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1 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
igone. - llle, tænia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'.lryr. - Zr, zone réticulée ou grillagée. FiG. 4. - Le segment an
hweigoffer, Fig. 416 et 118, p. 134). Dans ces différents cas, la zone dégénérée occupe la substance blanche non diffé-
rochet. - li, troisième 'ventricule. - T'l, ventricule latéral. - Zn, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optiqu
Vicq d'Alyr. - 17, ventricule latéral. Yoe, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou criiiaeëe. FIG. H. Le segment infé
lamus. - tllt, taenia thalami. - l'l, ventricule latéral. - Zr, Zone réticulée du thalamus. izcl, pli cunéo-limbiqti
um. Tga, pilier anté- rieur tlii 1 i-i-one. - Th, lhala mus.-11', zone de Wernicke. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE C
ments de la capsule interne par rapport au plan sagittal médian. La zone de transition entre la région thalamique et la ré
putamen. - XR, noyau rouge. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zone de Wernicke. Dans la région sous-thalamique de
Foret. - Tga, pilier anté- rieur du trigone. - Th, thalamus. - IV, zone de Wernicke. - II, bandelette optique. Biblioth
Cirl), refoulé en dehors par le corps genouillé externe (Cge) et la zone de Wernicke (W), est séparé du segment postérieur
eur (Cip) par une mince lamelle de substance grise appartenant à la zone réticulée du thalamus (Zr) (Fig. 47, p. 68). Qu
, taenia semi-circularis. - ]TSl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone réticulée. lenticzclo-cauclées) qui, nées de la
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VCrst, veine du corps strié. - 1V, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée.
'Azyr. - VCrst, veine du corps strié. - 1V, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES
laire de la corne frontale. - L,, première circonvolution limbique. Zone , lame médullaire externe du thalamus. - lme, lame
icule latéral.- T'sph,,corne sphénoïdale du ventricule latéral.- TI', zone de Wernicke. - Zi, zona incerla de Forel. - 11,
(Cge) et une mince lamelle de substance grise qui appartient il la zone réticulée du thalamus (Zr). En dedans, il est e
het. - Il', champ de Wernicke. - xll, chiasma des nerfs optiques. Zr, zone réti- culée ou grillagée du pulvinar. - 11, ban
éparées par l'étroite lamelle de substance grise apparte- nant à la zone réticulée du thalamus (Fig. 25). Par son aspect,
as et en dehors. Il est situé en dehors du pulvinar (l'ul) et de la zone de Wernicke (\V) et occupe l'espace compris ent
, le segment rétro-lenticulaire (Cirl) est refoulé en dehors par la zone de Wernicke et le corps genouillé externe. Le s
pédonculaire. z Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette optique. - III, ner
passant par le corps genouillé externe, le segment postérieur de la zone réticulée du thalamus et sectionnant le segment r
sphénoïdale du ventricule latéral. - Zrp, segment postérieur de la zone réticulée du thalamique. Ses aspects sur les
érieur de la couronne rayonnante (Fig. 32). Méthode de Weigert. Les zones dégénérées sont colorées en jaune (voy. Cas Courr
plégie gauche. Dans la région pédonculaire supérieure (Fig. 39), la zone dégénérée occupe la partie moyenne du pied du péd
e dégénérescence partielle de ce faisceau. - Méthode de Weigert. La zone dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l'atr
, pied du pédoncule cérébral; P', son faisceau interne sain; P(d), sa zone moyenne dégénérée. - l'cs, pédoncule cérébelleu
rébral, telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans ce cas, la zone dégénérée (P(cl) occupe dans la région pédonculai
e. A mesure que l'on approche du sillon pédonculo-protubérantiel la zone dégénérée (P(cl) se déplace : elle se porte en
halamus. tr,c, tienia semi-circularis. - ? (, t;enia thalami. - Zr, zone réticulée du thalamus. ronne rayonnante et à la
és par de la substance grise. De ce treillage, connu sous le nom de zone grillagée ou réticulée d'Arnold (Zr), se détach
) déterminent la dégénérescence du noyau externe du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la couche optique une rég
ns la couche optique une région qui correspond très exactement à la zone capsulaire dégénérée; comme cette dernière elle
e l'extrémité antérieure de la couche optique. Après avoir formé la zone grillagée (Zr) de l'extrémité antérieure du tha-
Fibres cortico-tha- lamiques supérieu- res. Elles unissent la zone rolandique aux noyaux externe et interne du t
aris. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. - Zr, zone réticulée du tha- lamus. II, bandelette optique
7, 26.) Les fibres cortico-thalamiques moyennes appartiennent à la zone rolandique et aux parties adjacentes des lobes
que leur direction est transversale; elles s'entre-croisent dans la zone grillagée (Zr), elles sont croisées par les fib
ibres radiées du thalamus (noyaux externe, interne et pulvinar), la zone de Wernicke et les segments rétrolenticulaire, po
. - 171, ventricule latéral. - Vsph, ven- tricule sphénoïdal. - Il, zone de Wernicke. X ? zone réticulée ou grillagée. F
téral. - Vsph, ven- tricule sphénoïdal. - Il, zone de Wernicke. X ? zone réticulée ou grillagée. Fia. 44. - Le segment p
ar et la partie postérieure du noyau externe, dont elles forment la zone réticulée- Parmi les fibres qui se détachent de
forment la zone réticulée- Parmi les fibres qui se détachent de la zone réticulée, les plus posté- rieures et les plus
p les plus nombreuses, forment le champ triangulaire de Wernicke ou zone de Wernicke (1TT), puis pénètrent et s'épuisent
rUCO- irenouilléos externes. 68 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone de Wernicke. gros fascicules onduleux, et abord
on d'un champ compact de fibres, le champ triangulaire de Wernicke. zone de Wernicke (W) (dreieckiges FIG. 46. - Le pédo
-externes do la voie pédonculaire. Ces radiations unis. sent la zone auditive e corticale au corps genouillé inter
e. - VA, faisceau de Vice¡ d'.lzyr. - Vl, ventricule latéral. - IV, zone de Vernicke. Zi, zona in- certa de Forel. - Zr,
latéral. - IV, zone de Vernicke. Zi, zona in- certa de Forel. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Marl feld m. [Wernicke]
radiations cortico-genouillées externes à la suite de lésions de la zone visuelle corticale. Les autres, plus rares, se
tique. Tm, tubercule mamillaire. - '3, troisième ventricule. - 111, zone ou champ de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou g
- '3, troisième ventricule. - 111, zone ou champ de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optique.
et de la partie adjacente de l'opercule frontal, c'est-à-dire de la zone motrice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236).
écentral, dans la partie antérieure du lobe frontal, une importante zone motrice pour les mouvements des yeux (Fig. 240
es yeux (Fig. 240 et 241), et il n'y a rien d'étonnant à ce que cette zone excitable envoie, tout comme la zone motrice ro
rien d'étonnant à ce que cette zone excitable envoie, tout comme la zone motrice rolandique, des fibres dans le pied du pé
pied du pédoncule cérébral. Chez l'homme, l'existence même de cette zone motrice est encore à démontrer. Par exclusion,
d, dont le faisceau interne contenait quelques fibies saines, cette zone participât nettement à la lésion primitive. (Voy.
érieures et plus antérieures. Les fibres de la partie moyenne de la zone rolandique (zone corticale du membre supérieur)
antérieures. Les fibres de la partie moyenne de la zone rolandique ( zone corticale du membre supérieur) forment les deux
la capsule interne (Cip). Les libres de la partie supérieure de la zone rolandique et du lobule paracentral (zone cortica
a partie supérieure de la zone rolandique et du lobule paracentral ( zone corticale du membre inférieur) passent par la p
ateri (1898) en extirpant chez le chat la région temporale moyenne ( zone auditive de Munck) constata par la même méthode l
s la région sous-optique, ainsi que nous avons pu le constater, une zone de dégénérescence à la partie postérieure du se
postérieure du segment postérieur de la capsule interne, mais cette zone fait défaut dans la région thalamique de la capsu
nce du locus niger accompagne toujours les lésions corticales de la zone rolandique, et le secteur dégénéré correspond ass
rolandique, et le secteur dégénéré correspond assez exactement à la zone de dégénérescence pédonculaire. La dégénérescence
e nombreuses fibres cortico-protubérantielles qui proviennent de la zone rolandique et dont les terminaisons s'échelonnent
égories do fibres do la v oic pédonculaire Leur origine dans la zone rolandique. Leurs terminai- sons. Leur orig
tico-médullaires (faisceau pyramidal), tirent leur J' origine de la zone rolandique, en particulier de ses trois quarts su
gyrus sigmoïde (c'est-à-dire dans la région désignée sous le nom de zone motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette
sumer ainsi , qu'il suit : Il existerait dans chique hémisphère des zones distinctes les unes des autres au point de vue
des autres au point de vue anatomique et partant fonctionnel : les zones des centres de projection ou zones des sphères
que et partant fonctionnel : les zones des centres de projection ou zones des sphères sensorielles (Sinnesspharen ou Projec
des sphères sensorielles (Sinnesspharen ou Projectionscentren) et les zones de centres d'association (Associationseentren).
et les zones de centres d'association (Associationseentren). Les zones des centres de projection seraient reliées par de
pocampe et la substance perforée antérieure (sphère olfactive). Les zones des centres d'association seraient dépourvues de
ux sphères sensorielles par de nombreuses fibres d'association. Ces zones , au nombre de trois, seraient : l'une postérieure
fications ap- portées par Flechsig à ses opinions. tactile. Les zones des centres de projection existeraient, ^d'après
même avec un développement plus considérable que chez l'homme. Les zones des centres d'association représenteraient les ce
é à modifier son opinion (1898); il admet aujourd'hui au lieu des 7 zones corticales primitives (4 zones de projection et 3
; il admet aujourd'hui au lieu des 7 zones corticales primitives (4 zones de projection et 3 d'association) « pour le moi
ves (4 zones de projection et 3 d'association) « pour le moins » 40 zones corticales embryologiques; il admet en outre que
s corticales embryologiques; il admet en outre que ses «anciennes » zones d'association possèdent des fibres de projection
possèdent des fibres de projection mais en quantité moindre que les zones de projection. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
dans la région thalamique inférieure et moyenne il n'existe plus de zone dégénérée distincte, mais une diminution de volum
sa partie moyenne. Le pied du pédoncule gauche, présente une petite zone de dégénérescence (VP (d) consécutive à un foye
ce descendante du trijumeau. - ]'P, voie pédon- culaire ; VP(d), la zone dégénérée du pied du pédoncule gauche : Vu'(¡'),
; VP(d), la zone dégénérée du pied du pédoncule gauche : Vu'(¡'), la zone d'intensité maxima de la dégénérescence rétrogr
jet des fibres de pro- jection du manteau cérébral, l'étendue de la zone dégénérée est toujours plus grande que celle qu
Weigert montre dans le segment postérieur de la capsule interne une zone de dégénérescence qui, certaine- ment, n'est pa
corps genouillés externe et interne (Cge, Cgi) (Fig. 69-72), de la zone de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable
2), de la zone de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable de la zone réticulée (Zr) et des différents noyaux du thalam
o (Cirl) et sous-lenticu- laire (Cisl) de la capsule interne, de la zone de Wernicke (W), du pulvinar (l'ul), du corps g
du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), dans la zone de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la partie sup
ngual et fusiforme et du sillon collatéral ou occipito-temporal. La zone pointillée représente le siège d'un ramollissemen
entraîné la mort du malade. La coupe passe au-dessus du maximum de la zone de dégénérescence. - On constate néanmoins une
Cirl) et sous-lenticulaire (Cisl), de la capsule interne, de la zone de Wernicke (\V), du pulvinar (Pul) et de s
et sous-lenticulaires de la capsule intem- (Cirl) (Fig. 90), de la zone de Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cge)
blanche non différenciée de la face externe du lobe occipital. (Les zones dégénérées sont colo- rées en jaune, la lésion
, du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la zone de Wernicke (W), du pulvi- nar (Pul) (fibres ra
yenne de ce tubercule et du pilier antérieur du trigone (Tga). (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
uée par les fibres calleuses dégénérées de l'hémi- sphère droit; la zone de dégénérescence qui coiffe le faisceau compact
), du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la zone de Wernicke (W), du pulvinar (Pul), du corps geno
faisceau de Tiirck (FT) et de la commissure antérieure (coa). (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
de l'hémisphère droit. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Cas Bras. Cé
2) et du segment sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne. (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 121 genouillé externe (Cge), de la zone de Wernicke et une dégénérescence plus limitée en
scence du corps genouillé externe (Cge), du pulvinar (Pul) et de la zone de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule cér
la zone de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule cérébral. - Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Méthode de W
culaire de la capsule interne (Cirl), de la partie supérieure de la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Il existe
interne (Cirl), dans le pulvinar (Pul) et la paitie supérieure de la zone de Wernicke (W) (Fig. 97 et 98). Aucune fibre d
la partie adjacente du noyau ovtcrne du thalamus (Pul), do la zone de Wernicke (W), du corps ge- iiouillé evtern
la partie adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la zone de Wernicke (AV), du corps ge- nouillé extern
a capsule interne (Cip); de la lame médullaire externe (Lme), de la zone réticulée (Zn) du stratum zonale'(Strz), des fibr
e du thalamus. Dégénérescence (de la partie supéro-antérieure de la zone de Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cg
Intégrité du faisceau de Turck (FT); ce dernier refoule en avant la zone dégénérée du segment postérieur de la capsule i
la partio adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la zone de "Wernicke (\\-), <lu corps ge- nouillé
nc du corps calleux, soit dans le faisceau occipito-frontal (OF). Zone rolandique. (Lobe central : circonvolutions front
le rolandique, lobule paracentral.) -- Les lésions destructives de la zone rolan- dique, quel que soit leur siège, retenti
le pied du pédoncule cérébral (P) et la pyramide bulbaire (Py) et la zone dégénérée occupe toujours le segment moyen de l
les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule, le siège de la zone dégénérée dépend essentiellement du siège même
andique (OpR) et la partie adjacente de l'opercule frontal (Opl3), la zone dégénérée occupe le genou de la capsule [Ci(g)]
inférieure .antérieure et voisine de l'opercule rolandique, plus la zone dégénérée se rapprochera du genou de la capsule
ccompagne toujours d'une dégénérescence du thalamus, intéressant la zone réticulée (Zr) et les fibres radiées (fr), dont
en forment les quatre cinquièmes internes. Elles n'y occupent pas de zones distinctes, mais sont intimement mélangées les
age antérieur de la protubérance -et sur la pyramide bulbaire. La zone rolandique ne paraît pas posséder de fibres de pr
nfoncement du crâne. Lésion du deuxième quart supé- rieur de la zone ro- landique. Dégéné- rescence du segment p
les fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les lésions de la zone rolandique re- tentissent en outre sur les cour
-frontal est toujours partiellement dégénéré dans les lésions de la zone rolan- dique (cas Schweigoffer, Fig. 417 et 118
e du pariétal gauche. Com- pression de la partie supérieure de la zone rolandique par une esquille os- seuse, sur une
r de la capsule interne (Cip), de la lame médullaire externe, de la zone ré- ticulée (Zr), et des fibres radiées du no
bral et du locus niger. Méthode de Weigert, 3/2 grandeurnature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune. FIBRES DE
e qui semble indiquer que le faisceau occipito-frontal reçoit de la zone rolandique plus de fibres se dirigeant vers le
énéres- cences secondaires consécutives à chacun des secteurs de la zone rolandique : 1° Lésion du lobule paracentral et
eur de la capsule interne, abandonne chemin faisant des fibres à la zone réticulée (Zr) et à la partie adjacente du noyau
ement du crâne ayant contus et lésé le deuxième quart supérieur de la zone rolan- dique et déterminé une monoplégie brachi
niger (Ln). (Fig. 115.) 3° Lésion du deuxième quart inférieur de la zone rolandique. - Le cerveau du cas Heudebert (Fig.
a capsule interne (Cip) et le pied du pédoncule cérébral (P). Mais la zone de dégéné- rescence est reportée encore plus en
du thalamus et du locus niger (Ln) dans la région adja- cente à la zone capsulaire ou pédonculaire dégénérée. 4° Lésion
à l'emporte-pièce, ayant détruit l'écorce du quart inférieur de la zone rolandique et le pied de la troisième FiG. 116.
de la capsule interne. Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature. Les zones dégéné- rées sont colorées en jaune. FIBRES D
pos- térieur de la capsule interne (Cip),dégénéres- cence de la zone réticu- lée, et des fibres radiées del'extrém
ns la région sous- thalamique de la capsule interne (Fig. 120) la zone dégénérée est limitée en dedans et en avant
Double lésion corticale : 1° lésion du deuxième quart inférieur de la zone rolan- dique ayant entraîné une dégénérescence
sion cor- vcale : 1° lésion du deuxicme quart infé- rieur de la zone ro- landnluc.Dégénéros- cence du deuxième c
ésion cor- ticals : lésion du deuxième quart iiité- rieur de la zone ro- landiduc. Dégénéres- cence du deuxième
xterne du thalamus (Fig. 125) et du pulvinar (Pul, Fig. 126), de la zone de "Wernicke (W), du corps genouillé externe (C
de la commissure antérieure Méthode de Weigert. 2° La lésion de la zone rolandique a entraîné une dégénérescence du deuxi
ous a déjà servi pour les localisations du 2" quart inférieur de la zone rolandique est un exemple typique de lésion du
oyau interne du thalamus (Ni), le corps genouillé externe (Cge), la zone de Wernicke (W) sont très dégénérés et ne contien
du lobe frontal (Fig. 126 et 127). Il est probable que les petites zones de dégéné- rescences qui existent dans la subst
ont complètement disparu (Fig. 131) et l'extrémité supérieure de la zone de Wernicke (W). Dans la région sous-optique (F
nt un nombre considérable de fibres saines; il en est de même de la zone de Wernicke et du pulvinar qui présentent à peu p
artie supéro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence occupe le segment postérieur de
ment postérieur de la capsule interne (Cip); elle est séparée de la zone précédente par le faisceau de Tiirck (FT), qui ne
terne l",e, Il') au cuaiamus. Dégénérescence du pumnar ;W u) CL de la zone de w er- nicke (W.) Fig. 131). Cas Le Soguill
nte du segment pos- 1 érieur de la capsule in- terne (Cip), de la zone réticulée et des fibres radiées de la partie
rtie saines du faisceau de Turck (FT) qui refoulent en avant la zone dégéné- rée du segment posté- rieur de la cap
ntre que lorsque dans la région thalamique supérieure et moyenne la zone dégénérée occupe le segment rétrolenticulaire d
lamus (Th). Pas de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weig
cas, bien plus par la minceur de ses fascicules que par l'étendue des zones dégénérées. Fig. 111. - Cas Moriceau. Hémisphèr
spectent le faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral, et la zone dégénérée en occupe le deuxième cinquième inter
ues fascicules de fibres intactes, saines, et plongées au sein de zones complètement dégénérées. Ces fibres saines exis
oyau externe du thalamus (Ne). ' Dégénérescence ex- trême de la zone réticulée (Zr) et du segment postérieur de
isceau lenticulaire de Forel. Dégénérescence du pulvinar (Pul), de la zone de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau rouge
ntre-croisée de la pyramide droite agé- ncsiee forme une petite zone sclérosée qui borde le sillon médian anté- ri
masse des fibres du cordon latéral gauche et met à nu une petite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne posté
des noyaux externe et interne du thalamus, et limitent en dedans la zone dégénérée du segment postérieur de la capsule int
interne. Dégénérescence de la lame médullaire externe (Lme), de la zone réliculée (Zr) et des fibies radiées des deux lie
une dégé- nérescence de la lame médullaire externe (Lme), de la zone réticulée (Zr), aes fibres famées aes aeux tier
te néanmoins dans ces régions une dégénérescence très intense de la zone réticulée (Zr), de la lame médullaire externe (Lm
tra- verser, en fascicules denses et serrés (lsth, Fig. 9 6cl), la zone dégénérée du segment pos- térieur de la capsule
eur de la capsule interne (Cia), du faisceau géniculé (Ci(g), de la zone réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (L
le interne (Cip) consécutive à la lésion corticale fusionne avec la zone de dégénéres- cence consécutive à la lésion du
erne du pied du pédoncule et empiète sur le 3° cinquième. Une large zone de fibres saines la sépare du faisceau interne
adjacente du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et la zone dégénérée occupe, dans la région sous-oplique (
Dégéné- rescence partielle des fibres radiées du thalamus, de la zone de Wernicke, du segment rétrolenti- culaire et
capsule interne. Dans la région sous-thalamique (Fig. 187), cette zone dégénérée est refoulée en avant par le faisceau
des fibres radiées, de la lame mé- dullaire externe (Lme), et de la zone réti- culée (Zr) du noyau externe du thalamus (
ette lésion a entraîné une dégénérescence des fibres radiées, de la zone réticulée (Zr) et de la lame médullaire externe (
upe le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral, la zone dégénérée occupe une situa- tion encore plus ex
vinar (Pul) qui ne contient ni fibres radiées, ni stratum zonale, ni zone de Wernicke; une dégénérescence du corps genoui
mi. Les circonvolutions cérébrales ne sont développées que dans les zones blanches des schémas; au niveau des régions tei
développement. Dans la moelle cer- vicale (Fig. 212) il existe des zones presque complètement dépourvues de fibres à myé-
mi), un noyau externe (Ne) remarquable par son développement et une zone réticulée (Zr) anormalement large (Fig. 203); on
nnent le noyau externe du thalamus, traversent en s'enchevêtrant la zone réticulée, puis se portent en haut et en dehors
nt défaut dans la moitié postérieure de la région thalamique, où la zone réticulée (Zr) anormalement large, s'applique con
forment les libres ra- diées du thalamus, s'enchevêtrent dans la zone réticulée, montent dans le segment postérieur d
ts du noyau lenticulaire et paraissent refoulées en dehors par la zone iéticulée relativement large du thalamus, -le s
gment posté- rieur de la capsule interne et à sa place on trouve la zone reticulée (Zr, Fig. 228) et plus bas la zona in
émontrèrent, dans la corticalité cérébrale du chien, l'existence de zones dont l'excitation donnait lieu il des mouvements
me. '1. Localisations corticales. 1. Localisations motrices. - La zone excitable ou motrice du cerveau occupe la parti
u faisceau pyra- midal dans son trajet bulbaire et médullaire. La zone motrice comprend trois centres moteurs principaux
la troisième circonvolution frontale. L'excitation électrique de la zone motrice a été pratiquée il différentes reprises
, car ils ont permis de localiser : le centre du pouce sur les cir- Zone motrice cor- ticale. Ses trois enitros prin
ncipaux. Excitation électri- que do ces centres chez l'homme. Zone du membre supérieur. Centro du pouco. 220 A
ion des doigts (Keen, Mills et Ilearn), elc. Par l'excitation de la zone de la face, on obtient de môme des mouvements i
r). Le centre du facial supérieur occupe la partie supérieure de la zone de la face, immédiatement au- dessous du centre
itant le pied de la deuxième circonvolution frontale en avant de la zone des doigts et de la main. C'est enfin sur le pied
mé parle deuxième sillon frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La zone motrice de l'homme d'après les recherches des chi
ns améri- cains el anglais, Keen, Mills, Nancrède, Ilorsley, etc. Zone de la lace. Centre facial ni- férieur. Cent
NTRES NERVEUX. Mouvements con- jugués do la tête et des yeux. Zone du membre inférieur. Troubles paralyti- que
nsécutifs aux lésions destructives des différents centres de la zone motrice corticale. Monoplégies cru- rales.
rotation de la tête el de déviation conjuguée des yeux. Quant à la zone du membre inférieur dont les mouvements sont peu
et le plus souvent automatiques, on n'a pu encore la décomposer en zones secondaires pour les différentes articulations. S
ents de la cuisse et du genou occupent la partie anté- rieure de la zone , tandis que celle des petits orteils siège en arr
rpendiculaire externe. Chez l'homme, les lésions destructives de la zone motrice s'accom- pagnent toujours de troubles m
Lorsque la lésion destructive intéresse la moitié supérieure de la zone motrice et le lobule paracentral, comme dans le
bilatéraux. particulier sur le singe, qu'il existe en réalité deux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre postéri
des yeux avec rotation de la tête du côté opposé au point exité. La zone anté- rieure ou frontale serait seule motrice e
rtie antéro- externe du gyrus précrucial. Pour Masini (1888), cette zone s'étendait en arrière sur la région motrice pro
caque et l'orang que chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la zone motrice occupe la région rolandique, empiète zono
Schafer (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i Zone des membres. L
228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i Zone des membres. Leurs centres secon- daires. L
du sillon de Rolando, entre le centre de la face et celui du pouce. Zone des membres. - Chacun des centres moteurs compien
ouce, les grandes articulations occupant la partie supérieure de la zone , tandis que les centres des petites articulations
le, coude,poignet, main, lorsqu'on excite les régions élevées de la zone ; elle suit un ordre inverse, - pouce, doigts, p
ou à sa périphérie. L'excitation de la partie antéro-supérieure de la zone détermine une progression spéciale de mouvement
le en dehors. Le mouvement obtenu par l'excitation électrique de la zone du membre inférieur varie suivant le siège d'ap
sion des orteils. Lorsqu'on électrise les régions antérieures de la zone , à la flexion du pied et aux mouvements des ortei
lorsque les électrodes sont appliqués à la limite antérieure de la zone . La différenciation des mouvements du membre infé
dans chacun des centres secondaires (en particulier dans ceux de la zone du membre supé- rieur) les mouvements propres à
d'uno IDPIne articulation. 230 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone de la face. Sa division chez le macaque. Ré
nts secondaires, tertiaires, etc., si fréquents chez le macaque. La zone de la face est très étendue chez le macaque et su
e macaque et surtout chez l'orang. Elle est située au-dessous de la zone du membre supérieur, s'étend en avant jusqu'au si
digestif (lan- gue, pharynx) et du larynx. Ce qui caractérise cette zone , c'est qu'à l'encontre des zones des membres su
t du larynx. Ce qui caractérise cette zone, c'est qu'à l'encontre des zones des membres supérieur et inférieur, elle contie
dent à des mouvements bilatéraux. Horsley et Schafer divisent cette zone chez le macaque en deux régions : l'une supé- r
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 231 partie antérieure de cette zone détermine la protrusion, l'excitation de sa parti
ou du sillon de Rolando. L'excitation de la partie supérieure de la zone détermine la contraction de la partie supérieure
TRES NERVEUX. Centro cortical hi- latéral pour la langue. à Zone de la tête et des yeux. Son siège chez le m
ond de la bouche. Par l'excitation de la moitié inférieure de cette zone , la langue est tirée hors de la bouche, la poin
e lorsque l'électrode est appliqué aux limites supérieures de cette zone ; elle est épaissie, gonflée, lorsque les électrod
es sont placés plus bas. L'excitation de la moitié inférieure de la zone de la langue détermine de haut en bas : la rota
rement concave et la pointe rétractée derrière l'arcade dentaire. Zone de la tête et des yeux. - Les représentations cor
rtie postérieure du segment postérieur (III), de telle sorte que la zone excitable de la capsule interne se confine au gen
intéressent la région thalamique moyenne et le globus pallidus, la zone excitable empiète de nouveau sur le segment ant
. A la partie postérieure du segment postérieur, il existe donc une zone inexcitable qui apparaît à peu près à l'union d
ÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les lésions do la zone rolandique s'ac- compagnent do troubles de la
vateurs, en ce qui concerne la topographie exacte dans l'écorce des zones de la sensibilité générale. Pour la plupart des
partielles ou totales de la région rolandique, - c'est-à-dire de la zone dite motrice - déterminent chez le chien, le sing
énumérés plus haut, et les sens spéciaux sont toujours intacts. Les zones corticales des sens spéciaux -vision, ouïe, goût,
ux -vision, ouïe, goût, odorat - sont en effet trop éloignées de la zone rolandique pour participer à la lésion de cette d
TRES NERVEUX. Son interprétation. Localisation et étendue de la zone sensitive corticale. pourra produire une hémi
phénomène sera bien plus constant encore, si, outre la lésion de la zone rolandique, il en existe une seconde au niveau de
ératoires consécutives à la lésion volontaire ou accidentelle de la zone motrice au cours d'une trépanation, les hémiplégi
si prépondérant, qu'il désigne la région rolandique sous le nom de zone sensible (1 ! ihlsphare). La plupart des clinic
Lisso, Flechsig, IIenschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la zone motrice et la zone sensitive dans la région rolan
Ienschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la zone motrice et la zone sensitive dans la région rolandique; d'autres a
que Charcot, Ballet, Nothnagel, Ferrier, v. Monakow, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la zone mo
nakow, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la zone motrice. Ferrier place la zone sensitive dans l
sitive dans une région distincte de la zone motrice. Ferrier place la zone sensitive dans la circonvolution de l'hippocamp
nière qui doit juger en dernier ressort. Pour Charcot et Ballet, la zone sensitive comprend toute la partie postérieure
hémisphère (lobes occipital et pariétal) et empiète en avant sur la zone rolandique. Nothnagel localise la sensibilité g
. Nous avons vu plus haut que les lésions strictement limitées à la zone rolan- dique entraînent des troubles moteurs et
RÉBRALE. 239 Mais on peut se demander si, comme le veut Tripier, la zone sensitive est exactement superposée à la zone m
e le veut Tripier, la zone sensitive est exactement superposée à la zone motrice, ou si, plus étendue que cette dernière,
gue nettement ce cas, des lésions traumatiques ou opératoires de la zone rolandique, dans lesquelles les troubles du sen
st pas démontré que le lobule pariétal inférieur fasse partie de la zone sensitive corticale. En résumé, les troubles du
de lésions de ce lobe. En d'autres termes, rien ne démontre que la zone sensitive corticale s'étende plus en arrière qu
tre que la zone sensitive corticale s'étende plus en arrière que la zone motrice. C'est là un point qui nécessite encore
n, si on enlève dans le milieu de chaque sphère visuelle une petite zone circulaire et symétrique d'un centimètre et demi
tres sensitivo-moteurs de la face interne de l'hémisphère (111), la zone visuelle corticale (V) et la zone corticale de l'
interne de l'hémisphère (111), la zone visuelle corticale (V) et la zone corticale de l'olfaction (0). Il occupe la lace
e. - Ce der- nier appartient, comme nous le verrons plus loin, à la zone du langage. On a signalé, il est vrai, l'hémian
intra- cérébral, et appareil visuel périphérique. Connexions de la zone visuelle corticale avec la zone du langage. - L
suel périphérique. Connexions de la zone visuelle corticale avec la zone du langage. - La partie antérieure des hémisphère
erveux visuel : bandelettes optiques chiasma, et nerfs optiques. La zone X teintée en gris représente la localisation de
ur ou major du corps calleux. - Fil, faisceau uncinatus réunissant la zone de 'Wernicke (T,,) il la zone de Ilroca Fa. - I
Fil, faisceau uncinatus réunissant la zone de 'Wernicke (T,,) il la zone de Ilroca Fa. - Ici, Ip, circonvolutions antérieu
p, pilier postérieur du trigone. - VI, carrefour ventriculaire. - 1 ? zone de Wernicke. II, bandelette optique. .1'11, chi
incts pour l'espace, les couleurs et la lumière, superposés dans la zone visuelle. L'hémiachromatopsie résulterait de la
iani et Seppili, beaucoup plus étendue que ne le croit Munk. Chaque zone auditive serait en outre, d'après ces auteurs,
res circonvolutions temporales; il émet en outre l'hypothèse que la zone auditive droite est surtout préposée à la percept
droite est surtout préposée à la perception des sons, tandis que la zone auditive gauche est différenciée pour les sons ve
en se basant sur ses recherches expérimentales, que FiG. 247. - La zone corticale sensitivo-motrice et la zone corticale
mentales, que FiG. 247. - La zone corticale sensitivo-motrice et la zone corticale auditive de l'homme. Mai, région sens
a partie antérieure, celle des sons bas la partie postérieure de la zone auditive. Quoi qu'il en soit, d'après les quelq
ots (Pc) (Fig. 248). Par leur réunion, ces trois centres forment la zone du langage (Fig. 248) zone hautement différenci
leur réunion, ces trois centres forment la zone du langage (Fig. 248) zone hautement différenciée, appropriée à la fonctio
la fonction très spécialisée du langage, analogue el comparable aux zones sensilivo-motrices, auditives, visuelles, etc.,
les, etc., que nous venons de passer en revue. Mais, tandis que les zones sensilivo-mo- trices, auditives, visuelles, son
s et représentées dans deux régions symétriques des hémisphères, la zone du langage est unique : elle siège dans l'hémis
irconvolution temporale. Les centres secon- daires qui composent la zone du langage sont irrigués par un même vaisseau,
images motrices d'articulation, ou centre de Broca, Fic. 248. - La zone du langage et ses trois centres d'images : A, cen
mots. Kilo relève do lésions bilatérales du lobe temporal. La zone du lan- gage. Ses trois contre^ secondaires
aires. 248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Toute altération do la zone du langage retentit sur le lan- gage intérieu
euses fibres d'association, avec la face interne du lobe occipital, zone de la vision générale. Ces trois centres sont int
ment un tout complexe, indissolublement uni. Toute altération de la zone du langage en un point quelconque de son étendue
pli courbe. 11 ne faudrait pas croire toutefois qu'une lésion de la zone du langage entraî- nât des altérations égales p
s toutes les formes d'apliasie relevant de lésions siégeant dans la zone du langage. La conservation des trois images, a
e, le langage intérieur est atteint. Toute lésion destructive de la zone du langage détermine l'aphasie; celle-ci peut ê
langage détermine l'aphasie; celle-ci peut être totale si toute la zone du langage est détruite, ou partielle; elle FIB
a lésion occupe la partie antérieure ou la partie postérieure de la zone du langage, suivant qu'elle détruit le centre des
auditif et visuel des mots sera altéré. La lésion siégeant dans la zone du langage, le langage intérieur sera toujours al
tres du langage seront intacts et la lésion siégera en dehors de la zone du langage, sur les faisceaux d'association qui r
que - aphasie motrice sous-corticale - b) le pli courbe gauche à la zone visuelle générale - cécité verbale pure - conne
angage intérieur est intact, car la lésion siégeant en dehors de la zone du langage, aucun des centres de représen- tati
éral d'aphasies pures, par opposition aux aphasies par lésion de la zone du langage - aphasies motrice et sensorielle cort
Cette division des aphasies en deux grandes classes, suivant que la zone du langage est lésée ou non, introduite en path
t normal, tandis que l'aphasique moteur ou sensoriel par lésion de la zone du langage pense avec des idées et non avec des
250 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 249. - Les connexions de la zone du langage, en particulier du pli courbe, 1° avec
1° avec les centres de Wernicke (TI) et de Broca (Fj) ; 2° avec la zone corticale de la vision générale; 3° avec les zo
(Fj) ; 2° avec la zone corticale de la vision générale; 3° avec les zones motrices des deux côtés. La partie anlérieure (te
nsversale, les deux tiers posté- rieurs à une coupe horizontale. La zone du langage et ses fibres sont colorées en rouge.
et la première circonvolution temporale au centre de Broca et et la zone motrice corticale du membre supérieur Un certain
1 deux plis courbes. - paf, fibres rehaut le pli courbe gauche à la zone motrice du côté opposé. - pet" fibres reliant l
ion frontale droite. -pco, fibres reliant le pli courbe gauche à la zone corticale visuelle du môme côté. - pco', fibres
lle du môme côté. - pco', fibres reliant le pli courbe gauche il la zone corticale visuelle du côté opposé et passant pa
ntraires il une pareille hypothèse. Dans l'aphasie par lésion de la zone du langage - aphasie motrice ou senso- rielle l
le langage parlé. Dans l'aphasie par lésion située en dehors de la zone du langage - aphasie motrice sous-corti- cale,
ns mar- cher ensemble dans les aphasies relevant d'une lésion de la zone du langage. Comment pouvoir expliquer avec l'hy
epsie partielle peut faire défaut dans les lésions corticales de la zone motrice, et, en outre, - c'est là un fait aujou
classique, peut se rencontrer dans des lésions sous-corticales de la zone motrice. Etant donnée la disposition convergent
égénérescences secondaires à la suite de lésions corti- cales de la zone rolandique, que les zones dégénérées occupent dan
s à la suite de lésions corti- cales de la zone rolandique, que les zones dégénérées occupent dans le seg- ment postérieu
rière du genou qu'ils proviennent de régions plus supérieures de la zone rolandique. Lorsque le genou et la parlie adjac
t bulbaires, siégeant sur le trajet des fibres qui, provenant de la zone motrice, - neurones de premier ordre, - vont ac
on corticale et vont s'arbo- riser dans la corticalité rolandique - zones sensitives corticales. Or, il résulte des reche
es motrices pour aller s'arboriser dans les territories cor- ticaux zone sensitivo-motrice - d'où émanent ces dernières.
d'Azyr. VCsl, veine du corps strié. - n, ventricule latéral. - Zr, zone réticulée du thalamus. 11, bandelette optique.
- tsc, tænia semicircularis. - Sgc, substance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e limi- tante externe, séparée de la lame médullaire externe par la zone réticulée et sont croisées à angle droit par le
. 142 à 162). En dedans de la capsule interne, entre celle-ci et la zone réticulée de la couche optique, on trouve alors
pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelette optique.
contient les fibres commissurales, saines, du trigone cérébral. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weiger
de la circonvolution de 1 hippocampe Dégé- nérescence du tri- zone cérébral : al- \ eus, fimbria, piliers postér
psule interne avec le pied du pédon- cule cérébral ; l'aspect de la zone réticulée et de la lame médullaire externe du t
dullaire externe du thalamus, la continuation de cette lame avec la zone de Wernicke et la courbure que le pulvinar décr
icircularis. Vsph, corne sphénoïdale. - vt, voile terminale. - Il', zone de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette opt
h, corne sphénoïdale. - vt, voile terminale. - Il', zone de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS
nt à la suite de lésions de la corticalilé cérébrale [lobe frontal, zone rolandique (cas Schweigoffer, Fig. 116 à 121, p
parait subir aucune espèce de modification; on n'y rencontre pas de zones d'atrophie limitée avec disparition, soit des f
toenia semi-circularis. - VSl, ventricule du septum lucidum. - Zr, zone réticulée. Toutes les fibres caudées ne travers
lamus. - lsc, taenia semi-circularis. - llle, toenia thalami. - Zn, zone réticulée du thalamus. surtout constituée par d
de la région thalamique de la capsule interne en particulier de la zone de transition qui sépare la région thalamique d
lier postérieur du trigone cérébral. lsc, toenia semi-circularis. IV, zone de Wernicke. culo-caudées. Contrairement au fai
e, en particulier du faisceau géniculé (Ci(g). Dégénérescence de la zone réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (L
LIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 335 6) Une dégénérescence de la zone réticulée, de la lame médullaire externe (Lme) et
e, du segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), de la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Dégénéres
Marchi. 2/1 grandeur nature. Fic. 300. FiG. 300. - Cas Ronse. La zone de dégéné- rescence du système de fibres striée
au (NR), qu. lfait suite à la dégénérescence du champ de Forel. Ces zones dégénérées diminuent rapidement d'intensité de
corps de Glugge) for- tement colorés par l'osmium et entourés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la partie moyen
u niveau (Fig. 303 et or), soit en arrière (Fig. 304 et 305), de la zone capsulaire dégénérée (Cip (d)), puis s'irra- di
ne (Cip), soit en avant (Fig. 304), soit au niveau (Fig. 30a) de la zone capsulaire dégénérée (Cip (d)) puis s'irra- die
Ces coupes montrent la situation et l'étendue du foyer thalamique, la zone de dégé- nérescence qui l'entoure et les dégéné
t les conséquences. Dégénérescence des fibres radiées (fr) et de la zone réticulée (Zr), du thalamus, des radiations str
thalamus, des radiations strio-thalamiques (Rsth) en arrière de la zone capsulaire dégénérée (Cip, d), du faisceau lent
ièrement manifeste dans la région du globus pallidus adjacente à la zone capsulaire dégénérée. 2° La lésion thalamique a
yau interne, mais nous rattacherons au noyau externe du thalamus la zone grillagée ou réti- culée, le noyau semi-lunaire
et à la circonvolution limbique, et considère cette région comme la zone corticale du noyau antérieur. Nos recherches, bas
ularis. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule latéral. Zr, zone [réticulée du thalamus. - II, bandelette optiqu
ive de ces régions (Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, la zone corticale du noyau interne correspondrait aux d
e la lame médullaire interne et se rapproche par sa structure de la zone réticulée ou grillagée. - Au-dessus de ce noyau,
on étendue et dont le sépare la lame médullaire externe (Lmc) et la zone réticulée ou grillagée (Zr). Cette dernière ne co
de la calotte. Le secteur moyen de l'hémisphère représente donc la zone corlicale du noyau externe; les recherches expo
et deux noyaux accessoires : le noyau semi-lunaire de Flechsig et la zone réticulée ou grillagée. La Lame médullaire ex
ur même du noyau externe et du pulvinar, et sépare de ces noyaux la zone réticulée ou gril- lagée (Zr). Cette dernière,
n arrière, dans la région du pulvinar, où elle concourt à former la zone de Wernicke (W). Etudiée sur les coupes horizon
s accusée dans la région du pulvinar. Ici elle refoule en dehors la zone réticulée et le segment rétro-lenticulaire de l
ame médullaire externe s'épaissit considérablement et constitue une zone de fibres très compactes connue sous le nom de
t constitue une zone de fibres très compactes connue sous le nom de zone , de champ triangulaire de Wernicke (\V), (dreieck
naire de Flechsig, dépendance du noyau externe. Ses rapports Zone réticulce,de- pcuuance du noyau externe. Se
ous-optique et en particulier sur les radiations du noyau rouge. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29, 43). La zon
noyau rouge. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29, 43). La zone grillagée se rat facile au noyau externe (Ne) e
Les mailles de ce réseau sont remplies par la substance grise de la zone réticulée ou grillagée, laquelle communique ain
ance grise du noyau externe et du pulvinar. On peut considérer a la zone réticulée deux segments : l'un antérieur, compr
interne (Cip), l'autre postérieur, en rapport avec le pulvinar, la zone de Wernicke (W) et le segment rétro-lenticulair
oisinage du genou de la capsule interne, le segment antérieur de la zone grillagée ou réticulée augmente peu à peu d'épais
a incerta du même auteur (Zi) (Fig. 32. Le segment postérieur de la zone réticulée est beaucoup plus épais que son segme
eau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de 1\'erniclce. - Zi, zona incerla de Forel. -
. - Zi, zona incerla de Forel. - rieure du segment postérieur de la zone réticulée disparait bientôt (Fig. 47, p. 69), e
) et le faisceau de Turck (FT) (Fig. 312). Ces deux segments. de la zone réticulée constituent chez le chat, le chien, le
sentent, suivant les régions, un groupement un peu spécial. Dans la zone réticulée ou grillagée, les cellules nerveuses
ce fondamentale abondante qui rem- plit toutes les mailles de celte zone . Çà et là, on trouve quelques rares cellules mu
rieur du noyau externe se rapproche par sa structure de celle de la zone réticulée : les petites cellules sont réunies e
pulvinar est adhérente dans toute son étendue et recouverte par la zone réticulée ou grillagée (Zr) les segments rétro-
PTIQUE. 363 FIG. 313. - Le pulvinar, le corps genouillé externe, la zone de Wernicke, le segment rétrolenticulaire de la
pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - 1 ? zone de 1\'er- nicke. sagittale et proviennent en
ip) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne, traversent la zone réticulée (Zr) et la lame médullaire externe (L
tum zonale dégénère en effet, non seulement après destruction de la zone corticale visuelle, mais encore dans les cas d'ab
Voy. p. 65), proviennent du lobe occipital, et en particulier de la zone visuelle et s'irradient dans les régions inféri
andelette optique (Bu). Profondément enclavé dans le pulvinar et la zone de Wer- nicke (\V), le corps genouillé externe
vinar avec la corti- calité cérébrale, en particulier avec la zone visuelle. Corps genouillé externe. Son aspe
antérieur (Br Qa) (Fig. 47, p. 69) et par le segment postérieur de la zone réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'insinuant entr
ercule quadrijumeau antérieur (BrQa) ou des fibres verticales de la zone de Wernicke Ces dernières fibres présentent la mê
xterne. 368 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses connexion avec la zone visliell corticale. Corps genouillé interne
bres visuelles centrales se réunissent en fascicules, traversent la zone de Wernicke et la zone réticulée du pulvinar, p
s se réunissent en fascicules, traversent la zone de Wernicke et la zone réticulée du pulvinar, puis entrent dans le seg
ouche sagittale du lobe occipital. Elles se rendent ensuite dans la zone visuelle corticale, c'est-à-dire dans le cuneus
tico-genouillés externes) (voy. p. 67), qui nées des cellules de la zone visuelle corticale s'arborisent dans le corps g
rieure, les noyaux externe (Ne), interne (Ni), antérieur (Na) et la zone réticulée (Zr) ; dans les régions thalamiques m
s de nombreuses libres radiées qui s'en- chevêtrent au niveau de la zone ré)icuIée(Fig. 31 et 31G) puis remontent dans la
; d'après Bechterew, consécutivement à l'ablation du lobe temporal ( zone auditive, du chien, méthode de Marchi) avec lés
nes visuels corticaux, émellenl des fibres qui s'arborisent dans la zone visuelle corticale el reçoivent les arborisatio
ons d'argent, et cet auteur l'a comparée à l'aspect que présente la zone moléculaire de l'écorce cérébel- leuse vue sur
ui passe en avant du noyau rouge et dans le sens transversal, de la zone réliculée du thalamus à la sub- stance grise ce
strié. - VI, ventricule latéral. - T'3, troisième ventricule. - Zr, zone réticulée. - Il, bandelette optique. 396 ANAT
la zona incerla de Forel (Zi). Il s'agit ici d'une dépendance de la zone réticulée du thalamus qui longe entre les deux
es entre-croisées dans tous les sens, et se distingue surtout de la zone réticulée thalamique par l'absence de gros fasc
ième ventricule; l'autre, externe, plus mince, en connexion avec la zone réti- culée du thalamus, qui sépare le faisceau
capsule de fibres, et se continue en arrière avec le segment de la zone réticulée qui s'insinue entre le faisceau de Tiir
sphénoldale. - V3, troisième ventricule. - Zi, zona in- rerta. Zn, zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS 1N
ventricule. - U, circonvolution du crochet. - Zi, zona incerta. Zr, zone réticulée de la couche optique. - II, bandelette
tubercule olfactif, soit au- tour des cellules mitrales et dans la zone moléculaire du bulbe olfactif (v. Kolliker). Qu
mamil- laires directes et croisées, il établit les connexions de la zone corticale de l'olfaction avec le cerveau interm
ntra- cérébral, et appareil visuel périphérique. - Connexions de la zone visuelle corticale avec le pli courbe et la zon
- Connexions de la zone visuelle corticale avec le pli courbe et la zone du langage. La partie antérieure des hémisphères
eux visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et nerfs optiques. La zone teintée en gris représente la localisation de l
e et externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - F3, zone de Broca. F'3, troisième circonvolution frontale
eur ou major du corps calleux. - Fu, faisceau uncinatus réunissant la zone de Wernicke il la zone de Broca. - la, Ip, circ
leux. - Fu, faisceau uncinatus réunissant la zone de Wernicke il la zone de Broca. - la, Ip, circonvolutions antérieures e
p, pilie postérieur du trigone. - n. carrefour ventriculaire. - 1V, zone de Wernicke. A77, ner optique. - Il, bandelette
it' tales(CSgt) du lobe occipito-temporal, puis s'irradient dans la zone visuelle corlicale qui occupe plus particulière
polymorphes et les couches des cellules pyrami- dales géantes de la zone visuelle corticale. L'étude des dégénérescences
nérescences secondaires, on constale toujours que les limites d'une zone même complètement dégénérée ne sont jamais nette-
inea), nom généralement réservé depuis les frères Weber à la petite zone allongée située au-dessus de la fossette supérieu
e sur le plancher des diverticules laté- raux. Elle porte le nom de zone acoustique, d'area aCll5tica (Aa, Fig, 352 et 3
sous le nom de tubercule acoustique. Toute la partie moyenne de la zone acoustique est en général recouverte par les st
sont apparentes que dans la partie externe de leur trajet, dans la zone acoustique. Dans l'un et l'autre cas, la striat
striation longitudinale. Les stries recouvrent dans ce cas toute la zone auditive, interrompent les sillons latéraux, vo
losse). L'aile blanche exlerne n'est que la partie inférieure de la zone acous- tique ; elle forme un petit triangle, bl
piques sériées, on étudie les rapports qu'affectent les différentes zones de Retzius avec la structure du bulbe, on const
e pour se continuer avec le pédoncule cérébelleux inférieur, par la zone auditive, par les stries auditives qui recouvrent
par la zone auditive, par les stries auditives qui recouvrent cette zone et qui contiennent le tubercule acoustique, enf
aisse couche de substance blanche, dans laquelle on distingue trois zones nettement différenciées Bibliothèque des Intern
tricule. - ¡'l', voie pédoncu- laire. - VT, valvule de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf
doncu- laire. - VT, valvule de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf moteur oculaire commun.
ticulée. - U, circonvolution du crochet - Top, voie pédonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandelette optique. - ? nerf m
alotte, la formation réticulée n'apparaît que sous l'aspect de deux zones curvilignes situées l'une en avant, l'autre en
en avant, l'autre en arrière du pédoncule cérébelleux supérieur. La zone antérieure (coupe P 2, Fig. 393), mince et allo
fait défaut en tant que noyau plus ou moins nettement délimité. La zone postérieure est plus petite que l'antérieure, ell
chève et que la commissure de Wernekink diminue, puis disparaît, la zone postérieure s'accroit, atteint en dedans le raphé
ure s'accroit, atteint en dedans le raphé, puis se fusionne avec la zone anlérieure. Dans sa partie interne particu- Ses
i et mal délimité en dehors; il est adossé clans celle région à une zone parti- Fig. 395. - La formation réticulée de la
au (Vsd) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), il existe une zone irrégulière de substance grise, à laquelle abou
fsmi), qui traversent le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Cette zone constitue le corps ju,r;ta-l'esti(ol'/1lC (Cj),
peut de ce fait considérer à la formation réticulée deux régions ou zones : la région interne, longue et étroite, située le
fet ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 669 au-dessous de la zone des stries acoustiques (Coupe SI bis, Fig. 409, p
é sur cette coupe par un faisceau compact de fibres entourées d'une zone de substance grise. Les fascicules du corps jux
. La périphérie de la formation réticulée grise est occupée par une zone de fibres longitudinales fortement colorées par
ERVEUX. La couche externe couche intermédiaire, aux confins de la zone moléculaire où elles se dis- posent, en particu
longements protoplasmiques, au nombre de 3 à 6, se dirigent vers la zone moléculaire et s'y ramifient très irrégulièrement
gé de la jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) flk. zone granuleuse externe embryonnaire. - ms, zone moléc
après G. Retzius.) flk. zone granuleuse externe embryonnaire. - ms, zone moléculaire. - Iiiiiite interne de la zone molécu
xterne embryonnaire. - ms, zone moléculaire. - Iiiiiite interne de la zone moléculaire. ci/, ram if1cfltion du court cylin
v. 1\01- liker) siègent de préférence dans la partie profonde de la zone molécu- laire, mesurent 10 à 12 u. chez l'homme
empanachée. - n, fibres grimpantes. - ne, cellule névroglique de la zone des grains. ? grande cellule isolée du type Il de
llules de Purkinje, traversent radiairement toute l'épaisseur de la zone moléculaire et s'insèrent à la pie-mère par un
us jeunes, que chez les gens âgés. Elles traversent radiairement la zone moléculaire, éloignées les unes des autres d'une
de corbeilles terminales; 3° les cellules du type II de Golgi de la zone granuleuse. D'après Cajal, les cylindres- axes
ient à former les fibres radiées et les libres longitudinales de la zone moléculaire. Les fibres centripètes ou termina/
. Les fibres grimpantes sont des fibres épaisses, qui traversent la zone granuleuse et la zone intermédiaire en décrivan
s sont des fibres épaisses, qui traversent la zone granuleuse et la zone intermédiaire en décrivant un trajet plus ou moin
de 22 jours. Méthode rapide de Golgi (d'après t.. ILelziua). il k, zone granuleuse externe uIuJJ1'yunllail'u' - ils. xunc
IuJJ1'yunllail'u' - ils. xuncitiulecul.ire. igm, limite inlerne de la zone l1lulèlatlail'u, - i ? libres grimpantes de Caj
variable suivant les régions. Mince au niveau du verrais et dans la zone de transition entre le vermis et les hémisphère
dans celle région que Stilling, il tort à notre avis, a décrit deux zones d'entre-croisement, l'une interne, l'autre exte
'entre-croisement, l'une interne, l'autre externe, séparées par une zone intermédiaire (innerc et aussere Leur-» faiscea
èmes entourent le corps dentelé et ses noyaux acces- soires de deux zones concentriques, dont l'une, en contact immédiat
2 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
mots la synonymie des termes anatomiques qui seront employés. La zone des fibres qui borde immédiatement la substance g
tement la substance grise, cornes et commissure, a reçu les noms de zone marginale de Westphal, ou de zone cornu- commis
et commissure, a reçu les noms de zone marginale de Westphal, ou de zone cornu- commissurale ; elle répond à la zone radic
nale de Westphal, ou de zone cornu- commissurale ; elle répond à la zone radiculaire antérieure de Flechsig ; c'est, ain
suivant les niveaux, mais encore au même niveau suivant les cas. La zone qui est atteinte dans le tabes incipiens a été dé
r le nom de bande- lette externe ; ainsi que nous le verrons, celte zone varie beaucoup d'éten- due et de forme suivant
coup d'éten- due et de forme suivant les niveaux ; elle répond à la zone radiculaire moyenne de Flechsig. Il existe en
la zone radiculaire moyenne de Flechsig. Il existe en arrière une zone respectée au début du tabes, c'est le champ pos
but du tabes, c'est le champ postéro-externe, portion interne de la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La zon
tion interne de la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La zone marginale postérieure ou zone de Lissauer, n'a pa
laire postérieure de Flech- siy. La zone marginale postérieure ou zone de Lissauer, n'a pas besoin d'être définie ; c'
uer, n'a pas besoin d'être définie ; c'est la portion externe de la zone radiculaire postérieure de Flechsig. Dans la
continue avec un faisceau cunéiforme adossé à la périphérie dans la zone de transi- tion entre le renflement lombaire et
s faisceaux verticaux de la corne postérieure de Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des racines, qui coupe en deux la zone d
Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des racines, qui coupe en deux la zone de Lissauer, n'a pas besoin d'être définie; dan
t lombaire, où la tête de la corne est presque superficielle, cette zone est très courte ; mais elle for- me un long tra
hérie. En avant, ce trian- gle se relie par des fibres isolées à la zone cornu-commissurale. Dans cette zone il ne reste
lie par des fibres isolées à la zone cornu-commissurale. Dans cette zone il ne reste qu'un très petit nombre de fibres dis
es et les faisceaux radiculaires verticaux, sont détruits, mais les zones de Lissauer et le réseau des fibres fines de la
rés par un réticulum de substance grise. Ces fibres endogènes de la zone cornu-commis- surale s'étendent très peu en arr
verticale d'un champignon à pied bulbeux. Les fibres endogènes de la zone cornu-commissurale ne s'étendent pas le long de
spect est semblable, mais le triangle et le faisceau conservé de la zone cornu-commissurale ont encore augmenté de volume
a séparatiou entre le triangle médian et le faisceau conservé de la zone cornu-radiculaire tend à s'accentuer. Le triangle
ulaires. Le long du septum, dans son 1/3 antérieur, il se forme une zone plus pâle, plus riche par conséquent en fibres
cordons postérieurs, d'autant plus nombreuses qu'on s'approche de la zone cornu-commissurale; ces fibres sont également p
ince ligne de fibres accolées au septum.Les fibres conservées de la zone cornu-commissurale ont accentué leur tendance à
antérieure en formant une traînée à contours vagues qui part de la zone commissurale, oc- cupe la région moyenne de cha
ec les deux tiers antérieurs du septum. Les fibres conservées de la zone cornu-commissurale sont nettement rejetées de côt
urale sont nettement rejetées de côté et la partie médiane de cette zone est très pâle, presque complètement dégarnie de
lètement dégarnie de fibres. Les fibres grosses disséminées dans la zone scléreuse n'ont guère varié depuis la 5e lombai
dian ; le premier est nettement tranché, le second est plus flou.La zone dégénérée forme dans son ensemble une équerre, do
ne, et dont la branche transversale effilée touche par sa pointe la zone d'entrée de la racine postérieure.Les fibres endo
radiculaires ver- ticaux de la corne postérieure reparaissent. Les zones de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne p
e ne changent pas d'aspect à ce niveau. Les fibres conservées de la zone cornu-radiculaire ont diminué de nombre ; elles
le situé comme au niveau de la racine précédente. 2e Lombaire. - La zone remplie par les libres radiculaires a augmenté de
réticulum myélaniqrce de cette colonne parait absolument normal. La zone cornu-radiculaire dont la portion ÉTUDE ANATOMI
es. . 10e Dorsale. On assiste, à ce niveau, à l'envahissement de la zone com- missurale par de grosses fibres, qui sont
niveau de la moitié antérieure du bord externe de la sclérose, une zone mixte où les fibres se mélangent à parties égal
ette pâle s'avançant en dedans et en arrière dans l'épaisseur de la zone sclérosée et se terminant insensiblement vers le
confirmer les données précédentes, en particulier l'intégrité de la zone de Lissauer et du réticulum des colonnes de Cla
e postérieure. Sont conservés : 1° le triangle sacré médian; 2° une zone en bordure, épaisse le long de la commissure et m
postérieure qu'elle accompagne en arrière jusqu'à la pointe; 3° les zones de Lissauer et le réticulum fin de la corne pos
entrée des racines par un angle très effilé de sclérose légère. Les zones conservées sont les mêmes qu'à la 3e sacrée.
e dans le cas de dégénération de la queue de cheval, on voit ici la zone médiane conservée devenir de plus en plus volumin
qu'il existe dans la moelle foetale. Le prolongement antérieur de la zone sclérosée devient à ce niveau de plus en plus é
ans le faisceau cunéiforme. A ce niveau on voit très nettement que la zone cornu-commissurale est infiniment mieux conserv
s la dégénéres- cence secondaire, d'où l'on peut conclure que cette zone est formée, au moins en majeure partie, par des
ostéro-externes, sont conservées au début du tabes. 2e Lombaire. La zone scléreuse prend ici l'aspect d'un quadrilatère, s
u-dessous. Par son petit côté interne ce quadrilatère s'adosse à la zone scléreuse du côté opposé, dont le séparent deux
Le grand côté antérieur est maintenu à distance de la corne par une zone margi- 26 NAGEOTTE nale qui n'existe pas dans
dans l'épaisseur des faisceaux cunéiformes. 4r° Lombaire. Les deux zones scléreuses sont ici séparées sur la ligne mé- d
t de leur angle postéro-interne est bien plus nette; le corps de la zone sclérosée est plus mince à sa partie moyenne et i
s au- tres et porte à son extrémité un petit crochet dirigé vers la zone d'entrée des racines. A gauche la figure est sy
e très mince et du trajet d'entrée de la racine postérieure par une zone plus large, qui semble représenter ici en petit l
augmente de volume tout en gardant la même forme. 8e Cervicale. La zone scléreuse est devenue très large. En dedans elle
ises ; elle est sépa- rée de la corne sur toute son étendue par une zone marginale de fibres saines, mais elle va touche
ue par une zone marginale de fibres saines, mais elle va toucher la zone d'entrée par son angle externe ; en arrière son
postéro-externe du renflement lom- baire. 7n Cervicale. Les deux zones sclérosées se rapprochent l'une de l'autre par
e le noyau cunéiforme, séparé du noyau et de la périphérie par deux zones d'aspect normal. Insensiblement la sclérose s'a
rimitif d'une capsule surrénale, il existait une dégénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la corne pos
s de la corne postérieure ; dans mon observation, au contraire, les zones de Lissauer sont absolument intactes, de même.q
men ; en effet, si les fibres fines, et en particulier celles de la zone de Lissauer, provenaient des racines supérieure
: a) fibres horizon- z tales, b) fibres verticales disséminées, c) zone de Lissauer ou fibres verticales conglomérées.
ligeant les débris de myéline altérée). Zm, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ; 1'G, triangle de Gombault
ale de Westphal ; 1'G, triangle de Gombault et Philippe ; ZLe, ZLi, zone de Lissauer, portions externe et interne ; G.R.,
s externe et interne ; G.R., substance gélatineuse de Rolando ; SpR zone : spongieuse de la substance gélatineuse ; Spa, S
ndo ; SpR zone : spongieuse de la substance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et postérieure de la substance spongie
ieure. On remarquera les ponts formés entre les deux portions de la zone de Lissauer par des fascicules obliques de fibr
existe encore, mais fort peu, dans le cordon de Goll (fig. 3). c) Zones de Lissauer ou fibres endogènes fines verticales
nes, et c'est ci tort qu'elles sont comptées actuellement parmi les zones radiculaires postérieures. -Cette proposition d
n au niveau des racines malades qu'au niveau des racines saines, la zone de Lissauer ne diffère absolu- ment pas de ce q
l'observation I avec la réalité d'une continuité entre les fibres des zones de Lissauer les fibres fines des racines postér
nes des racines postérieures serait la suivante : les fibres de ces zones seraient non pas afférentes, mais constitueraient
médullaire, et c'est pourquoi il ad- mit que les fibres fines de sa zone marginale n'étaient autre chose que la prolonga
le de trouver le plus petit doute exprimé sur la constitution de la zone en question. Sa nature exogène est un fait tellem
a recevoir, si bien que, sur une coupe transversale de la moelle la zone de séparation entre la portion extra-médullaire
avance plus ou moins loin en dehors du plan de la pie- mère ; cette zone , répondant à l'espace démyélinisé de chacune des
effectivement la continuité d'une fibre d'un bord l'autre de cette zone de démarcation, et cela d'autant plus qu'à ce n
lleurs été fort bien décrite par Lissauer. Il existe entre les deux zones de Lissauer des sortes de ponts formés par des fa
prend pour des fibres radiculaires, pénétrer effectivement dans les zones de Lissauer. Si l'on ajoute à cela que souvent
opinion des plus contestables,actuellement classique, concerne les zones de Lissauer ; personne ne doute en effet que la d
de Lissauer ; personne ne doute en effet que la dégénération de ces zones ne soit, comme le dit Pierre Marie dans ses Leçon
, dans le mémoire où il dé- crit cette lésion fait remarquer que la zone qui porle aujourd'hui son nom est prise dans le
UDE ANATOMIQUE DES COUDONS POSTERIEURS 35 et en particulier que les zones radiculaires et le réseau des colonnes de Clark
es de cette catégorie parmi ses 13 observations, la lésion de cette zone était tellement peu évi- dente que Lissauer n'o
postérieurs et des racines était « aussi avancée que possible », la zone en question contenait encore de 1/10 à 1/8 de l
ées pour s'expliquer à lui-même la conserva- tion relative de cette zone marginale qu'il croit être de nature exogène. P
disproportion entre la lésion des cordons postérieurs et celle des zones de Lissauer dans le tabes. La photographie repr
e dans le tabes incipiens qui fait l'objet de l'observation II, les zones en question sont absolument in- tactes ; il en
x cas anciens que j'ai revus à cette intention, j'ai trouvé que les zones de Lissauer tranchaient par leur inté- grité re
n interne sont encore remarquable- ment nombreuses, si bien que ces zones qui à l'état normal tranchent sur le reste de l
le tabes avancé, j'ai constaté des lésions très peu avancées de ces zones . ' En voilà plus qu'il n'en faut pour montrer q
à plus qu'il n'en faut pour montrer que dans le tabes la lésion des zones de Lissauer est tardive et que, de plus, elle n'a
que, de plus, elle n'atteint jamais l'intensité de la sclérose des zones radiculaires. La lésion des zones de Lissauer c
is l'intensité de la sclérose des zones radiculaires. La lésion des zones de Lissauer constitue en réalité dans le labes
ivant certaines circonstances accessoires. Si la dégénérescence des zones de Lissauer n'est pas proportionnelle à l'inten
36 NAGEOTTE . corne postérieure. Les cas de tabes anciens où les zones de Lissauer sont le plus altérées, sont aussi c
érieure ; dans la moelle D, représentée pi. VII. fig. 4 et 7 où les zones de Lissauer sont relalivement peu altérées, le ré
tous les cas de tabes anciens. Enfin dans l'observation II, où les zones de Lissauer sont intactes, le réticulum de la c
it conservé. Pour résumer cette longue discussion, je dirai que les zones de Lissauer sont constituées par des fibres end
hilippe, et un faisceau situé dans la région cornu- commissurale ou zone marginale de Vestphal. Ces deux formations, qui
e sacré médian, est seule dégénérée à l'exclusion du faisceau de la zone cornu-commissurale. Je reproduis ici (fig. 4 à
en 0 un faisceau cunéiforme qui se continue de chaque côté avec les zones radiculaires postérieures et qui représente la pr
elle. Leur observation n'est donc pas propice à la délimitation des zones endogènes dans le cône ter- minal. b) Faiscea
on des zones endogènes dans le cône ter- minal. b) Faisceau de la zone cornu-commissurale ou zone marginale de West- p
le cône ter- minal. b) Faisceau de la zone cornu-commissurale ou zone marginale de West- plial. L'étudedece faisceau
out à fait indécises ; dans le grand nombre de fibres qui, de cette zone marginale, paraissent (1) P. FLECHsiG, Die Leit
l partir de la 1e sacrée. En tout cas les fibres conservées de la zone marginale dans l'observa- tion I ne dépassent j
s (pl. VI), ce qui prouve que dans cette affection il y a toute une zone conservée entre la bandelette externe et la cor
une zone conservée entre la bandelette externe et la corne ; cette zone , zone radicu- laire antérieure de Flechsig, ne
one conservée entre la bandelette externe et la corne ; cette zone, zone radicu- laire antérieure de Flechsig, ne contie
beaucoup la majorité. Dans les tabes aussi avancés que possible, la zone de Westphal semble encore plus dense que dans l
les unes des autres les fibres restées saines et qui transforme une zone large à fibres endogènes clairsemées en une zone
qui transforme une zone large à fibres endogènes clairsemées en une zone étroite, à fibres endogènes plus tassées. Tel
iculaires; elles se concentrent néanmoins plus spécialement dans la zone de Lissauer, dans la limite interne de la sub-
do,et dans la portion profonde du cordon postérieur (champ ventral, zone cornu-commissurale de Dejerine) ». B. FIBRES EN
rrière en avant, la région spongieuse postérieure, au contact de la zone de Lissauer, la substance gélatineuse de Roland
apports existent entre la disparition de ces fibres et celles de la zone de Lissauer. Un point à signaler tout particuli
; je n'insisterai pas sur la diminution progressive de volume de la zone sclérosée dans son passage à travers la région do
ieures épargnées ; mais je voudrais étudier, à l'intérieur de cette zone sclérosée, les subdivisions qui résultent de l'
le, à quatre points qui sont : la bandelette externe de Pierret, ou zone radicu- laire moyenne de Flechsig dans les cord
iculaires des cordons postérieurs autres que la bandelette externe ( zone radiculaire antérieure, champs postéro-externes,
bas de la moelle. Les fibres endogènes sont complètement intactes ( zones de Lissauer, triangle médian sacré, zone margin
nt complètement intactes (zones de Lissauer, triangle médian sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de la corne p
nt dans ce cas, il existe en outre des atteintes portées aux autres zones radicu- laires, qui rendent ce cas peu propice
rquer d'abord que cette disposition est exclusivement limitée ci la zone de transition située entre la région dorsale et
ne postérieure, elle envoie seulement un petit prolongement vers la zone d'entrée des racines posté- rieures. En un mot,
ion de la bandelette externe est complètement inexacte. En effet la zone scléreuse est bien ici la bandelette externe, l
tte externe, le fait n'est pas douteux ; or la situa- tion de cette zone scléreuse ne varie pas d'un bout l'autre de la mo
STÈMES DANS LES ZONES RADICULAIRES. Cette disposition montre que la zone de la bandelette externe est prin- cipalement o
s mêmes racines postérieures, lesquels se canton- nent soit dans la zone radiculaire antérieure, soit dans la zone radicul
canton- nent soit dans la zone radiculaire antérieure, soit dans la zone radiculaire postérieure de la moelle. En un mot
ituent les fibres, trop peu nombreuses, qui sont conservées dans la zone scléreuse. D'autre part, la zone radiculaire anté
euses, qui sont conservées dans la zone scléreuse. D'autre part, la zone radiculaire antérieure n'est pas réservée à ces
Il ne reste donc pour leur passage que le champ postéro-externe ou zone radiculaire postérieure. Pour vérifier cette hy
les cordons postérieurs les fibres longues des racines passent par la zone radiculaire postérieure ou champs postéro exter
par la zone radiculaire postérieure ou champs postéro externes, la zone radiculaire moyenne, ou bandelette de Pierret,
tte de Pierret, étant réservée au passage des fibres moyennes et la zone radiculaire antérieure, ou zone marginale de West
u passage des fibres moyennes et la zone radiculaire antérieure, ou zone marginale de West- phal, étant occupée exclusiv
yennes. Toutefois tous les systèmes de fibres qui passent par cette zone paraissent avoir pour propriété commune de résist
erai remarquer encore que, sui- vant Flechsig, le développement des zones radiculaires postérieures et des cordons de Gol
hypothèse au sujet du passage des fibres longues des raimes par les zones radiculaires postérieures ; mais il a depuis re
s transversales de tous ces Lemboités se trouvent comprises dans la zone radiculaire postérieure, tandis que les branche
ans la bandelette de Pierret et, pour une plus faible part, dans la zone marginale de Westphal. Dans chaque bande radicula
a représentant la superposition des territoires radiculaires et des zones systématiques au niveau de la 4° lombaire. Les zo
ulaires et des zones systématiques au niveau de la 4° lombaire. Les zones endogènes sont en noir ; Z m, faisceau endogène
re. Les zones endogènes sont en noir ; Z m, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ou zone radicu laire anté
n noir ; Z m, faisceau endogène de la zone marginale de Westphal ou zone radicu laire antérieure ; T s, fibres du triang
du faisceau 111édio-pé1'iphé/'igue ou faisceau de Ho- clze) ; Z L, zone de Lissauer, coupée en deux par l'entrée de la ra
sversales réunies constitent les champs postéro-externes (C p e) ou zone radiculaire postérieure; les branches antéro-po
contenues en partie dans la bandelette ex- terne de Pierret (P) ou zone radiculaire moyenne, en partie dans la zone radic
terne de Pierret (P) ou zone radiculaire moyenne, en partie dans la zone radiculaire antérieure ; C o F, centre ovale de
B. Les fibres endogènes grosses forment : 1° un faisceau dans la zone cornu-commissurale; 2° le triangle médian sacré,
uelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. E. Les zones de Lissauer sont constituées par des fibres endog
a bandelette externe, mais par les champs postéro-externes. K. La zone marginale de Westphal, ou zone radiculaire antéri
r les champs postéro-externes. K. La zone marginale de Westphal, ou zone radiculaire antérieure, ne contient, outre les
18 ans). Méthode de Weigert Pal modifiée. Corne postérieure droite. Zone de Lissauer. Grossissement de 20 diamètres. 2
le à la 2a soirée. Méthode de Weigert Pal modifiée. Intégrité de la zone de Lissauer et du réseau des fibres à myéline f
e de la moelle à la lie sacrée. Méthode de Weigert. Intégrité de la zone de Lissauer. 4. Moelle D. Tabes avancé. Coupe d
e à la 110 sacrée. Méthode de Weigert Pal. Intégrité relative de la zone de Lissauer et des fibres endogènes fines verti-
-contraire, occuper dans les cor- dons postérieurs et latéraux des zones répondant d'une façon seulement approximative à
occupe la région du faisceau cérébelleux direct et une partie de la zone pyra- midale. La colonne de Clarke est très att
es s'étendent au delà du faisceau cérébelleux direct et occupent la zone pyramidale. Elles n'occupent donc pas un territoi
midale. Elles n'occupent donc pas un territoire déterminé, mais une zone située en avant de l'apex, que l'on pourrait dé
. 1" cervicale. On constate au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose affectant la forme d'un triangle, à s
qne entière- ment respectés ; on constate cependant en dehors de la zone marginale de Lissauer, dans le territoire qui r
'.latéral est très minime et n'est qu'une légère bande partant de la zone radi- culaire postérieure et se poursuivant dan
ale, prédominant à la partie postérienre du cordon ; elle occupe la zone du faisceau cérébelleux direct et commence à en
upe la zone du faisceau cérébelleux direct et commence à envahir la zone pyramidale. La méningite y est moins nette que da
e tabétique. Coloration de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sillon postérieur et le cordon de G
. 3. La sclérose latérale occupe le faisceau cérébelleux direct et la zone pyramidale. Fig. 4. La sclérose des cordons pos
clérose dans le cordon postérieur est toujours plus marquée sur une zone médiane et triangulaire mais elle est plus diffus
rose est intense, dans la partie postérieure de ce cordon, entre la zone marginale de Lissauer et l'angle du cordou latéra
n latéral qu'elle contourne. La méninge est épaissie dans toute cette zone ; elle l'est, à un moindre degré, dans le cordo
accentuée eu niveau de l'angle du cordon postérieur en dedans de la zone marginale de Lissauer ; elle occupe la même éte
ses limites sont plus nettement tranchées sur la face interne de la zone atteinte. 9e dorsale. -Même aspect topographiqu
ées et marginales ; dans le cordon latéral la sclérose oc- cupe une zone peu étendue, d'aspect triangulaire, dont la base
à certaines hauteurs le faisceau pyramidal en partie, et occupe la zone prééapexienne Les colonnes de Clarke sont, il e
: dégénérations diffuses du cordon postérieur avec intégrité de la zone cornu commissurale. Dans les cordons latéraux,
u cordon postérieur respectant relativement le cordon de Goll et la zone cornue-commissurale. Le cordon latéral est dégéné
one cornue-commissurale. Le cordon latéral est dégénéré suivant une zone triangulaire. Au niveau de la région lombaire,
Au niveau de la région lombaire, le cordon de Goll est sclérosé ; la zone cor- nue-commissurale est respectée ; mêmes lés
de Goll. Au niveau du cordon latéral, même forme triangulaire de la zone sclérosée qui occupe la zone pyramidale croisée
latéral, même forme triangulaire de la zone sclérosée qui occupe la zone pyramidale croisée ; la colonne de Clarke est n
Weigert). Dans les cordons latéraux, la sclérose occupe surtout la zone pyramidale et occupe un territoire nettement tr
les cornes postérieures. Dans les cordons latéraux, elle occupe la zone des faisceaux pyramidaux et des faisceaux céréb
a sclérose dans le territoire du faisceau pyramidal direct dans une zone affectant la forme et le siège du faisceau en c
le siège du faisceau en croissant de P. Marie et Guillain. Dans cette zone , on constate par ci, par là éparses des gaines
- ramidal croisé et du faisceau' cérébelleux direct séparées par le zone de fibres normales ou moins atteintes. Le cor
s et antérieurs ; dans les cordons latéraux, la sclérose occupe une zone triangulaire englobant le faisceau pyramidal et
tendue, dans les cordons posté- rieurs : elle envahit davantage les zones voisines des cornes postérieures et se prolonge
ant jusqu'à a commissure postérieure. Dans les cordons latéraux, la zone de sclérose u'est pas triangulaire, elle forme
combinées tabétiques 65 Le cordon latéral est sclérosé suivant une zone triangulaire occupant la plus grande partie de
est complètement sclérosé, sauf dans les parties laté- rales de la zone ventrale dans la portion marginale du cordon de B
ans le cordon postérieur, quelques fibres sont conservées dans deux zones symétriques situées de chaque côté de la com- m
cordon. 9° et 40e Dorsales. Dans les cordons postérieurs, les deux zones moins atteintes sont plus étendues, elles se pr
en une partie de la périphérie où elles persistent sous forme d'une zone bordante : les gaines sont conservées et forment
état normal, pour provoquer l'apparition du réflexe plan- taire. La zone excitable peut s'étendre à tout le membre inférie
taires, dans ces affections, est constitué par leur exagération. La zone exci table peut souvent même dépasser la plante
ent, siégeaient à la région lombaire et avaient leur maximum en une zone de la largeur d'une pièce de cinq francs, situé
. Partout ailleurs, la sensibilité est intacte ; il n'existe pas de zone d'anesthésie. Actuellement, le malade n'accuse
ec la substance blanche. Pas d'hémorragie autour. Elle présente une zone centrale donnant la sensation d'une ostéome et un
résente une zone centrale donnant la sensation d'une ostéome et une zone périphérique lui faisant corps, de consistance
lesquelles se voient encore des cellules graisseuses. Il n'y a pas de zone inflam- matoire en dehors de la coque (Fig. 2).
