
de cellules où elle s'épuise en se mettant en con
ette couche corticale offre à l'œil nu par sa teinte l'aspect de deux
zones
contiguës à peu près d'égale épaisseur; la plus s
onde est d'une coloration grisâtre, légèrement transparente. Ces deux
zones
sont constituées par des éléments cellulaires ide
aractères qui sont propres à la substance corticale du cervelet. La
zone
superficielle est formée par de la névroglie cont
es de 6 p. à 10 (a et de nombreux capillaires. Elle est séparée de la
zone
profonde par une couche de fibres nerveuses dirig
seule rangée les unes à côté des autres, à la limite supérieure de la
zone
profonde, sur laquelle repose le corps glo-buleux
t sous-jacente à la pie-mère (Microphotographie, Pl. B, fig. V). La
zone
profonde est constituée par de la névroglie, renf
se. Ces fibres se dépouillent de leur gaine de myéline, traversent la
zone
profonde; réduites à leur cylinder-axis, elles ga
ent la zone profonde; réduites à leur cylinder-axis, elles gagnent la
zone
superficielle, où elles entrent en combinaison av
grise corticale du cerveau {circonvolution frontale ascendante). a.
Zone
superficielle ou couche de cellules pyramidales d
ales de 25 ¡¿ à 40 ¡7. de grandeur, régulièrement stratifiées. b.
Zone
profonde ou couche de cellules fusiformes de 30 y
interne). a. Liséré blanc ou ruban de Vicq-d'Azyr, compris entre la
zone
super- ficielle et la zone profonde. Ces couche
u ruban de Vicq-d'Azyr, compris entre la zone super- ficielle et la
zone
profonde. Ces couches de substance grise sont for
mamillaire. Fig. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a.
Zone
profonde ou couche granuleuse. b. Substance méd
rkinje autour de la limite supérieure de la couche granuleuse. d.
Zone
superficielle ou couche rouillée, renfermant des
a pas lieu de surprendre, étant donné le siège de la lésion dans la
zone
psychique du cerveau. Mais ce n'est que tardive-
cet hémisphère, autrement dit, le sillon de Rolando qui sépare les
zones
frontale et pariétale est rejeté en arrière, et
te grisâtre des circonvolutions envi- ronnantes. La palpation de la
zone
frontale permet de constater une augmentation d
substance blanche. Tout autour du tissu néoplasique, on observe une
zone
de ramollissement. t. Dans la deuxième coupe,
Cette tumeur blanc gri- sâtre, est limitée du côté interne par une
zone
de ramollissement beaucoup plus nette que dans
la substance grise. Du côté interne on voit à côté de la tumeur une
zone
d'infiltration, d'envahissement et en dedans de
infiltration, d'envahissement et en dedans de celle-ci une nouvelle
zone
de ramollissement. La quatrième coupe nous mont
aire, formant un nodule dur, rosé, séparé du noyau principal par la
zone
ramollie qui fait le tour presque complet de la
. Elle est de plus en plus rosée, un peu moins dure qu'au début. La
zone
de ramollissement englobe complètement le néopl
quelque sorte, isolée du restant de la substance cérébrale par une
zone
assez large de ramollisse- ment (fig. 3). 1%
mêmes caractères macroscopiques et est toujours entouré de la même
zone
de ramollissement, qui n'est très prononcée cep
et externe de l'hé- misphère. Elle est encore circonscrite par une
zone
de ramollisse- sement. Les diverses coupes qu
e qui n'avait pas encore acquis un grand dévelop- pement. Enfin une
zone
de ramollissement la séparait du restant de la
f. Enfin, et pour terminer, nous voulons attirer l'attention sur la
zone
de ramollissement que nous avons signalée autour
us avons signalée autour de la tumeur, sur toutes nos coupes. Cette
zone
était très nette, et en certains points mesurai
fût énucléable. Nous n'avons pas fait d'étude histologique de cette
zone
inté- ressante ; nous ne pouvons donc émettre a
de l'association des éléments acoustiques dans le centre même de la
zone
acous- tique, ce qui renverse la théorie de la
ylindre-axe échappent à la dégénérescence bien que plongés dans une
zone
sclérosée; l'identité de la lésion ne comporte
eltoïdiennes qui s'exaspère la la nuit. Hypoesthésie double dans la
zone
d'innervation des deux nerfs circonflexes. Exci
rdons latéraux, les altérations ont leur maximum de netteté dans la
zone
qui correspond à peu près aux faisceaux latérau
e des réflexes patellaires pourrait s'expliquer par la lésion de la
zone
d'entrée radiculaire de la moelle lombaire et d
, une dégénérescence circonscrite dans le corps restiforme, dans la
zone
où émergent les racines de l'acoustique. Pas de
cte dans la région lombaire le petit centre ovale de Flechsig et la
zone
marginale de Westphal. Les zones de Lissauer so
it centre ovale de Flechsig et la zone marginale de Westphal. Les
zones
de Lissauer sont fortement sclérosées. Dans la ré
ro-externe présente une sclérose un peu moins avancée, ainsi que la
zone
de Lissauer. Dans le bulbe on observe une doubl
insi que la zone de Lissauer. Dans le bulbe on observe une double
zone
de dégénérescence, l'une autour du noyau de Gol
e éten- due à toute leur hauteur. Au renflement lombaire, la petite
zone
de Flechsig et les zones de Westphal sont éparg
hauteur. Au renflement lombaire, la petite zone de Flechsig et les
zones
de Westphal sont épargnées. Au renflement cervi
Goll; la moitié antérieure contient encore des tubes disséminés. La
zone
radiculaire, moins fortement lésée que le cor-
iculaires, consistent dans une infil- l- tration embryonnaire de la
zone
externe ou de la paroi tout entière, régulièrem
ta- tion. Les coupes colorées à l'hématoxyline montrent que cette
zone
de destruction de la myéline est précisément en
ions portent contre l'hypothèse d'un foyer localisé au niveau de la
zone
excitable) ? L'apparition subite des accès épilep
: 1° chaque organe de la tête est en relation avec une ou plusieurs
zones
superficielles, tels sont le nez, l'oeil, etc., e
els sont le nez, l'oeil, etc., etc., et le cerveau lui-même; 2° les
zones
n'ont pas pour la plupart une élendue qu'on pui
destruction des différentes branches du trijumeau montrent que les
zones
de sensibilité ne correspondent pas à leur dist
u ; 7° il cherche enfin à localiser les connexions centrales de ces
zones
avec le système nerveux. Nous ne pouvons entr
combinant les différents diagrammes donnés par les auteurs pour lès
zones
anes- thésiées dans des cas analogues, un diagr
es- thésiées dans des cas analogues, un diagramme schématique des
zones
cutanées du bras qui sont en rapport avec les dif
le entre la seconde paire dorsale et la qua- trième 'cervicale. Ces
zones
se présentent sous forme de bandes longitudinal
radiculaires qui sont atteintes dans les cornes postérieures et les
zones
d'anesthésie se trouvent du même côté que la lé
mique. Désormais à ces lésions il faudra ajouter la notion d'une
zone
de sclérose occupant le pourtour de la corne anté
e la corne antérieure dans la région du faisceau fondamental. Cette
zone
dégénérée varie d'aspect suivant les régions ex
tion produite par l'ab- sinthe produit son maximum d'effet quand la
zone
motrice est intacte, la décharge se fait par ce
et quand la zone motrice est intacte, la décharge se fait par cette
zone
et est transmise par les faisceaux pyramidaux.
ritation est extrême, il y a aussi transmission du côté opposé à la
zone
excitée; l'uni ou la hilalé- ratité des convuls
e à la fois sur le volume et sur les éléments constitutifs de cette
zone
. R. M. C. XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COL
archer, sont les cellules de Purkinje et les petites étoilées de la
zone
molé- culaire : ces cellules ont donc bien la s
E; par C. MAYER. (J'i/t)'6t<C/t ? Psychiat., XIII, 1.) Dans la
zone
d'entrée radiculaire postérieure de Westpllal, il
confirme les vues de Flechsig (dix observations). Les fibres de la
zone
radiculaire moyenne de la moelle lombaire et de l
moelle sacrée pénètrent surtout dans les colonnes de Clarke. Cette
zone
radiculaire moyenne contient aussi des fibres lon
et aussi des fibres qui, après un court trajet, se rendent dans la
zone
radiculaire postéro-médiane. Dans la moelle dor
s. Le noyau n'avait plus sa situation centrale, mais avait gagné la
zone
périphérique. La présence d'altérations des cel
très vive, presque constante. Pas de points hyperesthésiques. Pas de
zones
hystéro-gènes (testicule, point pseudo-Ovarien, e
la présence des stigmates hystériques. Mais c'est une hystérie sans
zones
hystérogènes, sans attaques, jusqu'à présent. Cel
équent, sur la rétine, une véritable plaque hystéro-gène. Deux autres
zones
hystérogènes se voient, l'une sur le flanc droit,
ndue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux
zones
hystérogènes siégeant, l'une près du bord spinal
nts, souffrait d'une douleur dans le flanc gauche (siège actuel d'une
zone
hystérogène) et d'une vive céphalalgie frontale.
ît notablement sous l'influence des émotions, par la pression sur une
zone
hystérogène rachidienne, après les attaques de ne
ervalle. Pas de douleurs de ventre spontanées. Pas d'ovarie. Pas de
zones
hyperesthésiques ni hystérogènes nulle part. On a
l'on constate à la suite de l'accouchement une paralysie limitée à la
zone
de distribution du sciatique poplité externe, on
de la façon suivante : 1" Sensibilité à la douleur. — Il existe une
zone
d'analgésie commençant au-dessous de la tète du p
nçant au-dessous de la tète du péroné, et limitée ainsi: Fig. 21. —
Zone
d'analgésie chez le malade de l'Observation VII.
la colonne vertébrale avec inclinaison du tronc adroite. Fig. 24.—
Zone
d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la m
t se reporter aux schémas joints à FObserva-tion VII, on verra que la
zone
d'anesthésiecorrespond exactement à la zone de di
tion VII, on verra que la zone d'anesthésiecorrespond exactement à la
zone
de distribution du sciatique poplité externe et d
lière et d'une localisation moins étroite. Il semble cependant que la
zone
cutanée du musculo-cutané est restée indemne. On
e nerveuse, exiger que l'anesthésie soit exactement superposable à la
zone
de distribution que l'on voit sur les schémas rep
du pied droit et de la demi-circonférence externe de la jambe droite (
zone
sensitive du sciatique poplité externe) et une hy
e la sensibilité, le membre inférieur droit doit être partagé en deux
zones
d'étendue inégale : la première, qui comprend tou
oxal, se perdant en arrière dans la région moyenne de la fesse. Cette
zone
descend en bas jusqu'au genou, dont elle occupe l
sensibilité au chaud et au froid est partout conservée, sauf dans la
zone
d'anesthésie. La malade ne présente aucun troub
savoir une insensibilité avec absence de réflexe du pharynx. Donc, la
zone
cl'anes-thésie un peu paradoxale de notre malade
ésie, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note la présence d'une
zone
hystérogène parfaitement caractérisée. Enfin no
à gauche. Le réflexe pharyngien Fig. 37. — Anesthésie de la face et
zone
liystérogène de Chypocondre gauche. est totalem
ords sont également sensibles des deux côtés. Il existe en outre cinq
zones
douloureuses : deux ovariennes, deux sus-mammaire
et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces
zones
réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer
, satisfaisant dans tous ses détails. Et d'abord, réexaminons cette
zone
d'anesthésie partielle avec dissociation syringom
avons rien à changer à ce qui a été dit. Mais la disposition de cette
zone
est bien singulière. Pourquoi cette forme de lang
42. — Hachures obliques : hémidysesthésie. — Hachures horizontales :
zone
de dissociation syringomyélique de la sensibilité
'il peut se montrer en diverses circonstances. Concédez -morqu'ici la
zone
d'anesthésie partielle se rat dans l'hystérie.
rtaine localisation.il faut qu'elle siège au niveau etàla surface des
zones
motrices. Si elle siège à la surface des circonvo
cette malade. La lésion mônin-gitique siège-t-elle en dehors de cette
zone
motrice, vous pourrez avoir non pas l'épilepsie,
on un peu forte, et surtout la percussion, révèlent l'existence d'une
zone
en rondelle douloureuse, de la largeur d'une pièc
ne en rondelle douloureuse, de la largeur d'une pièce de cinq francs,
zone
qui siège à gauche dans la région pariétale, sur
xtrémité do la précédente, longue de 8 centimètres. — C. Centre de la
zone
douloureuse situé à 8 centimètres au-dessus du po
ranches terminales de la sylvienne, et que le territoire cortical des
zones
motrices, dans une grande étendue, a été intéress
us dessiner de mémoire. Nous devons donc admettre que, en outre de la
zone
motrice des membres, le lobule pariétal inférieur
re 7, le cylindraxe en voie de désin- tégration moléculaire; 2° une
zone
centrale, voisine du cylindraxe altéré, où la m
concen- triques et est hyaline et liquéfiée; 3° à la périphérie une
zone
, où la myéline a conservé ses cercles concentri
tabes. Cette dégéné- rescence, dans la moelle lombaire, respecte la
zone
radiculaire moyenne et gagne la cloison médiane
médiane postérieure; dans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les
zones
médianes, ni les zones latérales, confinant au
ans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les zones médianes, ni les
zones
latérales, confinant au bord médian des cordons
le du cerveau, en interrom- pant les voies de conjonction entre les
zones
motrices et la couche optique, a empêché l'arrê
te aux yeux l'altération fréquente des cordons postérieurs et de la
zone
marginale de Lissauer et des racines postérieur
long de cette dernière s'étendent en plus grande quantité dans la
zone
marginale de Lissauer et dans les cordons et les
racines postérieures. Dans le troisième cas les cordons de Goll, la
zone
marginale de Lissauer, la voie cérébelleuse et
arquable dans le faisceau de Burdach, dans celui de Goll et dans la
zone
marginale de Lissauer. En outre, Campbell renco
née des fibres nerveuses de la moelle avec la lésion spéciale de la
zone
radiculaire de Lissauer et des cordons postérie
externe de la portion verticale du frontal. La pression sur cette
zone
saillante ne provoque aucun symptôme. Les yeux de
eau des étincelles longues de 1 à 2 millimètres; on limite ainsi la
zone
d'analgésie que l'on peut rencontrer sans avoir
peu plus étouffé. Il y a affaiblissement des tonalités en certaines
zones
du crâne; voici par exemple un ton éclatant au
arie de quelques jours à plusieurs semaines. Le point de départ, la
zone
de propagation de ces singulières lésions sont
t tout d'abord. Au tronc, les troubles apparaissent d'abord dans la
zone
d'inner- vation des nerfs dorsaux moyens. Ils s
le trajet des nerfs périphé- riques, mais correspond exactement aux
zones
d'innervation des racines postérieures. On tr
s poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à une interruption entre la
zone
mo- trice et les organes terminaux périphérique
é inférieure des ascendantes, au-dessus de la - scissure deSylvius;
zone
d'encéphalite réactionnelle. L'épilepsie jackso
rayon- nante sont des expansions terminales à fonction centripète, (
zone
centrale du centre sensor iel) et. que les fibr
les fibres collatérales qui partent de ces dernières constituent la
zone
terminale ou périphérique, cen- trifuge de ce m
sent n'envoyer de fibres collatérales que dans le voisinage de leur
zone
respective, autrement dit, le territoire colla-
plus grand, de beau- coup, qui se confond en grande partie avec la
zone
motrice des auteurs, sert assurément au tact. C
2° le soir, inter- viennent les paresthésies (de Bernhardt) dans la
zone
du fémoro- cutané. C'est tout. Quelques frictio
sale, en une couche ininterrompue qui entoure la substance grise (
zone
interne), plus large dans la partie antérieure et
ceau latéro-céréhelleux dans les cellules de Clarke-Stilling; 3° la
zone
périphérique contient dans toute son étendue, a
, faisceau sulcomarginal ascendant de Marie) s'épanouissent dans la
zone
périphérique, tan- dis que les fibres myélogène
- dis que les fibres myélogènes courtes occupent de préférence la
zone
interne; 5° le champ antérieur des cordons postér
énérescences encépha- LIQUES DANS LES AFFECTIONS EN l'01 ? R DE L 1
ZONE
MOTRICE D E L'ÉCORCE; WL. llul;a'row. (New'ol,
l occupent lesenvirons de la région sublhalamique, et peut-être les
zones
basales de la couche optique notamment le globu
ques ne permettent pas de préciser cette voie. Meynert a indiqué la
zone
médiane de la calotte comme tractus moteur. Ce
res cordons ne paraissent pas diminués. Dans le cordon de Burdach :
zone
de dégéuération de forme triangulaire à sommet
t exagéré d'autres centres : ainsi le fonctionnement intensif d'une
zone
visuelle pourrait pro- duire l'hallucination, a
licables aux neurones commissuraux et d'association des différentes
zones
psychiques B. Pathologie du neurone considéré i
neurones. Le premier archineu- rone a sa cellule d'origine dans la
zone
motrice de l'écorce ; son prolongement cylindra
es de la corne antérieure, de la colonne de Clarke, des différentes
zones
de la corne postérieure, des noyaux bulbaires.