rébrales ; et, tour à tour, le lobe frontal est considéré comme une zone particulièrement silencieuse, ou au contraire c
grand des voies d'association qui unissent entre elles les diverses zones du cerveau et peuvent à un' appel donné, réagir
des lésions in- flammatoires marquées dans la région de la tumeur ( zone temporale et face interne du lobe frontal) et a
oquevillées sur elles-mêmes, leur extrémité est boursouflée et, les zones de Lissauer sont complètement sclérosées. De mê
aux cérébelleux latéraux se poursuivent, de même que l'atrophie des zones postérieures. On voit égale- ment il ce niveau
re nettement l'atrophie de la corne posté- rieure et la sclérose de zones de Lissauer, de même que celle des racines pos-
dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des racines postérieure
droite et à gauche de ces lignes surélevées blanches, apparaît une zone de congestion rouge vif. Une demi- heure après
. Dans le 5e ganglion lombaire gauche, les cellules ont disparu par zones , alors que dans d'autres endroits toutes les ce
supé- rieurs et inférieurs. - Peu de troubles de la sensibilité : zone d'hyperesthésie au tact et à la douleur dans le
eut distinguer, comme nous l'avons fait au début de ce travail, une zone circonférentielle et une zone médiane, la zone
'avons fait au début de ce travail, une zone circonférentielle et une zone médiane, la zone du pôle central et la zone du
t de ce travail, une zone circonférentielle et une zone médiane, la zone du pôle central et la zone du pôle périphérique.
irconférentielle et une zone médiane, la zone du pôle central et la zone du pôle périphérique. Or, dans la plupart des c
il nous a semblé que les cellules étaient moins nombreuses dans la zone circonférentielle que dans la zone mé- diane,et
étaient moins nombreuses dans la zone circonférentielle que dans la zone mé- diane,et même pour certains ganglions dans
t ces placards contras- tent par leur pauvreté en cellules avec les zones adjacentes où les cellules sont relativement'bi
lérose rénale de la néphrite interstitielle, où ils disparaissent par zones , au milieu des placards fibreux, et la comparai
hagique légère qui parait avoir dissocié les fibres nerveuses de la zone antéro-interne de Westphall et de la partie ant
le bord supérieur du corps de la 36 vertèbre cervicale à travers la zone intermédiaire aux 1116 et IVe segments cervicaux
le bord supérieur du corps de la 4e vertèbre cervicale à travers la zone intermédiaire aux IVe et V8 segments cervicaux de
faisceau de Goll dans sa partie postérieure. Pas de lésions dans la zone de Lissauer. La subs- tance réticulaire de bulb
E FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons postérieurs. La zone de Lissauer présente dans la région lom- baire
u 8° et 7e segment dorsal, c'est seulement la partie centrale de la zone de Lissauer qui est raréfiée et au-dessus il n'y
ire infé- rieure on constate une raréfaction bien prononcée dans la zone radiculaire latérale et moyenne A mesure qu'on
tense dans le voisinage du sillon postérieur, peu prononcée dans la zone radiculaire moyenne, et faisant tout à fait défau
dans les segments Dz3 a pparaît de nouveau une raréfaction dans la zone radiculaire moyenne. Cette lésion devient de plus
plus en étendue, surtout dans le sens antéro-posté- rieur; dans les zones radiculaires moyennes et internes réapparaissent
fais- ceau, celle qui avoisine la corne postérieure, de même que la zone commissu- rale et la partie périphérique resten
de Luis Hand. 298 RYDEL tie moyenne de la corne antérieure ; une zone de fibres intactes sépare cette courbe d'un côt
e. - La raréfaction est devenue plus intense ; elle occupe toute la zone avoisinante des cornes antérieures et gagne par u
ts périphériques et panaches de la deuxième couche de neurones ; la zone d'articulation est la couche plexiforme externe,
rones ; la zone d'articulation est la couche plexiforme externe, la zone qui contient les corps des seconds neurones est d
(Krause). Les fibres optiques sont immédiatement sous-jacentes à la zone des cellules multipolaires et séparées seulemen
ité est normale, il, n'existe ni hémi-anesthésie ni anestliésie par zones . Le malade n'accuse pas de modifications dans la
d'anesthésie viscérale (testiculaire, gastrique). La recherche des zones hystérogènes reste sans résultat. . Pas de trou
econnaissables comme si elles en étaient le prolonge- ment. Dans la zone de transition entre les bandes fibreuses et la fi
au contraire, elles forment autour d'eux des dépôts considérables à zones séparées où les capillaires disparaissent plus
E DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 359 conclut à l'extrême variabilité des zones dégénérées et à l'impossibilité de donner une r
ptiques dans l'amaurose tabétique : d'une part l'épaississement des zones méningées, d'autre part la disproportion entre le
ptique gauche ne présentait dans sa portion vasculaire qu'une mince zone de sclérose périphérique et un étroit quadrant ;
resteraient périphériques dans la portion crânienne. Sou- vent une zone de sclérose rayonnante part d'un vaisseau pie-mér
bute au pourtour des vaisseaux, et surtout à la périphérie, dans la zone sous-méningée du nerf. Ces considérations et ce
onc, au membre supérieur; à droite on trouve nettement indiquée une zone d'anesthésie sur le bord externe de l'avant-bras
nvolutions cérébrales. Parfois elle peut se décomposer en plusieurs zones suivant son épaisseur et le picro-car- min y mo
n y montre alors une fine bandelette interne fortement teintée et une zone externe plus pâle et même d'aspect souvent hyal
telle tendance végétative qu'elle entoure souvent le vaisseau d'une zone conjonctive épaisse, envahissante, faite de feu
? La méthode de Pal montre qu'elle est généralement entourée d'une zone démyélinisée plus ou moins épaisse, qui étudiée
chon épais, riche en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette zone les fibres nerveuses ont perdu leur gaine myélini
est impossible de dire ce qu'ils sont devenus. L'épaisseur de cette zone réactionnelle est très variable ; elle semble exi
nt exister parmi les différents éléments de la moelle en dehors des zones que nous avons plus spécialement envisagées.
ude des coupes ne permet pas ici de répondre, car il n'y a guère de zones en voie de dégénères- A 13ESs.1)I z Fig. 7,-
rmation et d'agrandisse- ment des cavités. Il se peut encore que la zone qui entoure la lésion primitive et qui est le s
s. Par contre, autour de la fente du cordon postérieur, il existe une zone assez étendue de démyélinisation. B. - Fag...
lle ne représente, on s'en rend bien compte d'après le dessin, qu'une zone de tissu dégénéré d'aspect hyalin. Bien que nou
limitées au trajet d'un vaisseau, mais ne répondant nullement à une zone de distribution vasculaire. En d'autres termes, s
sseau ou la stase lymphatique, peut créer autour de ce vaisseau une zone circulaire vide qui l'entoure comme d'un mancho
pas rare de noter en effet autour de certains vaisseaux altérés une zone de tissus désor- ganisés et détruits (1). Enfin
ustement le voisinage immédiat de la cavité et du sillon antérieur, zones où le développement du tissu conjonctif est le pl
es amas nucléaires. Dans la substance blanche, dégénérescence de la zone radiculaire antérieure depuis la substance gris
nt de la partie antérieure de la moelle, dépression au niveau de la zone radiculaire antérieure. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
mbre de prolongements. Quelques vaisseaux sont entourés d'une large zone claire. L'état de la méninge et de ses vaisseau
aplatie ; le pourtour présente une dépression nette au niveau de la zone radi- culaire antérieure. On ne trouve plus d
est encore un peu aplatie et qu'il y a une dépression au niveau des zones ra- diculaires antérieures ; à ce niveau aussi
niveau des zones ra- diculaires antérieures ; à ce niveau aussi la zone périphérique est moins colorée. La substance gr
n très marquée et même sclérose annulaire légère prédomi- nante aux zones radiculaires .intérieures. 440 LÉRI ET IvILSOtY
jours plus petite qu'une moelle normale. Dépression au niveau de la zone radiculaire antérieure, plus de sclérose périph
e, surtout à gauche, sclérose périphéri- que légère au niveau de la zone radiculaire antérieure gauche. Cornes antérieur
d'avant en arrière et présente une dépression sur le pourtour de la zone radiculaire antérieure. Les cornes antérieures
e volume de la moelle des cornes antérieures, légère dépression de la zone d'entrée des POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L
sauf quelques-unes très petites, ratatinées, entourées d'une large zone claire Le groupe intermé- dio-latéral a de bell
tites, effilées, ratatinées dans la corne antérieure gauche. Larges zones claires au pourtour des vaisseaux. Ependyme obtur
nsversalement et une légère dépression reparaît au pour- tour de la zone radiculaire antérieure. A gauche, quelques très f
t transversal des cornes antérieures. Légère dégénéres- cence de la zone radiculaire antérieure. Larges espaces au pourtou
rophie partielle et à la dépression de son pourtour au niveau de la zone d'entrée des racines antérieures, dépression' si
ionnellement à la lésion des cornes antérieures au même niveau. Les zones radiculaires antérieures étaient amincies ainsi
t que les parties superficielles du derme. Elle est limitée par une zone rouge vif, formant un contour très irrégulier,
ne rouge vif, formant un contour très irrégulier, déchiqueté; cette zone est formée par des bourgeons char- nus que nous
nt au-dessus des vertèbres lombaires, on constate, reposant sur une zone rouge de 2 centimètres de diamètre, 3 bulles ar
cen- trale déprimée, à fond plat, suppurant et blanchâtre et d'une zone périphéri- que, large de 1 centimètre, congesti
es et dont les bords sont franchement taillés à pic, entourés d'une zone de congestion très large (pansements humides au s
3 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
avité glénoïde, la paroi supérieure du conduit auditif externe, et la zone antéro-supérieure de l'apophyse mastoïde. Le sq
démontrent, d'après Okada, que dans les interventions portant sur la zone postérieure de l'apophyse, particulièrement dan
ïdite postérieure. Cette phlébite est caractérisée par un œdème de la zone postérieure de l'apophyse, blanc, dur et douloure
stoïdien externe, la profondeur du sillon sigmoïde et l'étendue de la zone de l'antrotomie. DISTANCE CIIIPAULT-SILLON Si
et non au tympanal. Chipault décrit, derrière l'épine de Henle, une zone triangulaire, criblée de petits trous : c'est la
e de Henle, une zone triangulaire, criblée de petits trous : c'est la zone de Chipault. Chez les enfants elle est toujours t
Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de l'apophyse mastoïde, la zone de la corticale digastrique comprise entre la rai
osseuse du sillon transverse dans sa partie la plus mince et dans la zone de l'apophyse. Or, comme nous le verrons plus loi
mètres toujours plus marquée au niveau de l'épine de Henle et dans la zone postérieure de l'apophyse. La corticale digastriq
rieures du conduit ; elle est séparée de la corticale externe par une zone d'étendue variable, que le chirurgien traverse au
graphiques des cellules. Autour de l'antre, en effet, on remarque une zone de petites cellules dont les dimensions vont en a
iveau la corticale digastrique peut être extrêmement mince. Dans la zone postéro-supérieure de l'apophyse, il existe des c
du tissu éburné : c'est la cellule mastoïdienne aberrante. Dans la zone postéro-inférieure, entre la rainure digastrique
nne aiguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire était limité à la zone postérieure de l'apophyse. La trépanation classiq
s avons opéré une fillette de 1 2 ans qui présentait, au niveau de la zone postérieure de la région mastoïdienne, un gonflem
OUPES CELLULAIRES PAR RAPPORT A LA CORTICALE EXTERNE DE L'APOPHYSE. ZONE DE L'ANTROTOMIE On a indiqué différents procédé
e CD et du bord antéro-externe de l'apophyse). On obtient ainsi trois zones , deux pour le corps de l'apophyse et une pour la
es, deux pour le corps de l'apophyse et une pour la pointe : i° Une zone triangulaire, antéro-supérieurc, anlrale, limitée
physe, en arrière par l'oblique EF ; elle montre l'épine de Henle, la zone criblée de Chipault et répond à l'antre mastoïdie
la zone criblée de Chipault et répond à l'antre mastoïdien ; 2" Une zone quadrilatérale, postérieure, sinusale, que limite
ale externe en haut, et s'en écarte à mesure qu'on descend ; 3° Une zone triangulaire, inférieure, apicale ; elle comprend
et désinsérer en partie le ventre postérieur du muscle digastrique. Zone de l'antrotomie. — G'est'au niveau du triangle an
e franchie, le chirurgien, pour atteindre l'antre, doit traverser une zone pneumatique, spongieuse ou compacte, nommée zone
, doit traverser une zone pneumatique, spongieuse ou compacte, nommée zone de l'antrotomie. Elle est limitée en haut par la
la planche VIII, on peut voir que la forme et les dimensions de cette zone présentent de grandes variations. Tantôt, on el
disposées presque parallèlement (lig. i-5), laissant entre elles une zone étroite dont l'étendue peut être encore restreint
crânes d'adultes, dont la calotte avait été sciée, l'épaisseur de la zone de l'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre l
'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre le sillon siginoïde et la zone de Chipault : c'est la mesure sillon-Chipault. El
à un sillon sigmoïde superficiel ne correspond pas toujours une large zone d'antrotomie. Cela prouve que « sillon très profo
de Korner qui eut une vogue retentissante. Ce auteur affirmait que la zone de l'antrotomie était moins étendue chez les brac
ll, Garnault et Okada, qu'il est imposible de prévoir l'étendue de la zone de l'anlrotomie d'après l'indice céphalique. Et n
e minutieusement la paroi interne de l'antre, celle de l'aditus et la zone de la fenêtre ovale. ïrouve-t-on une fistule au-d
une brèche qui parle de la paroi interne de l'antre pour aboutir à la zone comprise entre la fente unguéale et le bord inter
parence, au niveau du quadrant postéro-inférieur du tympan droit, une zone bleuâtre, et, en avant, une ligne jaunâtre qui ma
érie. Au niveau du segment inférieur on aperçoit par transparence une zone bleuâtre. » Ces hémorragies veineuses se produi
tit repli, appelé par Schwalbe repli supérieur, qui la divise en deux zones d'inégale étendue, l'une postérieure, plus petite
re mousse. La face interne est divisée par un sillon vertical en deux zones dont l'une, l'antérieure, est plus grande que la
er parcours, dont la longueur atteint 12 millimètres, il traverse une zone de tissu osseux compact, interposée entre la cavi
e prémastoïdienne. Gellé, qui l'a étudiée spécialement, désigne cette zone sous le nom de massif osseux du facial. Ce dernie
toïdien, à travers lequel émerge le facial, se montre au milieu d'une zone limitée en avant par l'apophyse styloïde, en arri
Les centres corticaux du facial siègent sur le quart inférieur de la zone rolandique (aire faciale). « La rétraction horizo
ter.) Le centre du facial supérieur occupe la partie supérieure de la zone de la face, immédiatement au-dessous du centre du
rouve placé derrière l'olive supérieure ou protubérantielle ; dans la zone du corps trapézoïde, on l'aperçoit entre l'olive
ébrai, produit la chromalolyse des cellules nerveuses au niveau de la zone postérieure du noyau secondaire médian. Les fib
, des courants galvaniques au niveau de l'anastomose et dans toute la zone innervée par le facial. » Trois mois après l'inte
rt et ses deux côtés délimitent, sur la face externe du cervelet, une zone à travers laquelle on débride les abcès cérébelle
vons vu que le sinus sigmoïde répond, sur la corticale externe, à une zone quadrilatérale dont les limites sont indiquées su
cavités auriculaires. L'évidement terminé, le chirurgien attaquera la zone sinusale de l'apophyse, creusant d'abord en haut
ses au cours de l'intervention. A-t-on trouvé, en fouillant dans la zone sinusale, des cellules malades, atteintes manifes
u contraire, pour découvrir le sinus sigmoïde sain, on a traversé une zone d'aspect absolument normal, si d'autre part le ma
au niveau de la fosse cérébrale moyenne, la région mastoïdienne et la zone de la fosse sub-arcuata au niveau de la fosse cér
cellules, disposées dans l'ordre suivant : i° Le stratum zonale, ou zone moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2°
zonale, ou zone moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2° La zone des petites cellules pyramidales; 3° La zone des
ules polymorphes ; 2° La zone des petites cellules pyramidales; 3° La zone des grandes cellules pyramidales; 4° La zone des
lules pyramidales; 3° La zone des grandes cellules pyramidales; 4° La zone des corpuscules polymorphes. Chez l'homme, au n
z l'homme, au niveau du lobe temporal, on constate, dans la troisième zone de Cajal, une couche de très petites cellules pyr
bres, que Flechsig a pu relier exactement l^radiatio acustica à cette zone de l'écorce. De ces circonvolutions transverses,
ition verbale. — Le centre des images auditives des mots siège sur la zone postérieure de la première circonvolution tempora
'enceinte de la scissure de Sylvius, et forment dans leur ensemble la zone du langage de Freud. ((Chacun de ces centres, com
position dans la corticalité générale : centre de Broca, accolé à la zone motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec
accolé à la zone motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec la zone auditive ; pli courbe, contigu à la zone visuelle
nicke, en continuité avec la zone auditive ; pli courbe, contigu à la zone visuelle. Ces centres sont intimement unis entre
montre l'anatomie, formant un tout complexe indissolublement uni, une zone unique avec trois centres secondaires ». L'aphémi
des trois centres, toute lésion portant sur un point quelconque de la zone de Freud, retentit inévitablement sur les autres.
d'autres termes, jamais de forme pure d'aphasie avec une lésion de la zone du langage, toujours altération de tous les modes
o-sphénoïdal. On peut l'observer exceptionnellement au niveau de la zone rolandique. D'après une statistique de Grûnert, 9
ts, qui répondent à la caisse, au labyrinthe et à l'antre, existe une zone de substance blanche encéphalique, allongée dans
t deuxième temporal en dehors. Examinée sur une coupe frontale, cette zone apparaît sous la forme d'un sablier. Le segment i
ébut cette lésion reste absolutement latente, puisqu'elle atteint des zones corticales dépourvues de signification physiologi
e autres, ils seraient dus aune compression des centres moteurs de la zone rolandique. Pour d'autres, Bergmanii, Sahli, Kôrn
n ou à l'hypertension crânienne, indique une lésion de l'écorce de la zone rolandique. Un malade de Picqué en fournit un e
r le ganglion de Gasser et produire des douleurs névralgiques dans la zone de distribution du trijumeau. § 2. — CERVELET
qui est figurée sur la planche XVII, on remarque à la périphérie une zone de substance grise macroscopiquement plus importa
importante que celle du cerveau, et, au centres des hémisphères, une zone de substance blanche, de forme plus ou moins tria
côtés (Bechterew), et remonte jusqu'à la protubérance. Arrivé dans la zone du trijumeau, il s'incurve et pénètre dans le péd
vant, croisent le genou du facial, deviennent longitudinales dans une zone située en dehors et en avant du noyau de la VIe p
a fosse cérébelleuse. Si le foyer d'ostéite se montre au niveau de la zone sinusale, on pénétrera dans la loge cérébelleuse
en arrière du canal demi-circulaire horizontal et, en dehors, vers la zone sinusale de l'apophyse. A une profondeur qui vari
ostérieur, et on ouvrira aussitôt après la fosse cérébelleuse dans la zone du sac endolymphatique. On peut agrandir cette
ieure rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'évidement de la zone postérieure de l'apophyse, allant à la rencontre
inus latéral. On devra évider tout d'abord la partie supérieure de la zone sinusale, en se rapprochant de l'astérion, car c'
yer primaire d'ostéite mastoïdienne. Tout procédé qui s'éloigne de la zone mastoïdienne risquera donc de passer à côté, et d
upes cellulaires par rapport à la corticale externe de l'apophyse : zone de l'antrotomie............................ 29
stéatome. Au-dessus du canal demi-circulaire externe, se trouve une zone de tissu spongieux qui constitue une partie de la
st un agrandissement de la figure 1. Il est destiné à bien montrer la zone postéro-interne de la cavité tympanique où se tro
es à montrer combien sont variables l'étendue et la disposition de la zone de l'antrotomie. Figure i . — Le trait de scie
tympano-mastoïdienne, pour bien montrer le rapport du facial avec la zone opératoire. La portion tympano-mastoïdienne desce
ce postéro-interne de la cavité antro-mastoïdienne, on distingue deux zones : l'une postérieure ou sinusale, l'autre antérieu
Figure 5. — Le même temporal que sur la figure 3. On a effondré la zone sinusale de la cavité antro-mastoïdienne afin de
ité antro-mastoïdienne afin de pouvoir explorer le sinus sigmoïde. La zone présinusale a été conservée. Elle est limitée ext
a troisième circonvolution frontale. On a donc sous les yeux toute la zone du langage (Freud), avec ses trois centres : i" l
e des images auditives des mots, centre de Wernicke, qui siège sur la zone postérieure de la première circonvolution tempora
te, sur la face externe du lobe postérieur-supérieur du cervelet, une zone à travers laquelle on débride les abcès cérébelle
pito-temporale. La portion descendante du sinus latéral parcourt la zone postérieure de l'apophyse ; elle n'est pas procid
urt la zone postérieure de l'apophyse ; elle n'est pas procidente. La zone de l'antrotomie est large et peut être éviclée sa
irculaires. L'antre, assez vaste, est entouré de toutes parts par une zone de structure aréolaire qui constitue le groupe ma
canal demi-circulaire supérieur. En dedans de l'antre, on trouve une zone de tissu aréolaire, comprise entre les canaux dem
rque deux cellules mastoïdiennes postérieures, séparées par une large zone de tissu compact ; la première, postéro-supérieur
4 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
microtome, et de pou- voir ainsi étudier dans toute sa hauteur, la zone de transition située entre la partie thalami-
4" ventricule. AC, arrière-cerveau. AqS, aqueduc de Sylvius. .t7 ? zone trapézoïde. D, bulbe. lill, bande- " ...lette o
on humain d'environ sept semaines et demi. (D'après W. His.) Ach, zone choroïdienne. AFr. zone trapézoïde. Aqs, aqueduc
pt semaines et demi. (D'après W. His.) Ach, zone choroïdienne. AFr. zone trapézoïde. Aqs, aqueduc de Sylvius. CA, cerveau
mbryon humain d'environ deux mois et demi. (D'après W. His.) Aèh, zone choroïdienne. - AT1', zone trapézoïde. - Aqs, aqu
x mois et demi. (D'après W. His.) Aèh, zone choroïdienne. - AT1', zone trapézoïde. - Aqs, aqueduc de Sylvius. - B, bulbe
l'un supérieur, l'autre intérieur. Le segment supérieur répond à la zone choroïdienne de His (Area chorioidea) et se conti
ieur, situé au-dessous de la commissure antérieure, porte le nom de zone trapézoïde de His (Area tra- pezoïdes), et appa
ntermédiaire. Sa partie inférieure, impaire et médiane, répond à la zone trapézoïde de His et persiste pendant toute la
troisième ventricule en avant. Sa partie supérieure correspond à la zone choroïdienne de His; elle est plus étendue que la
ol- factif de Broca, que His propose de désigner sous le nom de zone de Broca. Les : racines olfactives interne et
main d'environ quatre semaines et demie. (D'après . W. His.) Ach, zone choroïdienne. - ATr, zone trapézoïde. - Cst, corp
ines et demie. (D'après . W. His.) Ach, zone choroïdienne. - ATr, zone trapézoïde. - Cst, corps strié. Fch, plexus cho
ntre elles, vers le troisième et le quatrième mois, au niveau de la zone choroïdienne de His, et au niveau du pli margin
emporal jusqu'au trou de Monro ; à ce niveau il se continue avec la zone choroïdienne de His (fig. 43, 45, 50), qui repr
dont le sommet correspond à la commissure blanche antérieure. Là zone choroïdienne de His (fig. 41 et 43) donne naissan
rigone. Septum lucidum et ventricule de la cloison. La suture des zones choroïdiennes, s'effectue vers le milieu du trois
épare les têtes des deux noyaux caudés (fig. 64). L'accollement des zones choroïdiennes ne se fait qu'au niveau de ses bord
que, et il ne peut être rapproché morphologiquement des autres ven- Zone choroïdionno o de Hi,. Pli marginal. Origin
nou font irruption au niveau des bords supérieur et antérieur de la zone choroïdienne, celles du tronc et du bourrelet, le
lial des cellules est manifeste, on peut distinguer avec His, trois zones sur une coupe transversale d'un canal neural em
versale d'un canal neural embryonnaire quelconque de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux, et deux zones laté
l neural embryonnaire quelconque de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux, et deux zones latérales, claires et d
lconque de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux, et deux zones latérales, claires et dépourvues de noyaux, don
s, claires et dépourvues de noyaux, dont l'interne porte, le nom de zone des colonnes (Sâulenschicht) et l'externe celui
icht) et l'externe celui de voile marginal (Randschleier). (His) La zone des noyaux constitue Multiplication des cellu
cellules épithéliales. Absence de stratifi- cation. Les trois zones du canal neural em- bryonnaire. Zone dos no
fi- cation. Les trois zones du canal neural em- bryonnaire. Zone dos noyaux. Zone des colonnes. Voile marginal
trois zones du canal neural em- bryonnaire. Zone dos noyaux. Zone des colonnes. Voile marginal. Fw. 1J. - Lame
cordons ganglionnaires. pendant longtemps la plus large des trois zones ; elle représente le tissu de soutènement primor
ésente le tissu de soutènement primordial de la substance grise. La zone des colonnes présente un développement ultérieu
t à mesure qu'elles se trans- forment et qu'elles émigrent dans les zones pro- fondes. Les cellules germinatives typiqu
les termina- tives. - re, octoplasma. - 1'11, endoplasma. - ZC, zone des colonnes. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 1
iale se transformant en spongioblastes. - Vm, voile marginal. - ZC, zone des colonnes.-ZCSp, zone des corps spongioLla
ngioblastes. - Vm, voile marginal. - ZC, zone des colonnes.-ZCSp, zone des corps spongioLlastiques. HISTOGENÈSE DU S
ents internes des spongioblastes, constituent par leur ensemble, la zone des colonnes de His. Dans leur trajet plus ou moi
de prolifération des auteurs (fig. 78). Entre les colonnes de la zone interne, on trouve les cellules germina- tives
blastes et en cellules névrogliques, et leur émigration dans la zone moyenne, c'est-à-dire dans la zone des corps sp
, et leur émigration dans la zone moyenne, c'est-à-dire dans la zone des corps spon- gioblastiques, on trouve, ent
gioblastiques, on trouve, entre les faisceaux de co- lonnes de la zone interne, des intervalles vides, cor- responda
g. 78). Lorsque toutes les cellules germinatives ont émigré dans la zone moyenne, la zone interne diminue de hauteur, les
outes les cellules germinatives ont émigré dans la zone moyenne, la zone interne diminue de hauteur, les corps spongio-
aine chez l'embryon humain Les prolongements nterncs forment la zone des colonnes. 1 ij Chaîne do f>rolif6-
es colonnes. 1 ij Chaîne do f>rolif6- ration. FIG. 16. - Zone des colonnes formées par les ]11'0- longements
imitante interne. - Nu, nids vides dos cellules germinatives. - ZC, zone des colonnes. - ZCSp, zone des corps spongiohia
vides dos cellules germinatives. - ZC, zone des colonnes. - ZCSp, zone des corps spongiohiastiqucs. l<'lG. 77. Cell
e repos. Dlli, membrane limitante interne. .Sp, spongioblastes. ZC, zone des colonnes. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
l'aspect contraste nettement avec le réseau a larges mailles des zones interne et moyenne, constitue le voile marginal
itante interne. - WCSp, noyau des corps spon- giolilastiques. - ZC, zone des colonnes. Fic. 79. - Section frontale d'une
limitante interne. - Nb, ncuroblastes. - Sp, spongioblastes. - ZC, zone des colonnes. - ZCsp, zono des corps spongiohla
ar l'extension du réseau et l'agrandissement des mailles soit de la zone des colonnes, soit du voile marginal. Il s'agit i
ngium. Comme il a été dit plus haut, c'est entre les colonnes de la zone interne de His, sous la membrane limitante intern
mité, abandonnent la membrane limitante interne et émigrent dans la zone des corps spongioblastiques (fig. 82). Elles re
s gcrmmativcs. Ci, cellules de transition. - Sp, spongioblastes. -ZC, zone des colonnes. Fig. 82. - Jeunes neuroblastes de
inguer dans cette colonne de noyaux une partie médio- ventrale, la. zone de la corne antérieure,, ,. et une partie lat
e de la corne antérieure,, ,. et une partie latéro- darsale, la zone de la corne latérale. Dans toute la hauteur d
e de la moelle cervicale, les racines motrices qui naissent des zones de la corne antérieure et de la corne lat £ ï
Ganglioblastes. ordres de racines sont distincts. Les racines de la zone de la corne latérale forment le nerf spinal ; l
par conséquent, en arrière de celle des racines qui naissent de la zone de la corne antérieure. Les racines antérieures
es, vers la pie-mère, à la superficie du cervelet. En traversant la zone moléculaire ils forment les fibres de Berg- Cel
llules géantes : telles sont les cellules pyramidales qéantes de la zone rolandique de l'écorce cérébrale, les cellules
miques, qui se terminent librement entre les fibres nerveuses de la zone corticale superficielle (fig. 110). Les dendrites
e très intensivement et on constate autour d'elle l'existence d'une zone claire, qui correspond à l'espace qu'elle a aband
lfactive de la souris, on trouve, en outre, surtout au niveau de la zone de transition de l'épithélium olfactif avec l'é
mie : Étage frontal supérieur ou troisième étage frontal et pli de la zone externe (Gratiolet). - Sapero-t'rolltal gyrus (
nvolution - . frontale interne (Charcot). - Second pli ou pli de la zone externe du lobe fronts-pariétal (Gratiolet). -
s les noms de carrefour olfactif de Broca (CB) (lig. 179 à 182), de zone de Broca (Broca'sches Feld) (His), de Gyrus ves
um lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - : ;7,, zone réticulée, ou grillagée. II, bandelette optique
n godronnée. Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. - Zr, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette optique. -
eptum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - zr, zone ' réticulée, ou grillagée. - II, bandelette opt
isième segment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zone de substance blanche comprenant la .couronne rayo
. i gone, et repose sur la substance innominée de Reichert (Sti), zone de sub- - stance grise, de constitution complex
s, limitent le pédoncule cérébral en avant (fig. 245 et 246). Cette zone a été comparée à une anse, à une écharpe posée
spect spécial, absolument caractéristique, qui lui a valu le nom de zone réticulée (st-alii22z l'eticulatwn d'Arnold) ou
u le nom de zone réticulée (st-alii22z l'eticulatwn d'Arnold) ou de zone grillagée (Gitterschicht) (Zr). . Après avoir f
) ou de zone grillagée (Gitterschicht) (Zr). . Après avoir formé la zone réticulée, les fibres pénètrent dans l'intérieur
qui Son pédoncule su- périeur. Son pédoncule pos- térieur. Zone réticulée ou grillagée d'Arnold. f Noyaux du
ar la lame médullaire externe du thalamus (Lme) qui le sépare de la zone réticulée et des segments postérieur et rétro-len
élimité sur ces coupes; il se présente en effet sous l'aspect d'une zone claire, beaucoup moins éclatante que celle du cin
te foncée. Enfin, bordant le fond des sillons, on trouve une petite zone claire qui correspond aux fibres en U de Meynert,
ormée, en dedans, par le stl'atll1u zonale (strz) et en dehors par la zone réticulée ou grillagée (Zr). En dehors des no
ule interne (Cipi, par une ligne de libres blanches, répondant à la zone réticulée ou grillagée (Zr). - Cing, cingulum.
mils. - Vcst, veine du corps strié. l'l, ventricule latéral. - ZI', zone réticulée ou grillagée. 390 ANATOMIE DES CENTRE
e. - VI, ventricule latéral. Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 398 ANATOMIE DES CENT
ventri- cule du septum lucidum. - Vcst, veine du corps strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 400 ANATOMIE DES CENTRE
éparée du segment postérieur de la cap- , sule interne (Cip) par la zone réticulée (Zr). ' La capsule interne (Cia, Cip,
. - La couche optique (Th) est nettement délimitée en dehors par la zone réticulée (Zr) et la lame médullaire externe (Lme
. - Voc, corne occipitale. - Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES CENTRE
é en dehors par la lame médullaire externe du thalamus (Line) et la zone réticulée (Zr), qui le séparent du segment postér
e du ventricule latéral. - Vsl, ventricule du septum lit 1 -S.\ Zr, zone réticulée ou grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CE
tiolet (RTh). En pénétrant dans le pulvinar, ces fibres forment une zone réticulée qui se confond avec la zone réticulée (
vinar, ces fibres forment une zone réticulée qui se confond avec la zone réticulée (Zr) du noyau externe du thalamus (Ne
ieur de la capsule interne ; elles s'entre-croisent au niveau de la zone réticulée (Zr) avec les fibres des régions voisin
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 414 IL. ANATOMIE DES CE
fibres du corps genouillé externe) et forment avec ces dernières la zone de WIJ/'IIÍi : ke(W). Le segment postérieur de la
On y voit apparaître un sillon, entouré d'une écorce grise et d'une zone claire de fibres courtes d'association. Ce sillon
Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e qui répond à sa face dorsale, on trouve une région triangulaire, la zone de 11%ernicl,w (W), dont la base coiffe le corp
répond il la queue du noyau caudé (NC'). La face antérieure de cette zone est séparée du pu/amen (NL.,) par les dernières
éno'idale du ventricule latéral. - Zi, zona incerta de Forel. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dont la sépare la zone réticulée (zr) (coupe n° 69, fig. 247). Sa paroi
a zona incerta du même auteur (Zi), qui se continue en haut avec la zone réticulée (Zr). Limitée en dedans par la substa
rne est limité en dehors par la lame médullaire externe (Lme) et la zone réticulée ou grillagée (Zr) qui le séparent du se
n du crochet. - V3. troisième ventricule. - Zi, zona incerta. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
ge, substance grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de fibres nerveuses bien décrite par Forel et que
h, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zi, zona incerta. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optiqu
, circonvolution temporale profonde. - V" troisième ventricule. - IV, zone de Wernicke. ? filets radiculaires de la troisi
ro- fonde. - VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc. Z1', zone réticulée. - 11 T, fibre
cule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc. Z1', zone réticulée. - 11 T, fibres radiculait : es de sa t
cule latéral.- Vsph, corne sphé- noïdale du ventricule latéral. IV, zone dé \\'crnicl : e. - 1.1', zone réticulée ou grill
- noïdale du ventricule latéral. IV, zone dé \\'crnicl : e. - 1.1', zone réticulée ou grillagée. 468 ANATOMIE DES CENTRE
lièrement triangulaire, bien décrit par Wel'l11cke,. le champ ou la zone de l1'cl'lliclw (W) pré- sente un sommet supéri
nt en arrière de ce dernier (fig. 254 et 255); il s'applique sur la zone réticulée (Zr) du pulvinar (Pul) et se confond
igone. - 1'l, ventricule latéral. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV, zone de Weruicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. -
latéral. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV, zone de Weruicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Ill, noyau de la troi
tricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette oplique. - V
che optique (Th) est en outre par une couche de fibres blanches, la zone réticulée ou grillagée (zr). En arrière, au niv
sur le pied du pédoncule cérébral (P), dont elle est séparée par la zone réticulée (zr). Les parties antérieures du pied
des faisceaux de fibres il direction verticale, qui passent entre la zone réticulée (zr) elle globus lJallidlls (NL2, 1)'
vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de Wernickc. ;1', zone réticulée ou grillagée.
corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de Wernickc. ;1', zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
e des libres blanches il direction verticale, qui appartiennent il la zone de Wernicke (W). C'est dans cette région que no
uronne r·ayozznautr. (C ? ovale, et de là dans l'écorce grise de la zone rolandique. (Voy., t. II, Coupes sagit- tales m
. - Vsph, corne sphén6t,\<'t¡,\Q.lrv : c\U¡li ? u latéral. - zr, zone réticulée ou grillagée. Il, nerf optique. j ! i ?
terne du piulvinar (Pul); il est entouré en haut et en avant par la zone réticulée (zr) et séparé du deuxième segment du n
ontinue au niveau du pied de la couronne rayonnante (pCR), avec une zone de fibres claires, qui appartiennent à la couronn
roisement des fibres calleuses et des fibres de projet- tion. Cette zone claire est limitée en dehors par une seconde couc
cule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 2 ? ', zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique.
la capsule interne, on trouve une mince lame de substance grise, la zone réticulée de la couche optique ou zone grillagé
lame de substance grise, la zone réticulée de la couche optique ou zone grillagée d'Arnold ('l,r), riche en gros fascicul
stérieur de la capsule interne et s'entre- croisent au niveau de la zone réticulée. (Zr), avec des faisceaux semblables ve
n du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. ZI', zone réticulée ou grillagée. - II, bandelette optique.
. - II, bandelette optique. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES NERVEUX. zone irrégulière, riche en fibres, le champ de Forel (
PES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5t3 entre-croisement au niveau de la zone réticulée (Zr), soit le stratum zonale (strz),
[¡uuin thalami (tth) est très accusé. Le stratum zonale (strzl, la zone réticulée (Zr) et la lame médullaire externe du
{J sième ventricule par l'épendyme. Zi, zona incerta de F.orel. Zr, zone retj ? ( ? )9\H1 gril- lagée. 77°, bandelette o
yel' (Ln) qui se confond en haut avec la zona incata de Foret et la zone réticulée du thalamus (Zr). - Le segment postér
crochet. - Il troisième ventricule. - VI, ventricule latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
ibres se joignent un certain nombre d'autres, qui proviennent de la zone claire de fibres situées en dedans du faisceau
es qui traversent les îlots supérieurs du pu- tamell, il existe une zone verticale, riche en fibres sectionnées transversa
le, riche en fibres sectionnées transversalement, comprise entre la zone réticulée du thalamus (Zr), et les îlots morcelés
tricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone réticulée ou grillagée. -I/I, fibres radiculair
ne, et d'autre part à la lame cornée qui sur le dessin répond il la zone claire, située entre le corps genouillé externe
e de volume, est surtout représentée par son noyau externe (Ne). La zone réticulée (Zr) et la lame médul- laire externe
ment des fonctions très importantes : il relie en effet à gauche la zone visuelle au centre auditif des mots. En dehors
q d'A/.yr. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATOMIE DES CENT
de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du ventricule latéral. - W, zone de Wernicke. ;, couche superficielle du tubercu
eur du trigone. tth, toenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. COUPES MICROSCOPIQUES
en dehors par des îlots de substance grise, qui appartiennent à la zone réticulée ou grillagée d'¡11'11f11cl (Zr); ils
re-croiser en abordant COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 587 la zone réticulée (Zr), sous forme de gros fascicules qui
re- couvert par le stratum zonale. - T'l, ventricule latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 588 ANATOMIE DES CENTRE
dal. Dès la première apparition de la capsule interne au niveau des zones de tran- sition (fig. 303 et 304), on voit donc
(thalamus).W, ventricule latéral. - ventricule du septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 590 ANATOMIE DES CENT
pointillé tout particulier. Le noyau externe (Ne) est séparé de la zone réticulée (Zr) qui constitue la limite externe de
ver régulièrement la capule interne, qui appartient encore ici à la zone de transition. Elle est en effet très large sur c
g, trigone. - Th, couche optique. VC) ? veine du corps strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES CENTRE
a couche optique (Th). Cette dernière est limitée en dehors par une zone grise, la zone réticulée (Zr), morcelée par un
que (Th). Cette dernière est limitée en dehors par une zone grise, la zone réticulée (Zr), morcelée par un grand nombre de
es extrémités antérieure et postérieure. Dans ces mêmes régions, la zone réticulée est beaucoup plus large; on y distingue
tie adjacente au segment postérieur de la capsule interne (Cip), la zone réticulée (Zr) se réduit à une très mince lame
se dirigent toutes vers la couche optique (Th), elles traversent la zone réticulée (Zr) et la lame médullaire externe du
lami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée.
cq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. 1V, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 598 ANATOMIE DES CENTRE
e la queue du noyau caudé (NC'), deviennent onduleuses, traversent la zone réticulée (Zr) sous forme de gros fascicules, e
t elles constituent les fibres radiaires. Après avoir tra- versé la zone réticulée (Zr), elles s'entre-croisent avec une c
de libres il direction verticale, et forment avec ces dernières une zone de fibres très com- pacte décrite par Wernicke,
la glande pinéale). En dehors, la couche optique est limitée par la zone réticulée (Zr) qui a aug- menté d'épaisseur, su
ité postérieure de la couche optique, c'est-il-dire au niveau de la zone de Wernicke, ainsi qu'au niveau de son extrémité
orps strié. VI, ventricule latéral. Vsph, ventricule sphénoïdal. W, zone de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée.
ricule latéral. Vsph, ventricule sphénoïdal. W, zone de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 602 ANATOMIE DES CENT
(NL3) et la queue du noyau caudé (NC), s'incurvent au niveau de la zone réticulée (Zr) et traversent horizontalement le
ns de décrire, par la lame médullaire externe du thalamus (Lme) et la zone réticulée (Zr). La lame médullaire interne du t
ricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. Il ? zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forci. Zt', zo
ule latéral. Il ? zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forci. Zt', zone réticulée ou grillagée. tricule (V3), lequel s'
faisceau de Vicq d'Azyr (VA), dont le bord externe recouvert par la zone réticulée (Zr) entre dans la constitution de la
ce du lobe occipital et dégé- 2èi,eiii a la suite des lésions de la zone visuelle corticale qu'elles relient au corps ge
ouillé externe (Cge) dont il est séparé par le prolon- gement de la zone réticulée (Zr), présente par contre, sur cette co
ui dégénèrent à la suite des lésions de la corticalité rolandique. La zone de dégénérescence se rapproche d'autant plus du
(Pul). Le corps genouillé externe (Cge) est augmenté de volume; la zone de Wernicke (W) se réduit, au sur et à mesure q
erta occupe la place où, sur les coupes précédentes, se trouvait la zone réticulée ou grillagée (Zr), elle se continue d
ns sa partie centrale, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois zones de fibres : la zone externe, superficielle, entre
, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois zones de fibres : la zone externe, superficielle, entre dans la constitut
constitution du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), la zone moyenne se rend vers la région du ruban de lfei
la zone moyenne se rend vers la région du ruban de lfeil (rgRm), la zone profonde, encore très réduite, est située en ar
u de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta de Fore). 614
ntricule latéral. Vsph, cornc sphénoïdale du ventricule latéral. 1\', zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forel. Il, ban
e (le). Les radiations optiques forment ici, comme précédemment, la zone de Wernicke (W), en s'entre-croisant avec les fib
capsule, dégénèrent dans une étendue proportionnelle il celle de la zone motrice corticale détruite, par contre, les fib
teignent le corps de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la zone de substance grise qui fait suite à la zona in-
entricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule latéral. z ? zone réticulée ou grillagée. 634 ANATOMIE DES CENTRE
lame médullaire externe du thalamus (Lme), bordée en dehors par la zone réticulée ou grillagée (Zr), s'étend du t<t'ni
me cornée (le), jusqu'au faisceau de Vicq d'Azyr (VA). En avant, la zone grillagée tend il disparaître; elle est remplacée
nt, la zone grillagée tend il disparaître; elle est remplacée par une zone riche en fibres, sectionnées transversalement,
ricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zi, zona incerta de Forel. Zn, zone réticulée ou grillagée. 636 ANATOMIE DES CENTRE
isceau thalamique, de Forel (Fth). En avant et séparé de lui par la zone incerta (Zi) du même auteur, on voit apparaître l
l), et cet épaississenient correspond il la partie supérieure de la zone ou du champ de Wernicke, que nous allons rencontr
d'Azyr. - i'3, troisième ventricule. Zi, zona incerta de Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. 038 ANATOMIE DES CENTRE
amus. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Fiv, zone de Wernicke. Zi, zona inc'erta de Forel. Zr, zone
Vicq d'Azyr. Fiv, zone de Wernicke. Zi, zona inc'erta de Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE
t elle concourt il former une partie du stratum zonale (strz). La zone de Wernicke (W) s'est un peu élargie. Les fibres
i que les fibres du stratum zonale. A la partie posté- rieure de la zone de Wernicke (W) et de la zone réticulée ou grilla
nale. A la partie posté- rieure de la zone de Wernicke (W) et de la zone réticulée ou grillagée (Zr), on trouve la secti
latéral. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11', zone de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 4
de Vicq d'Azyr. V" troisième ventricule. 11', zone de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 41 G43 ANATOMIE DES C
Au sur et à mesure que l'on descend, le pulvinar (Pul) diminue et la zone de Wernicke (W) augmente. On reconnaît encore t
Va, troisième ventricule. ]A, faisceau de Vicq d'Azyr. 1V, champ ou zone de Wernicke. xCM' , entre-croisement de la commis
de Wernicke. xCM' , entre-croisement de la commissure de Meynert. Zr, zone réticulée ou grillagée. II, bandelette optique.
hors, entre la partie postérieure de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Veii ? icke(W). Le noyau rouge (NR) s'est
nar (Pul). Au niveau du pulvinar, ces fibres s'entre-croisent avec la zone de Wernicke (W), et se perdent dans le segment
rijumeau antérieur (BrQa), et en dehors par la partie élargie de la zone de Wernicke (W). Le pulvinar (Pul) reçoit encor
étro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Il est séparé de la zone réticulée (Zr) par le champ ou la zone de Werni
ne (Cirl). Il est séparé de la zone réticulée (Zr) par le champ ou la zone de Wernicke (W), considérablement accru de volu
u antérieur (BrQa) et par quelques fibres du ruban de Reil (Rm). La zone réticulée ou grillagée (Zr) sépare la zone de W
u ruban de Reil (Rm). La zone réticulée ou grillagée (Zr) sépare la zone de Wernicke (W) du segment rétro-lenticulaire de
halamus). Tm, tubercule mamillaire. 1'3, troisième ventricule. 117, zone ou champ de Wernicke. Zr, zone réticulée ou gri
ire. 1'3, troisième ventricule. 117, zone ou champ de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. x
factif. U, circonvolution du crochet. 1*3, troisième ventricule. 117, zone de Wernicke. xll, chiasma des nerfs optiques. x
nerfs optiques. xM, entre-croisement de la calotte de Meynert. Gn, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette optique. 6
ncore du bras du tubercule quadrijumeau a»tr·nir.ac>·(f3rQa). La zone de Wernicke (W) s'est accrue. Dans sa partie anté
es du corps genouillé externe (Cgc). Les fascicules de fibres de la zone de Wernicke sont lins, serrés, et extrêmement n
crochet. IV, champ de Wernicke. xi, chiasma des nerfs optiques. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique.
est séparé du noyau rouge et de la capsule, de ce dernier, par une zone de libres entre-croisées dans tous les sens dont
dont l'origine est encore inconnue. Il existe toutefois dans cette zone un groupe de fibres plus colorées qui s'en déta
cus niger, traverse le ruban de Reil médian (Rm) et se perd dans la zone mal délimitée, située entre le tubercule quadri
cule cérébral (P), en arrière du locus niger, au niveau de la large zone d'émergence de la troisième paire. Le pied du p
amp de Wernicke. xM, entre-croisement de là calotte de Meynert. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. H
(RTh), qui pénètrent dans le pulvinar (Pul) après avoir traversé la zone de Wernicke (W). Mais le pulvinar reçoit en outre
ent en arrière et en dedans, s'entre-croisent avec les fibres de la zone de Wernicke (V) et s'irradient dans le pulvinar (
onne naissance au niveau de sa partie postérieure, aux libres de la zone de Wernicke (W), et reçoit en avant la bandelet
les faisceaux de la substance réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire qui sépare cette substance 'réticulée du
lle présente, ainsi que Baillarger l'a montré en 1840, une série de zones concentriques, au nombre de six, alternativemen
ches grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre par une zone blanche, mince et mal délimitée en général, la st
'écorce du cerveau des mammifères, quatre couches, à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la zone des petites cellules p
ifères, quatre couches, à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la zone des petites cellules pyramidales; 3° la zone de
moléculaire;, 2° la zone des petites cellules pyramidales; 3° la zone des grandes cellules pyramidales; '. 4° la zone
yramidales; 3° la zone des grandes cellules pyramidales; '. 4° la zone des cellules polymorphes (fig. 330).' La nomenc
, la région de l'insula et la région occipitale. Région rolandique ( zone psycho-motrice).-Les cellules de l'écorce de la
llules $pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert, couche granule
tieda, couche des fibres tangentielles) (fig. 329, 339, A). - Cette zone a une épaisseur de 0 ? 25 environ au niveau des c
aignées. Sur des préparations colorées par le carmin (fig. 329), la zone nzolé- culaire parait constituée par une substa
inghaus, Jendrassik, Vulpius, Kaes, constitue le réseau d'Exner, la zone corticale tangentielle, les fibres zonales ou le
Ecoroodumautcau cérébral. Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1" couche), Son épaisseur. Fib
ut tangentielle; elles s'enchevêtrent avec des fibres provenant des zones sous-jacentes (cylindres-axes ascendants des cell
éments augmente à mesure qu'ils deviennent plus profonds, et la zone des petites cel- lules pyramidales se conti-
nsi insensiblement, et sans ligne de démarca- tion nette, avec la zone des grandes cellules pyrami- dales. Quelle
qui se terminent librement entre les fibrilles nerveuses de cette zone . Ces ramifications protoplas- miques n'ont pas
s dendrites se réduisent au panache terminal qui se ramifie dans la zone moléculaire, particulièrement développée chez c
es pyramidales, les cellules situées immédiatement au-dessous de la zone moléculaire ne sont pas de forme véritablement
des cellules voisines, et occupent presque toute l'épaisseur de la zone moléculaire. Quant aux dendrites basi- laires,
s du cylindre-axe, Cajal les a vues remonter parfois jusque dans la zone moléculaire. D'après Golgi qui les a découvertes,
s cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fig. 339). -Dans cette zone , qui mesure à peu près 0 ? \32, on retrouve encor
de petit diamètre et dont la dendrite principale se dirige vers la zone moléculaire. La majorité des cellules de celte
dirige vers la zone moléculaire. La majorité des cellules de celte zone est toutefois constituée par des éléments ovoïdes
llules pyramidales, mais n'atteignent jamais la couche moléculaire, zone dans laquelle se trouvent les terminaisons en p
axe, qui naît parfois d'une dendrite, monte en ligne droite dans la zone moléculaire, où il se divise en fins rameaux, à
eynert (couche des fibres d'association externes) (Kaes). Ces trois zones , caractérisées par la grande densité de leur fe
densité de leur feutrage de fibres, sont reliées entre elles par deux zones de fibres plus clairsemées, formant un feutrage
a strie externe de Bail- larger, on peut désigner, avec Edinger, la zone externe sous le nom de feu- FiG. 343. Coupe tra
. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. C83 trage super-radiaire et la zone interne sous celui de feutrage inler-radiaire.
de la deu- xième couche (2° plexus). Origine de ces libres. zone corticale tangenlielle, stratum zonale, premier p
minal des cellules pyramidales et s'engendre dans l'épaisseur de la zone moléculaire. C'est en outre sur le panache dend
s cellules fusiformes verticales (B. iig. 346). - Au- dessous de la zone moléculaire, on trouve trois ou quatre rangées de
pôles deux dendrites, l'une ascendante qui va se rami- fier dans la zone moléculaire, l'autre descendante qui forme une ar
latérales, qui se ramifient en se dirigeant horizontalement dans la zone du ruban de Vicq d'Azyr. On rencontre encore da
ans la zone du ruban de Vicq d'Azyr. On rencontre encore dans cette zone , ou dans celle qui est située au-dessous, des c
La dendrite ascendante ou principale se termine en panache dans la zone moléculaire, et le cylindre-axe peut être suivi j
s pyramidales moyennes sous-jacentes, dendrites qui donnent à celle zone intermédiaire un aspect strié ou radié, de là son
ure, elles donnent naissance à des dendrites se rami- fiant dans la zone moléculaire , particularité qui les rapproche des
érieur du trigone. tri, thalamus.- hic, taenia semi-circularis. Zr, zone réticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE C
cci- pitale et surtout dans la première circonvolution limbique. La zone des celulles pyramidales petites et moyennes s'
s de cette couche. Leurs dendrites ascendantes s'arborisent dans la zone molécu- laire et impriment à la 3c couche un as
ant d'aborder les parties supérieures de la couche moléculaire, une zone pauvre en cellule, le stratum radiatum. On a dé
ellulaires sont plus éloignés les uns des autres et constituent une zone plus large, mal délimitée, absolument semblable à
s cellules polymorphes. Cajal distingue dans le stratum oriens deux zones : l'une inférieure, l'autre supérieure. La zone
tratum oriens deux zones : l'une inférieure, l'autre supérieure. La zone inférieure renferme des cellules fusiformes et ir
me le cylindre-axe horizontal des cellules du type II de Golgi delà zone supérieure (fig. 354, b). La zone supérieure du
llules du type II de Golgi delà zone supérieure (fig. 354, b). La zone supérieure du stratum oriens, beaucoup plus épais
coup plus épaisse que la précédente, mérite d'après Cajal le nom de zone plexiforme. Cette zone reçoit les dendrites inf
a précédente, mérite d'après Cajal le nom de zone plexiforme. Cette zone reçoit les dendrites inférieures, ainsi que les
st relativement rare (Cajal) Stratum oriens I (3e couche). j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de c
Cajal) Stratum oriens I (3e couche). j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de cette zone. Cellule
. j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de cette zone . Cellules de Golgi à cylindre-axe hori- zon
Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone plexiforme de la couche des cel- lules polymorp
- C, zone plexiforme de la couche des cel- lules polymorphes. - D, zone des cellules irrégulières de la même couche. - a,
llules ovoïdes du stratum granulosum se terminent aux confins de la zone moléculaire, dans des régions riches en vaissea
rès Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexiforme ou partie supérieure de la couche de
che des cellules polymorphes (3° cou- che). Sa subdivision en zones superficielle, moyenne et profon- de. Cellu
ules po- Jymorphes. Cellules à. cylindre- axe ascendant de la zone superficielle. cellules ovoïdes du stratum gran
ne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette couche trois ou quatre zones secondaires à savoir : la zone limi- tante su
ns cette couche trois ou quatre zones secondaires à savoir : la zone limi- tante superficielle ou zone des cellule
zones secondaires à savoir : la zone limi- tante superficielle ou zone des cellules pyramidales, la zone moyenne ou
limi- tante superficielle ou zone des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde o
des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi- formes; c
midales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi- formes; ces deux derniè- r
ype II de Golgi. : Les cellules à cylindre-axe ascendant occupent les zones superficielle et moyenne. Elles correspondent a
pyramidales d'un dense feutrage péricellulaire. Les cellules de la zone superficielle sont pyramidales ou étoilées, encla
aire où elle s'arborise ; les dendrites basilaires s'épuisent dans la zone superficielle ou dans la. zone plexiforme. Le c
drites basilaires s'épuisent dans la zone superficielle ou dans la. zone plexiforme. Le cylindre-axe ascendant se détach
lergranidaire de Cajal. Les cellules à cylindre-axe ascendant de la zone moyenne sont globuleuses ou polymorphes^. 368,
cellules à cylindre-axe descendant (lig. 368, j, g), rares dans la zone superficielle, sont plus fréquentes dans les zone
g), rares dans la zone superficielle, sont plus fréquentes dans les zones moyenne et profonde de la couche des cellules p
épines très nombreuses Cellules à cylindrc- axe ascendant de la zone moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant
de la zone moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant de la zone profonde. Fie. 368. - Coupe de la circonvolutio
Ramon y Cajal.) .l, couche moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plexiforme de la couche des cellules polymorphe
rains. C, zone plexiforme de la couche des cellules polymorphes. D, zone des cellules irrègulières de la mème couche. a, g
un panache de branches variqueuses et parallèles, qui traversent la zone moléculaire et se terminent, aux confins de cel
Golgi. Ces cellules émettent une dendrite épaisse, qui traverse la zone moléculaire et se termine par un élégant panach
dendrites latérales plus ou moins obliques, qui se ramifient dans la zone moléculaire, et à un épais cylindre-axe pourvu
es des cellules mitrales, soit . ceux des cellules fusiformes de la zone moléculaire du bulbe olfactif, soit encore des
des grains et celle des cellules mitrales, et se terminent dans la zone moléculaire par une ramification divergente, fo
ellules pyra- midales et envoient leurs dendrites ramifiées dans la zone moléculaire, très réduite en général au niveau
Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale. Zr, zone réticulée ou grillagée. lobe, et se groupent de
ion du crochet. troisième ventricule. - VI, ventricule latéral. Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optiqu
e change, le segment rétro- lenticulaire n'est plus seul altéré, la zone dégénérée gagne le segment posté- rieur de la c
de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - VV, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta. Gn, zone rétic
ventricule latéral. - VV, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta. Gn, zone réticulée ou grillagée. 1 780 ANATOMIE DES CENT
sceau d'association qui relie le lobe occipital, et en particulier la zone visuelle, au lobe temporal. Ce faisceau dégénèr
r du trigone. tth, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. 792 ANATOMIE DES CENTRE
Pc], première circonvolution pariétale [I',], précunéus [l'rC]).-La zone dégénérée se cantonne aux parois inférieure et
, ainsi que Vialet l'a bien indiqué, les libres saines traverser la zone des fibres dégénérées, et aborder soit le forceps
bique, le forceps minor. Après la réunion de ces deux faisceaux, la zone dégénérée s'enfonce dans la profondeur du force
rescence du stratum calcarinum, de la masse blanche du cunéus et la zone de dégénérescence qui occupe la partie supéro-int
orps calleux, relèvent évidemment delà lésion du cunéus. Quant à la zone de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure
centraux, où elle retentit sur les fibres radiées du pulvinar, sur la zone de Wernicke et la partie postéro-externe du cor
ngual et fusiforme et du sillon collatéral ou occipito-temporal. La zone pointillée représente le siège d'un ramollissemen
miques, qui s'accuse avec une netteté remarquable en avant, dans la zone de Wernicke, le pulvinar et le corps genouillé ex
5 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
mposés déjà en deux régions distinctes : les faisceaux de Goll et les zones radiculaires postérieures; les faisceaux antéro
divisés en trois régions : faisceaux pyramidaux, faisceaux de Turck, zones radiculaires antérieures; aujourd'hui, pour ne
bien d'autres découvertes, à savoir : les faisceaux de Gowers, les zones de Lissauer, les zones marginales antéro-externe
tes, à savoir : les faisceaux de Gowers, les zones de Lissauer, les zones marginales antéro-externe et postéro- externe d
le centre ovale de Flechsig, etc., etc. Et cette multiplication des zones , des faisceaux, des régions plus ou moins autonom
Zone marginale externe, ou faisceau profond du cordon latéral. V. Zone externe de LissallC1', W. Zone interne de Lissa
V. Zone externe de LissallC1', W. Zone interne de Lissauc1', X. Zone marginale antéro-externe de Wcstphal. X'. Zone
e de Lissauc1', X. Zone marginale antéro-externe de Wcstphal. X'. Zone marginale postéro-externe de Westplrol. Y. Fais
marginale postéro-externe de Westplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou zone radiculaire du faisceau postérieur. Z. Faisce
. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur ( zone radiculaire). H. Cordon de Coll. I. Commissur
érieur. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur sain. 1-J. Zones enflammées des cor- dons antérieurs. K. Zone
- dons antérieurs. K. Zone altérée du cordon posté- rieur. L. Zone altérée du cordon laté- ral gauche. M. Coupe
sseau altéré. JV. Coupe transversale d'un vais- seau altéré. 0. Zone peu lésée du cordon la- téral droit. Figure 1
eu lésée du cordon la- téral droit. Figure 14. MYÉLITE DIFFUSE. Zone moyennement enflammée. La figure représente un
presque exclusivement cantonnées dans les cornes antérieures en des zones presque symétriques. A-A. Zones saines des corn
Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radiculaire posté- rieure droite. Presque tout
de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES
lité de la coupe, la partie indemne de la moelle est réduite à deux zones marginales latérales presque symétriques. On reco
ur. II-II. Parties indemnes des cor- dons antéro-latéraux. 1-I. Zones slérosées des mêmes cordons. J. Cordons posté
ose latérale gauche. L. Partie moins altérée de la même plaque. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. Ces deux pr
ccupant la moitié droite de la moelle presque tout entière, et deux zones irrégulières dans la moitié gauche. .iL Corne a
ntérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau postérieur sain. I. Zone respectée du faisceau antéro-latéral droit. J
L. Partie de cette plaque située dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone scl
sté- rieur. K. Zone saine du cordon antéro- latéral droit. L. Zone altérée du même cordon. il/. Zone sclérosée du
don antéro- latéral droit. L. Zone altérée du même cordon. il/. Zone sclérosée du cordon pos- térieur droit. N. -
ieur droit. N. - Zone sclérosée du cordon postérieur gauche. 0. Zone sclérosée du cordon an- térieur gauche. P. Zo
ieur gauche. 0. Zone sclérosée du cordon an- térieur gauche. P. Zone sclérosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26
de Weigert. Les altérations sont extrêmement intenses : seules les zones marginales et une partie de la substance fondam
érieur. J. Zone marginale peu altérée du cordon postérieur. A'. Zone sclérosée des cordons postérieurs. FIGURE 28.
sure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur. l. Zone de Westphal du cordon postérieur indemne. J.
colorée par la méthode de Pall. La sclérose est cantonnée dans des zones analogues à celles de la préparation précé- den
agit d'un cas de tabès au début, les lésions sont cantonnées dans les zones radicu- laires moyennes de Burdach. - A. Corn
ur. G. Faisceau antéro-latéral. II. Cordon de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et zone pos- térieure du faisceau d
téro-latéral. II. Cordon de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et zone pos- térieure du faisceau de Bur- dach indemn
uer et zone pos- térieure du faisceau de Bur- dach indemne. .1. Zone de Westphal non alté- rée. K-K'. Zones de Bur
Bur- dach indemne. .1. Zone de Westphal non alté- rée. K-K'. Zones de Burdach sclé- rosées. Cette pièce qui nous
re postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau latéral. - I. Zone antéro-externe de West- phal. - J. Cordon de
e West- phal. - J. Cordon de Goll. K. Faisceau de Burdach. L. Zone postéro-externe de Westphal. Figure 52. ATA
a partie postérieure des cordons posté- rieurs, et ayant envahi les zones de Lissaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne
E. Canal central. F. Sillon antérieur. G. Cordon latéral. IL Zone de Westphal moins altérée. I. Faisceau de Bur
a épargné la partie posté- rieure des faisceaux de Burdach, et les zones de Lissauer. Seul le cordon de Goll est altéré
issure antérieure. G. Sillon antérieur. IL Faisceau latéral. I. Zone antérieure de Westphal. J. Zone de L.issaüer.
antérieur. G-G. Zones de Lissaüer indemnes se confondant avec la zone postérieure des faisceaux de Bur- dach. J7. Z
ach. J7. Zone antéro-externe de Westphal. l. Partie moyenne de la zone radiculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire.
al et colorée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la zone des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure.
ire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la zone des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi
occupe les faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et une petite zone du faisceau de Gowers. A. Corne antérieure. B
érieur. H. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Zone sclérosée du faisceau de Gowers. J. Colonne d
ssure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur. I. Zone de Westphal indemne. J. Zone de Lissauer peu al
MALADIE DE FRIEDREICH. Colonne de CLARKE. La figure représente la zone de la colonne de Clarke, dans la région dorsale,
6 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
880 PREMIÈRE PARTIE DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES POINTS OU ZONES HYSTÉROGÈNES DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES
n. La pression sur la région sous-mammaire agit plus vite ; mais la zone hystérogène par excellence c'est la région sus-
attaque hystéro-épileptique. Il n'y a pas de douleur spontanée. 3° Zone intercostale gauche, dans le huitième espace inte
elle détermine de la suffocation. C'est à ce moment qu'intervient la zone hystérogène rachidienne ; son intervention se man
querait jamais de jouer un rôle dans l'aura. Le clou hystérique et la zone intercostale n'y participeraient pas. Sommeil.
'hémianes- 8 thésie et de l'hyperesthésie ovarienne. Parfois, les zones hystérogènes sont doubles et symétriques ; — dans
a sensibilité commence à revenir au niveau des plaques. Peu à peu, la zone semble s'agrandir et finit par avoir 6 centimètre
e de simples points sensibles sans être encore tout à fait normaux. Zones hystérogènes. — Pas de clou hystérique, bien que
de toute la tête ait été faite avec soin. — Il n'y a pas non plus de zone hystérogène sternale; ni de zone hystéro-gène au
vec soin. — Il n'y a pas non plus de zone hystérogène sternale; ni de zone hystéro-gène au niveau des flancs ou du rebord de
ent des palpitations, des sensations douloureuses occupant les autres zones hystérogènes, des « sautements et des bouillonnem
ues-uns des symptômes permanents de l'hystérie (anesthésie partielle, zone hystérogène latéro-mammaire) qui suffisent à expl
n vigoureuse ne nous a point paru suspendre les convulsions (?). 3° Zone latéro-mammaire droite. — Elle siège au niveau de
assure qu'elle ne ressent pas d'habitude de douleurs au niveau de la zone rachidienne ni de la zone latéro-mammaire ; mais,
pas d'habitude de douleurs au niveau de la zone rachidienne ni de la zone latéro-mammaire ; mais, avant les attaques, elle
raillements, des élancements, qui vont du siège de la rachialgie à la zone latéro-mammaire et réciproquement. Aura. — Quat
sensation de vertige : P... perd connaissance, l'attaque éclate. La zone latéro-mammaire droite ne participe que par excep
nts qu'on fusille sur la place du Châtelet, etc.2 1 II n'y a pas de zone latéro-mammaire gauche. — Depuis quelques mois, P
qu'elles possédaient une intensité différente : La plus active est la zone rachidienne, puis vient la région ovarienne, enfi
ive est la zone rachidienne, puis vient la région ovarienne, enfin la zone latéro-mammaire droite. L'hyperesthésie ovarienne
après ou avec une hémianesthésie du côté droit, nous avons toutes les zones hystérogènes du côté gauche. OBSERVATION VI S
imparfaite, nous ne prendrons que les passages qui se rapportent aux zones hystérogènes. 1° Rachialgie. — Elle s'étend de
prédomine dans les gouttières gauches. Dans toute la hauteur de cette zone ; des deux côtés, et dans une largeur maxima de 3
pontanée et, dans les attaques ordinaires, d'origine ovarienne, cette zone ne participe pas aux phénomènes de l'aura. Provoq
geur. — A gauche, la sensibilité est plus délicate au niveau de cette zone que dans les parties voisines. —Adroite, actuelle
té existe, mais est obtuse, si ce n'est, précisément, au niveau de la zone hystérogène du flanc droit. Le chatouillement sim
zone hystérogène du flanc droit. Le chatouillement simultané des deux zones est plus vif à gauche. La pression d'une seule
ltané des deux zones est plus vif à gauche. La pression d'une seule zone ne détermine d'attaque qu'à la condition d'être t
à la condition d'être très forte. La pression, même modérée, des deux zones à la fois amène une attaque : un jour, en serrant
flanc à l'autre, s'entre-croisant et faisant participer à l'aura les zones hystérogènes des flancs : cette phase (aura hysté
occupent bien, comme nous l'avions annoncé, le côté sain. — L'une des zones est double et symétrique, celle des flancs. — Leu
ps. A quoi tiennent ces anomalies? Nous l'ignorons. Disparition des zones hystêrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêc
nt la découverte de cette région. C'est ainsi que Geneviève 1 dont la zone hystérogène siège au niveau des 7e, 8e et 9e vert
iveau des apophyses épineuses des 6e, 7e, 8e vertèbres dorsales. — 2° Zone de chaque côté du sternum, au niveau du 4e espace
espace intercostal : la pression détermine un peu d'oppression. — 3° Zone latéro-mammaire double, plus intense à gauche. —
de la Salpêtrière, t. I, p. 48-108. * Voir pour la description des zones hystérogènes chez d'autres malades : Iconogr. pho
conduisait naturellement à rechercher s'il en était de même pour les zones hystérogènes. L'expérience a montré que très fréq
'on comprime la région ovarienne d'une hystérique, l'excitation de la zone hystérogène la plus active ne parvient plus à pro
qu'elles peuvent être généralement arrêtées par une surpression de la zone excitée, le sont aussi, le plus souvent, par la c
rsonnellement les attaques de sommeil. OBSERVATION IX Sommaire. — Zones hystérogènes. — Caractères du sommeil. — Descript
1'Iconographie (p. 93-122). Nous allons la compléter en décrivant les zones hystérogènes qu'elle présente et les caractères d
hémi-anesthésie gauche complète et une analgésie du côté droit. 1° Zones hystérogènes. — Clou hystérique. — Rien à la pres
ère, on a produit des attaques en pressant involontairement sur cette zone . (On lui a appliqué des pointes de feu de chaque
taques de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons écrit sur les zones hystérogènes et le sommeil des hystériques, elle
à l'état ordinaire. — Attaques de sommeil. — Amaurose hystérique. — Zones hystérogènes. — Effets de la pression. — Prodrome
ore ce matin, à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche ( zone hystérogène), M. Charcot provoque quatre petites
. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques par la pression de la zone hystérogène : la parole est revenue. — La malade
partie àw. sternum qui correspond aux troisièmes cartilages costaux [ zone hystérogène). Enfin, D... est réveillée par la co
ombent lourdement. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire. Les zones hystérogènes sont : Io les deux régions ovarienne
e Y hystérie; hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne du côté gauche, zones hystérogènes, grandes attaques. Chez elle, de m
et en 1879. — Trépidation spontanée. — Troubles de la sensibilité. — Zones sensibles. — Effets de l'électrisation. — Zones h
de la sensibilité. — Zones sensibles. — Effets de l'électrisation. — Zones hystérogènes. Hel... Eudoxie, célibataire, sans
t abolie sur tout le corps, sauf au-dessus de l'ombilic où il y a une zone sensible mesurant 10 centimètres de hauteur, s'ét
n s'effilant et comprenant les régions ovariennes. Au niveau de cette zone , la malade perçoit le pincement, mais non le simp
centimètres de haut, finissant aux crêtes iliaques). Dans toutes ces zones , la sensibilité reste obtuse, il faut que la piqû
chappent à la malade : c'est en particulier ce qu'on observe pour une zone située à la partie supérieure et externe des gran
lire par l'éther ; effets consécutifs. — Action du nitritc d'amyle. — Zones hystérogènes. —Nouveaux détails sur l'aura.—Létha
s la malade voyait des yeux rouges, des dents bleues, du sang, etc. Zones hyslérogèncs. — 1° Ovaralgie à droite; — 2° rachi
— 1° Ovaralgie à droite; — 2° rachial-gie (voir t. II, p. 161) ; — 3° zones latéro-mammaires, avec prédominance du côté droit
ésence d'un état qui ne manquait pas de gravité. La compression des zones hystérogènes amena des attaques à la suite desque
res. — Phénomènes vaso-moteurs. —Effets de i'éther, du chloroforme. — Zones hystérogènes : leur rôle dans l'aura. — Améliorat
trois minutes. — Dans les deux cas, elle se réveille promp-tement. Zones hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. (Voir t. II
e complète; la pression de l'ovaire ne détermine pas d'attaques. — 2° Zones la-téro-mammaires droite et gauche , avec prédomi
une largeur d'un centimètre et demi; la pression simultanée des deux zones produit une attaque. — 3° Clou hystérique] la pea
eur de quatre centimètres et une largeur de trois centimètres ; cette zone est la plus active ; une pression, même modérée,
ure environ cinq minutes. C'est alors qu'intervient la rachialgie, la zone hystérogène par excellence, chez B...; cette zone
t la rachialgie, la zone hystérogène par excellence, chez B...; cette zone est le siège de sensations analogues à des coups,
La sensibilité a reparu par tout le corps (peau et muqueuses.) — Les zones hystérogènes n'existent plus ; la compression de
— la mobilité du caractère, les troubles vaso-moteurs ; — le rôle des zones hystérogènes dans le développement de Y aura; — e
atives d'ancsthéèic générale et d"hémiancsthésie gauche. — Sommeil. — Zones hystérogènes. — Aura. — Description des attaques.
ent elle a des insomnies, et ne dort pas plus d'une ou deux heures. Zones hystérogènes.— a) Clou hystérique.—Il siège au ni
te et ne se propageant-pas vers les tempes. —La sensibilité, dans ces zones , existe, mais est obtuse. — La pression ne provoq
attaque : « Il n'y a pas moyen, dit-elle, d'avaler la, boule. » Cette zone , comme intensité, vient immédiatement après celle
tensité, vient immédiatement après celle de la région ovarienne. c) Zone intercostale gauche. — Elle se trouve au-dessous
sque les attaques s'éloignent, la sensibilité cutanée au niveau de la zone intercostale gauche (côté où l'anesthésie est per
it une attaque, mais moins promptement que la pression exercée sur la zone rachidienne. Un jour, en se couchant, S... s'est
chidienne. Un jour, en se couchant, S... s'est cognée au niveau de la zone intercostale gauche, et elle est tombée en attaqu
che. — L'anesthésie est complète dans cette région. — Il n'y a pas de zones sus ou sous-claviculaires, ni au niveau des flanc
si, pendant cette phase, qui ne dure que trois ou quatre minutes, les zones hys-térogènes interviennent. La boule ne redescen
es attaques, S... se plaint de fatigue, de douleurs-dans la tête. Les zones hystérogènes ne seraient le siège d'aucune douleu
bs* XII et XIII, confirme les descriptions que nous avons données des zones hystérogènes, de leur rôle dans la succession des
es. TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Des zones hystérogènes et du sommeil chez les hystériques.
ystériques. \ Observation I..................... 4 Des régions ou zones hystérogènes............. 36 Description.......