ses expansions. On peut voir une dégénérescence limitée à certaines
zones
des cordons postérieurs, au faisceau virgule de
cordons postérieurs, tandis que ni les racines postérieures, ni les
zones
des collatérales, ni le centre même du téléneur
près la racine postérieure, le ganglion invertébral ainsi que la
zone
de Lissauer. Seules les branches cylindraxes dire
as jusqu'à l'écorce et le faisceau pyramidal croisé est intact. Les
zones
de Lissauer et les racines postérieures sont re
irconvolution à circonvolution et, dans une même circonvolution, de
zone
à zone, de neurone à neurone. La fonction de ce
lution à circonvolution et, dans une même circonvolution, de zone à
zone
, de neurone à neurone. La fonction de ces neuro
bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement du doigt dans la
zone
analgésique, ni le passage des poils d'un pince
ait supérieure de l'avant- bras, et cela des deux côtés, il y a une
zone
d'environ cinq centimètres de hauteur au niveau
s des 2°, 3e et 4° métatarsiens. existe de chaque côté'du genou une
zone
de diminution de la sensibilité = 1 divi- sion
de la sensibilité = 1 division 1/2 dans la moitié inférieure de la
zone
d'anesthésie. C. Contractilité musculaire. Expl
= 1 division dans toute la moitié inférieure. Il y a également deux
zones
de diminution de la sensibilité = 1 division 1/
relations anatomiques du tubercule quadrijumeau postérieur et de la
zone
motrice. D'autre part, on sait que le tubercule
e parce que chez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la
zone
motrice (dégénérescence consécutive du faisceau
cela a lieu chez l'animal auquel on n'a pas préalablement enlevé la
zone
motrice corticale. Cette méthode de vivisecti
Encéphaliques. Dégénérescences dans les affections du foyer de la
zone
motrice, par Muratow, 380. Enfants. Quartiers d
bides. « Entre le crime et l'insanité, dit Maudsley1, il existe une
zone
neutre : sur un des bords, on n'observe qu'un p
jourd'hui sous le nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la
zone
motrice du cerveau et les cellules des cornes a
remarquable des altérations à la région dorsale, et l'intégrité des
zones
radiculaires au niveau des deux tiers inférieur
que toute la hauteur de la moelle, entre la corne postérieure et la
zone
scléreuse des cordons latéraux, un espace plus
ordons postérieurs s'étend jusqu'au renfle- ment lombaire et si les
zones
radiculaires de ces parties sont intéressées pa
ercle, etc. - Compression testiculaire. Etat de la sensi- bilité. -
Zones
hystérogènes. Action des aimants, des métaux. -
ques et apparition d'écume salivaire aux lèvres. La compression dps
zones
hystérogézzes (voir plus loin) ne donne aucun rés
n certain nombre de points, douloureux à la pression, analogues aux
zones
hystérogènes qui existent chez les femmes hysté
oubles hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau; 3° et 4° deux
zones
symé- triques au niveau du deuxième espace inte
; - 51 un point sensible au-dessus du mamelon droit; 60 et 7° deux
zones
douloureuses symétriques, au niveau des flancs,
de l'attaque consistent en une sensation douloureuse, dirigée d'une
zone
iliaque à l'autre et produisant, d'après le mal
ère dans les travaux du ménage. La sensibilité est parfaite, et les
zones
hysté- ronènes ont disparu.-L'eczéma, en voie d
e violence. - IV. Signalons encore les accès de toux gutturale, les
zones
hys- térogènes à l'état rudimentaire; l'ineffic
ènes à l'état rudimentaire; l'inefficacité de la compression de ces
zones
ou de la compression des testicules sur la produc
ns, le goût étant aboli sur les deux tiers antérieurs de la langue (
zone
des fibres de la corde du tym- pan), le nerf fa
pposé; on y rencontre, par exemple, une diminution de volume sur la
zone
de l'hémisphère qui est formée par la première
développement produits sur LE CERVEAU du lapin par l'extirpation DE
zones
COR- TICALES circonscrites; par C. von Monakow.
he optique, ainsi que des corps genouillés externes et internes. La
zone
qui tient sous sa dépendance le corps genouillé
antérieurs, ainsi qu'un léger degré d'atrophic du nerf optique. La
zone
en relation avec le corps genouillé interne, si
égénérescence des» troisième et cinquième de la capsule interne. La
zone
à laquelle ressorlissent les tuber- cules antér
ie l'action des auestlrésiques sur l'excitabilité expérimentale des
zones
psychomotrices du chien au courant fara- dique.
En dehors de l'émi- nence ? ), à droite et à gauche, se trouve une
zone
d'une coloration violacée assez foncée, circons
coloration violacée assez foncée, circonscrite elle-même par une
zone
comme gélatineuse. La consistance du bulbe est
aire de certains filets commissuraux ap- partenant au système de la
zone
radiculaire interne et dont Gerlach et Kolliker
ijumeau un système identique à celui que forment dans la moelle les
zones
radiculaires postérieures et les cornes antérie
pose au bulbe comme à la- moelle une alté- ration antécédente de la
zone
radiculaire, postérieure ou de son analogue (ra
s l'étage supérieur de la protubérance se limitent quelquefois à la
zone
que parcourt le faisceau volontaire et déterminen
La lésion occupe, au début, dans la moelle dorsale deux étroites
zones
latérales symétriques, dans lesquelles pénètrent
le lombaire, l'altération débute toujours dans l'aire moyenne de la
zone
radiculaire postérieure ; il est facile d'en dist
n triangle circonscri- vant le sillon médian postérieur. Quant à la
zone
antérieure des cordons postérieurs, elle demeur
ostérieur se trouve constamment lésé avant le segment antérieur. La
zone
radiculaire postérieure subit ensuite, en cette
331 1 et de la sélection de la maladie pour tel ou tel ensemble de
zones
(analogie avec les intoxications ergotiniques e
ht, un type d'hémiplégie corticale; il confirme la localisation des
zones
motrices des extrémités dans le tiers supérieur
es, des leucocytes, des endothéliums, des coagulums fibrineux). Les
zones
récemment atteintes sont le siège d'une néoplas
mps les centres médullaires eu connexion avec eux; l'excitation des
zones
corticales entraîne au contraire après elle une
corce est alors nettement séparée de la subs- tance blanche par une
zone
de dégénérescence qui coiffe cette dernière, zo
e blanche par une zone de dégénérescence qui coiffe cette dernière,
zone
transparente ne se colorant pas par l'acide chrom
ointe du lobe temporal, l'm- sula, le gyrus rectus représentent les
zones
d'élection des altéra- tions les plus accentuée
de développement produits sur le - du lapin par )'e\tirpation de
zones
corticales circonscrites), ])ai- Nlonillov, 1 I
impossible, à cause de la distribution extrêmement irrégulière des
zones
violacées, qui ont en outre uue étendue minime.
réticulée blanche. On reconnaît ce- pendant encore au microscope la
zone
de sa dégénération. Quand on compare l'olive dr
ant dans son épaisseur, ni une trace de foyer hémorrbagique, ni une
zone
de ramollissement. Cette enveloppe s'amincit ve
r les premiers noyaux, qui sont tassés à ce niveau et dessinent une
zone
d'un bleu intense, accentuant encore l'opposition
plus elles-mêmes qu'un amas de noyaux vivement colorés. Dans cette
zone
se distinguent des taches claires tranchant sur l
al colorés, puis le manchon serré des cellules rondes ; ce sont des
zones
de ra- mollissement. Les autres représentent de
TAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de substance intacte ; autour de ces
zones
, il n'y a ni vaisseaux ni cellules jeunes. Le
me. Elle est uni- formément colorée; nulle part on ne peut voir une
zone
nettement ramollie. Ses vaisseaux sont très nom
aut degré un caractère, que l'on peut d'ailleurs constater dans les
zones
les plus épaisses de la gaine pie-mérienne : c'
a moelle elle-même les éléments des cornes postérieures. Dans cette
zone
fibreuse sont creusées de nombreuses lacunes vasc
déterminer, par la méthode de Weigert, la topographie générale des
zones
dégénérées, en raison du mode de fixation. Dans
ste aucune dégénérescence systéma- tisée, mais une altération de la
zone
périphérique eu contact avec les méninges malad
éral plus épargné, surtout dans sa moitié antérieure. Le profil des
zones
dégénérées indique donc nettement la cause de l
e celles de la dure-mère, qui dans notre cas était, en dehors d'une
zone
peu étendue, entièrement indemne. Elles sont po
sont plus ou moins lésés, mais presque tous atteints et de petites
zones
de ramollisseme.it se voient au centre de la ré
ones de ramollisseme.it se voient au centre de la région malade. La
zone
corticale sous-jacente est envahie sur une faib
mollissement. La partie postérieure du pulvinar gauche contient une
zone
de dégénéres- cence très accentuée s'étendant s
son côté externe et occupant toute sa hau- teur. Du côte droit, la
zone
dégénérée est moins étendue. Les corps genouill
n outre plus faible aux membres inférieurs Le pointillé indique les
zones
d'hypoesthésie très marquée. MYOPATHIE ATROPHIQ
fs de la sensibilité ; nous avons trouvé sur notre malade de larges
zones
d'anesthésie à la piqûre, ou plus exactement d'hy
s des mollets et des cuisses. Ou coustate au niveau des cuisses des
zones
d'anesthésie sans dissociation de la sensibilité
es parties sous-jacentes,sauf à la région cervicale au niveau d'une
zone
où le cylindre nerveux est très augmenté de volum
où elle fait une saillie très pro- noncée englobant entièrement la
zone
d'origine des racines antérieures de C. VIII, D
ment vascularisée, à surface brillante, sauf, bien entendu, dans la
zone
où la dure- mère était adhérente. La. consist
de étendue. La tumeur est irrégulièrement colorée ; on remarque une
zone
plus foncée, d'où plus riche en éléments chromati
aux. On distin- gue la substance blanche persistante, sous forme de
zones
périphériques plus claires, formant comme une m
COCUE voit deux traits plus foncés (des vaisseaux) et également une
zone
plus colorée sur laquelle nous reviendrons plus
nombreu- ses, les plus serrées, sauf dans la région centrale où la
zone
foncée contigue à deux vaisseaux est une zone d
région centrale où la zone foncée contigue à deux vaisseaux est une
zone
de dégénérescence. Les parties claires corres-
vasculaires. Dans la coupe 2 par exemple, on trouve au milieu de la
zone
de dégénérescence centrale de nombreuses sections
ombose que ressortit la dégénérescence du tissu voisin. Dans toute la
zone
en rapport avec ces vaisseaux qui est irriguée
ie des cordons pos- térieurs, plus particulièrement marquée dans la
zone
post-commissurale, et dans les cordons de Goll.
cription générale de la tu- meur, outre la thrombose centrale et la
zone
de dégénérescence environnante, offre à considé
du canal épendymaire se trouvent en pleine tumeur, au voisinage de
zones
dégénérées, déjà dépourvues de toute trame tissul
plus antérieure du cordon de Goll, et qui est le prolongement de la
zone
de dégénérescence signalée aux étages supérieur
s plus inférieures de la tumeur, et en rapport précisément avec des
zones
où la stase est la plus grande. A un certain po
certain point même, la liquéfaction est tel- lement complèle que la
zone
orignaire apparaît comme une cavité intra- médu
région. Cette constatation nous autorise à penser que c'est dans la
zone
médul- laire de l'innervation de la main, en pa
arties blanches envi- ronnantes et la consistance assez ferme de la
zone
périphérique permet aisément de l'isoler. La po
pas de retard de la perception, aucune anes- thésie cutanée, pas de
zones
d'hyperesthésie ni de zones bystérogènes. Aucun
on, aucune anes- thésie cutanée, pas de zones d'hyperesthésie ni de
zones
bystérogènes. Aucun stigmate d'hystérie. Tous
et externe du médius. Guérison opératoire simple. Dans la suite, la
zone
anesthésique s'étend lentement et finit, au bout
étermine du fourmillement dans les doigts, particulièrement dans la
zone
du médian. Après incision, M. Péraire trouve le n
restait, dix-huit mois après la première opération, qu'une étroite
zone
anesthésique au centre de la pulpe de l'index e
irrégulière, périodique et n'intéressant pas simultanément toutes les
zones
de cet organe. HOSPICE PAUL BROUSSE A VlLLEJU
, est-il utile d'organiser des centres neuro-psychologiques dans la
zone
des armées, selon les voeux émis par la Société
e laboratoire, par exemple après l'extirpation du cervelet ou de la
zone
motrice de l'écorce ; ces recherches sont pourtan
Les mouvements de l'avant-bras s'exécutent normalement. Il y a une
zone
d'auesthésie à la face dorsale, sur le 5e métacar
es, puis des troisièmes, plus marquée pour les doigts externes ; la
zone
des troubles sensi- tifs se rétrécit légèrement
au-dessus par la circonvolution de l'hippocampe et une partie de la
zone
médiane de la première circonvolution temporo-occ
ractéristique du lymphangiome. Il,y a dans tous les fragments des
zones
d'infiltration oedémateuse. La majorité des art
-60. 19 heures, céphalée violente, douleur extrêmement vive dans la
zone
épi- gastrique, exagérée par la pression ; sous
ive dans la zone épi- gastrique, exagérée par la pression ; sous la
zone
hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à l
ace de Kernig. Douleurs vives , exagérées par la pression, dans les
zones
hépatique et épigastrique. Douleurs diffuses ;
à 38° et 39o le 14 au soir. Symptômes à l'entrée. Douleurs dans les
zones
articulaires, surtout dans les masses musculair
rofuses depuis 15 jours. Pas de taches. Matité splénique nor- male.
Zone
hépatique normale. Selles normales. Parésie des m
dons postérieurs très analogues à celles du tabes (dégénération des
zones
de Lissauer, des fibres des cornes postérieures e
Forcément nous n'avons pu établir une bibliographie complète. Dans la
zone
des armées, il est à peu près impossible de se
Mobilisé le 17 février 1913. Depuis cette époque, se trouve dans la
zone
des armées. N'a pas fait de service militaire
rce au niveau du centre de la face, dans la partie inférieure de la
zone
motrice prérolandique. C'est le plus souvent un f
e. Hyperesthésie aux extrémités inférieures. A h cuisse, il y a des
zones
d'hyperesthésie. Il n'y a pas de perturbations
ent de l'intelligence ou aphasie sensorielle due à une lésion de la
zone
de Wernicke, accompagnée d'anarlhrie produite par
e Wernicke, accompagnée d'anarlhrie produite par une lésion dans la
zone
du noyau lenticulaire. Cette opinion a été combat
tant à la vie intra-utérine. Lésions s'étendant des deux côtés à la
zone
motrice et ayant atteint à gauche le pied de la
car on n'observe ni agraphie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La
zone
motrice des membres supérieurs et inférieurs doit
quaient t le siège d'une lésion très étendue qui prenait surtout la
zone
motrice droite. La rapide succession des symp
autre cas, exigeait une intervention chirurgicale immédiate dans la
zone
rolandique, en visant spécialement la circonvolut
is, de décompression intracrâ- nienne (1), nous avons trouvé dansja
zone
rolandiquè un gros sarcome avec une production
ndiquè un gros sarcome avec une production kystique qui occupait la
zone
correspondante à la zone prise dans notre malad
ec une production kystique qui occupait la zone correspondante à la
zone
prise dans notre malade, mais plus intense, sans
r cette localisation; . Il semble qu'il n'existe pas une, mais deux
zones
corticales, une posté- rieure et une autre anté
ssinent indistinctement. On trouve en dehors de ce centre une large
zone
concentrique, où les globules de sang ont des con
a partie inférieure de ce territoire, la région frontière entre les
zones
de sueur et de sécheresse n'ayant pas produit une
photographie (PI. LVIII) donne donc une image qui exagère un peu la
zone
terminale inférieure de la région anidrosique. Il
ne, le côté droit du visage restait sec, à l'exception d'une petite
zone
au-dessus de l'angle interne de l'oeil. Celle p
dessus de l'angle interne de l'oeil. Celle persistance d'une petite
zone
de sudation du côté lésé pourrait indiquer, dit
iquer à notre cas, pas plus qu'à un autre de Stewart (p. 415) où la
zone
non transpi- rante prenait la moitié du visage,
r. Chez Georges, la pilocarpine n'a produit aucune sudation dans la
zone
précédemment délimitée. Est à noter même qu'ell
e, grâce au procédé de Stewart à la poudre de charbon (fig. 3), une
zone
d'hyposudation occupant la 2e espace intercostal,
né du plexus brachial supérieur, moins l'avant-bras Sur toute cette
zone
, la peau est dure, épaissie, . rebelle à tout p
chez ce sujet, se détachent avec une extrême facilité sur toute la
zone
malade, à tel point que l'intérieur de la manche
F. La nsibilité objective n'est pas altérée ; on ne constate aucune
zone
d'anesthésie, ni d'hypoesthésie. Les zones de W
e ; on ne constate aucune zone d'anesthésie, ni d'hypoesthésie. Les
zones
de Weber ne sont pas élargies ; la perception s
aisselles, aux scrotum et au périnée (obs. 111). S'ilsexistenl à la
zone
pubienne etqu'ils aillent au delà d'un simple d
syn- drome de Frohlich, de signes de tumeur hypophysaire ou d'une,
zone
voisine de l'hypophyse, "avec les phénomènes in
t récidivait, il serait aisé de le guérir,, soit sur place, dans la
zone
des armées, soit en le renvoyant dans le centre n
de la pointe, un élargissement de son choc, une augmentation de la
zone
de matité précordiale, un assourdissement et un
èce qu'ils soient, les actes mnémoniques s'accom- plissent dans des
zones
corticales spéciales, autres que les centres se
ité plus haut. Est-ce à dire cependant que si l'on eût excisé une
zone
d'écorce on eût été plus heureux. Je ne le croi
Sclérose des cordons posté- rieurs médians dans la région dorsale.