VI..................... 78 Etat de la sensibilité au niveau de ces zones ...... 82 Disparition des zones.................
t de la sensibilité au niveau de ces zones...... 82 Disparition des zones ................. 83 Observation VII............
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
au-dessus de la selle turciqne. De cette façon reste délimitée une zone ovalaire avec son diamètre maximum dans le sens a
et qui présente les dimensions d'une noix. Dans le centre de cette zone on peut distinguer un point central plus foncé.
mme les autres métacarpiens. Les premières phalanges présentent des zones de raréfaction aréolaire, enfin tous les cartil
on membre inférieur gauche. La plus atteinte sous ce rapport est la zone au-dessous de l'ombilic. Le sens articulaire es
les fibres autour du sillon antérieur : assez bien aussi, une large zone autour de la racine antérieure; presque aussi b
s forme d'étroites languettes vers le centre. On constate aussi une zone de fibres assez bien conservées le long de la com
es tumeurs peuvent être des métastases ou naître dans diffé- rentes zones de la colonne vertébrale (myélome). Les ostéomes
condaire ascendante (des faisceaux de Goll et de Burdach et dans la zone périphérique des cordons antéro-latéraux). Au-d
voies pyramidales latérales. A gauche, dégénérescence notable de la zone radiculaire (depuis les IIe et Ici' segments lo
ire on constate une dégénérescence du champ ovale de rlecUsig,de la zone radiculaire gauche et une dégénérescence moins
la moelle sacrée, le triangle de Gombault-Philippe est dégénéré. La zone radiculaire gauche se rapproche davantage de la
térieure des cordons latéraux.Ils sontaussi assez nombreux dans la zone nommée névroglique périphérique, surtout là où
grise. Quant aux cordons antérieurs les lésions s'y voient dans la zone périphé- rique antérieure. La zone périphériq
les lésions s'y voient dans la zone périphé- rique antérieure. La zone périphérique médiane (autour du sillon antérieur)
s masses on peut distinguer un point plus rouge (cylindraxe) et une zone rosée (la gaine de myéline). Les masses roses les
ie et vers la commissure grise). Dans le cordon latéral gauche, une zone périphérique claire et un foyer allongé dans la
brunâtre, la coupe jaune sans structure. Reins augmentés de volume, zone corticale élargie, pyra- mides très rouges ; da
e volume, zone corticale élargie, pyra- mides très rouges ; dans la zone corticale, raies jaunâtres et rouges (dilata- t
tentif pour les déceler. On {constate alors un aspect aréolaire des zones périphériques des cordons antéro-latéraux, les cl
s et gorgés de sang. Avec un fort grossissement on constate dans la zone péri- phérique des cordons antéro-latéraux des
de plus petits, ovales, dans le cordon postérieur droit, près de la zone périphérique, non loin de la ligne médiane. --
paraissent de grands foyers irrégu- liers ; ils se trouvent dans la zone radiculaire aussi bien que dans le voisinage de
es cordons latéraux et postérieurs. Légère démyélinisation dans les zones périphériques des cordons latéraux et antéro-la
nime. Dans les cordons antérieurs, pas de lésion (seulement dans la zone radicu- laire droite antérieure'une légère démy
remarque des corpuscules amyloïdes. Ils occupent principalement la zone périphérique névroglique (gliüse Randschichte).
liüse Randschichte). On peut en voir un nombre considérable dans la zone périphérique des cordons postérieurs. De là ils p
substance grise on voit les fibres nerveuses plus pâles que dans la zone périphérique de la moelle. Le long de la corne
iphérique de la moelle. Le long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La racine postérieure gauche est tou
le cordon antéro-latéral gauche, une légère démyélinisation dans la zone périphérique et un petit foyer dans le cor- don
nière. On peut voir des cellules isolées sarcomateuses môme dans la zone périphérique névroglique (aliiise Randschichte).
ine certitude la présence de cellules sarcomateuses isolées dans la zone périphérique de la névroglie. Les racines médul
llules isolées pouvait être constatées dans la moelle même (dans la zone névro- glique périphérique). En parlant de la
egments éloignés des endroits comprimés des dégénérescences dans la zone radiculaire des cordons postérieurs (compressio
le ou qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une zone cérébrale toujours la même, ce jour-là la preuve
, qui nous permet de diviser le manteau encéphalique en aires ou en zones à caractères nets et distincts, nous fournira dan
cheveux sont rares et grisonnants et manquent complètement, sur une zone assez large, au vertex. La branche pariétale et l
s deux cas, nous trouvons, autour de l'ulcération tuberculeuse, une zone irrégulière d'ostéite condensante, avec des travé
se voit de deux côtés.Les troubles sensitifs de même. Il n'y pas de zone d'hyperesthésie. Quant au sens des attitudes, le
isceaux de Goll principalement) et une dégénérescence dif- fuse des zones périphériques des cordons antéro-latéraux. Au-des
côte en avant et le bord inférieur de l'omoplate en arrière. Pas de zone d'hyperesthésie. Les douleurs ne sont pas trop
dération en premier lieu la limite supérieure de l'anesthésie et la zone des douleurs en ceinture. En nous servant des s
foyer occupant le cordon postérieur se trouve dans la proximité de la zone périphérique postérieure, aussi bien dans le co
le reste du tissu ; de même les cordons antérieurs montrent dans la zone postérieure une structure alvéolaire et le tissu
où les fibres nerveuses persistent encore en nombre suffisant (les zones périphériques des cordons antéro-latéraux, la rég
dons antéro-latéraux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la zone périphérique postérieure du 'cordon pos- térieu
tout le cordon latéral gauche et plus pro- fonde (scléreuse) de la zone périphérique bien étroite. Tout le cordon latéral
une sclé- rose considérable de la voie pyramidale latérale et d'une zone assez large des cordons latéraux et antérieurs,
moitié gauche de la moelle est plus clair- semée que la droite. La zone autour des cornes antér;eures est relativement la
us, maltraitées qu'à droite). Quant à la structure de la tumeur, la zone périphérique est plus intensive- ment colorée,
moins colorée et possède une structure du tissu conjonctif. Dans la zone périphérique, de même que dans la centrale, on vo
ement sur la surface de tumeur. Elles la limitent ou constituent sa zone périphérique en se colorant intensivement (fuch
e dans les cordons postérieurs (surtout dans le gauche) et dans les zones périphériques du cordon latéral gauche. Dans la
ça et là vers les parois on rencontre quelques globules sanguins. La zone périphérique de la tumeur est constituée par un
peu nombreuses. On remarque aussi une légère dégénérescence dans la zone radiculaire de deux cordons postérieurs. Le mén
égion des cordons latéraux. Bien évidente est la dégénérescence des zones radiculaires dans les deux cordons postérieurs,
tique. 3. Continuation du foyer alvéolaire. 4. Dégénérescence de la zone radiculaire gauche. 3, 6. Foyer nécrotique dans
situés dans les cordons postérieurs (la région de commissure et des zones radiculai- .res) et dans les antérieurs (le fon
in. 4. Vaisseaux dilatés. 5. Foyer en coin. 6. Foyer alvéolaire. 7. Zone radiculaire gauche dégénérée. 8. Foyer allongé al
t dorsal. On y voyait deux grands foyers du type alvéolaire dans la zone périphérique des deux cordons latéraux et d'aut
le cordon latéral droit. A part cela, une faible dégénérescence des zones radiculaires dans les cordons postérieurs. En s
squ'à une certaine limite et aux membres supérieurs, anesthésie des zones radiculaires). Il était évident qu'il s'agissai
énérescence dans les cordons postérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires des cordons postérieurs et non de ce
rieurs (1-11). On y voit seulement une certaine raréfaction dans la zone périphérique des cordons antérieurs est un peti
raréfaction des fibres dans la substances blanche (surtout dans les zones périphériques) et dans la grise (le réseau des fi
érieurs sont un peu moins bien colorés, par exemple la région de la zone radiculaire gauche. Pas de gommes syphilitiques.
uche, est complètement dégénérée (la raréfaction des libres dans la zone radiculaire 1), tandis que sa voisine immédiate
ont révoqué en doute le rôle des cellules pyramidales géantes de la zone dite motrice dans le mécanisme des mouvements v
nacre. Lecture, 16 mai 1909. jixiii 25 370 31ARINESCO ques la zone corticale du bras chez un garçon flui présentait
de Brodmann. Smith (8), de son côté, a décrit égale- ment plusieurs zones dans le domaine des circonvolutions centrales. Ce
une structure particulière qui lui permet de le distin- guer de la zone pariétale. Dans la circonvolution postcentrale, l
s la circonvolution postcentrale, l'auteur admet deux ou même trois zones qui se prolongent comme deux bandes en croissan
issant à la face interne du lobule paracentral. D'après Brodmann la zone polandique de l'homme est divisée par la scisur
géantes. La limite entre les deux centres, abstraction faite d'une zone de passage très courte où les deux types sont c
par Brodmann. Sans vouloir pousser à l'infini les subdivisions des zones corticales déjà très nombreuses ainsi que cela
echerches de Brodmann, je dois cependant faire remarquer que ni les zones 1, 2, 3 et 4 de cet auteur (fig. 4) n'offrent p
olume des pyramides géantes varie dans les différents niveaux de la zone motrice, en diminuant au sur et mesure qu'on s'
pt chiens auxquels ils ont sectionné les fibres de projection de la zone motrice pour voir si les lésions cellulaires qu
llet et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la zone motrice de l'écorce centrale après la section exp
De quelles cellules de cette région prend-il son origine ? 3° Cette zone d'origine du faisceau pyramidal correspond-elle a
e d'origine du faisceau pyramidal correspond-elle avec celle dite : zone motrice excitable ? 4° Coïncide-t-elle avec une
dans la couche polymorphe. Puis les lésions ne se limitent pas à la zone précentrale, mais ils en trouvent également dan
s'arrêtent aux conclusions sui- vantes : 10 Chez les primates, la zone corticale exacte de l'origine des fibres cor- t
el- lules pyramidales géantes de la couche sous-granulaire de cette zone et ces cellules ne donnent probablement pas nai
'origine de ces fibres cortico-spinales coïncide exactement avec la zone motrice excitable, ces fibres innerveraient d'apr
rition des cellules de Betz ; ils s'en ont servi pour délimiter la zone (1) CHARCOT et Marie. Deux nouveaux cas de sclé
ieds de la première et deuxième frontale participent également à la zone motrice. Les cas les plus récents viennent de con
trois cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la zone motrice de Brodmann. Les lésions sont plus inte
les relations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la zone motrice. J'ai groupé tous ces cas de la manière
a capsule interne. Examen microscopi- que. Les coupes sériées de la zone motrice du côté du foyer montrent la disparitio
de la capsule interne ou de la substance blanche sous-jacente à la zone rolandique, nous permet de faire une tentative
olandique, nous permet de faire une tentative de localisation dans la zone dite motrice. On constate dans ces conditions u
que entre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la zone cérébrale occupée par les cellules lésées. Dans
la substance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la zone motrice corticale. En comparant ce cas avec ceu
, la réaction cellulaire suivie dans les différentes portions de la zone motrice nous montre qu'il existe toujours un rapp
sions des cellules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la zone motrice, zone qui corres- pond assez bien à la
ules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la zone motrice, zone qui corres- pond assez bien à la distribution d
oins accusées dans les lobules paracentraux que dans le reste de la zone motrice. Or, dans mes cas, et en général, dans
. Thoma Jonnesco a pra- tiqué l'ablation d'une grande portion-de la zone motrice. Quoique l'écorce fut enlevée sur une g
olando ce fait est bien expliquable. J'ajouterai encore que dans la zone de la circonvolution fron- tale ascendante laqu
ron- tale ascendante laquelle correspond aux mouvements de la main, zone excisée dans le cas de Brodmann, les cellules d
ement de la ligne mamillaire, une bande s'incurvant au-dessus de la zone du sein, allant en s'amincissant progressivement
erforants antérieurs, à toute la peau de la partie antérieure de la zone du 2e espace intercostal, en enchevêtrant ses r
, la branche perforante latérale n'a pas de filet antérieur vers la zone antéro-externe du tronc, mais va se jeter en to
téro-latérale du tho- rax et pour le sein, rameau débordant dans la zone laissée libre par l'ab- sence du filet antérieu
ssi de la partie postéro-interne du bras (PI. XLI). Et autour de la zone du 3e espace, il irradie assez largement dans la
autour de la zone du 3e espace, il irradie assez largement dans la zone intermé- diaire des anastomoses avec ses voisin
ille, avec une grande tache oblongue à la par- tie supérieure de la zone latérale, s'étend sur la largeur moyenne d'une ma
Cette différence de plans, qui lui fait emprunter successivement des zones correspondant d'une part aux territoires ressor
la face latérale (rameaux latéraux), et presque horizontal vers la zone médiane antérieure (rameaux antérieurs (Van Gehuc
° segments médullaires, elle vient recouvrir vers la ligne médiane la zone d'enchevêtrement des rameaux perforants antérie
407 droite(fig. 7 et 8),et un peu au-dessus, sensiblement sur la zone d'efflorescence de la branche postérieure du 2e
e; s'étendant d'arrière en avant et de haut en bas sous forme d'une zone (ri-.10) ayant en moyenne la largeur assez cons-
sternum et le scapulum. Il est évident que la ligne médiane est une zone intermédiaire entre les deux nerfs symétriques
t surtout les régions intercostales; 5 recouvrent manifestement les zones de répartition des filets de la bran- che antér
. Mais on peut s'apercevoir que dans la distribution d'un nerf, les zones innervées par les branches sensitives seules so
ue. Sa disposition paraît bien recouvrir la partie interne des deux zones intercostales ; mais sa disposition remarquableme
iquent une disposition en bande paraissant bien se rapprocher de la zone métamérique D 11, avec irradiation partielle ve
ira des trou- bles cutanés à type segmentaire, c'est-à-dire sur une zone tributaire du segment spinal par lequel passent
pourquoi les troubles tro- phiques s'observent uniquement dans les zones de distribution des bran- ches centripètes des
plir l'exa- men. L'examen de la sensibilité révèle la présence de zones d'hypoesthésie et d'hy- poalgie, en corresponda
: à droite, détachement rétinique complet ; à gauche, pré- sence de zones de cl.oroïdite. Ouïe. Weber latérisé à droite,
e d'an- ciens méningitiques. La dure-mère médullaire présente une zone épaissie, adhérente, dure ; haute de cinq à six
rne est en partie détruite : à ce niveau existait avant la mort une zone cutanée, livide, ayant l'aspect d'une escarre du
Elle est abolie encore sur le membre su- périeur gauche et dans une zone limitée en avant par la ligne mamillaire jusqu'
fe fraîche. Le tissu nerveux y est absolument invisible,excepté une zone périphé- rique large de il ? millimètre entoura
a moelle est analogue à la précédente, avec cette différence que la zone périphérique saine autour des cordons autéro-la
latéraux est plus large. . Au niveau du VIle segment cervical cette zone périphérique est encore plus large. Le reste de
postérieurs, immédiatement au-dessous de l'arachnoïde, on voit une zone étroite de masse noire (dans la pie-mère). La
moelle est mieux conservée que la gauche, qui ne con- tient qu'une zone très étroite de tissu normal. A part cela toute l
té, ainsi que d'autres neurologistes, une anesthésie dans certaines zones cor- respondant'aux racines postérieures compri
ouvait assez rarement celle anesthésie radiculaire. Généralement la zone d'anesthésie radiculaire, si elle existe, passe
sse immédiatement en (, anesthésie médullaire». Quelque- fois cette zone est séparée de l'anesthésie médullaire par une zo
que- fois cette zone est séparée de l'anesthésie médullaire par une zone de sensibilité all'aiblie (Heilbronner). Parm
y compris le sens musculaire (au- dessus de la ligne de limite, la zone insensible apparaît quelquefois comme une zone
ligne de limite, la zone insensible apparaît quelquefois comme une zone hyper-sensible). Dans quelques cas rares on a con
ujours se rappeler la loi de Sherrington complétée par Bruns (toute zone de peau est innervée par les racines de 3 ou 5 se
dans les hypochondres ou au ventre). Rarement peut-on constater une zone anesthésique et encore plus rarement des atroph
ans un de ces cas la malade se plaignait de fortes douleurs dans la zone brachiale, et ces douleurs repoussaient au second
à tel point envahie par le néoplasme qu'il n'en reste qu'une mince zone du tissu normal (R. Schulz). Dans des cas excep
ent donc c que, chez les gauchers, les conséquences des lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral droit offre
celles qui s'observent chez les droitiers, par suite de lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral gauche. Il
auche. Il y a, en effet, dans notre cas, trois points altérés de la zone du langage de l'hémisphère droit, d'une importa
lusion que la moitié postérieure de l'insula gauche appartient à la zone acoustique du langage, et que, à ce point de vu
remarquer que le gyrus temporales transverses repré- sente une des zones les plus importantes pour la fonction du langage.
, et à la superficie complexe du lobe occipital, c'est-à-dire à des zones qui, pour la formalion et le (1) Mingazzini, Le
phère acoustique. En somme, le gyrus temporalis transuersus est une zone qui reçoit des fibres de projection (acoustiques)
, donne naissance à des voies d'association qui le relient avec des zones visuelles et avec d'autres zones du langage. Voil
ssociation qui le relient avec des zones visuelles et avec d'autres zones du langage. Voilà pourquoi une participation de
la couronne rayonnante (laquelle, à notre avis, n'est autre que la zone réticulée de la couronne rayonnante décrite par
chevêtrent avec les radiations calleuses et dis- paraissent dans la zone sous-corticale. Le faisceau sous-calleux ne repré
l s'étale au-dessus-de la voûte du ventricule et se confond avec la zone sous-épendymaire. Un certain nombre de ses fibr
e qu'inutile. 1 Il décrit le faisceau du noyau caudé de Sachs et la zone réticulée de la couronne rayonnante, lesquels s
-frontal également intrigant de Dejerine. Schroder maintient que la zone réticu- lée de la couronne rayonnante est formé
ns l'écorce de la face interne de l'hémisphère. Les fibres ni de la zone réticulée ni du faisceau du noyau caudé ne peuv
deux espèces de fibres ; la majorité de ces fibres appartient à la zone réticulée de la couronne rayonnante, les autres,
faisceau occipito-frontal de Dejerine, une correspond absolument à la zone réticulée de la couronne rayonnante de Sachs et
illée de ce cas se réduit à pratiquer l'exa- men histologique de la zone motrice et des lésions méningées. L'écorce est
liaires, jusqu'à leur pénétration dans la sclérotique. Peut-être la zone marginale du nerf opti- que est-elle un peu moi
r cette lésion n'entrave en rien l'ossification périostale, mais la zone cartilagi- neuse active étant lésée, la croissa
Lichtheim, un an après l'opération on pouvait encore constater une zone d'anesthésie radiculaire. Quelquefois on n'obse
pithélium présente plusieurs assises cellulaires superposées. Dans la zone sous-épendymaire immédiate il y a parfois multi
te des plaques de sclérose» Il existe par- fois, sur les bords, une zone intermédiaire où il n'existe que quelques rares
on constate que le carmin s'est amassé en presque totalité dans la zone sous-épendymaire et particulière- ment dans la
vers la profon- deur, réactions cellulaires et névrogliques dans la zone immédiatement sous-jacente à l'épithélium. Du
r places oedématiée et qu'elle a une tendance à proliférer dans les zones où l'inflamation est la plus intense. 2° L'aort
e la troisième frontale et de la frontale ascendante, il existe une zone déprimée irrégulièrement circu- laire, ayant à
grise corticale. Le long de la convexité frontale, on remarque une zone déprimée, d'aspect cicatriciel et présentant. t
s, granules d'hématoï- dine, etc. Immédiatement au-dessous de cette zone , un faisceau qui se distin- gue par l'intensité
nt toute l'épaisseur de la couronne rayonnante pour arriver dans la zone sous-épendymaire. Pour nous, 636 ARCHAMBAULT
le faisceau sagittal médian. Ce fais- ceau reçoit constamment de la zone sous-épendymaire avoisinante des fibres dirigée
du trigone se détache un fascicule légèrement arqué qui traverse la zone sous-épendymaire pour se recourber ensuite vers
,qui ne font que traverser le pied de la couronne rayonnante et la zone sous-épendymaire dans leur trajet de la capsule
champ irrégulièrement rectangulaire qui se laisse répartir en trois zones superposées et plus ou moins bien délimitées. La
ncore dans l'intérieur de leur circonvolution d'origine. La seconde zone , formée par le faisceau sagittal médian ou faisce
p qui nous intéresse. En dedans, où elle recouvre le trigone, cette zone est franchement dégénérée ; en dehors, elle se
chement dégénérée ; en dehors, elle se continue directement avec la zone sous-épendymaire qui lui abandonne un nombre de
onne un nombre de plus en plus grand de fibres saines. La troisième zone et la plus inférieure est représentée par le tr
nterne se rend toujours avec la même régula- rité de trajet dans la zone sous-corticale de la circonvolution limbique et
ité postérieure du noyau lenticulaire. Elle transmet toujours il la zone sous-épendymaire les radiations calleuses de la
la plupart vers la ligne médiane. Ces fascicules qui émanent de la zone sous-épendymaire voisine se répartissent de telle
u faisceau sa- gittal médian qui côtoie le ventricule, ainsi que la zone sous-épendymaire et les deux piliers du trigone
ement les fascicules plus grossiers du trigone pour arriver dans la zone sous-corticale de la circonvolution de l'hippocam
a totalité des fibres du trigone se trouvent ainsi relé- guées à la zone sous-corticale de l'isthme de la circonvolution l
e de la paroi ven- triculaire interne, le tapétum est formé par une zone nettement verdâtre qui semble bien représenter
mais ce développement tardif et ébauché ne s'observe que lorsque la zone verdâtre de la paroi ventriculaire interne a co
bres peuvent être suivies avec la plus grande facilité jusque dans la zone sous-corticale des deux lèvres de la scissure c
e de la couche sagittale interne est extrêmement décoloré et que la zone sous-épendymaire est occupée par une couche de
rsent obliquement les couches sagit- tales pour disparaître dans la zone sous-épendymaire, en sorte que l'on peut admett
e détacher du trigone un certain nombre de fibres qui se rendent à la zone sous-épendymaire de la corne frontale en passan
ec la partie antérieure du faisceau sagittal médian, jusque dans la zone sous-corticale de la circonvolution la plus pos
êtement épendymaire et présente une désintégration considérable de sa zone marginale. La corne frontale est très aplatie d
t en arrière et qui s'étend sur toute la longueur comprise entre la zone sous-épendymaire de la corne frontale et l'ergo
triculaire in- terne et se prolonge en avant et en arrière, dans la zone sous-épendymaire de la corne frontale d'une par
élimités sur un certain nombre de coupes, grâce à la présence d'une zone pâle intermédiaire qui est de la plus grande ut
convolution limbique où il se dessine nettement sous la forme d'une zone radiée.Le progrès de cette substitution de domain
n de sa faible coloration et que l'on voit passer lente- ment de la zone sous-épendymaire à la zone sous-corticale de la c
t que l'on voit passer lente- ment de la zone sous-épendymaire à la zone sous-corticale de la circonvolution limbique. L
sagittales médianes et se trouve ainsi à constituer le tapétum. La zone radiée du trigone est encore visible sur un cer
ecroise partout avec les libres calles que la convexité envoie à la zone sous-épendymaire. Ces radiations se rassemblent
sphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne occipitale, la zone sous-épendymaire est alimentée par de fines rad
gauche, que celle couche de fibres se rend tout d'une pièce dans la zone sous-corticale delà première circonvolution lim
enir, à savoir que la couche sagittale interne fronlo-pariétale, la zone réticulée de la couronne rayonnante de Sachs, r
leux. 5° La couche sagittale interne du lobe fi,onto-pai-i étal, la zone réticulée de Sachs, représente la couronne rayo
8 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
e. Ses limites sont nettes, en apparence, mais il est entouré d'une zone dans laquelle les fibres nerveuses sont démyéli
s; on observe, à la périphérie du cordon latéral gauche, une petite zone marginale nécrosée, qui est le pointde départ d
ramidaux direct et croisé jusque dans les segments lomho-sacrés, la zone prépyramidale, le faisceau antérolatéral descen
part (fig. 7) elles occupent : 10 dans les cordons postérieurs, les zones moyennes et externes des faisceaux de Burdach e
elques fascicules profonds et centraux des fais- ceaux de Goll ; la zone marginale esl indemne ; 2° le cordon antéro-lal
, à l'exception de la partie postérieure du cordon latéral et de la zone marginale du cordon antérieur. 3° dans le cordo
séminés, tandis qu'un amas dense se trouve en un point limité de la zone marginale ; il représente la dégénérescence asc
(voies courtes), d'autre part, un déplacement des fibres occupant la zone des faisceaux cérébelleux. La raréfaction des
ns l'intérieur des cordons antéro-iatéraux ; celles qui occupent la zone du faisceau py- ramidal croisé se massent dans
t des fibres qui occupent la partie marginale des cordons latéraux ( zone des faisceaux cérébelleux) se fait d'avant en arr
bien limité de grains noirs qui occupe au niveau du segment C,, la zone du faisceau de Gowers (fig.7) atteint par un dépl
ns notre observation, des- fibres qui occupent déjà en Ce et Ci, la zone du faisceau de Gowers, sont transférées dans la
re (fig. 7) arri- vent en contact avec elle (fig. 10) tandis que la zone du faisceau.de Go- wers reçoit l'appoint de nou
l pour aller au bulbe, il faut isoler un petit groupe qui occupe la zone pro- fonde du faisceau pyramidal croisé ; il ar
dans la substance réticulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la zone moyenne. - 3° Un groupe postérieur se détache d
é é dans la moelle cervicale que des fascicules entiers quittent la zone attri- buée au Gowers pour passer au cérébelleu
noirs. - Ce groupe occupe dans la substance réticulée (fig. 16) la zone limitée parle noyau du facial, l'olive supérieu
u de Gowers (fig. 17), aboutit dans la protubérance (fig. 18) il la zone antéro-interne de la formation réticulée, dans
érieur. Les réflexes crémastériens sont abolis ; l'excitation de la zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne liau à auc
a région sacrée et des régions fessières, se sont ulcérées ; en ces zones la peau est souvent imbibée d'urine et une esca
re tumeur. Les veines n'étaient nullement dilatées au-dessous de la zone comprimée ; et le segment de moelle en rapport
ment quelque altération de celles qui sont situées au contact de la zone de Lissauer. En un mot les fibres radiculaires
Schultze, 'et du faisceau de Hoche sont normales ou à peu près. La zone rétro-commissurale est altérée. La racine pos
Le 3e segment dorsal ne porte pas de dépression nette au niveau de la zone où s'exerçait la compression. Mais toute la par
ec prolifération du tissu de soutien. Les libres radiculaires de la zone d'entrée sont atteintes pour la plupart d'al- t
coup plus noirs que les faisceaux latéraux. On peut noter que les zones occupées par les fibres endogènes et qui étaient
gère des cor- dons de Goll, et un très minime éclaircissement de la zone d'entrée des fibres de la racine postérieure ga
us l'influence d'une excitation portant sur le membre inférieur. La zone de production était limitée par le pli inguinal
spondants ; les os du carpe ne sont augmentés de volume que dans la zone cubitale. Les autres doigts paraissent normalemen
ésique en forme de bloc irrégulier qui n'a aucune relation avec les zones de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comp
c les zones de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comprend une zone d'anesthésie absolue et une zone d'hypoeslhésie
e qu'il intéresse. Il comprend une zone d'anesthésie absolue et une zone d'hypoeslhésie qui dépasse de quelques centimèt
it pour se rendre compte de cette disposition de l'anesthésie. La zone de l'hypoesthésie suit avec assez de régularité e
supérieur est très fréquent. Il comprend presque toujours une vaste zone formée par le front, les orbites, le nez, dans
térations trophiques des mains ou des pieds. Quoique la présence de zone d'hypoeslhésie ou de transition constitue la règl
van- tes : la première, bien connue de tous, consiste en ce que des zones d'une assez grande étendue et importance, privé
Et que, lorsqu'elles ne peuvent pas être innervées, la peau de ces zones souffre alors facilement de lésions d'ordre rég
al. Chez le second : S..., on ne peut relever que la présence d'une zone d'hy- poesthésie superficielle et profonde à to
édullaire centrale qu'à la disparition des éléments cellulaires des zones grises marginales. Quoiqu'il en soit, cet auteu
AULT dre son tiers moyen ; elle atteignait tout particulièrement la zone grise dorso médiane dont la substance moléculai
ne intégrité parfaite du noyau médian de la couche optique et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge, on z ohsema
quelle intéres- sait surtout la substance médullaire centrale et la zone marginale grise latérale. Ici encore, il s'agis
tale, cependant, ne représente pas à lui seul toute l'étendue de la zone corticale du noyau rouge ressort nettement de c
rajet des radiations de la calotte, c'est-à-dire, en traversant les zones péri-capsulaires frontale et latérale du noyau
au. Les phénomènes dégénéra- tifs se limitent assez étroitement aux zones grises dorso-médiane et laté- rale, et intéress
optique, puis, après avoir traversé la région sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du noyau rouge, elle s'épui
iveau du tiers antérieur de ce noyau dont elle intéresse surtout la zone grise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est st
passant par la lame médullaire exlerne, elle se rend jusque dans la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge :
itution de la partie médiane de la lame médullaire externe et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge, et se termine
oitié antérieure de ce noyau. Les fibres s'épuisent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du noyau rouge et
lamo-rubrique provenant du noyau interne, du centre médian et de la zone réticulée de la couche optique et peut-être mêm
par le champ Il, de- Forel, pour entrer dans la constitution de la zone capsulaire latérale du noyau rouge. Les fibres
au niveau de son tiers moyen, dans la substance grise réticulée des zones latérale et centrale. Ici encore, c'est surtout
sses grises du segment inférieur de la couche optique, y compris la zone réticulée, . et peut-èlre aussi la zona incerla
une dégénérescence très nette, laquelle s'épuisait au niveau de la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge. t
oure de toutes parts le noyau rouge de façon à former une véritable zone péri-capsulaire bien délimitée (Haubenstrahlunj
avant le' pôle antérieur ou frontal du noyau rouge, c'est-à-dire la zone péri-capsu- laire frontale (frontales Mark des
a couche optique, ces fibres concourent à former cette partie de la zone péri-capsulaire qui recouvre en bas et en dehor
ès de son an- gle postéro-exlerne et qu'elle s'épuise au niveau des zones sous-capsulaires postérieure et postéro-médianë
. Cette dégénérescence capsu- laire se présente sous la forme d'une zone arquée, laquelle semble émaner du champ de libr
daire atteint sur- FiG. 2. 1 202 LA SALLE ARCHAMBAULT tout la zone marginale sous-capsulaire supérieure, où un petit
nce la partie supérieure du noyau rouge où elle atteint surtout les zones marginales dorsales et dorso-médiane, mais on n
t dorso-médiane, mais on note également que la dégénérescence de la zone dorsale s'étend légèrement en bas et en dehors
psule interne et aborde ensuite le champ p de Wernicke ainsi que la zone dite du faisceau temporo-thalamique d'Arnold. L
nettement toutefois que la dégénérescence s'épuise au niveau de la zone dorso-médiane du noyau rouge, laquelle est notabl
té le segment inférieur. Immédiatement en dehors du noyau rouge, la zone dégénérée semble se bifurquer, une partie re- m
au- tres termes, qu'il existe une dégénérescence très manifeste des zones mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noy
ste des zones mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noyau. La zone ventro-lalérale n'est que légèrement touchée. I
excepté au niveau du lobe pariétal, il s'en suit également que les zones de dégénérescence se trouvent Schéma 1\° III.
rouge, et on voit très nettement qu'elle s'épuise au niveau de ses zones dorsale, dorso-médiane et ventro-laté- rale. On
a forme d'un hémicycle fortement décoloré, le- quel occupe toute la zone marginale sous-capsulaire latérale du noyau rouge
nale sous-capsulaire latérale du noyau rouge. La décoloration de la zone dorso-médiane est encore visible mais elle est mo
que d'Arnold se laisse tou- jours facilement constater ainsi que la zone dégénérée qui sépare la capsule interne du pied
qui sépare la capsule interne du pied du pédoncule cérébral. Cette zone paraît être plus considérable que sur la coupe
du trigone. Sur les coupes prises plus en avant, la décoloration des zones mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noya
siblement modifié. La décoloration marginale im- plique surtout les zones dorso latérale et ventro latérale, mais tandis qu
out les zones dorso latérale et ventro latérale, mais tandis que la zone dorso latérale renferme des libres sttiées, la zo
s tandis que la zone dorso latérale renferme des libres sttiées, la zone ventro latérale en est presque totalement dépou
la zone ventro latérale en est presque totalement dépourvue. Celle zone présente, en effet, celte homogénéité très spéc
antéro-pustérieur la lésion se loca- lise assez étroitement dans la zone sous-corlicale du bord supéro-interne de l'hémi
terne ou dorso-latéral, et une dégénérescence moins étendu» ? de sa zone sous-capsulaire ventro-latérale. Le corps du vent
p- sule latérale du noyau rouge et qu'elle s'épuise surtout dans la zone marginale dorso-latérale, et, en plus faible pa
a zone marginale dorso-latérale, et, en plus faible partie, dans la zone ventro-latérale de ce noyau. La coupe suivant
e assez étroitement au quart supérieur de ce noyau et intéresse les zones marginales dorso-latérale et dorso-médiane ains
n détruit, par des prolongements assez superficiels, l'écorce et la zone sous-corticale du tiers inférieur de la frontale
supérieur de ce noyau. La dégénérescence atteint en particulier la zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dors
res qui recouvre ce noyau en dehors. Au niveau de l'écorce et de la zone sous-corticale de la circonvo- lution pariétale
particu- lièrement bien délimité. La dégénérescence partielle de la zone dorso-médiane, . par contre, échappe à l'observ
dans la substance profonde de l'opercule rolandique et même dans la zone sous-corticale du pied de la troisième circonvo
ié et anguleux, et qu'il présente une dégénérescence notable de ses zones marginales grises dorso-médiane et ventro-latér
s généralisée mais nettement plus accentuée toutefois au niveau des zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. La
nce très marquée, laquelle atteint surtout la capsule dorsale et la zone marginale grise dorso-latérale, et, à un degré be
rginale grise dorso-latérale, et, à un degré beaucoup moin- dre, la zone ventro-latérale. Il existe encore une certaine ra
et cela avec la plus grande réserve, le lobule paracentral dans sa zone corticale du noyau rouge. Donc, si d'une part
re dans la substance même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. D'u
tteint tout particulièrement, ainsi que nous venons de le dire, les zones marginales dorsale et dorso-médiane. Près de la
yau rouge, la dégénérescence porte encore essen- tiellement sur les zones dorsales de ce noyau, mais fréquemment elle imp
ales de ce noyau, mais fréquemment elle implique nettement aussi la zone ventro-latérale. Le tiers antérieur du noyau ro
e tiers antérieur du noyau rouge demeure généralement -intact, sans zone de dégénérescence véritable, bien que l'on obse
apsule latérale du noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans les zones margi- nales grises ventro-latérale et dorso-mé
n constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge, que la zone grise neutro-tatérate participe à la réaction d
à la réaction dégénérative, mais à un degré beaucoup moindre que la zone dorso-tatérate. Quant à la capsule anté- rieure
secondaire intéresse surtout la capsule dorsale de ce noyau et les zones marginales grises dorso- latérale et dorso-médi
e porte encore sur la capsule dorsale mais elle atteint surtout les zones mar- ginales grises dorso-latérale et ventro-la
ostérieur, la dégéné- rescence porte sur capsule dorsale el sur les zones marginales grises dorsale et dorso médiane; au
t dorso médiane; au niveau du tiers moyen, elle atteint surtout les zones marginales grises dorsale et ventro-latérale. -
de ce noyau, la dégénérescence intéresse la capsule frontale et ies zones marginales grises dorso-médiane et dorso-lalérale
au niveau du tiers moyen, elle intéresse la capsule latérale et les zones marginales gri- ses dorso-latérale et ventro-la
au rouge, la dégénérescence porte sur la capsule dorsale et sur les zones marginales grises dorso-médiane et dorso-latéra
rso-latérale ; au niveau du tiers moyen, elle intéresse surtout les zones marginales grises dorso-latérale et ventro-latéra
décrits déjà par von Monakow. On constate, en effet, au niveau des zones dégénérées du noyau rouge, la disparition plus
S CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROCSË"^' '" lit se transforment en zones fonctionnelles véritablement actives, sous l'in-
operculo-ruhriques, el, en particulier, du contingent fourni parla zone corticale du facial. Primitivement, il est prob
otif du facial, puis- que dans les lésions siégeant au niveau de la zone motrice, le malade ne peut contracter le facial
antérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les zones marginales dorso-mélliane et dorso-lalérale.
egment moyen du noyau rouge et entrent en relation surtout avec les zones marginales dorso latérale el ventro-latérale. L
ostérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les zones marginales dorso médiane et dorso latérale. Il
ur gauche. A ce niveau, il n'y a pas d'analgésie véritable mais une zone d'hypoalgésie occupant : la face postérieure du
ourdeur du bras. Le prurit persiste. Sensibilité objective : Même zone d'hypoesthésie à tous les modes. Il semble bien
t de celle-ci, par exemple par l'habitude, par la compression d'une zone hystérogène, etc. 2° Le pouvoir impulsif et pla
d'au- teurs soutiennent même que ces centres ont leur siège dans la zone somes- thésique de Flechsig où résident précisé
nt de celle-ci, par exemple par l'habitude, parla compression d'une zone liystérogène, etc. : on explique aussi le fait
phonies hystériques rebelles. Dans un cas décrit par Janet (2), les zones hystérogènes, dont la compression provoquait des
entru, IU09) faisait ses expériences sur le chien. Il détruisait la zone motrice et provoquait ainsi une dégénérescence
ourcisseurs est provoqué par des excitations assez légères, mais la zone réflexogène ne déborde pas la plante du pied.
- son réseau de fibres à myéline est plus dense que d'ordinaire. La zone incerta, le faisceau thalamique et le faisceau de
fibrillaires entourant le. noyau externe de la couche optique ; la zone reticularis et la lamina medullaris externa son
inférieurs après excitation de la plante du pied sont vifs, mais la zone ré Il exogène ne dépasse pas les limites physio
normale sauf au niveau des membres inférieurs où l'on constate une zone d'hypoes- thésie très accentuée sous la plante
VIII ECTRODACTYLIE métacarpo-phalangienne (Ilippel et Ri/baud.) zone sun ras '\ ? ,... . M ? ('Y¿ DI';S JIErBRES 337
par un même facteur, à savoir par des foyers encéphaliques dans la zone ou dans le voisinage de la zone motrice. Il f
ar des foyers encéphaliques dans la zone ou dans le voisinage de la zone motrice. Il faut donc admettre que l'épilepsie
ontradictions apparentes. Ues tumeurs, méningites, traumatismes des zones ; dites motrices, de l'écorce cérébrale, peuvent
9 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
atre ans et qui a passé treize ans de sa vie à voyager sur l'Ama- zone et dans la Cordillière, tantôt sur le fleuve imme
rmaux. Les réflexes plantaires ne sont pas exagérés. Nulle part des zones d'hypéresthésies. Je fais marcher le malade dev
dère comme réactionnelles formaient dans quelques places une petite zone autour de ces amas de cellules et dans quelques a
aux para- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paraly
emps et l'ischémie consécutive a dû altérer d'une certaine façon la zone motrice, sauf son tiers supérieur, ce qui expli
les phéno- mènes convulsifs de notre malade. Cet endroit c'est la zone motrice et par analogie aux lésions matérielles
leur acti- vité. La présence de bullettes de gaz aux différentes zones cérébrales avait déterminé chez notre malade l'
descen- dantes consécutives aux lésions destructives des diverses zones de l'écorce cérébrale du chien et du singe, ont
Masini, l'aire excitable du larynx embrasserait « presque toute la zone motrice ». Pour que les phé- nomènes de parésie
même temps, la circonvolution postcrucialc, bref, presque toute la zone motrice ! Non pas, sans doute, que cette aire m
excite par l'électricité l'écorce cérébrale, et spéciale- ment la zone motrice, le cervelet n'a point de part dans les
coïncider avec les centres moteurs de ces membres. En dehors de ces zones , la percussion ne provoquait aucune réaction mo
anatomo-pathologiques de Seppilli sur la nature des fonctions de la zone motrice du cerveau humain, nous 1 Fenomeni di i
quelque exagération à prétendre que les lésions destructives de la zone motrice s'accompagnent tou- jours, en même temp
catc°al et des deux lobules pariétaux. Telle serait l'étendue de la zone sensitive corticale (zona sensitiva cutaneo-mus
sensitiva cutaneo-muscolare). Elle coïncide de tous points avec la zone dite mo- trice ; elle est seulement plus étendu
, avait, dès 1881, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la zone motrice à la région préfrontale de la face inte
corps calleux. « Que ce cas soit suffisant pour étendre en avant la zone motrice, je ne le crois pas, écrivait alors Ton
crites de la sensibilité gé- nérale 1. Voilà pour l'étendue de la zone sensitive de l'écorce cérébrale. Mais, comme le
altération du sens musculaire, la lésion s'étendait uniquement à la zone motrice. Si les obser- vations cliniques confir
aire ont un siège dis- tinct de celui de la sensibilité cutanée, la zone corti- cale de la sensibilité générale apparaît
localisée dans les lo- bes pariétaux, la seconde coïncidant avec la zone dite motrice. Les observations cliniques recuei
nels à des lésions correspondantes et exacte- ment localisées de la zone corticale sensitive ? S'il en était ainsi, cett
alisées de la zone corticale sensitive ? S'il en était ainsi, cette zone pourrait être subdivisée en cen- tres de la fac
bilité cutanée et musculaire sont confondus ou « engrenés » dans la zone motrice, ils ne dégénèrent pas à la fois après l'
e la place à la Salpêtrière. Sensibilité conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène. Les attaques surviennent toujour
Ce malade présentait une hémianesthésie'incomplète à gauche et des zones hystérogènes ; les phénomènes de l'aura se mani
couches stratifiées de l'écorce, soit dans celle de pré- tendues zones spéciales du cerveau, une indication physiologi
il est vrai, que les unes ou les autres pré- valent dans certaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans un
rtaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans une même zone . C'est pour soumettre à un examen nouveau les d
rès différentes, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe
s périphériques des fibres. La spécificité de fonction des diverses zones cérébrales dépend, non point de l'organisation
iverses zones cérébrales dépend, non point de l'organisation de ces zones elles-mêmes, mais de la spécificité des organes
u'il en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais cette zone renferme
blement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais cette zone renferme en même temps, sans doute confondues a
ctions motrices, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions des zones motrices , provo- quer des troubles de la sensi
sui- vante de Golgi, une base anatomique : « Dans les différentes zones de l'écorce cérébrale, les fonctions de la sens
ême que ces éléments sont inégalement répartis dans les différentes zones de l'écorce, et que les ré- gions où prédomine
périphériques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones cérébrales serait déterminée par la spécificité
boutir, et non par une spécificité d'organisation anatomique de ces zones ». C'était la doctrine de Meynert et de Wundt;
ents nerveux de la sensibilité et de la motilité coexistent dans la zone visuelle, parce qu'il n'est point de perception
ture et de disposition des éléments histologiques'dans les diverses zones de l'écorce cérébrale, telle qu'elle ressort de
bien réellement à Golgi1. » Ces organes fusiformes, situés dans la zone de passage du muscle au tendon, donnent inserti
rieures. Les cellules pyra- midales ne sont pas cantonnées dans une zone dis- tincte de la Fi ; on les rencontre dans to
ents de l'innervation motrice et de la sensibilité générale dans la zone dite motrice, c'est-à-dire dans la région front
des cordons latéraux, de presque tous les cordons postérieurs (les zones les plus anté- rieures sont seules épargnées),
ures sont seules épargnées), et d'une partie de la substance grise ( zone latérale intermédiaire aux cordons antérieurs et
provoqué de l'exagération des battements du pouls en comprimant des zones névralgiques. Quant à lui il attache plus d'imp
vèle les particularités suivantes. Sur la face antérieure du corps, zone d'anesthésie totale à la piqûre à la chaleur et
sensible coupant transversalement les seins à leur partie moyenne. Zone d'hémianesthésie gauche, descendant jusqu'au ge
tion des pyramides et subissant la dégénérescence descendante. La zone marginale externe ou faisceau profond du cordon
t externe entre le faisceau pyra- midal croisé et la périphérie. La zone marginale externe de Lissauer (Z L e, 8) qui fo
iangulaire à la corne postérieure. Le faisceau de Gotvers (F G, 3), zone latérale antérieure mixte de Flechsig, faisceau
ie périphérique du précédent. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 339 La zone marginale postérieure de Westphall (Z, W, 7) im
formant la partie externe et antérieure du faisceau de Burdach. La zone marginale interne de Lissauer (Z L i, 9) forman
le interne de Lissauer (Z L i, 9) formant un triangle analogue à la zone externe, et appliqué contre le sommet de la cor
e des cordons postérieurs qui laisse cependant presque in- tacte la zone antéro-externe. La sclérose est aussi intense dan
fibres ascendantes sont beaucoup moins altérées. Au niveau de la zone de Lissauer, les fibres transversales sont inde
du sang. Ces infiltrations hémorrhagiques existent surtout dans les zones sclérosées et .on y voit des trabécules émanés
de leucocytes. Si l'on examine à l'aide d'un fort grossissement la zone de sclérose, on constate qu'elle est constituée
on de la région lombaire à la région dorsale. - Les fibrilles de la zone marginale de Lissauer sont presque intactes. Le
ansversales qui pénètrent dans la corne postérieure ont disparu. La zone qui limite de chaque côté le point d'émergence
rties du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes postérieures. ( Zone de Westphal.) Les fibres fines de la substance
. La sclérose du faisceau pyramidal gagne un peu plus du côté de la zone marginale. La colonne de Clarke offre une dispa
partie des cordons de Burdach qui avoisine les cornes postérieures ( zone antéro-externe de Westphall) est moins atteinte
ers la région intermédiaire des cornes antérieures et postérieures ( zone limitante). - La DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 3
, atrophiées et sans prolongements. Région dorsale supérieure. La zone antéro-externe de Westphall présente une diminu
on cervicale inférieure. Les racines postérieures sont intactes. La zone qui les limite de chaque côté est normale. Dans
on de Burdach on trouve une grande abondance de fibres normales. La zone antéro- externe de Westphall offre une altérati
es fibres nerveuses ; et aussi (lésion peu importante du reste) des zones vacuolaires dans la périphérie d'un certain nombr
ente les altérations suivantes : la subs- tance grise et surtout la zone marginale des cornes postérieures paraît normal
daux et la presque totalité des faisceaux posté- rieurs, excepté la zone (antéro-externe qui est intacte, fait commun au
du reste de très grandes variations. Dans la région lombaire, la zone antéro-externe de Westphal est indemne, tandis
rieure du cordon de Burdach est altérée. Dans la région dorsale, la zone antéro-externe, n'est pas tout à fait intacte,
ostérieure est moins altérée que dans la région lombaire. Dans la zone de transition entre la région dorsale et la rég
Fig. 38. 356 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. inférieure correspond à la zone de Lissauer (on sait que cette zone n'a été étu
E. inférieure correspond à la zone de Lissauer (on sait que cette zone n'a été étudiée que dans la région lombaire), e
que l'on se rapproche des parties supérieures, de sorte que dans la zone de transition entre la région lombaire et la ré
région dor- sale, elle est déjà intacte (/ ? . 28). Plus haut, les zones de Lissauer, tant interne qu'externe, sont comp
auer, tant interne qu'externe, sont complète- ment respectées. La zone marginale externe est saine dans toute son éten
et ont disparu en plusieurs endroits. Les fibres fines de la même zone sont également atteintes, et ont disparu en maj
té noté par Friedreich. La névroglie est épaissie dans toutes les zones sclé- rosées ou remplacée par un' tissu fibrill
tement étudiés. Toutefois, peut-être en diffère-t-il en ce que la zone marginale de Lissauer, du moins dans la région
ortance exagérée à la notion d'intégrité ou d'alté- ration de cette zone . En effet, en s'en rapportant aux travaux de Li
.7 DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 359 La participation ou non de la zone de Lissauer à la lésion ne serait donc pas, com
- lorés ; d, libres fines restantes ; e, fihres saines entourant la zone . PSYCHOLOGIE DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE;
tte. Cependant, derrière la com- missure postérieure, il existe une zone peu étendue où les fibres nerveuses sont bien c
s situées à la région externe des cordons de Goll ont disparu et la zone dégénérée des faisceaux de Burdach est devenue
ux côtés du cordon de Goll, le faisceau de Burdach offre une légère zone décolorée qui n'arrive pas jus : qu'à la périph
Dans les cordons latéraux, on observe à la partie postérieure, la zone déjà signalée dans la région dorsale. A la part
ndant, la région cervicale et à la région lombaire, il existait une zone intacte, située au voisi- nage des cornes posté
au alltéro-latéral, il y avait, à la péri- phérie de la moelle, une zone annulaire de «sclérose qui s'élargissait au niv
des cordons latéraux était limitée aux faisceaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la séparait des cornes postérieur
partie supérieure de la moelle, la dégénérescence entreprend une zone étroite correspondant générale- ment au faiscea
base est dirigée vers la périphérie et laissant intacte une petite zone contiguë aux cornes postérieures. On retrouvera
e que certains points de la périphérie, à savoir de chaque côté, la zone superfï- cielle des cordons de Burdach et la pa
ordons postérieurs et celles des cordons latéraux, il se trouve une zone de tissu sain. Cette même condition est égaleme
andelettes obliques 1 (fig 39 et.) La symétrie que présentent ces zones indemnes, le fait qu'elles se rencontrent avec
e appartient à Friedreich. (Archives de Vinchoio, t. LXX.) Les deux zones obliques sont très nettement indiquées dans la
édiane, à la partie externe des cordons de Goll, on distingue une zone (Voir fig. 42'), qui, sans être absolument inco
qu'une légère teinte noirâtre. Au microscope, on constate que cette zone ne ren- ferme que quelques fibres à myéline trè
s'arrêter à la partie antérieure du sillon médian postérieur. Cette zone relativement inco- lore ne se rencontre qu'à la
être serait-il permis de les identifier et de conclure que si cette zone a été épargnée par la sclé- rose, ce n'est pas
hterew2 a distingué deux segments dans les cordons de Burdach : une zone antérieure et une zone postérieure ou périphéri
segments dans les cordons de Burdach : une zone antérieure et une zone postérieure ou périphérique. Dans le tabes dors
'olog. ()ent1'albtail 1884, p. 31. 390 ANATOMIE PATHOLOGIQUE La zone périphérique des cordons de Burdach que nous av
ous avons trouvée intacte dans notre cas, correspond peut-être à la zone postérieure de Bechterew. Mais, la dégénération
de la moelle dorsale (voir fig. 2'), on se trouve en présence d'une zone en forme de coin, occupant la partie postérieur
coin, occupant la partie postérieure des cordons latéraux. Cette zone répond à peu près au faisceau cérébel- leux et
n qui contourne la corne postérieure; h, canal épendymaire; ? ', i, zone externe de Lissaller saine. Pl. I, fig. 2. - Co
- lorés ; d, fibres fines restantes ; e, fibres saines entourant la zone . Ce numéro renferme un tableau relatif au Mémoi
10 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
présenter une topographie radiculaire et parfois des anesthésies en zones radiculaires. Il insiste sur l'extrême variabilit
anesthésie remon- tant jusqu'au pli de l'aine, avec, au-dessus, une zone d'hyperesthésie ; eschare sacrée, taches violac
e double, hypoesthésie pour tous les modes, limitée en haut par une zone d'hyperesthésie circulaire à hauteur de la colo
lacée par une élévation blanche linéaire de la peau, entourée d'une zone rouge hyperhémique. De cette façon je pourrais
hisme est très net, avec ligne centrale, anémique très surélevée et zone de congestion diffuse large de 2 centimètres. O
vec ligne ortiée anémique très surélevée, large de 2 millimètres et zone de congestion diffuse. OEdème des pieds. La fac
ne blanche, ortiée qui se surélève rapidement et est entourée d'une zone de conges- tion diffuse large de 2 centimètres.
que nous décrirons plus loin. A côté de cela on remarque une petite zone arrondie, grandement dégénérée, située entre la
e, située entre la bandelette optique et le faisceau normal ; cette zone est peu considérable et représente à notre avis
peu décoloré, mais en grande partie respecté). En second lieu, cette zone dégénérée contient un bon nombre de radiations
UE CENTRAL (Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ? Conclu sagittale externe, zone dégénérée ; sur la fig. 6, on voit la zone dégéné
Conclu sagittale externe, zone dégénérée ; sur la fig. 6, on voit la zone dégénérée se confondre avec il ....... .1 LE
T LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 187 ici on constate l'existence d'une zone grandement dégénérée à peu près limi- tée à la
nous avons trouvé la solution du problème. Nous avons dit que cette zone dégénérée renferme les fibres du faisceau optique
ibres situées au-dessous de la paroi ventricu- laire inférieure. La zone dégénérée que nous avons décrite plus haut a remo
le corps quadrijumeau antérieur ; elle semble se continuer avec la zone dégénérée de la couche, sagittale externe, mais
a décoloration de la substance profonde diminue progressivement et la zone dégénérée de la couche sagittale externe remont
es sont directement inter- rompues à des niveaux antérieurs ; cette zone renferme donc un certain nom- bre de fibres cor
le lobule fusiforme et la circonvolution de l'hip- pocampe." Une zone dégénérée considérable occupe la partie inférieur
raît dans les couches superficielles du corps quadriju- meau. Cette zone dégénérée renferme les radiations thalamiques des
lution pariétale supérieure). Au-dessous du ventricule, on voit une zone très dégénérée, située immédiatement en dedans
he sagittale externe et qui se porte vers le lobule lingual ; cette zone renferme les fibres du faisceau de Vialet (cin-
ste, en outre, un petit foyer cortical de la deuxième temporale. La zone dégénérée de la couche sagittale externe a abando
ement et on remarque, en dedans de la couche sagittale externe, une zone totalement dégénérée ayant la forme d'une triangl
c les fibres provenant de la première tem- porale à former l'énorme zone dégénérée qui, à ce niveau, passe dans le pulvina
sous de la partie interne de la paroi, ventriculaire inférieure. La zone dégénérée s'est déjà épuisée en partie dans ce pu
que, qu'elle traverse complètement ; arrivée au bord interne, cette zone se divise en deux zones secondaires dont l'une
complètement ; arrivée au bord interne, cette zone se divise en deux zones secondaires dont l'une se dirige vers le corps
énéré, mais il un degré moindre que sur les coupes postérieures. La zone dégénérée n'occupe que la partie inférieure du
du corps quadrijumeau antérieur ; cette décoloration correspond aux zones secondaires que nous avons étudiées sur la coup
lamiques des régions postérieures de l'hémisphère n'ont pas la même zone d'irradiation, on parvient à établir les connexio
x se rendant à la capsule interne » (Wernicke, Gratiolet, Foville), zone réticu- lée de la couronne rayonnante (Sachs),
e de la couche optique immédiatement attenante. Nous avons suivi la zone dégénérée à travers toute l'étendue du lobe tempo
iste à cet endroit, que l'on peut dire d'une façon générale : cette zone plus compacte appartient à la couche sagittale
tale interne de la couroune rayonnante du lobe fronto- pariétal, la zone réticulée de la couronne rayonnante de Sachs, con
matisation habituelle du tabes incipiens est visible, néanmoins les zones radiculaires postérieures présen- tent déjà un
pâle tandis que la sclérose n'est pas encore très intense dans les zones radiculaires moyennes ; ce n'est donc pas un cas
se des faisceaux pyramidaux et une lésion à peine perceptible d'une zone très étroite d'un cordon postérieur, répon- dan
mettait sur son compte la conservation relative, dans le tabes, des zones qui portent son nom ; nous savons aujourd'hui q
es, des zones qui portent son nom ; nous savons aujourd'hui que ces zones sont endogènes, mais la remarque de Lissauer su
lutions. Parois de l'abcès. On distingue dans la paroi de l'abcès 3 zones : une externe, une moyenne, une interne. La z
oi de l'abcès 3 zones : une externe, une moyenne, une interne. La zone externe renferme des cellules nerveuses dont les
noyau, clair, est un peu plus gros que normalement. Plus près de la zone moyenne, on rencontre d'autres cellules névrogl
es, augmentent au sur et à mesure qu'on se rapproche de la deuxième zone , et varient d'aspect suivant le degré de leur d
NDROME MÉNINGÉ. (E. Dupré ct .A. Devaux.) A. Paroi de l'abcès. 2e zone ; capillaire de néoformation avec cinq cellules e
éoformation avec cinq cellules en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e zone ; partie voisine de la zone de nécrose ; plasmaze
es en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e zone ; partie voisine de la zone de nécrose ; plasmazellen et deux cellules réti
azellen et deux cellules réticulées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire zone ; cellules névrogliques en dégénérescence. ' D.
r chromatine nucléaire, s'ordonnent surtout autour des vaisseaux. Zone moyenne. Au faible grossissement elle apparaît co
existe d'autres, plus petites, où le protoplasma réduit à une mince zone périphérique, affecte le même aspect. L'ordonnanc
petit nombre, sont représentés surtout par des polynu- cléaires. Zone interne. Celle-ci est formée des éléments précéde
ementallongés que nous avons signalés indique l'existence, dans les zones supérieures de l'écorce, d'altérations plus ancie
ce de toute lésion tuberculeuse spécifique dans les méninges et les zones supérieures de l'écorce, chez un phtisique en p
épilep- tiques (Archives de méd. expérim., 1891). Vient ensuite une zone vacuolée, atteignant une profondeur de 5-8 mill
dans les faisceaux coupés en biais ou transversalement. Dans cette zone on remarque au carmin des cellules « arai- gnée
s de la substance blanche sont seules régulièrement entourées d'une zone vacuolée, qui paraît augmenter avec les dimension
aires di la tés, contenant quelquefois de petites hémorrhagies.Deux zones se différencient (à gauche) (Pl. LX, 3 et 4) :
vides, quelquefois remplies de masses amorphes. En dehors de cette zone et surtout aux endroits A de la Planche LX, la co
t le néoplasme émerge même complètement au pôle frontal. Les deux zones décrites plus haut se retrouvent à travers tout l
tout le lobe frontal gauche, mais à mesure que la tumeur grandit la zone vacuolée s'étend aux dépens de celle des grosse
ituées dans la substance blanche, ne tardent pas à s'entourer d'une zone va- cuolée. Celles de l'écorce ne le font pas.
e ce fait que les nerfs cutanés sont constamment dégénérés dans les zones anesthésiées, on doit admettre en effet, avec not
ées que par de petites boules noires ou brunes, entourées de minces zones protoplasmiques et réunies les unes aux autres
s- sale du cordon gauche (côté opéré). On y distingue nettement une zone en tra- pèze, occupant par sa base la plus larg
la plus large environ un sixième de la périphérie du tronc nerveux, zone où les fibres fines myéline apparaissent très rar
issent très raré- fiées. est aisé de noter de plus, dans cette même zone , la multiplication des noyaux, ce qui implique
ré, au-dessus des racines sectionnées (10e et 11e thoraciques), une zone démyélinisée en croissant. Nous n'avons pu malheu
nées, il n'existait dans le cordon du côté opéré qu'une très petite zone dépeuplée, et les numérations comparatives n'on
tradural). On re- marque dans la partie supérieure de la coupe, une zone en croissant où les fibres fines à myéline sont
aru compa- rable des deux côtés, et nous n'avons jamais constaté de zones dépeuplées dans les ganglions du côté opéré. Il
la gaîne de myéline au voisinage du cylindraxe avec persistance de la zone externe seule. Nous n'avons pas rencontré non p
comme trace de cette dégénérescence dans le sympathi- que', que des zones raréfiées, nettement visibles sur les coupes tran
e gros calibre et 2.880 fibres fines. Le cordon gauche montrait une zone en trapèze dont le côté le plus large se trouva
rd de la coupe, comprenant environ le sixième de la section totale, zone dans laquelle les fibres à myéline apparaissaient
roits ; intégrité des splanchniques el des ganglions semi-lunaires, zone de raréfaction des fibres fines dans la corde s
2 fibres fines. Il n'existait sur les coupes de ces deux nerfs aucune zone de sclérose ni de raréfaction des fibres. Le sp
s. Les fibres fines étaient légèrement raréfiées dans une très petite zone , sur environ 1/16 de la périphérie. Du côté gau
vons pu examiner que le cordon'du côté droit, lequel présentait une zone en croissant, périphérique, presque tota- lemen
lement privée de fibres à myéline. Sur des coupes plus élevées, cette zone pre- nait une forme triangulaire. Nous n'avons
tologiques que les foyers de la sclérose en plaques vraie. Dans les zones scléreuses de la myélite syphilitique en plaque
Bielschowsky, Lapinsky, Redlich, Siemerling, Probst. 2° Dans les zones de sclérose n'appartenant pas à la sclérose en pl
e de même que la IVe paire. Partie antérieure. A gauche, existe une zone scléreuse qui détruit le pé- doncule cérébelleu
es- que complètement conservées. ' Région bulbaire supérieure. La zone de sclérose occupe les deux pyra- mides, les no
iforme et le faisceau solitaire sont complètement remplacés par des zones scléreuses. Dans la moitié droite l'olive est m
niveau toute la section transverse du bulbe est transformée en une zone de sclé- rose ; on y rencontre encore quelques
iers de fibres normales ; d'autres sont représentées par de petites zones circulaires légèrement jaunâtres (PI. LII, fig. 4
fait et celui de l'in- tégrité des cellules nerveuses au milieu de zones complètement sclérosées cons- tituent une autre
colorée par la méthode de Weigert et est représentée par de petites zones pâles contenant ou non le cylindraxe encore bien
é variable d'hypertrophie, parfois très prononcée, surtout dans les zones intermédiaires entre le tissu sain et le tissu
on trouve aussi d'autres fibres plus ou moins atrophiées. Dans -les zones de sclérose existent, éparses, quelques cellules
plaques légitime. Il vaudrait la peine d'examiner régulièrement ces zones dans tous les cas de sclérose en plaques et par
IS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des zones ciliaires et périciliaires du cervelet ; plaques
e inférieure jusqu'à la 88 racine dor- sale existent de très larges zones de sclérose entrecoupées par des petits îlots de
de la paroi, infiltration, parfois dégénération hyaline. Sclérose des zones ciliaires et periciliaires du cervelet avec lés
ande partie des cylindraxes et des cellules ganglionnaires dans les zones des sclérose, absence de dégénerescences second
(fig. 2). A la 5° racine le cordon latéral droit est remplacé par une zone de sclérose dans toute sa moitié antérieure. La
rose occupe en même temps la commissure grise,le cordon de Goll, la zone cornu-commissurale et la corne latérale droite
ts par la sclérose : il y reste un petit état de tissu sain dans la zone radiculaire interne (fig. 4). Au niveau des li'et
eil sur ces cou- pes photographiées pour voir immédiatement que les zones de sclérose, au moins certaines d'entr'elles, n
nt oblitérées. L'espace périvasculaire est en général formé par une zone claire remplie d'un tissu très mou et contenant p
ntenant parfois des noyaux ronds ou ovalaires. Tout autour de cette zone la névroglie est plus dense et contient un plus
gé surtout dans la partie postérieure de la moelle et au niveau des zones scléreuses. Plaques de sclérose disséminées sans
Augmentation des noyaux de névroglie dans la corne antérieure d'une zone médullaire non transformée dans une plaque de scl
s. ? ' FiG. 14. Infiltration et gliose périvasculaires dans la même zone . Coloration'\, hé- matoxyline-éosine. Grossisse
surtout des petits capillaires, s'accentue de plus en plus dans la zone de dégénérescence des bouts sectionnés et donne
dégénérescence des bouts sectionnés et donne ainsi naissance à une zone de croissance comparable à celle qui a été for-
mps le trajet des ramifi- cations vasculaires et pénétrant dans les zones nécrosées qui avoisinent les ré- gions mieux co
iatement au-dessus de la région comprimée on voit par ci par là des zones de nécrobiose dans lesquelles il n'y a que des
l est possible que les corpuscules amylacés qu'on trouve dans cette zone de dégénérescence proviennent de ces rendements
trouvé dans celui-ci des fibres de nouvelle formation même dans les zones de nécrobiose, In où il n'y a que les corps granu
nettement la dissociation syringomiélique de la sensibilité. Les zones où cette dissociation syringomyélique s'observent
gèrement rosé, piqueté de points plus rouges et est limitée par une zone de couleur brun foncé ci bords arrondis. Cette
teux franc d'un placard éruptif. A peine sur les bords y a-t-il une zone légèrement pigmentée, large environ d'un centimèt
es fibrilles névrogliques qui forment un feutrage épais. Dans les zones intermédiaires au néoplasme et au tissu cortical
peu le tissu nerveux sans le détruire immédiatement. Il existe une zone où cellules pyramidales, cellules névrogliques
s les fibres ne sont pas atteintes d'atrophie, celle-ci procède par zones , des petits groupes de fibres atrophiées sont s
t toutes les phases de ce processus. C'est la même distribution par zones de l'atrophie ; en outre, des libres déjà très
ns- tate encore ici que cette dégénérescence graisseuse se fait par zones , des petits groupes de fibres dégénérées sont p
lus nombreuses, de chaque côté, sur les bords du septum médian. Les zones de Lissauer sont également plus pâles. Les corn
la Ille sacrée ; la dégéné- ration est un~peu plus intense dans la zone radiculaire moyenne et dans la zone de pénétrat
est un~peu plus intense dans la zone radiculaire moyenne et dans la zone de pénétration des racines. Au niveau de la 111,
la zone de pénétration des racines. Au niveau de la 111, sacrée la zone cornu- commissurale et le centre ovale de Flech
du cordon postérieur est au contraire pâle, il en est de même de la zone de Lissauer (PI. LXXIX A'). La corne postérieur
sont un peu plus abondantes sur les bords du septum médian, dans la zone radiculaire postéro-externe et dans la zone de Li
septum médian, dans la zone radiculaire postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L'atrophie des cornes postérieures
RINE ET ANDRÉ-THOMAS Ile et Ire lombaires. L'intégrité relative des zones cornu-commissurales, du septum, des zones radic
L'intégrité relative des zones cornu-commissurales, du septum, des zones radiculaires postérieures est encore plus apparen
idérable ; elle est cependant encore très appréciable au niveau de la zone radiculaire moyenne; les fibres sont au contrai
les fibres sont au contraire relativement bien conservées dans les zones cornu-commissurales et dans l'angle postéro-exter
m médian et surtout en avant où elles se confondent avec celles des zones cornu-commissurales. Le faisceau de Bur- dach e
- dach est au contraire relativement bien coloré, surtout en avant ( zone cornu- commissurale) et en arrière (zone radicu
coloré, surtout en avant (zone cornu- commissurale) et en arrière ( zone radiculaire postéro-externe), un peu moins dans
ne radiculaire postéro-externe), un peu moins dans son tiers moyen ( zone radiculaire moyenne) ; en somme les fibres y sont
me dégénération diffuse subsiste dans les cordons pos- térieurs, la zone cornu-commissurale est seule intégralement respec
ERTROPIIIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 la région dorsale ; la zone radiculaire moyenne est toujours la plus prise.
inique est maigre, de même les fibres sont très clairsemées dans la zone de Lissauer, les collatérales réflexes font presq
l ; dans les cordons de Burdach, elles prédominent toujours dans la zone radiculaire moyenne ; cette zone est particulière
elles prédominent toujours dans la zone radiculaire moyenne ; cette zone est particulièrement pâle au niveau de la VIIe
abituelles, leur réseau est pâle, amaigri, et même les fibres de la zone de Lissauer sont très clairsemées ; les collaté
oll et du cordon de Burdach sont plus in- tensivement colorées : la zone radiculaire moyenne est toujours la zone la plus
tensivement colorées : la zone radiculaire moyenne est toujours la zone la plus prise dans les cordons de Burdach : l'a
Burdach : l'aspect de la corne postérieure et de son réseau, de la zone de Lissauer, est le même que dans la région cervi
d'atrophie dont la caractéristique topographique est l'invasion par zones et la caractéristique histologique une atrophie
roi est formée d'une rangée de cellules cylindriques entourée d'une zone de fibres névrogliques mesurant de 1 à 2 millimèt
région lombo-sacrée, une dilatation du canal central entourée d'une zone de sclérose névroglique. Nous ren- voyons pour
n début de myé- lomalacie dans les deux cordons latéraux et dans la zone de Lissauer droite, immédiatement au-dessus du
s des cordons postérieurs,diffuses, mais avec prédominance pour les zones radiculaires. En dehors de la moelle, les racin
s ; dans les cordons postérieurs, dégénération nette, respectant la zone commissurale et la partie marginale des cordons p
le supérieure, on trouve, au niveau des cordons pos- térieurs, deux zones dégénérées : 1° l'une à la partie interne des cor
s ni pour les lésions ? Une seule fois (obs. V) nous avons noté une zone d'anesthésie radiculaire, isolée entre deux rég
, isolée entre deux régions où la sensibilité était normale ; cette zone d'anes- thésie ne coïncidait ni avec la lésion
nterne, et de là dans le pulvinar, le corps genouillé externe et la zone triangulaire de Wer- nicke ; et d'autre part da
iveau de la partie moyenne de la pa- roi ventriculaire externe, une zone en grande partie respectée que l'on dési- gne R
ramollissement récent... la coupe passe au-dessus du maximum de la zone de dégénérescence. On constate néanmoins une dégé
ux lames. Cependant l'on n'observe sur les plans postérieurs qu'une zone de dégénérescence très limitée, elle se porte en
ui tire son origine du corps genouillé ex- terne et qui n'a d'autre zone d'irradiation que la sphère visuelle corticale.
l'écorce cérébrale et correspond (pour nous) en grande partie à la zone rolandique. Comme cette dernière, elle est' sub
: rétine (écorce), capsule interne (entre le corps genouillé et la zone réticulée), pédoncule; mais sont séparées du fais
sont séparées du faisceau de Tûrck et de la voie pyramidale par la zone réticulée. Ce petit fascicule létino-quadrigémi-
lalamo-corticales qui trans- mettent les impulsions sensitives à la zone motrice. Mais pour nous, ces fibres sont peu no
un certain nombre de faits qui la rendent assez vraisemblable. La zone rolandique reçoit dans sa partie postérieure les
11 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Le centre visuel du chien était ainsi représenté par une longue zone d'écorce qui s'étendait, sur la seconde circonvo-
les faisceaux directs. » Ainsi, une destruction unilatérale de la zone visuelle du chien provoquait une amaurose presque
le a bien son centre fonctionnel, sa localisation centrale, dans la zone occipito-pariétale des hémisphères du chien, ma
tre en clinique un grand nombre de faits négatifs relativement à la zone senso- rielle de l'écorce. » Ces cas, ils les e
s cas, ils les expliquaient : 4° par l'extension considérable de la zone visuelle corticale ; 2° par la difficulté que p
elles le même rapport entre les hallucinations et les lésions de la zone sensorielle de l'écorce ? Il ne fallait pas s'a
llucination peut résulter aussi de la synergie morbide de plusieurs zones sensorielles. Dans le premier cas, on s'expliqu
aient de l'excitation directe de centres moteurs siégeant dans la zone corticale du centre de l'audition. Cette hypoth
s sen- soriels diffèrent-ils de ceux qu'on observe en excitant la zone motrice de Hitzig ? Les auteurs italiens ne le
moindre aux fonctions de l'audition; il y aurait là une sorte de zone commune où seraient en parties confon- dues ces
rvations permet toutefois d'admettre, écrit Seppilli, que dans la zone frontière de la scissure de Sylvius il existe G
nt être beaucoup plus considérables pour cette région que pour la zone psychomotrice. Pour la substance blanche des lobe
de moins de cinq mois, la région psychomotrice est dépourvue de la zone des mouvements oculaires J. HOUlll : -10VITCII.