Zones
sclérotiques irrégu- lières avec une zone d'inf
dans la région dorsale. Zones sclérotiques irrégu- lières avec une
zone
d'infiltration cellulaire (gommeuse) dans la ré
de la naissance, le siège de la lésion, qui bien qu'au niveau de la
zone
de distribution de l'artère sylvienne n'accom-.
couche externe de celle-ci; il y en a aussi un grand nombre dans la
zone
périnu cléaire. L'épaisseur des petits grains e
innervé par les racines dorsales supérieures et moyennes, en un mot
zone
hypo-esthésiqne du tronc de Hitzig et Loehr. An
ment le centre moteur oculaire situé dans le lobe pariétal. Dans la
zone
indiquée par nous avons 1 G. Alann. Journal of
n dehors par « la région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (
zone
motrice du membre antérieur) le limite en arriè
rieur) le limite en arrière ; 2° Fritsch et Hitzig ont trouvé une
zone
du lobe pariétal, dont l'excitation électrique
ré sortir de la capsule interne, se diriger en dedans, traverser la
zone
reticulée, la zone ou le champ de lVemzicke et
sule interne, se diriger en dedans, traverser la zone reticulée, la
zone
ou le champ de lVemzicke et gagner la portion ven
emière leçon est consacrée à l'étude de deux cas de tu- meurs de la
zone
rolandique. Les convulsions jacksonniennes in-
pilepsie ou d'hystérie occasionnées par l'excitation de cer- taines
zones
, etc.) ; - 2° Soit par suite d'une augmentation
les. Notre connaissance des différents territoires qui composent la
zone
mo- trice corticaie était, à peu de choses près
u trouble provoqué par la lésion des neurones d'association dans la
zone
du langage des hémi- sphères cérébraux, nous pr
oral il est particulièrement facile de constater une subdivision en
zones
périphériques arrivant plus tôt à leur développ
division est évidente, mais la disposition est plus compliquée. Les
zones
périphériques touchent les centres sen- soriels
res arquées. L'in- sula et le précunéus ne semblent consister qu'en
zones
périphé- riques. Peut-être les zones périphériq
us ne semblent consister qu'en zones périphé- riques. Peut-être les
zones
périphériques constituent-elles des formations
sont dépourvus. Parfois, bien que très rarement, on trouve sur ces
zones
périphériques des faisceaux atypiques de la cou
rale et régu- lière de faisceaux de la couronne rayonnante dans les
zones
péri- phériques. Les territoires centraux des
ante dans les zones péri- phériques. Les territoires centraux des
zones
d'association (surtout la partie Archives, 2° s
les points nodaux de systèmes longs d'associa- tion, tandis que les
zones
périphériques ne présentent que faible- ment ce
prétés comme des actions à distance. Les territoires centraux des
zones
d'association sont des centres qui sont en rela
qui sont en relation plus ou moins directe, chacun avec plusieurs
zones
sensorielles, quelques-uns avec toutes; ils en co
ue le cerveau était excitable par les courants électriques dans une
zone
déterminée, que l'écorce cérébrale se composait d
descendant apparaît vert jaune. Bordier a cherché à déterminer les
zones
à partir desquelles se produisent les phénomène
araît quand celui-ci se trouve sur les pectoraux ou le trapèze. Ces
zones
s'étendent aussi en arrière de la tête sur les
de maintes- régions des couches optiques (pulvinar), etc., dont les
zones
de rayonnement empiètent de tous côtés sur les
- (de Paris). Dans les lésions corticales et sous-corticales de la
zone
sensitivo- motrice il n'est pas rare de constat
me du ruban de Reil médian que l'on constate dans les lésions de la
zone
sensitivo-motrice anciennes ou remontant à l'en
to-marginal (centre ovale, triangle médian). Fauceaux endogènes. La
zone
cornu-commissurale de P. Marie, faisceau en vir
édian de Gombault et Philippe), le faisceau descendant de Hoche, la
zone
radiculaire postéro-interne (Flechsig), seront
t qu'ils ne sont pas purement endogènes. Les libres endogènes de la
zone
cornu-commissurale sont courtes et entrent en d
la hauteur de la huitième cervicale et dégénèrent en descendant. La
zone
radiculaire pos- téro-interne est principalemen
dans les régions lombaire et cervicale y entrent obliquement. Les
zones
de Flechsig seront considérées. 510 CONGRÈS INT
h et, au degré moindre, le cordon deGoll, et qui laisse intacte une
zone
nor- male au bord de la commissure et de la coi
issure et de la coi ne postérieure et par- tiellement aussi dans la
zone
postéro-interne. La zone postéro- interne subit
stérieure et par- tiellement aussi dans la zone postéro-interne. La
zone
postéro- interne subit habituellement une sclér
ahit la plus grande partie du cordon, à l'exception par- tielle des
zones
dites endogènes. La pie-mère est ordinairement
ose, d'après Tuczek, affecte principalement le cordon de Goll et la
zone
centrale radiculaire et laisse relativement int
et la zone centrale radiculaire et laisse relativement intactes les
zones
cornu-commissurales et septo-marginales. Les ra
s ré- gions dorsales et cervicales. Elle affecte le plus souvent la
zone
centrale de la région lombaire, et dans la régi
et dans la région cervicale princi- palement le cordon de Goll. Les
zones
près de la commissure et la corne postérieure,
nnervé par le rameau supérieur du trijumeau est com- mandé par deux
zones
centrales nucléaires ; l'une de ces zones donne
u est com- mandé par deux zones centrales nucléaires ; l'une de ces
zones
donne la sensibilité à la peau du front, elle e
façon que la hase est parallèle au bord intérieur ou médullaire de la
zone
d'é-corce grise. D'autres prolongements de la m
la rétine. M. Meynert range encore, parmi les éléments nerveux des
zones
corticales, des cellules allongées, en général fu
inées^'//. 5,1). A l'œil nu, cette couche offre l'aspect d'une petite
zone
blanche. Ce défaut de coloration paraît être en r
dèlement repré-sentée par M. Luys (1) et par Henle (2). C'est dans la
zone
la plus inférieure de cette couche qu'existent da
icures ; — G,G, cornes postérieures ; — D,D, cornes antérieures; — F,
zone
radiculaire antérieure; — E, cordons de Goll. A
e est peu vascularisée ; 2° la seconde couche, 6, correspond aux deux
zones
de cellules ner-veuses; là, le réseau vasculaire
er dans les territoires voisins. La communication qui se fait dans la
zone
périphérique d'un territoire vasculaire explique
s pos-térieures et dont la base, un peu arrondie, n'atteint jamais la
zone
corticale de la moelle et, de plus, n intéresse p
elle confine à la pie-mère. Dans la sclérose latérale primitive, la
zone
scléreusc occupe d'une façon gé-nérale la même ré
us étendues. Ainsi, en avant, la lésion tend à envahir le domaine des
zones
radiculaires antérieures, et, en dedans, elle s'a
Fi/7.46. — A, A, cordons latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C,
zones
ra culaires postérieures. —G, C, cornes postérieu
rieures. —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-rieures. — P,
zone
radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. s
, dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette région a reçu les noms de
zone
radiculaire antérieure (Pierret) et de région fon
triangle, diri-gée en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une
zone
de substance nerveuse lui formant une sorte de ma
partient, vous le voyez, à la région que l'on dési-gne sous le nom de
zone
motrice. (Lobule paracentral, extré-mité supérieu
pyramidales pren-draient naissance dans la substance corticale de la
zone
mo-trice ; là, commencerait leur développement, e
la substance grise des circonvolutions rolandiques, autrement dit des
zones
motrices. Somme toute, je vous le répète, il n'y
ner les limites. Faites partir de la couche profonde de toute cette
zone
grise, Fig. 60. — A, coupe horizontale du noyau
central. — d, Raci-• nos antérieures. — e, Racines postérieures. — a,
Zone
radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire po
s. — e, Racines postérieures. — a, Zone radiculaire antérieure — 6,
Zone
radiculaire postérieure. Fig. 67. — Coupe de la
Sclérose de la totalité des cordons postérieurs (faisceaux de Goll et
zones
radicuîaires). — Ataxic locomotrice vulgaire. F
es). — Ataxic locomotrice vulgaire. Fig. 72. — B, Sclérose des deux
zones
radicuîaires postérieures (les faisceaux de Goll
ck et Pitres : « Chez le chien unohésion corticale siégeant dans la
zone
motrice peut être suivie de dégénération secondai
ère du cordon antérieur, désignée dans l'obser-vation, sous le nom de
zone
de rayonnement. » Si, d'autre part, on considèr
res, 358 ; — dans le tabès dorsal spasmodique, 371. rolandique. (v.
zone
.) Ruban de Vicq d'Azir, 17. S Scissures du ce
soutenues depuis Galien, 363. w Wallériennes (Lésions), 271. Z
Zones
radiculaires, 186. Zone rolandique, 210, 236; — c
363. w Wallériennes (Lésions), 271. Z Zones radiculaires, 186.
Zone
rolandique, 210, 236; — chez le chien, 277.
ganiques du système nerveux central. En faisant nos études dans des
zones
d'une population diffuse, dans l'intérieur du B
l (fig. 5) par une bande claire au niveau du cordon de Burdach ; la
zone
radicu- laire externe correspondant à ces racin
tation méningée qu'à la compression; elles se traduisent 1° par une
zone
marginale de dégénérescence et d'oedème qui se
upe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des
zones
radiculaires externes dans les cordons postérie
rachnoïde ; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm.
zone
marginale de démyélinisation. FiG. 6. 5° segmen
et postérieures Il. P. ; on voit . sur cette coupe avec netteté la
zone
de démyélinisation marginale Zm ; et des grains
iieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyra- midaux ; la
zone
de démyélinisation marginale ZM, est intense. *
es couches sagittales profondes, et se cantonne étroitement dans la
zone
sous-corticale de la circon- volution temporale
ner le premier sillon temporal. Fio. 2. - Deuxième observation. Les
zones
délimitées par une ligne pointillée représenten
qu'après l'apparition de son hémiplégie causée par la lésion de la
zone
lenticulaire gauche. Cela n'implique pas du tout
tion de plusieurs nerfs intercostaux, au côté droit, au niveau de la
zone
doulou- reuse. La névrotonomie pratiquée, les d
ur intense dans le côté droit et dans la colonne vertébrale dans la
zone
des vertèbres dorsales 6, 7, 8, 9, 10 ; aux mêm
à la douleur, et à la chaleur est complètement annihilée depuis la
zone
supérieure démarcative au niveau de la ligne xy
escement. t. 14 octobre 1910. - Laminectomie (Dr L. Krause) dans la
zone
des ver- tèbres dorsales 7, 8, 9, 10. Après l'é
t en ceinture, et pourquoi elles apparaissaient au contraire en une
zone
éloignée de l'endroit le plus com- primé. La pa
es on a trouvé l'ischémie des organes centraux et surtout celle des
zones
rolandiques et pieds des troisièmes circonvolu-
contre, la moelle épinière, traitée selon Marchi, présente dans la
zone
périphérique une coloration assez forte des gaine
les cordons postérieurs, intéressait dans notre second cas toute la
zone
périphérique de la moelle sans aucun rapport av
écédentes. Mais, à côté de ces follicules, on voit, surtout dans la
zone
périphérique, des follicules et des groupes de ce
ouve pas, lui non plus, dans mon cas. Une lente compression de la
zone
bulbo-prolubérantielle, produite par une maladi
u coude, astéréognosie, signe de Biernacki, engourdissement dans la
zone
du cubital. - Notre traitement a consisté en de
interosseux, l'on peut voir, sur la radiographie, l'existence d'une
zone
opaque aux rayons X allongée dans le sens longi
formés. Mais le fait le plus digne de retenir l'atten- tion est une
zone
, assez régulière, de téguments dépourvus de pigme
ent et qui fait un contraste frappant avec le reste du corps. Cette
zone
a la forme d'une ceinture dont le bord supérieu
sibilité tactile, thermique et à la douleur est diminuée dans cette
zone
. Dans la région verté- brale, à peu près au niv
urée d'une auréole déco- lorée se continuant du côté gauche avec la
zone
en ceinture plus haut dé- crite, étant par cont
en ceinture plus haut dé- crite, étant par contre séparée de cette
zone
du côté droit par une bande étroite de tégument
veau de la première vertèbre dorsale. Cette tache est entourée d'une
zone
où la pigmentation est diffuse.Dans la région m
long des insterstices existant dans ces travées et aboutir enfin à la
zone
de tissu conjonctif compact que nous avons sign
ns très peu étendues ; au contraire, dans les grosses lésions de la
zone
du langage, est rare qu'on obtienne d'aussi (1)
vocales. La sensibilité tactile est conservée, sauf pour une petite
zone
, qui répond à la face dorsale de la main et des
est intact et volumineux. Le faisceau externe dépasse de beaucoup la
zone
du faisceau de Türcl. En réalité la dégénéresce
amollissement unique, mais en une série de foyers distribués sur la
zone
du langage, non seulement au niveau delà circon
ères temporales et le pli courbe,qui appar- tiennent davantage à la
zone
du langage ont été relativement épargnés. On ne
aussi leur rôle dans les phénomènes de suppléance, principalement la
zone
sensorielle (partie postérieure des deux premiè
btenu chez notre deuxième malade, dont une très grosse partie de la
zone
du langage a été détruite, nous autorise à affir-
ré cela elle est restée sans parler pendant cinq ans ; cependant la
zone
du langage était chez elle relativement moins com
ressaient à la fois la région motrice et la région sensorielle de la
zone
du langage comme nous l'avons déjà fait remarqu
our l'articulation » ; dans de telles con- ditions une lésion de la
zone
du langage donnerait lieu à de l'aphasie dissoc
beaucoup plus que son âge. La face est asymétrique, surtout dans la
zone
du facial inférieur ; il semble qu'il y ait une
s détruites. A la périphérie de la masse caséifiée, se trouvait une
zone
d'infiltration qui faisait le tour du granulome,
et enflammée, au niveau des plis in- guinaux-cruraux il existe une
zone
rouge et suintante sans ulcération nette. La pe
l peut fléchir à demi le genou droit. Il semble que la limite de la
zone
d'anesthésie soit descendue de quelques travers d
actile est abolie sur les membres inférieurs et se continue sur une
zone
d'hypoesthésie qui atteint les fausses côtes. L
coupes divisent un centimètre d'épaisseur cérébrale. La cinquième
zone
traverse le putamen de Burdach dans sa plus gra
supérieur capsulaire que nous avons étudié dans les trois premières
zones
frontales. Ce sont donc ces faisceaux, qui sont
leux où elles disparaissent. Nous savons déjà, d'après la cinquième
zone
frontale, que les fibres se rendent sous forme
re possible de le dire. b) Sur cette coupe, comme sur la deuxième
zone
frontale, nous constatons que dans une certaine
tout en mettant à contribution les données fournies par l'étude des
zones
frontales, que le segment antérieur de la capsu
oyenne de l'hémisphère). Ils constituent : a) Le ruban courbe de la
zone
frontale (PL. XX, 1. 1), ruban qui traverse le
se termine au lobule paracentral. b) Les fibres en éventail de la
zone
sagittale (PL. IV) destinées aux parties moyenn
ur limite, en arrière, la face postérieure de la 1 \ ANATOMIE. 4°
zone
frontale. Dans les coupes frontales portant sur
e bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la 5e
zone
mésolobaire.) D'après Meynert et Iluguenin, la
'ai déjà fait remarquer que sur la face postérieure de la cinquième
zone
frontale, les irradiations capsu- laires qui se
ins, car, nous le retrouvons sur la face postérieure de la septième
zone
frontale, où il limite en dehors le prolongemen
e verre, et de recommencer l'opération au sur et à mesure que les
zones
sont recueillies. EXPLICATION DES PLANCHES PL
suivie, en quelques minutes, du retour de la sensibi- lité dans une
zone
d'étendue variable. Chez l'hémianesthésique il y
ôt à reparaître au niveau des plaques ; lorsqu'elle s'étend sur une
zone
de quelques centimètres de largeur, on constate
La destruction de la substance blanche et son excita- tion dans les
zones
motrices produisirent les manifestations bien c
e les cellules géantes ne sont pas confinées exclusivement dans les
zones
signalées par Betz. On peut en trouver des grou
à où aucun centre moteur n'a été clairement démontré, et auprès des
zones
d'où de petits muscles seuls sont supposés tire
- lules rondes, le noyau était souvent excentrique, entouré d'une
zone
dégénérée, au delà de laquelle était un espace cl
re- cherches, on arrive bientôt à délimiter un certain nombre de
zones
parfaitement circonscrites, dont l'ex- ÉTUDE DE
ène, avec le plus de précision et de sûreté, le résultat voulu. Ces
zones
se confondent avec ce que l'on désigne en élect
eux centimètres en- viron de l'oreille, à la hauteur du tragus, une
zone
fort limitée dont l'excitation amène infaillibl
point voulu. D'autre -part,- il' existe au-dessus de l'oreille une
zone
assez étendue dont l'excitation produit le même
ans ce cas,- nous excitons directement' la fibre musculaire dans la
zone
située. au : dessus- de l'o- reille, , tandis,
détermine que de l'épi- lepsie, entraîne, lorsqu'il désorganise les
zones
grises, la perte de l'intelligence consécutive
e modérer directement la température animale par l'excitation de la
zone
de Hitzig. M. Wood a eu recours (Ex- périences
es nous' ne pouvons entrer, indiquent que l'irritation légère de la
zone
de Hitzig,·après'sectin',dés nersswagués,,n'a'p
on^ totale,, de,,ces de1s ' ' " '; , la, nsion artérielle ; : par
zones
, des deux côtés, n'abaisse-pas la, tension artéri
droite un peu saillante : plagiocéphalie. Fontanelles oblitérées ;
zone
transparente à la partie postérieure des deux p
zone transparente à la partie postérieure des deux pariétaux. Deux
zones
transparentes à 15 mm. environ de la suture fro
mm. environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La
zone
droite a 15 mm. de largeur sur 20 mm. de longue
et s'étend jusqu'à la suture sagittale, où elle se fusionne avec la
zone
gauche, qui a 15 mm. de long sur 10 mm. de larg
10 mm. de large. Un léger épaissis- sement linéaire sépare ces deux
zones
. Une petite surface transparente de 10 mm. sur
de Rolando et à la petite branche de la scissure de Sylvius. Cette
zone
d'atrophie comprend donc le pied des trois prem
pariétale ascendante, tandis qu'à droite, la lésion occupe toute la
zone
motrice; notre malade n'avait, en effet, que le
ne vascularisation inégale dans les divers points de la voûte. La
zone
de vascularisation est plus accentuée à gauche, e
sparence, la calotte n'est en aucun point diaphane, excepté en deux
zones
bien limitées, occupant à droite et à gauche de
la bosse pariétale. La paroi osseuse est très mince et offre des
zones
de transparence au niveau du siège de la fontanel
ntanelle an- térieure, surtout à droite de la suture sagittale. Des
zones
ana- logues se rencontrent encore tant à droite
de cocaïne à 5 0/0. Congestion de la base gauche, au-dessous de la
zone
du gargouillement. fer mais L'h ? qui s'affai
temporal présentent une lésion toute particulière. Ils forment une
zone
en entonnoir, où l'altération va en s'accentuant
cet hémisphère présentait à ce point un aspect ecchymotique. Cette
zone
offre, sur sa périphérie, une sclérose atrophiq
épaisseur moitié moindre que clu côté gauche; ils présentent des
zones
cle transparence plus larges et plus nombreuses
e, un peu de submatilé. - A l'auscultation, il y a vers la base une
zone
de crépitation très circonscrite. - Traitement
ficile. La matité du côté droit, vers la base, est plus étendue. La
zone
de crépitation s'est aussi élargie. Du côté gau
é à gauche. Quelques gros râles muqueux alla base gaucho. A droite,
zone
de crépitation dans la fosse sous -épineuse. So
berculeux dont le centre est ramolli et la périphérie caséeuse. Une
zone
résistante et blanche sépare ce magma caséeux d
éeuse. Une zone résistante et blanche sépare ce magma caséeux d'une
zone
périphérique d'hepati- sation rouge. Ces ilôts
Elles ont environ 2 centimètres de diamètre. On constate aussi des
zones
transparentes mais diffuses à la région postéri
avant est parallèle et antérieure au sillon préfrontal et cause la
zone
qui se laisse déprimer sur le lobe frontal ; l'
totalité de ce côté du cervelet, ne laissant indemne qu'une faible
zone
périphérique irrégulière et ayant en moyenne de 3
Elles ont environ 2 centimètres de diamètre. On constate aussi des
zones
transparentes, mais diffuses, à la région- post
roite un peu saillante : plagiocéphalie. Fontanelles oblité- rées ;
zone
transparente à 15 millimètres environ de la sutur
tres environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La
zone
droite a 15 mil- limètres de largeur sur 20 mil
et s'étend jusqu'à la suture sagittale, où elle se fusionne avec la
zone
gauche, qui a 15 millimètres de longueur sur 10
mètres de large. Un léger épaississement linéaire sépare ces deux
zones
. Une petite surface transparente de 10 millimètre
mité, où la sensibilité lumineuse est complè- tement abolie, et une
zone
bien plus étendue, signalée à l'examen par l'abol
complètement supprimée dans tout le champ visuel. Dans le droit, la
zone
la plus fortement teintée indique la perte totale
La capsule surrénale droite pèse 9 grammes, elle est entourée d'une
zone
adipeuse très réduite. La capsule gauche n'a
s capillaires sanguins. A la périphérie de l'organe on remarque une
zone
où les follicules, avec peu ou sans colloïde, r
s toutes les cel- lules des follicules et surtout dans celles de la
zone
périphérique que nous venons de mentionner. En
riode onirique proprement dite, elle marque une étape indécise, une
zone
frontière, où la confusion s'achève, où souvent l
ux dépens du tissu osseux, qui paraît épaissi, se distingue par une
zone
plus claire, limitée par un cercle som- bre. Ce
M CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 149 glande thyroïde, on observe des
zones
complètement séparées les unes des autres par u
uère épargné que les parties les plus inférieures de Pa et Fa et la
zone
lenticulaire, envahissant sur certaines coupes,
e a passé par contiguïté clans LI, de là elle s'est étendue dans la
zone
blanche voisine de l'angle extérieur du ventricul
(Chevauchée de l'Asne). 176 - - M. TRÉNEL ' * des Chevauchées de
zone
; il y est dit clairement que les strophes expli-
s animaux, c'est-à-dire un territoire ra- diculaire sain entre deux
zones
de lésions. 3° Il est assez naturel d'invoquer
é son épaisseur normale et celle qui s'est amincie, il n'y a aucune
zone
intermédiaire d'épaisseur moyenne. La transitio
si elles n'ont aucun rapport avec lui. Mais, comme c'est dans celle
zone
pigmen- taire que siègent le plus souvent les g
nine disparaître et, à la place occupée par le noyau, se trouve une
zone
claire qui se confond insensiblement avec le rest
insensiblement avec le reste du cytoplasma. Quelquefois dans cette
zone
on peut observer trois ou quatre granulations f
urs crénelés et se trouve délimitée sur toute sa périphérie par une
zone
claire plus ou moins large qui la sépare du cyt
serve surtout dans les cellules nerveuses petites et moyennes de la
zone
centrale du ganglion, tandis que dans la zone pér
tes et moyennes de la zone centrale du ganglion, tandis que dans la
zone
périphérique ces cellules sont très rares on fo
plasmosphère se trouve entou- rée sur tout son pourtour d'une large
zone
de substance chromatophile d'aspectpoussiéreux.
t plasmosphère, sont de taille variable et séparés du noyau par une
zone
plus ou moins large de cytoplasma, Mais (1) M.
o- lifération des éléments capsulaires est strictement limitée à la
zone
immé- diatement sous-capsulaire, La présence de
t vascularisée ; b) immédiatement sous la capsule on voit toute une
zone
de cellules nerveuses détruites par l'envahisseme
lulaires de leur capsule endothéliale, en d'autres termes toute une
zone
de nodules ; et nous ferons remarquer encore une
nt immédiatement au-dessus delà capsule ; c) dans le reste de cette
zone
périphérique les cellules ganglionnaires présen
lula ires di ITèl'entcomplètement de celles qu'on rencontre dans la
zone
périphérique. Le prolifération des éléments cel
r ces éléments. Les capillaires ne sont pas si nombreux que dans la
zone
périphérique et on voit seulement quel- ques ar
cléoles se trouvent aussi hypertrophiés que dans les cellules de la
zone
périphérique. A part ces cellules en état de dé
lètement disparu, le cytoplasme apparaît coloré en rouge, (b) large
zone
de substance chromatophile d'aspect poussiéreux,
côté gauche des rayons cataractes périphériques, du côté droit une
zone
d'opacification centrale occupant le champ pupill
ations dans les réactions de la malade, lorsque l'on pique diverses
zones
cutanées des jambes. Pas de troubles sphinctéri
amendèrent ; le lobule du nez, blanchit- tre, resta entouré par une
zone
rosée. Dès le début de l'hiver 1906-1907, les a
coloration permet de la diviser en deux régions très tranchées : la
zone
centrale, qui est arrondie, occupe le lobule et
presque sans transition que cette coloration fait place à celle de la
zone
péri- phérique, qui est rouge vineux et qui s'é
Il suffit d'un très léger abaissement de la température, pour que la
zone
cen- trale devienne bleutée. Dès le mois de nov
Parallèlement à ces modifications de la région centrale, on voit la
zone
péri- phérique devenir plus saturée, plus viola
encée par celle du milieu extérieur, mais à un degré moindre que la
zone
centrale. A ce stade, le nez n'est pas douloure
gions est très foncée ; cependant elles se distinguent bien, car la
zone
centrale a des tonalités bleues, tandis que cel
ar la zone centrale a des tonalités bleues, tandis que celles de la
zone
périphérique sont rouges. Malheureusement ces c
ongtemps. En somme l'aspect des oreilles est analogue à celui de la
zone
périphérique du nez. Il se produit également un
atrophies osseuses calcaires tantôt uniformes, tantôt disposées par
zones
, sont essen- tiellément caractérisées par une a
84 NOICA cules, il quitte la peau -à ce moment il est tombé dans la
zone
où le toucher est disparu et à partir de ce mom
mbilic et l'épine iliaque, sont situés, nous le rappelons, dans une
zone
de la peau qui a perdu le sens du toucher. Il n
être pro- ' voquées sous l'influence de la compression de quelques
zones
; de l'hénzianestlaésie sensitivo-sensorielle ;
ou à la suite de la compression de certains points. Il existe deux
zones
hys- térogènes : la nuque, au niveau de la sept
t dans l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la
zone
motrice bra- chiale et n'atteignant que très lé
la zone motrice bra- chiale et n'atteignant que très légèrement la
zone
cru- rale ; et au premier abord rien ne semble
t être infailliblement provoquées par la pression sur cer- taines
zones
, telles que les globes oculaires et la nu- que,
e lésion des cordons postérieurs et surtout de leur partie externe (
zones
radiculaires, faisceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p
osté- rieurs s'étend en bas jusqu'à la région lombaire et que les
zones
radiculaires des cordons postérieurs sont attei
u inférieurs, quand la lésion des cordons postérieurs a atteint les
zones
radiculaires postérieures dans les sections cor
inférieure de la moelle est séparée de la par- tie moyenne par une
zone
détruite. Il y a au contraire souvent des sympt
ce qui prouve qu'à la suite des lésions cérébrales, même lorsque la
zone
corticale est indemne on peut observer tous les
ient désigne fort net- tement comme étant l'endroit des piqûres une
zone
qui, sur les avant-bras, .occupe le bord cubita
te probabilité, le bras du tubercule bijumeau inférieur, avec les
zones
marginales duquel il entre en un rapport intime.
is. La substance grise de la formation réticulaire se compose d'une
zone
externe limitée dans le bulbe, en dedans par les
les du spinal, du pneu- mo-gastrique, du glossopharygien , et d'une
zone
interne, origi- naire des cordons antérieurs, l
a protubérance, par les racines de l'oculo- moteur externe. Dans la
zone
externe, on rencontre : 1° les noyaux du cordon
yau rouge, en dedans du ruban de Reil (découvert par Bechterew). La
zone
interne renferme : 1° le noyau central de Rolle
ystérie et en particulier l'anesthésie sensitivo- sensorielle ; les
zones
douloureuses céphaliques, hypogastriques, rachi
ture, sens musculaire). Dans la région occipitale gauche existe une
zone
extrêmement dou- loureuse qui est le siège des
cule droit est douloureuse, mais la douleur reste localisée dans la
zone
où l'on pratique la compression. Toutes les aut
s l'écorce, et principalement localisée danscertaines parties de la
zone
psychomotrice gauche, j'ai seulement, comme ess
e essai, proposé une galvanisation à cou- rants assez faibles de la
zone
motrice gauche, en appliquant le pôle positif s
bles à une légère altération d'une partie bien circonscrite de la
zone
psychomotrice gauche, ainsi que l'aphasie, à une
postérieure; la partie externe des cordons postérieurs, ou mieux la
zone
radiculaire moyenne peut être, par suite, attei
t elle rejette les fibres raphéiques à gauche, gagne ira presque la
zone
intermédiaire au ventri- cule et à l'aqueduc de
gie, vomis- sements, paralysie à évolution lente se rapportant à la
zone
motrice du cerveau droit, hyperesthésie indiqua
rice du cerveau droit, hyperesthésie indiquant une irrita- tion des
zones
sensorielles. Tumeur probable, quoi qu'il n'exi
petit néoplasme (1 cent. de diamètre) pressa suffisamment contre la
zone
motrice, des contractures de la main et des Arc
ble, dit M. Schulz, que le néoplasme irritait par propaga- tion les
zones
7, 8, 11 d'Exner, et le centre 11 de la première
du centre et de la périphérie, l'élection du poison pour certaines
zones
, pour le système vas- culaire, l'hypothèse de l
d'après sa méthode ou d'après celle d'Adamkiewiez : la théorie des
zones
chromoleptiques serait fausse. Enfin il discute
ens en vie auxquels on a enlevé tant la sphère du sentiment, que la
zone
de la vue. En comparant l'allure des animaux mu
al mo- teur, sur les deux derniers, celui de lésion corticale de la
zone
sensible, conclusion, conforme à celle de Nothn
dernier cas, il s'agit d'ordinaire de méningite anormalo frappant la
zone
psycho-motrice et de préférence la région paracen
eloppé au niveau du tiers supérieur qu'au niveau du tiers moyen de la
zone
psycho-motrice. La circulation, scmble-t-il, y se
l'apport et le dépôt du bacille de Koch dans le tiers supérieur de la
zone
psycho-motrice, et expliqueraient, par conséquent
x de ces suggestions (1). Enfin M. le Pr Charcot, (1) Pitres. — Des
zones
hyslèrogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux,
ypnotisation, de même qu'on pourrait l'arrêter par la compression des
zones
hystéro-frénatrices. Dans un autre ordre de fai
présentée par tous ses éléments plus ou moins nettement dessinés. Des
zones
hystérogènes diverses devaient, en développant l'
se produit, pour le moins dans beaucoup de cas : en pressant sur les
zones
hystérogènes, lorsqu'elles existent, on provoque
aques en tout semblables à celles qui se produisent spontanément. Les
zones
hystérogènes les plus habituellement rencontrées
striques, etc., chez l'un et chez l'autre. Mais il existe certaines
zones
hystérogènes plus rarement observées et dont la r
décela aucune modification dans l'étendue du rétrécissement. Pas de
zones
hystérogènes ni hyperesthésiques, sauf la zone hy
récissement. Pas de zones hystérogènes ni hyperesthésiques, sauf la
zone
hystérogène oculaire, ainsi qu'on le verra plus l
l., 1891, t. XXI, p. 346). Voir plus haut n° XXVI. (2) Pitres. —Des
zones
hystérogènes et hypnogènes ; des attaques de somm
à la hauteur du sein gauche (ce point est aujourd'hui le siège d'une
zone
hystérogène), de la dyspnée et des crachements de
olis à gauche; l'ouïe est diminuée du même côté. Enfin il existe deux
zones
hystérogènes situées, l'une dans la région iliaqu
anée et on peut la provoquer à volonté en pressant sur l'une des deux
zones
hystérogènes, extrêmement sensibles l'une et l'au
J'ai proféré l'Agence Havas, Disant les faits divers des fantastiques
zones
, Les combats fabuleux des noires Amazones, Le c
e de manoeuvres diverses, consistant en résumé clans l'excitation des
zones
hystérogènes. Parmi ces derniers, les points ocul
re le jaune et le bleu. ... offre, en plus, de l'ovarie double, une
zone
hystérogène sur le vertex, et des zones hystéro-f
plus, de l'ovarie double, une zone hystérogène sur le vertex, et des
zones
hystéro-fréna-trices dans les deux flancs. Ses at
âillements convulsifs. Ce sont là, à n'en pas douter, de véritables
zones
hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cess
second ; possibilité de faire cesser les accès en excitant certaines
zones
hyperesthésiques. * * * L'élément hystériqu
personnalité 2 cela est bien difficile à dire. Il y a là une sorte de
zone
de transition occupée par des cas mal délimités.
sous le nom de fixation du regard. Il existe peut-être dans l'œil une
zone
hystérogène, analogue à celle qui existe fréquemm
ue peut cesser à la volonté de l'observateur. Il suffit d'exciter des
zones
douloureuses (côtés du cou, pharynx) pour provoqu
ment le retour à l'état normal. Ce sont là, en réalité, de vérilables
zones
hystéro-frénatrices, et je n'ai pas besoin d'insi
deux crises convulsives. Cependant, notre malade ne présentant aucune
zone
hystérogène, nous nous en tiendrons, jusqu'à nouv
dyschromatopsie, ni polyopie monoculaire, ni micromégalopsie. Pas de
zones
hystérogènes vraies, mais il existe deux points d
stoïde, un second à deux centimètres au-dessous de cette apophyse. La
zone
douloureuse est limitée en arrière à trois ou qua
vaisseaux obturés, sous forme de petits cordons sinueux et pleins. La
zone
périphérique est constituée j par des amas de leu
118. (Voir Somnambulisme hystérique et Vigilambulisme.) Hystérogène :
zones
—, 84 ; Point — oculaire ou rétinien, 84. L L
; — et somnambulisme hystérique, 86, 161, 162, 190. o Oculaire :
zone
hystérogène —,84. P Paracentral (région et lobu
amp limité d'hyperesthésie, celui-ci occupe une situation dans la
zone
de distribution d'un nerf spinal dont une des rac
voilà tout. On comprend tout l'intérêt qu'il y a à reconnaître les
zones
d'hyperesthésie de la peau qui correspondent aux
l existe, associées avec les diffé- rentes maladies viscérales, des
zones
définies et constantes d'hy- peresthésie cutané
des zones définies et constantes d'hy- peresthésie cutanée, chaque
zone
ayant un point maximum où il existe de la doule
zone ayant un point maximum où il existe de la douleur, et que ces
zones
maxima coïncident avec celles que Mackenzie et
tre celles où apparaît l'herpès zoster. La conclusion était que ces
zones
représentent la distribution cutanée des fibres
pense que les segments spinaux sensitifs sont mieux définis que les
zones
des racines, qui, elles, empiètent générale- me
onnels qu'empruntés à d'autres auteurs, pour la délimitation de ces
zones
, qui sont beaucoup plus faciles à déterminer qu
la hui- tième paire dorsale. Il existait une anesthésie de toute la
zone
du huitième nerf dorsal à droite, et seulement
ition confirme les vues de Head. De plus, on constatait que dans la
zone
d'anesthésie, la douleur était inter- prétée co
tellaire, ou du coude, absents. Au-dessus de la lésion existait une
zone
étroite de sensibilité diminuée, et au-dessous
xistait une zone étroite de sensibilité diminuée, et au-dessous une
zone
d'hy- peresthésie douloureuse. A l'autopsie, on
ticale de dysesthésie occupant la face externe de la cuisse droite,
zone
où se montrent les mêmes sensations de brûlure
s'est aperçu de la diminution de sen- sibilité existant dans cette
zone
. Examen du système nerveux. Partout ailleurs, s
le du'processus morbide en compa- raison de la grande étendue de la
zone
prise, faible intensité mise en évidence par la
uva une lésion bilatérale et symétrique des cordons latéraux, de la
zone
d'entrée des racines postérieures, et des racin
e sur la portion de celui-ci que Flechsig a désignée sous le nom de
zone
radiculaire moyenne; elle correspond, comme siège
une époque intermédiaire à celle où se développent les fibres de la
zone
radiculaire antérieure et celles des diverses par
ulaire antérieure et celles des diverses parties dont se compose la
zone
radiculaire postérieure. Parallèlement à cette
e temps que le système de fibres ci-dessus indiqué appartenant à la
zone
radiculaire moyenne. La lésion, dans le cas p
ite du corps indiquaient la participation d'une grande partie de la
zone
motrice. Or, il n'est guère qu'une région du ce
colorée de la dure-mère se montrât de tous les côtés entourée d'une
zone
de dure-mère normale. Après une incision crucia
até une plaque jaune de ramollisse- ment cortical occupant toute la
zone
motrice de l'hémisphère droit. Le degré de prop
nion suivant laquelle il n'existe pas, dans l'écorce cérébrale, des
zones
sensitives indépendantes des zones motrices, la
as, dans l'écorce cérébrale, des zones sensitives indépendantes des
zones
motrices, la motilité, la sensibilité générale
illées des- quelles il importe de retenir surtout ceci : C'est la
zone
corticale motrice (ascendantes et partie postérie
endantes et partie postérieure des lobes frontaux), c'est encore la
zone
temporale (surtout en ar- rière), c'est enfin l
es et à la précocité de leur développement. - Eu ce qui concerne la
zone
motrice, la partie postérieure du lobulé parace
e dorsale. Déjà quelques-unes des parties du segment en ques- tion (
zone
radiculaire postérieure, partie centrale) s'étaie
ne graduellement en une dégénérescence secondaire évidente dans les
zones
margi- nales et provoque des foyers dégénératif
heval; intégrité complète de la substance blanche à l'exception des
zones
de dégénérescence descendante; 4° légère altéra
mbaire, notamment pour-les racines antérieures et postérieures, les
zones
radiculaires postérieures, la substance grise. Ra
ns) ; les altérations' disséminées atteignaient' plus' fortement la
zone
motrice. La dissémination de l'irritation sur l
liser, se cantonner à la région frontale droite, où l'on trouve une
zone
du volume d'une pièce de cinq francs, excessive
oindre de la jambe diminution simple de l'excitabilité élec- trique
zones
d'analgésie et de dysesthésie thermique avec reta
extrémités à la lésion des faisceaux pyramidaux; l'intégrité des
zones
d'entrée radiculaires, notamment dans la moelle l
re, l'auteur après anesthésie et trépanation a essayé d'exciter les
zones
motrices du cerveau du chien avec un seul pôle.