ales antérieures et postérieures, on note aucun changement dans ces zones pendant la compression. Dans une seconde séri
esthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens, et les zones htéroèrlPS des muqueuses; recherches clinique*;
sé, et, au cours de ses observations il a été amené à découvrir des zones hystérogènes qu'on n'avait pas encore signalées
le conduit et le tympan étaient sensibles et réciproquement. Les zones hétérogènes des muqueuses seraient ordinaires che
étérogènes des muqueuses seraient ordinaires chez les hystériques à zones extérieures ; elles siègent d'habitude sur les
e conduit lacrymal inférieur. La connaissance de l'existence de ces zones explique certains phé- nomènes qu'on a observés
stant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la zone des cellules pyrami- dates moyennes et de celle
uches de Meynert que l'on peut facilement réunir en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la subst
uggestion (tous les procédés en usage, fixation du regard, tam-tam, zones hypnogènes se ramenant à la suggestion du somme
érale viennent à occuper, soit au début, soit ultérieurement, les zones cérébrales dont l'altération provoque le syndro
es cellules pyramidales globuleuses; autour d'elle existe une large zone claire, même sur les pièces qui, à dessein, n'o
rillaire ondulé, ressemblant au tissu conjonctif ordinaire, dans la zone moyenne de l'écorce. C'est là une altération fo
es aires corticales sur lesquelles doit porter son intervention. La zone . Voy. Arch. de Neurologie, n" .ïl, pag. 337 et
ut entier a été enlevé, peut encore courir, pourquoi l'ablation des zones motrices du chien, une fois les effets du traum
troubles du mouvement volontaire consécutifs aux destructions de la zone motrice ? « Je les ai considérés, dit Hitzig, d
é tactile dans les parties correspondantes du corps, si bien que la zone motrice ne serait qu'une manière de surface sen
des réflexes. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétendue zone motrice, subdivisée en « sphères sensibles », où
fluence réflexe des éléments excitables de l'écorce, et pour qui la zone motrice, assimilée à une surface sensible périp
térations des organes centraux de la sensibilité, elle considère la zone mo- trice comme constituée à la fois par des ce
croissant de faits en faveur de la nature mixte des fonctions de la zone excitable du cerveau. Outre Tripier, Petrina, K
la sensibilité générale observés dans les lésions corticales de la zone motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoi
bservés dans les lésions corticales de la zone motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des centres moteurs e
méritent d'être étudiés avec soin... » Dans le cas de Déjérine, la zone motrice corticale était seule lésée; les conduc
es du célèbre physiologiste anglais, pour qui les fonctions de la zone motrice sont distinctes de celles des centres cor
ns destruc- tives, soit expérimentales, soit pathologiques, de la zone motrice, ne semblent pas être de nature ataxique
aucune altération de cette fonction chez les animaux. opérés de la zone motrice. Ainsi, les aires excitables- du cervea
midal), et s'atrophie secondairement aux lésions destructives de la zone motrice. Il en résulte- rait que la restitution
en résulte- rait que la restitution partielle des tondions de cette zone après la se- maine qui suit l'opération, ne peu
les altérations de la motilité qui suivent les mêmes lésions de la zone motrice corticale. Si l'animal survit assez lon
de Hitzig (1874), dans les lésions superficielles de l'écorce de la zone motrice ', sans que les ventricules latéraux ai
sitive, des phénomènes consécutifs aux lésions destructives de la zone excitable du cerveau, à peine en citerait-on qu
logiste, « afin de sauver son idée d'un rap- port existant entre la zone excitable et les organes du mouvement, avait do
tzig a découvert les troubles moteurs consécutifs aux lésions de la zone excitable, Schiff nous a révélé ceux de la sens
e fait de la disposition des partiesdu cerveau dans la région de la zone excitable. Cf. encore XXXIII (188î), p. 201-71, 1
XXXIII (188î), p. 201-71, 1, Ein neuer Versuch an der e2 ? egbai-ez Zone dei, Ili-iii,inde, contre l'article publié par
lconque de sensibilité dans ses expériences sur les fonctions de la zone motrice. Il a donc localisé ailleurs, sur le lo
que, cinq jours après la section de ces cordons, l'excitation de la zone motrice demeurait sans effet. Les résultats con
se propagerait jusqu'à l'écorce 2; de là l'inexcitabilité de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des réacti
lésion 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la zone motrice ne serait qu'un centre trophique pour l
ns latéraux : ils n'auraient pas de rapport 'fonctionnel avec cette zone . Si donc Horsley n'a pu -constater la perte des
ns de Schiff sur la nature réflexe des effets de l'excitation de la zone motrice, l'ancien professeur de physiologie de
r- dons postérieurs de la moelle sont en relation directe avec la zone motrice corticale, et que, si cette zone n'est
n relation directe avec la zone motrice corticale, et que, si cette zone n'est plus excitable cinq jours après la sectio
ivergentes. Déjà, d'ailleurs, Hitzig avait vaguement indiqué que la zone excitable de l'écorce cérébrale devait renferme
sorte de formule, assez obscure, de la nature fonctionnelle de la zone excitable, les mots « entrée » et « sortie » de
ne peuvent désigner que les éléments moteurs et sensitifs de cette zone 2. Hitzig aurait donc dû admettre la nature mix
électrique de régions déterminées de l'écorce, l'inexcitabilité des zones environnant l'aire motrice, la localisation des
ion et de l'audition l'hypothèse qu'il avait appliquée à ceux de la zone 1 Tamburini.-Cont1'ibu : ione alla fisiologia e
SIOLOGIE. excitable. Celle-ci d'ailleurs n'est plus confinée à la zone motrice. Car les effets de l'électrisation des ré
ique d'une durée et d'une intensité suffisantes : si l'on excite la zone de l'audition, par exemple, les convulsions déb
érébrales. Ainsi, la surface du cerveau ne doit pas être divisée en zones distinctes du mouvement et de la sensibilité. «
de l'ouïe, il existerait, confondus avec les centres moteurs de la zone exci- table, des centres de sensibilité général
se trouvent pas localisés dans l'aire corticale appelée jusqu'ici « zone motrice », dénomination à abandonner, puisque c
usqu'ici « zone motrice », dénomination à abandonner, puisque cette zone n'est pas exclusivement motrice. Toutes les dif
ndépendante. C'est ainsi que Bechterew a déterminé, en dehors de la zone motrice proprement dite, des points aussi const
s généraux. Or ces points excito-moteurs n'appartiennent pas à la zone motrice, c'est-à-dire au gyrus sigmoïde, où se
aussi bien différenciés queceux qui résultent de l'excitation de la zone motrice proprement dite. Mais, en dépit de ces
l'hypothèse générale de Tamburini. Quel que soit le centre de la zone motrice extirpé, les altérations du mouvement e
iani l'ont quelquefois observée dans des lésions destructives de la zone excitable) avec ¡ une perte partielle des repré
expérimental : 1° Après une' extirpation partielle ou totale de la zone dite motrice,' · les phénomènes de parésie ou d
OLOGIE. tionnels varie avec l'étendue de ces lésions. Si toute la zone motrice des membres est détruite, et si cette d
iences que si, pour délimiter exactement un centre quelconque de la zone excitable, 'on se fonde, non sur les réactions
corps strié avait été détruit avec une portion considé- rable de la zone excitable de l'écorce, les phénomènes de défici
localiser nettement les différents centres sensitivo-moteurs de la zone excitable, attendu que ces centres, comme ceux
nte ou que la moelle soit très excitable. Exner professe que chaque zone motrice est en rapport avec les mouvements des
si l'on applique à chaque hémis- phère ce qui est dit ici de chaque zone excitable de ? 4. 408 PHYSIOLOGIE. l'écorce.
trouvé lésé chez les chiens, après des lésions destruc- tives de la zone motrice, par Bianchi et d'Abunl ! o\ comme par
s moteurs chez le chien, consécutifs à une lésion unilatérale de la zone exci- table ; la paralysie était naturellement
oubles de la motilité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone motrice ou des faisceaux pyramidaux croisés, ne
c ! )'see)t(<e)[/t consécutive a lesioni sperimenlali in diverse zone delta corleccia cérébrale. Riv. speiiment. di fre
aite chez des ani- maux qui ont subi des mutilations étendues de la zone motrice. A les voir, personne ne dirait qu'ils
ns touchant les effets des destructions partielles ou totales de la zone motrice sur l'excitabilité de la substance* bla
s membres. La sensibilité y est également un peu obtuse à gaucho. Zones hystérogènes . - 10 Point sensible à égale distan
'agit de paralysies transitoires ou à répétition ou en dehors de la zone d'hémiplégie. Le tabes doit être soupçonné chez u
paralysé et par les stigmates de l'hystérie (troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'anesthésie, attaques hyst
12 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ormé par un bloc central de subs- tance caséeuse, enveloppé par une zone circulaire d'un tissu de sclérose, formé de lam
ur de cette sorte de coque fibreuse est représenté par une nouvelle zone de noyaux accumulés en nodules circulaires fusi
s vaisseaux capillaires. Tous ces nodules et en général toute cette zone nucléaire ré- pondent à un processus d'irritati
ar la petite tumeur kystique. Enfin, encore plus en dehors de cette zone d'irritation, on remarque,sur- tout vers la par
connaissons suffisamment les attributs physiologiques de certaines zones corticales pour pouvoir en déduire à priori les t
d'épilepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la zone motrice : et nous serions en règle avec la phys
n posthume, en collaboration avec M. Pitres, la région motrice à la zone rolandique (1) ; et Nothnagel arrive, de son^côté
nient l'existence de centres moteurs corticaux ; ils pensent que la zone rolandique est tout simple- ment constituée par
puyant sur les résultats de ses belles expériences, soutient que la zone excitable de notre cerveau est constituée, à la f
i provoquent ces décharges peuvent se trouver situées, soit dans la zone motrice, comme c'est la règle, soit « en dehors
ns la zone motrice, comme c'est la règle, soit « en dehors de cette zone , à une distance plus ou moins grande de ses limit
e pariétal supérieur. II. - Les lésions corticales siégeant dans la zone psycho-motrice ou en dehors, surtout celles-là
suivie de la paralysie des muscles du côté opposé du corps. Cette « zone motrice » occupe à peu près la partie moyenne de
d'elle, Meynert localisa les centres de sensibilité, l'on fil de la zone frontale le siège de l'intelligence et pendant qu
ement dans l'immense majorité des cas sinon dans tous les cas où la zone corticale dite motrice est lésée. Mais cette ét
Doyen Pitres, étudie les anesthésiés consécutives aux lésions de la zone motrice. Sans nous arrê- ter aux très intéressa
'auteur qui lui ont permis de conclure que, après l'abolition de la zone motrice, il y a dans tous les cas des symptômes
aire, et il est seulement en droit de dire que la destruction de la zone rolandique n'abolit pas la perception de la sen
a sphère tactile. Flechsig explique comment la destruction de cetle zone n'amène pas de paralysie des muscles oculo-moLe
dont le centre serait plus loin bien que l'excitation de cetle même zone provoque comme Munk l'a montré des mouvements d
rs, surtout accusés à droite, une sensation d'engourdissement dans la zone du cubital. Depuis plusieurs mois, existent des
tuées dans les cordons postérieurs. Les altérations portent sur les zones de Lissauer qui sont entièrement sclérosées. Le
édian postérieur de Gombault et Philippe est conservé, ainsi que la zone qui limite la corne posté- Nouv. Iconographie D
d et Léopold-Lévy) .l. (Méthode de P.il.) z 6° sacrée. Sclérose des zones de Lissauer, et d'un triangle correspondant à la
C. (Méthode de Pal.) - 1'" sncn4·. Sclérose un peu moins marquée des zones de Lissaucr, et d'un tctritorre situé il la par
postérieur. Le champ cornu-commissural, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure sont conservé
d-Lévy) A. (Méthode de Pal.) - si ;' lombaire. Sclérose moyenne des zones de Lissauer, triangle de sclérose atteignant le
llon médian postél ieur limité par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitante corne postér
imité par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitante corne postérieure, champ postéro-exte
re, champ postéro-externe. B. (Méthode de Pal.) 10mb ? Sclérose des zones de Lissauer, triangle de sclérose comme sur la fi
rose comme sur la figure précédente, un peu plus postérieure. Mêmes zones conservées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire L
eure. Mêmes zones conservées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire Les zones de Lissauer, la zone radiculaire moyenne et les c
ervées. C. (Méthode de Pal.) il* lombaire Les zones de Lissauer, la zone radiculaire moyenne et les colonnes de Clarke s
nt le siège d'une sclérose peu intense. On remarque l'intégrité de la zone d'entrée des racines (Westphal) comptise entre
s lésions existent mais sont re- lativement moins marquées dans les zones de Lissauer. Un plus grand nombre de racines po
serve au Pal sa coloration habituelle, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure. Entre ces diff
la zone limitante de la corne postérieure. Entre ces différentes . zones , à la partie interne du cordon de Burdach, limité
énétration en quantité moyenne de fibres postérieures au niveau des zones de Lissauer, moyennement dégénérées, triangles de
rie de la moelle, et limitée par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commis- surale,zone limitante de la corne
ée par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commis- surale, zone limitante de la corne postérieure, champ postéro-
Sur la préparation on les voit se conti- nuer manifestement sur la zone qui limite la corne postérieure. Les mêmes cham
ntité. Les racines postérieures pénètrent en assez grand nombre. La zone de Lissauer est faiblement touchée. (PI. XI, B.
pé du peu d'inten- sité des altérations des cordons postérieurs. La zone de Lissauer est légèrement sclérosée; des fibre
surtout au groupe interne des fibres radiculaires postérieures. La zone de sclérose qui correspond à la bandelette extern
s plus discrète et plus éloignée des cornes. Restent conservés : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
gnée des cornes. Restent conservés : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure qu'on voit en
re qu'on voit encore se continuer avec les fibres postérieures, une zone en forme d'L qui borde le sillon postérieur et
lette périphé- rique), enfin un champ postéro-externe comprenant la zone d'entrée des raci- nes de Westphal. Les colonne
ordons postérieurs. Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose des zones de Lissauer, dans lesquelles pénètrent un assez
e. Légère sclérose des co- lonnes de Clarke. On trouve intacts : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la cor
lonnes de Clarke. On trouve intacts : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure, le champ pos
g° ° dorsale. L'aplatissement des cordons postérieurs est notable. La zone de pénétration des racines est atteinte, ses fi
ons manifestes dans le 5e inférieur du champ postéro- interne. La zone cornu-commissurale devenue plus externe est bien
us externe est bien conservée. Il en est de même d'une partie de la zone radiculaire moyenne. D'uue façon générale, il c
on cervicale inférieure. Les lésions plus manifestes portent sur la zone de Lissauer, le 1/5 postérieur du cordon de Goll,
atteint pas la périphérie de la moelle ; elle en est séparée par la zone limitante de la corne postérieure. Restent intact
la zone limitante de la corne postérieure. Restent intactes encore la zone cornu- commissurale devenue plus externe, la pa
trer d'emblée dans les, cordons postérieurs et se continuer avec la zone limitante de la corne postérieure. (Pl. XII, C.
nt, légitime, mais il est, en général, atténué. En particulier, les zones endogènes, tant ascendante (zone cornu-commis-
ral, atténué. En particulier, les zones endogènes, tant ascendante ( zone cornu-commis- surale) que descendante (virgule
vi) .-1. (Méthode de Pal.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de la partie moyenne du faisceau d
terue. Légère sclérose des colonnes de Clarke. Sont conservées : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
olonnes de Clarke. Sont conservées : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure, le champ posté
erne. li. (Méthode de Pal.) z° doisiile. Sclérose moins marquée des zones de Lissauer, du \< postérieur du champ posté
du \< postérieur du champ postéto-interne. Sont conservées : la zone cornu-commissurale, la partie interne et moyenne
ch. C. (Méthode de Pal.) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Lissauer, du 5' postérieur du cordon de Goll
Westphal (1) a démontré, en effet, qu'il existe dans la moelle une zone dont la lésion détermine l'abolition du réflexe.
du réflexe. Placée à l'union des régions lombaire et dorsale, celte zone est limitée : en dedans par une ligne virtuelle
atineuse et le point de pénétration des racines postérieures. Cette zone , dite par Westphal zone d'entrée des racines, est
pénétration des racines postérieures. Cette zone, dite par Westphal zone d'entrée des racines, est, d'après cet auteur,
rsement, lorsque les réflexes ont été conservés jusqu'à la mort, la zone d'entrée des racines reste intacte. Il en était a
, la veille à gauche. Les lésions dépassaient peine la limite de la zone .Westplial vit, dans un cas personnel, l'aboliti
igne de Westphal fut constaté 3 mois avant la mort. L'étendue de la zone atteinte était plus considérable. « Kraus (3) c
perte du réflexe patellaire d'un côté, la diminution de l'autre. La zone de Westphal était plus sclérosée du côté correspo
unique symptôme l'abolition uni- latérale du réflexe rotulien : La zone de Westphal était atteinte de ce seul (1) Westp
es, seul symp- tôme nerveux, était en rapport avec une lésion de la zone de Westphal. Dans notre cas, on constate que la
e lésion de la zone de Westphal. Dans notre cas, on constate que la zone d'entrée des racines est conser- vée. C'est don
Quant à propos de la localisation souvent primitive au niveau de la zone de Westphal, que la dégénération du tabes atteint
es et plus épaisses à la périphérie qu'au centre. Une coupe dans la zone de transition, entre la tumeur et le segment du
our nous rapprocher du centre de la tumeur, nous constatons dans la zone transitoire, un périmysium externe élargi aux d
tion, fait voir que les traînées larges du périmysium externe de la zone transitoire sont très riches en vaisseaux, que
limite entre la peau saine et la surface malade est formée par une zone violacée (lilac ring). En dedans de ce liseré,
t une compression passagère, soit une irritation momentanée vers la zone rolandique. En tous cas le malade n'est pas u
on d'exostoses sur la table interne des os du crâne au niveau de la zone motrice; que ces exos- toses s'établissent dans
'est-à-dire, d'une mince couche de cartilage hyalin, gar- nie d'une zone d'ossification et constituée comme dans une extré
ossification progresse en général du centre à la périphérie, que la zone fibreuse qui entoure la tumeur et qui est desti
tout le cordon pos- térieur d'une façon à peu près symétrique ; la zone cornu-commissurale et le centre ovale de Flechs
des cordons postérieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des zones radiculaires postérieure et moyenne, la zone an
accusée au niveau des zones radiculaires postérieure et moyenne, la zone antérieure n'est pas très touchée. La zone de Lis
stérieure et moyenne, la zone antérieure n'est pas très touchée. La zone de Lissauer est altérée. (PI. XXII, E.) Dans
lérose des cordons postérieurs, symétrique, prenant la totalité des zones radiculaires postérieure et moyenne respectant pr
diculaires postérieure et moyenne respectant presque entièrement la zone radiculaire antérieure, surtout la zone cornu-com
tant presque entièrement la zone radiculaire antérieure, surtout la zone cornu-commissu- rale. La zone de Lissauer est a
ne radiculaire antérieure, surtout la zone cornu-commissu- rale. La zone de Lissauer est altérée. Le centre ovale de Flech
lechsig paraît con- servé. Même dans les parties les plus altérées ( zones radiculaires postérieure et moyenne) il y a un
nte, bien que plus accusée au niveau des cordons postérieurs où les zones radiculaires antérieure et cornu-commissurale s
antérieure et cornu-commissurale sont sclérosées. Au contraire, la zone de Lissauer est relativement peu atteinte. (PI.
- Même topographie des lésions. Dans les cordons posté- rieurs, la zone radiculaire antérieure possède beaucoup de fibres
re que, d'une manière gé- nérale, le centre ovale de Flechsig et la zone cornu-commissurale sont relati- vement, sinon c
coloration de la peau du visage est nor- male, sauf au niveau d'une zone hyperémiée, qui, longue de 2 centimètres, s'éte
d'une couche mince de cartilage hyalin. Cette couche présentait une zone d'ossification et était constituée comme dans une
ots et chacun d'eux régit un groupe distinct de muscles. Il y a des zones chargées de percevoir les impressions que les age
ations qui se passent dans la profondeur de nos organes. Il y a une zone distincte pour per- cevoir les impressions lumi
e chargée de percevoir les sons, et ainsi du reste. Ces différentes zones , véritables centres, sont reliées et associées
ns une certaine étendue de surface, et que l'électrisation de cette zone excitable pro- voque des contractions musculair
des crises épileptiques en rapport avec une tumeur vasculaire de la zone ro- landique que l'examen histologique montra ê
d'oreilles, etc.). Au niveau de l'ovaire gauche il existe aussi une zone hystérogène ; on en trouve d'autres au vertex,
ant très attentivement avec le gauche tout au moins en dehors de la zone du petit épanchement surtout avant qu'eût été p
13 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ications d'axones ascendants de cellules des couches infé- rieures ( zone des grains, zone des pyramides géantes, zone des
ascendants de cellules des couches infé- rieures (zone des grains, zone des pyramides géantes, zone des corpuscules pol
couches infé- rieures (zone des grains, zone des pyramides géantes, zone des corpuscules polymorphes) ; 4° des ramificat
rphes) ; 4° des ramifications collatérales d'axones de cellules des zones supérieures (couches des pyramides petites et m
ce plexus nerveux. L'observation toujours plus approfondie de cette zone a déjà per- mis à Cajal de la subdiviser en deu
ini avec les corps et les dendrites des cellules indigènes de cette zone , c'est-à-dire de la couche des cellules étoilées,
inement en contact avec des cen- taines de cellules nerveuses de la zone des cellules étoilées et avec un nombre considé
ture les innombrables fibres myéliniques qui se distribuent dans la zone des cellules étoilées, dès qu'on admet que les
e, ou strie de Gennaiu, entre les cellules étoilées de la quatrième zone . Ajoutez qu'en traversant cette région, les axo
latéraux courts, dont un ou plusieurs prolongements montent dans la zone des cellules étoilées, à cylindraxe ascendant,
E CRITIQUE. La couche cles cellules pyramidales géantes, ou sixième zone , est formée d'une ou deux rangées de puissants
llules polymorphes. La couche des cellules polymorphes, ou septième zone , renferme quatre espèces d'éléments nerveux : 1
e en arc au-dessous des corps cellulaires avant de monter dans la zone des cellules étoilées et de s'y ramifier et envoi
aux couches inférieures. La tige pro- toplasmique s'épuise dans la zone des cellules étoilées ; 2' cellules fusiformes
re, non sans abandonner des collatérales destinées aux plexus de la zone de Gennaiu et il d'autres zones ; 3° cellules du
latérales destinées aux plexus de la zone de Gennaiu et il d'autres zones ; 3° cellules du deuxième type de GOLGI, à cyli
ème type de GOLGI, à cylindraxe court, s'arborisant dans cette même zone des cellules polymorphes; 4° cellules-triangula
s cellules du premier type se rencontrent peut-être dans toutes les zones stratifiées des circonvolutions, quoique jusqu'ic
scendant; les branches de celui-ci peuvent descendre jusque dans la zone des cellules polymorphes. L'axone, d'une finess
est d'associer dans le sens vertical les pyramides situées dans des zones distinctes d'un territoire cortical. Les cell
ques à fort calibre dont Czar, a suivi les ramifications dans la 4" zone de l'écorce de l'aire visuelle lui ont rappelé
irmaient pour toutes les sphères corticales de la sen- sibilité les zones d'association de Elixiisig demeurant en dehors
e c'était à prévoir, l'anesthésie augmenta et dessina exactement la zone du fémoro-cutané. Dix jours après l'opération,
, à l'autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des zones motrices. M. JOFFROY trouve considérable le rôl
y prennent naissance. On distingue dans cette écorce deux sortes de zones : les zones de projection et les zones d'associ
aissance. On distingue dans cette écorce deux sortes de zones : les zones de projection et les zones d'association. Les p
cette écorce deux sortes de zones : les zones de projection et les zones d'association. Les premières com- muniquent dir
uent avec la périphérie qu'indirectement, par l'in- termédiaire des zones de projection. Il n'existe pas de zones n'ayant
, par l'in- termédiaire des zones de projection. Il n'existe pas de zones n'ayant que des fibres centrifuges ou que des f
t que des fibres centrifuges ou que des fibres centri- pètes. Toute zone de projection est donc susceptible et de recevo
eur d'avoir établi qu'il s'agit là d'une loi générale : que toute zone de projection est en rapport avec la périphérie d
res. - L'oeil en tant qu'organe sensoriel (rétine) correspond à une zone du cortex bien déterminée : le centre visuel co
doué de la sensibilité générale (trijumeau) correspond à une autre zone de pro- jection. Celle-ci doit faire partie de
à une autre zone de pro- jection. Celle-ci doit faire partie de la zone de projection du reste de la face : rien ne' no
nte, et aux pieds des deuxième et troisième frontales '. Ces deux zones peuvent être lésées isolément ou simultanément
u simultanément (hémianesthésie, hémianopsie) L'existence de deux zones de projection centripète, nous permet déjà de c
ction centripète, nous permet déjà de concevoir l'existence de deux zones de pro- jection centrifuge (motrice) superposée
ntage encore. Les yeux se dirigeaient en bas par l'excitation de la zone supérieure du lobe occipital, en haut par l'exc
a zone supérieure du lobe occipital, en haut par l'excitation de la zone inférieure, latéralement par ' Joanny Roux. Réf
DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 181 l'excitation de la zone intermédiaire. Il note que les mouve- ments éta
a clinique et l'anatomie patholo- gique.. Voilà donc une première zone corticale jouant un rôle dans les mouvements de
ge elle-même ses déplacements. B. Centre oculo-moteur antérieur. La zone de projec- 1 Toute cette élude nous montrera qu
e nous permettent de supposer que ces mouvements ont pour centre la zone de projection sensitive, correspondant probable
D'après Mott et Schaeffer l'excitation du tiers supérieur de cette zone produirait une déviation latérale, et un abais-
e au point de vue moteur, de même qu'au point de vue sensitif, deux zones de projection corticales. L'une, le centre ocul
ales. L'une, le centre oculo-moteur antérieur, corres- pondant à la zone de projection de la sensibilité générale (triju
tale. L'autre, le centre oculo-moteur posté- rieur, correspond à la zone de projection sensorielle (rétine) au niveau de
au lenticulaire, mais peut se produire dans un point variable d'une zone plus large, constituant la région de l'hémorrag
es entrent en jeu dans la voie motrice; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'au
) eut survécu plus de six jours à son iclus. Chez ce malade dont la zone motrice était inaltérée, les troubles de la mot
ans le centre ovale, vers l'écorce céré- brale, au niveau de la zone rolandique, en con- tournant le noyau caudé e
ne rayonnante de lieil, des fibres unissant la capsule interne à la zone rolandique. En résumé, il s'agit d'une hémorrag
inière a révélé l'existence des lésions suivantes : Au niveau de la zone d'infection, le nerf présentait : 1° des alté-
u'à la fragmentation et l'atrophie de ce filament). Au-dessus de la zone d'infection, l'envahissement microbien diminuait
lésions secondaires. D'après l'auteur, les lésions du nerf dans la zone d'infection 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
particulier des neurones psychiques. Il peut arriver aussi que les zones psychomotrices soient atteintes. La mauvaise nu
zones psychomotrices soient atteintes. La mauvaise nutrition de la zone psychique peut tenir à l'ané- mie, à la toxhémi
utour de quelques petits vaisseaux et surtout près des méninges des zones d'infiltration limité, mais assez serrée de pet
ion périphérique indirecte, dont l'excitation porte en dehors de la zone d'innervation du système phonateur, produit des
a gorge, la bouche, la langue, les lèvres, presque toujours dans la zone d'innervation des nerfs phonateurs. Pourtant on
lement cérébraux doivent être représentés dans l'écorce, dans des zones distinctes, mais fonctionnellement réunies et ana
voix est d'abord peu précise, mais aussitôt qu'elle arrive dans la zone des organes phonateurs elle est plus nette. I
ière lombaire ; point hystérique au niveau de la septième dorsale ; zone hystérique au niveau des flancs et au-dessus de
erts, la pupille te dilate au point que l'iris ne forme plus qu'une zone presque imperceptible. Comme le corps se pencha
est maintenant normale. On constate la dispa- rition du clou et des zones hystériques ainsi que de la rachialgie. Juin. A
ains cas, la sensibilité à la douleur est seule atteinte, et que la zone d'analgésie s'étend parfois plus haut que la '
inte, et que la zone d'analgésie s'étend parfois plus haut que la ' zone de thermo-anesthésie, permet de penser qu'il exis
constate une dégénérescence qui monte jusqu'au bulbe. Seulement la zone de dégénérescence est de plus en plus pauvre, c
se limitent essentiellement aux cordons antérieurs et encore à leur zone médiane. Ces fibres sont indubitablement, pour
oisé. Une petite partie de ce faisceau rayonne dans la région de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande partie, sous
et ? lIÜnzer, Schaffer). Il y a donc lieu de for- muler que dans la zone en virgule de Schultze il n'y a que les branches
dégénérées s'échelon- nent successivement en dedans, en quittant la zone d'entrée radiculaire, à partir du niveau des ra
aire, à partir du niveau des racines lésées, vers le bulbe ; -, les zones qui correspondent aux racines dégénérées de la mo
ns la dégénérescence des deuxième et troisième racines dorsales, la zone de dégénérescence (abstraction faite d'un très
ste des corps très nombreux, bleus, à contours irréguliers, dont la zone extérieure, plus pâle, se pro- longe dans un pl
tre à bords dentelés ou projeté en rameaux touffus se détache de la zone en question à l'état de noyau beaucoup plus fon
ucoup plus foncé. En réalité ce sont des fibres mous- seuses à deux zones , une zone externe, et une zone interne. La zone
foncé. En réalité ce sont des fibres mous- seuses à deux zones, une zone externe, et une zone interne. La zone interne (
sont des fibres mous- seuses à deux zones, une zone externe, et une zone interne. La zone interne (objectif à immersion
s- seuses à deux zones, une zone externe, et une zone interne. La zone interne (objectif à immersion de Siebert apochrom
à la région centrale de l'organe qui nous occupe contraste avec la zone bleu clair externe. La zone externe, proba- ble
rgane qui nous occupe contraste avec la zone bleu clair externe. La zone externe, proba- blement moins riche en substanc
ns et entoure simultanément plusieurs cellules. Ce même tissu de la zone externe glisse au-dessus des fibres détachées d
aux voussures des amas de granulations, ce qui fait supposer que la zone centrale des renflements mousseux constitue des
n proto- plasma finement grenu, avec un noyau central entouré d'une zone plus claire. Ce sont des cellules nerveuses, bi
ter et coordonner les diverses impressions, dans le voisinage de la zone dé la vision directe ; il renforce ou affaiblit
ation pénible se transforme en une véritable brûlure qui dépasse la zone précé- dente en haut et en bas, allant de l'arc
atorze jours après l'admission. Autopsie. - Le cerveau présente des zones de coloration très différentes : les lobes occi
sl. Que le cerveau soit sur- mené par le fonctionnement exagéré des zones motrices (étals maniaques), sensitives (mélanco
riences sur des chiens. Excitation au moyen du courant induit de la zone motrice de l'écorce, ou bien injections hypoder-
s se rattachent à des expériences con- sécutives à l'ablation de la zone motrice de l'écorce pendant l'attaque d'épileps
me qui apparaît comme résultant d'une excitation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cérébrale et des centres qui
et vésicales dé l'attaque ; les unes et les autres dépendent de la zone motrice de l'écorce du cerveau. - P. KERAvAL.
téral; il existe un ramollissement dont le pourtour seul atteint la zone des ganglions centraux et la capsule interne. Int
c- tions sensitives, de même qu'après l'ablation expérimentale de zones corticales déterminées, d'autres éléments des mêm
entale de zones corticales déterminées, d'autres éléments des mêmes zones peuvent être dressés aux nouvelles fonctions co
eu les piqûres, peu le froid et le chaud, notamment au centre de la zone en question. Il éprouve des douleurs sponta- né
l'at- teinte des fibres sensitives. Rougeur avec hyperthermie d'une zone circonscrite de l'avant-bras malade, constituan
tion de la pie-mère par de nombreuses cellules rondes au niveau des zones d'entrée des racines. Ces foyers aug- mentent e
partent deux ou trois vaisseaux déjà altérés qui s'en vont dans la zone intacte. Les foyers, ceux surtout qui occupent
e cerveau, en effet, soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones motrices (manie), sensitive (mélancolie), senso
14 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
l'angle externe des cornes antérieures, une sclérose qui forme une zone transversale s'étendant presque jusqu'à la péri
tance grise semble normal. Les fibres nerveuses qui constituent les zones radiculaires antérieures semblaient aussi moins
urtout nets sur des coupes de la région cervi- cale au niveau d'une zone siégeant à l'union de la moitié anté- rieure av
avons pas réussi non plus à provoquer ces accidents en irritant les zones épileptogènes d'après les données de MM. Brown-
face supérieure de la couche optique, immédiatement en dehors de la zone où le ventricule latéral émet son prolongement
cation d'un morceau de glace abaisse la température sur une large zone . Dans le premier cas, la contraction des plus fin
e du défaut d'exploration de la sensibilité, du champ visuel et des zones hystérogènes. L'hérédité se trouve en jeu d'une
f. Psych. u. Nervenkrank, XVI, n ). P. K. BIBLIOGRAPHIE 1. Des zones hystérogènes et hypnogènes, des attaques de somme
de sommeil; par le Dr Pitres. (Bordeaux, 1885, in-8°, 70 p.) Les zones hystérogènes sont, selon la définition de l'auteu
ons. On sait que c'est M. le professeur Charcot qui a découvert les zones hystérogènes. M. Pitres, continuant les recherche
élève le Dr Gaube (Bordeaux, 1882). On rencontre fréquem- ment des zones hystérogènes dans l'hystérie vulgaire, ou petite
gènes dans l'hystérie vulgaire, ou petite hystérie. - Il existe des zones hystérogènes sur les membres. MM. Bourneville e
es que chez plus de la moitié des hystériques vulgaires, il y a des zones hysté- rogènes sur les membres supérieurs ou in
avait aussi sur le tronc ou la tête. Dans la majorité des cas, les zones des membres et du thorax sont exclusivement spa
s des membres et du thorax sont exclusivement spasmogènes, et les zones ovarienne ou épigastrique exclusivement spasmo-fr
spasmo-frénatrices. - Au point de vue de leur siège anatomique, les zones hystéro- gènes doivent être divisées en zones c
siège anatomique, les zones hystéro- gènes doivent être divisées en zones cutanées, sous-cutanées etviscé- rales. 1° Les
re divisées en zones cutanées, sous-cutanées etviscé- rales. 1° Les zones cutanées, les plus rares de toutes, sont celles
ps en ignition, la pulvérisation de quelques gouttes d'é- ther. Les zones cutanées siègent dans les expansions nerveuses
des régions cutanées qui sont complète- ment anesthésiques. 2° Les zones sous-cutanées, qui sont plus com- munes, résist
r la compression énergique des troncs nerveux qui se rendent il. la zone sous-cutanée, sur tous les points où ils sont acc
ls sont accessibles dans leur trajet entre la moelle épinière et la zone . 3° Les zones viscérales, ont pour siège le par
sibles dans leur trajet entre la moelle épinière et la zone. 3° Les zones viscérales, ont pour siège le parenchyme de l'o
n a été faite par M. Féré, qui a vu chez une hystérique enceinte la zone hystérogène du flanc gauche s'élève graduelleme
es de la gestation. Cependant M Pitres pense qu'il peut y avoir des zones ovariennes et mammaires sous- cutanées, car il
- cutanées, car il arrive chez certains malades qui possèdent ces zones , à arrêter l'attaque en pinçant un pli de la peau
s comprimer profondément l'abdomen. On peut faire dis- paraître les zones hystérogènes par l'électrisation statique, la gal
xemple sur un membre), la réfrigération de la peau qui recouvre une zone sous-cutanée, l'application des siuapismes sur
ecouvre une zone sous-cutanée, l'application des siuapismes sur les zones cutanées ou sous-cutanées. (Les sina- pismes ap
ées circulairement autour d'un membre font dispa- raître toutes les zones situées au-dessous d'eux, et sont sans action s
tes les zones situées au-dessous d'eux, et sont sans action sur les zones situées au-dessus). Les zones hypnogènes sont d
d'eux, et sont sans action sur les zones situées au-dessus). Les zones hypnogènes sont des régions circonscrites du corp
l'état de veille les sujets préalablement hypnotisés. La principale zone hypnogène connue est le vertex, dont la pressio
s- tantanément le sommeil hypnotique. M. Pitres a observé que les zones hypnogènes se rencontrent sur tous les points du
lques hystériques facilement hypnotisables n'en possèdentaucun. Les zones ont en général de un à quatre ou cinq centimètr
à quatre ou cinq centimètres de diamètre; si la compression de ces zones produit l'effet spécifique, une com- pression e
s zones produit l'effet spécifique, une com- pression en dehors des zones ne donne lieu qu'à une douleur plus ou moins vi
fonds chez des sujets particulièrement excitables. De même que les zones hystérogènes, les zones hypnogènes peuvent être
articulièrement excitables. De même que les zones hystérogènes, les zones hypnogènes peuvent être divisées en zones cutan
s zones hystérogènes, les zones hypnogènes peuvent être divisées en zones cutanées, sous-cutanées, viscérales.- Parmi ces
divisées en zones cutanées, sous-cutanées, viscérales.- Parmi ces zones , les unes provoquent le sommeil, ce sont les zone
ales.- Parmi ces zones, les unes provoquent le sommeil, ce sont les zones hypno- gènes proprement dites ; les autres la f
oprement dites ; les autres la font cesser brusquement, ce sont les zones hypnofrénatrices. Les premières se subdivisent eu
pnofrénatrices. Les premières se subdivisent eu trois groupes : les zones hypnogènes simples, dont la pression pratiquée
eille détermine une phase, toujours la même, du sommeil hypnotique; zones hypnogènes à effets successifs, dont la pressio
à mesure que cette pression' devient de plus en plus énergique; les zones hypnogènes à effets incomplets, dont la pressio
it passer le sujet endormi d'une phase du sommeil dans l'autre. Les zones hypno-frénalrices sont susceptibles des mêmes s
l'étude de trois malades, qui possèdent un très grand nombre de ces zones , distribuées irrégu- lièrement sur toute la sur
ments des doigts, etc. - Chez quelques malades, presque toutes les zones hypnogènes sont situées sur le côté gauche du cor
nes sont situées sur le côté gauche du corps, et presque toutes les zones hypno-frénatrices sur le côté droit. Or ces mal
ésiques. Cependant il n'y a aucun rapport entre la distribution des zones et l'état de la sensibilité, car le transfert d
transfert de l'hémianesthésie ne s'accompagne pas du transfert des zones . - Les zones hystérogènes et hypnogènes coïncid
l'hémianesthésie ne s'accompagne pas du transfert des zones. - Les zones hystérogènes et hypnogènes coïncident quelquefo
ion plus énergique produit l'attaque. Cependant les deux espèces de zones conservent leur individualité, car par l'électr
ur individualité, car par l'électricité statique, on peut abolir la zone hystérogène, tandis que la zone hypnogène demeure
tricité statique, on peut abolir la zone hystérogène, tandis que la zone hypnogène demeure intacte. L'auteur étudie ensu
léthargie plus profonde, dans laquelle la pression de l'ovaire, des zones hystérogènes ne produit absolument rien. A. BINET
e la largeur du faisceau pyramidal, mais qui est bien situé dans la zone de celui-ci. On Voy. t. X, p. i. cas de sclér
isagent cette extension de la sclérose comme liée, à l'existence de zones de propagation du processus inflammatoire de la
t surtout des cornes antérieures; d'autre part on trouve dans les zones radiculaires antérieures un certain nombre de c
ntière- ment disparu : .C'est donc bien là une preuve que dans la zone de substance blanche qui contient les faisceaux
e homme de vingt et un ans. Phases classiques de la grande attaque; zone hysté- rogène. Arrêt de la crise par la pressio
oins forte. La douleur spontanée, du côté gauche a disparu. Mais la zone sous-axillaire d'hyper- esthésie subsiste. La p
une piqûre. Il pleure et se plaint de son côté gauche. Pas d'autre zone hyslé- rogène. 26 janvier et jours suivants.
cune couleur. La thoracalgie gauche a disparu. Mais il reste là une zone liysté- rogène dont la pression provoque la cri
ion du testicule, soit par la pression des fosses iliaques ou de la zone d'hyperesthésie, soit par tout autre moyen. On
st le pemphigus qui précède parfois l'apparition des plaques et des zones anesthésiques, d'ailleurs inconstant. Suit une
e segment antérieur ? Recherche vaine. l, Impossihle "de trouver la zone trophique et,le trajet des fibres conductrices. P
« der granzlichen Schieht, der grauen substanz » et dergeneischten zone » et pénétrant dans l'extrémité du dernier, il
urs au délire, perversion des senti- ments affectifs. - Insomnie. - Zones hyperesthésiques, très douloureuses même sponta
ones hyperesthésiques, très douloureuses même spontanément, : clou, zone latéro-vertébrale, sous-mammaire, sous-clavicul
rendre. 7. - Attaque convulsive. 8. Applications d'aimant sur les zones hyperesthésiques (ovaire gauche, dos à gauche ;
eut constater une diminution fort nette de l'hyperesthésie dans les zones citées. 9. = Deux attaques avec période de déli
plètement. La sensibilité générale et spéciale reparaît alors : les zones hype- resthésiques sont douloureuses comme à l'
emande à rester seule parce qu'elle a peur de tuer quelqu'un. 25. Zones hyperesthésiques, spontanément douloureuses sous
a moelle; 5" L'apparition rapide de troubles vaso-moteurs dans la zone des nerfs affectés; 6" Leur résistance à tout t
base, et que les signes d'inflammation fussent très peu marqués. La zone dite corticale motrice était atteinte dans une
nstaté; on n'observa pas non plus de symptômes moteurs, bien que la zone corticale motrice du côté droit fût envahie. Ic
nt, se com- plètent à mesure que le territoire devient libre sur la zone des centres sensoriels et des instincts. Cett
de même du goût et de l'odorat. Dans l'hypochondre droit existe une zone hystérogène. La compression du testicule droit
droite à gauche ; en plus, existe une hémiplégie faciale gauche. La zone hystérogène, le testicule dont la pression arrê
te la partie supérieure jouit de la sensibilité et du mouvement. La zone hystérogène a abandonné l'hypo- chondre gauche,
émiplégique et hémiatrophique à gauche. La force au dynamomètre, la zone hysthérogène, toul est transféré comme dans le
érescence scléreuse de la lisière de substance blanche de certaines zones déterminées de l'écorce dans la démence paralytiq
dorsal), 118. Vaso-moteurs de la peau de l'homme, par Bucb, 87. Zones (des) hystérogènes et hypno- gènes, des attaque
15 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
xiste entre la partie insensible et les parties saines une sorte de zone intermé- diaire où les troubles sont moins marq
d'amyotrophie, et de troubles de la sensibilité can- tonnés dans la zone du nerf cubital. Dans notre observation II, on
is va en diminuant progressivement. Elle dépasse habituellement les zones anatomiques rigoureuses de l'innervation cubita
et engourdissements, diminution de la sen- sibilité tactile dans la zone du nerf. On notait une augmentation du diamètre
bilité au tact, à la piqûre, à la température est diminuée dans la. zone innervée par le cubital. L'examen électrique fa
dorsale et première lombaire). Dans deux autres cas il existait des zones étendues d'anesthésie. La délimitation scrupuleus
. par sa partie supérieure se confond avec la limite inférieure de la zone qui 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
r- male au contactet au froid, semble diminuée à la douleur; pas de zones douloureuses; la malade voit les couleurs (viol
région qui, comme on le sait, estle siège de la plus fréquente des zones DOCUMENTS SATIRIQUES SUR MESMER. 105 hystérog
corps, sauf une diminution très marquée pour la main droite : cette zone d'anesthésie et d'analgésie, qui occupe toute cel
contact que le cùté droit(hémiliypoestfusie gauche). 11 existe une zone où l'anesthésie et l'analgésie sont complètes : c
iste une zone où l'anesthésie et l'analgésie sont complètes : cette zone occupe tout le membre supérieur gauche et se te
'ovaire gauche est douloureuse et détermine une attaquc oenvulsive ( zone hyslérogèlle). NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL.
loureuse perçue par la malade. Autour de l'oeil gauche il y a une zone d'aneslhésie légumentaire, com- prenant les pau
renant les paupières supérieure et inférieure, el s'étendanl dans une zone ' périorbitaire d'environ deux centimètres. L
ésie et l'analgésie sont complètes pour l'hémicalotte crânienne, la zone périorbitaire, la cornée et la conjonctive et le
anges des doigts qui ont leur sensibilité normale, de même que deux zones qui ont la forme de manchons d'une hauteur de sep
moitié gauche est tou- jours hyperesthésique; mais, de ce côté, les zones d'aneslhésie et d'analgésie complètes ne sont p
e, la cornée et la con- jonctive restant anesthésiques ainsi que la zone périorbitaire. Le 23 novembre '1 888, M. Charco
ec raideur qui dure depuis deux jours. Réveillée par pression de la zone hystérogène qu'elle porte dans le flanc gauche, e
sur la cornée et la conjonc- tive de l'oeil gauche; de même dans la zone périorhitaire. Là face et la tête sont en effet
devenues com- plètement insensibles. Autour de l'oeil existe une zone d'anesthésie tégumentaire; elle com- prend les
t oeil, anes- thésie et analgésie de la cornée et delà conjonctive, zone d'anesthésie tégumentaire périphérique. Nous
is consulter le docteur X... qui diagnostique une hyperesthésie des zones sus-orbitaires et propose l'extraction de dix-
ès accentué, la malade ne peut ouvrir l'oeil. L'hylereslhésic de la zone périorhitaire est toujours très marquée au simp
tiers supérieur et du tiers moyen du dos de la main, au niveau d'une zone décolorée, manifestement moins foncée que les d
lots pigmentaires de la largeur d'une lentille se voient dans cette zone décolorée. La partie inférieure du dos de la main
dispostion est la môme que celle du côté opposé. Au-dessus de cette zone brun-rougeâtre est une plaque décolorée répon-
normaux. Le front a gardé sa couleur normale, il l'exception d'une zone d'environ 2 centimètres qui s'étend au ras des
ment inférieur du tronc se limitant au-dessous de l'ombilic par une zone transversale figurée dans l'observation rapport
ntracturés. A la vérité, cette anesthésie s'irradiait au delà de la zone d'action de ces muscles, mais non dans des prop
(ordinai- rement présentée par la malade) par la pression des deux zones hystérogénes habituelles situées au-dessous du
lète avec un arc de cercle, altitudes passionnelles, en pressant la zone liystérogèiio située au niveau de l'angle de l'
en de la sen- sibilité montre, outre une hémianesthésie gauche, une zone d'anesthésie comprenant toute la moitié droite
face et du cou. Au réveil, là contracture a disparu et avec elle la zone d'anesthésie circonscrite qui l'ac- compagnait.
au niveau du genou gauche dont les téguments sont llyperesthésiés. Zone hystéro- gène au niveau des 3°, 4., 51 et 6a ve
essus, en bas jusqu'à la clavicule et un peu au-dessous, existe une zone d'anesthésie totale à la piqûre (fig. 57). Dans
e une zone d'anesthésie totale à la piqûre (fig. 57). Dans une même zone adroite (côte liémianesthésique) il s'est fait un
Nous constatons alors que la sensibilité a reparu à gauche dans la zone sus- indiquée, alors que le côté droit du cou e
ure et forme une, corde rigide sous la peau. Il existe à gauche une zone d'anesthésie cutanée à base triangu- laire se l
paraître la contracture. Au réveil, la sensibilité a reparu dans la zone anesthésique. Le 18 avril, mêmes phénomènes sur
Le 18 avril, mêmes phénomènes survenus après une attaque; outre la zone d'anesthésie gauche, il s'est fait un transfert
de la sensibilité à gauche, et de l'insensibilité à droite dans la zone indiquée. · 181. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
e tout le membre inférieur gauche (la plante du pied exceptée). Une zone hystérogène très sensible située au pli de l'ai
nément ou qu'elles soient provoquées par la pression exercée sur la zone hystérogène sus-indiquée, offrent il peu près t
n constate chez elle lous les signes d'une coxalgie hystérique avec zone hyperesthésique dans la région externe du pli d
ion mammaire et axillaire et sur v la face postérieure du mollet. Zone (l'hyperesthésie inguinale et fessière. Perle d
I), il est facile de constater qu'elles se limitent exactement à la zone atrophiée, bien que celle-ci soit très étendue; i
cune modifi- cation. Le malade a de chaque côté, dans le flanc, une zone hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La pr
e zone hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La pression de ces zones n'airétc pas les attaques, mais elle les provoq
30 secondes : rougeur faible sur la ligne tracée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone rouge pér
e tracée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone rouge périphérique, s'étendant au loin. Fin d
' minute : extension de la saillie blanche, qui envahit la première zone pâle et arrive aux limites de la zone rouge périp
nche, qui envahit la première zone pâle et arrive aux limites de la zone rouge périphérique. 4° ou 5e minute : l'élevure
la saillie de l'élevure varie de 1 à milli- mètres et davantage; la zone rouge périphérique s'étend de 2 à 5 cen- timètr
l'instant d'auparavant. Chez cette malade, la pression seule d'une zone hystérogène était susceptible d'amener le révei
e 1889) est toujours dans la même situation. Je ne retrouve plus la zone hystérogène de la région sternale. Les périodes
tiques. » M. Charcot réveille alors la malade par la pression d'une zone hystérogène située au niveau de l'ovaire gauche
eau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une zone limitée en haut et à droite par une ligne horizon
eau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une zone limitée : en haut par une ligne horizontale passa
s bourses et la verge du même côté ne sont pas comprises dans cette zone , à l'inverse de ce qui existe surla fig.83. Dan
ur. Pas de différence entre la sensibilité des deux côtés du corps. Zone hystérogène du mamelon; aura si l'on ne fait que
, faits suivants : 1. Aspect typique des attaques. 2. Présence de zones hystérogènes. ' 3. Possibilité d'arrêter à volo
ernière attaque, bien por- tant, robuste, ne présentant plus aucune zone hystérogène ou analgé- sique. Il est à regrette
16 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
au- tre part, fait beaucoup plus remarquable, on constatait dans la zone d'in- nervation cutanée du nerf circonflexe, de
que ci- jointe, vous montre une superposi- tion parfaite entre la zone d'liypoes- thésie, notée chez notre malade, et
surtout à droite, une autre bande scléreuse occupant en arrière la zone postéro-interne bordant le septum médian, pour
xpansion dans la direction de la colonne vésiculaire de Clarke. Les zones radiculaires sont également altérées, surtout cel
mi- nance dans la partie postérieure du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire postérieure. Dans le cordon antér
ostérieurs sont encore le siège d'une sclérose occupant surtout- la zone médiane et dans celle-ci la zone postérieure. Tou
'une sclérose occupant surtout- la zone médiane et dans celle-ci la zone postérieure. Tout le long Pl IV. L Battaille
schine) on voit des stries partant du centre et s'irradiant vers la zone claire périphé- rique. Ce sont peut-être des tr
nées de substance nucléaire qui ont échappé à la dégénération. La zone claire périphérique n'est pas produite par une si
ulaire. Quand le noyau est ainsi rétracté on peut voir nettement sa zone de dégénération. J'ai observé ces modifications
ation. J'ai observé ces modifications dans des cas bénins ; mais la zone claire n'est pas aussi large, le nombre des noy
schéma annexé à la leçon de M. Raymond). Le malade sent, dans cette zone ^ toutes les impressions mais beaucoup moins, pa
oprement dites, on a observé, chez quelques malades, l'existence de zones d'hyperesthésie. b) Anesthésie. L'anesthésie es
partie postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à une zone innervée par le petit sciatique,- ainsi que vou
it le domaine innervé par le sciatique, et ses bran- ches, moins la zone d'innervation des péroniers ? Au contraire, dan
ralysie sensitivo-motrice, aux membres inférieurs, était limitée la zone d'innervation du péronier. A propos de ces deux
hésie et une paralysie de la vessie et du rectum, et associée à une zone d'anes- thésie cutanée, à distribution bien net
nence des matières fécales et de constipation, avec anesthésie de la zone génito-périnéo-ano-fessi8re, et, en outre, une
thésie re- monte jusqu'au-dessus du pubis. Elle se continue par une zone transver- sale d'hyperesthésie, qui répond au t
re dorsale, l'hyperesthésie fait place à l'anesthésie dans cette même zone . Il n'y a pas lieu de compter sur une rétrocess
érale de la jambe ; enfin, au pied, l'anesthésie ne respecte qu'une zone contiguë au bord interne. La vessie et le rectum
e de poitrine hystérique. Cette association presque constante d'une zone hystérique cutanée et de troubles trophiques no
ureuses et qui présentent, fait expressément noté par Fow- ler, des zones hyperesthésiques ou hystérogènes du vagin ou du c
s chirurgiens, recourent à l'extirpation des ovaires atteints d'une zone hystérogène. Fort heureusement que ces idées ne
mécanisme du sein hystérique est là tout entier, - il s'agit d'une zone hyperesthésique-hystérogène dont l'exaltation, mi
fluence des causes qui président ordinairement à l'exal- tation des zones hyperesthésiques, lesquelles se transforment alor
ation des zones hyperesthésiques, lesquelles se transforment alors en zones hystérogènes. La pression directe, les émotions
es. La pression directe, les émotions vives peuvent faire entrer la zone du sein en action, de même qu'elle subit l'influe
in en action, de même qu'elle subit l'influence de l'excitation des zones de voisinage, ou de celles qui, siégeant au nivea
ns. Au moment où, sous l'action de ces diverses causes, s'exalte la zone de la région mammaire, le ou les seins, nous sa
, du rachis, s'unissant aux phéno- mènes douloureux partis d'autres zones hyslérogènes de voisinage, qui s'exaltent pour
onvulsif n'est pas un accompagne- ment obligé de l'exaltation de la zone hystérogène mammaire ; il est bien rare cependa
jours dif- ficile, étant susceptible de produire l'exaltation de la zone hystérogène. En se plaçant dans ces conditions
il est difficile parfois de déplacer un stigmate de la nature d'une zone hyperesthésique et le sein hystérique n'est pas
ment vas- LE SEIN HYSTÉRIQUE 117 cularisé, sous l'influence d'une zone de ce genre. D'autant que l'affection est presq
ection parfaitement caractéri- sée qui est sous la dépendance d'une zone hyperesthésique-hystérogène de la peau de la ré
ras jusqu'au coude : 'ces crises survenaient aussi FIG. 13 et 14. - Zone d'hypoesthésie consécutive il la section du cubit
eil. D'autre part le malade nous délimita sur son membre malade une zone d'anesthésie tac- tile occupant : du côté dorsa
trophiques proprement dits. A la suite de notre intervention, la zone que nous avions antérieurement notée sur le dos
l, le diagnostic de névralgie de la VHP racine cervicale droite. La zone hypereslhésique fut en effet, par cet examen, l
ès arrachement de la branche dorsale cutanée du cubi- tal, la zone d'hypo- esthésie située du côté dorsal se t
e la tête cubitale; c'est en deux points bien détermi- nés de celle zone hyperesthésique que les crises douloureuses avaie
mbre avant la résection des racines postérieures. Fie. 11 et 4S.- Zones et bandes d'hyperesthésie en pointillé. En noir,
voquait une légère extension de la main. D'autre part tandis que la zone et les bandes d'hypéresthésie avaient complètem
mes constater, sans aucune hési- tation possible, la présence d'une zone d'hypoesthésie tactile occupantla face interne
en dehors les limites du territoire autrefois hyperesthésie. Cette zone englobait les zones anesthé- siques résultant d
tes du territoire autrefois hyperesthésie. Cette zone englobait les zones anesthé- siques résultant des opéra lions antér
it les zones anesthé- siques résultant des opéra lions antérieures, zones qui se détachaient du 1 FiG. 21.- Spécimen de
E DE LA VIIIe RACINE POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 143 reste, sur la zone nouvellement atteinte, par l'intensité beaucoup p
e soir du même jour, je pus constater que la partie brachiale de la zone hypoesthésique avait disparu. Le lendemain, 12
érieures et pos- térieures correspondant peu près aux limites de la zone qu'occupait les jours précédents l'hypoesthésie
l'hypoesthésie transitoire et situées par conséquent Fia. 22 et 23. Zones d'hypoesthésie transitoire, constatée chez le mal
us en avons fait le diagnostic par la délimitation rigoureuse de la zone hyperesthésique qui correspondait non au territ
pporte, une saillie osseuse de la deuxième vertèbre lombaire et une zone douloureuse sus-jacente (vestiges d'une ancienn
émités supérieures. Anesthésie des membres supérieurs et du dos par zones : de toutes les variétés de la sensibilité, la tb
nels ; elle ne présente pas de diminution de la sensibilité, pas de zones d'analgésie ; aucun autre stigmate d'hystérie.
ntral. Etal compact con- servé avec raréfaction commençante dans la zone intermédiaire. La raré- faction superficielle e
a SALPÊTRIÈRE suivant le niveau des coupes de la région dorsale. La zone radiculaire moyenne est partout respectée. Près
ordons postérieurs qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans la zone radiculaire postérieure. Cependant," il est a b
les préparations traitées par la méthode de Pal, on constate que la zone radiculaire moyenne et toute la bande de substanc
ormales, tandis que la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure (de la nomenclature de Fl
RIÈRE qui regarde leurs fibres nerveuses. De même semble intacte la zone de Lissauer. m Les cornes antérieures et post
ache des tendons ou en n'importe quel point du tégument cutané, des zones hystérogènes dont la compres- sion est suscepti
Pharyngien aboli. Rotuliens normaux ; un peu plus forts à droite. Zones hystérogènes. - Colonne dorsale dans sa moitié su
le dans sa moitié supérieure. Vertex. Points ovariens. Toutes ces zones sont douloureuses et si la pression est continuée
Au niveau de la cuisse sur laquelle siège l'ul- cération, dans une zone limitée par des lignes circulaires passant en hau
ple diminution de la sensibilité dans les régions symétri- ques aux zones d'anesthésie du côté gauche. Enfin larges plaqu
et gauche du tronc, sur la nuque et la région occipitale. Pas de zones hystérogènes. Point douloureux épigastrique. An
ère les températures élevées sont encore perçues. A gauche, dans la zone symétrique, il existe une thermo-anesthésie qui
rieure de la cuisse gauche. Ajoutons qu'on observe encore une petite zone sensible à la piqûre, à la face dorsale des qua
myéline a disparu ; cette bande semble bien être en rapport avec la zone de diffusion des leucocytes. - La lésion des va
e transversale qui comprend la commissure postérieure et une petite zone adjointe des cordons postérieurs; elle s'arrête l
17 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nombre des cellules pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la zone motrice. Les faisceaux pyramidaux sont égalemen
empérature géné- rale, et l'élévation la plus grande correspond aux zones dans les- quelles le processus inflammatoire es
es cou- ches stratifiées de l'écorce, soit dans celle de prétendues zones spé- ciales du cerveau, une indication physiolo
e, il est vrai, que les unes ou les autres prévalent dans certaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans un
rtaines zones ou se trouvent même séparément groupées dans une même zone . Ce fut même pour soumettre à un examen nouveau
très différente, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe
iques des fibres nerveuses. La spécificité de fonction des diverses zones cérébrales dépend, en effet, non point de l'org
nes cérébrales dépend, en effet, non point de l'organisation de ces zones elles-mêmes, mais de la spécificité des organes
qu'il en existe, des cel- lules incontestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zone renferme e
ntestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zone renferme en même temps, sans doute confondues a
actions motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions des zones motrices, provoquer des troubles de la sensibil
hèse suivante de Golgi, une base anatomique. Dans les différentes zones de l'écorce cérébrale, les fonctions de la sensib
périphériques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones cérébrales serait déterminée par la spécificité
, et non point par une spécificité d'organisation anatomique de ces zones . » C'est la doctrine de Meynert. Quoique Meyner
t distinctes. Les deux sortes d'éléments nerveux coexistent dans la zone visuelle, parce qu'il n'est point de perception
à revoir les impressions du monde extérieur jusqu'aux dif- férentes zones centrales correspondantes. Sur le premier point,
llement iden- tique ». La spécificité fonctionnelle des différentes zones corti- cales du cerveau résulte, non d'une comp
trijumeau, les olfactifs, l'optique gauche sont déjà intéressés. La zone cortico-intellectuelle est menacée. La dénutritio
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dire la masse tactile de Flechsig, ou zone motrice des auteurs, fait un large détour à tra
e, en se propageant de bas en haut, apparaîtra avant tout dans la zone radiculaire du faisceau de Burdach du segment tra
par À. HoCHE. (Neurolog. Centl'albl., XV, 1896.) Il s'agit de la zone ovale de Flechsig située des deux côtés de la c
e la cloison postérieure, sur le milieu de la moelle (centre ovale, zone médiane, champ médian) à laquelle Gombault et P
que les fibres de la virgule de Schultze ne prennent pas part à la zone en question. Les fibres de la zone médiane siègen
hultze ne prennent pas part à la zone en question. Les fibres de la zone médiane siègent, au-dessous de l'endroit lésé,
acine dorsale, un champ dégénératif corres- pondant exactement à la zone cornu-radiculaire de P. Marie. On voit très net
e la 6e racine dorsale. A la hauteur de la 1" racine dorsale, cette zone se dirige en dedans ; elle n'est sépa- rée de l
raie de tissu sain qui s'amincit encore d'arrière en avant. Ici la zone dégé- nérative forme un L, dont la branche vert
n postérieur, et lui est même contiguë à son extrémité latérale. La zone radiculaire postérieure apparaît donc comme le
orsale qui vont au cerveau. Au niveau de la 7e racine cervicale, la zone dégénérative a diminué parce que un certain nombr
n'y en a plus qu'un petit vestige près de la corne postérieure. La zone dégénérative forme maintenant un triangle dont
ression mentale parait accompagner surtout les cas où il existe des zones superficielles douloureuses à la partie inférie
ous les mammi- fères, Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites pyramides; 3
he des grandes pyramides; 4° couche des cellules polymorphes . 1. Zone moléculaire. Lescellules de la névroglie se press
ulaires de Mar- tinotti. Mais la plupart des fibres nerveuses de la zone moléculaire proviennent des quatre types de neu
ndraxe fin, tantôt oblique, tantôt horizontal, et demeurant dans la zone moléculaire : cellules spéciales, ou cellules d
zone moléculaire : cellules spéciales, ou cellules de Cajal, de la zone moléculaire; 2° cellules fusi- {ormes, à direct
qui paraissent être des fibres nerveuses, restant toujours dans la zone moléculaire (cellules polyaones de Lenhossek) ;
ines collatérales qui se perdent dans les fibrilles nerveuses de la zone moléculaire; 4° cellules fusiformes unipolaires.