hémas de Ferrier ces portions excitables sont des points et non des
zones
que l'emploi de la faridisation uni- polaire pe
e donnera jamais lieu au développement d'une sclérose primitive des
zones
radi- culaires postérieures ». Eh bien ! notr
nservés; la sensibilité, sous ses divers modes, est intacte; pas de
zone
hystérogène; le réflexe pharyngien seul fait dé
ou suspendus par les changements de position, par la pression d'une
zone
spasmo-frénatrice; ils s'observent le plus souv
après une ou plusieurs séries d'attaques du délire, la présence des
zones
hystérogènes, donnent à l'observation clinique un
nde difficulté au diagnostic nous a été présentée par l'absence des
zones
hystérogènes. L'analyse des urines, laquelle, s
ifs, délire, attitude passionnelle), et surtout sur l'existence des
zones
hystérogènes. Cependant il faut se rappeler que
même distribu- tion. Son abolition était absolue seulement dans une
zone
comprise inférieurement entre le rebord costal
rès antérieurement jusqu'à la moitié du sternum. En dehors de cette
zone
, la sensibilité ther- mique est seulement affai
u près au rebord costal. Dans la région sus- claviculaire, dans une
zone
de forme triangulaire ayant pour base 56 PATHOL
transversalement au-dessus du rebord costal, dans la face, dans des
zones
de-la surface d'une pièce de cinq francs située
gie aurait été l'effet de la compression exercée par les os sur les
zones
excito-motrices et elle aurait dû être immédiat
ès imparfaits; pas de troubles de l'appareil de la vision, pas de
zones
hystérogènes, pas de sensation de boule, pas d'at
expliquer la paralysie des extrémités gauches; pas de foyer dans la
zone
motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
son ne saurait éliminer la participation du lobe occipital. Dans la
zone
atrophiée du segment le plus postérieur de la c
absence totale des grandes pyramides ; immédiatement sous l'écorce,
zones
gris clair, parfois séparées de l'écorce par un
es dégé- nérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation de
zones
mo- trices. Les expériences avec l'ablation d'u
es classiques et stigmates (hémianesthésie sensitivo-senso- rielle,
zones
hystérogènes) en même temps qu'on pouvait pro-
l'acide osmique : les i-ystoxcs tubulaires sont représentés par les
zones
claires». SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PRO
l'adminis- tration provinciale n'en indique que 12 dans cette même
zone
. Une enquête de M. Gübitz sur la ville de Bresl
sverse de la moelle lombaire, on n'en trouve pas une seule dans une
zone
postéro-latérale de ce cordon; mais on les renc
upent qu'une bande étroite avoisinant la cloison postérieure et les
zones
externes du même cordon et encore, pas jusqu'à
yéliniques qui a la forme d'un coin à sommet dirigé en avant. Celte
zone
cunéiforme non organisée commence au niveau de
ent plus Archives, t. XXV. 19 290 SOCIÉTÉS savantes. grand, les
zones
glabres ont diminué de volume, quoique l'ensemble
reçu leurs gaines de myéline. A cette époque aussi, on voit dans la
zone
marginale de Lissauer des fibres myéliniques, m
, 35, 42 centimètres. Il faut cependant faire une exception pour la
zone
marginale de Lissauer qui n'est pas invariablem
sibilité revient sur la main et les doigts, il reste seulement une "
zone
d'anesthésie en bracelet au niveau du poignet. De
e fut produit dans son état, a quitté le service. Les limites de la
zone
anesthésique n'avaient pas changé, l'atrophie et
té faradique manquaient complètement. Les limites supérieures de la
zone
anesthésique passaient les plis ingui- naux en
st l'exaltation de tous les centres corticaux, y compris ceux de la
zone
psycho-molrice. Toutes les portes sont ou- vert
Dégénérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation des
zones
motrices, par Jlouratof, 136. Délire chronique,
f entier; tel est le cas de l'oeuf d'Oursin où l'on reconnaît trois
zones
superposées. Leur répartition ne correspond d'ail
10 malades de L. présentaient en outre le signe de Babinski : la «
zone
réflexogène » du phénomène des or- teils n'est
Autopsie : Moelle lombaire supérieure : légère dégénérescence de la
zone
radiculairedaWestphallàdroite ; légère dégénéresc
,du côté où manquait le réflexe patellaire de la dégénération de la
zone
de Westphall (« zone de pénétration des racines
le réflexe patellaire de la dégénération de la zone de Westphall («
zone
de pénétration des racines »), incomplète mais
énération des cordons posté- rieurs bien accusée mais respectant la
zone
de pénétration des ra- cines. Il rapproche le I
urance. Cu. Bonne. VIII. -Tumor in der Marksubstanz der motorischen
Zone
(Arm- region.) Zur Differentialdiagnose zwische
diminuer ou supprimer t'excitabilité des centres particuliers de la
zone
du membre supérieur, probablement par compressi
autres ; d'a- bord le siège du caillot, qui peut correspondre à une
zone
silen- cieuse ou explosive de l'écorce. Dans le
hypo- ou analgésie générale res- pectant tantôt le cou, tantôt une
zone
plus ou moins large du tronc, en forme de ceint
° exagération de la sensibilité tactile ou hyperes- thésie dans une
zone
de là région lombaire ou de la face postérieure
là région lombaire ou de la face postérieure du thorax, ou dans une
zone
du tronc en forme de corset ou de ceinture plus
lus ou moins longue. La phase clonique est duc à l'excitation de la
zone
corticale- motrice. Elle manque : a) quand on e
de la zone corticale- motrice. Elle manque : a) quand on enlève les
zones
motrices ; b) quand on anémie la couche cortica
rce cérébrale, mais prédominant très nettement : 1° au niveau de la
zone
de Wernicke et du lobe temporal tout entier ; 2
nées,comme une don- née classique et définitivement acquise, que la
zone
motrice corticale occupe chez le singe et chez
eux à la méthode bipolaire jusqu'ici em- ployée), ont montré que la
zone
excitable (motrice) chez le singe anthropoïde n
c'est-à-dire que la pariétale ascendante ne fait pas par- tie de la
zone
motrice corticale. Ces résultats ont été confir
nérale en faveur de la nouvelle conception sur la topographie de la
zone
motrice corticale et montrent que, conformément
hui des données jusqu'ici classiques sur la délimitation de cette
zone
. Nos cas personnels nous autorisent à admettre
aisemblablement, l'origine de la voie pyramidale, et, par- tant, la
zone
motrice corticale, se trouvent chez l'homme pre
es en faveur d'une participation, quoique très mi- nime, de Pa à la
zone
, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Form
ui con- cerne la comparaison des lésions par régions. Ce sont les
zones
de projection et d'association qui ont été étudié
oter : hémihypoesthésie sensitivo-senso- rielle du côté gauche, une
zone
d'hyperesthésie du tronc en forme de ceinture,
s dégénérées des'cordons posté- rieurs,cheminent ensemble. Enfin la
zone
incriminée par Reichardt appartient à un segmen
niveau des couches profondes de l'écorce des lobes frontaux et des
zones
centrales, ainsi qu'en témoigne l'abondante proli
es ayant son maximum à leur point de passage dans le canal durai («
zone
fragile » de Na- geotte). Secondairement se pro
être produite par une lésion limitée à la partie anté- rieure de la
zone
du langage, c'est-à-dire à la zone de Broca, sa
e à la partie anté- rieure de la zone du langage, c'est-à-dire à la
zone
de Broca, sans participation aucune à la lésion
ive de l'opercule rolan- dique, des circonvolutions motrices, de la
zone
de Wermcke, des noyaux gris centraux. Mais c'es
devra-t-on le faire pour les cas difficiles et embrouillés de la «
zone
frontière », lesquels nécessitent plus particuliè
ar Ileilbronner, p. 463. Tumeur dans la substance blan- che de la
zone
motrice (région du bras).Sur le diagnostic diff
rès vive, presque constante. Pas de points hyperesthésiques. Pas de
zones
hystérogènes (testicule, point pseudo-ovarien,
gmates consistant en une hémianesthésie sensitivo-sensorielle, sans
zones
hystérogènes ni attaques. Quel que soit d'aille
te du trem- blement. Dès qu'on pressait légèrement sur l'une de ses
zones
hysté- rogènes, le malade était pris d'une quin
ême artificiellement provoqué son aggra- vation en excitant une des
zones
hystérogènes : le stationnement debout t devena
ous l'influence des émotions, ou bien encore lorsqu'on excitait une
zone
hystérique (chez le nommé IIacq...), la trémula
a suite des attaques, ou bien sous l'influence de' la compression des
zones
hystérogènes, lorsque le tremblement des membre
spontanées ou provoquées et lorsqu'on excite légère- ment l'une des
zones
hystéro5ènes qui existent chez le malade. Tandis
ue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux
zones
hystérogènes siégeant, l'une près du bord spinal
boli dans les membres supérieur et in- férieur du côté droit. Les
zones
hystérogènes précédemmentjudiqnées persistent.
de cela, semble-t-il, une déformation d'origine rachitique. Pas de
zone
de matité rétro- sternale. Il n'existe pas de
-On est frappé tout d'abord de l'apparence spéciale que présente la
zone
des cornes anté- rieures correspondantau groupe
corne exclusivement : aussi semble-t-il que le groupe externe et la
zone
qui lui correspond dans la corne antérieure son
tunique externe tuméfiée. Il en est enfin qui sont entourées d'une
zone
hémor- rhagique. Du reste, on trouve disséminés
ment de la peau, la piqûre, ne déterminent aucune dou- leur. Sur la
zone
limitrophe de ces régions la piqûre produite par
tre en communication avec leurs centres régulateurs compris dans la
zone
psycho-motrice, et toute irri- tation qui s'exe
be. Les exemples en sont rares, car elle contourne difficilement la
zone
dangereuse du pneumogastrique. Laissant donc po
Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la
zone
radiculaire postérieure droite. Presque tout le
clérose en plaques dans une région extrêmement altérée : seules les
zones
margi- nales et une partie de la substance fond
es (fort grossissement) : a, Tubes normaux; b, Tissu conjonctif; c,
Zone
moyennement altérée; d, Tractus pie-mérien; e, Va
. - Sclérose en ]>laques. Région très altérée; a, Partie saine; b,
Zone
mar- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux lat
rier 1880). -Etat du malade en mars : hémianesthésie sensorielle.
Zones
hystérogènes (clou hystérique, etc.), prédominant
de au travail. Il n'aurait pas d'habitudes d'onanisme. Examen des
zones
hystérogènes. - Il existe différentes zones che
'onanisme. Examen des zones hystérogènes. - Il existe différentes
zones
chez notre malade, au niveau desquelles la pressi
tion d'un tapotement qui répon- drait dans toute la poitrine. Cette
zone
envahit les gout- tières vertébrales correspond
tières vertébrales correspondantes, également des deux côtés. 3°
Zones
symétriques à droite et à gauche dans le cinqui
inter- costal gauche, à quatre ou cinq centimètres du rachis. 5'
Zone
au-dessus de la poignée du sternum sur une hau-
tres. 6° Points hystérogènes symé- triques au niveau des flancs. 7°
Zones
au niveau des deux régions répondant à peu près
ant à peu près au centre des fosses ilia- ques et correspondant aux
zones
« ovariennes » ; celle de gauche est la plus ne
graphique de la Salpêtrière (tome III) une description complète des
zones
hystérogènes. 60 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. boule lui
. Grand arc de cerclo. Dou- leur vive à la pression au niveau de la
zone
hystérogène dorsale. Grands mouvements ; rire e
er à la tête ; me fait signe qu'on lui a fait mal à la jambe. Les
zones
hystérogènes se montrent beaucoup plus sen- sib
nués et se montrent moins sensibles à la pression. Au niveau de la
zone
dorsale, la sensibilité à la chaleur paraît dim
arfois des hallucina- tions de la vue (7 avril 1880). L'aura, les
zones
hystérogènes, l'hérnianesthésie avec ses altern
ément du tronc de la cérébrale moyenne, se trouve en- globé dans la
zone
ischémiéc. II. Nous n'avons que peu de détails
res ou chimiques de l'assimila-tion et de la désassimilation dans une
zone
d'une certaine étendue en dehors de leur surface.
e consé-cutive à l'hémorrhagie cérébrale. — a, Partie mortifiée: — b,
Zone
érythé-mateuse. parties médianes, mais bien ver
la région dorsale de la moelle épinière. — a, Partie mortifiée ; — b,
Zone
érythématheuse. est habituel, lorsque les malad
actères histologiques des plaques de sclérose. —Coupes transversales:
zone
périphérique ; — zone de transition : — région ce
des plaques de sclérose. —Coupes transversales: zone périphérique ; —
zone
de transition : — région centrale. — Coupes lon-g
forme, à la partie périphérique de la coupe, un anneau, ou mieux, une
zone
, d'une certaine épaisseur et où les tubes nerveux
taine épaisseur et où les tubes nerveux font absolument défaut. Cette
zone
est recouverte à l'extérieur et enveloppée, pour
athologique, un intérêt incontestable (1). Du bord interne de cette
zone
ou couche corticale, on voit naître et se détache
rond ou ovalaire, muni de petits nucléoles, aplatis et]entourés d'une
zone
granuleuse. Avec un bon objectif à immersion,donn
il est facile d'apprécier tous ces détails et de reconnaître dans la
zone
granuleuse,une lame de protoplasma qui, avec le n
ies cen-trales, on est conduit à reconnaître l'existence de plusieurs
zones
concentriques, répondant aux phases principales d
, répondant aux phases principales de l'al-tération (1). a) Dans la
zone
périphérique, on observe ce qui suit: les trabécu
abondante que dans l'état sain (2). b) Les tubes nerveux, deuxième
zone
, que l'on pour-rait appeler zone de transition, s
2). b) Les tubes nerveux, deuxième zone, que l'on pour-rait appeler
zone
de transition, sont devenus encore plusgrêles. Be
aux sont moins nombreux, moins volumineux qu'il ne l'étaient dans les
zones
périphériques ; ils se sont rétrécis dans tous le
urcissement par l'acide chromique. A l'origine, c'est-à-dire dans les
zones
périphériques, les parois de ces vaisseaux, même
parties les plus extérieures de la plaque (3), ou, autrement dit, les
zones
périphériques ou de diverses espèces de corps g
s surtout en visions d'animaux, chats,rats,vipères, corbeaux, etc..La
zone
hysté-rogène est plus sensible; il suffit d'une l
s sensible; il suffit d'une légère excitation des téguments sur cette
zone
pour faire éclater les convulsions. On voit souve
ce de la com-pression des ovaires, celle du frottement exercé sur les
zones
hystérogènes, et celle de l'intervention des cour
s-uns sont très profonds. e, Vaisseaux très apparents au milieu des
zones
scléreuses. f, X7aisseaux devenus de plus en pl
-mère), dominant et empêchant de voir la vascularisation spéciale des
zones
scléreuses. Fig. 3. — Coupes horizontales, fait
tères histologiques des plaques de sclérose. — Coupes transversales :
zone
périphérique ; — zone de transition ; — région ce
s plaques de sclérose. — Coupes transversales : zone périphérique ; —
zone
de transition ; — région centrale.— Coupes lon-gi
rochement est encore plus complet. Nous savons que l'excitation des
zones
hystérogènes, parmi lesquelles compte au premie
cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésions des
zones
motrices entraînant manifestement des dégénéres-
DÉVELOPPEMENT PRODUITS SUR LE CERVEAU DU LAPIN PAR L'EXTIRPATION DE
ZONES
CORTICALES circonscrites ; par C. YON MONAKOW.
o-moteurs du cerveau. Seulement au lieu de déterminer par avance la
zone
des circonvolutions qu'il lèse, M. 111onahow ré
ns la moelle, l'ex- périmentateur croit que la partie moyenne de la
zone
atteinte constitue une sphère physiologique spé
petite partie de ce dernier organe survivant à l'extirpation de la
zone
visuelle devrait être considérée comme noyau pure
étails déjà entrevus par Luys en 186b. P. K. IV. Des rapports des
zones
corticales motrices avec les voies pyramidales
rescence secondaire, même quand ils appartiennent exclusivement aux
zones
mo- trices. En voici le sommaire : Observatio
PATHOLOGIE NERVEUSE. vétique sur les avant-bras et les mains. Deux
zones
d'hypoes- thésie au tact et à la température :
et cinq centi- mètres dans le sens transversal. Elle se compose de
zones
d'aspect différent. Au centre existe une tache
nt les faisceaux latéraux cérébelleux de Fleclisig, mais encore une
zone
placée en avant d'eux à la périphérie dans la m
la périphérie dans la moitié antérieure. On se demande si c'est une
zone
sensible, car on la trouve aussi dégénérée dans
é générale et spéciale) avec une lésion profonde d'une partie de la
zone
motrice. Ce fait vient à l'encontre des idées t
ard des sensations de contact. Pour Munk et, Tripier, .en effet, la
zone
sensitive, serait exactement ! superposée ! à,,
n ''n'était1 pa's"fondée;'1nous avons cherché à établ irl queil la-
zone
. motrice, était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) ,
zone. motrice, était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) , cluse dans la
zone
sensitive, mais qu'e)tebn'était'pas toute la zo
, cluse dans la zone sensitive, mais qu'e)tebn'était'pas toute la
zone
sensitive ? et que, par'suite,lies' de la sensi
comme un des caractères habituels des altérations corticales de la
zone
motrice, et des idées que nous avons émises, co
tre translucide, existe, dans toute l'aire des cordons postérieurs (
zone
radiculaire interne et cordons de Goll). Elle o
tion'de quatre bulles, larges,remplies d'un liquide clair;[dans une
zone
limitée par la ligne, médiane, le, bord inférieur
J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la substance nerveuse, une
zone
de congestion, ' ? .r .I1 11 ? H ? ))lin.1 ? f,.
ents pour produire une réaction du côté opposé. Inversement, qu'une
zone
céphalique ait échappé peu ou point à l'anesthé
identiques' cellcs'quisuivont'ie transfert; avec son absorption la
zone
rétinienn (nasale);insensibleàl'impi'es sion ph
localisées dans- l'espèce aux grandes cellules (pyramidales de la
zone
corticale motrice. 2° Voici le cas décrit sous
ques; le second, par une lésion diffuse,- avec ramollissement de la
zone
péri-insulique du côté gauche ;,cliniquement on
es ar- rêts de développement produits sur le-par l'extirpation de
zones
corticales circonscrites), par Mo- ttalcotv,
Cerveau (altération insolite du), 40». Cerveau (des rapports des
zones
corticales motrices avec les voies pyramidale
(la godronnée et celle de l'hippocampe) sont séparées par une mince
zone
(e), dans laquelle on trouve de nombreux vaisse
sayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les
zones
hystérogènes de l'aisselle n'amène qu'une viole
ain. Le 27 la pleurodynie a disparu, et on voit se développer une
zone
de sensibilité de 2 centimètres de largeur enviro
imètres de largeur environ autour du soulèvement épidermique. Cette
zone
se confond en bas avec la zone ordinairement se
du soulèvement épidermique. Cette zone se confond en bas avec la
zone
ordinairement sensible. Le 1 mars la sensibilit
sibilité persiste encore sur la surface du vési- catoire et dans la
zone
périphérique, mais la malade se plaint de doule
et siégeant dans la région lombo-abdominale droite par- tant de la
zone
hystérogène dorso-lombaire et s'étendant obliqu
eloppé sur le trajet des nerfs qui ont leur origine au niveau de la
zone
hystérogène dorso-lombaire. Il est en outre à r
is où le zona s'est dé- veloppé, la malade n'a pas eu d'attaque. La
zone
hys- térogène semble avoir déterminé la localis
urément du tronc de la cérébrale moyenne, se trouve englobé dans la
zone
ischémiée. II. Nous n'avons que peu de détail
cci- pitales du singe et des microcéphales). 2° La pauvreté de la
zone
corticale. Tandis que dans trois cer- veaux que
de légers coups frappés à côté des troncs nerveux et en dehors des
zones
électro-motrices n'entraînent de contrac- tions
à la douleur, et à la température dans les parties paralysées ; 3°
zone
d'anesthésie peu considé- rable dans les partie
a lésion ; 4° hyperes- thésie plus ou moins étendue au-dessus de la
zone
18 27t CLINIQUE NERVEUSE. anesthésique ; 5°
tion parfaite des mouvements volontaires et du sens musculaire ; 3°
zone
peu étendue d'hyperesthésie à un faible degré a
tir en avant, entre la clavicule et le mamelon. Au-dessous de cette
zone
étroite d'hypcresthésio, l'anesthésie s'étend,
28 il CLINIQUE NERVEUSE. l'insensibilité revient d'abord sur une
zone
limitée qui entoure )'oei), comprenant la conjo
t de la sensibilité du côté droit ; jamais nous n'avons constaté la
zone
transversale d'anesthésie qui, d'après M. Brown
ère la même région, c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de la
zone
motrice. Cette localisation du centre de l'hémian
ui ne fait d'abord que les éblouir. Pareil à un globe de feu, à une
zone
dentée rouge ou blanche, phosphorescente, vibra
plète et régulière. L'auteur étudie d'abord en détail l'ovarie, les
zones
hysléro-épileptogènes, les hallucinations, les
ion de l'ovaire, des interversions électriques, de l'excitation des
zones
bystéro-épilepto- gènes, jointe aux signes déjà
nsitifs ou sensoriels ni de rétrécissement du champ visuel ; pas de
zones
hyperosthésiques ou hystérogènes. Sommeil sans ca
mes hystériques simulateurs des maladies par lésions limitées de la
zone
motrice corticale. Les lésions de la zone motri
lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la
zone
motrice corticale limitées à un seul des centres
e motrice corticale limitées à un seul des centres moteurs de cette
zone
ou bien à deux centres voisins ne sont en rapport
ale, dont les lésions sont le plus ordinairement localisées dans la
zone
motrice du bras. C'est même celle contracture t
tement aux lésions des divers centres moteurs. En nous bornant à la
zone
motrice, suivant que la lésion limitée atteindr
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sions occupant, même d'un seul côté, la
zone
visuelle de l'écorce, quand on n'a pu découvrir
la veine, la seconde il sa membrane interne. Au niveau de ces deux
zones
, les cellules rondes sont tellement nombreuses qu
on. En de certains points, il existe seulement sous la pie-mère une
zone
de peu d'importance au niveau de laquelle la co
t normal entre les tubes. Mais ceux-ci ne sont pas altérés ; pas de
zone
décolorée sur les préparations traitées par la
voisinage du pli courbe (Grasset et Landouzy), soit plutôt dans la
zone
motrice corticale (Rendu, Pétrina, Tripier). Il e
se montre sous forme de crises et qui coïncide avec la présence de
zones
hystérogènes du cuir chevelu. La constatation de
sence de zones hystérogènes du cuir chevelu. La constatation de ces
zones
, faite en dehors des crises est d'une grande va
éprouver la moindre douleur. Cette brûlure fut longue à guérir. La
zone
d'anesthésie s'accrut progressivement. Une plaq
deux francs, il bords taillés à pic, décollés, circonscrits par une
zone
d'épiderme blanchâtre, inégal, squameux. Ces bo
Les sensations de froid et de chaleur sont abolies sur ces petites
zones
analgésiques et, de plus, sur le front, au-dess
eur est réveillée par la piqûre. Celle-ci est perçue sur une petite
zone
triangulaire de la paume de la main. Tout le rest
que présentait pour lui l'excision d'un petit filet nerveux dans une
zone
in- sensible, nous avons réséqué pour en faire
essous (fig. il, ils»; les parties anesthésiques étaient entourées de
zones
d'altération graduelle de la sensibilité. En
rès intéressées des deux côtés. A gau- che, la corne envahie par la
zone
de sclérose qui occupe les cordons postérieurs
dégénérée ; un grand nombre de fibres nerveuses ont disparu. Cette
zone
marginale présente en outre la coupe de petits
infiltration du périnèvre; dégénérescence des fibres nerveuses de la
zone
péri- phérique (Méthode de PAL). DE LA 11GNIN
la sensibilité s'accentuent en proportion : dou- leurs en ceinture,
zones
d'hyperesthésie, points pseudo-névralgiques, tels
se présentant sous l'aspect de noyaux foncés, entourés ou non d'une
zone
claire, de dimensions variables. Les vaisseau
latéral que se dirigent les fibres qui vont se terminer dans cette
zone
. . P. K. XIII. La réaction chimique DE la sub
sé lorsqu'il s'est agi des animaux adultes. En ce qui concerne la
zone
motrice chez un lapin nouveau- né, l'ablation d
ent disparu. Et cependant, chez le chat, la résection a détruit une
zone
d'un millimètre eu arrière du gyrus postcru- ci
s les mouvements, par suite d'ablations profondes et étendues de la
zone
motrice dans les deux moitiés du cerveau, ce ch
chien n'était pas paralysé, n'était pas aveugle, et cependant, les
zones
dites motrices et visuelles avaient été anéanties
on lui fait sup- porter. Une exploration attentive ne dénote aucune
zone
d'anes- thésie ou d'hyperesthésie. La sensibili
jambier antérieur. M. Westphal l'ait remarquer que l'intégrité des
zones
radiculaires posté- rieures explique la persist
cette aura périphérique peut être- provoquée par l'exci- tation de
zones
épilepto-ènes et peut de même être interrompue
- vii7a ? ,, des trousseaux de fibres du nerf optique émanent de la
zone
marginale médiane et caudale, c'est-à-dire dire
ptique a pour origine les mêmes éléments que dans le pulvi- nar. La
zone
dont il tire ses fibres a une situation principal
endantes, la troisième temporale, l'opercule, l'iusula, le siège de
zones
jaune-clair, unies, planes ou bossuées, affecta
sal. La corne postérieure se composerait de trois segments : io Une
zone
spongieuse dans la substance gélatineuse, conti
io Une zone spongieuse dans la substance gélatineuse, contiguë à la
zone
mar- ginale, dans laquelle s'épuiseraient princ
inale, dans laquelle s'épuiseraient principalement les fibres de la
zone
marginale; 2° la substance gélatineuse proprement
à la base delà corne postérieure, et se décompose à son tour en une
zone
postérieure et une zone antérieure; cette parti
térieure, et se décompose à son tour en une zone postérieure et une
zone
antérieure; cette partie de la corne pos- térie
racine, dévient en dehors et se forment en une pyramide ascendante (
zone
marginale de la corne postérieure); un segment
ire. On en a examiné parti- culièrement : 4° les fibres fines de la
zone
marginale; 3° les ' Voy. Archives de Neurologie
; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du cordon postérieur (
zones
radiculaires de Struempell); 5*- les colonnes d
(zones radiculaires de Struempell); 5*- les colonnes de Clarke. La
zone
marginale, système.spécial appartenant particul
re sont moins souvent affectées, et toujours plus faiblement que la
zone
marginale ; sans doute il existe certaines rela
certain temps avant que le processus morbide se soit propagé de la
zone
marginale aux fibres intérieures de la corne en
spondantes des mêmes cordons dont elles émanent; elles viennent des
zones
radiculaires, et manquent de bonne heure, tandi
n cas les cordons antérieurs n'étaient altérés : une seule fois les
zones
radiculaires externes des cordons postérieurs éta
ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 45 développement limités à une
zone
cranio-cérébrale, des malformations osseuses, e
nt dépendre exclusivement de l'excitation des cellules grises de la
zone
rolandique. (Revue neurologique, mai 1903). E.
t très limitée dans les racines antérieures correspondantes. Pas de
zone
d'anes- thésie : les troubles de sensibilité co
té tactile est la mieux conservée. Enfin, la' limite supérieure des
zones
anesthésiques est insensible. Vous pourrez faci
correspondante du cuir chevelu dans son segment antérieur. Cette
zone
répond au territoire de distribution des deux b
lumeau de 10 centi- mètres. On excite l'écorce du cerveau. Quatre
zones
produiraient un effort de l'accommodation, tdntde
te sur la région occipitale antérieure (chien et singe). Une petite
zone
est située sur le gyrus angulaire (pli courbe),
l. Des variétés des conditions expérimentales, il résulte que les
zones
occipito-pariétates joueraient très probablement
nt très probablement le rôle de centres réflexes contrairement à la
zone
de la région motrice- D'ailleurs l'effort accom
Impossible de noter de relations constantes entre l'excitation des
zones
corticales quelconques sus-énoncées et le resserr
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lement au bord opposé de cet os : la
zone
sensible forme un cercle irrégulier du diamètre
ux axillaire. Il semble que la malformation cutanée occupe toute la
zone
radiculaire du mem- bre à l'exception- de la ba
ltération de la substance grise du cer- veau, et principalement des
zones
d'association, par des poisons vraisemblablemen
oce (diminution du nombre des cellules py- ramidales, en dehors des
zones
psychomotrices, sans modification delà forme ce
t de noyaux, au segment d'un membre correspond, dans la moelle, une
zone
qui comprend les noyaux fonctionnels précédents
s précédents. Le renflement cervical, par exemple, com- prend trois
zones
d'innervation segmentaires répondant aux trois
ments du membre supérieur, bras, avant-bras et main; chacune de ces
zones
est subdivisible en groupements nucléaires foncti
bles périphériques résultant de la lésion médullaire occupent des
zones
limitées par des lignes perpendiculaires à l'axe
re (Déjerine) où les troubles 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. occupent des
zones
limitées par des lignes parallèles à l'axe des
yau existe au niveau du noyau réticulaire de la protubérance et des
zones
internes du noyau du facial; il est situé en de
st un peu plus accentuée du côté correspondant à la lésion. Dans la
zone
des tubercules quadri- jumeaux postérieurs la p
de l'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-arachnoïdiens dans la
zone
motrice corti- cale. Bechterew a déjà noté que
l'écorce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la
zone
motrice, en dedans, près du bord de l'hé- misph
taine épaisseur. On en reconnaît dans la couche des grains, dans la
zone
moléculaire. La plupart de ces éléments ont le
peut rele- ver cette remarque relativement à la délimitation de la
zone
motrice que des ressemblances de configuration
comparée l'identité fonctionnelle de deux régions. Chezl'homme, la
zone
motrice serait avant tout prérolandique. L'étud
nique. LXVIII. Tic tonique du membre supérieur droit; par IiUDLn.
zone
. Iconogr. delà Salpétriêre. N° 4. J 913.) Jeune
sés, les faisceaux cérébelleux directs, les cordons postérieurs, la
zone
de Lis- sauer ; le triangle de Gomhault et Phil
- cale, et en plus s'étend à cette colonne cellulaire qui occupe la
zone
postéro-externe des cornes antérieures et qui v
1), montre qu'une excitation de l'écorce cérébrale, au niveau de la
zone
psycho-motrice, peut non seulement déchaîner des
P. XV, A) : elles ne sont visibles qu'au micros- cope, dépassent la
zone
irradiée et s'étendent également en largeur et en
. Ellesoccupent la régioncervico-dorsale et répondent assez bien la
zone
irra- diée ; on n'en rencontre pas dans la régi
ais il m'a paru que les choses se passaient comme s'il existait une
zone
consciente et je ne me rappelle pas, dans les n
elles. Elle peut être dirigée vers l'étage supérieur, atteindre la
zone
consciente et alors elle est perçue, mais il es
sciente. Si celle-ci avait parcouru l'axe réflexe sans atteindre la
zone
consciente, elle au- rait constitué une « pensé
olonne vertébrale et des côtes, raréfaction des fines travées de la
zone
spongieuse, diminution d'épaisseur des diaphyse
t périphérique. Mais c'est surtout au niveau de l'épiphyse et de la
zone
d'union avec la diaphyse que les modifications
s l'angle fémoro-tibial et est séparé du reste de la rotule par une
zone
transparente. Ce fait indique assez nettement l
uve de l'atrophie et de la pseudo-hypertrophie ou tout au moins des
zones
d'empâtement localisées plus ou moins et d'une co
du triceps brachial jusqu'à trois doigts au-dessus, elle envahit la
zone
externe de la région et dessine un relief sensi
leur direction et de temps en temps elles sont interrompues par une
zone
plus claire d'ostéite raréfiante. On peut encor
l'examen radiographique qui nous démontre en plusieurs endroits des
zones
d'ostéite raréfiante avec diminution des sels m
granuleuse présentant quelques noyaux en partie détruits. Dans la
zone
d'extension du néoplasme, les vaisseaux sont dist
entuée à la face antéro-externe des deux jambes. Il n'existe pas de
zone
d'anesthésie complète. Le retard de la perception
volume d'un abricot sous-jacente au corps calleux, composé de deux
zones
, comprimant la protubérance en bas, se soudant à
au thorax n'est pas nette, car il y a, à la hauteur des seins, une
zone
d'une hauteur de quelques centimètres où elle p
ns sont moins distinctes que plus haut sur le thorax. De même, aux-
zones
d'innervation des segments sacrés, nous constaton
ixée. La pie-mère est opaque, légèrement épaissie, surtout dans les
zones
supé- rieures de la moelle épinière. L'examen m
s artères, en particulier dans l'artère spinale antérieure. Dans la
zone
supérieure, la pie-mère montre un épaississement
Le cubital et le radial étaient fonctionnellement intacts. Dans la
zone
innervée par le médian, il y avait des troubles d
: 1° Sur la face et la tête, normale ; 2° Sur le tronc : petites
zones
d'hypoesthésie au contact et à la douleur aux e
. SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABETIQUE 513 2° Sur le tronc :
zone
d'hypoesthésie tactile et à la douleur au voisina
A la main, partout hypoesthésie aux diverses formes très accentuées ;
zones
d'anesthésie sur le côté cubital des deux mains
elle fait sur la verticale est très notable. Le sacrum présente des
zones
de transparence anormale ; de même la 5e ver- t
rien qui caractérise une colonne vertébrale; on voits'accentuer des
zones
plus obscures dans le sens vertical qui correspon
une masse osseuse amorphe, irrégulièrement t cylindrique, avec des
zones
de raréfaction et des zones de néoproduction osse
irrégulièrement t cylindrique, avec des zones de raréfaction et des
zones
de néoproduction osseuse. Notre radiographie co
uelque distance de la périphérie de la moelle. A la région dorsale la
zone
de dégénération est triangulaire à sommet exter
des régions dorsale inférieure, lombaire, et sacrée, elle occupe la
zone
que l'on assigne classique- ment au faisceau py
follicules. Le premier processus est caractérisé par la présence de
zones
fibreu- ses, d'où partent des tractus également
igeant en sens divers. Les follicules situés à la périphérie de ces
zones
, sont petits, irréguliers, et contiennent des c
res et obstruant complètement la lumière de ces follicules. Dans la
zone
envahie par cette dégénérescence fibreuse, on n
es glandulaires. Quant aux autres follicules situés au dehors de la
zone
fibreuse, ils sont quel- quefois dilatés outre
nesthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens et les
zones
hystérogènes des muqueuses. Recherches clinique
sente des plaques d'anesthésie disséminées. Ailleurs, ce seront des
zones
hypéresthé- siques, alternant avec l'anesthésie
rmes est nulle jusqu'à un centimètre au-dessus du poignet ; là la
zone
anesthésique se termine par une manchette circu
leur sensibilité normale, au-dessous, l'analgésie est absolue, sans
zone
de démarcation intermédiaire. Cette disposition
rrompues. Mais on peut les interrompre par la compression d'une des
zones
hystérogènes et ces zones compren- nent les rég
interrompre par la compression d'une des zones hystérogènes et ces
zones
compren- nent les régions ovarienne gauche, sou
provoque de même par la fixation du regard ou la com- pression des
zone
= hystérogènes (ovaii es, régions sous-mammaire
ammaire et scapulaire droites), que l'on pourrait appeler pour cela
zones
hypnogènes. L'attaque provoquée peut être ana
ller la malade, il faut avoir recours à la compression de l'une des
zones
hypnogèncs, mais de préférence à celle des ovai
s une attaque avec les bras en croix. 8. On découvre une nouvelle
zone
hypnogène, ce sont les HISTOIRE D'UNE HYTÉRIQUE
Elle résiste encore un peu et puis s'endort; 3° la compression des
zones
hypnogènes qui sont situées chez elle dans les
estion est encore plus nettement absente dans la compression de ces
zones
hypnogènes, bien étudiées par Pitres chez ses m
: par la suggestion, par la fixation du regard, par la pression des
zones
hypnogènes, nous arrivons toujours au même type
verse et revenir du second au premier degré en com- primant une des
zones
hypnogènes, qui sont en même temps hypnofrénatr
-hypnotiques sont impossibles; l'histoire du réveil et l'action des
zones
hypnofrénatrices; les paralysies suggérées qui
sens musculaire n'avait pas souffert. L'anesthésie s'étendait par
zones
; plus tard elle envahit aussi cer- tains segmen
ution pariétale supérieure. Autour de ce tubercule, il existait une
zone
de ramollissement inflammatoire. On constata la
et deuxième circonvolutions primitives, de la partie médiane de la
zone
antérieure du gyrus sigmoïde (en avant du sillo
ex- terne ou moyenne du segment antérieur du gyrus sigmoïde et la
zone
adjacente de la deuxième circonvolution primitive
entre-croisement. Toute vraie pyramide prend son origine dans la
zone
motrice de la surface du cerveau, gagne la partie
du mot. Dans le type complet, la céphalalgie est localisée à une
zone
circulaire, à maximum occipital, donnant l'impres
is fréquemment la douleur s'atténue à la partie antérieure de cette
zone
, et la sen- sation se réduit à celle d'un demi-
es constipations opiniâtres, et vers la dixième côte elle porte une
zone
très sensible qui amènerait facilement une cris
constaté chez lui, ni anesthésie, ni hypéresthésie partielles,' ni
zones
hystérogènes, ni sensibilité testiculaire. La
raître aussitôt, persiste quelques instants : elle se borde de deux
zones
érythémateuses diffuses qui s'élargissent dans
émie vaso- motrice.) 2° Quelques instants après, apparition d'une
zone
érythémateuse large et diffuse due à la dilatat
t pas plus de 4 p. à 1 M 3. Ce triangle offre en arrière de lui une
zone
diffuse plus foncée que les parties adjacentes du
on des faits physiologiques, l'auteur est arrivé à en rattacher les
zones
supérieures à l'olive inférieure, au milieu de
ait en être cherchée dans le lobe occipital ou temporal. Quant à la
zone
diffuse, elle passe aussi dans l'olive inférieu
. P. IEIt 1\' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\
zone
motrice DU cerveau; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f.