comme le pense Cajal, des cellules d'association, unissant à cette zone aux strates inférieures de l'écorce : du prolonge
es du faisceau tangentiel (Veratti). Les cellules spéciales de la zone moléculaire, presque toutes pluri- polaires, pr
ales les plus hautes du cylindraxe remontent quelquefois jusqu'à la zone moléculaire elle- même. Dans les vertèbres infé
llules se réduisent, chez les batraciens, au bouquet terminal de la zone moléculaire, sans branches latérales de la tige
ta- tion très nette et la tige qui les supporte n'atteint jamais la zone moléculaire; elle fait souvent défaut. Le cylin
lindraxe THÉORIE DES NEURONES. 289 presque en droiture jusqu'à la zone moléculaire, où il se divise en deux ou trois g
ns les diverses couches de l'écorce cérébrale et atteignent même la zone molécu- laire, où elles s'arborisent. D'autres
rande partie des fibres venues du bulbe olfactif montent dans cette zone et s'y arborisent dans les ramures protaplasmiq
e, au sens que nous avons dit, naîtrait donc dans l'épaisseur de la zone moléculaire. 151 THÉORIE DES NEURONES. 291 Ca
ctrique de l'écorce cérébrale : les excitations dif- fusées dans la zone moléculaire agiraient soit directement sur les
yramidales, soit indirectement sur les fibrilles nerveuses de cette zone ; bref, « le stimulant du physiolo- giste agirai
s longs; des organes à fonctions motrices, tels que le cervelet, la zone rolandique, renferment un grand nombre de cellu
sont immenses, et bien propres à déconcerter l'imagination. Dans la zone moléculaire, point commun de rencontre d'une «
rescentes des cylin- draxes et des collatérales existant dans cette zone peuvent com- 292 REVUE CRITIQUE. - muniquer a
es : 1° courants des quatre espèces de cel- lules autochtones de la zone moléculaire; 2° courants des cellules à cylindr
nules à la périphérie du cytoplasma laissant autour du noyau une zone claire qui s'étend jusque dans les prolongements
jusque dans les prolongements protoplas- miques ; c) mélange d'une zone de granules périnucléaires à la zone périphériq
las- miques ; c) mélange d'une zone de granules périnucléaires à la zone périphérique; d) extension de ces éléments chro
quefois pour expliquer ces changements : inhibitions de cer- taines zones cérébrales; interférences des courants nerveux; a
rand nombre de fibres tangentielles; ces dernières en occupent deux zones délimitées par une couche de cellules fusiforme
es, parce que chez eux il y a abseuce de connexion directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance g
Purkinje et celles qui se développent dans la couche profonde de la zone granuleuse externe pour prendre part à la forma
raxe. D'après Flechsig l'écorce cérébrale doit être divisée en deux zones distinctes ; une zone reliée aux masses grises
l'écorce cérébrale doit être divisée en deux zones distinctes ; une zone reliée aux masses grises inférieures par des fibr
eliée aux masses grises inférieures par des fibres de projec- tion ( zone des centres de projection) et une zone uniquement
des fibres de projec- tion (zone des centres de projection) et une zone uniquement cons- tituée par des fibres centripè
ripètes et centrifuges reliant entre eux les centres de projection ( zone des centres d'association). La zone des centres
ux les centres de projection (zone des centres d'association). La zone des centres de projection est constituée par quat
56 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Ce sont là les zones ou les sphères sensorielles ou plutôt les sphèr
l'écorce cérébrale en dehors des sphères sensorielles constitue la zone des centres d'association. Cette zone est formé
res sensorielles constitue la zone des centres d'association. Cette zone est formée de trois sphères distinctes : 1° le
à ce moment et à plus forte raison pendant la vie intra-utérine des zones de l'écorce qui correspondent à ces sphères son
ly avait en outre une légère dégénérescence diffuse au milieu de la zone radiculaire. Ce cas s'accorde aussi avec deux c
plégies, les hémi- plégies accusent celle des circonvolutions de la zone rolandique. » Les muscles de l'oeil, le pneumog
moelle épinière. Microscopiquement on trouva des altérations de la zone périphérique de la moelle entière; dans l'intumes
re gra- vement atteinte dans sa partie cervico-dorsale, où toute la zone marginale est dégénérée, tandis que la partie c
u-dessus des mame- lons, de là jusqu'au niveau de la deuxième côte, zone de sensibi- lité incertaine. Douleurs dans cett
euxième côte, zone de sensibi- lité incertaine. Douleurs dans cette zone et pins tard dans la par- tie interne des deux
rection ascendante, constitue, au sur et à mesure de son trajet, la zone cornu-radiculaire, la zone BIBLIOGRAPHIE. 1191
ue, au sur et à mesure de son trajet, la zone cornu-radiculaire, la zone BIBLIOGRAPHIE. 1191 1 des bandelettes externe
laire, la zone BIBLIOGRAPHIE. 1191 1 des bandelettes externes, la zone interne des fibres longues. Les systèmes endogè
: 1° au niveau du système radiculaire postérieur; 2° au niveau des zones endogènes ; 3° au niveau du cordon de Goll. De no
racines. Cet envahissement du système radiculaire pos- térieur, par zones successives, constitue la première étape anato-
ue du tabès. Le labes avancé est caractérisé par la destruction des zones endogènes descendantes (virgule de Schultze; band
de Flechsig; faisceau triangulaire médian du cône terminal;, et des zones endogènes ascendantes (fibres cornu-commissural
s ascendantes (fibres cornu-commissurales); celte destruction des zones endogènes constitue le deuxième étage anatomique
La lésion est, avant tout, une lésion primitive, quelle que soit la zone atteinte, endogène ou exogène, au niveau des raci
18 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t atteint dans son ensemble mais il y a lieu de distinguer diverses zones inégalement sclérosées. Le maximum des lésions
es. Le maximum des lésions siège en deux points : au niveau de la zone de Lissauer où l'on ne distingue que de très rare
ibres éparses; la dégénérescence gagne le cordon postérieur vers la zone cornu-radiculaire. L'ensemble de la lésion dess
euses à mesure que l'on se rapproche du septum médian. La seconde zone des lésions occupe une grande partie du cordon
côté est concave, restant séparé vers son milieu du septum par une zone ovale à peu près saine. En ces deux régions, le
n se détache avec netteté sur le fond du cordon postérieur. Trois zones sont beaucoup moins atteintes, offrant une majori
uent de cohésion, marque évi- dente d'une sclérose commençante. Ces zones correspondent : en arrière et en dehors à la mo
s côtés à la corne postérieure, et s'insinuant entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus décrite. La substance grise
cordon postérieur possède un plus grand nombre de libres saines. La zone de Lissauer est intacte ou à peu près. Pour ce
érieur proprement dit, elle occupe de pari et d'autre du septum une zone symétrique. Cette zone sclé- reuse a la forme d
elle occupe de pari et d'autre du septum une zone symétrique. Cette zone sclé- reuse a la forme d'un triangle allongé do
ez près de la périphérie de la moelle, mais en reste séparée par la zone radiculaire posté- rieure. Cette bande, qui cor
très peu de fibres saines dissé- minées à de larges intervalles. La zone de Lissauer est légèrement lésée. Tout le res
libres manquent, sans nul doute, dans les unes et les autres des zones postérieures. Le contraste est moins frappant ent
ent sains les faisceaux de Lissaüer et radiculaires postérieurs. La zone des fibres ascendantes est simplement repré- se
suit très exactement la direc- tion pour aller se confondre avec la zone cornu-radiculaire posté- rieure et atteindre la
envoie une expansion en forme d'ergot dont l'axe se dirige vers la zone de Lissauer; cet ergot entame le faisceau coniu
ordons ;it)Léto-IaLériux. Il est cependant facile de distinguer des zones plus fournies de libres, et l'on doit en partic
dans toute la hauteur de la moelle l'intégrité presque complète des zones de Lissauer. L'inté- grité est absolue le plus
très peu prononcée. L'intégrité des racines postérieures et de la zone de Lissaüer, ou le peu d'intensité de leurs lés
mais aussi, tout au moins en partie, celle des fibres endogènes; la zone de Westphall est en particulier fort malade sur
le de fibres saines, qui appartiennent, selon toute apparence, à la zone de Pierret ; elle est très allongée de haut en
rescence diffuse des cordons pos- térieurs atteignant à la fois les zones exogènes et endogènes avec intégrité presque co
les zones exogènes et endogènes avec intégrité presque complète des zones de Lissaüer et cornu-radiculaire moyenne, lésio
plus nettement opposable au tabès vulgaire), et des deux premières zones radiculaires dans toute la hauteur de la moelle
a sclérose des champs atteints qui occupent, au moins en partie, la zone radiculaire antérieure. Ce premier fait per- me
générescence des cordons de Goll et, de proche en proche, celle des zones radiculaires moyennes et puis de la zone de Lis
oche en proche, celle des zones radiculaires moyennes et puis de la zone de Lissaüer. Le processus est donc nécessaireme
u reconnaître comme sains le centre de Flechsig et une partie de la zone de Weslphall, aucune autre localisation n'a été
one de Weslphall, aucune autre localisation n'a été possible, et la zone de Westphall elle- même n'a pas conservé son in
les minimes lésions des racines sensitives et des deux premières zones radiculaires. Sans doute on pourrait dire que le
règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure et la zone de Lissauer. Pour aller jusqu'au bout, il n'y a r
a montré une lésion profonde à conlouis bien définis intéressant la zone motrice gauche, sans aucune lésion des autres p
tres méritent le nom de sensilivo-moteurs, mais que les limites des zones sensitives ne sont pas aussi nettes que celles
imites des zones sensitives ne sont pas aussi nettes que celles des zones motrices, qu'elles dé- bordent ces derniers pou
tal droit, tout près de la pariétale as- cendante, et entouré d'une zone de petits noyaux d'aspect inflam- matoire ; auc
obule pariétal supérieur; 2°les lésions corticales siégeant dans la zone psycho-motrice ou en dehors surtout celles-là p
erre, le malade steppe. La paralysie s'étend principalement dans la zone . z du sciatique poplilé interne. Plus rarement
upe de l'hémisphère gauche révèle contre les ganglions centraux une zone triangulaire longue de 2 centimètres, ayant la fo
aines adossée le long du tiers moyen de la corne pos- térieure, une zone de fibres dégénérées, la plus importante presqu
ntre même du cordon postérieur. Elle se réunit ainsi à une nouvelle zone de dégénération moins accusée généralement, cel
très rare qu'elle délimite exactement sa topo- graphie. Dans les zones où la dégénérescence est peu marquée, on observ
on qui trace, dans la plupart de nos moelles de paralytiques, cette zone de dégénération souvent la plus accusée à la ré
rasthénique et très hypochondiraque ; il est aussi astig- mate sans zone d'anesthésie. Rien à l'optlialmoscope. Influence
me le facial et l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la zone motrice du centre du bras. P. Keraval. XLVIII
t la plus altérée. Le territoire de l'anesthésie est déminé par une zone d'hypéresthésie bien marquée, zone large SYRI
l'anesthésie est déminé par une zone d'hypéresthésie bien marquée, zone large SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE la MOEL
opbie très prononcée. Au mois de juillet, on trouve au-dessus de la zone d'hyperes- thésie une diminution de la sensibil
e prononcée que sur la périphé- rie latérale de la moelle ; dans la zone radiculaire postérieure du côté gauche on aperç
sclérose systématique de tout le tractus moteur, les cellules de la zone rolandique comprises. Or, c'est ici qu'apparait
ravers de doigt au-dessous de ce niveau, et au côté opposé dans une zone plus étroite située dans la partie interne de la
eur de la cuisse, dans la partie dorsale des deux mains et dans une zone étroite qui s'étend sur toute la face antérieur
lom- baire avec la moelle dorsale, c'esl-à-dire au niveau de cette zone dite par Westphal « zone d'entrée des racines »
e dorsale, c'esl-à-dire au niveau de cette zone dite par Westphal « zone d'entrée des racines », située en avant de la s
ude, l'auteur décrit avec détails la structure histolo- gique de la zone périphérique corticale, d'après les résultats fou
ubstance grise, tandis que les fibres longues se servent plutôt des zones marginales périphériques. - - P. KERAVAL. XII
résentent deux espèces de lésions : une lésion récente occupant des zones radicu- laires circonscrites qui siège au beau
rne du crâne, ayant produit une compression ou une irritation de la zone rolandique. R. C. LXXXVI11. Note sur la paralys
départ de notre description, en leur associant la description de la zone immédiatement voisine. Après cela nous passerons
ion que nous avons employées, ne peut pas y être étudié. Dans cette zone donc nous trouvons des cellules nerveuses à noy
rment deux noyaux. Un grand nombre de cel- lules nerveuses de cette zone périvasculaire présentent d'autres altérations,
ent ce processus inflammatoire. Autour de la piqûre se trouve une zone plus ou moins étendne de tissu nécrosé qui, avec
résorbé intégralement. Le second jour déjà après la blessure, cette zone nécrosée est entourée par une autre appelée zon
la blessure, cette zone nécrosée est entourée par une autre appelée zone inflammatoire, qui sépare le tissu ' Virchow, U
t vers le quatrième ou cin- quième jour après la blessure que cette zone est le siège de phénomènes inflammatoires les p
es modifications profondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette zone dégénèrent. La zone inflammatoire est en- touré
fondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette zone dégénèrent. La zone inflammatoire est en- tourée elle-même par une
nt. La zone inflammatoire est en- tourée elle-même par une dernière zone , qui est très étendue quelquefois, oit les élém
ments nerveux ont subi une dégéné- rescence plus ou moins prononcée zone de dégénéres- cence. La prolifération commencée
noncée zone de dégénéres- cence. La prolifération commencée dans la zone inflamma- toire continue longtemps après. Si la
de foyers forme il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'une zone de dégénérescence autour des foyers inflam- mat
n de la diminution du volume des circonvolutions affectées. 4. La zone inflammatoire, formée elle-même des foyers infl
mée elle-même des foyers inflammatoires, est entourée par une autre zone que les uns .(Ziegler, Cocn) appellent zone de
entourée par une autre zone que les uns .(Ziegler, Cocn) appellent zone de dégénérescence, d'aulres (Friedmann) zone d'
egler, Cocn) appellent zone de dégénérescence, d'aulres (Friedmann) zone d'irritation. Chez nous cette zone s'étend très
nérescence, d'aulres (Friedmann) zone d'irritation. Chez nous cette zone s'étend très loin du groupe des foyers inflamma
trophie d'un certain nombre de cellules nerveuses. C'est dans cette zone et dans le voisinage immédiat des foyers inflam
. C'est comme cela que nous nous expli- quons l'existence de larges zones d'encéphalite chronique autour des petits foyer
La faiblesse des quatre membres correspond aux altérations de la zone de dégénérescence. Enfin les crises épileptiforme
racines postérieures sont parquées dans le cordon postérieur et la zone de Lissauer du même côté. 3. Il n'y a pas de
i imperceptiblement passent de l'aire du faisceau pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la ré
uppose vraisemblablement une hémato- myélre. Toutefois à droite une zone d'anesthésie correspondrait aux première et deu
sceau latéral dé la pyramide, qui normalement demeure en deçà de la zone limitée par une ligne tirée de dehors en avant
a circonvolution de l'hippocampe ; 3° la région visuelle : c'est la zone du sillon de l'ergot de Morand, une partie du c
and une autre région sensible de 1 écorce est excitée, telle que la zone tactile, olfactive, ou auditive; l'outil de la
19 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
issement : nodules péribronchiques plus ou moins étendus, entourés de zones de splénisation. —2° Emploi d'un fort grossis-sem
fort grossis-sement : altérations de la pneumonie catarrhale dans les zones de spléni-sation ; fréquence d'un réseau fibrineu
ion et de plus, le mode de répartition des lésions à divers degrés en zones concentriques. Tandis que le centre de la région
centriques. Tandis que le centre de la région hépatisée est gris, les zones périphériques en sont encore à la période d'hépat
t resté en place. — C, tissu conjonctif péribronchique épaissi. — [), zone d'hépatisation péribronchique (alvéoles remplis d
e de centres de formation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux zones : 1° une zone centrale caséeuse, percée d'un trou
formation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux zones : 1° une zone centrale caséeuse, percée d'un trou déchi- Char
qui n'est autre chose que ce qui reste du conduit alvéo-laire; 2° une zone périphérique, composée de cellules soudées par un
ements sessiles ou pédicules et qu'on reconnaît aisément pour être la zone embryonnaire qui se retrouve à la périphérie de t
te différence de siège, tout est semblable. Dans les deux cas, deux zones ; une zone périphérique embryonnaire, une zone cen
ce de siège, tout est semblable. Dans les deux cas, deux zones; une zone périphérique embryonnaire, une zone centrale ca-s
ans les deux cas, deux zones; une zone périphérique embryonnaire, une zone centrale ca-séeuse non colorée par les réactifs o
non colorée par les réactifs ordinaires. La séparation entre les deux zones est marquée par une zone intermédiaire, qui prése
fs ordinaires. La séparation entre les deux zones est marquée par une zone intermédiaire, qui présente l'aspect d'une bande
chaque folli-cule ; les cellules épithélioïdes les enveloppent d'une zone moyenne; les zones externes embryonnaires de chaq
; les cellules épithélioïdes les enveloppent d'une zone moyenne; les zones externes embryonnaires de chaque folli-cule se co
C'est jus- tement ce que fait la caséification. La forme même de la zone caséeuse donne à penser que la mortification se p
la mortification se produit tout à coup, tout d'une pièce. Dans cette zone , tout semble à peu près homogène, demi-transparen
ermédiaire se sera portée un peu plus en dehors, en même temps que la zone embryonnaire s'élargit aussi. Et c'est ainsi que
la- bles bourgeons charnus. Le lissu pulmonaire sous-jacent à cette zone s'est transformé petit à petit, sur une épaisseur
bercule diffère-t-il du tubercule en pleine évolution destructive? La zone embryonnaire plus large a subi l'évolution fibreu
dans la partie centrale. Des vaisseaux se sont dévelop-pés dans cette zone embryonnaire, qui ne se connaît plus qu'à la prés
e processus curalif est quelque peu accentué, on peut suivre, dans la zone embryonnaire or-dinairement visible, les deux pha
l'appa-rence de l'agglomération tuberculeuse en pleine évolution. La zone caséeuse est dislincle, les travées élastiques en
éeuse est dislincle, les travées élastiques encore visibles ; mais la zone embryonnaire n'est plus qu'une paroi kystique fib
, il ne s'agit pas d'évolution par-tielle fibreuse, s'opérant dans la zone embryonnaire, au pour-tour de la zone caséeuse, c
lle fibreuse, s'opérant dans la zone embryonnaire, au pour-tour de la zone caséeuse, comme dans le tubercule présentant cett
tion de plusieurs tubercules primitifs; dis-position concentrique des zones ; cellules géantes souvent re-connaissables; stru
.— (Dessin demi-schématique).— A, tubercule de guérison entouré d une zone fibreuse où serpentent des capillaires, D. — C, c
mérations tuberculeuses. Les nodules sont plus volumineux. Il y a une zone périphérique fibreuse et une zone centrale égalem
es sont plus volumineux. Il y a une zone périphérique fibreuse et une zone centrale également fibreuse, mais où se dessinent
M. Charcot fait remarquer qu'il est bien difficile d'admettre que la zone centrale, après avoir subi la fonte caséeuse, a é
tubercule tout entier est dans l'état qu'il présente à l'ordinaire : zone em-bryonnaire ; parois alvéolaires infiltrées de
À l'examen microscopique, on reconnaît qu'elles sont composées d'une zone externe de petites cellules arrondies, appartenan
éristique de la tuber-culose. Autour de la cellule géante, existe une zone dite moyenne, formée de cellules plus volumineuse
e dite moyenne, formée de cellules plus volumineuses que celles de la zone externe, cellules épithélioldes, comme les appell
, c'est-à-dire par la cellule géante, et s'étend progressivement à la zone moyenne, c'est-à-dire des grosses cellules, puis
c. Telles ne sont pas les cellules volumineuses, épithélioïdes, de la zone moyenne, non plus que les petites cel-lules lymph
non plus que les petites cel-lules lymphoïdes ou cytoblastions de la zone externe, aux-quelles on s'est beaucoup attaché au
12, 15 follicules agglo-mérés se montrent entourés et réunis par une zone commune de petites cellules : ils forment ainsi u
téristique. Ces follicules sont enveloppés, comme on l'a dit, par une zone commune composée de petites cellules embryonnaire
d'examiner la périphérie de l'amas tuberculeux; en particulier, la zone des alvéoles encore libres ou dont les parois inf
du centre caséeux du tubercule élémen-taire, existe, constamment, une zone continue, d'une certaine épaisseur, qui suit exac
ment tous les contours du bord limi-tant de la région centrale. Cette zone offre, sur les couches traitées par le carmin, un
élastiques sont là moins apparents que dans cette dernière région. La zone en question est essentiellement constituée par du
uper leurs cavités. « Ce qui rend, dit M. Charcot, l'étude de cette zone encore » plus intéressante, c'est la présence hab
g, et » alors au voisinage immédiat de la région centrale, quand la » zone est mince, quelquefois sur deux rangs, quand elle
aître la description qu'a donnée M. Grancher de ce qu'il appelle la zone embryonnaire, dans ses études sur un cas de pneum
es auteurs. (Dessin fait sur nature par M. le professeur Charroi). A, zone centrale caséeuse. B, cellules géantes. C. zone e
ofesseur Charroi). A, zone centrale caséeuse. B, cellules géantes. C. zone embryon-naire. D, coupe de vaisseaux artériels. A
elle envahit progressivement les parties périphériques de l'îlot. La zone dite embryonnaire, remarquable par la présence de
bronches. — E, E', Artères. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone caséeuse. — F, F', zone embryonnaire. coupes, c
res. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone caséeuse. — F, F', zone embryonnaire. coupes, comme une seconde zone, a
one caséeuse. — F, F', zone embryonnaire. coupes, comme une seconde zone , autour et en dehors delà zone embrtjonnaire (Fig
ryonnaire. coupes, comme une seconde zone, autour et en dehors delà zone embrtjonnaire (Fig. 39 et 40). Ces produits div
éribronchiques ou péri-acineux (nodules errati-ques), limités par une zone embryonnaire avec ou sans l'ac-compagnement des l
que. L'oubli de ces règles a conduit à laisser passer inaperçue cette zone em-bryonnaire qui, limite la région caséeuse des
égions où le poumon offre les lésions de l'inflammation simple. Cette zone embryonnaire a été pour la première fois décrit
a constitution. On peut, en semblable circonstance, reconnaître trois zone s dans le folli-cule. La partie centrale est occu
le est occupée par une cellule géante ; autour de celle-ci existe une zone de cellules qui, en raison de leurs caractères sp
iaux, ont recule nom de cellules épithé-lioïdes ; enfin une troisième zone , plus extérieure, est formée par des éléments plu
sième zone, plus extérieure, est formée par des éléments plus petits, zone de tissu embryonnaire ou de tissu réticulé, suiva
ps avec elle. Leur protoplasma se renfle au moment où ils abordent la zone des noyaux; à ce niveau, ils sont encore assez so
es ; au-delà, ils se perdent en se fondant dans la masse grenue de la zone centrale. Si on pousse l'opération plus loin, on
gent, sans structure, fixant forte-ment l'acide picrique ; en dehors, zone très épaisse de noyaux; plus en dehors enfin, de
ngements rayonnants dans toutes les directions. Sur un seul point, la zone de noyaux est interrompue dans une certaine étend
et d'une partie renflée. Or, pour le pédicule aussi bien que pour la zone périphérique de la partie renflée, la structure d
elle est la modification particulière qui pro-duit les cellules de la zone épithélioïde du follicule ; telle est celle qui a
ont nous reconnaissons l'existence au niveau de son pédicule et de sa zone périphérique, c'est-à-dire qu'il a été constitué,
ssement : nodules péri-bronchiques plus ou moins étendus, entourés de zones de splénisation. —2° Emploi d'un fort grossis-sem
fort grossis-sement : altérations de la pneumonie catarrhale dans les zones de spléni-sation; fréquence d'un réseau fibrineux
ollicules tuberculeux, 266 ; — ag-glomérés, 271, 272; —isolés, 290: — zones des —, 291. G Gaîne lymphatique, 269. Gangr
ein, 77; — de la pneumonie, 182. Granulations tuberculeuses, 243; — zones , 244; — grises, 258, 260, 279, 305; — histologie,
6, 110, 116, 192. 234, 2H6; — er-ratiques, 280, 286; — coupe, 241 ; — zones , 41; — extension, 242, 285; — localisation, 242,
ix (modifications de la — dans les anévrismes de l'aorte), 504. Z Zone embryonnaire du tubercule, 282, ¿83, 284, 286,287
20 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ure de la moelle et les faisceaux pyramidaux sont remplacés par des zones de sclérose complète. Dans la partie antérieure
squ'aux postérieures. Les faisceaux pyramidaux sont sclérosés et la zone non colorée est bien plus large que lorsqu'il s
la moitié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La zone postérieure et médiane et ce qui représente le
er une crise d'hystérie, l'hypéresthésie hémicranienne devenant une zone spasmogénique comme d'autres névralgies peuvent
s de la sensibilité de la cuisse gauche, bien limités, occupent une zone qui commence en avant et en dehors à 8 centimèt
ures, pour occuper, au sein de ces dernières, soit des fibres d'une zone embryonnaire déterminée, soit à la fois toute l
de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo- motrices de l'hémisphère droit., R.
ERVEUSE. - à signaler dans les grands organes splanchniques. Pas de zones - hystérogènes. Champ visuel rétréci concentriq
erse au-dessous de la septième dorsale. L'excitation d'une certaine zone (voy. Neurol. Centzwl6l., 1893) au niveau de la
be et la cuisse se fléchit sur le bassin. L'excitation légère de la zone fémorale en question produit invariablement la
cette substance; elle avait épargné notam- ment invariablement les zones des cornes antérieures et posté- rieures, ainsi
e plus forte destruction. Il semble évident à M. Rothmaun que cette zone de dégénéres- cence tend à atteindre l'aire du
volution sigmoïde anté- rieure, en avant du sillon crucial, sur une zone d'un centimètre de diamètre, qui correspond à l
tenant pepsine et acide chlo- rliydrique. Une section autourde la zone corticale en question n'empêche nul- lement la
lement la genèse de ces phénomènes, tandis que la résection de la zone elle-même fait disparaître l'action sécrétoire, a
loie un courant électrique intense : c'est donc bien l'écorce de la zone qui agit. Agit-elle par les mouvements de l'es-
es encore. B. Les expériences V et VI, permettent de rattacher à la zone corticale déjà indiquée le phénomène mental de
uit chez les animaux à la vue des ali- mentes. Si l'on enlève cette zone des deux côtés. (exp. V.), on peut présenter au
I. A la suite de la section du nerf vague droit, l'excitation de la zone corticale de sigmoïde gauche provoque une sécré
che provoque une sécrétion gastrique moindre que l'excitation de la zone symétrique droite, et inversement quant à la se
vague gauche. Après la section des deux nerfs, on excite en vain la zone de droite ou celle de gauche, le suc gastrique
nimal auquel on apris soin préalablement de détruire l'écorce de la zone sécrétoire de la sigmoïde antérieure, produit, de
membranes méningées, ayant toujours comme siège de prédilection les zones péri et paravasculaires ; 3° Les lésions des ce
ns de leur entrecroisement sont presque les mêmes : il se forme une zone symétrique qui se développe en arrière paral- l
900.) Les trois centres d'association de Flechsig, suivis de ses 40 zones embryogéniques corticales, qu'il répartit en tr
la limite de tout foyer de sensation ou de perception il existe des zones de perfectionnement évolutif. L'existence de ce
des images d'objets ayant agi sur les sens, nous fait penser que la zone de perception est la zone du souvenir de ce qui
agi sur les sens, nous fait penser que la zone de perception est la zone du souvenir de ce qui est perçu. Toute la zone
de perception est la zone du souvenir de ce qui est perçu. Toute la zone pariéto-occipitale associative de Flechsig est,
'oeil, des images d'objets; vers les limites antérieures de la même zone , sont engendrés des symboles graphiques des objet
leurs rapports. De même la première temporale est une partie de la zone du langage incluse dans le champ auditif sensorie
de la zone du langage incluse dans le champ auditif sensoriel. La zone motrice, toute zone de projection qu'elle soit, r
age incluse dans le champ auditif sensoriel. La zone motrice, toute zone de projection qu'elle soit, reçoit cependant to
ection qu'elle soit, reçoit cependant toutes les ondes des diverses zones et de la sphère tac- tile du corps, ce qui lui
Les mouvements sont consécutifs aux perceptions sensorielles. La zone motrice est bien plus une zone d'association que
ifs aux perceptions sensorielles. La zone motrice est bien plus une zone d'association que la grande zone d'association
La zone motrice est bien plus une zone d'association que la grande zone d'association postéro-inférieure, et, cependant,
ive. Le pied des frontales est en réalité un champ d'évolution dela zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du ce
ontales, a une valeur fonc- tionnelle bien supérieure à celle de la zone motrice destinée aux mouvements ordinaires des
e frontale, à ceux des muscles en question adaptés à l'écriture. La zone motrice s'est développée intellectuellement, pa
uite d'une association psychique beaucoup plus élevée que la grande zone d'association postérieure de Flechsig. Les numé
u cerveau par coup de feu dans la région temporale droite en pleine zone motrice. Après un coma de dix-huit heures le ma
xtension. 8. Sentez le membre supérienr droit : la percussion de la zone d'hyperesthésie cérébrale du membre supérieur d
t gestes pour éloigner le chien z La tête me fait mal Je percute la zone hyperesthésiée (bord postérieur du frontal droi
uffrances du malade paraissaient atroces. Le simple frôlement de la zone hyperesthésiée du cuir chevelu correspondant au
rait, des cris aigus. Mais en appuyant l fortement mon pouce sur la zone d'hyperesthésie, je calmais la douleur qui repr
e à la cessation de la compression. La percussion légère de la même zone reten- tissait avec violence dans la mâchoire.
opique testiculaire gauche, se plaignit pour la première fois d'une zone d'hyperesthésie au niveau de son anneau inguina
d'un équivalent psychique de ces névroses, ou joue le rôle d'une zone spasmogèneprovocatrice d'une attaque d'hystérie g
ltaïque, ainsi est augmentée la quantité des rayons chimiques de la zone du violet du spectre, par suite des vapeurs du
és. La flamme est d'abord d'un bleu violet, puis, se produisent des zones concentriques de vert, de jaune, de rouge brun
ébrospinales : ils se mani- festent, dans le premier, sous forme de zones tricho-anesthésiques au niveau du mamelon et de
l'hystérie, l'épilepsie, la migraine ophthalmique. L'alternance de zones de tricho-anesthésie ou de tricho-hypoesthésie
ce de zones de tricho-anesthésie ou de tricho-hypoesthésie avec des zones de tricho-hyperesthésie se voit dans le tabes.
esthési- ques. M. Bechterew a constaté l'hyperesthésie pilaire en zone superpo- sée à la région anesthésique dans les
omme lieu d'élection ,analgésique pour les injections du calomel la zone située il quatre centimètres en dehors du sillo
ession. L'examen de la sensibilité cutanée révèle l'existence d'une zone hyperesthésique à cette place. 27. La malade es
INIQUE NERVEUSE. constater alors une ovarie bien caractérisée, avec zone hyper- esthésique correspondante de la peau de
a peau de la tête qui est la moins affectée : à la tête, on voit la zone du nerf ethmoïdal (nasal interne) atteinte à l'
n, G seu- lement eurent des attaques complètes à l'excitation de la zone épileptogètre, 14 se contentèrent de se gratter
nomènes dans la patte paralysée ; les 16 autres, quand on excita la zone épilepto- gène, manifestèrent, la plupart passa
ière : les deux épaules, les bras et les mains sont compris dans la zone anesthésiée. A la face antérieure du corps la sen
passant par les dixièmes côtes, à partir de laquelle com- mence une zone d'extrême hyperesthésie qui descend jusqu'aux a
e qui descend jusqu'aux aines. A la face postérieure du corps, la zone de sensibilité normale s'étend de l'angle infér
sauf deux petits points très sensibles au-dessous de l'omoplate e ( zones hystérogcnes) : l'excitation électrique de ces de
ré la pâleur de la peau. Toutes les lignes de démarcation entre les zones de sensibi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 403
EUSE. 403 lité et d'insensibilité sont nettes et tranchées : pas de zone de tran- sition. Quand la sensibilité est reven
, disposés en plusieurs couches autour du noyau. En dehors de cette zone centrale, pignomorphe, on voit une zone périphé
noyau. En dehors de cette zone centrale, pignomorphe, on voit une zone périphérique, plus ou moins large, où les corpusc
19. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 4335 toutefois dans une étroite zone centrale, qui correspond à la tache jaune; je v
une gomme, ou d'une plaque .de méningite développée au niveau de la zone rolandique de .l'un des hémisphères. - .-Tout
occipital. Seulement, suivant les uns, il ne dépasse pas l'étroite zone représentée par les lèvres de la scissure calca
occipitales. Leurs lieux d'aboutissement constituent précisément la zone visuelle corticale. Or, ainsi que je vous le la
- tant, on n'est pas encore fixé sur les limites exactes de cette zone . - D'après Henschen, elles ne dépasseraient pas
pas les deux lèvres de la scissures calcarine. D'après Vialet, la zone visuelle corticale comprendrait, indépendamment
ce blanche sous-jacente de cette scissure étaient intactes dans une zone de 2 centimètres carrés de surface, qui, partan
a région maculaire est en connexion avec toutes les par- ties de la zone corticale visuelle, et je vous rappelle que von
icale visuelle, et je vous rappelle que von Monakow assigne à-cette zone une étendue beaucoup plus grande qu'on ne le fa
suis expliqué, là-dessus, il y a un instant. Donc, pour peu que la zone visuelle reste intacte dans une faible portion
un point quelconque de son parcours compris entre le chiasma et la zone corticale visuelle, donnera lieu, à une hémiano
en sera encore de même, dans le cas d'une lésion qui désorganise la zone corticale visuelle. Une lésion, qui réalise l'u
. ictus apoplectique, est l'indice d'une brusque inhibition de la zone rolandique gauche ou de la portion sous-jacente d
es accidents supposent la suppres- sion de l'apport sanguin dans la zone rolandique, dans les deux premières circonvolut
moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue la plus grande partie de la zone rolandique, c'est-à-dire, les trois quarts infé
externe du cerveau. On peut donc la considérer comme l'artère de la zone visuelle corticale. En fin de compte, je form
comment se présente Fig. 29. - Les parties ombrées représentent la zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne.
t les autres dégénèrent, dans les cas de lésions destructives de la zone corticale visuelle. Peut-être l'atrophie de la
ert et pour le rouge; 4° souvent on rencontre une expan- sion de la zone d'achromatopsie; 5° le degré du rétrécissement ne
21 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note la présence d'une zone hystérogène parfaitement caractérisée. Enfin no
ncters. Sensibilité. Abdomen, anesthésie complète au niveau d'une zone limitée en haut par une ligne horizontale située
orter les ali- ments à sa bouche. Dynamomètre MD : 0 ; MG : 4 K. La zone d'a- nesthésie a gagné du terrain aux membres s
isation des phénomènes paralytiques, correspond une extension de la zone d'anesthésie (voir fig. 2). Uue exception doit
ques centimètres au-dessus du sillon interfessier, existe une vaste zone d'anesthésie occupant toute la partie postérieu
les épaules, la nuque. En avant, au-dessus de l'arcade de Fallope, zone d'anesthésie occupant toute la paroi antérieure
° un territoire sen- sible à la température, qui comprend, outre la zone précédente, les deux faces de la main, et qui s
- Extrémités inférieures toujours paralysées et cyanosées. 20. La zone de sensibilité à la température a gagné du ter-
jour en jour plus étendus. 7. Modifications de la sensibilité. La zone du membre droit sensible à la température et à
reparait, mais seule, aux faces 'dorsale et palmaire, des mains; la zone sensible à la tempé- CAS DE PARALYSIE DES QUATR
de, puis au niveau de l'insertion du del- toïde. Simultanément la zone sensible au contact (doigts), persiste sans mod
ication, mais la sensibilité à la douleur reparaît, d'abord dans la zone correspondant au carpe et au métacarpe, où seul
es mêmes que ceux qui ont succédé immé- diatement à l'opération. La zone de l'anesthésie (zona anoes- thética) est au ni
tatons une légère hémianesthosie droite et l'existence de plusieurs zones (hystérogènes; ovarienne et sous-mammaire droit
usieurs zones (hystérogènes; ovarienne et sous-mammaire droite; une zone symé- trique sous-mammaire gauche. La malade se
hénomènes de diffusion et de propagation du stimulus à la véritable zone épi- leptogène. Cette zone était constituée par
e propagation du stimulus à la véritable zone épi- leptogène. Cette zone était constituée par un grand nombre (molti) de
au découverts par Fritsch et Hitzig. Quels rapports soutenait cette zone épileptogène avec le reste de l'encéphale ? Alb
es pédoncules cérébraux et leurs expansions. Après l'ablation de la zone épileptogène, il déterminait des accès d'épilep
logiques, les traumatismes cérébraux, les lésions irritatives de la zone motrice provo- quent la fonction épileptogène d
des premiers, au point de vue anato- mo-clinique, l'existence de la zone épileptogène d'Albertoni -. De leur côté, Lucia
Il n'y a de nouveau, dans le travail d'Albertoni, que le nom de « zone épileptogène » donné à la zone motrice des extrém
travail d'Albertoni, que le nom de « zone épileptogène » donné à la zone motrice des extrémités antérieures et postérieu
l'exci- tation du cerveau et établi que, loin d'être confinée à une zone spéciale, la propriété épileptogène de l'écorce
t le sys- tème cortical, se localiser en un point circonscrit de la zone motrice, ou se propager d'un point au reste de
rce s'étend d'un point initial à une partie ou à l'ensemble de la zone motrice, l'accès convulsif intéressera successive
moteurs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en particulier la zone motrice, est pour Luciani l'organe central des
épileptiques. L'excitation morbide, directe ou indirecte, de cette zone , est la cause essentielle du processus. L'excit
ale, la perte de conscience, coïncident précisément avec ceux de la zone motrice de l'écorce (Eulenburg et Landois). L'e
es les critiques de Luciani contre la doctrine de l'existence d'une zone épileptogène, Albertoni conteste que l'écorce s
e les surfaces sensibles périphériques dans l'épilepsie réflexe; la zone motrice ne faisait que donner le signal de l'at-
es chiens nés de parents ayant subi des lésions circonscrites de la zone motrice, treize et neuf mois auparavant, mais qui
ouvé aucun écho, et que, pour la plupart des auteurs italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute la zone motrice, c
art des auteurs italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute la zone motrice, c'est-à-dire aux centres des extrémité
s ces au- teurs mêmes, l'excitabilité de différents points de cette zone est loin d'être uniforme. C'est ainsi que Lucia
ces décharges peuvent siéger, soit aux confins, soit en dehors des zones mo- trices proprement dites. Dans le premier ca
itrzezztale, déc. 1881. Cf. Arch. per le mal. nen]. 1885, 83 : a La zone dite motrice chez l'homme peut être aussi considé
xcitation portée sur cette région doit être plus intense que sur la zone motrice; les accès convulsifs sont moins forts
econdes après le passage du courant). Comme, après l'ablation de la zone motrice, les excitations du lobe occipital ne p
conclut que les accès résultent de la propagation du processus à la zone motrice. Mais, d'accord sur les faits, les aute
tion de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de l'écorce de la zone motrice met fin aux convul- sions ; celle de la
ltèrent beaucoup plus l'intelligence que celles de n'importe quelle zone sensorielle. Quelques nou- velles expériences d
x, excités par un stimulus morbide parti de l'écorce même, soit des zones sensorielles, soit des zones sensitives, et ce
ide parti de l'écorce même, soit des zones sensorielles, soit des zones sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la zone co
sorielles, soit des zones sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la zone corticale motrice serait affectée. Dans l'épile
n- traire, l'accès convulsif serait primitivement provoqué par la zone motrice corticale, et ce n'est qu'éventuellement,
ubstance grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en particulier la zone motrice, n'est pas l'unique centre épileptogène
t la succession des accès. Donc, au point de vue clinique aussi, la zone exci- ' B. Tomaschewski. Zur Frage ùber die Bet
s. Les méninges s'enlevèrent très facilement, excepté sur une vaste zone comprenant, à droite, la partie pos- térieure d
oit. La consistance du cer- veau était très faible dans toute cette zone . L'écorce, aussi bien que les faisceaux médulla
i-gélati- neuse. A l'examen microscopique, il n'existait dans celte zone aucun élément nerveux, mais une quantité consid
QUES. 123 d'accès d'épilepsie partielle en l'absence complète de la zone motrice opposée ; il leur attribue les mêmes pr
' M. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la zone motrice du côté gauche, sans pouvoir localiser av
XIII. Contribution A la QUESTION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE POSTÉRIEURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par P. ROSENBA
lités, à la pariétale ascendante ainsi qu'au lobule paracentral. La zone motrice du cerveau est donc également un centre s
les cordons postérieurs se composent de plusieurs pièces. Puis, les zones moyennes du cervelet (notamment le vermis supé-
chives de Neurologie, t. XIII, p. 81; - t. XII, p. 105, 107) et les zones voisines de la formation réticulaire. Puis, le
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169' - Et d'abord, réexaminons cette zone d'anesthésie partielle avec dissociation syring
ons rien à changer à ce qui a été dit. Mais la disposition de cette zone est bien singulière. Pourquoi cette forme de la
l. 17" fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE NERVEUSE. cédez -moi qu'ici la zone d'anesthésie partielle se rat- tache à une alté
15. Hachures obliques : hémidysesthésie. Hachures hori- zontales : zone de dissociation syringomyélique de la sensibilité
, ni pendant la durée de la présence du drain dans la plaie. Aucune zone céré- brale importante n'était alors impression
, ils sont un peu exagérés. Sensi- bilité : On remarque une étroite zone d'anesthésie autour de la partie dorsale au niv
de leurs fibres blanches émanant de l'arc olfactif, une sorte de zone radiculaire. Par sa structure et ses con- nexio
dont les fonctions seraient inconnues. Pour les circonvolutions, la zone latente des localisations diminue de jour en jo
c'est l'encéphalite à la fois interstitielle et parenchymateuse des zones corticales antérieures frontales; à côté d'elle
uve de l'encé- phalite interstitielle prédominante ou seule dans la zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrièr
s la zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrière, dans la zone postérieure, moins atteinte, on ne trouve génér
différents centres, outre leur territoire propre, ont entre eux des zones d'irradiation, des territoires communs, d'où l'
ions sans que les autres soient plus ou moins troublées. Toutes les zones sensitivo-sensorielles convergeraient, chez le ch
schromatopsie,- ni polyopie monoculaire, ni micromégalopsie. Pas de zones hyslérogènes vraies, mais il existe deux points d
igastrique qui remonte à la gorge jusqu'au niveau du larynx. Pas de zones hystérogènes, ni même hyperesthésiques; pas d'a
tie, on trouva une boursouflure légère, un peu pâle, entourée d'une zone rougeâtre, douloureuse au toucher et à la press
boursouflure con- sidérable avec érythème papuluire apparut, et la zone voisine, large de 4 ou 5 centimètres, était ext
22 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ales, même détruites en totalité, ne peuvent donner naissance à une zone scléreuse aussi étendue, et dont vous pouvez vo
tes, à propos des réactions électriques, des réflexes cutanés de la zone hyperesthésique de la limite supérieure de la r
ivant, a été véri- fiée sur certaines radiographies ; on y voit une zone semi-opaque prolongeant le bord inférieur de la
in, on note autour des canaux de Havers en voie d'élargissement une zone qui renferme de petits ostéoblastes aplatis, pr
aissables, au voisinage immédiat du canal central du système. Cette zone demeure toujours étroite. En somme, ce sont là
Histologiquement, il y a production d'un tissu ostéoïde sous forme de zones de décalcification sous-périostique et péri-can
ommissurales et cornu-radiculaires sont plus riches en fibres. La zone de Lissauer contient un certain nombre de fibres
blanche appa- raît criblée de petites lacunes, sans membrane, sans zone de réaction, rondes, mais de dimensions variabl
té immédiate de la tumeur, où pourtant la substance blan- che a une zone sclérosée. C'est dans le corps calleux qu'il para
ouré de tissu conjonctif, le séparant partout du cerveau ; point de zone inflammatoire. Les nerfs des Ira et IIe paires
loin d'occuper toute la coupe. Nous avons rendu sur la figure 6 la zone de leur densité maxima ; on voit que c'est la plu
aux correspondants. Destruction de fibres nerveuses limi- tée à une zone étroite située directement en avant au-dessus et
RS 155 Partout séparation nette d'avec le tissu cérébral ; point de zone d'in(lamma- tion. Grosses cellules araignées à
elles des tuberculomes, on aperçoit un centre caséeux entouré d'une zone vasculaire rougeâtre. ' L'étude histologique
décolorées à gauche. Le pied du pédoncule gauche ne présente pas de zones nettement dé- générées, la comparaison entre le
la partie antérieure des tubercules qua- drijumeaux postérieurs, la zone de ramollissement cesse, on voit à ce niveau le
des noyaux de la lile paire et il était côtoyé à sa gauche par une zone de ramollissement qui dépassait le ruban de Rei
ureux dans la portion corticale de la glande, moins heureux dans la zone intermédiaire, échouant en un désordre chaotiqu
sse, ni ne crache ; l'examen des deux ponmons est négatif, sauf une zone de submatité à la base droite où l'oreille entend
muscles extenseurs du tronc d'un côté ou de l'autre, l'existence de zones hyper- esthésiques dans le territoire des nerfs
; « moins systématisées, diffusément répandues à travers toutes les zones , exogènes et endogènes, elles seraient dues pou
s croisées et les cordons postérieurs et disparition des fibres des zones de Lissauer. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊT
e leur étendue, et cela d'une façon à peu près égale ; toutefois la zone cornu-commissurale présente encore un certain n
rale présente encore un certain nombre de tubes nerveux normaux. La zone d'entrée des racines postérieures est également
ure. En outre, la lésion est moins accentuée au niveau d'une petite zone qui semble dessiner la virgule de Schultze. Ici,
Leur lésion porte sur une grande partie du cordon, respectant deux zones : 1° La partie tout antérieure (zone cornu-comm
ie du cordon, respectant deux zones : 1° La partie tout antérieure ( zone cornu-commissurale) ; cette zone, où il y a trè
es : 1° La partie tout antérieure (zone cornu-commissurale) ; cette zone , où il y a très peu de fibres dégénérées se pro
e le centre ovale de Flechsig. On observe cependant dans cette petite zone quelques rares fibres dégénérées. Quant au re
très fortement atteintes par le processus dégénératif, ainsi que la zone de Lissauer. 2° Plus en dedans, une région où l
fibres sont dégénérées. La lésion est diffuse et ne respecte que la zone cornu-commissu- rale et la partie externe et ma
veau du cordon de Goll et de la bandelette externe de Pierret. La zone d'entrée des racines postérieures est manifesteme
es lésions sys- tématiques, les localisations dans les racines, les zones de Lissauer, les colonnes deClarke. De plus ell
X. Moelle cervicale. Sclérose des mêmes bandelettes externes et des zones de Lissauer. Double dégénérescence mais prédomina
5. Obs. X. Moelle cervicale. Sclérose des bandelettes externes, des zones de Lissauer et de la partie interne des cordons
lle lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, à l'exception de la zone de Westphal,du triangle de Gombault et Philippe e
la zone de Westphal,du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; sclérose totale des zones
Philippe et de la zone marginale postérieure ; sclérose totale des zones de Lissauer. Raréfaction des aires pyramidales
t et la dégénérescence symétrique des bandelettes de Pierret et des zones de Lissauer. Les racines postérieures sont très a
DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 221 Le foie est gras ; les cellules de la zone péri-portale contiennent des goutte- lettes de
s rondes. Remarquons que dans ces cordons antéro-latéraux, entre la zone périphé- rique sclérosée et les aires des faisc
rique sclérosée et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une zone de tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules
arence plus grande au niveau des bandelettes externes radiculaires ( zone radiculaire moyenne) et de la partie interne du c
e radiculaire moyenne) et de la partie interne du cordon de Goll ; la zone de Wesphall est intacte. Au microscope, dans
beaucoup plus grande et va jusqu'à la disparition complète dans les zones radiculaires moyennes, dans les zones de Pierre
disparition complète dans les zones radiculaires moyennes, dans les zones de Pierret, et dans la partie moyenne des cordons
zones de Pierret, et dans la partie moyenne des cordons de Goll. Les zones radiculaires postérieures et antérieures sont c
la périphé- rie. Cordons postérieurs sclérosés à l'exception de la zone de Wesphal, du triangle de Gombault et Philippe
de la zone de Wesphal, du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; la zone de Lissauer est
ngle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; la zone de Lissauer est complètement détruite (pl. XXXI
moelle les lésions du tabes incipiens, c'est-à-dire la sclérose des zones radiculaires moyennes (bandelettes de Pierret),
oit des lésions dans la partie interne des cordons de Goll, dans la zone de Lissauer et dans les racines postérieures. D
Le lendemain, l'eschare est constituée et on y reconnaît les trois zones , en même temps le talon gauche est également le
racines sont congestionnées. Weigert-Pal. Seuls sont décolorés les zones de Lissauer et quelques faisceaux clairsemés de
les aires pyrami- dales et les cordons postérieurs. Au niveau de la zone de Lissauer, elles ont disparu (pi. XXXIII, fig
le faisceau fondamental du cordon latéral, et d'autre part dans les zones de Lissauer, les bandelettes externes et le bor
ains de Nissl ; le noyau n'est pas excentrique ; il n'existe aucune zone de dégénérescence gra- nulo-pigmentaire ou autr
position observée dans le tissu encé- phalique où, en dessous de la zone vasculaire, existe un amas de tissu conjonc- ti
x et les cy- lindraxes coupés dans toutes les directions. Dans la zone des cellules on voit un lacis très serré de fibre
ons adénoïdes en sont cause. On a noté bien souvent l'absence des zones d'anesthésie que l'on ren- contre d'habitude ch
nes d'anesthésie que l'on ren- contre d'habitude chez l'adulte. Les zones d'hyperesthésie semblent plus fréquentes ; la c
ueuse. Les réflexes sont normaux, le cornéen en particulier, aucune zone d'anesthésie, seuls quelques points d'hyperesthés
de la sensibilité au niveau des membrés supérieurs révèle quelques zones d'hyperesthésie, quelques autres d'anesthésie c
nes de l'ossification normale. 1° Ossification chondrale. - Dans la zone d'ossification on peut distinguer trois cou- ch
cartilage indilférent vers la diaphyse (voy. PI. LVI, fig. 9). a) Zone de prolifération. Les cellules du cartilage indif
tité notable de substance interstitielle parfaitement hyaline. b) Zone de rivulation. Les cellules multipliées augmenten
ommencent à se calcifier. Ces deux couches forment ensemble une mince zone bleuâ- tre translucide de 1 à 2 millimètres d'é
e d'ossification (Couche ossiforme). Elle se présente comme une mince zone d'un jaune mat de 1/2 millimètre d'épaisseur. C
cartilage indifférent, au lieu de se continuer insensiblement avec la zone de prolifération, en est séparé par pne bande t
actif de cette membrane. b) Au-dessous de cette bande fibreuse, la zone de prolifération est très défec- tueuse. Au lie
ion fibreuse (Voy. s. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). c) La zone de rivulation est rudimentaire et souvent totalem
PI.LIV, fig.l0 et PI.LY,fig.13). 504 PORAK ET DURANTE Dans cette zone d'ossification scléreuse, l'un de nous a décrit,
tion et dont sommet atteint et même dépasse le bord supérieur de la zone de proli- fération pour atteindre le cartilage
ssification chondkalb. Fio. 9. Ossification chondrale normale. a) zone cartilagineuse de prolifération. b) zone de rivul
tion chondrale normale. a) zone cartilagineuse de prolifération. b) zone de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d)
roplasie. Coupe longitudinale de l'épiphyse supérieure du fémur. a) zone du cartilage indifférent. - f, f') bande fibreuse
. - f, f') bande fibreuse séparant le cartilage indiffé- rent de la zone de rivulation. - g) bourgeon vasculaire faisant c
s vaisseaux de la bande fibreuse avec ceux de la moelle osseuse. s) zone de ri- vulation. La rivulation y fait complètem
gineuses rares et dispersées sans ordre. Le bord inférieur de cette zone se calcifié par places c) au niveau de la ligne
res. Fio. 11. Rachitisme congénital (pseudo-achondroplasique). a) zone de prolifération. b) zone de rivulation très nett
congénital (pseudo-achondroplasique). a) zone de prolifération. b) zone de rivulation très nette. Les colonnes cellulaire
constituent la couche ostéoide. Fio. 12. Dysplasie périostale. b) zone de rivulation très nette, plus haute et plus régu
ce bourgeon. c) La bande fibreuse fait défaut à ce niveau, mais la zone de rivulation est très irrégulière et sa substanc
modifications que l'on y relève sont de faible importance. Dans la zone de multiplication les cellules sont parfois un pe
et, plus loin, constituent des lamelles concentriques ; mais cette zone de tissu com- pact n'atteint que 1/2 ou 1/3 de
est constituée par une sclérose du cartilage de conjugaison dont la zone de rivulation est détruite, par une absence d'o
nanition maternelle sont carac- térisées par l'épaississement de la zone de rivulation,l'aliongement des colonnes cellul
sformation fibreuse du cartilage de conjugaison avec atrophie de la zone de rivulation qui ressemblait étrangement au débu
une sclérose avec calcification du cartilage de conjugaison dont la zone de rivulation disparaît. L'ossification périostal
utes ces formations sont plus petites que d'ordinaire, mais sauf la zone moins bien colorée au niveau de la partie plus
de la figure 407, on ne trouve rien de particulier, sauf la susdite zone claire qui occupe toujours le même endroit. L
e S 4 est très diminuée dans ses dimensions est tout entourée d'une zone assez claire. Les noyaux de Deiters, du Facial,de
nakow se présentent, sur ces coupes, absolument normaux. Persiste la zone claire du stratum complexum. Sur une coupe pa
cendante du trijumeau sont normaux. Sur cette coupe n'existe plus la zone clairsemée du pont. La voie pédonculaire est tr
es lobes latéraux du cervelet) présentent par ci par là des petites zones pâles SCLÉROSE EN PLAQUES 589 Coupes transver
et le cervelet apparais- sent complètement normaux, sauf une petite zone très pâle dans la substance blanche des hémisph
orés par l'hématoxyline. La décoloration du corps ciliaire et de la zone périciliaire, ainsi que nous l'avons ci-dessus
s en avons déjà parlé ; je ferai cependant encore remarquer que les zones décolorées que nous y avons décrites plus haut ne
noncée. Ces lésions sont généralement plus accentuées au niveau des zones de raréfactions maintes fois mentionnées, comme
Goll (PI. LXII). Au niveau des zen racines cervicales à droite, la zone du faisceau pyramidal est très claire et contie
action des cordons de Goll est limitée à leur moitié antérieure. La zone cornu-commissurale et la commissure grise sont
érivasculaire. Les altérations ne se limitent pas aux vaisseaux des zones sclérosées ou dégénérées, mais elles existent aus
es de sclérose complète dans la substantia nigra de Soemmering; des zones de raréfactions sans dégénérescences secondaire
ne vasculaire : à ce dernier égard les lésions des vaisseaux et des zones périvasculaires nous témoi- gnent le fait avec
e est surtout manifeste au 592 CATOLA niveau de la sclérose de la zone cornu-commissurale et de la commissure grise.
lus nombreuses dans les couches profondes de la lamelle que dans la zone superficielle. Au-dessous de ce cette bande exi
tement hyperémiés ; les deux substances se distinguent mal, mais'la zone corticale n'est nullement atrophiée. Surrénales n
state que les foyers que nous venons de décrire sont reliés par une zone infiltrée (PI. LXXV a). Les cellules épendymair
de polynucléaires. Les vaisseaux infiltrés sont en-dessous de cette zone ; en quelques points on trouve dans celle-ci des
de tissu très infiltrée on voit tous les vaisseaux entou- rés d'une zone d'infiltration analogue à celle décrite plus haut
eur. Sur coupe transversale on voit un mince filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris. Substance grise. La
tra dans le 4* ventricule et, à la façon d'un érysipèle, envahit la zone sous- épendymaire. Il faut croire que le tent
s pour ainsi dire incompressibles. C'est alors que surviennent, par zones et peut-être d'après une certaine sélection (vo
23 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nesthésie diminua au membre inférieur droit, mais ensuite parut une zone d'anesthésie ther- mique plus profonde dans la
sie est très caractéristique ; il faut remarquer la formation de la zone thermanes- thésique dans la sphère de deux raci
ules. Le sens de température s'est également amélioré. Il reste une zone thermanesthésique, occupant les membres supérie
maintenant nous occuper, est au contraire à peu près définitive. La zone motrice est en effet la mieux connue à l'heure
trice est en effet la mieux connue à l'heure actuelle de toutes les zones corticales. Le centre cortical des mouvements d
sommes arrêtés déjà, et dans leur mode de répartition diffé- rentes zones corticales que nous allons maintenant déter- mi
leur trois observations de sensibilité double dans le domaine de la zone soumise à la douleur sept observations prouvant
ttacher la disparition du phénomène du genou, ou plus exactement la zone d'entrée des fibres radiculaires dans la substa
t qu'on la dirige en arrière paral- lèlement à la ligne médiane, la zone radiculaire des cordons postérieurs se trouve e
t en dehors la partie externe des cordons postérieurs, envahisse la zone radiculaire, de façon à atteindre spécialement
s qui pénètrent dans la subs- tance grise, tout autre segment de la zone radiculaire et des racines postérieures n'ayant
lie. Atrophie d'une partie des fibres ner- veuses, surtout dans une zone périphérique qui correspond à l'al- tération la
La sensibilité tactile est partout conservée, à l'ex- ception d'une zone large comme la paume de la main sur la poi- tri
ce trouble, distribué d'une manière asymétrique, par régions, en zones , non seulement dans le stade initial de l'affec
une certaine période de la maladie 111me L. (OBs. XVI ! ) avait une zone thermanesthétique nettement limitée dans la rég
e hémianesthésie n'est pas régulière, mais elle est com- posée de zones séparées et de régions tantôt non net- tement d
ement très différents dans diverses régions. La même disposition en zones , en segments, s'observe pour des différents deg
yenne, là où la région analgésique d'un côté ne conflue pas avec la zone analgésique de l'autre. Les muqueuses de la cav
au point de vue des troubles de de la motilité. La première est la zone motrice corticale, la seconde est une zone dite
lité. La première est la zone motrice corticale, la seconde est une zone dite latente. Si nous établissons cette divisio
n face d'arguments contrariant par exemple la donnée suivante : (la zone corticale dite latente est ainsi nommée, parce
notre division. ' Voir tome XVI, p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La zone motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, enc
a zone motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, encore appelée zone épilepto-ène en raison du nombre de faits ana-
u'elle circonscrit le point de départ des accès épileptoïdes, cette zone répond d'après M. le professeur Charcot à la ci
lacé avec Nothnagel le pied des circonvolu- tions frontales dans la zone latente, sauf évidemment le pied de la troisièm
rontale (aphémie) et de la deuxième frontale gauche (agraphie) La zone corticale latente au point de vue des troubles de
mprend toute l'étendue de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone motrice. Dans la zone latente corti- cale, on p
de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone motrice. Dans la zone latente corti- cale, on peut essayer de disting
ans la zone latente corti- cale, on peut essayer de distinguer deux zones secondaires mal connues du reste dans leur éten
ires mal connues du reste dans leur étendue et leurs limites ; la zone intellectuelle et la zone sensitive. La zone inte
e dans leur étendue et leurs limites ; la zone intellectuelle et la zone sensitive. La zone intellectuelle (PL. I, fig.
et leurs limites ; la zone intellectuelle et la zone sensitive. La zone intellectuelle (PL. I, fig. 1, violet) occupe d
ux tiers antérieurs de la deuxième et de la troisième frontales. La zone sensitive semble correspondre aux circonvolutio
nvolutions pariétales, ' Nous ne représentons pas l'extension de la zone motrice corticale au lobule paracentral, afin d
'assigner à l'écorce des lobes occipitaux exclusivement, le rôle de zone sensitive n'est qu'en partie vrai et seulement
e Meynert, dont nous parlons plus loin. Enfin M. Ballet3 donne à la zone sensitive corticale une étendue beaucoup plus c
corce située en arrière du pied des cir- convolutions frontales. La zone motrice y est incluse, par- ticipant dès lors à
trice y est incluse, par- ticipant dès lors à la constitution d'une zone seizsz*tivo-inotrice. Les circonvolutions situé
s que nous signalons plus haut et d'autres encore démontrent que la zone sensitive corticale doit certainement dépasser
a région occipitale. En somme, rien de précis sur les limites de la zone corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré
mites de la zone corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré la zone sensitive occipitale sur la figure. Outre les
oint coloré la zone sensitive occipitale sur la figure. Outre les zones intellectuelle et sensitive, à peu près cir- co
es intellectuelle et sensitive, à peu près cir- conscrites, dans la zone latente de l'écorce, se trouvent encore dissémi
psie, le ptosis, dont nous avons indiqué le siège. Chacune de ces zones de l'écorce cérébrale est l'aboutissant ' Grass
restrictions, non seulement sur le siège à l'écorce cérébrale de la zone sensitive, comme de la zone intellectuelle, mais
sur le siège à l'écorce cérébrale de la zone sensitive, comme de la zone intellectuelle, mais aussi sur le trajet intra-
centrifuges. Nous colorerons sur les dessins, de la même teinte la zone cortico-cérébrale et le faisceau cérébro-médul-
centrifuges partent de l'écorce cérébrale, de toutel'étendue de la zone corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les f
rébrale du faisceau pyramidal, dépasse certainement la limite de la zone motrice proprement dite, car une por- tion de s
être pas motrices et que l'étude anatomo-clinique désigne comme une zone dont la lésion se révèle par des troubles psychiq
omme une zone dont la lésion se révèle par des troubles psychiques ( zone intellectuelle). Ce sont ces fibres cérébrales an
icules moteurs partant de différents points bien circonscrits de la zone corticale motrice. Chacun de ces fascicules mot
ide très allongée, à base supérieure corticale, formée par toute la zone mo- trice corticale, à sommet inférieur pédoncu
vec le sillon antérieur de la moelle ; en dehors, ils répondent aux zones radiculaires antérieures. Sur des coupes de la
opposé du corps; si elles sont bornées à une partie seulement de la zone motrice, l'hémiplégie est partielle; si elles son
erf sectionné, on est en effet conduit à attribuer aux cellules de la zone corticale motrice, une influence trophique anal
la moelle, consé- cutives aux lésions destructives localisées à la zone motrice corticale, au centre ovale ou à la caps
e. Car les cornes antérieures de la moelle paraissent être avec les zones radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
centripète, les prenant à la périphérie pour les con- duire à cette zone corticale, Dans la moelle, le faisceau sensitif
contrairementau cordon antéro- latéral où l'on peut voir une large zone presque latente, la zone radiculaire antérieure
ntéro- latéral où l'on peut voir une large zone presque latente, la zone radiculaire antérieure (partie fondamentale de
- présenté dans sa portion contiguë à la corne postérieure par la zone radiculaire interne des racines rachidiennes post
nes posté- rieures ou bandelettes externes des cordons postérieurs ( zone de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig
bres radiculaires postérieures; la parésie révèle la sclérose de la zone radiculaire externe des racines rachidiennes po
e, que la couche optique précisément limite en de- dans. Enfin la zone sensitive corticale, à laquelle se rend le faisce
sc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, -1 ; zone radiculaire antérieure (Pierrot) ou partie fonda-
5; cordon de Goll. 6, G; bandelette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes
ties de la moelle où, premièrement, les con- ducteurs sensitifs des zones anesthésiées sont encore séparés par ceux d'aut
atérale; dans la thermanes- thésie à forme hémiplégique, ou avec la zone therma- nesthétique sur la poitrine et le ventr
és, sans que pour cela on relie « l'épilepsie » alors observée à la zone locale atteinte. Je ne vois nulle part jusqu'ici
ent intentionnel à l'existence de foyers scléreux dans ces diverses zones . Une 2° observation person- nelle : étude criti
isc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, 4 ; zone radiculaire antérieure (Pierret) ou partie fonda-
; cordon de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes
24 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
l. Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Duval et Picot pensent que les zones de ramollissement de la calotte dans les crânes
rne du frontal, de l'ethmoïde et du sphénoïde, sont entourées d'une zone d'ostéite de réac- lion ; il s'agit des crêtes
rande netteté que toules les fois que le tabes laissait intacte une zone appelée par Westphal « zone d'entrée des racines
fois que le tabes laissait intacte une zone appelée par Westphal « zone d'entrée des racines » clans la ré- gion dorso-
nfirmée par les recherches ultérieures, et Westphal a pu définir sa zone d'entrée des racines (2), « une zone placée en
s, et Westphal a pu définir sa zone d'entrée des racines (2), « une zone placée en hauteur à l'union des régions lombaire
atineuse et le point de pénétration des racines postérieures. Cetle zone est toujours intéressée quand les réflexes rotu-
s les réflexes rotuliens ont été conservés jusqu'à la mort et où la zone d'entrée des racines était intacte ; on y trouv
VATION ET DU RETOUR DES REFLEXES ROTULIENS 81 avec une lésion de la zone de Westpha) ; dans une autre observation de Non
unique symptôme l'abolition unilaté- rale du réflexe patellaire; la zone de Westphal était atteinte de ce seul côté. E
Westphal était atteinte de ce seul côté. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des racines qui expliquerait chez cert
tabes au début, alors que cette lésion existait nettement : mais la zone de Weslphal était intacte. Observation'. B...,
nt fermes, non cavitaires ; à la coupe, la corti- cale présente des zones infimes d'un blanc brillant tranchant sur la colo
- Les cordons postérieurs ne por- tent aucune lésion apparente ; la zone de Lissauer n'est pas sclérosée ; on voit les r
- On voit apparaître dans le cor- don postérieur du côté droit une zone de sclérose assez bien délimitée dans sa forme
postérieur, moins une petite étendue tout il fait en arrière ; cette zone sclé4 reuse respecte un petit territoire ovalai
tion du faisceau ovale de Flechsig. L'autre branche verticale de la zone de sclérose, orientée légèrement eu ohli- , Scl
corne postérieure dont elle reste séparée cependant partout par une zone saine qui correspond précisément à la zone d'en
ependant partout par une zone saine qui correspond précisément à la zone d'entrée des racines de Westplial. La branche h
ilieu du cordon postérieur, dans son tiers postérieur. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni
Lien la région de la bandelette externe de Pierre, appe- Ire encore zone rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La zone d
e, appe- Ire encore zone rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La zone de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la zone d'
de Flechsig (1), La zone de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la zone d'entrée des racines de Wesiplial est intacte ;
inférieure (1'E lombaire el 1 le dorsale) . - On ne trouve plus de zone de sclérose en nappe ; toutes les raci- nes pos
ires radiculaires, c'est-à-dire la bandelette externe de Pierrot ou zone radicu- laire moyenne. Les autres territoires r
autres territoires radiculaires des cordons postérieurs, savoir la zone radiculaire antérieure, les champs postéro extern
SSEI1AND intacts ; le cordon de Goll est respecté. D'autre part, la zone de Lissauer, le triangle médian sacré, la zone
té. D'autre part, la zone de Lissauer, le triangle médian sacré, la zone marginale de Wesiplial, le réseau fin de la cor
on plus aucun éclaircissement au sujet de ce point controversé : la zone de Lissauer est-elle lésée précocement ou tardi
ent dans le tabes ? Pour Dejerine et Thomas (2), l'altération de la zone de Lissauer est la première après celle de la ban
um formé par les fibres fines de la corne postérieure ; il croit la zone /le Lis- sauer occupée par des fibres endogènes
, de cette sclérose de la bandelette externe avec l'intégrité de la zone d'entrée des racines de Westplial, dont nous avon
,so-loiîibaii-e,ol7e ? îi une intégrité plus ou moins absolue de la zone d'entrée des racines, autrement dite zone radicul
us ou moins absolue de la zone d'entrée des racines, autrement dite zone radiculaire des 3° et si paires lombaires. 2°
e est le signe de TVestpltal ; dans ce cas, la lésion siège dans la zone radiculaire des : : le et se paires lombaires.
n siège bien dans la ¡'rfgion dorso-lombai1'e de la moelle. Mais la zone de lVestplwl ou zone radiculaire des 3e et 1° p
¡'rfgion dorso-lombai1'e de la moelle. Mais la zone de lVestplwl ou zone radiculaire des 3e et 1° paires lombaires est r
s, ataxi- ques ou non, étendus ou non anatomiquement, pourvu que la zone de Westplial reste relativement intacte. La con
la lésion intéresse, à la région dorso-lombai re de la moelle, une zone exactement définie appelée « zone d'entrée des ra
dorso-lombai re de la moelle, une zone exactement définie appelée « zone d'entrée des ra- cines de Wesipliil ». Cette
finie appelée « zone d'entrée des ra- cines de Wesipliil ». Cette zone peut rester intacte dans quelques cas rares, et l
liniquement et anatomiquement très caractérisé. D'autre part, cetle zone peut être seule atteinte elle signe de Westplia
e des autres lésions médullaires des tabès. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des racines qui explique- rait chez ce
du cou et des omoplates, nous n'avons constaté aucune trace de ces zones hyperalgésiques qui, signalées d'abord par Vilm
réu- nit le pli courbe et la première circonvolution temporale à la zone de Broca et à la zone motrice corticale du memb
et la première circonvolution temporale à la zone de Broca et à la zone motrice corticale du membre supérieur ». 13...p
qu'il. lit, en recopia nt, formé les lettres d'une façon normale. La zone motrice n'exerce donc pas d'influence notable s
ALISÉE AVEC ACHROMIE ASSOCIÉE 147 d'un mulâtre blanchi en certaines zones , et avec une symétrie indiscutable pour certain
rchromie est homogène, les teintes en sont fondues; mais,en certaines zones , notamment à la partie inférieure de l'abdomen
ydrose ; très épaissie. Sur ce fond hyperchromique se dessinent des zones achromiques, décolorées de façon assez variable
une nuance rosée qui tire sur le coloris « fleur de pêcher » ; les zones achromiques sont irrégulières mais à.con tours bi
st plus manifeste dans les joues un peu étendues d'hypochromie, les zones plus réduites sont tantôt symétriques. Par opposi
sibilité pour le plan antérieur est il peu près conservée. Dans les zones que l'on peut encore plisser l'hypoesthésie est
mélanodermie combinée à du vitiligo. La disposition des différentes zones montre pour la plupart d'entre elles une symétr
rfois primitives, parfois secondaires par décoloration centrale des zones byperpigmentées (et à ce sujet notre malade ne
n corpusculaire,mais on y recon- naît des granulations fines. Cette zone granuleuse se continue sans ligne de démarcatio
Cette zone granuleuse se continue sans ligne de démarcation avec la zone périphérique voisine. A côté des cellules où l'
ïde et plus tard ellipsoïde. A mesure que la rétraction progressera zone vide qui se forme entre la face interne du noya
distillée, et examinées immédiatement. On voit autour du noyau une zone périnu- 222 MAfiINESCO cléaire plus ou moins
'occipital en arrière. La présence du poumon est indiquée par une zone claire qui remplit les deux cages thoraciques j
re, le poumon remonte jusqu'à la base du crâne. On ne note que deux zones sombres : L'une, à la base gauche, indice très
ccupés par du tissu conjonctif réticulé. Enfin (fig. g), dans les zones d'aspect vitreux, la raréfaction des fibres ner-
rmal et forme des travées fibreuses, mais on ne trouve plus ici des zones de tissu réticulé, ni un épaississement concentri
st très irrégulièrement répartie. Dans le même fragment, il est des zones où les fibres musculaires, de volume normal, sont
cordons antéro-latéraux, parfois systématisées et siégeant dans les zones des faisceaux pyrami- daux ou des faisceaux cér
ons décrites. Les faisceaux antéro-latéraux présentent sur toute la zone marginale un éclaircissement notable, qui s'att
es, et l'éclaircissement au cordon de Goll porte non seulement sur la zone marginale, mais également sur la profondeur jus
ément ouateux jusque sur ses bords ; de plus il s'élargit, mais les zones sous- périostées nouvelles ne se calcifiant plu
s, entre le territoire central et le territoire périphéri- que, une zone intermédiaire relativement saine. - Cette notio
stérieure et détruisant la région centrale, la base des cornes, les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la corne po
cordons latéraux, où la ligne de démarcation entre le gliome et les zones de dégénérescence est assez mal établie ; dans
prement parler, mais plutôt delà sclérose névroglique qui occupe les zones dégénérées. Le tissu conjonctif qui parcourt
e postérieure de la ceinture circulaire du fais- ceau latéral et la zone antérieure de la périphérie du faisceau antérieur
'à gauche quoique à un degré moindre, la par- tie postérieure de la zone périphérique du faisceau latéral. Sur la dure-mèr
i comprime le plus la moelle du côté de la partie postérieure de la zone péri- phérique du faisceau latéral gauche. L'
ent cervical, la trans- parence des fibres apparaît surtout dans la zone périphérique des faisceaux postérieurs, là où p
appa- raissent le long de la base des racines postérieures, dans la zone radiculaire et dans la partie postérieure du fa
virons de la fissure antérieure et dans la moitié postérieure de la zone périphérique des faisceaux latéraux. Dans les r
ite. La sensibilité sous toutes ses formes est diminuée surtout aux zones de l'ophtalmique et du maxillaire supé- rieur,
n de l'ophtalmique et du maxillaire supérieur : hyposthésie dans la zone maxillaire inférieure. Les autres sensibilités
a région fasciculée et rouge châtain dans la région rétractée. La zone médullaire est bien représentée formée de belles
25 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ions radiculaires mettent en évi- dence des territoires disposés en zones parallèles à l'axe des membres. Les chirurgiens
. Les chirurgiens ont bien étudié la répartition des territoires en zones parallèles à l'axe des membres. Ils ont, de cet
une maladie des centres nerveux. 2° La sclérodermie en bandes ou en zones , dont les variétés de localisa- tion rappellent
-bras droit était enveloppé d'une énorme gaine mélanodenni- que. La zone de peau teintée remontait jusqu'au-dessus'du coud
he. Ces deux faisceaux sont intéressés dans toute leur étendue ; la zone dégénérée arrive au contact de la circonférence d
à droite. Autour de l'épendyme, il existe autour des vaisseaux, une zone assez étendue de la commissure grise où les tub
ers postérieur du cordon, cette virgule vient se confondre avec une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers po
moitié externe du tiers postérieur de ce dernier. En aucun point la zone de dégénérescence ne touche a la substance gris
loppé. 2) Par les colorants nucléaires, on peut s'assurer que les zones dégé- nérées sont généralement constituées par
égénérescence (ou plutôt atrophie des tubes nerveux) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Goll du faisceau de B
ux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones radiculaires des cordons postérieurs sont partout
seulement. Du reste, comme nous le faisons remarquer plus haut, la zone radiculaire de ces cordons postérieurs est part
nerveuses. Ces altérations qui intéressent surtout les fibres de la zone moyenne des circonvolutions, existent d'une façon
ise en cause pour expliquer les lésions des cordons postérieurs. La zone cornu- radiculaire étant en effet partout indem
7 kilogrammes. Les téguments du bras droit sont parsemés de petites zones cicatricielles si- mulant des vergetures et con
st exagérée dans la région postéro- externe de l'épaule et du bras ( zone du circonflexe) ainsi que dans la région antéro
rconflexe) ainsi que dans la région antéro-externe de l'avant-bras ( zone du musculo-cutané et du radial). La sen- sation
sen- sation au contact d'un corps chaud est exagérée dans les mômes zones . Au pincement,- à la piqûre de la peau, hyperal
Au pincement,- à la piqûre de la peau, hyperalgésie très vive dans la zone sensitive du circonflexe (face postérieure de l
conflexe (face postérieure de l'épaule et externe du bras). Dans la zone sensitive du musculo-cutané (face antéro-externe
'hyper- algésie est un peu moins marquée. Moins vive encore dans la zone sensitive du radial (face postérieure du bras e
ain. La sensibilité Ù la piqûre et au pincement est normale dans la zone sensitive du brachial-cutané interne et de son
e, ainsi que du cubital. Peut-être très légère hyperalgésie dans la zone sensitive du nerf médian (face palmaire des 10e
ormaux. Mais la sensibilité à la douleur est très exagérée dans les zones sensitives et motrices du nerf circonflexe, du
uche qu'à droite. Tout autour du bourrelet saillant on remarque une zone érythé- mateuse s'effaçant à la pression et tou
dermographisme persiste encore dix minutes après l'impression et la zone éry- thémateuse est encore visible une demi-heu
actilité tégumentaire. thermesthésie, etc. Ces centres occupent les zones sensitives paicto-occipitcles. A cet appareil spi
rs les centres supérieurs et corticaux former les images auditives ( zones auditives temporales). Ces deux appareils sont
e sens des attitudes segmentaires dont le siège cortical occupe les zones d'appropriation motrice, zones purement sensoriel
es dont le siège cortical occupe les zones d'appropriation motrice, zones purement sensorielles et, par abus, nommées mot
ecte, dont le siège cortical est surtout la pariétale ascen- dante, zone purement sensorielle indispensable à l'exercice d
entation d'attitudes, qui selon moi ne sont pas plus réellement des zones motrices que le sens des représentations d'atti
idents hystériques : il se plai- gnit successivement d'une série de zones hystérogènes à l'épigastre, dans le dos, sur le
. SPILLMANN se continuant insensiblement avec la peau saine par une zone violacée. Au niveau de la moitié inférieure, il
sse pas plisser. Celte bande se continue vers l'ais- selle avec une zone blanchâtre de 3 à 4 centimètres de long, irréguli
s le sens antéro-postérieur est de 15 millimètres. Il siège dans la zone la plus externe du noyau lenticulaire, au nivea
tée. A la partie postérieure des cor- dons de Burdach se trouve une zone de fibres normales correspondant à la bandelett
une bande de tissu sain, séparée en arrière de la périphérie par la zone cornu-commissurale. Les cordons de Goll sont al
racines postérieures, séparée de la périphérie de la moelle par une zone de fibres saines. Les colonnes de Clarke présente
a leur niveau ; elle est moins intense dans les cordons de Goll. La zone voisine des racines est intacte. Enfin les zones
cordons de Goll. La zone voisine des racines est intacte. Enfin les zones de Lissauer sont peut-être un peu touchées. L
récédée, pendant un temps variable, d'une espèce de dermatite de la zone d'implantation. Cette dermatile se traduit par un
e des plus marquées au niveau des cordons de Goll et de Burdach, la zone cornu- commissurale était à peu près intacte. L
de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la région lombaire, les zones de Lissauer sont un peu touchées ; mais en géné
t qu'aux membres supérieurs leur siège d'élection se trouve être la zone de distribution du cubital. , Biswanger (1) (18
ais en faisant remarquer qu'il ne faut pas s'attendre à trouver une zone d'anes- thésie exactement superposable au champ
e tronc dans la ligne mamillaire ; elle rejoint dans l'aisselle une zone d'anesthésie, comprenant tout le territoire d'inn
tronc, aux membres supérieurs, et à la cuisse gauche dans une petite zone à la face antéro-interne. Hyperalgésie en bande
ure . - Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cuisse ; Dans la zone d'anesthésie ; elle s'étend atout le thorax à par
de la ligne bi-axillaire à la ceinture, et à la'cuisse dans la même zone où l'on trouve de l'hyperalgésie. (A suivre.)
n en retrouve un certain nom- bre intactes. Je n'ai pas relevé la zone de dégénérescence partielle du faisceau fondament
ue la tumeur hypophysaire irrite à distance, par action réflexe, la zone psycho- motrice, et est ainsi la cause des conv
ns l'aisselle droite. Il y a cependant dans toute cette étendue des zones où la perception tacite existe, quoique très ém
gauche, la perception est normale. Il y a de l'hypoesthésie dans la zone du cubital, au bras gauche, aux deux mains. B
st perçu très faiblement à la racine des orteils droits et dans une zone en ceinture remontant il gauche jusqu'à la lign
re. Hypoalgésie depuis les orteils jusqu'au pli fessier, et dans la zone cubitale jusqu'à l'articulation du poignet. Hyper
s'étend sur les deux seins. On constate également l'existence d'une zone d'anesthésie occupant la moitié droite du crâne à
B. Face postérieure. - Anesthésie comme à la face antérieure dans les zones correspondantes. Au niveau des omoplates, zon
térieure dans les zones correspondantes. Au niveau des omoplates, zone anesthésique transversale, qui, réunie à la zon
eau des omoplates, zone anesthésique transversale, qui, réunie à la zone mamillaire antérieure, forme une ceinture complèt
genoux ; hypoalgésie jusqu'aux plis inguinaux. Hypoalgésie dans la zone d'anesthésie crânienne. B. Face postérieure. A
ieure. - Hyperesthésie à toute la surface du corps, excepté dans la zone d'anesthésie crânienne où il y a di- minution d
esthésie sur la fesse gauche et l'anesthésie en demi-calotte. Une zone de dysesthésie s'étend en corset depuis la ligne
ouffre actuellement de démangeaisons douloureuses aux bras, dans la zone d'innervation du cubital, depuis le coude jusqu'à
le (Pl. LXIX). I. TACT. - A. Face antérieure. - Anesthésie dans une zone comprenant la région ombilicale et les trois qu
main et aux deux derniers doigts à gauche; à droite, dans toute la zone du cubital et aux deux derniers doigts ; enfin, d
e à la face antérieure, cette plaque d'analgésie est entourée d'une zone d'hypoalgésie qui complète le corset et descend
qu'à i'articu)ation tihio-tarsienne. Hypoesthésie au froid dans une zone ovalaire, s'étendant du creux épigastrique jusq
respecte la sensibilité tactile, elle s'établit à demeure dans une zone aux limites bien définies et ces limites sont s
ues que la deuxième, s'accompagnant d'hypo- esthésies thermiques en zones disséminées au lieu de la dissocialion syringom
hérie, d'autre part la surface tégumentaire se trouve subdivisée en zones , en segments dont chacun tire son innerva- tion
guës. On conçoit dès lors que tout autre sera la distribution d'une zone d'a- nesthésie quand elle dépend de l'altératio
entaire : A chaque segment (en hauteur) de la moelle correspond une zone d'innervation sensitive périphérique et on a pu a
es première et deuxième racines dorsales se traduit par une étroite zone d'anesthésie de la face interne des bras et des a
main. Une lésion d'où émane la 81 paire cervicale produit une môme zone d'anesthésie à la face dorsale et à la face ven
ace dorsale et à la face ventrale du membre supérieur contiguë à la zone précédente, mais qui se continue sur le bord cubi
eltoïdienne etc. Si l'on compare sur nos schémas la disposition des zones d'anesthésie avec la distribution anatomique no
bué il 11L< : NDlllK Martinez Ro- KES, plus connu sous le nom de Zone , représente encore une consultation féminine :
ans la capsule externe, elle laisse indemne à sa partie moyenne une zone de substance blanche qui tapisse l'insula (caps
siège d'un gonflement considérable ; la pression légère produit une zone de pâleur blanchâtre qui disparaît rapidement, ma
n point du corps cet homme ne présente ni taches hyperchro- miques, zones érythémateuses, ni plaques d'infiltration dermiqu
26 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
dans Fig. 1. — AA, cordons latéraux. — A, faisceau de Tiïrck. — BB, zones radiculaires postérieures. — CC, cornes postérieu
stérieures. — CC, cornes postérieures. — DD, cornes antérieures. — F, zone radiculaire antérieure. — E, cordons de Gall. c
lution de Broca. On sait que la destruction des circonvolutions de la zone dite motrice produit, si elle est générale, l'hém
jeunes garçons. Sommaire. — Contracture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. Phases de l'attaque d'hystéro-épile
lésions cérébrales en foyer occupant la capsule interne. Fig. 14. — Zones hystérogèncs de la face antérieure du corps. (Fig
ses épineuses. Ce sont là les points ou plaques hystéro- Fig.iiS, — Zones hystérogènes de la face postérieure du corps (loc
esthésie est générale, mais plus prononcée à gauche, présente trois zones hystérogènes : le point ovarien, un point lombair
point lombaire gauche, et un point bregma-tique. Que sont donc ces zones hystérogènes ? ce sont des régions du corps plus
e^anomalie de position ou de développement, représenternine partie de zone hystérogène, ou bien c'est le prépuce dont la sen
çon a été faite, M. Gaube a publié d'intéressantes recherches sur les zones hystérogènes. De cette étude, entreprise sous la
de M. le professeur Pitres, de Bordeaux, il résulte qu'il existe des zones hystérogènes sur les membres supérieurs ou inféri
nes hystérogènes sur les membres supérieurs ou inférieurs, et que ces zones ont les mêmes propriétés que celles que l'on renc
'on rencontre sur le tronc ou sur la tête (Gaube : Recherches sur les zones hystéroijènes, Thèse de Bordeaux, H82.) Ch. F.
nes hystéroijènes, Thèse de Bordeaux, H82.) Ch. F. L'étendue de ces zones est 1res variable, souvent elles ne sont pas plus
l est hémianesthésique gauche avec amblyopie, et qu'il présente trois zones hystérogènes (bregma, fosse iliaque gauche, régio
. En outre, il y a des plaques d'hypéresthésie au crâne et au vértex ( zone hystérogène). Vers les 4 h. 1/2 ou 5 h. (vers les
es ; quinze jours après, il n'était plus question d'attaques, puis la zone hystérogène bregmatique disparut, et quand le pet
'achromatopsie, pas de dyschromatop-sie (Fig. 22) ; 3° Toute trace de zone hystérogène fait défaut. Quoi qu'il en soit, en
qu'elle n'ait ni anesthésie cutanée, ni ovarie, elle a de nombreuses zones hystérogènes parallèlement situées sur les deux s
s externes et la partie interne de l'articulation du coude droit. Les zones des deux seins, des mollets et du coude droit ont
les deux cas, elles ne diffèrent par aucun caractère essentiel. Trois zones hystérogènes ont été découvertes : deux d'entre e
t conservé dans toute l'étendue du membre supérieur droit. La seule zone hystérogène constatée chez G... occupe le testicu
oient spontanées ou provoquées par l'excitation artificielle de cette zone hystérogène sont toujours précédées par une sensa
une lésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la zone motrice, au centre brachial et consécutive elle-m
ve d'une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone motrice du bras; mais il ne s'agit pas là d'une a
ganique du cœur, foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la zone motrice du bras, une telle lésion, dis-je, pourra
in, ce qui n'avait pas été fait jusque-là, s'il existait chez lui des zones hystérogènes. On en trouva, en effet, une située
r le testicule droit. On remarqua qu'une excitation même légère de la zone sous-mammaire déterminait très facilement les div
s brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci : zone d'anesthésie correspondant au territoire des nerf
t bien différent dans les deux cas. En effet, tandis que chez P... la zone d'insensibilité englobe l'épaule tout entière et
e tout entière et s'étend même au-delà, chezD..., au contraire, celle zone est beaucoup moins étendue, puisqu'elle respecte
tiens à vous faire remarquer, Messieurs, que cette disposition de la zone aneslhésique est justement celle qui a été observ
branches de ce plexus !, vous voyez, dis-je, que la disposition de la zone d'anesthésie cutanée est exactement la même que c
as de Por..., nous reconnaissons que, chez lui, la distribution de la zone d'anesthésie est tout autre : par en haut, du côt
re le plexus cervical. D'un autre côté, nous savons que chez P..., la zone d'anesthésie s'arrête, par en bas, à la main (Fig
cérébral du côté opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone motrice du bras qu'il faut la placer. De plus, po
quelques travaux récents, qu'elle n'est pas étroitement limitée à la zone motrice, et qu'elle s'étend en arrière des circon
dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la zone motrice brachiale, du côté opposé à la monoplégie
lié, Messieurs, qu'à la suite d'une excitation un peu prolongée de la zone sous-mammaire, survint chez Pin..., une attaque h
inq travers de doigt. Le bras presque tout entier est contenu dans la zone d'anes thésie qui, pour continuer la comparaiso
inture, l'impuissance motrice est devenue complète, vous voyez que la zone d'anesthésie s'est immédiatement étendue par en b
main se meuvent librement. En conséquence, la limite inférieure de la zone d'anesthésie se trouve déplacée une fois de plus
ura, qui, dans la règle, la précèdent, par l'excitation de véritables zones hystô-rogènes, dont les unes occupent la peau qui
que, sur la presque totalité de la moitié gauche du corps —quelques zones sont restées indemnes, —il existe une anesthésie
ence d'une lésion organique de la Fig. 86 et 87. — Distribution des zones d'anesthésie dans les cas de paralysie partie des
'admettre que cela dépend d'une lésion dynamique affectant celles des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale
egment correspondant du membre. Les limites qui séparent les diverses zones d'anesthésie ainsi produites, sont représentées é
la poitrine est restée sensible, la limite de la séparation entre la zone sensible et la zone insensible siège vers le mili
tée sensible, la limite de la séparation entre la zone sensible et la zone insensible siège vers le milieu delà paroi axil-l
voque actuellement par la pression de la fosse iliaque gauche ; d'une zone circonférenlielle au-dessus du genou et à la chev
la sensibilité montre en effet du côté gauche, en dehors de ces trois zones hystérogènes, une analgésie de toute la moitié ga
par un examen minutieux (exploration de la sensibilité, recherche des zones hystérogènes...), par l'étude des antécédents.
ations de l'hystérie. Souvent le malade présente de l'anesthésie, des zones hystérogènes ; l'un avait des vomissements, un au
jeunes garçons. Sommaire. — Contracture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. — Phases de l'attaque d'hystéro-é
us brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci: zone danesthésie correspondant au territoire des nerfs
, 299, 400; — Paraplégies —, 441; — Mutisme —, 422. Hystérogènes ( Zones ), 86. Hystéro-traumatiques (Paralysies), 299, 399
; — de la paralysie générale, 413; — de la maladie de Basedow, 413. Zones hystérogènes, .85 ; — chez la femme, 232; — chez
27 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s cel- lules de l'épendyme ont le plus proliféré, plus que dans les zones sus et sous-jacentes. Les fissures de la corne
na- lyse des images, : \1. 81elsclro\\'sky conclut qu'il existe des zones où l'on est en présence de fibres persistantes
mêmes que dans les conditions normales. On trouve, par contre, des zones dont l'aspect permet de se demander si, à côté
1902). A l'aide de faibles courants d'induction, on lié termine les zones de l'écorce du cerveau dont l'excitation produi
OGIE PATHOLOGIQUES. isolés des muscles des yeux. Puis on enlève ces zones et 14 jours après on tue l'animal : on traite l
t. Nombreuses figures. L'écoree du cerveau du chien contient quatre zones suscep- tibles d'engendrer des paralysies des m
s suscep- tibles d'engendrer des paralysies des muscles oculaires : zone frontale, pariétale, temporale, occipitale. Il
terne de la couche optique de Forel, dans le corps de Luys, dans la zone 11 de Forci, enfin ici dans la partie externe d
: elles se dirigent en dedans, franchissent la couche grillagée, la zone de Wcrnicke, et arrivent à la partie antérieure
s la partie externe, pour traverser, en se dirigeant en arrière, la zone grise intercalée entre le ruban de Reil supé- r
du faisceau de Go\Yers dont elle occupe la plus grande partie. Les zones limites externes et la zone mixte des cordons l
elle occupe la plus grande partie. Les zones limites externes et la zone mixte des cordons latéraux sont envahies par des
érescence ; ici le domaine du cordon latéral du cervelet est en une zone étroite assez purement conservée. Dans la moell
- fondamentales. P. Keraval. t\ 1.- Sur la doctrine de Flechsig des zones perceptives et des zones associatives ; par le
. t\ 1.- Sur la doctrine de Flechsig des zones perceptives et des zones associatives ; par le prof. L. Bianchi. (.1 nl1,
et de son développement, puisque il semble établi ([ne certaines zones du manteau possèdent un plus grand nombre de libr
onll'PI't'ncoJ'e i la 111Yl ? linisalion des fibres appartenant aux zones dites intermédiaires et terminales est soumise
er. A ce point de vue, on n'arrive pas à comprendre l'existence des zones associa- tives, telles que Flechsig les a conçu
ives, telles que Flechsig les a conçues, étant donné que toutes les zones perceptives sont des zones associatives. La loi d
es a conçues, étant donné que toutes les zones perceptives sont des zones associatives. La loi de pro- gressivité qui exi
perception, nous la rencontrons dans l'agrandissement successif des zones sensoriel- les, dont le produit est progressive
phénomènes psy- chiques n'est pas celui que Flcchsig a imaginé. Les zones inter- médiaires et terminales sont des terres
s terres vierges, qui attendent en- core le défrichement. L.. Les zones perceptives qui comprennent toutes les zones asso
défrichement. L.. Les zones perceptives qui comprennent toutes les zones asso- ciatives postérieures sont des centres de
l1la¡ ? t'spl'o\euanLde autres centres percepifs. Les lésions de la zone du langage démontrent que les images ver- hales
duisent le plus de dom- mage il l'intelligence sont les lésions des zones perceptives du langage, et spécialement delà zo
les lésions des zones perceptives du langage, et spécialement delà zone auditive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5.
e auditive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5. Les lésions de la zone visuelle donnait aussi des résultats presqu'ido
tls lroulllusintellcclucls, sauf IlnautL la 1(ion c.Lilen- due à la zone auditive du langage. La perle de l'intelligence à
cipalement à la part qu'elle comprend, dans l'hémisphère gauche, la zone du langage. Tout le monde saiL que l'intelligence
es intellectuels profonds. Dans tamicroceptialie on peut trouver la zone occipitd-parieto- lemporale très développée par
l'idiotisme le plus profond et le plus grave. Il existe une seule zone , dont les lésions ne produisent jamais de troub
ultés mentales supérieures ; c'est celles des lobes frontaux. Celle zone est en rapport avec toutes les autres : elle ré
st en rapport avec toutes les autres : elle réunit les produits des zones sensorielles, et excite leur activité. Elle n'a
pas de fibres de projection. Les expériences, les maladies de celte zone , et l'anatomie embryologique concourent à démon-
e zone, et l'anatomie embryologique concourent à démon- (rurtlue la zone frontale est le siège de la synthèse intellectuel
somnambulique. Dans ces I rois états on trouve : 1° ou que quelques zones du cerveau tombent dans l'inertie, tandis que d
l'li\iU' l'.\a¡.r<;I'¡"l' ; 2° ou bien que l'aclivilé de cerlaines zones se trouve supprimée, tandis que celles d'autres
de cerlaines zones se trouve supprimée, tandis que celles d'autres zones est, simple- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 141
l y a une limitativn générale de l'activité dans presque toutes les zones du cerveau ; mais non d'é- gale degré. "- Le
'une série d'expériences, l'auleurtirelcsconclusions suivantes : La zone corticale motrice est le centre exclusif des conv
n- dance prononcée de la dégénérescence il se subdiviser en deux- zones . L'une, inférieure, occupe la branche horizontale
trouve jusqu'à la pointe du lobe temporal, (fit. 11, 13, 14.). La zone supérieure, à peu près totalement dépourvue de li
eure du noyau caudé (\. C.) qu'elle touche presque. Entre les deux- zones se trouve un court Fig. 9. DÉGÉNÉRESCENCE SEC
es, il n'y a plus de différence entre les IUi. des deux côtés. La zone dégénérée supérieure, passant en dessus de la poi
énérescence se subdivise dans une ré- gion plus frontale en a), une zone inférieure se rendant au lobe temporal ; b. une
ale en a), une zone inférieure se rendant au lobe temporal ; b. une zone supérieure allant il c. g. c. et au pul vinar ;
ceau d'association qui relie le lobe occipital et en particulier la zone visuelle au lobe temporal » . Ceci paraît être
e Fli. est un faisceau de projection reliant le Thalamus opt. il la zone corticale visuelle. Il se base sur l'examen de
orts intimes à travers le centre ovale, iraient se terminer dans la zone pararolandique sensitivo-motrice. Le phénomène
ré- tend en tirer. C'est la région des bandelettes externes ou la zone intermé- diaire qui sont les plus sensibles à l
une lésion lneutlo-sysLt;ntalil«e,enclogène,clui com- merce par la zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs d
zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs de la moelle ( zone intermédiaire, bandelettes externes), et qui, sel
ntoxication syphilitique chroni- que des cordons postérieurs. Cette zone est sans exception, dans tous les (roubles des
utxe, ( : ltvosLel : ). On constate de plus chez ce malade, dans la zone du trijumeau, des Iroub les scnsi tifs (troubles
muscles de la face aux muscles de l'oreille. 11 peut arri\er que la zone réflexe soit plus étendue et que la piqûre du t
,-I1. Les libres endogènes grosses forment : a. un faisceau dans la zone cornu-commissu- rale ; h. le triangle médio-sac
quelques-unes dans le cordon de Goll à la région cervicale. V. Les zones de Lissauer sont constituées par des fibres endog
la bandelette externe, mais par les champs Postéro-eternca.- 1. La zone marginale de Weslphal, ou zone radiculaire anté
les champs Postéro-eternca.- 1. La zone marginale de Weslphal, ou zone radiculaire antérieure, ne contient, outre les li
espondant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la zone motrice. 11 faut distinguer avec le plus grand
es lignes du texte et gène la lecture de l'autre oeil dans toute la zone de projection. Si donc Valentine était vraiment
effet la formation, dans les conducteurs qu'ils cons- tituent,cles zones mauvaises conductrices que j'ai appelées lès ne
indigence intellectuelle du jeune homme ; il en esl de même pour la zone de 13roea et l'insula, quant il son langage. Il
ritation ; 2" Les seg- ments antérieurs de l'écorce conlicnnenl des zones dont l'irrita- tion fait fluor jusqu'à 'lU, 45,
individus. Celte période est moindre quand on ex- cite la première zone , [dus grande quand on excite la seconde ? 4" Cn
Les portions (l'u- rine recueillies après l'irritation des diverses zones corticales ne contiennent ni albumine, ni sucre
du mamelon. Au-dessus, sur une étendue de 2-3 cen- timètres est une zone d'hyperesthésie, L'étude histologique révèle un
dominent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise ( zone postérieure exceptée) surtout au niveau du deux
e fonctionnellement les libres nerveuses sensitives situées dans sa zone d'action ; et qu'une telle injection pratiquée
térique, par Gar- gano, 239. ' FLECHXtc. Sur la doctrine de des zones perceptives et des zones associatives, par Bian
39. ' FLECHXtc. Sur la doctrine de des zones perceptives et des zones associatives, par Bian- chi, 137. Folie. Dram
et affections banales de l'appareildigestif, par Rouyer, 317. ' Zones perceptives et asso- ciatives. Voir ilechiig.
28 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ions de la vue et de l'ouïe observées. Les kystes trou- vés dans la zone rolandique des deux hémisphères expliquent l'épil
e et à gauche il existait des kystes dans le lobe temporal, dans la zone rolandique et au pôle frontal. Leur volume étai
et on voit en outre une raréfaction des fibres à myé- line dans la zone des faisceaux pyramidaux directs et croisés (fig.
aussi fortement dégénéré que dans les segments sus-jacents. Dans la zone des faisceaux pyramidaux croisés la disposition d
ns de Goll ont repris leur aspect normal sauf à la périphé- rie. La zone marginale des cordons antéro-latéraux montre enco
n dorsale, atténuation progressive au-dessus et au-dessous de cette zone ). , Il est donc logique d'admettre que la diffu
e anté- rieure, elles sont séparées des fibres horizontales par une zone pâle. Les fibres myéliniques allant dans la moe
retournent en arrière, au-devant se rencontrent des deux côtés des zones pâles et fusiformes (partie de la substance gél
nant complètement disparu. Le plancher du 4e ventricule bordé d'une zone pâle et étroite est privé de myéline. Du milieu
ont le noyau, refoulé à une extrémité, est encore entouré par une zone formée de petits grains plus fortement teintés,
le nerveuse de l'écorce dont le noyau est à peine indiqué par une zone plus claire et dont le proto- toplasma est divi
u niveau de la partie externe de la fosse cérébrale antérieure, une zone assez étendue de pachyméningite adhésive unissait
lée, d'abord de la tumeur, en- suite de l'écorce cérébrale dans des zones plus ou moins rapprochées du néoplasme, puis de
virons des cloisons et sont peut-être un peu plus nombreux vers les zones périphériques de la tumeur, ce sont des vaisseaux
contrairement à ce qui se passe pour les vaisseaux, on remarque une zone , mince en comparaison de la paroi, se teintant be
eaucoup plus fortement, surtout par le mélange de Van Gieson. Cette zone , qui semble jouer le rôle de membrane endothéli
suc. La dure-mère adhère toujours à ces néoplasmes, tantôt par une zone assez étendue comme dans notre cas, tantôt par un
les aspects les plus intéres- sants de nos préparations. Dans la zone périnéoplasique,les lésions sont d'autant plus év
Cette chromatolyse existe constamment et à des degrés variables. La zone périnucléaire est ordinairement atteinte en derni
llule, il y a un cercle clair, périphérique, qui contraste avec une zone centrale plus foncée; au contraire le noyau est-i
traire, les plus volumineux sont ordinairement au dehors. Dans la zone paracentrale, les mêmes lésions se retrouvent à u
n degré moin- dre. H y a moins de cellules sans noyau, toutefois la zone de décoloration péri- phérique, l'absence de gr
oisième variété dans l'intérieur et autour des vaisseaux. Dans la zone occipitale nous observons le minimum des lésions.
ertaines .cellules offrent des altérations analogues à celles de la zone paracentale, d'au- tres au contraire paraissent
nt : 1° en une chromatolyse périphérique, ou plutôt n'atteignant la zone périnucléaire qu'en dernier lieu ; 2° diminution
i se teinte encore énergiquement et cons- titue autour du noyau une zone plus foncée. Plus en dehors, on trouve une colo
les lésions n'ont été retrouvées dans notre observation que dans la zone tout à fait voisine du néoplasme. Le reste de l'é
ion de produits toxiques sur les cellules de l'écorce. A côté de la zone péri-néoplasique, où nous avons retrouvé les al
riel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de troubles sensitifs, pas de zones hyperesthésiques ou hystérogènes. NOUVELLE ICON
de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo-motrices de l'hémisphère droit. 1
pos- térieur, qui dans leur centre, des deux côtés contiennent une zone sans myé- line, avec une petite hémorrhagie. A
s cordons latéraux sont plus larges, on remarque à la périphérie, une zone pâle, correspondant aux pyramides. Au côté oppo
s au niveau de la région lombaire. Ces poils s'implantaient sur une zone assez limitée. Ils étaient si drus et poussaient
Femme de 45 ans, présentant au niveau de la région lombo-sacrée une zone de 15 centimètres de diamètre couverte de poils
s transformations du carti- lage de conjugaison se passent dans des zones nettement séparées entre elles, se succédant ré
cartilagineuses sont disposées sans ordre, ne for- mant jamais une zone sériée. Le cartilage s'ossifie par calcification
ïdes. « Ce qui frappe surtout, dit Spillmann, c'est l'absence de la zone d'ossification cartilagineuse, qui empêche l'ac-
; on perçoit, dans les 2e et 3e espa- ces intercostaux gauches, une zone de battements. La région du coeur est en- dolor
aire). On a constaté plusieurs fois une sensibilité, assez vive des zones pseudo-ovariennes. Pas de zones hystéogènes vraie
ois une sensibilité, assez vive des zones pseudo-ovariennes. Pas de zones hystéogènes vraies. Organes des sens. Champ vis
tiguïté, il partir de la tumeur et rayonnant autour d'elle dans une zone plus ou moins étendue, mais, au contraire, une le
. Dans notre observation, en dehors des lésions constatées dans la zone juxtanéoplasique, et sur la nature desquelles o
plètement décalcifiés. En dehors de l'enveloppe fibreuse,existe une zone épaisse fortement colorée par l'hé- matoxyline,
mbranes ménin- gées, ayant toujours comme siège de prédilection les zones péri et pava- vasculaires. III. - Les lésions
au de Flechsig que dans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon postérieur est plus petit
sceau de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales supérieures la zone de sclérose occupe dans les cordons postérieurs
de la moelle et devient de plus en plus mince vers le centre. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les faisceaux c
iminué ; les sillons sont plus larges et plus profonds. On voit une zone non colorée entre les couches granuleuse et mol
tions, les sillons sont très larges. Dans l'écorce, existence d'une zone non colorée entre la couche granuleuse et la co
hés de la ligne médiane. Sur le côté supéro-externe nous voyons une zone oblongue dont les fibres sont bien colorées par
cédente rien ici n'indique la place du fais- ceau pyramidal. Aucune zone amyélinique, aucune sclérose n'indiquent la po-
re immédiatement en arrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de fibres fines forme la bordure antérieure et an
nt en arrière du sillon antérieur, et de les voir se jeter dans cette zone qui forme la bordure antérieure etantéro-intern
commun que les stigmates du côté des seins chez les hys- tériques ( zones hyperesthésiques et hystérogènes, zones frénatric
ins chez les hys- tériques (zones hyperesthésiques et hystérogènes, zones frénatrices, etc.). Mais il est relativement ex
val et pharyngien sont diminués, le réflexe cornéen est conservé. Zones hyperesthésiques et hystérogènes au niveau des de
stigmates permanents comme l'anesthésie profonde du côté droit, les zones hyperesthésiques des ovaires et des seins, le clo
ûlure, de lancées fulgurantes, ma malade présente manifestement une zone hétérogène profonde et une zone superficielle sur
a malade présente manifestement une zone hétérogène profonde et une zone superficielle sur l'aréole : la pression ou le
avait des mouvements res- semblant à la chorée. La superposition de zones hyslérogènes au gonfle- ment de la glande est e
t et les désordres objectifs de la sensibilité sur une partie de sa zone cutanée, voilà des données plus que suffisantes
ques ; d'un autre côté, l'hypoes- thésie est plus apparente dans la zone innervée par le cubital. Observation II. Le 2
s, les canaux de Havers sont au contraire très rétrécis. Il y a des zones compactes où ils ont entièrement disparu. En somm
sur quatre examens histologiques, a trouvé chaque fois, à côté des zones raréfiées, des zones d'ostéite néoformatrice ca
istologiques, a trouvé chaque fois, à côté des zones raréfiées, des zones d'ostéite néoformatrice caractérisées par le ré
e par travées le long des vaisseaux, et ceux-ci sont entourés d'une zone étoilée de sclérose, surtout dans la substance
'entre elles est rétrécie par la prolifération endothéliale, et une zone de sclérose périartérielle se continue avec la sc
ements. A la région cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de zones pâles dans la substance blanche. Au carmin, on
squ'aux dernières sa- crées.une légère raréfaction des fibres de la zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon
zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon postérieur, la zone spongieuse de la substance gélatineuse la corne
plus marquée à ce point que dans les deux cordons voi- sins. Cette zone , on le sait, formée de fibres très fines provenan
s abolis. En tout cas, il ne s'agit là que d'une lésion légère. Les zones radiculaires internes sont d'ailleurs abso- lum
erveuses, dans la partie moyenne des cordons postérieurs et dans la zone radiculaire postérieure. Les zones radiculaires
es cordons postérieurs et dans la zone radiculaire postérieure. Les zones radiculaires moyennes étaient partout conservées.
aches vineuses ont foncé de couleur. Les cheveux sont décolorés par zones , et de blond foncé sont devenus d'un blond plus
tion s'accompagne d'autres troubles trophiques : la décoloration en zone des cheveux, les taches pigmentaires vineuses d
; la face est souvent grimaçante. Pas de troubles oculaires, ni de zones hystérogénes. L'état de X... a peu varié au poi
29 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
il est obnubilé seulement as la hanche. En outre D... présente deux zones hystérogènes (la pression à ce niveau amène l'a
pharyngé, le sens musculaire et articulaire; qu'il pré- sente deux zones hystérogènes, que son champ visuel est rétréci, q
visuel et l'oeil n'ont pu être examinés, car ce malade présente des zones hystérogènes rétiniennes qui l'empêchent de fix
ement abolis dans la moitié gauche du corps. Il existe en outre des zones hystérogènes, l'une au niveau du pli de l'aine du
it remplacé 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1 par une zone douloureuse située au niveau de la colonne lombai
une zone douloureuse située au niveau de la colonne lombaire; cette zone hystérogcne n'existe plus. Ces points sont très s
voquent des attaques/si la pression persiste. En outre, il existe une zone spasmo-frênatrice au niveau du pli de l'aine du
eau du pli de l'aine du côté droit, dans une région symétrique à la zone spasmogène du côté gauche. Sa compression arrête
'appui de notre thèse : l'hémianesthésie sensitivo-sensoriclle, les zones hystérogènes et spasmo- frénatrice, le mutisme
totale. Le sens musculaire est conservé. Anesthésie pharyngée. Deux zones hystérogènes dans la fosse iliaque droite et dans
ulaire et articulaire est conservé mais très affaibli à droite; les zones hystérogènes n'existent plus; il a toujours des
ystérique : l'hémianesthésie cutanée, l'anesthésie pha- ryngée, les zones hystérogènes, etc.. en sont une preuve évidente.
nes thoraciques et abdominaux com- plètement sains. Mais il y a des zones d'hyperesthésie douloureuse, au-des- 'sous des
bsence des stigmates sensitivo-sensoriels; elle avait cependant des zones d'hyperesthésie douloureuses. En outre, tout ici
rdue. Sensibilité à la douleur et à la tempéra- ture très diminuée. Zone d'anesthésie plus marquée au niveau du scapulum
. Zone d'anesthésie plus marquée au niveau du scapulum droit; cette zone dessine à peu près l'os sous-jacent. L Anesthés
mie linéaire est aussi le procédé à suivre si l'on veut débrider la zone motrice ou rolandique, ou mettre à décou- vert
iétal, j'ai confectionné un lambeau en fer à cheval en enlevant une zone du crâne parlant de la base de la suture fronto-s
r, durant les phases d'aggravation qui succèdent à l'excitation des zones hystérogènes, aux attaques, aux émo- tions, etc
luence des attaques, d'une émotion même légère, de l'excitation des zones hystérogènes, qu'il peut persister des années e
us les autres symptômes possibles de la névrose, les stigmates, les zones hystérogènes, les attaques convulsives anté- ri
la fixation du regard déter- mine rapidement l'attaque convulsive. Zone hystérogène. On peut aussi provoquer l'attaque
du flanc droit, soit dans le flanc gauche. La compression de cette zone , tout comme la fixation du regard sur un objet
n colère, ou contrarié. Il s'accroît surtout lorsqu'on comprime les zones hystéro- gènes qu'il présente au niveau des fla
cas particu- lier, le début subit du tremblement, l'existence d'une zone hystérogène, l'action excitatrice exercée par l
stérogène, l'action excitatrice exercée par la compression de celle zone sur le tremblement, le rétrécissement du champ
droite. 2° Un rétrécissement concentrique du champ visuel. 3° Une zone hystérogènc siégeant dans le flanc droit. La comp
e hystérogènc siégeant dans le flanc droit. La compression de celte zone détermine une sensation de boule qui remonte au c
diagnostique être provoqué, arrêté, exagéré par la compression des zones hystérogènes. Il est plus rapide elplus régulie
des phénomènes d'aura. On déterminerait même une attaque. C'est une zone hystérogène. D'autre part, il n'y a pas de défo
ssi haut que les figures 8 et 9 l'indiquent. Il y a en ce point une zone où la sensibilité est simplement affaiblie. Exp
essous de l'ombilic. Parfois on trouve au-dessus de cette ligne une zone étroite d'hyperesthésie. Non seulement l'anes-
ne se produit pas, quelque insistance que l'on mette à comprimer la zone ovarienne. La sensibilité générale est partout
r toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. Lorsqu'on exerce une pression un peu
nt, elle sanglote. Parfois l'attaque recommence. La compression des zones hystéro- gènes déjà indiquées ne l'interrompt p
e membre supé- rieur droit partir du tiers inférieur du bras. Cette zone d'analgésie est limitée par une ligne circulair
out le membre inférieur gauche, la plante du pied exceptée ; 3° une zone hystérogène correspondant au pli de l'aine du c
droit. Nous n'avons pas pu constater chez ce malade l'action de la zone hysté- rogènc sur ce tremblement, car cette zon
ade l'action de la zone hysté- rogènc sur ce tremblement, car cette zone est très sensible; la plus légère pression prov
ngue ne présentent aucun trouble de la motililé. Il n'existe aucune zone hystérogène. La malade n'a jamais eu d'attaques
raits sont irréguliers, fine- ment tremblés. La compression de la zone hystérogène détermine l'accroissement de l'am-
es points rétro-maHeoIaircs interné et exlerné du côté droit. Ces zones et trajets douloureux ne semblent pas correspondr
ccompagnées de perte de connaissance), l'absence d'anesthésie et de zones liysléro- gènes, le diagnostic de tremblement h
ose des cordons postérieurs sur toute leur étendue; altérations des zones radiculaires surtout dans la région dorsale, pe
guë au noyau triangu- laire et qui représente la continuation de la zone radiculaire spinale. La racine ascendante de la
ure postérieure et s'étendait latéralement jusqu'au voisinage de la zone radiculaire; il partir de la région dorsale la
bas au noyau du moteur oculaire externe et étaient entourées d'une zone de ramollissement inflammatoire. GEORGES GUiNON
ou- leur. Cette analgésie monoplégique se continue en haut avec une zone inter- médiaire où la douleur est perçue, mais
ivement que dans les régions symétriques du côté opposé. Dans cette zone de transition, les sensations dou- loureuses de
e l'analgésie. Il y a également, pour ce mode de sensi- bilité, une zone de transition où les perceptions deviennent progr
s sont larges, égales; elles réagissent normalement. Il existe deux zones douloureuses profondes, une au niveau de la rég
autre très étendue au niveau des dernières côtes du côté droit. Ces zones ne sont pas hystérogènes. La région lombaire pr
existait du côté gauche a fait place à une analgésie; il reste une zone hyperesihésique interscapulaire qui existait dé
sibilité. - La sensibilité est'normale dans tout le corps, sauf des zones d'hyperesthésie aux deux genoux et au cou-de-pied
rcussion de la colonne vertébrale ne semble pas douloureuse; pas de zones douloureuses. Rien aux yeux. `1cJ novembre 1887.
'hyperesthésie varient assez souvent de siège. Il existe encore une zone hystérogène dou- loureuse au niveau de la régio
particulier aux mains. Anesthésie pharyngée. Il existe en outre une zone douloureuse au niveau des régions dorsale et lo
ur toute la surface du corps. Anesthésie pharyngée. -Il existe deux zones hystérogènes : l'une dans le flanc droit, l'aut
uver de la céphalalgie et une menace d'attaque comme s'il avait des zones hystérogènes sur la rétine. Il a en plus une sort
rs celle pression profonde provoque une vive douleur. Il existe une zone douloureuse dans l'abdomen, qui est le siège d'nn
ocalisée à une région ; il est douloureux dans sa tota- lité. Cette zone ne produit pas les phénomènes de l'aura. Il y a e
te zone ne produit pas les phénomènes de l'aura. Il y a encore deux zones analogues sur la colonne rachidienne, au niveau d
e avec cette idée. D'autre pari, l'hystérie semble démontrée par la zone douloureuse du rachis, par la distribution de l
hystérique est tout à fait spéciale ; elle est représentée par une zone douloureuse, cutanée ou musculaire plutôt qu'osse
rarement complète dans le tabes, elle y est en outre distribuée par zones irrégulières, par plaques, avec une cer- taine
dys- chromalopsie. Le réflexe pharyngé est conservé. 11 existe deux zones dou- 418 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
E DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 419 hémihyperesthésie, zones douloureuses, crises de pleurs, etc. L'ori- gin
cilement et est animée de mouvements spasmodiques. Il existe deux zones hystérogènes, l'une dans le milieu de la colonne
s marquée du sens articulaire. Abolition du réflexe pharyngé. - Une zone douloureuse, non hystérogène, au niveau de la t
ésies dans la glioma- tose se disposent, comme dans l'hystérie, par zones géométriquement délimitées occupant un segment
é ainsi. Au début, lorsque cet homme n'avait pas d'attaques, pas de zones hystérogènes, pas dc troubles des sensspé- ÉTUD
aduellement avec les régions intactes. Il y aurait là une espèce de zone de transition graduelle qu'on ne retrouverait pas
ne lui sont pas exclusives, et elles ne sont pas localisées il une zone limitée. Si l'on avait tenté une intervention c
30 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur- face est violacée, piquée de points noirâtres, entourée d'une zone d'érythème. Pas de sucre, ni d'albumine dans le
re, une fois apparue, suit graduellement sa marche, s'entoure d'une zone érythémateuse, inflammatoire; les parties sphac
n franc et couvertes d'une croûte noirâtre. Chacune, entourée d'une zone érythémateuse. Insensibi- lité de la peau envir
re) et une partie rapprochée (surtout antérieure), séparées par une zone pauvre en cellules. Dans la pre- mière on renco
es du segment rapproché (antérieur) du noyau du même côté ; à cette zone appartiennent encore une partie des cellules la
re décrit dans le noyau de Burdach et aux envrions on rencontre une zone qui parait être en rapport cons- tant avec l'in
e de la coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la zone postérieure est la plus altérée. Il existe une
l'irritation de l'écorce. · Objectivement, on trouve souvent des zones d'hyperesthésie où la moindre pression détermin
ù la moindre pression détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des zones où il y a des troubles paresthésiques, rarement
vu une gomme guérir sans opération. Existe-il dans l'encéphale des zones où une gomme puisse impunément se développer, d
nomènes de, déficit ? On l'a dit souvent, et on a désigné du nom de zones latentes certaines portions qui répondent à peu
m de zones latentes certaines portions qui répondent à peu près aux zones que Flechsig', contrairement à Déjerine2, consi
considère comme dépourvues de fibres de projection, et qualifie de zones d'asso- ciation. Sans doute les zones de proj
projection, et qualifie de zones d'asso- ciation. Sans doute les zones de projection ont une symptomato- logie plus gr
empêchent l'influx nerveux d'arriver à l'écorce ou d'en sortir. Les zones d'association, les sphères psychiques de Flechs
us difficiles à dépister. Mais nous ne croyons pas qu'il existe des zones véritablement latentes, les admettre serait aff
plus ou moins accusés suivant le siège de la lésion au niveau d'une zone de- pro- jection ou d'une zone d'association. N
e siège de la lésion au niveau d'une zone de- pro- jection ou d'une zone d'association. Nous nous sommes déjà expliqués
ne zone d'association. Nous nous sommes déjà expliqués au sujet des zones dites latentes : cette latence résulte seulemen
e la face postérieure des cuisses et de la face externe des jambes ( zone de distribution du plexus sacré) ; au- dessus d
uvaient des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 zones où la substance grise était granuleuse en partie,
ltat de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone motrice, produit l'épilepsie jacksonieune. Ici c'
horizonta- lement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 centimètres de largeur. T' est a
oscopique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région occipitale suf
tement détruit; le cordon de Burdach est aussi envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne postérieure. A la régio
un nodule sous-cutané de lajambe voit se développer tout autour une zone où les douleurs sont telle- ment aiguës qu'une
e ; du reste le troubles de la sensibilité n'affectent nullement la zone de distribu- tion de l'un des filets nerveux de
es ses formes. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions de la zone motrice corticale ; par Henri Verger L'auteur
, que l'auteur va chercher les modifications dans les lésions de la zone corticale motrice. De ses expériences, faites s
ésultats. Chez l'homme, comme chez le chien, dans les lésions de la zone dite motrice du cerveau, la sensibilité tactile e
entres de perception des sensations et qu'on ne peut placer dans la zone rolandique que les seuls centres d'association
cons- tante, à la périphérie des cellules moyennes et grosses, une zone marginale, d'environ 10 de largeur, très dévelo
du prolongement nerveux. Autour du noyau, enfin, existe une petite zone homogène, claire et dépourvue de granules. Quan
piqûre, au froid et à la chaleur. A cette même époque, on note une zone d'hyperesthésie sus-mammaire et ovarienne gauch
e une zone d'hyperesthésie sus-mammaire et ovarienne gauche, et une zone douloureuse à l'angle inférieur de l'omoplate g
r la méthode de Wei,ert-Pal, dans les deux cordons postérieurs, une zone pâle à forme triangulaire dont la base est diri
e et le sommet vers la commissure postérieure. La pâleur de cette zone relève d'une part de la finesse des fibres nerv
utre part, de la disparition de quelques- unes d'entre elles, cette zone se montre aux régions lombaire et dorsale avec
dant dégénéré constitue un faisceau plus volumineux qui occupe la zone de Lissauer et la zone radiculaire postéro-intern
ue un faisceau plus volumineux qui occupe la zone de Lissauer et la zone radiculaire postéro-interne : dans cette derniè
nue à mesure que l'on monte; 3° Il n'y a de déérescetice ni dans la zone radiculaire antérieure du cordon postérieur, ni
un faisceau plus grêle, plus mince, situé en grande partie dans la zone de Lissauer et empiétant un peu sur la zone rad
n grande partie dans la zone de Lissauer et empiétant un peu sur la zone radiculaire postéro-interne ; 5° pour le faisce
<</, avril 1897). E. B. LXV111. D'UN faisceau spécial de la zone latérale DE la moelle épinière; par le D1' Alex
de Gowers, faisceau pyramidal croisé, faisceau cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et zone limitante latérale,
croisé, faisceau cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et zone limitante latérale, aussi appelée zone marginale
zone externe de Lissauer et zone limitante latérale, aussi appelée zone marginale ou faisceau profond du cordon latéral
n dégénérescence mais que cette dernière affecte aussi en partie la zone limitante latérale, dont la partie antérieure mon
taux antérieurs et latéraux, tandis que la partie postérieure de la zone forme contraste avec la partie antérieure en de
a corne antérieure de la corne postérieure. Il parait donc que la zone limitante latérale doit être dès lors considéré
minuée aux deux membres inférieurs, presque abolie dans cer- taines zones sans disposition régulière, ne répondant ni à des
lus que d'hypoesthésie : il n'y a pas de transition brusque, pas de zone d'hyperesthésie. Il semble . qu'il y ait un cer
contenant de la soupe pour la sensation de chaud), sauf dans une zone étroite allongée à la face interne du bras, où le
es muscles. Les troubles de la sensibilité sont iden- tiques : même zone d'hypoeslhésie à la face interne du bras. yd<
e. 7 septembre. A gauche, l'hypoesthésie au contact s'étend à une zone plus large : face interne du bras, de l'avant-bra
ion dorsale, l'anesthésie est remplacée par de l'hyperesthésie ; la zone de l'hyperesthésie par de l'anesthésie. b). La
auteur à laquelle nos coupes aient porté, d'excavations, ni même de zones où la tumeur parût dégé- nérer ou se ramollir ;
as là un artifice de préparation, si la chute des cellules dans ces zones que nous regardons comme fibrillées, n'a pas si
s toniques et cloniques comme celle qui résulte de l'excitation des zones corticales motrices. Cela ne veut pas dire que
dans la commotion cérébrale, même chez les animaux privés de leurs zones corticales motrices ; on les observe encore qua
oniques à succession ra- pide, caractéristiques de l'irritation des zones corticales motrices, ne peuvent être engendrées
é dans tous ses modes, sauf en ce qui concerne la faradisation; une zone identique existe à gauche, mais elle ne dépasse
ieure, s'infléchit en dehors et occupe le bord. Mais, à droite, une zone indemne, étroite, occupe la limite intermédiair
rdacli; au niveau du quart antérieur des cordons postérieurs, cette zone disparaît. Le faisceau du cordon latéro-cérébelle
t dégénéré, si ce n'est un court segment de celui-ci con- tigu à la zone marginale de Lissauer. Dégénérescence assez mar-
d'un nerf ou son trajet; 2° ceux dans lesquels le ncevus occupe la zone intermédiaire entre deux terri- toires nerveux
celui-ci. Ce sont les épilepsies réflexes, preuves évidentes que la zone épileptoèiie peut être trouvée presque partout su
toniques et cloniques, ceux 506 BIBLIOGRAPHIE. qui partent de la zone motrice ou des parties avoisinantes, et doivent
uit que sous l'in- fluence d'une lésion siégeant directement sur la zone motrice. D'où l'indication absolue de l'interve
x ». Viennent ensuite toutes les tumeurs corticales situées dans la zone motrice, les cicatrices fendant l'écorce mo- tr
lésion. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la zone motrice, l'aura sensitive précède les convulsio
aient. Une troisième inter- vention est décidée et, en explorant la zone motrice, M. Winkier trouve au niveau du lobule
ermination de ce premier foyer, qui peut être situé en dehors de la zone motrice, que dépend le résul- tat de l'opératio
, puis de la présence de stigmates hystériques et en particulier de zones hyperestésiques du cuir chevelu. La pseudo-méni
hives, 2e série, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions de la zone motrice corticale, par Verger, 348. Anévrysme
e secondaire de la -. par Soukhanofï, 402. Faisceau spécial de la zone laté- rale de la -, par BrLice, 403. Tumeur d
31 (1911) La pratique neurologique
eprésentant la projection des champs visuels de l'OD et de l'OG. La zone blanche marque le champ visuel pour le blanc. L
s du champ visuel. Il existe, dans l'intérieur du champ visuel, une zone au niveau de laquelle un objet n'est point perç
es cas, il peut se dévelop- per jusqu'à ne laisser subsister qu'une zone étroite de vision centrale. On voit même le rét
le champ visuel n'existe pour ainsi dire plus, il est réduit à une zone très étroite entourant le point de fixation. Si
omplètes en degré, dans des hémianopsies en voie de régression; une zone achromatopsique a souvent t été précédée par un
t une aphasie par défaut d'impression. Elle dénote une lésion de la zone de Wernickc. L'anarthrie, dans laquelle le mala
e temps vient toucher légèrement, prendre un simple contact avec la zone de Wernicke,, l'unique partie du cerveau présid
tale, un centre postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone .* visuelle occipitale. Les impressions sensit
ntiels. 4, fibres lon- gues se rendant après entrecroisement à la zone sensitivo-motrice de l'écorce. 5, fibres cérébe
ébelleuse, aux noyaux rouges,, puis par la capsule in- terne à la zone sensitivo-motrice du cerveau. a, nerf cochléa
résulte d'un obstacle quelconque au passage du courant d'air vers la zone olfactive. Cet obstacle. pourra être une atrési
nde valeur à la recherche des stigmates, mais on pourra déceler des zones hysterogenes. Le diagnostic de l'ictus épilepti
inal et la flexion des orteils, parfois enfin, par excitation d'une zone hystérogène, couper d'une crise convulsive le som
prononcée. Elle dépend dune lésion en foyer située au niveau de la zone lenticulaire (Pierre Marie) de l'hémisphère gauch
e la zone lenticulaire (Pierre Marie) de l'hémisphère gauche, celte zone , étant constituée par un quadrilatère cérébral
sie, anarthrie de Pierre Marie), lorsque les lésions intéressent la zone lenticnlaire ou la zone de Wernicke. Mais, en d
Marie), lorsque les lésions intéressent la zone lenticnlaire ou la zone de Wernicke. Mais, en dehors de ces cas particu
estation dysartbrique siège sur l'hémisphère droit, au niveau de la zone correspondante du langage sur l'hémisphère gauc
semblable. Les lésions qui provoquent son apparition intéressent la zone temporo-pariétale. En avant de celle zone, dans
parition intéressent la zone temporo-pariétale. En avant de celle zone , dans un quadrilatère (Pierre Marie) limité par
llll ? le pied de la couronne rayonnante. Un foyer situé dans cette zone provoque l'nraarllcrie. Celle I. Ces mouvements
Marie, deux foyers distincts sont nécessaires, l'un intéressant la zone lenticulaire, l'autre la zone temporo- pariélal
sont nécessaires, l'un intéressant la zone lenticulaire, l'autre la zone temporo- pariélale de Wernicke. Dans le. premie
hrie de Brocaap)iasiede Wernicke) dans le second. En dedans de la zone de Wernicke. tout foyer intéressant les faisceaux
ent d'une destruction, par hemorrhagie ou par ramollissement, de la zone de Wernicke de l'hémisphère gauche chez les droit
chez les droitiers, de Ihemi- sphère droit chez les gauchers. Celle zone comprend le gyrus suprainar- ginalis (pariétale
rement le pied de ces dernières circonvolutions. La lésion de celle zone ne détermine pas d'hémiplégie. Celle-ci dépend
ussi, du moins au début, des trou- bles relevant de la lésion de la zone de Wernicke adjacente. Aphasie chez les gaucher
se confondre avec celui de la voie prin- cilalu, pour atteindre la zone sensitive corticale. je Centres de réception co
corticale. je Centres de réception corticaux. La topographie de la zone sensitive, au niveau du cortex, comme du reste
la zone sensitive, au niveau du cortex, comme du reste celle de la zone motrice, est une question actuellement à l'ordr
dualiste (Charcot, Ballet, Redlich, von Monakow) soutenant que .la zone sensitive dépassait, les limites de la zone mot
akow) soutenant que .la zone sensitive dépassait, les limites de la zone motrice, en arrière dans la région du lobe parié-
la circonvolution pariétale ascendante ne faisait pas partie de la zone motrice; cette dernière s'étendant uniquement e
ienne conception classique sur les localisations corticales : 1° La zone motrice est cantonnée en avant du sillon de Ilola
ar excellence. La participation de la pariétale ascendante il cette zone est, niée par les uns, considérée comme très mi
onsidérée comme très minime par d'autres (Rossi et Roussy). 2° La zone sensitive est limitée au niveau du-cortcx, en arr
uer sur la peau, avec un crayon dermogra- phique, les limites de la zone anesthésique ou hypcrcsthésique. On se rappelle
u hypcrcsthésique. On se rappellera, au cours de cet examen, qu'une zone anesthésique s'étend légèrement quand on l'expl
trécit dans le cas contraire ; on devra donc, avant de délimiter la zone anesthésique, faire l'épreuve dans les deux sen
(fracture de la voùte crânienne, etc.), lésion qui vient frapper la zone corticale sensitive elle-même ou les voies de c
- thésie empiète sur le côté corres- pondant, sous la forme d'une zone d'hypoesthésie occupant le membre inférieur.
eresthésie pour tous les modes de sensibilité superficielle; b) une zone d'anesthésie étroite, transversale, faisant suite
thésiques, et située juste au-dessus d'elle; c) enfin, une nouvelle zone hyperesthésique surmontant la précédente; d) la
) ; .. c) une bande étroite d'hyperesthésie légère, au-dessus de la zone anes- thésique; .. d) l'intégrité parfaite de
jours. A gauche, -anesthésie très nette jusqu'au niveau de l'aine, zone d'hypoesthésie au-dessus, surmontée elle-même d'u
aine, zone d'hypoesthésie au-dessus, surmontée elle-même d'une petite zone d'hyper- esthésie (en pointillé). (Cas nlén...,
de terminer ce qui a trait à la topographie de la distribution des zones anesthésiques dans les affections de la moelle, r
u tronc; il, 2, 5, centres métamériques du membre supérieur; z, ? s", zones de sensibilité circulaire du membre supérieur c
ins) d'après la loi établie par Sherrington, de l'empiétement de la zone de distribution cutanée d'une racine sur les zo
empiétement de la zone de distribution cutanée d'une racine sur les zones de distribution des deux racines adjacentes (voit
former la queue de cheval. Examinons quelle est la topographie des zones d'anesthésie pour cha- - C.111-le des racines d
u niveau du ;le segment lombaire), l'anesthésie occupe, en plus des zones aneslhési- ques précédentes, celle de distribut
ieures précises de L,; sont encore incertaines ainsi que celles des zones respectives de L. et L4. (Voir à ce propos les di
médullaires. On sait que chaque segment médullaire correspond a une zone de projection cutanée ayant la même topographie
s nerfs atteints. Lorsque plusieurs nerfs sont pris (névrites), les zones d'anes- thésie, correspondant au territoire d'i
Elles sont habituellement localisées et on a longtemps décrit les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont
ocalisées et on a longtemps décrit les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont la pression provoquait, pen
dont la pression provoquait, pensait-on, l'attaque hystérique. Ces zones ne sont en réalité que le ré- sultat de l'auto-
e anglais, Henri Ilead('), a attiré l'attention sur la présence des zones ly-perestllésidues cutanées dans les affections v
toujours, suivant cet auteur, clans les affections viscérales, des zones d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les membres
zones d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les membres et la tête, zones dont la topographie est directement en l'apport a
d'eau tiède. Les réflexes cutanés à ce niveau sont exagérés. Ces zones d'hyperesthésie clans les affections viscérales p
ésentent la même topographie et les mêmes maxima douloureux que les zones érup- tives du zona; l'élude de la sensibilité
rnière affection a donc pu servir à établir les limites exactes des zones hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres,
nes hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,), zone dors
. Sur le tronc et les membres, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,), zone dorso-hrachiale (\)2)'
mbres, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,), zone dorso-hrachiale (\)2)' srapulo-h\1lnérale : (IL
(Du), sacro- fémorale (D,2), génito-crurale (L,). Il n'y a pas de zone hyperesthésique correspondant aux 2e, 5e, 4e seg-
ndant aux 2e, 5e, 4e seg- ments lombaires; au-dessous on trouve les zones de Lez, de S,, de S2' de S., de S, (sacro-anale
,, de S2' de S., de S, (sacro-anale). Au niveau de chacune de ces zones , il existe deux ou trois points de douleur maxi
il existe deux ou trois points de douleur maxima. Ces différentes zones sont hyperesthésiées en totalité ou partiellement
dernier cas, on ne retrouve que les deux ou trois points maxima par zone . La limite supérieure et inférieure de ces zones
s points maxima par zone. La limite supérieure et inférieure de ces zones est absolument nette, et il n'y a pas, comme da
s les unes sur les autres; aussi, d'après Ilead, la topographie des zones hyperesthésiques est-elle segmentaire et non ra
e lésé. Dans les cas de trauma- tisme de la moelle, on retrouve des zones hyperesthésiques ayant la même topographie que
du cou, de la face et du crâne, il existe également de nom- breuses zones hyperesthésiques : zones fronto-nasale, orbitaire
crâne, il existe également de nom- breuses zones hyperesthésiques : zones fronto-nasale, orbitaire moyenne, temporo-front
-labiale, mentonnière, steI'11O-lllastoïdienne, sterno-nucbalc. Ces zones cepilaiiqucs répondent à des affections de voisin
s affections des viscères thoraciques ou abdominaux, on observe des zones céphaliques hyperes- thésiques. Ilead insiste
par la douleur réfléchie (douleur sympathique), qu'il rapproche des zones hyperalgésiques. Nous ne pouvons faire ici la d
ralgésiques. Nous ne pouvons faire ici la description détaillée des zones hyperes- thétiques décrites par Ilead dans les
le siège d'une affection viscérale. Malheureusement, jusqu'ici, les zones hyperesthésiques de Ilead n'ont pas été retrouv
e, n'a pas la même valeur objec- tive que celle de la recherche des zones anesthésiques, connue le l'ait remarquer Thornb
ie. Dans l'hystérie, elle est presque constante, et s'accompagne de zones hyperesthésiques douloureuses, désignées sous l
ps, à la face, à la nuque, aux membres, au coccyx, sous la forme de zone douloureuse limitée, ne répondant pas à un terr
BILITÉ SUBJECTIVE. 577 tifs répondent, au niveau de la cuisse, à la zone d'innervation cutanée du nerf fémoro-cutané. ..
si que l'on peut observer lIes 'hyperesthésies douloureuses dans la zone d'inner- vation du brachial cutané interne, de
al cutané interne, du rameau cutané interne du nerf radial, dans la zone d'inner- vation cutanée du radial, du cubital,
ement, d'engourdissement, ou des douleurs souvent violentes dans la zone d'innervation de la branche crurale du fémoro-c
e, de lésions discrètes méningo-vasculaires ou de l'intégrité de la zone d'en- trée des racines postérieures, des bandel
de l'hyperes- - lhésie avec une zonesus-jacente d'anesthésie et une zone d'hyperesthésie supérieure à la précédente; enf
à un point de départ extra-plantaire. Il démontre seulement que la zone d'excitation du réflexe de Babinski n'est pas lim
ubstance hlanche de la moelle par où pénètrent ces libres; c'est la zone d'entrée des racines ou bandelettes externes de C
es racines ou bandelettes externes de Char- col et Pierre ! . Celte zone est limitée par les cornes postérieures en dehors
s une paralysie que l'on observe mais une anesthésie localisée à la zone de distribution de la Ve paire. Parfois la lésion
e quand il existe des lésions de l'hémisphère gauche intéressant la zone du langage. Parfois, cependant, ces malades ont l
sie prononcée surtout vers le haut de la région. Au-dessus de cette zone d'hypcresthésie se décèle une bande étroite d'ane
mais sans contracture. La peau de celle région est anesthésique. La zone insensible remonte moins haut que l'hyperes- th
insertion sur le cubitus. La longue portion s'insère sur la petite zone triangulaire située au-dessous de la cavité glé
muscle orbi- culaire des paupières est divisé généralement en deux zones concentri- ques : une zone orbilaire ou externe
upières est divisé généralement en deux zones concentri- ques : une zone orbilaire ou externe qui répond au pourtour de l'
e zone orbilaire ou externe qui répond au pourtour de l'orbite, une zone palpébrale ou interne qui répond aux paupières. L
t se fixer à la' face externe de la branche du maxillaire depuis la zone d'insertion du faisceau superficiel jusqu'à la
OCALISATIONS CORTICALES MOTRICES D'après les auteurs classiques, la zone corticale motrice siégerait au niveau des circo
nte) et du lobule paracentral ; certains anatomistes étendent cètte zone sur le pied de la première et de la deuxième ci
pariétale supérieure. Trois territoires principaux existent dans la zone corticale motrice : le territoire du membre inf
e. jack-sonieniie et les résultats de l'excitation électrique de la zone corticale motrice, les auteurs (Keen; Mills, Ho
re du sillon de Rolando ; dans TOPOGRAPHIE CEREBRALE. " 595 cette zone prérolandique ils ont localisé, ainsi que le mont
le cerveau humain, admettent également le siège prérolandique de la zone motrice. 0. Vogt, Campbell, Broadmann, Gordon H
landique ainsi que le pied de Fi et de F, participent aussi à cette zone motrice. Rossi et Roussy font quelques réserves
erves sur la participation possible de la pariétale ascendante à la zone motrice. De toutes ces constatations cliniques
la lésion siège à-la partie supérieure, moyenne ou inférieure de la zone rolan- dique. Les paralysies très limitées par
des membres, d'après cet auteur, sont [G. GUILLAIN,] Pig. 4 et 5. Zone corticale motrice du chimpanzé (d'après Grunbaum
'après l'observation des sujets trépanés (d'après Lamacq) ; 4° La zone corticale motrice du chimpanzé, d'après Grunbaum
les chez l'homme d'après Ch. K. llills (1904). Les rapports de la zone rolandique avec la surface du crâne sont im- po
e coude, vers la main. Les irradiations se montrent parfois dans la zone radiculaire externe, parfois dans la zone radic
montrent parfois dans la zone radiculaire externe, parfois dans la zone radiculaire interne, parfois aussi tout le memb
as de paralysie du nerf médian. Quand ils existent, ils occupent la zone de distribution cutanée du nerf (partie externe
frontale ascendante : de plus cote MALADIES DU LARYNX. 657 de la zone qui commandait les. mouvements d'adduction, ils t
ntricule. On connaît la figure clas sique de Semon qui a figuré une zone relativement très étendue qui com- mande l'abdu
ion bilatérale des cordes, c'est-à-dire l'acte respiratoire, et des zones plus petites qui correspondent à l'adduction bila
n et Horsley). - CS, sillon cru- cial; Coi-8- sillon coronaire; ab, zone de l'abduction; ad, zone de l'adduction; ac, zone
on cru- cial; Coi-8- sillon coronaire; ab, zone de l'abduction; ad, zone de l'adduction; ac, zone de l'accélérai ion res
llon coronaire; ab, zone de l'abduction; ad, zone de l'adduction; ac, zone de l'accélérai ion respiratoire. C58 TROUBLES
jumeaux postérieurs; es, calamus scriplorius ; ac, aile grise. Zone d'vhdactiowbidatérale. Zone d'adduction bilatér
lamus scriplorius ; ac, aile grise. Zone d'vhdactiowbidatérale. Zone d'adduction bilatérale. Zone d'aidtiction unila
grise. Zone d'vhdactiowbidatérale. Zone d'adduction bilatérale. Zone d'aidtiction unilatérale. Zone donnant la posil
le. Zone d'adduction bilatérale. Zone d'aidtiction unilatérale. Zone donnant la posilion'ca- davérique. .MALADIES
e domaine du nerf sensitivo-moteur altéré, exception faite pour les zones limitantes de ce domaine à cause de la transmis
interosseux; les troubles sensitifs et trophiques sont limités à la zone du cubital et du brachial cutané interne; des p
teurs et quadriceps fémoral. Les troubles sensitifs siègent dans la zone de distribution des mêmes nerfs. Les compressio
assis, car la lésion médullaire siège généralement au-dessous de la zone qui innerve le tronc; au contraire, l'articulat
l'encéphale, lieu d'origine d'un certain nombre de nerfs crâniens, zone où s'entre-croisent les grandes voies sensitive e
ion nous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani- mal la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la région rola
tendues ou circonscrites, envahir un membre entier, se répartir. en zones méta- mériques-ou en bandes suivant à peu près
anes génitaux, le cou, et autour de la ceinture, à la hauteur de la zone de striction maxima du corset chez la femme. Les
nc éclatant, porcelanique ; elles sont généralement entourées d'une zone hyperpigmentée. Au toucher, elles sont lisses et
panat1'o- phie locale de Gowers. Dans cette maladie, « certaines zones circonscrites du visage, du tronçon des membres
su cicatriciel. A la fin, le mal perforant est peu douloureux : une zone anesthésique borde. -- d'ailleurs l'ulcération. I
lésion centrale soit de l'écorce cérébrale (Ch. Bichet) soit d'une zone située entre le corps strié et la couche optiqu
stion. Il existe généralement chez l'in- dividu qui vomit ainsi une zone hystérogène à l'épigastre. Un certain nombre de
es, en plus des caractères spéciaux il touie l'hystérie gastrique : zone hystérogène épigastrique -houle oesophagienne dég
moitiés cet abdomen distendu. Les ovaires peuvent correspondre des zones d'hyper- ou d'anesthésie. Sous le chloroforme e
un cercle inflammatoire, puis un sillon d'éli- mination limitent la zone de sphacèle; du pus parait dans le sillon et sous
tricielle, l'aspect déprimé et gaufré qui se trouve au centre de la zone pigmentée. 4° Dans certains cas, c'est une loca
son siège si spécial, par un réseau ntaculeuv circons- crivant des zones décolorées et presque pathognomoniques de la syph
uvent un indice de syphilis : on sait qu'il est caractérisé par des zones d'achromie entourées par des zones d'hyper- chr
it qu'il est caractérisé par des zones d'achromie entourées par des zones d'hyper- chromie. Suivant Pierre Marie et Crouz
. Elle suffit parfois, notamment au niveau du rachis, à déceler une zone , une apo- physe douloureuses. La douleur éveill
éral par l'accumulation du liquide céphalo- rachidien. En effet, la zone sonore n'est de règle au niveau des parié- taux
ec déviation compensa- trice. La paralysie infantile frappant une zone [tins ou moins étendue des muscles spinaux est
n à irradier : par exemple, on irradie l'hypophyse par les diverses zones temporo-1'rontales et par la bouche, on irradie l
'une près de l'autre. Les lignes de llux inertes sont ponctuées. La zone de la plus grande densité est ombrée. 12011 APP
ué dans la profondeur de l'hémi- sphère cérébral gauche dans la zone des lignes de flux les plus denses et les plus
courant; la figure 16 fait comprendre comment de chaque côté de la zone correspondant à la polarité de l'électrode se tro
la zone correspondant à la polarité de l'électrode se trouvent des zones correspondant à des pôles de nom contraire. Au ni
multanée d'anesthésies plus ou moins étendues. Ou bien il s'agit de zones d'hyperesthésie, dont quelques-unes sont parfois
estifs de l'électricité, plus particulièrement lorsqu'il existe des zones hystérogènes à la création desquelles, comme on l
upes microscopiques symétriques des deux pédon- cules, comparer les zones de dégénérescence ou mesurer, par la méthode qu
microtome et de pouvoir ainsi étudier, dans toute sa « hauteur, la zone de transition située entre la partie thalamique d
ouvées sur des schémas. Lorsqu'il existe une lésion corticale de la zone rolandique et que l'on désire étudier les dégén
xamen du liquide céphalorachidien, M 55. - ol)h- talmique, 955. Zone corticale motrice, 595. 62590. - Imprimerie LAn
32 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
HÉMIPLÉGIE CONSÉCUTIVE. (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA ZONE MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECON
ivent se rapportent toutes deux à des destructions partielles de la zone motrice du cerveau. Dans l'une la lésion s'est
tral qui constitue le prolongement de Fa, elles s'atténuent dans la zone qui ressortit à la circonvo- lution Pa : cette
passage aux fibres de pro- - jection de la partie supérieure de la zone corticale psycho-motrice. La figure 4 représent
e ont prouvé que dans les régions corticales et sous-corticales les zones motrices des membres supérieur et inférieur son
t dans la profondeur, peut atteindre les libres de projection de la zone rolandique moyenne, et inversement. Dans les de
nisyndromes céré- braux par la lésion d'une portion seulement de la zone qui leur donne-naissance est une loi générale »
oplégie brachiale ou crurale, il faut donc que la destruction de la zone motrice correspondante soit limitée à l'écorce cé
Ceci s'accorde avec les recherches récentes qui ont démontré que la zone motrice corti- cale est formée exclusivement (o
por- tante dans une certaine région, soit marquée plus loin par une zone de sclérose de plus grandes dimensions. C'est
paraissait faire défaut plus haut. Inversement, de l'étendue de la zone scléreuse qui marque le trajet de la dégénéresc
- landiques. Répartition uniforme des fibres de projection de cette zone motrice restreinte sur toute l'étendue de la ca
. En repérant les circonvolutions qui restentonvoit(PLIV, A) que la zone détruite comprend : la circonvolution F3, l'ope
projection). Cet étalement des fibres de projection provenant d'une zone motrice réduite des deux tiers environ est enco
tater que, malgré cette ré- duction quantitative considérable de la zone motrice, la motilité du côté opposé du corps a
proportion. Ils doivent être attribués en partie au reliquat de la zone motrice lésée, en partie à ]'action de l'hémisp
ents du membre inférieur est due évidemment à la conservation de la zone rolandique supérieure. D'autre part on peut com
partie dans la répartition anormale des fibres de projection de la zone motrice que nous révèle l'examen des coupes bis-
la suite d'une destruction des parties inférieure et moyenne de la zone motrice corticale on doit, dans la' règle, consta
oque ou même avant. Malgré la destruction d'une grande partie de la zone motrice corticale, une voie descendante s'est for
peu de chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone motrice du cerveau n'a laissé qu'un déficit fon
tout le cordon postérieur, à l'exception des formations endogènes, zone cornu-commissurale, extrémité inférieure du centr
atement en contact avec le bord postérieur de la corne postérieure ( zones radiculaires anté- rieure et postérieure). 1
e cordon postérieur droit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la zone antéro-interne, zone marginale de West- phal, s
roit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la zone antéro-interne, zone marginale de West- phal, surtout dans sa partie
ur , centre du centre ovale de Fleschsig (fais- ceau de Hoche). Les zones de Lissauer droites sont décolorées et le réticul
e cordon de Goll sauf le faisceau de Hoche continué en avant par la zone cornu-commissurale encore-très large, quoique m
rès large, quoique moins que sur les coupes au Pal de Llv. Toute la zone marginale de Westphal est donc respectée. Les z
de Llv. Toute la zone marginale de Westphal est donc respectée. Les zones externe et interne de Lissauer droites contienn
postérieurs droits. Elle y est massive, ne laissant indemnes que la zone cornu-commissurale, tout à fait en avant et une
DROME DE LHÉIfI-QUEUE DE CHEVAL 12S Dans S11 même persistance de la zone cornu-commissurale et extension en arrière du f
illon médian postérieur jusqu'au bord postérieur de la moelle et la zone cornu-commissurale de plus en plus petite (PI. XX
ubsiste que le triangle de Gombault et Philippe. Ainsi ces régions, zone marginale de Westphal, faisceau de Hoche et trian
tives aux lésions des racines postérieures. ' Le dessin net de la zone marginale de Westphal, cornu-commissurale, du f
t leur communauté d'origine. ' Particulièrement la diminution de la zone cornu-commissurale à me- sure que l'on descend
e mince le long de la commissure et du col de la corne postérieure ( zone marginale de Westphal) et enfin par des semis d
rescence tertiaire, le réticulum fin des cornes postérieures et les zones de Lissauer restent intactes. » J'ai, dans le
stérieure droite. Il n'est d'ailleurs peut-être pas certain que les zones de Lissauer ne contiennent aucune fibre radicul
eures existent aussi dans le triangle de Gombault et Philippe et la zone cornu-commissu- rale de la région lombaire infé
l'existence de fibres provenant des racines postérieu- res dans le zone cornu-commissuralede la région lombaire inférieur
existe donc des fibres provenant des racines postérieu- res dans la zone cornu-commissurale, puisque cette zone est pleine
cines postérieu- res dans la zone cornu-commissurale, puisque cette zone est pleine de granulations au Marchi dans L; ma
cette zone est pleine de granulations au Marchi dans L; mais cette zone contient aussi des fibres endogènes puisqu'elle
fait probable, on trouverait simplement dans la moindre étendue des zones anesthésiées que des racines lésées la démonstrat
la pie-mère sont tous très gorgés de sang, mais leurs parois et la zone périvasculaire sont intactes. Racines. Dans l'é
liniques ont pris une coloration noir foncé (fig. 5), tandis que la zone centrale de chaque fibre, correspondante au cyl
Cette différence se rend surtout évidente entre 138 G. CATOLA la zone du faisceau pyramidal croisé et la partie plus an
tié de ce qu'il était au niveau de la moelle cervicale. Cependant les zones de pénétration ou de sortie des racines restent
es les unes des autres par une espèce d'étranglement progressif des zones intermédiaires. , Méthode de Cajal. - Moelle ce
au niveau des diffé- rents prolongements et parfois encore dans les zones les plus périphériques de leur protoplasme. '
thodes nous ont paru suffisantes à démontrer que les vaisseaux, les zones périvasculaires, le tissu de soutien et le canal
lanche médullaire, boules qui étaient très nombreuses au niveau des zones radiculaires postérieures. Il considéra cette a
ération légère et diffuse de la moelle avec lésion plus intense des zones radiculaires postérieures. Ransohoff (1902) en
ROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 143 et dégénération des zones radiculaires postérieures. Au niveau de la moel
ion des fibres myéliniques était cantonnée ex- clusivement dans les zones radiculaires postérieures. Les racines posté- r
onctif interfasciculaire n'est pas proliféré : les vaisseaux et les zones périvasculaires ne nous offrent rien de pathologi
parées par un trait, le trait radiculaire.constituant une espèce de zone neutre au niveau'de;laquelle nos méthodes histo
XV Pio. 7. Coupe transversale de la moelle lombaire supérieure. Zp, zone pyra- midale. Méthode de Marchi. - Même grossis
duites par l'excitation du tendon du muscle correspondant, ou de la zone cutanée dans la région en général sus-jacente au
travers de doigt en dessous de l'angle de l'omoplate. Dans cette zone inférieure, il semble d'ailleurs que la thermoane
femme vierge et sont surmontés cha- cun d'un mamelon entouré d'une zone pigmentée parfaitement visible. La palpation ré
rinéale. Stigmates hystériques : anesthésie pharyngée et cornéenne. Zones mo- biles d'anesthésie tégumentaire irrégulière
és. Les douleurs sont atroces el l'on peut constater l'existence de zones d'anesthésie et d'hyperesthésie, tous faits qui
la plus externe de l'écorce cérébrale est «ici représentée par une zone névroglique exactement figurée (PI. XLIX). Cett
entée par une zone névroglique exactement figurée (PI. XLIX). Cette zone est formée de fibrilles névrogliques assez épaiss
s doute coïncidé avec la tumeur, celle-ci ayant refoulé en avant la zone motrice ((i.9). Il n'est pas question d'une destr
doute mis presque totalement hors de fonction. En dehors de cette zone vient, comme d'habitude, celle des cellules névro
rmes qui n'eurent au- cun caraclère jacksonien à la proximité de la zone motrice ? Ou faut-il mettre l'épilepsie en rapp
à l'angle du ventricule latéral, laissant entre lui et l'écorce une zone de 2-3 mm. de tissu plus ou moins intact. IIII'
que la localisation de la tumeur correspondrait assez bien avec la zone lenticulaire de M. Pierre Marie. Le centre sensor
mettre que cette néoplasie éventuelle s'est développée dans une des zones dites silencieuses. La durée relativement longu
ue de la motilité ou de la sensibilité. La. lâche de déterminer une zone silencieuse, comme siège de celte tumeur éventu
terne. Du bas en haut de la moelle nous la trouvons séparée par une zone saine de la corne postérieure et envoyant une min
ine de la corne postérieure et envoyant une mince expansion vers la zone d'entrée des racines postérieures. Ses différents
33 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
de sensibilité périphériques à disposition transversale; mais si la zone d'entrée des racines postérieures est aussi attei
sociera une topographie longitudinale, radiculaire ; enfin si cette zone d'entrée des racines postérieures est la seule lé
des racines postérieures puisque la substance grise confine à cette zone d'entrée. Mais cet argument ne sau- rait s'appl
bilité, on constatait une anes- thésie totale, dans l'étendue d'une zone périnéo-scroto-fessière, d'une bande longitudin
tactile était moins compromise, partout. On constatai en outre, une zone d'hypoesthésie le long du bord externe de la fa
roubles de la sensibilité : les uns, objectifs, consistent dans une zone d'anesthésie ano-périnéo-scrolale, qui empiète su
tiers supérieur de la face pos- térieure de la cuisse, et dans une zone d'hypoesthésie, qui côtoie le bord Fig. : 3.
l'hématoxyline-éosine par exemple, l'attention est attirée par une zone plus claire dans laquelle le tissu semble raréfié
fié, moins coloré et les noyaux moins abondants. Au centre de cette zone se trouve un vaisseau de volume variable, assez
mpue, disloquée et on en trouve alors des fragments partout dans la zone moyenne de la lacune, on la reconnaît facilement
me nerveux, on distingue dans les parois de la cavité lacunaire trois zones concentriques disposées autour de la cavité et
en s'atténuant à mesure qu'on s'éloigne de la lacune. Le première zone et la plus atteinte est constituée par le bord mê
ement dans cette région : on ne les voit pas du reste dans toute la zone altérée : c'est l'élément le plus sensible et q
hyme. 1 C'est un peu schématiquement que nous avous distingué trois zones dans le tissu cérébral péri-lacunaire.Nous avon
Il n'y a pas de dé- marcation absolument nette entre cette seconde zone et la troisième. Si nous regardons en effet une
tre à la péri- phérie nous voyons que les altérations de la seconde zone après avoir occupé une surface variable qui n'e
là un critérium qui nous permet de dire que nous sommes hors de la zone de désintégration. Seuls les vaisseaux conserve
lles changent dans leur étendue. Tantôt la lacune est limitée par une zone de désintégration très large tantôt très étroit
énomènes de la vie vé- gétative ? Certainement pas à la surface des zones rolandiques réservées sur- tout aux parties org
motricité appropriée, la psychomotricité. L'ancienne conception des zones motricesde l'écorce, motrice comme les cornes a
coup de notre sens des attitudes (1890). Verger (p. 706) dit : « La zone psycho-motrice dont on peut délimiter les limit
ations électriques, ne peut pas être considérée absolument comme la zone sensitive de la moitié 176 ô BONNIER opposée
matiquement en jeu l'irritation suffisante et spéciale de certaines zones correspondantes du champ cortical des représent
sciente et l'autre pas ; et bien que le réflexe moteur qui part des zones sensorielles dites psycho- motrices soit d'un a
au rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région s'unit aux zones pariétales. Il est en outre très probable que l
en outre très probable que le faisceau sensitif général apporte aux zones psy- chomotrices des notions analogues, indispe
out à la tête. Le nerf vestibulaire de l'oreille se dirige vers les zones pariétales, comme le faisceau sensitif médullai
CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 205 ce tissu, au voisinage de cette zone , de petits nodules de tissu pathologique très a
isseaux. En certains points de la tumeur, particulièrement dans les zones plus claires où les vaisseaux et les petites ce
, sans que l'autopsie ait révélé de lésion autre qu'au niveau de la zone motrice gauche. Cette observation pourrait être
as de troubles des membres inférieurs, mais lorsqu'on appuie sur la zone temporale gauche on provoque un mou- vement de
. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective,, à part une zone d'hyperes- thésie dans toute la région temporo-
, on n'observait aucun symptôme indiquant une altéra lion grave des zones motrices ; il n'y avaitpasde paralysie notable,
a constipation et la stase papillaire ; et de par son siège dans la zone psycho- motrice, il aurait pu y avoir en outre
externe. On peut faire la même observation pour le champ visuel. La zone interne de la vision paraît légèrement rétrécie
o-Sienne-Chen que chez Liao-Toun-Chen. Notons ici qu'il y avait une zone complètement insensible dans la zone médiane du p
. Notons ici qu'il y avait une zone complètement insensible dans la zone médiane du pont d'union. La coordination motric
de se disséminer. Il y a la, à l'extrémité interne du ganglion, une zone étroite plutôt radiculaire que cellulaire et que
s centrales de la gaine fibreuse ont un aspect analogue, il y a une zone de transition dans la- quelle il est difficile
elle et profonde normales sauf au niveau des seins où il existe une zone d'hyperesthésie au tact. Pendant la station deb
ne postérieure et la racine antérieure est elle-même entourée d'une zone inflammatoire analogue. Ce tissu néoformé est c
es fascicules une certaine compression. Plus près du ganglion cette zone inflammatoire disparaît, et l'on ne trouve plus
structure est fibreuse pour la couche périphérique ; au contraire la zone interne appartenant aux méninges molles a le mê
gulièrement sur la ligne médiane, mais épargnant néanmoins quelques zones de la face postérieure du même côté gauche du cor
l'abolition du réflexe pharyngien, du ré- flexe nasal, ainsi qu'une zone hysté1'Ogène dans la fosse iliaque et sur la face
stigmates d'hystérie (abolition des réflexes pharyngien et cornéen, zones hystéro- gènes, rétrécissement du champ visuel
cas. «Bien plus, si les manifestations myoclonillues ont envahi la zone d'in- nervation du bulbe,necal;hezpasvoscrainte
rophiées sans aucune hyperplasie des noyaux ou épaississement de la zone fibreuse de la capsule. Cette diminu- tion port
ait à peine émoussée, dans l'étendue de cette même bande. Une autre zone d'anesthësie occupait la plante du pied gauche.