E. Suivant cet auteur ce corps n'est, pas localisé dans certaines
zones
claromoleptiques, comme le croyaient Adamkiewiz e
rs; elle est également plus avancée dans le lobe frontal et dans la
zone
psycho-motrice que dans le lobe occipital. On t
antérieure du côté opposé, soit directement, soit en traversant la
zone
radiculaire antérieure. Les fibres grêles se déve
ensibilité (gliome central de la moelle cervicale ? ). Lésion de la
zone
radiculaire des nerfs cervicaux gauches, gliome
mmédiatement cpntiguë au côté interne des deux cornes postérieures (
zone
d'en- tréeradiculnire de Weslplial) ; cette ban
atéraux (lésion symétrique bilatérale associée). Géné- ralement les
zones
d'entrée des faisceaux radiculaires dans les co
nomènes de déficit, du côté opposé à la lésion. L'extirpation de la
zone
céré- brale symétrique droite élucidera la ques
e fait d'une véri- table suppléance, et que celle-ci était due à la
zone
corticale de l'hémisphère droit. » Qu'ont à rép
fréquemment lésées. A l'aide de cet artifice chromographique, une
zone
corticale assez étendue se détache des régions
tache des régions environnantes restées intactes : c'est dans cette
zone
qu'est le centre cherché, ou plus exactement da
le centre cherché, ou plus exactement dans l'aire centrale de cette
zone
. Là est le centre absolu de la fonction cortica
e localisation cérébrale, et l'ex- tension qu'ils accordent à leurs
zones
corticales sen- sorielles et sensitivo-motrices
't'eat. Outre la dégénérescence des cordons postérieurs et d'une
zone
périphérique du cordon latéral, le faisceau pyra-
des sensations cutanées. Il y a une identité complète, entre les
zones
motrices corticales sensitives et motrices. Quand
ts de convergence des - au début du tabes) par Wattevilte, 294.
Zone
motrice (étude de la du cer- veau), par Koning,
on observe une dégénérescence des fibres radiculaires postérieures (
zone
cornu-radiculaire; zone des bandelettes externe
cence des fibres radiculaires postérieures (zone cornu-radiculaire;
zone
des bandelettes externes); cette dégénérescence
t les douleurs fulgurantes des tabétiques. Parfois aussi il y a des
zones
d'hypoesthésie ou même d'anesthésie à type radi
ffuses, n'obéissant à aucune systématisation, étendues à toutes les
zones
radiculaires, partout avec une intensité sensib
zones radiculaires, partout avec une intensité sensiblement égale (
zone
cornu-radiculaire ; bandelettes . externes ; ch
NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent être atteintes : par exemple, les
zones
radiculaires antérieures., les racines antérieu
servations recueillies dans le service. Fréquemment, on observe des
zones
d'hypoesthésie pour tous les modes de la sensib
nt de petits îlots membraneux de formation osseuse, entre- mêlés de
zones
non calcifiées ; cette disposition s'observe surt
ppui de la thèse de rlerUsig, d'après la- quelle toute lésion de la
zone
d'association postérieure entraîne de la confus
tude des aphasies et paraphasies endopha- siques. G. Examen de la
zone
sensorielle ou motrice de même nom que le centr
Brown-Séquard quia montré qu'on pouvait déterminer l'apparition des
zones
épilepto- gènes chez le cobaye en coupant le sc
troubles subjectifs ou objectifs, parmi lesquels on peut ranger la
zone
symptomati- que ; névrite sensitive, caractéris
qui torturent la malade. Au point de vue objectif, on remarque une
zone
d'a- nesthésie douloureuse sur le bord interne
à l'admettre pour ma part. Je vous signale à la base gauche. une
zone
de matité remontant jusqu'à l'angle inférieur de
l'anesthésie à la douleur est légère et se trouve seulement dans la
zone
radiculaire externe. L'anesthésie thermique occ
oite ramollissement en bouillie du lobe occipital occupant toute la
zone
visuelle ; à gauche ramol- lissement moins pron
erins sont normaux. Au point de vue sensitif le malade présente des
zones
hyperes- thésiques et spasmogènes ; la sensibil
'un mois, en pleine déchéance, et l'autopsie montre au niveau de la
zone
motrice gauche une ulcération corticale avec os
obable du brachial antérieur, ](é1'atodel'mie palmaire limitée à la
zone
du médian. M. F. Dainville. Quinze jours après
us ou moins complexe, plus ou moins consciente, qui descend de la
zone
psychique dans les centres sensoriels, d'où elle
trajets anatomiques appropriés à la con- nexion centrifuge entre la
zone
psychique supra-sensorielle et les centres cort
e interne. Chez cette malade, un foyer de ramollissement a lésé ces
zones
vaso- motrices en même temps qu'il a atteint le
... fait remarquer que malgré la présence d'une grosse lésion de la
zone
motrice droite, les crises ont toujours gardé l
ienne, on est autorisé .à aller voir s'il existe une lésion dans la
zone
correspondante, mais qu'il ne faudra pas trop s
ans le gliome du malade en question, malgré sa situation en pleine
zone
motrice, a donné seulement des crises et ce n'e
tance, elle déployait une force étonnante. Pour ce qui concerne ses
zones
hystérogènes, ses contractures, ses tremblement
able du hra- chial antérieur. Kéiatodermie pal- maire luuilée àla
zone
du médian, par Daillville. 312. - bulbaire, v
le trajet du sciatique. Novembre. - On constate l'apparition d'une
zone
d'hyperesthésie occupant tout le membre inférie
uses, en dedans. Ces dernières séparent le nodule circonscrit d'une
zone
d'infiltration néoplasique diffuse qui gagne le
ncipale, circons- crite, on trouve sur les côtés et en arrière, une
zone
d'infiltration diffuse, qui envahit dé,à presqu
térieurs, dont il n'existe plus que de rares fibres isolées, et les
zones
radiculaires des deux côtés. La partie profonde
égénération. Dans la partie supérieure du renflement cer- vical les
zones
radiculaires des deux côtés sont fortement com-
t en avant les fibres du ruban de Reil remarquablement intactes; la
zone
dégénérée se réduit donc ici a une très mince b
modes. - C'est seulement au mois de novembre 1889 qu'apparaît une
zone
d'hyperesthésie occupant tout le membre inférieur
ion syringomyélique, mais encore incomplète. De plus, il existe une
zone
d'anes- thésie totale dans toute la moitié gauc
on retrouve la dissociation syringomyélique au cou, dans toute la
zone
innervée par le plexus cervical superficiel. La m
ue, tel qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veux parler de cette
zone
d'anesthésie absolue qui existait àla partie dr
partie de' la ^deuxième temporale, l'insula entière, et' de petites
zones
circons- 'crites de l'extrémité inférieure de l
.dh 1 En examinant méthodiquement Je sens de la , température par
zones
et en comparant les résultats de cet examen avec
zones et en comparant les résultats de cet examen avec la carte des
zones
normalesi, constantes dressées préalablement parx
et dans la région ova- rienne, provoquent une réaction assez vive (
zones
hystérogènes). Un des phénomènes les plus marqu
e la tumeur, les éléments embryonnaires prédominent : il y a là une
zone
de Fig. 18. Coupe prise dans la même région que
eau devient de plus en plus puissant à mesure qu'on descend dans la
zone
des grandes cellules pyramidales où ses fibres
st à son maximum; elle diminue à mesure que l'on se rapproche de la
zone
rolandique, qui semble jouir d'une immunité par
' Un point remarquable est l'immunité relative dont parait jouir la
zone
motrice, qui était l'endroit le moins atteint dan
'ensemble des accidents connus, qui tous sont loca- lisables en des
zones
du cerveau dont on commence à soupçonner selon
éflexes patellaires; elle tient très probablement à la lésion de la
zone
d'entrée radiculaire postérieure, entrele segment
i l'on examine les fibres de jonction d'une région déterminée de la
zone
extirpée à la région homonyme de l'autre hémisp
et du lobule lingual. Entre ces deux faisceaux blancs il existe une
zone
de transition qui constitue le bouquet des fibr
Vient ensuite la discussion des théories de Hitzig qui fait de la
zone
motrice l'aire du sens musculaire, et de celles d
faces de la question, mais Bastion refuse la question motrice à la
zone
rolandique et admet que le faisceau pyramidal n'e
kson, celle de l'écorce préfontale de Ferrier; et enfin celle de la
zone
psy- chique de Munk. Tendance à l'unité de cons
tation évidemment hystérique. Du reste les stigmates de l'hystérie,
zone
hystéropène au-dessous du sein droit et au somm
iminution de la sensibilité du membre inférieur droit, existence de
zones
hystérogènes et hystéro-fréna- trices, points o
e et marque le début ou l'aboutissant du processus destructif des
zones
corticales-motrices. Tels sont les documents que
ait le froid, chaud. Analgésie marquée dans certains points decette
zone
, mais ne s'étendant pas parallèlement à l'anes-
bien que le droit nécessaire ment, fût couvert. Il n'y avait pas de
zones
d'anesthésie de la face, si ce n'est sur la cor
ment et fourmillement. Puis paresthésie de toutes les parties de la
zone
de distribution cubi- tale. Douleur considérabl
vroglique, sclérose toujours très végétante, non seulement dans les
zones
dégénérées, mais encore sous l'épendyme du ,4 ven
base du poumon droit; elle gêne par sa présence la recherche de la
zone
segmentaire hyperesthé- sique de Lied qui, dans
généralement au territoire du dixième nerf intercostal. Ici, cette
zone
d'hyperesthésie, en rapport vraisemblablement ave
médiane; mais il y a de haut en bas, en avant comme en arrière, une
zone
d'hypoesthésie de un centimètre de large envi-
ermographisme net. Envi- ronnant la raie, légèrement surélevée, une
zone
large et diffuse se colore en rouge. Le suji'
ertain protectorat, que dis-je, n'étend-il pas ses droits sur cette
zone
neutre, où évo- luent une foule de candidats év
iffuses. Elles consistent en une chromatolyse qui frappe d'abord la
zone
marginale de la cellule puts'se'drffusû-et se g
s. L'ordre de cette abolition suit exactement l'envahissement des
zones
analgésiques et suivant que la racine des cuisses
ns jamais noté de changement de colora- tion des téguments dans les
zones
analgésiques ; 2° Nous n'avons jamais remarqué
ais remarqué non plus de refroidissement des téguments de ces mêmes
zones
appréciable à la palpa- tion ; 3° Les piqûres f
xes profonds exagérés du côté paralysé. Trépidation épilepsoïde; la
zone
étroite d'anesthésie qui se voit au-dessus de l
ilepsoïde; la zone étroite d'anesthésie qui se voit au-dessus de la
zone
hyperesthésiée n'existait pas chez ce sujet. P.
intements d'oreille, puis anesthésie partielle et paresthésie de la
zone
innervée par le trijumeau : puis affaiblissemen
mes. Au lieu d'anesthésie on trouve souvent de l'hyperesthésie, des
zones
hystérogènes dont la com- pression arrête une c
observe chez le singe, à la suite de la destruction complète de la
zone
motrice, peuvent être assimilées à celles qui se
qui se produisent par des lésions incomplètes non irritatives de la
zone
motrice de l'homme. La distinction entre la con
, octobre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la
zone
motrice de l'écorce cérébrale, après la section e
éga- tive. , Les faits de ce genre, où un symptôme banal comme la
zone
hystérique du sein prend une importance capital
ratique de l'hyp- notisation, les causes du sommeil hypnotique, les
zones
hypno- gènes, l'étude de la sensibilité chez le
te de dé- charge, de la tension nerveuse accumulée dans certaines
zones
encéphaliques et que leurproduction semblait appo
; mais bientôt douleur vive à la région temporale gauche et dans la
zone
de dis- tribution du nerf susorbitaire; puis un
nsistance assez dure, comme charnue. Sur la coupe, on y distingue une
zone
extérieure violacée, de consistance assez friable
faitement. Si on pique alors la malade, elle crie, elle sent dans une
zone
de 5 à 6 centimètres autour du point où on a plac
rique de mon service, je voulus montrer à mes élèves l'étendue de ces
zones
aiieslhé-siques. Je la piquai fortement, mais au
autres couleurs sont réparties autour de ce cercle central, dons des
zones
concentriques d'inégale largeur, et disposées, de
du nombre des hystériaues chez lesquelles la couleur bleue occupe la
zone
concentrique externe du champ visuel, et chez les
uelles, par conséquent, le bleu disparaîtrait après toutes les autres
zones
colorées. « M. Charcot met successivement sous
araît dans les deux yeux, puis, après elle, le jaune et l'orangé. Les
zones
rouge et verte reviennent dans l'œil gauche, mais
l'œil gauche, mais le violet n'y revient pas. Quant à l'œil droit, la
zone
verte et le cercle violet n'y renaissent pas. «
es points hyperesthésiques persistent habituellement. En excitant les
zones
hystéro-épileptogènes, on provoque, chez la malad
oujours la partie antérieure du corps : c'est qu'en effet, il est une
zone
, la région située entre les deux épaules, qui est
nre de recherches, on arrive bientôt à délimiter un certain nombre de
zones
parfaitement circonscrites, dont l'excitation amè
amène, avec le plus de précision et de sûreté, le résultat voulu. Ces
zones
se confondent avec ce que l'on désigne en électro
à deux centimètres environ de l'oreille, à la hauteur du tragus, une
zone
fort limitée dont l'excitation amène infailliblem
ée au point voulu. D'autre part, il existe au-dessus de l'oreille une
zone
assez étendue dont l'excitation produit le même r
e, dans ce cas, nous excitons directement la fibre musculaire dans la
zone
située au-dessus de l'oreille, tandis que l'excit
essayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les
zones
hystérogènes de l'aisselle n'amène qu'une viole
it, à peu près à la limite supérieure de la région encéphalique, dite
zone
motrice corticale ; — l'autre était placé, soit a
urtout dans le domaine pathologique : ainsi, nous savons que, sur les
zones
hystérogènes, une action légère provoque des atta
nce jusqu'à son extrémité postérieure, d'où elle revient, longeant la
zone
cérébello-temporale, se terminer en dehors de la
n de l'ourlet; ce sera, pour nous, le pli du corps calleux, pli de la
zone
interne. Le deuxième pli, pli de la zone extern
u corps calleux, pli de la zone interne. Le deuxième pli, pli de la
zone
externe, enveloppe le précédent, et se termine, e
1.1.1.1'); mais l'étage supérieur du lobe fronto-pariétal (pli de la
zone
externe 2.2.2..2.), chargé de plis dans VHomme, e
ssure les distingue. Le pli qui limite l'ouverture est le pli de la
zone
interne. Le second pli entoure celui-ci; c'est le
e la zone interne. Le second pli entoure celui-ci; c'est le pli de la
zone
externe. A sa partie postérieure, le pli de la zo
'est le pli de la zone externe. A sa partie postérieure, le pli de la
zone
interne se relève, s'élargit et forme le lobule q
interne ou pli godronné. Ce pli, très-grèle, fait suite au pli de la
zone
interne et borde inférieurement la grande ouvertu
disposition est telle, que les anthropotomistes ne font du pli de la
zone
interne et de la partie antérieure du pli tempora
icale : les altérations histologiques portaient spécialement sur la
zone
motrice, l'écorce visuelle (tissure calcarine),
rose latérale amyotrophique. Elle épar- gne encore régulièrement la
zone
visuelle et la zone auditive. Tout ceci' indiqu
ophique. Elle épar- gne encore régulièrement la zone visuelle et la
zone
auditive. Tout ceci' indique que la dégénéresce
veau de développement maximum, on voit la tumeur dessinée par une
zone
décolorée, arrondie, à bords polycycliques taillé
ers la gauche (2 millimètres environ), intéres- sant ainsi toute la
zone
de sortie de la troisième paire gauche, en coup
tissu nerveux avoisinant; ce caractère est surtout évident dans la
zone
périphérique d'envahissement. L'espace intertub
e, que ce néoplasme a 90 CLINrQUB NERVEUSE. totalement détruit la
zone
indiquée ci-dessus, qu'il a complètement respec
e par le néoplasme si voisin.de ce faisceau, puisqu'il a détruit la
zone
de sortie de la troisième paire gauche, croyons
plexe de fonctions, dont chacune se manifeste dans de très petites
zones
contiguës de la peau, desservies par des nerfs sp
cliniques de la syringomyélie. Il existe au moins quatre sortes de
zones
sensorielles, celles du toucher, REVUE DE PATHO
titue la tliermo-anesthésie. Dans le cas rapporté par l'auteur, les
zones
intéressées étaient celles qui concernent la ré
es le long de la colonne vertébrale ; quelques céphalalgies. Pas de
zones
hystérogènes. Les sens spéciaux paraissent norm
et les corps granuleux peu abondants ne se trouvent que dans les
zones
périphériques. S'il s'agit de cas très envahissan
s couches des grandes et pelites cellules, excentricité des noyaux,
zone
de dégé- nérescence pigmen taire. Ces diverse
tard, est un amoindrissement consi- dérable de la sensibilité, sans
zones
délimitées. II. Incidents pathologiques survenu
rnal mobilisable, la poignée restant fixe. La percussion dénote une
zone
de matité environnant la plaie, peu étendue à d
um, à des profondeurs correspondant à peu près aux dimensions de la
zone
de matité. Le sternum est dénudé de son périost
fut pas soupçonné en percutant la région précordiale. C'est que la
zone
de matité ne se différenciait pas sensiblement
pprochés du pourtour anté- rieur de la moelle et ne quittent pas la
zone
des racines antérieures ; il est moindre quand
cipalement au cervelet). , Le tabès commence par une lésion de la
zone
d'entrée des racines postérieures et des cordon
tale, occipitale et cérébelleuse, et sous la forme de blocs dans la
zone
périphérique du protoplasma cellulaire. La subs