aut. L'examen de la sensibilité objective va mettre en évidence une zone d'a- nesthésie, qui occupe la moitié gauche du
, de la partie avoisinante delà fesse et de la cuisse. En haut, cette zone d'anesthésie est limitée par une ligne horizont
roisième et quatrième foyers sont peu étendus et constitués par des zones de myélite plutôt que par des ramollissements. L'
férieures de la protubérance), on dis- tingue très nettement-deux* - zones dégénérées : 1,'une très considérable en arrièr
iscrète en avant, séparées par un espace relativement sain. Dans la zone postérieure, il ne reste plus une fibre saine. Ce
in. Dans la zone postérieure, il ne reste plus une fibre saine. Cette zone répond aux fibres sectionnées par le foyer F2;
uper toute la région désignée par M. et Mme Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil médian. Dans cette région, les
réellement. Les rapports du ruban de Reil dans sa dernière portion ( zone du ruban S02 BABINSKI ET NAGEOTTE de Reil méd
ABINSKI ET NAGEOTTE de Reil médian) sont les suivants : en avant la zone dégénérée répond au faisceau pyramidal, dont el
alamique de Forel et de la zona iacertc; en dehors elle s'adosse à la zone grillagée qui la sépare du segment rétro-lentic
. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le ruban de Reil droit présente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément
très confluentes au milieu, elles vont en se raréfiant soit vers la zone moléculaire, soit vers la zone des grains. A un
es vont en se raréfiant soit vers la zone moléculaire, soit vers la zone des grains. A un fort grossissement, on ne dist
s vigoureusement colorés en bleu. On ne voit pas de protoplasma. La zone médullaire des lamelles cérébelleuses offre des s
guë aussi, c'est-à-dire que l'on voit dissé- minée partout, dans la zone des cellules et dans l'axe blanc des circonvoluti
pyramidales ganglionnaires que nous devions voir cependant dans la zone où le fragment a été prélevé. Toutefois, petites
rtérioles pénétrantes du bulbe, quelles que soient la hauteur et la zone considérées, présen- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L
constitutives. La couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone des cellules nerveuses, moins épaisse, offre su
e modification variable suivant les points observés, portant sur la zone des cellules nerveuses ; elle consiste en ceci
alement répartie; sur une des faces de la circonvolution observée, la zone des cellules a toute son épaisseur et sur la fa
ues petites cellules pigmentaires en couche assez homogène, sous la zone moléculaire et plus bas quelques cellules pyram
Notamment les traînées des fibres transver- sales superficielle, la zone interolivaire, les arborisations médullaires de l
la périphérie de certains os longs, après la macération, une petite zone laissa reconnaître assez bien le cartilage conj
2.960 grammes. Congestion muscade, avec infiltration graisseuse des zones périphériques des acini. Quelques granulations tu
34 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une douleur à l'épigastre produite par une pression légère. Pas de zones véritablement hystérogènes, il est vrai, mais à
ui la sensibilité générale, il me fut impossible de retrouver une zone quelconque d'anesthésie, ce qui était singulièrem
outes les fibres sensitivo-sensorielles s'y réunissaient, plusieurs zones secondaires, admises ensuite par Ballet 3. C'es
sé chez les individus porteurs de lésions en foyer siégeant dans la zone rolandique, dans cette zone que depuis Charcot
rs de lésions en foyer siégeant dans la zone rolandique, dans cette zone que depuis Charcot et Pitres ont dénommée la zone
dique, dans cette zone que depuis Charcot et Pitres ont dénommée la zone mo- trice. Beaucoup d'observations en l'ont foi
montrer que le siège des sensations musculaires se trouve dans la zone rolandique. Les auteurs dont nous analysons les
uestion. Claparède et Bourdicault-Dumay acceptent l'existence d'une zone sensitive musculaire conjointe à la zone sensit
cceptent l'existence d'une zone sensitive musculaire conjointe à la zone sensitive tactile, et comme elle superposée il
njointe à la zone sensitive tactile, et comme elle superposée il la zone motrice proprement dite, Abba se croit en ' Hen
- sante et qu'elle identifie le fonctionnement des éléments de la zone rolantique à celui des autres éléments sensoriels
énérale. En outre de leur rôle de perception, les éléments de cette zone auraient un rôle mnésique. C'est là que se fixe
ce d'inten- sité dans la représentation mentale. La dénomination de zone motrice reste donc vraie quand même dans cette
ce reste donc vraie quand même dans cette théorie, appli- quée à la zone rolandique, puisqu'en dernière analyse c'est de l
ne et montrent leurs éléments dégénérés, nécrosés. En dehors de ces zones de ramollissement jaune, qui ne se voient plus
des fourmillements cutanés, un froid aux pieds continuel, avec deux zones de sensation brûlantes au milieu, du tibia; la
ne importance spéciale, au point de vue de la locali- sation, à une zone parfois fort large de dissociation syryngomyé-
nt de procéder à de nouvelles études et de délimiter exactement les zones corticales. La myélinisation du cerveau des ani
re jusqu'en haut, jusque dans la formation réticulaire du bulbe, la zone radiculaire du territoire dégénéré du faisceau
ute l'écorce, au lieu de se propager par irradiation en partant des zones les plus affectées comme dans l'épilepsie Jack-
autres parties du tégument. M. P. A1 me demande jusqu'où s'étend la zone active de la peau. M. Babinski. Les recherches
é de nombreuses obser- vations cliniques la loi d'après laquelle la zone motrice du télencé- phale exerce par les fibres
mi-circulaires, les relations fonctionnelles du laby- rinthe et des zones rolandiques. Au chapitre de l'olfaction, M. Sou
éfend la thèse de l'hétérogénéité. Il a découvert dans la quatrième zone de la scissure calcarine des cellules étoilées
ct. Au pincement et à la piqûre, on parvient à délimiter quelques zones très nettes d'hypoesthésie très marquée, dissémin
tion de l'anesthésie des membres et des viscères et l'apparition de zones d'hyperesthésie siégeant à la calotte en des en
es endroits bien déterminés, toujours iden- tiques à eux-mêmes. Ces zones , voilées avec l'anesthésie totale, devenaient d
spondantes; et, lorsque la sensibilité était devenue nor- male, les zones disparaissaient. Est-on en droit de conclure qu
ale, les zones disparaissaient. Est-on en droit de conclure que ces zones sont superposées à des surfaces de l'écorce qui
de doute pour ce qui concerne les membres car la localisa- tion des zones des membres est superposable à la localisa- tio
réelle des centres viscéraux. Or, l'expérience de la percussion des zones viscérales n'est- elle pas une preuve de plus e
ecte- ment qu'il existe des centres viscéraux ? ` ? Je percute la zone de l'estomac, par exemple ; je demande à la mal
ENT MÉCANIQUE DE L'HYSTERIE. 223 3 1° Je percute au cuir chevelu la zone d'hyperesthésie d'un organe : je donne naissanc
nt ; 4° Le sujet extériorise dans l'organe dont j'ai persécuté la zone d'hyperesthésie : donc, l'onde vibratoire a actio
pothèse de l'inter- vention du trijumeau; p) que, si je percute des zones diffé- rentes, j'obtiens des extériorisations d
e que ces points sont les centres des organes dont on a percuté les zones d'hy- peresthésie. Donc, si en percutant une
a percuté les zones d'hy- peresthésie. Donc, si en percutant une zone hyperesthésique correspon- dant à un organe don
ane en question un centre donné de l'écorce, auquel se superpose la zone d'hyperesthésie. Par conséquent, l'expé- rience
a- tion de gêne et d'angoisse respiratoire. Il n'existe pas d'autre zone hystérogène. Pas de sensation de boule. Pas de
e; sensibilité tac- tile, thermique, à la douleur intactes ; pas de zones hystérogènes. Vision : pupilles égales, non con
t B, que la table interne lait partie du fragment osseux ; ces deux zones , véritables couronnes irrégulières de trépan, son
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. même cerveau on peut trouver certaines zones corticales ayant un poids spécifique élevé, tan
la forme du corps de la cellule, en divers segments de l'écorce. La zone olfactive, surtout au niveau de la lame perforé
lame perforée antérieure qui va à l'insula et s'intercale entre la zone olfactive frontale et la zone olfactive temporale
va à l'insula et s'intercale entre la zone olfactive frontale et la zone olfactive temporale, la circonvo- lution de l'h
e les fibres nerveuses, prennent, successivement, dans les diverses zones corticales de Flechsig, leur forme définitive, et
le trousseau sortir du corps de Luys, pénétrer dans l'écorce de la zone psychomotrice; puis, de celle-ci descend un tro
pinéale; ce sont de fortes fibres inconnues des auteurs (cinquième zone des fibres spéciales du noyau lenticulaire de F
partie antérieure de la capsule interne, qui vont à la région de la zone sensible du corps : leur calibre et leur colora-
les se distinguent des autres fibres dans les circonvolutions de la zone sensible du corps. Chez le chien, elles sortent d
'après l'auteur, dans une atteinte relativement peu prononcée de la zone radiculaire de Westphal au niveau des segments mé
térisée avec céphalalgie localisée, douleur à la percussion de la zone rolandique, etc. Le diagnostic de lésion tuberc
landique, etc. Le diagnostic de lésion tuberculeuse au niveau de la zone rolan- dique semblait s'imposer mais le malade
ns la proximité des centres de projection, sur ce qu'on a nommé les zones marginales. Certaines familles de ces images so
es troubles sensitifs occupaient plusieurs SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 zones indépendantes, l'existence d'une de ces zones au
OCIÉTÉS SAVANTES. 349 zones indépendantes, l'existence d'une de ces zones au niveau de l'espace iliaque postéro-supérieur
été publié par nous encore tout récemment (1891). La cellule de la zone motrice de l'écorce du cerveau est l'organe d'u
de Burdach, la dégénérescence est le moins accusée au niveau de la zone postéro-externe (ceci est très net au niveau de
ns noirs entre le faisceau de Burdach et le faisceau de Goll; cette zone de dégénérescence est REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
la virgule de Schultze et une lésion réelle, quoique faible, d'une zone postéro- médiane. En outre, le cordon postérieu
e celles de la virgule; au niveau de la première paire lombaire, la zone de Schultze ayant disparu, il reste cette dégén
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. médiane descendante, indépendante de la zone de Schultze, que l'on peut suivre jusque dans l
ies antérieures du cordon postérieur. La plu- part des fibres de la zone postéro-médiane paraissent provenir de plans pl
s chez deux hystériques qui présentaient des algies diverses et des zones d'anesthésie. Il ne faut voir là, bien entendu,
Bien plus : la part délicate de l'orientation qui appar- tient à la zone auditive s'est aussi laissée envahir dans les mêm
ect est différent, et on trouve autour du noyau coloré en bleu, une zone blanchâtre circulaire limitée en dehors par le
rcon- volutions de l'hémisphère droit, et particulièrement dans les zones psychomotrices de ces dernières, que nous les a
on d'enceinte de la scissure de Sylvius et lobule de l'insula), une zone de lésions moins accusées. Autour de cette zone
e de l'insula), une zone de lésions moins accusées. Autour de cette zone les circonvolutions sont petites, arrêtées dans l
septième côte. De la septième à la cinquième côte on constatait une zone d'hyperesthésie très nette. A l'autopsie on tro
du sixième nerf dorsal, c'est-à-dire des nerfs correspondants à la zone d'hyperesthésie. En terminant l'auteur fait rem
ceaux de Gowers, l'intégrité absolue des cordons postérieurs et des zones radiculaires postérieures, du REVUE DE PATHOLOG
trons le mode de production de l'anesthésie hystérique de certaines zones cutanées et celui des paralysies musculaires hy
35 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es voies de moindre résistance; 3° par exci- tations transmises des zones « sensitivo-idéatives » aux centres moteurs cor
eux, et qu'une délimitation rigoureuse de groupes cellulaires ou de zones nerveuses est impossible. Aussi, vouloir locali
esquels ils sont en relation. La région occipito-angulaire est la zone visuelle de l'écorce. La destruction complète d
est la zone visuelle de l'écorce. La destruction complète de cette zone dans un hémisphère produit - l'hémiopie permane
port avec la moitié latérale correspondante des deux rétines; 2° la zone du centre visuel d'un hémisphère est en rapport
est en rapport avec la moitié supé- rieure des deux rétines; 3° la zone inférieure du centre usuel est en rap- port ave
rtie inférieure de la moitié correspondante des deux rétines; îo la zone intermédiaire du centre \isuel est en rapport ave
l'exception de cette lésion du lobe occipital, tout le reste de la zone visuelle était intact, cepen- dant cet animal é
. - Centres corticaux du chien d'après Munk. ,1, 7.ne w.uelle. - B, zone uuuitiw, c'est-a-dire la zone de sensibilité tact
d'après Munk. ,1, 7.ne w.uelle. - B, zone uuuitiw, c'est-a-dire la zone de sensibilité tactile (Illilils- phure) - D. l
- phure) - D. l1l(mbl'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur. - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. - C, région d
bservé. L'autopsie a montré un ramollissement avec résorption d'une zone considérable de l'hémisphère opposé com- prenan
fiation. Archives, t. XXI 7 Fig. 11. - Rapports des yeux avec la zone visuelle chez le chien (d'après Munk). i)8 PH
s symboles visuels et les choses signifiées. Donc, une lésion de la zone de la vision la plus claire peut paralyser l'id
mollissement dans le cerveau. En particulier, il y avait une petite zone qui avait détruit la plus grande partie de la cir
s toutes les expériences sont d'accord pour com- prendre dans cette zone la moitié postérieure de la seconde cir- convol
sion claire (macula lutea) du côté opposé. La portion moyenne de la zone visuelle avoisinant la faux est le centre de la
i en résultent. Munk décrit comme les effets de l'extirpation d'une zone circu- laire de l'écorce dans la région A, mesu
ène une atrophie strictement confinée aux régions comprises dans la zone visuelle. La différen- ciation d'un centre excl
, sans qu'on puisse savoir jusqu'où s'étend, d'arrière et avant, la zone affectée à cette fonction ». L'observation du «
un foyer cen- tral, possèdent aussi des territoires communs, des zones d'irradiation, où ces centres « s'engrènent », se
une seule sans que les autres soient plus ou moins troublées. Ces zones d'irradiations, ces territoires communs, sont b
ain ont des limites bien mieux définies et plus fixes. Toutes les zones d'innervation sensitivo-sensorielles convergera
e trouve à cet égard le seul critérium. VII. Dans les différentes zones de l'écorce céré- brale, les deux types de cell
on de la colonne latérale restât intacte, qui est située dans cette zone limitée par la prolongation en dehors des commis-
flexe tendineux patellaire ne sont pas réunies en trousseau dans la zone d'entrée ladiculaire postérieure. P. K. XXIX. C
ion d'une des bandelettes op- tiques du lapin - à l'extirpation des zones visuelles du lobe occi- pital - à la section tr
blissent une communication entre le nerf optique et le réseau de la zone latérale du corps genouillé externe ; ce ré- se
réaction dégénératrice complète; l'anes- thésie occupait les mêmes zones , elle portait uniquement sur la sensibilité tac
ds sont également sensibles des deux côtés. Il existe en outre cinq zones douloureuses : deux ovariennes, deux sus-mammai
t une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoque
ce vaste champ d'expériences qu'est la Salpêtrière. 1 Pitres. Des zones hystérogènes et hypnogènes; des attaques de som
ssieurs, J'arrive maintenant à la signification physiologique de la zone de Rolando du singe et de l'homme et de son hom
circonvolution du pli courbe. Ainsi était détruite presque toute la zone motrice de la convexité de l'hémisphère, les cent
é par la section de physiologie, et la position des lésions dans la zone motrice, et leur limitation furent définitiveme
Aujourd'hui, il est hors de doute que les lésions corticales de la zone motrice de l'homme telles qu'elles détruisent et
j'ai 110 cas d'hémiplégie du côté opposé par lésion générale de la zone rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions l
one rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions limitées de cette zone ; dont 11 cas de monoplégie crurale par lésion
ysie du bras et de la face par lésion de la moitié inférieure de la zone rolandique et 10 cas de paralysie faciale par lés
destruction profonde etétendue(mais probablement incomplète) de la zone motrice de l'hémisphère opposé. La pos- sibilit
r les chiens démontre aussi clai- rement 3 que la destruction de la zone motrice corticale n'altère pas la sensibilité d
rvable de la sensibilité tactile en général après les lésions de la zone motrice, et je vais maintenant examiner en déta
ces troubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties que la zone motrice de l'écorce. Ceci s'applique plus parti
ussi incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la zone motrice est dans la majorité des cas essentiell
même observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la zone motrice certicale avec paralysie, dans les- que
est vrai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la zone motrice, on a observé un certain degré d'altéra
e lésion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la zone motrice, il a été démontré que des lésions dest
t l'étendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans trouble de la sensibilit
cette espèce de preuve. Car des 110 cas de lésion géné- rale de la zone de Rolando produisant une hémiplégie, dans 52 c
ace du corps '. Des 19 cas de lésions de la moitié inférieure de la zone de Rolando produisant une paralysie de la face et
blable au second. Des dix cas de maladie du tiers inférieur de la zone de Rolando produisant une simple paralysie facial
de la moitié du tronc. 11 semble donc que de 284 cas atteignant la zone de Rolando en totalité ou en partie, dans 100,
PATHOLOGIQUE. Dans 28 de ces cas la lésion n'était pas confinée àla zone de Rolando, mais englobait les lobes adjacents
nsiderée par plu- sieurs comme la caractéristique des lésions de la zone corticale motrice doit être, à mon avis, regard
té générale du côté opposé du corps. Les lésions corticales de la zone motrice causant une paralysie complète peuvent
ériences que j'ai décrites' 1 après la destruction bilatérale de la zone postfrontale, les ani- maux ne purent tourner n
sieurs cas, qu'après que les symptômes qui suivent l'ablation de la zone postfrontale ont entièrement disparus, la destr
tfrontale ont entièrement disparus, la destruction ultérieure de la zone préfiontale produit une paralysie de la tête et
nte, après la cautérisation la plus entière apparemment de toute la zone frontale excitable, de la face médiane et convexe
aient pas entièrement détruits. Il est difficile d'enlever toute la zone frontale, sans blesser la tête du corps strié.
ient de mourir. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Ciiamrard (E.). De la zone mitoyenne ntédico jttdiciaire. - Brochure in-8°
36 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
C'est là le point le plus important, on trouve de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première zone, zone
rouve de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première zone , zone cruro-fessière, qui comprend la partie infé
de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première zone, zone cruro-fessière, qui comprend la partie infé- ri
, qui comprend la partie infé- rieure de la région fessière, et une zone ano-périnéo-scrotale, qui comprend l'anus, le p
incontinence des urines et des matières fécales. Bien noter que les zones anesthésiées sont symétriques et qu'elles ont,
'au pouce. Cette affection s'est établie par le fait d'une série de zones développées successivement, chaque éruption éta
inales, et finalement convulsions cloniques des membres supérieurs, zones hystérogèues le long de la colonne vertébrale e
dans toute leur étendue, sans même qu'il soit fait mention d'une zone intacte correspondant au centre ovale de Flechsig
térieur et cela dans ses deux moitiés antérieure et postérieure. La zone postérieure n'est autre que le triangle médian et
. rieure une région médiane et garnie de tubes il myéline ; cette zone décrite habituellement par les auteurs comme corn
er de sa disposition à un réseau plus élevé de porter ici le nom de zone ou de faisceau sulco- commi=sural postérieur ou
les différentes coupes comprises entre ces deux hauteurs, les deux zones saines médianes existent toujours, l'une antérieu
(fia. 8). Coupe au niveau de la première paire sacrée (fig. 9). La zone antérieure répond à la description habituelle d
en ici à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où la zone postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du
a même que précédemment, mais en plus des régions sus-indiquées les zones radiculaires se peuplent rapidement en remontan
nt son siège habituel sans prolongement postérieur ni angulaire. La zone Fig. 8. Fig. L' Fiv. 10. OS ANATOMIE. a
l'on se reporte à d'autres observations on peut admettre que celle zone a subi un déplacement vers les parties latérales
xième dorsale. Même disposition que sur la coupe précédente pour la zone cornu-commissurale. En remontant dans la moel
s nous contenterons de signaler que sur les'coupes supé- rieures la zone dégénérée occupe exactement dans le cordon Fifl
te dégénérescence est topographiquement absolument superposable aux zones restées intactes dans le fait de MM. Souques et
ir de la 110 paire dorsale et seulement pour ce qui a trait à notre zone postérieure les figures de Hoche mériteraient d
les régions inférieures où il y a absence de dégénération dans la zone cornu-commissurale. Pour le moment qu'il nous suf
térieur n'est pas uniquement formée par des fibres radiculaires La zone limitant le sillon médian postérieur est restée l
re le cordon postérieur était complètement dégénéré sauf dans une zone assez large, bordant la commissure grise et se pr
mé- dian. Il est très important de signaler que l'étendue de ces zones saines augmentait à mesure que l'on se rapprochai
es et d'un grand nom- bre de fibres du cordon antéro-latéral... une zone de fibres en dégénérescence au sommet du cordon
urt trajet. Nous allons étudier d'abord les fibres groupées dans la zone appelée communément, cornu- commissurale, qui r
sont des mieux établis. M. Marie constatant l'intégrité de cette zone dans le tabes, a émis l'hypothèse qu'elle est com
maladie d'ori- gine endogène détermine des lésions au niveau de la zone cornu-commissurale et dans d'autres régions don
eval, les libres radiculaires n'existent qu'en petit nombre dans la zone cornu-commissurale. On devait donc retrouver ce
culaires, à côté des lésions ascendantes de la moelle, existait une zone cornu-commissurale respectée, ceux-là sont asse
la moelle, seul le faisceau postérieur a subi la dégénérescence, la zone antérieure cornu-commissu- rale est saine ; mai
lombaire moyenne. 11111. Dé,jerine et Spiller' men- tionnent cette zone comme intacte jusqu'à la hauteur de la troisièm
ire, et dans leur cas à la hauteur de la première paire lombaire la zone cornu-commissurale est dégé- nérée, il n'y avai
éralement les fibres endogènes à ce niveau troisième lombaire. La zone cornu-commissurale en remontant se déplace en q
res à la suite de lésions des nerfs de la queue de cheval ces mêmes zones dégénérées sont au contraire retrouvées intacte
posterouatérieu à la région dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone cornu-commissurale, en plus des fibres endogènes
sion siège plus bas la virgule de Schultze sera rem- placée par les zones cornu-commissurales dont nous avons Archives, 2
manière de voir pourquoi, outre l'intégrité souvent constatée de la zone cornu-commissurale dont nous avons parlé plus h
le centre ovale de Flechsig et, à la région cervicale seulement, la zone postéro- externe des cordons postérieurs, ainsi
s signes d'altération cor- ticale paraissent se limiter à certaines zones intellectuelles, il ne faut pas trop se presser
de forme spéciale, mais ces cellules ne sont pas limitées dans des zones spéciales de l'écorce. Aussi les différents mod
de l'écorce plutôt qu'à la distribution de ces cellules dans des zones spéciales de la surface corticale. (American jour
c. T. G. 28°,1 ; T. D. 26°. Tem- pérature du sourcil : 30°,3. Les zones anesthésiques présenlent leur ordinaire dispositi
e surface carrée répondant à peu près à l'omoplate gauche, et à une zone plus vaste comprenant les fesses et les faces p
sée, légèrement foncée sur les bords, flanquée de chaque côté d'une zone rougeâtre s'étendant sur une largeur de 3 à 4 m
ne demi-heure après, la rougeur est encore visible, avec une légère zone pâle sur les bords. Le dermographisme peut être
topsie, on a trouvé une tumeur située au niveau du lobe frontal. La zone rolandique et le lobe temporal n'étaient le siège
vidence, outre l'état mental, par des troubles de sensibilité de la zone gastrique, et par le retentisse- ment de toutes
ition topogra- phique des divers centres moteurs à la surface de la zone rolandique; dans le type facial, par exemple, l
'observe aussi assez fréquemment chez les femmes qui présentent des zones hyper- esthésiques du vagin ou du col utérin. E
la peau qui recouvre cet organe. Il s'agit donc, en réalité, d'une zone hyperesthésique hystérogène dont l'exaltation a
face interne de l'avant-bras jusqu'au coude. Il existait aussi une zone REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 295 d'anesthési
u cubital, après un examen attentif, ce diagnostic fut rectifié. La zone hyperesthésique correspondait, non au territoire
rrête à gauche au niveau de la troisième côte, au-dessus existe une zone d'hyperesthésie de 2 centimètres environ de hau
rrête à la deuxième côte, c'est-à- dire moins bas qu'à gauche, puis zone hyperesthésique et au dessus enfin la sensibili
s sont également dénivelés à la périphérie. 11 reste à expliquer la zone d'hyperesthésie trouvée de chaque côté du tronc
sse pendant le sommeil, les mouvements intention- nels l'exagèrent. Zone d'anesthésie comprenant, du côté gauche, tout l
de soutène- ment. Ce n'est pas cependant une véritable sclérose. La zone radi- culaire moyenne est partout respectée. Le
ui enregistre les com- munications ayant lieu entre eux, dans cette zone qu'il appelle l'at- mosphère fluidique de l'âme
s signes cliniques que présente un malade frappé d'une lésion de la zone du langage qui occupe les circonvolutions d'en-
verbale pure, surdité verbale pure, ont leur siège en dehors de la zone du langage intérieur, elles ne portent que sur
actuellement à admettre un centre de l'agraphie. L'anatomie de la zone du langage est ensuite minutieusement exposée p
lleux et vont à l'autre hémisphère. De toute la corticalité de la zone du langage partent des fibres de projections ve
pied du pédoncule puis arrivent aux noyaux moteurs du bulbe. Cette zone du langage est irriguée par l'artère sylvienne
anches. Les aphasies vraies sont produites par les lésions de cette zone du langage, tous les modes du langage sont atte
d'une lésion des fibres de conduction centripète ou centrifuge ; la zone du langage étant intacte, il y a intégrité du l
grise du même côté, établissant ainsi une communica- tion entre la zone rolandique cérébrale et l'écorce cérébelleuse;
37 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ula de Reil, en dehors. Cette région appartient aux trois premières zones mésolobaires d'un centimètre d'épaisseur. Vu la
erches anatomo-pathologi- ques, j'admettrai un district pour chaque zone , et, dans chacun de ses districts, je tiendrai
au fond de la deuxième scis- sure frontale, pour les deux premières zones ; au fond de la scissure précentrale, pour la tr
mières zones; au fond de la scissure précentrale, pour la troisième zone ; la deuxième à la convexité de la troisième fro
me à la convexité de la troisième frontale, pour les deux premières zones ; à la convexité de la quatrième frontale, pour
zones ; à la convexité de la quatrième frontale, pour la troisième zone ; et la troisième, au fond de la partie supérieu
aut avec les fibres arquées (voir Topographie cérébrale, deuxième zone , face postérieure°-), nous pouvons, en retranch
eux (gyri-forn i cati). Il n'est donc pas surprenant que, sur cette zone la ligne en question coupe les faisceaux, au li
; la troisième, 10. Ace niveau, la région se modifie. Dans les deux zones précédentes, la section coupait trois frontales
e frontal et le lobe pariétal. En somme, dans les trois premières zones mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseur, zon
s trois premières zones mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseur, zones qui, conte- nant, sur le trajet du bord externe
illimètres seulement pour la scissure de Sylvius dans la première zone . La partie latente du centre ovale dans ces tro
lissent une remarquable indépendance de la circulation des diverses zones de l'écorce. Ensuite la doctrine de M. le D' Lu
SIE ET ÉPILEPSIE. 55 à admettre chez certains sujets l'existence de zones épileptogènes (gastrique, utérine, périphérique
RECUEIL DE FAITS. légère piqûre d'épingle s'entoure de suite d'une zone de rougeur diffuse. Pas d'illusions ni d'halluc
mais c'est à peine s'il existe entre les deux faisceaux une petite zone noyée de fibres mixtes. Le faisceau de fibres d
une couche moyenne formée des cordons latéraux céré- belleux ; une zone externe presque entièrement constituée par les
eur, grosse par elle-même comme une pomme, est entourée d'une large zone de ramollisse- ment qui s'étend dans tous les s
Lions ascendantes. Le lobe occipital est parcouru dans les mêmes zones par des fibres de tous calibres, parallèles à la
reux signalés; le pôle demeurera un certain temps en chacune de ces zones , tandis qu'il sera simplement promené de-ci de-
ptoide, clonique et délirante pendant les attaques, hémianesthésie, zones hystérogènes, etc. Plusieurs autopsies faites c
e les principaux phénomènes de la grande hystérie : hémianesthésie, zones hysté- rogènes, etc. Un ca d'arthropathies chez
. Foyer d'encéphalite inters- titielle circonscrite au niveau de la zone motrice. Foisn...(Célestine), Agée de vingt ans
mier. , ? qmn ! ) ? & Dans le fait de Dussaussay, la 'troisième zone est dépassée en arrière, puisque le foyer hémor
pouvait en être différemment, puisque, d'une part, notre troisième zone mésolobaire est comprise dans le bloc désigné v
ique, à savoir : que le corps strié fait partie des trois premières zones mésolobaires, tandis que la couche optique leur
nt cette circonvolution comme privilégiée. , Elle appartient à la zone motrice. La circonvolution correspondante du cô
dante du côté droit serait privée d'activité, elle dépendrait de la zone latente. «En dépit du bon sens et de la physiol
s rectus appartient à la deuxième frontale; ils ont réservé à cotte zone les termes de : = Gyrus orbilalis médius dulobu
h). Synonymie : Etage frontal supérieur ou troisième et pli de la zone externe, de Gratiolet; Première frontale externe;
octobre 1883. 1 t0 REVUE CRITIQUE. Les traits du tableau de cette zone sont fréquemment défi- gurés par les plis de pa
pli courbe en ar- rière, baptisé du nom de lobule du pli courbe la zone antérieure. Il,en résulte qu'aujourd'hui, selon
ectant les centres trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9'( zones des nerfs moteurs et des muscles), occasion non t
forcément, par le tableau de l'atrophie dégénératie,tomate 8'de la zone d'action périphérique de ces centres. ? 311, oh
. 11 n'y a pas de trouble marqué de la sensibilité spéciale. Pas de zones douloureuses ou liystérouèiies. Toutefois la ma
lus spécialement sous la dépendance des parties supé- rieures de la zone motrice, nous avons vu que, dans les accès, il
UTIONS CÉRÉBRALES. 3H l'autopsie nous a montré que, au niveau de sa zone , les lésions étaient beaucoup moins prononcées
convolution frontale interne. ' Synonymie : Second pli ou pli de la zone externe du lobe fronto-pariélal (Gratiolet) ; G
. b. En arrière, \e lobule paracentral. Ce petit'rectangle est la zone de réunion supérieure et mé- diane des deux cir
p. 231. revue U.W.1'l'f)\11E E'l' DE PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone motrice. Les centres destinés aux sensations tac-
pyra- midat de la capsule interne, des fibres qui pénètrent dans la zone motrice, exerce une influence des plus délétère
ce une influence des plus délétères sur le développe- ment de cette zone . La lésion porte spécialement sur les cellules
a bandelette optique sectionnée, c'est-à-dire perte de fonction des zones des deux rétines qui occupent le même côté que
éro-interne des faisceaux de Goll; que l'étendue et le volume de la zone de dégénérescence secondaire ne paraissent pas
bras et de l'avant-bras, à la main, dans les doigts, sur les mêmes zones que la paralysie. La douleur est en ces régions
ences instituées chez le chien. Dans tous les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau, la substance b
on de Broca étaient tou- jours affectés et toujours, dans ces trois zones , la raréfaction des fibres nerveuses à myéline
lobe occipital et dans certaines portions de l'insula. Aucune autre zone que celles qui viennent d'être citées ne contie
ons ascendantes, en dehors du lobe occipital, il n'y a pas d'autres zones du manteau dont la subs- tance grise contienne
x le bagage des concep- tions ne doive être cherché dans toutes les zones de l'écorce, ou plutôt de toutes les parties de
ue, plus ou moins aiguë a entravé une partie du travail actif de la zone corticale gauche qui préside à la conversion ps
des débris de cils. Aussi, Watdeyer iiieliiie-t-il à croire que les zones en apparence privées de cils vibraliles sont de
i succède constamment à l'extirpation de couches corticales dans la zone motrice, et qui se rencontre dans certains fais
38 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
gne mé- diane qui passe par l'axe du sujet, tantôt sous la forme de zones circons- crites, segments géométriques plus ou
on de Goll adjacentes à la scissure médiane pos- térieure ; 3° La zone comprise entre le cordon de Goll et le cordon de
résen- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la zone occipitale. Si chez elle beaucoup de symptômes
alonmire, - sous-astragalienne, - présentant son maxi- mum dans une zone d'un diamètre de 3 il Il. centimètres, siégeant i
ètres, siégeant il l'union du tiers moyen et du tiers externe de la zone inférieure du talon. 2° Cette douleur estl'éll'
ieure de l'anesthésie. pace intercostal ; puis, si on dépasse cette zone , la sensibilité redevient normale ; elle se con
presque complètement détruit ; il ne reste du cordon latéral qu'une zone fatciforme périphérique, qui correspond à peu p
ngement de simple infiltration embryonnaire qui se confond avec une : zone de ramollissement périépendymaire (Pl. IX, A, cou
termine par deux- prolongements, l'un effilé, qui s'éteint dans la zone marginale antérieure, l'autre qui se confond avec
rs elles-mêmes, s'en distingue ce- pendant par l'existence, dans la zone qui les sépare, d'une infiltration luxuriante d
les cellules sont pressées les unes contre les autres en plusieurs zones concentriques. Au niveau même des tumeurs, l'
la tumeur et dans le milieu de la végétation médullo-méningée, des zones plus pâles où les noyaux ont perdu l'affinité c
nt à une infiltration embryonnaire récente, en particulier dans les zones périphériques de la gomme, on voit de nombreux ca
us ou moins dense suivant les points, mêmes cellules géantes, mômes zones de dégénérescence caséeuse, même refoulement des
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Weigert ou d'Azoulay, qu'une zone pâle symétriquement disposée sur les flancs int
(2), dilatation du réseau vas- culaire, dégénérescence caséeuse des zones centrales, etc. Par contre, l'examen des région
t l'absence de paralysie du bras droit (intégrité du plexus) et une zone d'a- nesthésie croisée, gauche, moins élevée qu
ns chercher à élucider la pathogénie : nous voulons parler des deux zones d'hypel'esthésie super- posées aux territoires
ice de la moitié gauche du corps au-dessus de la 1 re paire dorsale zone pG (parésie du bras gauche, pa- (1) J. SoTTAs,
voisinage du foyer : de là, l'hyperesthésie du territoire innervé, la zone HD, superposée à.la zone d'anesthésie AD. L'e
l'hyperesthésie du territoire innervé, la zone HD, superposée à.la zone d'anesthésie AD. L'explication précédente s'app
MD2, détermine la paralysie droite du corps au-dessus de la lésion, zone PD ; que la participation loca- lisée de la col
ovoque l'anes- thésie opposée, à partir de la racine suivante, SG', zone AG ; enfin que l'irritation de voisinage, en o'
'entrecroisement de la racine SG2, a pour effet d'hyperesthésier la zone In, superposée à la zone d'anes- thésie AG. T
cine SG2, a pour effet d'hyperesthésier la zone In, superposée à la zone d'anes- thésie AG. Toute cette conception phy
du crâne, laquelle était le siège d'une légère hyperostose. Dans la zone de transition céphalo-rachidienne, la dure-mère
central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfi
xes, cependant la déglutition est normale; la contractilité dans la zone du facial est aussi normale. Les membres supéri
e, dans la région hypoesthésique, Il semble bien qu'il existe une zone hypoesthésique en'demi-ceinture, à droite au ni
st normale suivant ses divers modes. Toutefois, il existe certaines zones de la ré- gion antéro-externe des jambes et de
froid et à la chaleur exagérée. Sensibilité élec- trique conservée. Zone hyperesthésique cutanée dans la région mammaire
e du crâne, laquelle était le siège d'une légère hyperostose. Dans la zone de transition' céphalo-rachidienne, la dure-mèr
la pression de la tumeur qui s'avance vers elles. C'est surtout aux zones de transition, près des tissus fortement infilt
central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfi
vical qui paraissent plus libres sont engaiuées aussi par une étroite zone de masses néoformées. La structure des tumeur
e la moelle ; il est sur toute la hauteur plus ou moins entouré d'une zone d'infiltration nucléaire. Le parenchyme, fibr
rées sont les cordons postérieurs, et dans les cordons latéraux les zones périphériques et celles qui avoisinent les corn
es faces supérieure et in- férieure de la tumeur pénètrent dans des zones de proliférations nucléaires confluentes qui pe
ège sur les deux hémisphères, au niveau du lobule para- central, la zone atteinte est plus considérable à droite. Le caill
du canal de l'épendyme en dehors duquel elle com- mence jusqu'à la zone de Lissauer, ovalaire, il grand axe dirigé dans l
runâtre uniforme, ceux de l'an- nulaire et du pouce présentent deux zones de coloration très distinctes et nette- ment tr
ion très distinctes et nette- ment tranchées. , A l'annulaire, la zone postérieure basale est d'une teinte uniformément
one postérieure basale est d'une teinte uniformément jau- nâtre. La zone antérieure, noirâtre dans son ensemble, présente
ines bandes ondulées d'une teinte plus claire. A la vérité, cette zone antérieure est transparente et elle doit sa color
ant. Au pouce, la coloration est à peu de chose près, identique. La zone posté- rieure est d'un jaune sale ; la zone ant
ose près, identique. La zone posté- rieure est d'un jaune sale ; la zone antérieure laisse voir éparses sur un fond noir
es s'est effectué ce dédoublement. Toutefois, en se fondant sur les zones de colorations différentes précédemment décrite
tiers inférieurs de l'avant-bras droit. En avant et en arrière, la zone anesthésique est coupée en manche de veste ; -,
ues des ongles citez une hystérique qui, précisément pré- sente ses zones anesthésiques au niveau des mains. Observation
ngourdisse- ments, des fourmillements. Or, elle présente : 1" une zone d'anesthésie tactile et d'analgésie localisée à
isée à la région thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° une zone d'anesthésie tactile et d'analgésie occupant la
39 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ien sont variées et nombreuses les voies de communication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les membres.
assez grand nombre de cas cliniques. Nouspensons, en effet, que la zone corticale sensitive, dont nous avons essayé de
t à une variété spéciale d'anesthésie. Et si l'homogénéité de cette zone n'est peut-être pas absolue, en ce sens, que ce
point que sur tel autre, tout au moins, les diverses régions de la zone , se suppléent-elles aisément au point de vue de
NSITIF. 85 un assez grand nombre de faits, que la destruction de la zone motrice est parfaitement compatible avec l'inté
fréquemment troublée à la suite des altérations destructives de la zone motrice que dans les cas de lésions occupant un
its nous autorisent à conclure qu'il existe dans l'écorce une vaste zone sensitive, qui vraisemblablement comprend toute
térielles dans les circonvolutions du côté gauche et sur une petite zone du côté droit, accompagnées des dilacérationsde
ander, M. Wernicke constate l'ennlobement du lobe occipital dans la zone d'atrophie ; cependant, MM. Heinhard et Sander
econd jour, le cerveau commence à brunir et à se dessécher dans les zones les plus extérieures jusqu'à ce que, finalement,
jours et demi après l'attaque. L'autopsie décèle simplement deux zones nettement limitées d'infiltration (syphilitique)
ute importance pour le traitement. CH. F. VII. Recherches sur les zones hystérogènes; par R. GaunH : , 1882. Thèse de B
omble une grande partie des lacunes laissées dans l'Iris- toire des zones bystérogenes. 111\I. 13ourneville et Rennard, dan
s Eludes cliniques de /ti/s<ët'o-] ! 7epSM n'avaient observé ces zones 4lui'à la tête et au tronc, et M. Charcot, dans
x membres inférieurs qu'aux supérieurs. D'une manière générale, les zones hystérogènes sont fréquemment, mais non constam
leur niveau n'est pas constant; chez une même malade, on trouve des zones anesthésiques et d'autres qui sont sensibles. E
romes des crises. Quelques malades présentent en même temps que des zones hysiérogènes des zones qui sentie siège d'une d
ues malades présentent en même temps que des zones hysiérogènes des zones qui sentie siège d'une douleur vague et qui peu
'une douleur vague et qui peuvent devenir hystérogenes. Certaines zones peuvent disparaître et d'autres apparaissent. U
Certaines zones peuvent disparaître et d'autres apparaissent. Une zone exclusivement excito-motrice peut devenir, suivan
ivant le degré de la compression, excito-motrice ou frénalrice. Une zone exclusivement motrice peut devenir, selon le de
t. Sous l'influence du froid excessif (pulvérisations d'éther), les zones hystérogenes des membres et des seins ne se con
on détermine une attaque. La chaleur ne met pas en jeu l'action des zones et ne les influence en aucune façon. Les piqûre
ne déterminent pas non plus l'attaque; la sensibilité spéciale des zones hystérogenes siège pro- fondément ; il n'y a qu
iège pro- fondément ; il n'y a que la pression qui la révèle. Les zones hystérogenes des membres ont pour siège les irrad
périphériques. La compression des troncs nerveux qui innervent ces zones provoque l'attaque, tout comme la compres- sion
nt ces zones provoque l'attaque, tout comme la compres- sion de ces zones elles-mêmes. Les zones mammaires comme les zone
'attaque, tout comme la compres- sion de ces zones elles-mêmes. Les zones mammaires comme les zones ovariennes (Charcot.
res- sion de ces zones elles-mêmes. Les zones mammaires comme les zones ovariennes (Charcot. Féré, Baraduc) siègent dans
Iamarch, qui amène l'ischémie, font disparaître progressivement les zones hystérogenes ; mais, au-dessus du territoire isch
rculation. Souvent l'application d'un sinapisme fait disparaître la zone ; mais, au dessus, le nerf garde son excitabilit
la zone; mais, au dessus, le nerf garde son excitabilité. Quand une zone est unilatérale, l'application d'un sinapisme s
sparaître sans transfert. Quelquefois le sinapisme appliqué sur une zone hystérogène fait disparaître la zone symétrique.
le sinapisme appliqué sur une zone hystérogène fait disparaître la zone symétrique. Une injection sous-cutanée d'eau di
étrique. Une injection sous-cutanée d'eau distillée au niveau d'une zone la fait disparaître ; mais, au dessus, le nerf
e. L'électrisation locale (courants voltaïques ou faradiques) d'une zone l'eu'ace pour un temps, tandis que le nerf conser
eu'ace pour un temps, tandis que le nerf conserve au- dessous de la zone son excitabilité. (Des courants faradiques semb
pour chaque malade), dont l'application puisse faire disparaître la zone hystérogène, sans toutefois influencer l'action
BIBLIOGRAPHIE. 267 lution par l'éthérisation, l'excitabilité des zones et du nerf dis- parait. Les courants agissant
ants ou descendants) et sur le cerveau, font disparaître toutes les zones hystérogenes et l'excitabilité des troncs nerve
térogenes et l'excitabilité des troncs nerveux qui s'y rendent. Les zones h3stero- gènes effacées par des actions locales
inaux. La fréquence des modifications influe sur la persistance des zones . Cn. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Tuberculose de
chaque côté du canal central ; mais, laissant à la périphérie une zone qui est fournie par d'autres vaisseaux. » (Voy. l
rsale. Au-dessus de cette ligne se trouve, toujours à droite, une zone d'anesthésie qui atteint la sixième vertèbre dors
. Au-dessus de cette région analgésique existe, à gauche une petite zone d'hyperesthésie, correspondant à la zone d'anes
xiste, à gauche une petite zone d'hyperesthésie, correspondant à la zone d'anesthésie du côté droit. Le sens de la tempé
ies primitives, immédiates ou directes, des), par Sanders, 237. Zones Ilystérogencs (recherches sur les), par Gaube,
40 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ns fréquentes. Dans la journée Ler... avait ses grandes attaques. ZONES HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaque pouvai
ertaine région de la peau que M. Brown-Séquard désigne sous le nom de zone épileptogène. Cette zone, située du même côté du
que M. Brown-Séquard désigne sous le nom de zone épileptogène. Cette zone , située du même côté du corps que la lésion nerve
me bornerai à constater l'existence chez les hystéro-épileptiques de zones absolument comparables aux zones épileptogènes du
nce chez les hystéro-épileptiques de zones absolument comparables aux zones épileptogènes du cochon d'Inde et que je désigner
es épileptogènes du cochon d'Inde et que je désignerai sous le nom de zones hystéro-épileptogènes, ou plus simplement de zone
rai sous le nom de zones hystéro-épileptogènes, ou plus simplement de zones hystérogènes. Gen... possède entre les deux cir
e zones hystérogènes. Gen... possède entre les deux cirioplates une zone hyperesthé-siée dont le simple attouchement suffi
aques il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la pression de la zone indiquée n'a-mène plus aucun phénomène convulsif.
nent tous à la fois et avec une grande intensité. Gl... possède une zone hystérogène différente. La zone est double, il fa
grande intensité. Gl... possède une zone hystérogène différente. La zone est double, il faut toucher à la fois deux points
int ne produit aucun résultat. Au contraire, chez Suzanne N..., une zone hystérogène existe t'ir,. 9- — Principales zone
z Suzanne N..., une zone hystérogène existe t'ir,. 9- — Principales zones hystérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'. Zon
9- — Principales zones hystérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'. Zones sus-mammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones s
stérogènos Face antérieure du corps. 1, 1'. Zones sus-mammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5.
eure du corps. 1, 1'. Zones sus-mammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5. Zones sous-mammaires.
ammaires. 2. Zone mammaire. 3, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5. Zones sous-mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'.
, 3'. Zones sous-axillaires. i, 4', 5. Zones sous-mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'. Zones iliaques. 8, 8'. Zones
es. i, 4', 5. Zones sous-mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'. Zones iliaques. 8, 8'. Zones ovariennes. vers la mê
mammaires. 6, 6'. Zones costales. 7, 7'. Zones iliaques. 8, 8'. Zones ovariennes. vers la même région, mais d'un seul
gauche au-dessous dusein, pour provoquer les Fig. 10. — Principales zones hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale
s Fig. 10. — Principales zones hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure.
es hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure. 3. Zone latérale postérieur
ure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure. 3. Zone latérale postérieure de Suz. N... convulsions.
érogène qui, contrairement à ce qui se passe le plus souvent pour les zones hystérogènes postérieures, n'est pas situé sur
plate (fig. 10, n° 3). Witt... ressemble sous ce rapport à Gl... Sa zone hystérogène est double et existe de chaque côté,
ns, presque sous les aisselles (fig. 9, n° 3, 3'). Chez Marc..., la zone hystérogène est également double, elle siège un p
uliette Dub... possède, sans compter l'hyperesthésie ovarienne, trois zones hyperesthésiques capables, par leur excitation, d
rnum, l'excitation demeure sans effet. Ernestine Pil... possède une zone hystérogène sur la partie anté-rieure delà poitri
du mamelon, (fig.9,n°2). Léonore Rob..., comme Dub..., possède une zone antérieure et une zone postérieure. Antérieuremen
). Léonore Rob..., comme Dub..., possède une zone antérieure et une zone postérieure. Antérieurement la zone est double, p
ossède une zone antérieure et une zone postérieure. Antérieurement la zone est double, placée presque immédiatement au-desso
acée presque immédiatement au-dessous du sein (fig 9, n° 4 et 4'). La zone à gauche est beaucoup plus sensible qu'à droite.
e,;tandis qu'à droite il faut insister da-vantage. Postérieurement la zone est unique, située sur la ligne médiane, mais bea
région lombaire (fig. 10, n° 2). Enfin je rappellerai qu'il est une zone d'hyperesthésie com- mune à toutes nos malades
rie ou hyperesthésie ovarienne qui ne diffère en rien d'essentiel des zones hystérogènes que je viens d'indiquer (fig. 9, n°8
iscère profondément situé dans le petit bassin, tandis que les autres zones hystéro-gènes sont plus ou moins superficielles.
plus prompte et plus complète. Il résulte de ce qui précède que les zones hystérogènes ont une situation des plus variables
r, d'après les faits que nous avons eu l'occasion d'observer, que le^ zones hystérogènes occupent le tronc exclusivement' qu'
nfin elles existent plus fréquemment à gauche qu'à droite, et que les zones unilatérales que nous avons rencontrées ont toujo
s que nous avons rencontrées ont toujours été situées à gauche. Les zones hystérogènes n'affectent avec î'hémianesthésie au
'ovarie existait du côté opposé à I'hémianesthésie. Très souvent la zone hystérogène existe sur la ligne médiane, comme
que des deux côtés. Dub... est anesthésique à gauche et possède une zone hystéro-gène double sur la partie antérieure de l
et sur ce point seulement la sensibilité à la piqûre persiste. Les zones hystérogènes ne sont pas en tout temps également
permettre cette expression, se trouve en quelque sorte déchargée, les zones hystérogènes s'amoindrissent ou même dis-paraisse
influence bien connue des attaques convulsives sur l'excitabilité des zones hysté-rogènes, on peut voir cette excitabilité s'
, — et dontle mode d'action nous échappe complètement. L'action des zones hystérogènes ne se borne pas à provoquer les atta
compression ovarienne l'est également pour l'excitation de toutes les zones hystérogènes que nous avons signalées. L'expérien
nner la préférence à la pression. Quand la malade possède plusieurs zones hystérogènes, l'attaque occasionnée par l'excitat
hez chacune de nos malades suivant la situation et le nombre de leurs zones hystérogènes, et le résultat obtenu ne saurait ch
malade retombe sur son lit dans la résolution la plus complète. des zones hystérogènes, le début de la période épileptoïde
t la malade à la réalité : c'est, en première ligne, l'excitation des zones hystérogènes et particulièrement la compression d
prédominance marquée du côté gauche. Je rappellerai ici que les deux zones hystérogènes de cette malade se trouvent égalemen
ur ovarienne existe aussi à gauche. Elle possède, en outre, plusieurs zones hystérogènes. (Voy. p. 37.) Le bruit du gong prov
même côté. En outre de l'hyperesthésie ovarienne, elle possède trois zones hystérogènes (voy. p. 37). Le bruit du gong ne
du côté gauche, douleur thoracique au-dessus des seins au niveau des zones hystérogènes, strangulation, batte-ments dans les
plète de l'œil gauche (elle ne voit pas le violet). Elle possède deux zones hystérogènes, l'une sous-mammaire du côté gauche,
nes-thésique à gauche. Elle est ovarienne du même côté et possède une zone hystérogène mammaire gauche (voy. p. 37). Elle
à gauche et achromatopsique incomplète du même côté. Elle possède une zone hystérogène au niveau du sein gauche. Quelque tem
la pression est limitée à l'ovaire (ovaralgie); car partout, dans la zone correspondante et voisine, il y a anes-thésie. Ce
les temps de répit. » La compression ovarienne et l'excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l'état de mal ép
rversions de courants continus, compression ovarienne, exci-tation de zones hyperesthésiques) dont l'influence sur les attaqu
La compression ovarienne ne pouvait être main-tenue. L'excitation des zones hystérogènes du dos et des aisselles demeurait sa
ième phase.) Pendant cet état de léthargie hypnotique, l'action des zones hys-térogènes, dont j'ai parlé, page 32, persiste
e 32, persiste avec cette particularité bien curieuse, que toutes les zones hystérogènes autres que le point ovarien détermin
ique. La malade n'a absolument conscience de rien ; la pression de la zone hystérogène, qui arrête l'attaque, ne détermine p
coups de pied... etc. y Elle est anesthésique totale et n'a plus de zone hystéro-épilep-togène. Elle s'endort plus diffi
BULISME, En temps ordinaire B... porte sur le sommet de la tête une zone hyperesthésique ; la pression en est fort doulour
epsie. Elle a sur le som-met de la tête et entre les deux épaules une zone d'hyperesthésie, dont l'at-touchement provoque un
. Elle supporte courageusement la douche. L'action de celle-ci sur la zone hyperesthésiée, entre les deux épaules, n'a jamai
ovoqué d'accès, ce qui arrive aux malades qui portent en ce point une zone hystérogène. La femme de chambre raconte que la
elles ne sont pas plus perçues qu'auparavant. Un peu plus tard cette zone de sensibilité s'est étendue, et dans les cas ext
ion ovarienne, des interver-sions électriques, et de l'excitation des zones hystérogènes. — Je ne reviendrai pas ici sur ce q
rai pas ici sur ce qui a été dit de la compression ovarienne et des zones hystérogènes (pag. 28 et 32) et il sera parlé plu
rfs intercostaux. En effet, de même qu'une première excitation de ces zones d'hyperesthésie provoque les convulsions, une nou
itime, pour l'hyperesthésie ovarienne, une mention spéciale parmi les zones hyperesthésiées. e. — influence de la musique
l'anesthésie partielle que l'on voit manquer le transfert, ou bien la zone redevenue sensible, s'accroître peu à peu à chaqu
nté fig. 9 et 10, les régions du corps occupées de préférence par les zones hystérogènes, aux endroits où, d'après le dire de
Vura hysterica.................................................. ^~ Zones hystérogènes.....................................
sion ovarienne, des interversions électriques, et de l'excitation des zones hystérogènes............... 583 b) . Marche de
41 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
nt dans la région intermédiaire du lobule, celle qui s'étend entre la zone cen-trale confinant à la veine intra-lobulaire et
nd entre la zone cen-trale confinant à la veine intra-lobulaire et la zone périphéri-que confinant aux ramifications inter-l
on d'abord transitoire, puis permanente de la veine centrale et de la zone capillaire qui y atteint immédiatement, a pour ef
l. Toujours est-il que l'altération se prononce primitivement dans la zone moyenne du lobule. Les cellules hépatiques, altér
-lobulaire qui a pour siège la péri-phérie de la veine centrale et la zone immédiatement située en dehors de celle-ci. Cette
elle sorte que le lobule hépatique était absolument enveloppé par une zone conjonctive, en même temps que la substance même
'un noyau central formé prin-cipalement de matière colorante et d'une zone radiée, constituée par de la cholestérine. Je ne
a, grande majorité des calculs biliaires: 1° un noyau central; 2° une zone moyenne, en général constituée par plusieurs la-m
cture de la couche moyenne après ce qui en a été dit plus haut. Cette zone est d'ordinaire, je le répète, composée de crista
a une écorce, elle se distingue presque toujours très nettement de la zone moyenne par sa couleur, son appa-rence stratifiée
semblant constitué prin-cipalement par de la matière colorante , une zone moyenne composée de cholestérine disposée en pyra
ine au microscope à la forme des petits fragments qu'on détache de la zone radiée du calcul. Elle se reconnaît aussi, quand
ds. Mais le plus communément la cholestérine cristalline constitue la zone radiée moyenne. Il existe un noyau et une écorce,
melleux; la couleur jaune ouverte y est souvent' in-terrompue par des zones blanchâtres de choleslérine. En gé-néral, la coul
forme de coin, dans la subtance corticale. Ces abcès, entourés d'une zone violacée, ne sont pas sans analogie, vous le voye
bout de quelques mois (sclérose périlobulaire). Mais, en général, la zone la plus externe du lobule est eE quelque sorte di
) Gornil et Ranvier. — Manuel d'histologie pathologique, p. 922. la zone la plus voisine, du lobule; au lieu de ces cellul
s, apla-ties, comme on aurait pu s'y attendre, sauf peut-être dans la zone la plus externe où il y a sur deux rangées parfoi
gethiere. Halle 1865, Taf. IV, f. 1), R, substance corticale. — Gr, zone limitante. — M, substance médullaire. 1,Capsule
on des pyramides de Malpighi, peut être elle-même sub-divisée en deux zones , à savoir : Io la zone papillaire ; 2° la zone-li
ighi, peut être elle-même sub-divisée en deux zones, à savoir : Io la zone papillaire ; 2° la zone-limitante ou intermédiair
-bach, 1.1, p. 489, fig. 138, Edit. angl.) p, région papillaire. — g, zone limitante. — r, couche cor-ticale. Les stries fon
tes, correspondent par leur position aux fascicules vasculaires de la zone limitante. Les parties trans-parentes de la régio
s par en haut jusqu'à la capsule rénale ; ils en sont séparés par une zone étroite qui n'est qu'un prolonge-ment de la subst
s des anses Fig. 2o. — Coupe transversale du rein au niveau de la zone limitante. — a, de Henle formées aux dépens tub
s cette région que deux variétés de tubes urinifères. B. bans la, zone limitante, au contraire, on trouve trois va- Fi
e du lobule se voit le prolongement médul-laire; à la périphérie, une zone constituée par les parties contiguës du labyrinth
ance exacte de la disposition lobulaire que pré-sente le rein dans la zone corticale est indispensable à l'ana-lomo-patholog
ladie de Bright. B. Sur des coupes transversales pratiquées dans la zone li-mitante ou intermédiaire, au voisinage de la c
t aplati ; il n'y a plus de con-tournés d'aucune espèce. C. Dans la zone papillaire, l'épithélium cylindrique des tubes co
capillaires à mailles plus ou moins larges, qui, sur les bords de la zone limitante, communique d'ailleurs avec le système
correspondantes du rein la sé-crétion d'eau; or, tandis que dans les zones correspondantes aux parties cautérisées la colora
ain les canalicules contournés ; ceux-ci paraissent remplacés par une zone d'une teinte rouge, produite par le carmin: l'exa
s ou fusiformes ; et avec un peu d'attention, on reconnaît dans cette zone rouge la lumière, singulièrement rétrécie et comp
mplis de cylindres granuleux ou transparents. — 3° En dehors de cette zone , se voient les glomérules de Malpighi enveloppés
intermédiaire à la substance médullaire et à la substance corticale ( zone limi-tante), correspond à la voûte artérielle.
en-dront le siège d'une stase sanguine. Dans les veines droites de la zone limitante, cette stase aura des conséquences par-
ace et fissure interlobulaire très agrandis entourant le lobule d'une zone complète de tissu conjohetif. — Les vaisseaux san
aires du centre de l'espace. Ces deux vaisseaux sont entourés par une zone de tissu conjonctif adulte. C,C, Canalicules bi
e zone de tissu conjonctif adulte. C,C, Canalicules biliaires de la zone intermédiaire, leur direction générale est perpen
Partie centrale de l'espace. Région des canalicules volumineux. L', Zone intermédiaire dans laquelle les canalicules sont
les canalicules sont de calibre moyen et dessinent des réseaux. C, Zone embryonnaire, et de cirrhose intralobulaire. Les
s —, 178. Vomissements (Des), dans la colique hépatique, 166. Z Zones du rein, 290 ; — limitante, 291 292, 294, 398 ; —
42 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inverse de ce qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce ou de la substance
ration dans les parties internes des faisceaux de Goll et dans la zone radiculaire des colonnes postérieures ; 3° un pro
ns. La sensibilité à la douleur est assez obtuse et l'on relève des zones d'analgésie multiples du côté de l'extension et
ticale ne sont pas les mêmes que celles des autres tissus. Dans les zones corticales l'influence tro- phique des impulsio
trie dans les deux hémisphères. Dans la moelle épinière se voit une zone d'égale largeur au voi- sinage immédiat de la m
de la coordi- nation des produits reçus ou fournis par les diverses zones sensitivo- motrices du cortex, et opère la synt
es à l'extension de la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la zone motrice ; 5° convulsions fréquentes mais de nat
encore que les points d'élection de ces tumeurs cavitaires sont les zones radiculaires postérieures et les parties adjace
par la certitude de l'irritation d'un point toujours le même de la zone motrice, l'opération doit alors enlever non seu
évidemment sur l'anatomie normale des cor- dons postérieurs et des zones adjacentes. Nos connaissances à ce sujet se son
son long trajet ascendant, à travers les cordons postérieurs et les zones adja- centes. De même, supposons un foyer de
niveau du sillon collatéral, son faisceau à fibres grêles occupe la zone dite de Lissauer, tandis que son faisceau à gro
SE. mentionner. Un- peu plus haut, les grosses fibres occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette zone a la forme d'
les grosses fibres occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette zone a la forme d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe
sant (fig. 1). Sa pointe postérieure touche la partie interne de la zone de Lissauer, sa pointe antérieure arrive au bord
les mêmes grosses fibres, quoique diminuées de n'ombre, occupent la zone dite de la bandelette externe ; le croissant pr
es (procédé de Wuigert-Pal). 7 ? 1. La racine postérieure occupe la zone cornu-radiculaire, disposée sous fotme d'un cro
s dégénérations secondaires, les fibres courtes ne dépassent pas la zone de Lissauer et la zone cornu-radiculaire ; elles
ires, les fibres courtes ne dépassent pas la zone de Lissauer et la zone cornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des
rieure, abordant la moelle, suit un trajet ascendant bien délimité ( zone cornu-radiculaire, zone de la bandelette extern
le, suit un trajet ascendant bien délimité (zone cornu-radiculaire, zone de la bandelette externe, zone du triangle post
en délimité (zone cornu-radiculaire, zone de la bandelette externe, zone du triangle postérieur). Mais, DES LOCALISATION
adiculaire occupe la plus grande éten- due des cordons postérieurs ( zones pointillées). Toutefois, il n'atteint pas en av
, et nous comprendrons aisément les conclusions suivantes : en B ( zone d'entrée ou de Lissauer) sont situées les fibres
bres fines de la racine postérieure qui pénètre à ce niveau ; en a ( zone cornu-radiculaire) le faisceau à grosses, fibre
s de la moelle. ' Les champs radiculaires ou exogènes occupent : la zone cornu-radicu- laire (a); les bandelettes extern
bandelettes externes (a', a") ; les triangles postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons latéraux ; E, région pér
elette la plus externe est celle de la racine qui a pénétré dans la zone cornu-radiculaire immédia- - tement sous-jacent
ES DU TABES DORSALIS. 189 pas en entier ; ils respectent' certaines zones remplies par les faisceaux endogènes. Dans ce
se place de chaque côté du sillon médian postérieur. 11 occupe une zone irrégulièrement ovalaire, un peu effilée à ses de
on sacrée inférieure et du cône terminal. Il est représenté par une zone décolorée, de chaque côté du sillon médian post
scicules endo- gènes ascendants forment la plus grosse partie de la zone cornu-commissurale, surtout développée au nivea
e au niveau des ren- flements, lombaire ou cervical. On sait que la zone , dite cornu-commissurale, occupe l'angle formé
postérieures adjacentes, sur le point de pénétrer dans ia moelle ; B, zone de Lissauer (faisceau grêle) ; C, corne postéri
, cordons latéraux : E, commissure grise ; F, colonnes de Claire. Zones radiculaires (faisceau à grosses fibre*). - En a,
de Claire. Zones radiculaires (faisceau à grosses fibre*). - En a, zone cornu-radiculaire ; en a', a", zone des bandele
ceau à grosses fibre*). - En a, zone cornu-radiculaire ; en a', a", zone des bandelettes externes ; en a ? zone des libres
rnu-radiculaire ; en a', a", zone des bandelettes externes ; en a ? zone des libres longues (champs postérieurs). Zones
tes externes ; en a ? zone des libres longues (champs postérieurs). Zones endogènes. - En b, zones endogènes descendantes (
e des libres longues (champs postérieurs). Zones endogènes. - En b, zones endogènes descendantes (faisceau triangulaire mé-
elette périphérique, virgule de Sclmlsr, suivant la région ; en 4', zones endogènes ascendantes (région coriia-coiiiiiiissu
mine au niveau des bandelettes externes (deux tiers antérieurs). La zone cornu-radicu- laire (a) attenant au boi d inter
roportion qui existe, à tous les niveaux, entre la décoloration des zones d'entrée et des champs poste- rieurs, et celle
ration des zones d'entrée et des champs poste- rieurs, et celle des zones de trajet (bandelettes externes et leurs deu\ tie
o-lombaire, virgule de Sclmltze). Les fibres endogènes ascendantes ( zone cornu-com- missurale) sont également prises, ma
sensiblement ana- logue, quelles que soient les régions examinées ( zones exo- gènes ou endogènes). Là aussi, le processu
eure, colonnes de Clarke) nous ont paru intacts ; dans toutes ces zones , nous n'avons constaté que la diminution plus ou
xtension rapide; cette lésion entraîne très vite la destruction des zones endogènes des cordons postérieurs, ascendantes
par un foyer qui englobe tous ces nerfs, en en respectant certaines zones et cela, dès le début de la maladie. Il y a là
'une frayeur ayant occasionné une perte de connaissance. Elle a des zones d'anesthésie sur les quatre membres. Le tremble-
nérale est intacte. Il ne m'est pas possible de constater ni aucune zone d'anesthésie, ni aucune plaque d'hypéresthésie.
te est celle qui comprend un certain degré de parti- cipation de la zone antérieure psychique sous forme de phénomènes d
ment constituées par un noyau volumineux que l'on voit déjà dans la zone des cellules polygonales, qui augmente dans la
it déjà dans la zone des cellules polygonales, qui augmente dans la zone des petites cellules et atteint tout son développ
zone des petites cellules et atteint tout son développement dans la zone des grandes cellules pyramidales. Ces cellules se
t douloureuse, surtout eu arrière et à gauche, la pression de cette zone déterminant des mouvements réflexes, des contrac-
région huccale et pharyngée était excessivement sensible. Pour les zones hys- térogènes, pensera-t-on qu'il existe un po
ellules des noyaux du pont de Yarole, qui, une fois arrivées à la zone moléculaire, s'appliquent contre la tige ascendan
ites des cellules de Purkinje. Tout mouvement volontaire, parti des zones rolandiques de l'écorce cérébrale, doit donc ag
ière, il faut accorder une atten- tion spéciale à l'existence d'une zone , parfois considérable, de dissociation syringom
mmédiatement au-dessus de la région complètement anesthésiée. Cette zone d'analgésie et. de thermoanesthésie peut être e
érieures. ' Dans la moelle, ces modifications se localisent dans la zone d'expansion des faisceaux des racines postérieu
abétiques dans la moelle, se localise presque exclusivement dans la zone d'expansion de l'articulation spinalis postérie
cette idée, nous conseillons de pratiquer la cra- niectomie dans la zone rolandique, en levant une portion du crâne part
Mexico). L'épilepsie jacksonienne est molivée par des lésions de la zone psychomotrice de l'encéphale. Elle offre des fo
43 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oïde, un second à deux centimètres au-dessous de celle apophyse. La zone doulou- reuse est limitée en arrière à trois ou
poumon, du tube digestif ou de l'urine. On ne trouve ni ovarie, ni zone hystérogène en aucun point du corps. Le réflexe
tuels. L'effet est instantané, et dure autant que la pression des zones mentionnées, mais qu'on suspende la pression, ins
1 Remarquons qu'en aucun des points d'inhibition, on ne trouve de zones hystérogènes. Les symptômes que nous venons de
is n'exerça aucune influence sur l'astasie. De plus la pression des zones postérieures du tronc qui supprime les troubles
que de la marche et les régions cutanées que nous avons vu être des zones d'inhibition pour les mouvements convulsifs ast
cules qua- drijumeaux, protubérance; pédoncules cérébelleux) et des zones radiculaires postérieures/ Il est probable que
ésie, mais conservation partielle de la sensibi- lité à la douleur. Zone d'anesthésie nettement délimitée, rétré- cissem
'origine et la terminaison des fibres ner- veuses dans les diverses zones foetales. 1. La zone des racines antérieures re
on des fibres ner- veuses dans les diverses zones foetales. 1. La zone des racines antérieures reçoit beaucoup de fibres
les cordons postérieurs. - 2. Les fibres du premier sys- tème de la zone radiculaire moyenne émanent, dans leur ensemble,
rke, notamment dans les renflements, les fibres se dirigent vers la zone limitrophe des cordes antérieures et postérieures
montant, soit en descendant. - 3. Quant aux fibres placées dans la zone médiane, impossible d'en savoir plus long. - 4.
sont disséminés sur toute la surface de la coupe trans- verse de la zone radiculaire moyenne. Mais il est impossible de sa
oir par quelle voie les fibres des cordons de Goll arrivent dans la zone radiculaire moyenne. Je n'ai pu constater l'ass
olonnes de Clarke dans les cordons postérieurs. 5. Les fibres de la zone radi- culaire postérieure médiane proviennent t
toutes des racines postérieures qui passent directement dans cette zone . Elles abandonnent les cordons postérieurs par
t en dedans dans les cornes postérieures. Les libres externes de la zone radiculaire postéro-médiane sortent latéralement
rieure d'où elles se dirigent t en avant. La masse principale de la zone radiculaire postéro-médiane court à travers la.
incipale de la zone radiculaire postéro-médiane court à travers la. zone radiculaire moyenne et arrive dans les cornes p
s qui rayonnent et les grandes cellules nerveuses. Les fibres de la zone radiculaire postéro-médiane ne montent donc pas
de ces deux espèces d'organes soit le même. 6. En ce qui regarde la zone radiculaire postéro-latérale, les fibres se per
t avec les fibres radiculaires postérieures. Donc, les fibres de la zone radiculaire moyenne entrent princi- palement en
palement en rapport avec les colonnes de Clarke; les fibres de. la zone postéromédiane s'unissent surtout aux cornes anté
; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des cordons grêles. Les zones foetales contiennent chacune les élé- : ments d
dont nous venons de parler. Sont atteintes : '. des premières : les zones radiculaires moyennes - les zones, médianes des
tteintes : '. des premières : les zones radiculaires moyennes - les zones , médianes des cordons postérieurs (dont l'évolu
ostérieurs (dont l'évolution est parallèle).' Puis, d'habitude, les zones radiculaires postéro-latérales, les cor-; dons
iculaires postéro-latérales, les cor-; dons de Goll. Plus tard, les zones radiculaires postéro-médianes Finalement les zo
. Plus tard, les zones radiculaires postéro-médianes Finalement les zones radiculaires antérieurs. Au sur et à mesure de
radiculaires antérieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de zones des cordons postérieurs marche la lésion des fi
L'autopsie décèle : dégénérescence des cordons postérieurs et de la zone d'entrée des faisceaux radiculaires, épais- sis
roubles de nutrition qui déterminent de l'irritabilité de certaines zones corticales; cette irritabilité, impuissante d'abo
e faits sur les stigmates per- manents : anesthésie, hyperesthésie, zones hystérogènes, sur la diathèse de contracture, l
d'oie ou du pied, et cela, surtout pour le premier, en excitant des zones qui d'ordinaire ne le provoquent point. Il en e
nt des mains. Hérédité. On ne constate pas d'autre anomalie, qu'une zone hyperesthésique au niveau du bregma. Les trembl
l'articulation du genou du même côté est rigide. En compri- mant la zone hystérogène, on provoque l'entre-bâillement des p
e même pour le pharynx; hémi'hypo-esthésie du côté gauche du corps. Zones d'hyperesthésie sur la tète, au niveau de la co
mêmes phénomènes que chez la première malade; la pression sur la zone ovarique n'interrompt pas plus le sommeil que dan
s conclusions de ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la zone motrice du cerveau peut déterminer chez le chie
Voici par exemple, un malade présen- tant dans la jambe blessée une zone d'anesthésie circonscrite; il en fait son cheva
dans cet oeil; tou- 252 SOCIÉTÉS savantes. tefois sur une petite zone du côté de la tempe le champ visuel est conserv
, des paralysies avec contracture, par sclérose ayant détruit les zones psychomotrices; le bec-de-lièvre, la gueule de
ndent se complètent à mesure que le territoire devient libre sur la zone des centres sensoriels et des instincts. 3t2
centre auditif, nous avons les musiciens; avec l'inté- grité des zones motrices, les sculpteurs, etc. A l'état normal,
es animaux nouveau- nés. Ainsi la destruction ou la résection de la zone motrice corti- cale qui se traduit chez l'adult
vec la fonction spéciale de celles-ci (main) et avec l'activité des zones corti- cales motrices. Nulles ou à peu près che
tout, comme celles que nous venons de signaler, à la périphérie des zones pyramidales supposées. Les fibres des systèmes py
pour caractère, d'occuper assez uniformé- ment toute la coupe de la zone pyramidate. Les autres fibres cons- tituent-ell
cendante. Si l'on divise la coupe transverse du pédoncule en quatre zones , on voit que le quart externe renferme des fibr
rt voisin con- tient les faisceaux des pyramides. Dans la troisième zone adja- cente, c'est-à-dire en dedans de ce derni
le passent dans le tiers supérieur de la capsule interne. Enfin, la zone la plus interné du pédoncule ne contient ni les
44 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mouvements de défense énergiques, sans sensations d'aura. C'est une zone hyperesthésique et non hystérogène. Les membres
sse iliaque gauche et au-dessous de la mamelle gauche existent deux zones hystérogènes déterminant des sensations d'aura,
, 1883-81, suite malattie dell. sistema nervoso. Milan, 1885. Des zones hystérogénes et lzpnogézzes; des attaques de somm
permit de reconnaître au niveau de la partie moyenne du sternum une zone hystéi-ogdize très limitée, dont le moindre att
tité de sang par le nez et par la bouche ; à partir de ce moment la zone hystéro- gène disparut et il devint possible, s
eproduisirent dans le même ordre de succession : 4 apparition de la zone hys- térobène ; 2° épistaxis; 3° disparition de
ition de la zone hys- térobène ; 2° épistaxis; 3° disparition de la zone ; et cela à di- verses reprises. Cette zone n'ex
is; 3° disparition de la zone; et cela à di- verses reprises. Cette zone n'existe plus aujourd'hui et il y a plus de deu
s les jours, amenèrent une extension ascendante et symétrique de la zone sensible qui s'étendit au tronc et aux mem- bre
ercher s'il n'existe pas à la partie posté- rieure du tronc quelque zone hystérogène, nous remarquons que la tête ne rep
ait enlevé : à gauche, en deux séances, le lobe frontal et toute la zone motrice; a droite, outre les mêmes régions, la
ofonde des deux lobes occipitaux; anéantisse- ment eomplet des deux zones visuelles; et cependant il voyait parfaitement.