tandis qu'à droite, il y avait seulement hypo-esthésie dans la même
zone
. La radiographie montra la présence, de chaque
es couches corticales seules. L'importance relative des différentes
zones
corticales dans la production des phénomènes me
stes variant d'un pois à une tête d'épingle, situés aux limites des
zones
corticale et pyramidale. Aucune lésion des caps
aisément, çà et là, sur une étendue plus ou moins considérable, des
zones
où l'agencement des cellules, de même que leurs
fibres qui se retrouvent, encore assez nombreuses, dans toutes les
zones
de l'écorce cérébrale, depuis la zone d'Ext)er It
nombreuses, dans toutes les zones de l'écorce cérébrale, depuis la
zone
d'Ext)er Itisqu'a.1 centre ovale proprement dit
, on trouve à son niveau un léger frémissement. A la percussion, la
zone
de matité de l'aorte empiète un peu sur la droi
rs 1899), en ce qui concerne les grandes cellules pyramidales de la
zone
motrice. La nouvelle observation de M. Ballet m
névrogliques de néoformation. La couche névroglique qui recouvre la
zone
moléculaire entre en acti- vité nucléaire. Les
cours de l'auteur lui permettent d'affirmer ce qui suit : 1° Les
zones
spinales de la couche optique, contiguës en dehor
paire en montant. La coloration Weigertel Pal montre que seules les
zones
d'entrée radiculaires sont dans la moelle cervi
stérieure. Par contre, il y a dégénérescence absolue. générale, des
zones
d'entrée radiculaires de la moelle sacrée et de
oelle sacrée et de la moelle lombaire : dans la moelle dorsale, ces
zones
sont complètement ou presque entière- ment dégé
, bien dessinée, a subi les altérations propres a la macération. La
zone
des noyaux ovales est très nette : ceux-ci sont
urquoi les symptômes initiaux sont-ils plus étendus que ne l'est la
zone
anatomique lésée ? Quel est le mécanisme qui pr
e alaxique à la plupart des mouvements volontaires exécutés dans la
zone
autrefois paralysée. ' A gauche, l'aneslliésie
ncienneté de t'hémorrha- gie. Sur nos coupes, il occupe surtout les
zones
postérieures, au niveau desquelles il se présen
travers les faisceaux conjonctifs,et souvent prédominantes dans la
zone
adventice d'un petit vaisseau, artériole ou vei
udinal pathologique, montrent çà et là, à travers leurs masses, des
zones
moins bien colorées dans lesquelles les noyaux
ires et les nodules inflammatoires sont abondants surtout dans les-
zones
postérieures. Dans la moitié latérale gauche, s
une théorie psychologique. La lésion périphérique n'agit pas sur la
zone
temporale, elle sert uniquement de point de rep
ux données anatomiques actuelles, l'irritation portant sur les deux
zones
auditives, l'hallucination serait bilatérale, m
n'y a pas de localisation en différentes colonnes ou groupes de la
zone
sensitive spinale, à l'exception de la colonne de
). D'après cette étude, on peut, sui- vant l'auteur, localiser les
zones
de dégénéralion rétrograde cor- respondant à di
e fait d'une manière insensible. Sur leur limite il n'existe pas de
zone
d'hyperesthésie. Les résultats de l'exploration
u corps, tronc, face et membres ; la région lombaire pré- sente une
zone
limitée d'hyperesthésio. Le signe de Westphal éta
J. M. Charcot et Dutil c'est tout juste si l'on trouva une ou deux
zones
cutanées peu étendues présen- tant de la dissoc
rachidiens et le sommet des apophyses épineuses, d'après Reid. Les
zones
blanches numérotées de la bande verticale de dr
bande verticale de droite représentent les sommets des apophyses, les
zones
grises des quatre bandes gauches l'étendue vert
la dissociation de la sensibilité n'existait qu'au niveau des deux
zones
, précisément superposées aux arthropathies de l'é
ultats nuls ou passagers : nuls si la résection ne peut dépasser la
zone
d'atrophie osseuse, passagers si elle la dépasse,
'en réaliser une imaginaire, on sera porté à regarder avec nous les
zones
dites motrices comme purement sensorielles, mais
ment d'attitude, c'est-à-dire un geste, par irritation spéciale des
zones
sensorielles qui sont le siège des représentation
stibulaire des centres corticaux dans la pariétale ascendante, dite
zone
motrice, et que le cerveau de Bertillon nous fait
tres importants faisceaux médullaires doivent également aboutir aux
zones
dites motrices. D'autre part, le cervelet, qui
ions sismesthésiques, purement tactiles, auront leur centre dans la
zone
pariétale avec les autres percep- tions de même
montait un peu plus haut; fait a noter, il y avait de ce côté, sur la
zone
hy- poeslhésique, une thermanestliésie manifest
talon du lit. L'aneslliésic et l'analgésie fessières se limitent une
zone
péria- uale très restreinte; sur le membre infé
ement disparu ; l'analgésie se limite aux organes génitaux et il la
zone
périanale. Sensation pénible et constante de froi
énérescence. Les fourmille- ments signalés plus haut occupaient une
zone
recouvrant en calotte l'épaule et descendant su
iculaire, l'autre a l'insertion deitoldienne inférieure; cette même
zone
était le siège d'une légère hyperesthésie cutan
induré (tronc lymphatique très probablement). Dans ces différentes
zones
lipomateuses, mollasses, on peut percevoir, dan
e vive douleur à droite près de l'ombilic, on pourrait croire à une
zone
pseudo-ovarienne, mais la région douloureuse es
tés : l'appréciation du siège et de l'intensi té est exacte. Pas de
zones
hyperesthésiques. La sensibilité musculaire est
s de sinusite maxillaire. Autour de cette perforation se trouve une
zone
blanchâtre, plus résistante au doigt, trace du pr
ine cervicale (PI. XLIX, L), on constate l'exis- tence d'une petite
zone
de dégénérescence il la limite du cordon antérieu
e ; en même temps que les olives, apparaît sur son bord interne une
zone
décolorée qui augmente jusqu'à l'extré- mité su
ité supérieure de l'olive (Pl. XLVIII, D, E) ; de même, ce niveau une
zone
dé- colorée apparaît sur son bord externe, en d
us élevée d'un des pariétaux sont rares, cependant la proximité des
zones
motrices corticales pourrait expliquer une paraly
u de ses branches une collection qui agit par com- pression sur les
zones
motrices et sur le centre de la parole. D'où : hé
nombre des hémiplégies consécutives et des convulsions puisque les
zones
motrices corticales sont comprimées. Au point
ement broyée par le coup ; DE l'hémiplégie traumatique 379 2° Une
zone
siégeant autour du trajet et constituée par de la
ajet et constituée par de la masse cé- rébrale spongieuse. 3° Une
zone
de matière cérébrale tiraillée, où le tissu nerve
tissu nerveux est dé- chiré par des hémorrhagies capillaires. Cette
zone
est plus Icurnie dans le voisinage du trajet et
grise située en haut du sillon de Rolando et un peu en arrière. La
zone
motrice est donc touchée, précisément dans la r
la sylvienne gauche. Ce foyer se propageant de bas en haut dans la
zone
motrice, expliquerait successivement l'aphasie et
endrites qui passent auprès de la surface de l'écorce cérébrale. 3.
Zone
motrice du côté gauche. a) Région supérieure. - S
ux ; pourtant dans l'une d'elles on pouvait voir très nettement une
zone
plus claire autour du point noir. - b) Partie m
nt, tantôt faiblement sur la même coupe. Par places, on observe une
zone
claire périnucléaire ou une chromolyse centrale
nt la dégénérescence secondaire des voies pyramidales, qui va de la
zone
motrice de l'écorce cérébrale et qui peut être co
liquée avec enfoncement du crâne du côté droit, précisément dans la
zone
motrice. Il avait reçu un morceau de charbon tomb
lieu à aucun phénomène subjectif, ni douleurs, ni fourmille- ments,
zone
d'hypoesthésie étendue à tout le membre supérieur
comme une pièce de cinquante centimes, plus ac- centuée que dans la
zone
dont nous venons de parler. Le point douloureux e
venons de parler. Le point douloureux est situé exactement dans la
zone
de Broca. Le malade se plaint de douleurs vives
AITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 369 latéral, se présente sous forme de
zones
bien délimitées habituellement, et parfois avec
i dire invisible que quelques auteurs ont admis que les mailles des
zones
aréolaires sont pour la plupart du temps vides.
plupart du temps vides. . Par la méthode de Weigert, la myéline des
zones
altérées se colore peu, la stratification en es
e. La sen- sibilité à la piqûre d'une épingle est diminuée dans les
zones
où existe la dimi- nution de la sensibilité tac
ntrent pas uniquement en conséquence de l'excitation artificielle des
zones
hystérogènes ; elles peuvent se développer sponta
ée elle-même, peut-être au moins en certains cas, par la pression des
zones
hystérogènes déterminée inconsciemment par le mal
exercés sur la peau des cuisses, surtout à droite au voisinage de la
zone
hyperesthésiée, éveillent la douleur la plus vive
n intervient violemment par des cris, ou bien en comprimant certaines
zones
, l'attaque s'arrête, tandis qu'on n'arrête jama
e et sensorielle, avec rétrécissement très prononcé du champ visuel ;
zone
hystérogène ; aura suivie de perte de connaissanc
o-dorsalc. Hospice de la Sàlpêtrière. — Coupe faite par M. Marie. 1
Zone
de condensation avec apparence papillomateuse.
ns laquelle existe encore un peu d'épithélium épendymaire normal. 2
Zone
gliomateuse. 3 Substance grise. 4 Cavité syri
Fig. 104. — A,A, cordons latéraux : — A' faisceaux de Tùrck. — B,B,
zones
radiculaires postérieures. — G,C, cornes postérie
érieures. — G,C, cornes postérieures. — D,D, cornes antérieures. — F,
zones
radiculaires antérieures. — E, cordons de Goll. E
s de J. M. Charcot, p. 295. spinaux postérieurs, celles surtout des
zones
radiculaires, B B, entraînent avec elles la produ
. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices,) et les
zones
radiculaires antérieures (trajet intraspinal des
périeur tout entier, et toujours,en pareil cas, la délimitation de la
zone
anesthésiée et des parties normalement sensibles,
voit, en comparant les fig. 110, 111, 113 et 114 entre elles, que les
zones
insensibles ou peu sensibles à la chaleur, et cel
à la surface du corps, comme le sont les anesthésies hystériques, par
zones
géométriquement limitées, par segments de membres
paru, il s'est manifesté dans les deux flancs, surtout à gauche, une
zone
ou plaque hystérogène. Le moindre frôlement, la m
sur toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires.
Zone
hystérogène. — Lorsqu'on exerce une pression un p
onstric-tive, tenace, généralisée, mais prédominante à l'occiput, une
zone
médiocrement douloureuse, située à la partie infé
lissement très appréciable de l'ouïe et de l'odorat du même côté, une
zone
hystérogène, des attaques caractérisques, que fau
ésie n'est pas aussi complète qu'au membre supérieur et à la face. La
zone
anesthésique dépasse la ligne d'attaches de la cu
l scrotal. La peau du tronc a conservé toute sa sensibilité dans la
zone
intermédiaire qui sépare la nappe anesthésique pé
e), 425. Hystérogènes. — (Points) dans le sommeil hystérique, 66. —
Zones
, 33. Hystéro-neurasthénie (Voy. aussi hystérie,
qui a diagnostiqué une affection catar- rhale de la trompe. Aucune
zone
hystérogène ou douloureuse. C'est un homme d'un
chez des hallucinés, enlevé des morceaux de circonvolution dans les
zones
de Wernicke et de Broca; il a aussi tenté de ro
des fibres de la partie fondamentale des cordons antéro- latéraux (
zones
radiculaires antérieures d'après M. Charcot) dans
ation de boule, etc...), on note presque toujours l'existence d'une
zone
hystérogène, dont la mise en action va directem
naître le paroxysme mi- graineux et l'amblyopie transitoire. Cette
zone
peut siéger dans l'oeil lui-même; alors, la dou
ar exemple, -directement au niveau du globe oculaire. Ou encore, la
zone
.peut se trouver ailleurs, au vertex, par exemp
Babinski, il existait au niveau de la sixième vertèbre dorsale une
zone
hystérogène, dont la pression faisait apparaîtr
tre immédiatement le scotôme. "Dans un autre cas, la pression d'une
zone
ovarienne gauche produi- sait le scotôme, comme
graine ophtalmique, sous forme de paroxysme spécialisé, part d'une
zone
hystérogène dûment constatée, et dont la pression
psychiques, de pa- raître ou de disparaître par la pression sur des
zones
hystéro- gènes, etc. Dans ce cas, et lorsque
(Voy. Pl. I, fig. 1.) Hémisphère droite. Les circonvolutions de la
zone
motrice sont intactes, mais en écartant les lèv
et de pouvoir exécuter des mouvements volontaires. Il existe une
zone
visuelle, base de la perception visuelle et des
la perception visuelle et des idées qu'elle fait naître; il y a une
zone
auditive, une zone olfac- tive, et probablement
lle et des idées qu'elle fait naître; il y a une zone auditive, une
zone
olfac- tive, et probablement aussi, divers cent
e à travers ceux des bras. Si le point de départ s'effectue dans la
zone
qui commande la jambe, l'exci- tation s'étend à
a portion inférieure (ventrale), à la hauteur de l'hypoglosse; - 5°
zones
d'atrophie disséminées dans la région ven- tral
disparu. Il existe chez le malade des troubles de la sensibilité :
zones
hyperesthésiques testiculaires, iliaques, sous-
ureuses et thermiques sont très bien appréciées partout. Il y a des
zones
hypéresthésiques : 1° au niveau de la septième
rès celte crise il resta vers la moitié du pli de l'aine droite une
zone
hypérectbésique, dont la. pression provoque des
ettre des troubles circulatoires localisés, mais occupant plusieurs
zones
à la fois. » L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 427 Du
raît bien plusépaisetcomme groupé autour nucléole plus pâle ; cette
zone
que l'on peut considérer comme la membrane nucl
égale épaisseur partout ; à côté de parties plus denses il y a des
zones
plus claires qui pourraient bien représenter le
ercle, etc. Compression testiculaire. Etat de la sens ! - bilité. -
Zones
)rystérogénes. - Action des aimants, des métaux.
ques et apparition d'écume salivaire aux lèvres. La compression des
zones
hystérogènes (voir plus loin) ne donne aucun résu
n certain nombre de points, douloureux à la pression, analogues aux
zones
hystérogènes qui existent chez les femmes hysté
bles hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau; - 3° et 4° deux
zones
symé- triques au niveau du deuxième espace inte
- 5° un point sensible au-dessus du mamelon droit ; - 6, et i° deux
zones
douloureuses symétriques, au niveau des flancs,
YS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en une sensation douloureuse, dirigée d'une
zone
iliaque à l'autre et produisant, d'après le mal
mère dans les travaux duménage. La sensibilité est parfaite, et les
zones
Ilysté- ro;ènes ont disparu. - L'eczéma, en voi
de violence. IV. Signalons encore les accès de toux gutturale, les
zones
hys- térogèncs à l'état rudimentaire; l'ineffic
èncs à l'état rudimentaire; l'inefficacité de la compression de ces
zones
ou de la compression des testicules sur la produc
s transpositions de sensation" seraient liées àL , une lésion de la
zone
rolandique. ' t ·1 >'#<* ? v v 1, iDans l
près les expériences de Munk, on dut pensera la destruc- tion d'une
zone
du lobe pariétal immédiatement contiguë au lobe
résumée, l'observation suivante, avec l'examen microscopique des
zones
corticales pratiqué à l'aide du picro-carmin et d
t aussi des lésions. Les cellules cé- rébrales dans les différentes
zones
de Meynert ont subi l'atro- phie de leur protop
ans les cellules et dans les vaisseaux de l'écorce, au niveau de la
zone
sous-méningée, de nombreuses granulations isolé
es tubes nerveux sont très diminuées dans l'écorce; au niveau de la
zone
sous- mé- ningée, il est impossible de les mett
Dans la substance blanche et au niveau de la limite inférieure delà
zone
des cellules polymorphes, on constate des atrophi
e lé champ de l'amnésie et celui de-la mémoire, il doit exister une
zone
où les images sont de moins en moins éclai- rée
rachiale DROITE ET dysesthésies consécutives A UN traumatisme DE la
ZONE
antérieure frontale gauche DE la COR- TICALITE;
aule, avec apparition sur la surface, cutanée de cette région d'une
zone
de dissociation de la sensibilité du type syrin
ces, comparées aux dégénérescenses consécutives à l'extirpation des
zones
corticales motrices, permettent d'établir les d
la commissure postérieure. Dans le faisceau pyramidal croisé et la
zone
de Gowers les vaisseaux présentent des gaines é
ondes. Il existe de la méningite, et dans les cordons de Goll et la
zone
voisine de la commissure postérieure on observe l
des lésions, mais légères. De plus, on trouve ici la lésion dans la
zone
latérale dés cordons postérieurs. Sur une coupe
température du liquide. Elle ne sent non plus jamais la faim. Comme
zones
hyperesthésiques, on ne retrouve guère que le c
e de formuler une loi rela- tive à la localisation périphérique des
zones
réflexes. Il dit en substance qu'une zone limit
isation périphérique des zones réflexes. Il dit en substance qu'une
zone
limitée en haut par le pli inguinal, en dedans
rvention du psoas. Mais, inversement, quand après avoir effleuré la
zone
fémorale en question, on excite, subsidiairemen
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 La régularité avec laquelle les
zones
excitées provoquent les divers mouvements réfle
auche très nette pour les différents modes de la sensibilité et une
zone
pseudo-ovarienne douloureuse du même côté. Cett
bilité et une zone pseudo-ovarienne douloureuse du même côté. Cette
zone
ne réveille pas les phénomènes de l'aura, quand
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