pyramidaux, il ne se produit pas de phénomènes spasmodiques si les zones radiculaires des cor- dons postérieurs des segm
e grise bi-latérale des cordons postérieurs et en particulier des zones radiculaires postérieures jusque dons la moelle c
septique détermine aussi une nécrose centrale ; puis, se montre une zone de dégénérescence avec amas granuleux assez abo
e dégénérescence avec amas granuleux assez abondants ; enfin, une zone irritative moins intense et se limitant essentiel
ariétale inférieure gauche, ramollissement englobant précisément la zone sur laquelle, il y a trois ans il appelait l'at-
ue, l'analgésie du côté droit sont descendues encore davantage; une zone d'anesthésie tactile de la largeur de 15 centim
centimètres est venue s'ajouter aux anesthésies précédentes; cette zone est limitée en haut et en bas par des lignes ho
nomènes révélateurs de la diathèse hystérique, tels que : ovarie, zones hypéresthésiques, analgésiques, rétrécis- semen
. Il est dans la moelle un système anatomique inter- médiaire aux zones motrices et sensitives, qui s'ad- joint aux fib
ico 1883-84, etc., p. 27. ' Voy. ]'ob. d'Albertine dans Pitres, Des zones hystérogènes et hypno- gènes; des attaques de s
ve assez souvent que l'on peut constater nettement la pré- sence de zones hypéresthésiques. C'est ce qu'a très bien noté
si que ces points hypéresthésiques sont sou- vent en même temps des zones hystérogènes et la recherche ou la connaissance
ps des zones hystérogènes et la recherche ou la connaissance de ces zones inaugurée par M. Charcot et récemment très éten
t'intérêt à provoquer cette attaque et la connaissance d'une de ces zones deviendra capitale. Ces zones pouvaient exister
taque et la connaissance d'une de ces zones deviendra capitale. Ces zones pouvaient exister avant l'apparition de l'attaq
comme elles ont apparu sans raison déterminante appréciable. Ces zones hystérogènes ont été expressément notées dans l
re ce matin à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche ( zone hystérogène) M. Char- cot provoque qua ! re pet
ttaques, par la pression sous- mammaire. D Nous avons dit que les zones hystérogènes pouvaient exister avantl'apparitio
minait des attaques convulsives. Au bout de trois ans et demi cette zone disparût un beau jour, ' Des zones /t ! /s<&
u bout de trois ans et demi cette zone disparût un beau jour, ' Des zones /t ! /s<<;')'oyene6', etc. 978 ô REVUE CR
ur la malade ne nouspermirentpas de déceler la réapparition decette zone ou d'aucune autre de même nature. Du reste, pen
us avons déjà vu que M. Charcot avait observé que la pression d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil en provoq
la dénutrition qu'elle entraine. Or, sachant que la pression d'une zone hystérogène, par l'attaque convul- sive qu'elle
ous nous croirons toujours autorisé à rechercher l'existence de.ces zones et à nous en servir, une fois constatées, au mieu
esthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens, et les zones hystérogènes des muqueuses; par Licnwtiz. Th. B
es sens, goût, odorat, ouïe. Dans la seconde partie il s'occupe des zones hystérogènes de ces mu- queuses. Onze observati
pport avec celle des autres maladies de la sensibilité. Quant aux zones hystérogènes des muqueuses, elles paraissent tr
r la cornée, la conjonctive et le conduit lacrymal infé- rieur. Ces zones sont ordinairement symétriques. L'auteur leur a
va un peu loin lorsqu'il leur en donne une plus considérable qu'aux zones exté- rieures et prétend qu'elles sont plus fac
que les symptômes de l'ataxie se manifestent, l'autre périphérique ( zones radi- culaires externes), qui est, si on peut s
inter- tubulaire n'est pas épaissi. Dans les cordons de Goll et les zones radiculaires externes, en particulier, rien n'i
lquefois passagère, (douze faits), ou incom- plète (treize faits de zones épargnées, deux faits de ligne médiane dépassée
ale et lombaire, la lésion des cordons postérieurs avait atteint la zone d'entrée radiculaire, tandis qu'elle avait respec
t la zone d'entrée radiculaire, tandis qu'elle avait respecté cette zone du côté droit. AI. Westphal présente des prép
grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motrice du cerveau. - Ces deux cas ont été exam
nt été examinés au point de vue des questions sui- vantes. Quand la zone motrice est lésée : 1° l'atteinte seule de la s
tte malformation. Discussion. M. 13.1DLICH. C'est l'absence de la zone médiane de l'encéphale qui détermine l'étendue
inges supérieurs'. On voit qu'il existe à la surface du cerveau une zone exci- table entre deux zones non excitables; la
u'il existe à la surface du cerveau une zone exci- table entre deux zones non excitables; la première correspond chez les
ique, chez les autres animaux à la région sigmoïdienne; la seconde ( zone inactive) comprend les lobes frontal et occipit
couronne rayonnante de Reil, faisceaux blancs correspondants à la zone motrice et seuls excitables. Ce sont d'avant en a
rdinairement à l'articulation de la hanche, et s'accompagnent d'une zone hypéresthésique des téguments très caractéristi
45 (1934) Oeuvre scientifique
réflexes faibles, nous obtenons la flexion par la percussion d'une zone assez limitée (lieu d'élection; voir p. 42), chez
vant- bras et même parcelle de la région carpienne. L'étendue de la zone ré- flexogène est donc variable elle aussi. I
asionne indirectement, par suite de l'excitation de la peau dans la zone du tendon du quadriceps, un mouvement réflexe q
myélie peuvent abolir transitoirement les réflexes au-dessous de la zone atteinte Les phénomènes de shock dis- parus, on
on constate une abo- lition des réflexes tendineux au-dessous de la zone lésée ('). Si cette irré- flectivité n'est pas
ents est plus grande, la durée de la contraction plus longue, et la zone réflexogène plus étendue. La flexion du pied, de
e déterminer ainsi une sorte de contracture transitoire. Quant à la zone réflexogène, qui, à l'état normal, est ordinair
n évidence et où la déter- mination de la limite supérieure de leur zone de production est impor- tante à connaître. J'i
n réflexe du pied en pinçant la peau du membre inférieur hors de la zone plantaire, par exemple à la face dorsale du pied
en même temps qu'on abaisse l'extré- mité antérieure du pied. La zone réflexogène est plus ou moins étendue suivant les
emment l'intérêt, qu'une excitation du membre inférieur, hors de la zone plantaire, inca- pable de produire une flexion
ce relative de l'attitude en flexion. Dans cette première phase, la zone réflexogène serait limitée, comme à l'état phis
zone réflexogène serait limitée, comme à l'état phisiologique, à la zone plantaire, et ce n'est qu'ultérieurement qu'ell
ès Riddoch, si je l'ai bien compris, dans la section incomplète, la zone réflexogène du réflexe en flexion ne dépasserait
physiologiques, c'est qu'on ne les obtient que par l'excitation de la zone plantaire et que les mouvements sont plus rapid
peut dire en général que chaque partie des téguments peut servir de zone réflexogène à des réactions motrices très varia
Nous nous proposons de démontrer que l'anesthésie organique dans la zone limitrophe possède, au moins dans certains cas, u
des fluctuations dans l'intensité de l'anesthésie, surtout dans la zone limitrophe ; mais la frontière qui sépare la zo
, surtout dans la zone limitrophe ; mais la frontière qui sépare la zone hypoesthésiée de celle où la sensibilité est tout
contraire, toutes deux quand on applique les deux excitants sur la zone normale. Conclusions. 1° Le territoire d'une an
me trouble s'étend de C 7 jusqu'à D 6 environ ; au-dessous de cette zone , on trouve de l'hypoesthé- sie thermique avec h
barrage que lui oppose la lésion spinale. Et si l'excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune réaction motrice
troisième et quatrième foyers sont peu étendus et constitués par des zones de myélite plutôt que par des ramollissements.
st relativement intacte, sauf tout à fait en avant où il existe une zone de dégénérescence légère consécutive au petit f
LSION ET MYOSIS BULBAIRES 299 M. et 1\1"'e Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil médian, à la partie inférieure
e (Goll, Burdach, trijumeau). Le ruban de Reil droit présente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément
té de Biologie, an. 97, p. 1080. 3° Tumeur cérébrale, comprimant la zone rolandique gauche; hémiplégie permanente ; intégr
U FAISCEAU PYRAMIDAL 327 brale avec thrombose; ramollissement de la zone psycho-motrice dé l'écorce de l'hémisphère gauc
à la fois le sympathique et la moelle ? La limite supérieure de la zone de produc- tion de tous les phénomènes spontané
la sensibilité est plus élevée, surtout si nous tenons compte de la zone d'hypoesthésie nette : elle se trouve reportée à
iatrie und Neurologie, IgOI). x « REMARQUES SUR LA PERSISTANCE DE ZONES SENSIBLES A TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DANS LES
re, la température (le froid surtout) (fig. 3 1 sont perçus sur des zones à topographie presque identiques. La sensibilité
se, on observe une conservation relative de la sensibilité. Sur cette zone , la malade perçoit, mais d'une façon inconstant
emble intéresser le domaine des cinq racines lombaires ; il y a une zone sensible en selle. » On pourrait penser qu'il e
iste dans certaines paraplégies d'origine médullaire, au-dessous de zones complètement ou presque complètement anesthésiées
ous de zones complètement ou presque complètement anesthésiées, des zones où la sensibilité est conservée ; . 2° L'exis
ènes d'abolition et de conservation de la sensibilité sui- vant des zones radiculaires existent chez des malades atteints d
s la pratique on devra toujours examiner d'une façon minutieuse les zones des racines sacrées chez les malades atteints d
, l'anesthésie des racines sacrées ; 7° Enfin, l'existence de cette zone sacrée sensible permet d'affirmer que la lésion
sale et l'on pourra peut-être apprécier, d'après l'étendue de cette zone sacrée intacte, le degré de profondeur de la lési
premier genre d'erreur : une excitation de la peau au-dessus de la zone en question peut, surtout si elle est douloureuse
('). Lorsque (') Voir à ce sujet : Remarques sur la persistance des zones sensibles à topographie radiculaire dans les pa
sie. a) Anesthésie complète, tact, douleur, tem- pérature. · b) Zone où la sensibilité thermique est nor- male. ' ,
(fig. 48) par une bande claire au niveau du cordon de Burdach ; la zone radiculaire externe correspondant à ces racines
upe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des zones radiculaires externes dans les cordons postérieur
. arachnoïde; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone marginale de démyélinisation. Fig. 4g. 5e seg
R. A. et postérieures R. P. ; on voit sur cette coupe avec netteté la zone de démyélini- sation marginale Zm ; et des grai
ion méningée qu'à la compression ; elles se traduisent : 1° par une zone marginale de dégénérescence et d'oedème qui se
térieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyramidaux ; la zone de démyélinisation marginale ZM, est intense.
beau répéter l'exa- men, l'anesthésie reste toujours absolue. Cette zone d'anesthésie totale est nettement séparée du te
uite normale : le domaine de l'anesthésie totale est surmonté d'une zone d'hypoesthésie qui se laisse subdiviser en deux
nt chacune occupe le territoire d'un segment environ. La pre- mière zone d'hypoesthésie marquée, d'une hauteur de trois à
nt le froid comme une piqûre parfois insupportable. Dans la seconde zone d'hypoesthésie légère, présentant la même étendue
très ancienne il n'en est pas ainsi ; on retrouve, il est vrai, la zone d'hypoesthésie légère à peu près semblable à cell
olition complète per- manente de toute sensibilité, n'occupe qu'une zone relativement restreinte, ou n'existe même pas d
n au-dessous de celle-ci (voir les fig. 55, 56, 57 et 58). Ainsi la zone intermédiaire entre l'hypoesthésie légère et l'an
e intermédiaire entre l'hypoesthésie légère et l'anesthésie maxima ( zone d'hypoesthésie marquée) est parfois très étendue
dans certains sché- mas de M. Head antérieurs à nos recherches, la zone relativement réduite de l'anesthésie maxima, si
ire atteint, se trouve encadrée, en bas et en haut, par deux larges zones d'hypoes- thésie (voir fig. 55, 56 et 58). No
ignement de l'anesthésie maxima et par l'étendue considérable de la zone intermédiaire (zone d'hypoesthésie marquée). On
ésie maxima et par l'étendue considérable de la zone intermédiaire ( zone d'hypoesthésie marquée). On peut, croyons-nous,
au-dessous de la compression, et que l'on n'a pas tenu compte de la zone d'hypoesthésie marquée, à cause de l'instabilit
repère. Nous avons constaté en effet dans nos observations, que la zone d'hypoesthésie marquée est nettement séparée de
es par l'exploration clinique (niveau de l'anesthésie, niveau de la zone des réflexes de défense) et l'épreuve de Sicard
anesthésique s'étend, sur une hauteur de 2 centimètres environ, une zone d'hypoesthésie légère (v. schéma). La sensibili
i de l'aine. Toutefois, nous avons pu les faire apparaître dans une zone dont la limite supérieure dépassait légèrement la
ions, l'anesthésie complète, permanente, n'occupe d'habitude qu'une zone relativement restreinte ou n'existe pas du tout ;
nsibilité tactile. Les troubles de sensibilité cantonnés dans cette zone semblent bien sous la dépendance de lésions rad
saient par cette ambulance, dite de triage, qui fonctionna dans une zone comprise entre 3 et 6 kilomètres de la ligne de
lomètres des premières lignes, dans les formations sanitaires de la zone des étapes, les accidents pithiatiques sont par
roit par rapport au pied gauche. » Il existe d'autre part une large zone anesthésique sur la face dorsale du pied et à l
franche ; par contre, il n'y a pas de transition brusque entre cette zone d'hypoes- thésie légère et la région située au-
inutes chacune sur la région verté- brale qui a été divisée en deux zones . L'ampoule était réglée de telle sorte que chaq
sée en deux zones. L'ampoule était réglée de telle sorte que chaque zone a reçu environ 15 unités H. Les rayons étaient
ie de Paris, 12 février 1910). 168. Remarques sur la persistance de zones sensibles à topograpgie radiculaire dans les pa
-Séquard par coup de couteau 358 X. Remarques sur la persistance de zones sensibles à topographie radiculaire dans les pa
46 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
esthé- sie testiculaire et au point de vue topographique dans une zone hystérogène iliaque, dont la compression a plus
ortant sur la sensibilité générale et spéciale : dyschromatopsie. Zones hystérogènes multiples. - Description générale
provoquées : arrêt possible des attaques par la conzpres- sion des zones hystérogènes. Absence d'élévation de la tempéra
rrière, elle y reste exactement limitée. On constate, en outre, des zones d'hyperesthésie dans les points suivants : ZONE
e, en outre, des zones d'hyperesthésie dans les points suivants : ZONES HYSTÉ11OGi ? NES. 35 1° au niveau de la 5e apop
est également aboli à droite. 21 février. On découvre une nouvelle zone d'hyper- esthésie située sur le crâne au niveau
vo- lonté en exerçant avec le doigt une forte compression sur la zone hystérogène (clou hystérique). Cet état do la s
les muqueuses ; rien de nou- veau du côté des organes des sens. , Zones hystérogènes.-Zones iliaques de la grandeur d'une
i produit une sensation d'oppression etde constriction au cou; la zone du flanc gauche (côté sensible) présente la dimen
sion d'une pièce de 5 francs et est insensible ; au contraire, la zone du flanc droit, de la largeur d'une pièce de 50 c
à fait jusqu'à la ligne médiane. Enfin, on constate deuxnou- velles zones d'environ un centimètre de diamètre et placées
la sensibilité générale et la sensibilité spéciale; - les points ou zones hystél'ogènes, se pré- sentant absolument avec
re, t. III. (2) M. Charcot a parlé maintes fois dans ses leçons des zones hys- térôgènes. L'un de nous, utilisant l'ensei
e; de plus, il éprouverait une sensation de brûlure au niveau de la zone bregmatique. A ce moment, ses oreilles sifflent
ement en portant la main sur la tête de l'enfant pour explorer la zone d'hyperesthésie située au niveau du bregma ; à pe
mes conditions a pu être arrêtée par la compression énergique de la zone bregmatique (clou hystérique). Après ses atta
l rend parfaitement compte de ce qu'il a ressenti au moment où la zone hystérogène a été excitée; il décrit alors les ir
urvenu; la sensibilité reste intacte à gauche, abolie à droite. Les zones hystérogèncs n'ont paru subir aucune modificati
pas eu trace d'attaque depuis le début de ce traitement. Toutes les zones hystérogènes ont disparu et on peut maintenant
es ont disparu et on peut maintenant comprimer de toute sa force la zone bregmatique sans déterminer aucune sensation an
femmes hystériques, nous avons constaté dans ce cas la présence de zones hystérogènes se comportant de la même façon. La
compression des testicules a été de nul effet : - celle des autres zones déterminait seulement quelques- uns des phénomè
47 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut en bas le siège d'une dégénérescence avancée; mais même dans les zones les plus malades les tubes forment un poin- til
rdons postérieurs sur les coupes colorées par la méthode de Pal. La zone malade a une forme triangulaire : elle est limité
forme triangulaire : elle est limitée en avant et en dehors par la zone marginale de Westphal qui est parfaite- ment in
parle centre ovale de Flechsi, qui est déjà un peu plus pâle que la zone de Westphal; enfin en arrière par les champs po
es, tranchent nettement sur la région primitivement atteinte. Les zones de Lissauer sont également dégénérées. Dans la
ent dégénérées. Dans la moitié supérieure du renflement lombaire la zone mar- ginale de Westphal s'amincit, mais les cha
s, de telle sorte qu'ils tranchent encore mieux que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les cordons post
ur; c'est à peine si une mince bordure un peu plus foncée marque la zone de Westphal. Les colonnes de Clarke présentent
centre. ri. 1 ? . Observation II. Moelle lombaire ; sclérose des zones radiculaires et des zones de Lissauer; intégrit
vation II. Moelle lombaire ; sclérose des zones radiculaires et des zones de Lissauer; intégrité relative des champs postér
elative des champs postéro-externes, du centre ovale et surtout des zones marginales de Westphal. Coloration de Pal. 28
eur partie postérieure; en avant il reste sur leurs bords une mince zone légèrement plus foncée. , En dehors des cordons
ntense de la région dorsale. Enfin, plus en dehors, on aperçoit une zone dégénérée curviligne, dont l'extrémité antérieure
ité antérieure se con- fond presque avec la bande précédente; cette zone , qui correspond exactement à la bandelette exte
médiaire; intégrité ' relative des champs postéro-externes et de la zone de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA
omitantes des autres éléments de l'écorce : c'est ainsi que dans la zone malade les cellules sont incontestablement moin
de les cellules sont incontestablement moins nombreuses que dans la zone saine; de plus on sait qu'à l'é,tat normal les
up moins intense que les autres parl'hématoxy- line; et ici dans la zone saine il en est ainsi, tandis que dans la zone
line; et ici dans la zone saine il en est ainsi, tandis que dans la zone malade, comme d'ailleurs toujours chez les paraly
es fihres=à'm ? éline superficielles est absolument normal, dans la zone saine,- il entrés'altéré dans la zone malade. 1
absolument normal, dans la zone saine,- il entrés'altéré dans la zone malade. 1, - Il ' 1 ? T ? 0-> -i > "<oU*
sence de parole chez un enfant. Si son cerveau a été frappé dans la zone de la mémoire auditive des mots, il y aura le m
es de schémas mul- tiples, ont amené l'auteur à reconnaître que les zones douloureuses remarquées dans, les affections vi
mbre de maladies générales, .correspondent pour certaines aux mêmes zones que l'herpès zoster,en ce qui regarde les nerfs '
tout] en acquérant des dimensions, plus considérables, ! dans,. la zone `la , plus extérieure, tau moins, du côté où'le
existence de ces formations cylindroïdes foncées, entou- rées d'une zone claire non protoplasmique et situées au centre
vitreuses dont un exemple nous est fourni par l'obsolescence de la zone centrale du tubercule. De leur côté, les cellul
ives sur sa face profonde, et de l'autre le tissu endoneurial de la zone corticale du faisceau' deviendra le siège d'une
de toutes parts, mais surtout du côté du faisceau nerveux, par une zone alvéolaire. Lestroma interfasciculaire est pres
dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum initialavec ses ce
ensé; le corps même du fo)er ne renferme que peu d(n oyaux, mais la zone périphérique, surtout à gauche (n.), est assez
- T t .7.1 > . « -<, z Fig.16.- 1/500.1" Grossissement de la zone B delà figure 2 (pi. I). Formation mésoneuriale
droit est moins'atteint'que'le"gauche et tous deux conser- vent une zone moins sclérosée à leur partie interné; toute cett
blent s'isoler'dans Jle corpsi de la cellule et s'entourer, d'une ! zone plus éclaire ;' enfin f on voit les corps cellu
;\ v-.a.v ? qui sont,jointes ^a 1 observation, la participation des zones deLissauer,i du réticulûm"des"colonnes de Clark
obablement de l'hyperplasie inflammatoire de la névro- glie dans la zone tabétique. La paralysie du bras tenait à un foyer
teurs. Les . fibres radiculaires postérieures qui pénètrent dans la zone d'entrée radiculaire -.postérieure,, de,Westpha
de,Westphal, (bandelettes externes de Pierret avec une partie de la zone radiculaire moyenne de Flechsig) ,sont graduell
s fibres, longitudinales des 5 racines. quit entrent] dans la, même zone au-dessous des premières; sur la ligne médiane
ojsi v ? 11 ,r - - ? a Dans ces conditions, le tabes comprend trois zones de dégéné- cence : celle des fibres radiculaire
survie bord' médian de la' corne postérieure, entré les'deux autres zones , celle des racines des par- tiesun'p'(éu plus p
ieure 'et l'extrémité postérieure' de lascissùre postérieure. Cette zone contient des fibres ascendantes. Il a°moius défib
i .eé" dé fibres' radiculaires postérieures intram édul 1 aires. La zone marginale'de Lissauer participe à cette dégénér
tudinaux postérieurs, du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite zone du pédoncule cérébral droit ? , i <)0 .- q .
nts.;En ce qui concerne les cordons pôstérieurs,ily a intégrité des zones de Lissauen si préma- turément'dégénérées dansi
a, de même que dans le tabès ? les parties les plus.antérieures des zones antérieures et,l'étroite2lésion,i qi ? caresse'
fines') : des'colonnes de Clarke.j Lésions des parties moyennes des zones radiculaires ;4 atteinte,s précoce) de la moelle
x' de l'autrec8té.'=lLeseascetidants`Lnedsônt'"donc *> point. la zone motrice- par' excellence; £ mais> elles-' prés
érieurs' du' èordorl, : latéral,4 parfois même de la région' de la - zone i marginale rdeo Lissauer."1 Leiitrousseau^' post
de' la zone' radiculaire po'stéro-médiane, du système latéral de la zone radiculaire moyenne et des faisceaux de Goll. I
zone radiculaire moyenne et des faisceaux de Goll. Intégrité de la zone radiculaire antérieure, du système médian de la
térieure, du système médian de la zone' radiculaire. moyenne, de la zone marginale de Lissauer. Hyperplasie de la' subst
convolution pariétale ascendante, qu'elle atteint par conséquent la zone motrice et que l'observation, loin de contredir
s si on ren- contre une 'lésion quelconque siégeant en dehors de la zone motrice, on'sera.tout,naturellement porté à la
is au lit" de la. malade (méningite ; tubercule cérébral dans.une zone , ndifférente,iolqîqqtal. ? ) ? Ia,dernière àL la.
ent cérébraux doivent, être représentés, dans l'é- core ? dans, des zones di;stinetes,j maislfonçtionnellement ' réunies
étriquement (SUT les deux hémisphères, intéressant, au niveau de la zone sensitivo-motrice, 0 i&fiontàle, le quart i
alite, symétriques dans les deux hémisphères, n'intéressant dans la zone sensi- tivo-motrice que le pied de la troisième
de toutes parts; mais surtout du côté du faisceau nerveux,'par une zone alvéolaire. Lestroma interfasciculaire est pres
dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum initial avec ses c
nsé ; le corps même du foyer ne renferme que peu de noyaux, mais la zone périphérique, surtout à gauche (n), est assez n
y montre surchargé de noyaux. Fig.l6.- 1/500. Grossissement de la zone B delà figure 2 (pi. I). Formation mésoneuriale
48 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
côté, une explo-ration attentive ferait reconnaître l'existence d'une zone d'a-nesthésie, dirigée transversalement et forman
ient conservé leur sensibilité ou se montre-raient hyperesthésiés. La zone d'anesthésie qui formerait la limite supérieure d
re-croisés, qu'elle sera plus étendue en hauteur; ainsi se produit la zone d'anesthésie plus ou moins haute sui-vant les cas
s leur parcours. C'est pourquoi les par-ties situées au-dessous de la zone transverse d'anesthésie con-servent la sensibilit
de celle des nerfs périphériques. 2° Vient ensuite la sclérose des zones radiculaires posté-rieures, subslratum anatomique
hie lente des muscles, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des zones radiculaires postérieures — douleurs ful-gurantes
central. — r/, racines antérieures. — e, racines postérieures. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone radiculaire p
— e, racines postérieures. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone radiculaire postérieure. par suite de l'apparit
e ces parties est venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une zone de substance blanche, laquelle est en connexion a
blanche, laquelle est en connexion avec les racines nerveuses. Ces zones , dans la nomenclature proposée par M. Pierret. po
la nomenclature proposée par M. Pierret. portent les unes, le nom de zones radiculaires antérieures (Fig. 12, a"1); elles en
a constitution des faisceaux anléro-latéraux ; les autres s'appellent zones radiculaires postérieures (Fig. 12, tt). Avec l'a
ième semaine environ) se développent, dans le sillon qui sépare les zones radiculaires postérieures, deux pe-tites éminence
me temps, une formation analogue a lieu dans le sillon qui sépare les zones radiculaires antérieures. Elle est relative aux p
grès dudéveloppement, ils inclinent àse confondre : en avant avec les zones radiculaires antérieures, en arrière avec l'extré
radiculaires antérieures, en arrière avec l'extrémité antérieure des zones radiculaires postérieures, de manière à ne plus s
qui passerait par la commissure. En dehors, elle se rap-proche de la zone corticale delà moelle dont elle n'est séparée que
cordons latéraux. Il est à remarquer que, en dehors, elle touche à la zone corticale. {Fig. 19). B. En second lieu, qu'obs
xie locomotrice compliquée d'atrophie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire postérieure. — C, corne antérieure ga
Fig. 29. — A, A, cordons latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieures. — G, C, cornes postéri
ieures. — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes antérieures. — F, zone radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. s
ttement déterminé et à prendre rang dans la clinique usuelle ; 2° les zones radiculaires postérieures Je place sous vos yeu
cles du membre inférieur gauche étaient paralysés et atrophiés. A, La zone radiculaire du côté gauche en partie sclérosée. B
rophiés. A, La zone radiculaire du côté gauche en partie sclérosée. B, Zone radiculaire droite saine. G, Les méninges à ce ni
, est exempte d'altération ^Ca s communiqué par M. Pierret). 3° les zones radiculaires antérieures, F ; elles ont été laiss
e. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices) et les zones radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
ndantes) sont désignées par les travaux récents comme représentant la zone motrice, ou, autrement dit, comme la seule région
c'est-à-dire une région appartenant, pour une part, au domaine de la zone mo-trice corticale. Tant que l'épilepsie partie
production des dégénérations secondaires à la suite des lésions de la zone motrice corticale, voir Charcot, Leçons sur les l
bien par le carmin, pourvu d'un gros nucléole et entouré d'une petite zone arrondie ou ovalaire de pigment jaune. (Pl. VII,
vaisseaux qu'ils con-tiennent ont des parois épaissies. Quant à la zone radiculaire antérieure, elle est atteinte de sclé
orsale elle est limitée au trajet des faisceaux radi-culaires et à la zone corticale. De plus, au niveau du point d'émer-gen
qui lui est immédiatement sous-jacente et il en est résulté une mince zone de sclérose corticale ayant son maximum d'épaisse
ombaire, ces diverses lésions disparaissent la couche corticale et la zone radiculaire antérieure se retrouvent dans un état
es que consécutivement à l'altération spinale. Quanta la sclérose des zones radiculaires antérieures, l'examen d'un certain n
on plus considérable, où elle forme autour de la corne antérieure une zone d'une certaine largeur, sont précisément ceux où
st plus vraisemblable, que ce processus irritatif a été transmis à la zone radiculaire par l'intermédiaire des fibres nerveu
nerveuses en voie de destruction à la région lombaire, alors que les zones radiculaires antérieures se retrouvent dans cette
Coupe transversale de la moelle épinière à la région cervicale. — A, Zone radiculaire antérieure sclérosée. — C, Corne anté
ent de nombreuses cellules nerveuses. Il n'y a plus de sclérose de la zone radiculaire antérieure, T. Fig. 3. — Partie moy
antérieure, T. Fig. 3. — Partie moyenne de la région dorsale. — A, Zone radiculaire anté-rieure sclérosée. — C, Corne ant
ostérieurs, 3, 4. — Par extension de la sclérose la-térale, 3i. — Des zones radiculaires postérieures 215., Secoussesfibril
tige de Ménière, 311, 347, 350, 353." Z Zona, 109, 112, 118, 197. Zones radiculaires antérieures,236. — postérieures, 236
49 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
également de la diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. ' 29 lement avec une aggra
THOLOGIE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉ
te chronique. Foyeas étendus de ramollissement cérébral occupant la zone rolundique du côté gauche (couches corticales m
quelques frémissements se manifestant parfois dans les muscles DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 31 de la face (des lèvres
s symptômes la traduction de désordres corticaux, autrement dit des zones motrices du cerveau, désordres siégeant vraisem
onvolutions précédentes ne consti- tuent qu'une minime partie de la zone sensitive I » : Dans notre cas, la localisation
l n'y a pas de centres sensitifs à proprement parler, il existe une zone sensitive, qui comprend toute la partie cortica
igne de cette limite pour se rapprocher des lobes postérieurs cette zone , jusque-là encore sensitivo-motrice, devient ex
. Le Blat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales motrices. 33 1° sur les deux tiers s
e du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la zone grise : couches situées au som- met de cette ré
, a son sommet tronqué au segment postérieur de la capsule interne ( zone 2,olai ? dique de Charcot). Or, on sait que les
sen- sil)1(3 dans les traits, la langue est déviée d gauche. des zones cékébralks motrices. 35 Les mouvements du membr
de processus de réparation. En outre, le corps calleux lui-même DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 37 est gravement intéressé
comme dans 1'OnsERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 39 de la faculté du langag
re, les expériences de l'iourens et l'observation de Bastian. DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au
la langue); 20 Que les lésions destructives de l'écorce grise de la zone rolandique (frontale ascendante et lobule parac
rt de la lésion est, dans l'espèce, le vaisseau. Autre preuve : les zones de dégénérescence descendante secondaire ne déc
t par des altérations pathologiques de l'encéphale, notamment de la zone corticale motrice seule, soit par une lésion de l
ême temps une lésion des cordons postérieurs, et en particulier des zones radiculaires postérieures, les symptômes spas-
lle. Albuminurie, collapsus. 2 janvier; éruption herpétique dans la zone sus-men- tionnéo, rien autre. On faradise le ma
NÉ. 163 de la moelle (cordons pyramidaux, cérébelleux, de Goll et zones radiculaires postérieures). A la même période a
omme dans l'observation 2fi, de West- phal) un ramollissement de la zone motrice et des circonvo- lutions situées à l'ex
blation des sphères corticales de la vue chez le chat montre que la zone A' reçoit des fibres de projection du pulvinar, d
xterne, des couches supérieures du tubercule bijumeau antérieur, la zone A2 affecte des rapports semblables d'abord avec
fin, à un faible degré, avec le tubercule bijumeau antérieur ; - la zone A3 (ou plutôt la portion de cette zone qui comp
le bijumeau antérieur ; - la zone A3 (ou plutôt la portion de cette zone qui compte dans la sphère visuelle) reçoit de nom
fracorticaux. En ce qui concerne les centres optiques primaires, la zone As plus de rapports avec les faisceaux du nerf
lus de rapports avec les faisceaux du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec les faisceaux du nerf optique non entr
la zone A2, avec les faisceaux du nerf optique non entrecroisés; la zone A' est pro- bablement en connexion avec les deu
le ascendante ainsi qu'une partie de la troisième temporale, sur la zone limite entre les lobes occipitaux et temporaux
is de la vie. Puis s'est opérée une accalmie. La localisation de la zone motrice explique la parésie des extrémités; la
commence principalement dans les cordons de Goll ainsi que dans les zones des cordons cunéiformes qui ont la forme d'un F
oyau cruciforme, doublé de volume, , est le point de départ d'une zone de destruction qui, pénétrant dans les pyramides,
- seur, de bien connaître les allures topographiques des diverses zones corticales en ce qui concerne leur richesse respe
à faire contracter les muscles de ce membre par l'irritation de la zone motrice correspondante, à l'aide d'un courant b
e sûr qu'au moins la sensibilité du mouvement est loca- lisée aux zones motrices ; or, nous savons qu'une irritation dé
t électrique, soit par des autres procédés, ils ont appliqué sur la zone motrice correspondante un courant moins fort qu
le sait, que les images des mouvements sont emmagasinées dans les zones motrices. Comment donc pourrait-on com- prendre
ience confirme plutôt l'hypothèse de Wernicke, que l'irritation des zones motrices par l'électricité agit aussi par l'évo
i : plusieurs fois, quand ils ont appliqué le courant faible sur la zone motrice d'un muscle, qui était mis en contracti
une lésion destructive d'une partie de la subs- tance corticale des zones motrices, même en laissant intacts les centres
n influence inhibitive ? De ce fait il est à conclure que certaines zones du cerveau ne retrouvent point leurs influences
s des fibres d'association); la voie principale est évidemment la zone motrice correspondante. Il est facile à com- pr
plus tard s'il existe dans ces ré- gions occipitales de véritables zones épileptoyènes, ou bien s'il y a seulement dans
upposer dans cette partie de la substance blanche l'existence d'une zone épileptogene qu'il appartient à l'expérience de
ssement rouge. D'après les auteurs, c'est vraisemblablement à cette zone de ramollissement rouge, qu'il faudrait attribu
dons de Gott avec vascularisation anormale, petites hé- morrhagies, zones transparentes grises : le centre de l'organe est
e aux courants d'induc- tion. Grande prudence pour la recherche des zones , pour la durée de la séance. Commencer par le t
ans l'écorce du dans la paralysie proâressive), pacZacher, 30S ; ^ zones motrices), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement (
50 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
-jaunâtre, de consistance du mastic de vitrier. Autour de ce noyau, zone d'inflammation particulièrement in- Lense. Simp
u niveau du 4. segment lom- sont assez faibles ; ici, tandis que la zone d'entrée des raci- nes postérieures se présente
rieure : au niveau du 3e segment lombaire et . au-dessus encore, la zone d'entrée des racines postérieures paraît absolu
u du 2- se -ni en t sac s'é- largit en avanten correspondance de la zone cornu-commissurale les libres sont presque tout
pendiculairement l'une à l'autre, dont l'une, plus large, occupe la zone périphérique en s'atténuant pro- g-ressi, ement
upe la zone périphérique en s'atténuant pro- g-ressi, ement vers la zone d'entrée des racines postérieures peu dégénérée
et s'atténue, elle aussi, progressivement, s'arrêtant presque à la zone cornu-com- missurale qui contient seulement que
Entre le septum ella bande adjacente dégénérée, on trouve une mince zone occupant les deux tiers inférieurs qui [tarait re
qu'on peut consta- ter, au niveau du '2e- 1er segment lombaire une zone légèrement décolorée, située de chaque côté du
s cornes pos- térieures, plus neLLe à droite, rejoignant à peine la zone cornu- commissurale. Dans plusieurs segments do
dedans du septum paramédian par une mince bande aspect normal. Ces zones décolorées à un plus fort grossissement pré- se
se fit sur les terri- toires des et et cervicales, ainsi que sur la zone de la à la 1 le ra- cines dorsales et à la fess
eleva l'exis- tence de la douleur viscérale réfléchie au niveau des zones té- gumentaires, déterminées pour chaque organe
e avec hyperesthésie cranienne du type réfléchi : au niveau de la zone nasale et frontale chez les hallucinés de la vue
ébrale et pariétale chez les hallucinés de l'ouïe ; au niveau de la zone temporale chez les hallucinés de de L 111'l'oCl
drie. Enfin, à part quelques observations isolées, les prétendues zones de douleur viscérale réfléchie de \4. llead n'ont
ier la sen- sibilité profonde par l'irritation cutanée de certaines zones ; il semble bien difficile d'apporter quelque ri
es modes, sauf à la douleur, où elle semble un peu diminuée. Pas de zones hystérogènes, pas de troubles des sensibilités
ce est amincie, les circonvolutions sont - aplaties surtout dans la zone frontale et pariétale. Les cellules qui se trou
piques, démon- trent que l'absence de corticalité, spécialement des zones pariétales et frontales, entraîne la perte de c
es, et des auteurs tels que Meynert confessent que l'atrophie des zones corticales chez les déments n'est que souvent en
entes s'y rattachent. Chez l'enfant à la naissance, les voies des zones de la sensibilité spéciale ne sont pas constitu
Lorsqu'on enlève à un individu atteint d'épilepsie jacksonnienne la zone lésée de l'écorce cérébrale, on enlève, avec le
s impulsions motrices : en effet : 1° après l'ablation totale de la zone corticale motrice ou après section des pyramida
jacents, elles vont se développant et s'unifiant à mesure que les zones les plus élevées du névraxe entrent en activité.
, on constate un hématome du côté droit dépassant les limites de la zone rolandique avec épaississement de la dure- REVU
dégénérescence, en l'espèce secondaire, esl due à une lésion de la zone 1llOlri('1' de' l'I;C(II'('(' Ironlale. Xalurclle
au de la 10e' dorsale eL de la le lombaire, ai Cordons antérieurs : Zone de dégénérescence occupant les dl'tI\ bords du
au niveau de la sortie des dernières racines 1» Cordons latémllE; Zone de dégénérafion correspondant au territoire, du
à la périphérie, sur- tout, à la périphérie antérieure ; dans celle zone périphérique qui fl'appe déjà macroscopiduemunt
gonflée aussi, très pâle, parfois il peine perceptible. Dans celle zone périphérique on rencontre encore, au Marchi, de
ux,autant dans le sillon antérieur que dans la moelle, même dans la zone centrale, sont légèrement épaissis dans leurs d
re; en arrière elle s'élargit touchant presque la périphérie. Cette zone , dans les segments sous-jacents, devient toujou
que sous-méningée qui part du sillon antérieur et va rejoindre la zone fortement dégénérée du F Py C ; cette légère sclé
inférieurs où tout le cordon anféro-latéral ne nous montre d'autres zones dégénérées que celle du']' Py C. , , . " Immé
veau des segments C : l, (; '2, devient plus accusée, tandis que la zone dégénérée occupe dans le sens antéro-postérieur
t de Gowers se continue à ce niveau... 'r L'examen histologique des zones dégénérées dans les segments au-dessus et au-de
de libres grêles el une discrète prolifération néxroyliquc dans les zones dégénérées, puis disséminées parfont, des libre
ent l'1ll.iliéb et quelques cellules géantes : il est entouré d'une zone d'inflamma- tion intense. La dure-mère est dans
urs, oui toutefois épargne le triangle de Gombault et Phillippe, la zone eOI'nu-eomln iS"l1mle d la zune COl'n lH'adicul
ont muins duc') ! ures(j[ucut'eb[ud( ? a.xun(id.6fn ? tie : t'eLt.e zone prend à peu pl'ès la fOl'med'ull ql1acldlatèl'e
médiane de cha- tluecortlun.v sommet arrondi, qui s'avance dans la zone COl'nU-COIl1- misuralu; en arriire, cel(e rono
> tcanLu tle cltathte cûLi; tltt sult- tum pour y comprendre la zone des libres noires du triangle de Gombault el Ph
la dégéné- rescence des cordons postérieurs, tout en respectant la zone d'en- t.r6cdt ? ['acint ? csLpiUt.tHf)u&( ?
? csLpiUt.tHf)u&( ? ("-(;itan)pspusL61'o-c.\t.ei'ne ! -t't les zones cornu commissurales sont plus paies que dans les
, à cheval sur le septum ; comme dans tous les segments étudiés, la zone cornu-radiculaire est intacte : les champs poslé-
poslé- ro-externes deviennent à ce niveau plus foncés, ainsi que la zone cornu-commissurale qui, surfout dans le segment
le qui, surfout dans le segment L1 ? enriclli(lu libres saines ; la zone dégénérée occupe de préférence, dans celte régi
nes ; la zone dégénérée occupe de préférence, dans celte région, la zone radiculaire moyenne. Dans la moelle dorsale, la
res, soit dans leur trajet sous-arachnoi- dien.soit au niveau de la zone d'entrée, sont intactes ; les collatéra- les ré
ont intactes ; les collatéra- les réflexes sont lrès abondantes, la zone de Lissauerne parait pas raréfiée, non plus que
éseau myélinique de la colonne de Glarke. A tort grossissement .les zones dégénérées de la moelle lU1l1 ho-a- cree montre
de plus ou moins large de tissu sain bordant la substance grise, la zone d'entrée des racines, la pie-mère et la moitié po
qui sont lésés. A un plus fort grossissement, on constate dans les zones dégénérées une simple diminution des libres ner
uleux, pas de faits dégénérai ifs récents des libres. Au niveau des zones décolorées, léger épaississeménl des sepla et p
e la sensibilité pour toutes les sensations limitée en haut par une zone ifltyperesthésie passant au niveau de la \'( ? Ít
t conservées : une prolifération discrète de la névroglie occupe la zone dégénérée. Dans la région dorsale iu- fi·rimre
1 ? eg-m, l'en ical, le ,;oI1lmel du triallde cOI'l'epolldant il la zone dé- générée louche eulelllentia 1l1Oii il' clu
51 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ît généralement que les racines posté- rieures proprement dites, la zone marginale de Lissitiiei-, les fibres des racine
- surtout rassemblées dans la région ventrale du cordon postérieur ( zone cornu-commissurale de P. Marie) '. Ce qui témoign
s). Que le cer- veau soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones mo- trice (états maniaques), sensitive (mélanco
analogue à celle du tissu hépatique. Ce disque est le centre d'une zone blanc grisâtre, qui présente en tous sens, à pa
tous sens, à partir du centre, la largeur de deux papilles. Cette zone s'atténue graduellement et se confond avec la cou
tre signe distinctif de haute valeur existe dans le caractère de la zone blanchâtre qui entoure le centre. Celle-ci est né
l'alcoolisme, etc. ; 2° Remarquons que dans les cas d'affection des zones endogènes ces altérations sont en général en co
gènes ces altérations sont en général en continuité avec celles des zones 'exogènes, que dans les champs ventraux, par ex
parties les plus envahies sont ordinairement celles voisines de ces zones ; 3° Les toutes premières altérations des racine
es zones; 3° Les toutes premières altérations des racines, même des zones de Lissauer et surtout des ganglions, qui coïnc
ibres et des différents étages de la moelle. La parti- cipation des zones endogènes me parait due en premier lieu à une p
ment leurs parties extra-médullaires), leurs continuations dans les zones d'entrée, etc., souvent aussi leurs collatérale
s ne le sont pas entièrement. Dans les faisceaux postérieurs, les zones radiculaires et les fibres exogènes sont les part
a substance grise il est nécessaire de distinguer chez l'homme deux zones : zones des cellules radiculaires occupant la p
nce grise il est nécessaire de distinguer chez l'homme deux zones : zones des cellules radiculaires occupant la partie an
iculaires occupant la partie antéro-externe de la corne antérieure, zone des cellules cor- donales ou rétro-radiculaires
t les lésions intéressent les fibres commissu- rales du cerveau, la zone rolandique, les fibres du faisceau pyra- midal,
auteur jusqu'à la deuxième dorsale. En <Nr- geur, elle occupe un zone comprise entre le sillon antérieur en avant, et
romatiques de grosseur des plus diverses. Les plus gros forment une zone à la périphérie du protoplasma; ils résultent de
gros blocs chromatiques, les premières offrant presque toujours une zone marginale d'éléments chromatophiles qui manque au
e est ovale ou arrondi, nettement .limité, central et entouré d'une zone plus pâle, non striée et à bords mal délimités
ucléole est presque tou- jours central et volumineux, entouré d'une zone pâle et mal limitée '(noyau). - Généralement
Au moment où l'on constate les germes évidents des cellules dans la zone sensitivo-motrice, on ne constate en d'autres rég
partie inférieure du lobe limbique ; 6) le lobe temporal, et c) la zone moléculaire dans tous les lobes; à tous les degré
ques hystériques, ou pré- sentent des stigmates permanents tels que zones hyperesthésiques, soit anesthésiques, ou hémian
obtenu ne soit plus apparent que réel et qu'il ne reste limité à la zone rectale où e produit un refroidissement local.
s paraissent représenter la lésion essentielle; peut-être aussi les zones sensitives de la moelle ont-elles été suffisamm
ur, cette disposition était très frappante. Hitzig ajoute que cette zone hyperestllésique est parti- culièrement sensibl
être jeter quelque lumière surla pathologie du tabes, c'est que les zones ancsthésiques peuvent être doubles, ce qui semble
sont représentés par de la douleur ou de l'endolorissement dans la zone de distribution du nerf malade, et des douleurs
siège de la lésion spinale, la sensibilité était conservée dans la zone innervée par le nerf cutanée externe. Le malade
es aussi semblent prendre part à la destruction. On remarque que la zone la plus inférieure de la pie-mère est le siège d'
est obscure et diffuse la symptomatologie des lésions de certaines zones du cerveau. z Dans les « centres moteurs cortic
hésie froide : dans l'une, le symptôme n'est pas limité à certaines zones , mais il envahit toute une extrémité, ou bien l
te forme de psychro-esthésie est complètement isolée, limitée à une zone spéciale, qui suit plus ou moins exactement le
eurs situés dans l'hémi- sphère cérébral du côté opposé et dans une zone limitée de l'écorce grise de cet hémisphère.
s le moyen de se renseigner sur la topographie et les limites de la zone motrice corticale, entrevue par M. Jackson. Nat
développant un foyer d'irritation dans un territoire limité de la zone motrice corticale. A la suite de l'extirpation de
entre elles les méninges, au niveau des deux tiers inférieurs delà zone rolandique. Puis on a déterminé les limites exa
le à la main... 1 Le 17 décembre 1892, on mit à nu la portion de la zone motrice corticale dont l'excitation produisait
squ'on applique l'excitateur électrique en des points voisins de la zone excisée. Peu importe. Voyons seulement à quels
au voisinage du sillon de Rolando, par conséquent dans l'aire de la zone motrice. Eu égard au résultat théra- peutique,
d'une intervention opératoire radicale excision d'un fragment de la zone cor- ticale, au niveau du foyer épileptogène pr
oquée en appliquant l'excitateur électrique sur un territoire de la zone rolandique, du jour où il fut établi que l'exti
a zone rolandique, du jour où il fut établi que l'extirpation de la zone rolandique empêche l'excitation électrique du c
ère, au moment où fut pratiquée l'extirpation d'un fragment de la zone motrice. Inversement, les échecs n'ont pas été ra
mes, 28 série, t. Xf. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. compression de la zone rolandique, par le fragment osseux réimplanté ;
e à la suite de l'extirpation d'un fragment ou de la totalité de la zone motrice, sont essentiellement' transitoires : c
ique, on a trouvé en état d'intégrité apparente le territoire de la zone rolandique, qu'il y avait tout lieu de considér
compte des attaques, en conséquence d'une irritation exercée par la zone rolandique. Force est donc d'admettre que le tr
me quand il s'exerce sur la portion du crâne, qui corres- pond à la zone rolandique, peut engendrer une épilepsie partie
rticale, sans occasionner de lésions appréciables de l'écorce de la zone motrice. Il faut donc admettre que l'épilepsie
succès fournis, jus- qu'alors, par l'extirpation de fragments de la zone rolandique, dans des cas d'épilepsie partielle
s connaissances touchant la topo- graphie des centres moteurs de la zone rolandique, que nous tenions de l'expérimentati
rite, avec occlusion ultérieure du vaisseau et ramollissement de la zone qu'il alimente. La syphilis dès centres nerveux
res fortement rétractiles. En outre on rencontre dans la tumeur des zones de transition entre ces divers états qui montre
actère circonscrit de la tumeur; 20 son encapsulement; 3° certaines zones diffuses, d'aspect sarcomateux rencontrées dans
ons de la bouche, à l'aide d'un instrument fin, pour y dépister des zones parfois assez restreintes d'anesthésie ou d'hyp
homme soit à la fois névrosé et supérieur il il est névrosé par une zone de son système nerveux et supérieur par une aut
eil, il localiserait la lésion supposée corticale de ce malade à la zone inférieure du centre oculomoteur en avant de la f
52 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Mar- fan, etc.) permettaient de supposer que ce centre était à la zone psychomotrice, tout près du centre du facial in
rrête au premier sillon temporal. En faveur de la localisation à la zone psycho-motrice, nous pouvons encore invoquer un
contredisent à cette localisation et le feraient placer plutôt à la zone psychomotrice, à la partie inférieure des circo
e tient pas à une disposition anato- mique, isolant ces nerfs de la zone pychomotrice ; elle se déduit physiologiquement
érieur et du releveur de la paupière supérieure sont placés dans la zone psychomotrice. PATHOLOGIE MENTALE. LES MÉLANC
ovaires ne sont pas dou- loureux à la pression. Il n'existe pas de zones hystérogènes. Il n'y a pas d'hypertrophie gangl
ions de la peau ne paraissaient pas altérées et même, au niveau des zones myxoedémateuses, la peau ne présentait pas cett
des altérations de leurs parois. Il existe en même temps plusieurs zones de ramollissement au niveau de la région pariét
à l'étude des tumeurs de l'ancé- phale. Trois faits de tumeur de la zone rolandique ; un cas de tumeur de la base du crâ
es qui ne fera pres- que jamais défaut et souvent la présence d'une zone hystérogène. Après l'attaque d'apoplexie, due à
e relative, la présence dans le domaine de la cinquième paire d'une zone hypéresthétique hystérogène et la terminaison h
froid. , Dans la première, le symptôme n'est pas limité à certaines zones , mais disséminé aux extrémités des membres et a
norrhéiques : aussi a-t-on donné à ces deux localisations le nom de zones génitales. L'auteur a pu observer un grand nomb
à trajets complètement isolés. Le progrès ulté- rieur en a lieu par zones ou par trousseaux. L'écorce se compose donc de
en a lieu par zones ou par trousseaux. L'écorce se compose donc de zones sjoëcMt/e embryogéniques dont chacune est carac
pres quant aux communications conductrices. Il y a ainsi quarante zones corticales et peut-être plus. Deux nouveaux cen
ieuse à un ouvrage d'ensemble sous presse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la zone motrice de Charcot (les a
nsemble sous presse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la zone motrice de Charcot (les ascendantes), la zone 5
zone 1 reste toute la zone motrice de Charcot (les ascendantes), la zone 5 constituant le territoire visuel de Vialet (c
coin et partie connexe postéro-inférieure du lobe occipital). Ces zones , d'après l'époque de leur développement, doivent
s moyen) ; les circonvolutions transverses du lobe temporal; toutes zones cons- tituant des centres sensoriels primaires.
rontale ; le pied de la troisième frontale ; le gyrus subangulaire ( zone 13, entre la deuxième temporale et les occipi-
tiers antérieur de la première temporale etc., qui ne sont que les zones mar- ginales de centres sensoriels, mais sont a
uvelles recherches, la première frontale se com- poserait de quatre zones corticales, la troisième frontale, de trois zon
oserait de quatre zones corticales, la troisième frontale, de trois zones . La partie triangulaire de celle-ci appartiendrai
s sensoriels primordiaux. La deuxième pariétale comprendrait quatre zones ; une, petite, tout à fait antérieure, serait p
serait placée dans l'opercule (centre sensoriel secon- daire) ; une zone postérieure formerait une voie de passage à la
érieure formerait une voie de passage à la deuxième occipitale; une zone , contiguë au tiers moyen de la pariétale ascend
ourbe. Celle-ci seule serait un territoire terminal ; toutefois, la zone qui forme la plus grande partie du lobule parié
s territoires terminaux. L'avant coin serait décomposable en quatre zones corticales, dont un territoire ter- minal qui,
inal qui, généralement, appartiendrait un gyrus fornicatus, et deux zones marginales. L'insula aussi serait de quatre zones
rnicatus, et deux zones marginales. L'insula aussi serait de quatre zones , dont l'une, sorte de transition entre les terr
ses, qui est placé immédiate- ment à côté des ascendantes. Chaque zone corticale tire son caractère de l'ordonnancement
re de l'ordonnancement de la myélinisation. Dans telle catégorie de zones , ce sont les fibres de projection qui commencen
ont les fibres d'association ; ce qui permet déjà de distinguer les zones en centres de projections et en centres d'asso-
iation (notamment en ce qui concerne le corps calleux). Dans aucune zone il n'y a genèse simultanée des deux catégories
ent nulle part les premières ; elles ne se myélinisent que dans les zones corticales déjà munies de conducteurs sensibles
liniques. M. Flechsig admet cependant des variétés individuelles de zones corticales embryogéniques, des types inverses d
insignifiante par la substitution aux dénominations ayant cours des zones cor- ticales embryogéniques composantes. Le r
mais sous réserve d'autres examens plus complets et plus finis des zones embryogéniques. Les territoires terminaux ont,
rties d'un territoire primordial, ou des centres sensoriels à leurs zones marginales. Mais, à côté de cela, il n'est pas ra
de la sphère visuelle, envoyer concurremment des conduc- teurs à la zone 39 (pli courbe et partie supérieure de la premièr
, tout petit, reçoit beaucoup de fibres corticofuges(Koelliker). Le zone 39, qui correspond prin- REVUE DE THÉRAPEUTIQ
aiment possible de consi- dérer les conducteurs en rapport avec ces zones comme des fibres de projection ? Les fibres du
ce telle que des toxines non éliminées suffisent pour exciter les zones épileptogènes. Telle est aussi l'avis de M. L.-W.
jà, des troubles syringomyéliques de la sensibilité au-dessus de la zone de l'anesthésie complète dans un cas de myélite
esthésie, elle disparut rapidement au commen- cement dans certaines zones , mais depuis elle s'est fixée à d'autres et exi
sque totalement disparu de la surface de la jambe, excepté dans une zone étroite située dans sa partie posté- rieure qui
es des deuxième et troisième couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho- motrices, une atrophie dégénérative plu
L'examen de la sensibilité cutanée fait constater la présence d'une zone d'hyperesthésieà la face dorsale de l'avant-bras
e d'hyperesthésieà la face dorsale de l'avant-bras gauche, et d'une zone d'anesthésie, de la largeur de la main, à la régi
ns de plusieurs tours d'une très longue ficelle. Il n'existe pas de zone hystérogène. Le champ visuel est notablement ré
mes permettant de conclure à l'existence d'un caillot comprimant la zone rolandique droite, M. Pluyette applique sur ce po
erne de la dure-mère et les os crâniens ; il comprime et aplatit la zone rolandique droite, d'où hémiplégie de tout le c
ite. Hémorragie iiiti,,i-ai,achizoïdie2ziîe. Hématome comprimant la zone rolandique gauche. F. F..., cinquante et un ans
ort. Autopsie. La face interne de la dure-mère correspondant à la zone rolandique de l'hémisphère cérébral gauche, est t
53 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la moindre sensation. Au membre inférieur, il exisLe trois petites zones sensibles, situées l'une à la partie anté- rieu
troisième au 10 PATHOLOGIE NERVEUSE. niveau du creux poplité. La zone anesthésique se termine brus- quement à la raci
i soit appliquée directement contre le pavillon de l'oreille ; 4° Zones hypéresthésiques. Il en existe trois : au niveau
bilité montre une anesthésie complète du membre supérieur droit. La zone insensible s'étend jusqu'à la moitié de la clav
tie postérieure de la jambe. Anesthé- sie du côté gauche delà face. Zones hypéresthésiques au niveau de la fosse iliaque
complète au tact et à la chaleur et absolue à la dou- leur, avec zones hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des tr
parésiés, se terminant brusquement à la racine des membres; tics zones d'hypéresthésie au niveau des fosses iliaque dr
au niveau du bord externe des cornes pos- térieures, on trouve des zones dont le tissu est aminci, raréfié, mais dontla
tral6., 1886.) Observation de dégénérescence primitive de certaines zones du système de conductibilité motrice ou cas pur
bande dégénérative parlant du centre de cette lésion, traversant la zone correspondante du centre ovale, irradiant dans
t fait entrer en fonction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la zone motrice. La région de l'écorce plus en dedans d
enne de la i" originelle. (Klle ne se confond pas davantage avec la zone du facial (Ilitzig - Ktilz - Ecl : larcl); clu'il
le de la salivation. Quant à l'excitabilité électrique des diverses zones du cerveau selon les espèces animales, M. Becht
des sens et du mouvement complètement développés. Dans chacune des zones correspondantes on voit des cellules nerveuses
ts du cerveau ne se montre qu'après que les fibres nerveuses de ces zones se sont revêtues de substance, de manchons de m
IEHEN. (Arch. r Psych., XVIII, 1.) On extirpe chez deux chiens la zone qui commande au mem- bre antérieur gauche, chez
n'existe pas de connexion, du moins de connexion directe, entre la zone corticale motrice, au moins des deux régions sus-
ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE, REMARQUES SUR deux ZONES du BULBE; par L. DARH5CIIER'ITSCII et L. ),'liEUD
de Goll à l'extrémité inférieure. En ce qui concerne le Bulbe, sa zone ou champ externe contient, à part le reste du c
du noyau de Deiters part la racine ascendante de l'acous- tique. La zone ou champ interne du bulbe, limitée par le raphé e
tudinales qui, par les fibres arciformes, viennent des noyaux de la zone ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce
ù les fibres radiculaires viennent pénétrer dans corne postérieure ( zone d'entrée mdiculllÍ1'e de Westphal) a été respec
cté exclusivement du côté droit. Donc c'est à l'altération de cette zone qu'est due la disparition du phénomène du genou ;
constate à la suite de l'accou- chement une paralysie limitée à la zone de distribution du sciatique poplité externe, o
de la façon suivante : 10 Sensibilité ci la douleur. Il existe une zone d'analgésie com- mençant au-dessous de la tête
sibilité au tact. Elle est conservée dans une étendue- ].'Ig. Il. - Zone d'analgésie chez le malade de l'Observation VII.
cédent. Bien qu'elle n'existe pas, on ne peut nier Fig. 1>. - Zone d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la
reporter aux schémas joints à l'OBSERVA- TION VU, on verra que la zone d'anesthésie correspond exac- tement à la zon
U, on verra que la zone d'anesthésie correspond exac- tement à la zone de distribution du sciatique poplité externe et
erne). SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 173 cependant que la zone cutanée du musculo-cutané est restée indemne. O
veuse, exiger que l'anesthésie soit exactement super- posable à la zone de distribution que l'on voit sur les schémas r
pied droit et de la demi- circonférence externe de la jambe droite ( zone sensitive du scia- tique poplilé externe) et un
la sensibilité, le membre inférieur droit doit être partagé en deux zones d'étendue iné- gale : la première, qui comprend
rdives, est le ramollissement. Il siège presque toujours dans les zones motrices soit au niveau des circonvolutions, so
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. · LUI. Contribution A la théorie DES ZONES épileptogènes ; par E. A. HontÉN. (Centralbl. f
ière et la portion contiguë du nez sous l'oeil. En pressant sur une zone située au-dessus et en avant de l'oreille gauch
les doigts, principalement du côté gauche. - Donc, il s'agit d'une zone épileplogène nette sans cause périphérique avec
ua un peu, quoique pour peu de temps, le pouvoir épileptogène de la zone et le nombre des accès. P. Keraval. LIV. DE la
e dans la région verté- brale, au niveau de la sixième dorsale, une zone d'hyperesthésie qu'il suffit de presser, même s
ne sphère liquide, à cette seule dif- férence que quelques-unes des zones correspondantes à celles de la rétine optique o
les de tous les autres nerfs rachidiens sensitifs au niveau de la zone radiculaire postérieure de Charcot; et c'est de
la bande diagonale, qui n'est qu'un faisceau destiné à raccorder la zone radiculaire aux différents étages de l'axé nerv
a pu arriver à un accord remarquable sur le lieu et l'étendue des zones respectives. Dupuy2 a regardé la diffusion extrap
laplus externe et la plus postérieure ducordon postérieur; puis, la zone dégénérative gagne les libres de la racine post
sceau de Goll ; la section des racines du plexus brachial forme une zone dégénérative qui 428 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
r rappelle ses travaux au sujet du système des fibres propres de la zone limitante de la substance blanche (trousseau d'
t superficiel des deux circonvolutions postérieures de l'insula. La zone de dégénérescence porte surtout sur la partie l
54 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pertes de connaissance, ni crises convulsives ; on ne re- trouve ni zones hystérogènes, ni anesthésies cutanées, ni rétré
; par contre les cellules de la corne postérieure droite et de la zone intermédiaire du même côté présentaient des lésio
ion de la lésion au centre visuel ou aux fibres qui l'unissent à la zone calcarine, le centre auditif ou ses voies d'acc
-même, par sugges- tion d'un état psychique gai, par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l'état ment
difiant l'état mental dans le sens du rire, enfin par excitation de zones spasmogènes spéciales à l'attaque con- vulsive
t est plus régulier. La face interne du la dure-mère est marbrée de zones colorées en ocre clair, dues à des c.r()'ttua.s
lité normale tant pour la finesse que pour la localisation ; aucune zone d'anesthésie, ni d'hyperesthésie ; aucune doule
eu. Souvent les mouvements sont très lents. Il se peut aussi que la zone réflexogène monte jusqu'au pli fessier et descend
jambe, on obtient la flexion plantaire du pied et des orteils ; la zone ré- flexogène peut en ce cas partir de la cuiss
nfer- ment deux espèces de libres descendantes, des libres courtes ( zone de dégénérescence en virgule) et des fibres lon
courtes (zone de dégénérescence en virgule) et des fibres longues ( zone de dégé- nérescence ovale), d'où viennent ces l
ourrait toutefois que quelques-unes de ces fibres.pénètrent dans la zone en virgule, mais ce n'a pas encore été démontré
du nerf, qui n'est jamais réalisée à la périphérie, existe dans la zone corticale du cerveau et l'auteur dresse des tab
sont assez nullement localisées. Nous n'avons pu délimiter aucune zone cutanée (l'anesthésie ou d'hyperesthésie : pas
iter aucune zone cutanée (l'anesthésie ou d'hyperesthésie : pas de, zones Itystérogèncs. La sensibilité con- jonctivale e
igine se- rait une excitation partie de l'utérus et transmise aux zones motrices de l'écorce cérébrale. Le rôle de' la gr
calotte sur les noyaux de la 3e paire et côtoyé à sa gauche par une zone de ramollissement qui, dépassant le ruban de It
de tout un côté de la face. 11 s'agit surtout d'une hyperplasie de zones mésodermiques avec participation de diverses po
par contre, l'anesthésie cutanée est presque complète, il part deux zones d'hyperesthésie (oculaire et ovarienne). Le blé-
u pariétal gau- che qui fut perforé. 11 en résulta la section de la zone motrice de la capsule interne gauche avec hémip
étendue à tout le cordon antéro-latéral, épargnant, d'une part, une zone marginale latérale correspondant aux faisceaux
nt la couche propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur, une zone en dégénérescence graisseuse se montre qui forme
einules enflammées et considérablement dilatées. Dans une troisième zone , l'inflammation se poursuit, caractérisée surto
enant à leur centre des amas de leucocytes. Enfin, une der- nière zone nous montre des éléments nerveux plus ou moins
nées, rassem- blées en plus grand nombre autour des vaisseaux. La zone externe, zone d'irritation,large, mais mal délimi
blées en plus grand nombre autour des vaisseaux. La zone externe, zone d'irritation,large, mais mal délimitée. est par
existants, il reste des traces plus manifestes que dans la deuxième zone : des fibres myéli- niques abondantes en voie d
ment gonflés et fragmentés.Enfin Friedmann ajoute (page 511) une 4e zone , plus extérieure où le tissu fonda- mental névr
fondie de l'histologie de la paroi de l'ab- cès. Il lui reconnaît 3 zones : 1° l'abcès, composé de leu- cocytes polynuclé
cès, composé de leu- cocytes polynucléaires fortement tassés; 2° la zone de la capsule formée de deux couches : l'une in
allèles, fortement tassées et pauvre en vais- seaux; - 3° enfin une zone d'irritation, où le processus irritatif frappé
peut avec Kôlpin, reconnaître à la paroi de l'abcès cérébral trois zones principales : une zone interne granuleuse, une
ître à la paroi de l'abcès cérébral trois zones principales : une zone interne granuleuse, une zone moyenne d'organisa-
cérébral trois zones principales : une zone interne granuleuse, une zone moyenne d'organisa- tion défensive, une zone ex
nterne granuleuse, une zone moyenne d'organisa- tion défensive, une zone externe d'irritation. I. La couche interne, gri
eulement dans la partie la plus externe. Dans les points où cette zone interne occupe une ré- gion normalement riche e
modes de disparition de la cellule nerveuse. II. A cette première zone , granuleuse, en succède une seconde moyenne, ca
rants, extrê- mement pauvres en noyau. La seconde couche de cette zone est caractérisée,com- me l'a bien indiqué Kôlpi
és de sang. et entourés d'un manchon diapédétique. Dans toute cette zone , sur les coupes favo- rables, on peut reconnaît
la neuronophagie : la chroma- tolyse est plus fréquente que dans la zone précédente. L'étendue de cette zone moyenne, vé
est plus fréquente que dans la zone précédente. L'étendue de cette zone moyenne, véritable paroide l'ab- cès est assez
face interne, mais différenciée sur sa face externe, avec ses deux zones , nettement et par- tout reconnaissables. Elle c
lle circonscrit de toutes parts l'abcès. III A la limite de cette zone externe, il existe une zone de transition,zone
s l'abcès. III A la limite de cette zone externe, il existe une zone de transition,zone d'irritation de Iioeplin, cara
A la limite de cette zone externe, il existe une zone de transition, zone d'irritation de Iioeplin, caractéri- sée surtou
ue diapédétique. Mais il n'y apas l'in- filtration embryonnaire des zones précédentes. Les cellu- les nerveuses sont norm
l'abcès. Cependant Westphal, dans son observation II, décrit une zone névroglique ; mais pour lui, elle ne prend pas
qui présentent la même architecture générale que ceux- ci. Dans la zone moyenne, les fibrilles névrogliques sont d'abor
ment disposées en réseau lâche et ténu à la partie interne de cette zone , puis- se tassent en couches parallèles à mesur
assent en couches parallèles à mesure que l'on se rapproche de la zone externe, suivant exactement la disposition que no
n différente des fibrilles névrogliques dans les deux couches de la zone moyenne, son parallélisme avec la disposition d
55 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
, le syndrome de Brow- Séquard comprend en outre : a) Une étroite zone d'azestlzesie placée à la limite supérieure de la
a) Une étroite zone d'azestlzesie placée à la limite supérieure de la zone d'hyperesthésie du côté de la lésion (111. I. B
d'hyperesthésie du côté de la lésion (111. I. B). Quelquefois, cette zone d'anesthésie est elle-même surmontée d'une étro
eresthésie. Inversement, il arrive que, du côté opposé, une étroite zone d'hyperes- thésie confine à la limite supérieur
t à la fois les diverses manières d'être de la sensibilité. Dans la zone susdite, le malade était à la fois insensible a
de froid. Toutefois, vers les parties les plus périphériques de la zone d'anesthésie, il y avait seulement hypoesthésie a
D'autre part,la moindre pression exercée sur les mus- cles, dans la zone d'anesthésie superficielle, était très bien perçu
face postéro-eaterhe du bras, on notait de l'liypoestliésie dans une zone élroile,triangulaire,qui correspondait la la zo
stliésie dans une zone élroile,triangulaire,qui correspondait la la zone d'innervation deramuscules provenant des 3e et
onnienne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la zone motrice, et particulièrement de la couche des g
ice, et particulièrement de la couche des grandes cellules de cette zone . Si donc le syndrome est fréquent dans les méni
es, les méningo-encéphalites, bref dans les lésions intéressant les zones les plus superficielles de l'écorce, il manque
formation néoplasique. De plus, les tumeurs situées en dehors de la zone rolandidueaccusentsurtout leur présence par (1)
cicatricielle une sensation de froid et de douleur assez vive. Cette zone de douleurs subjectives occupe la cicatrice, la
i- ble de se coucher sur le côté gauche et sur le dos. Dans cette zone le frôlement léger de la peau n'est pas douloureu
ple pli fait à la peau réveillent les mêmes phénomènes. Mais ici la zone d'hyperesthésie est beaucoup plus étendue et co
peresthésie est beaucoup plus étendue et correspond à peu près à la zone des douleurs spontanées. Si on pratique, dans c
ais me trouver mal. » Et effectivement il s'agit là d'une véritable zone hysté- rogène, capable de provoquer une crise.
hysté- rogène, capable de provoquer une crise. En dehors de cette zone hyperesthésique, la sensibilité générale et spé
ses, à peine accentuées au niveau du cordon antérieur (sauf dans la zone limitante) et du faisceau de Gowers. Le faiscea
forme d'une bouteille il goulot allongé. . Suivant les hauteurs la zone radiculaire postéro-interne est ou non inté- re
Enfin dans la région lombaire, c'est encore de part et d'autre de la zone médiane que les lésions sont prédominantes dans
rtent sur- tout sur la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure. Elles sont d'ailleurs,
- ceaux antéro-latéraux (faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, zone li- mitante de la moelle en général). Les auteu
ansformée en un fin ré- seau d'aspect particulier; plus rarement la zone de dégénérescence péri- phérique est granuleuse
itués autour du noyau, constituant une sorte d'éperon en face de la zone d'émission des expansions protoplasmi- ques pri
e l'hypoesthésie, dans une étendue correspondante, sans compter une zone d'anesthésie contiguë au rebord des fausses côt
e passant par la 7e vertèbre dorsale ; à sa limite supérieure cette zone d'hyperesthésie était bordée par une étroite band
t au même niveau que l'hyperesthésie du côté droit, il existait une zone d'anesthésie, bordée en haut par une étroite band
ésie, la conservation du sens musculaire était intacte et une large zone d'anesthésie au tronc s'étendant de la 40e il la
ation de la température locale. De plus, à sa limite supérieure, la zone d'anesthésie était bordée par une étroite bande d
it périphérique par rapport à celui de l'extension. Dès lors, si la zone spinale cubitale est envahie, la lésion retenti
isième, radio-tabétique, caractérisé par l'atrophie des muscles de la zone radiale, griffe de flexion, et s'accompagnant d
ers l'oreille et vers la région parotidienne suit rigoureusement la zone d'innervation de la branche nerveuse auriculaire
la région supérieure de l'épaule, vers le trapèze, appartient à la zone d'émergence des branches sus-acromiales. Un seu
Observation II. Noevlls vasculaire veineux plan développé sur la zone d'innervation du plexus cervical superficiel dr
aviculaire Fig. 2. - Nævus vasculaire veineux plan développé sur la zone d'innervation du plexus cervical droit. 268 G
suivant plus ici le trajet des branches, mais intéressant toute la zone d'innervation. Nous la voyons, en effet, occupe
ordant légèrement sur la muqueuse, mais laissant indemne une petite zone triangulaire interne. Entre ce prolongement lab
'à la base de l'aile du nez. Au point de vue de la distribution des zones d'innervation, ce nmvus occupe donc les territo
mposées par des intervalles de peau saine. Ces taches occupent la zone d'innervation cutanée du maxillaire supé- rieur
, et de 8 cent. 1/2 en dedans. Ce naevus correspond exactement à la zone d'épanouissement de la bran- che postérieure ré
orie de Boerensprung faisant dépendre la répartition des nævi de la zone d'innervation cutanée, Alexander objecte encore q
veau de ces lignes de démarca- tion, mais au contraire bien dans la zone d'innervation d'un groupe ner- veux anatomiquem
grande étendue des lésions les place manifestement en dehors de la zone anastomotique. En opposition avec cette théorie
un nerf, ou son trajet; 2° Ceux dans lesquels le noevus occupe la zone intermédiaire entre deux territoires nerveux vo
ps cellulaire est représenté par une cellule pyramidale eps de la zone psycho-mo- trice de l'écorce cérébrale, et dont
également-que du côté de l'hémisection, la limite supérieure de la zone d'hyperesthésie dépasse la limite supérieure qu
56 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
e hauteur supérieure à 300 mètres, c'est-à-dire qu'il circule dans la zone comprise entre la surface de la terre et la courb
e savez, à susciter isolément la mise en activité des fonctions de la zone solandique par la percussion ou la pression des p
'entend qu'à peine; B... est encore aphone. Percussion à gauche de la zone crânienne correspondant a un point de l'écorce si
», il lui rend la faculté d'écrire en pressant le cuir chevelu de la zone crânienne correspondant au centre d'Exner. Inut
r Rainaldi, qui suit ici une troisième théorie, c'est en percutant la zone correspondante au lobule pariétal supérieur (P1)
haryngien est aboli. Le réflexe rotulien est aboli. On trouve une zone assez étendue d'anesthésie cutanée sur le devant
ine et un pou à droite, tandis que sous le sein gauche, on trouve une zone qui paraît hyperesthésiée. Je dis qui parait, car
à la rotule et la base au milieu do la cuisse. Un peu au dessus, une zone plus petite où la sensibilité est simplement reta
antes : 1° Le cercle d'expansion du rouge rétinien est égal à celte zone de la rétine à l'intérieur de laquelle sont éprou
sente des troubles de la sensibilité, consistant surtout en certaines zones d'hyperes-thésie cutanée. A l'état de repos, il a
confiée s'ingénia par diverses manœvres, telle) que l'excitation des zones hystérogènes, puis l' application de l'aimant à p
es cris de douleur. Le champ visuel est rétréci à 45 degré;. Pas de zone hystérogène ou hypno-gène. On constate un tremb
e la malade a eues ont été peu nombreuses, mais bien accotées; pas de zones spasmogènes ni d'aura. Marie P... s'endort en t
tôt se déclare un accès très prononcé. Nous n'avons pu découvrir de zone spasme— frénatrice, de sorte que l'accès, une foi
Par M. le Dr CROCQ Fils. de Bruxelles. Suite et fin (1) 11. — DES ZONES HYPNOGÈNES. Charcot et Richer ont observé que l
e cette question : « Je désigne, dit Pitres, sous le nom générique de zones hypnogènes. des régions circonscrites du corps, d
ent à l'état de veille, les sujets préa-lablement hypnotisés ». Les zones hypnogènes peuvent se rencontrer, d'après l'auteu
D'après la nature des effets qu'elles provoquent. Pitres a divisé ces zones en hypnogènes proprement dites et en hypno-frénat
sommeil, les autres le faisant cesser brusquement. Dans le groupe des zones hypnogènes proprement dites, il distingue : (1)
rement dites, il distingue : (1) Voir le numéro précédent. 1° Les zones hypnogènes simples qui, comprimées à l'état de ve
t de veille, déterminent invariablement une phase constante. 2° Les zones hypnogènes à effets successifs dont la compressio
successivement lieu à des phases de plus en plus profondes. 3° Les zones hypnogènes a effets incomplet», dont la compressi
de veille, mais peut modifier les phases du sommeil hypnotique. Les zones hypno-frénatrices sont également divisées en troi
l'hypnotiseur peut se suggestionner lui-même; ces recherches sur les zones hypnogènes sont excessivement intéressantes, mais
Pitres qu'après avoir fait des recherches personnelles. Fig. 28. — Zones hypnogènes de Anna M.. Dans les quatorze observ
avons rapportées au chapitre I, nous avons recherché chaque fois les zones hypnogènes et voici ce que nous avons observé : d
ier cas. chez Jeanne U..., Jean S... et Mme M..., il n'y avait aucune zone qui, comprimée, amenait le sommeil; mais dans la
es : deux aux bosses frontales et un au vertex ; Julie M... avait une zone hypnogène très étendue mais unique, allant des ar
res des seins, ovaires, régions poplitées. plis du coude. fig. 29 — Zones hypnogènes de Marie P... Louise T... en présent
uinales, parties externes des cuisses. Adrienne C... n'avait aucune zone hypnogène; Joséphine D... en avait trois : deux a
dessus de la rotule gauche et un dans l'aisselle gauche. Fig. 30. — Zone hypnogènes de Louise T... Dans d'autres cas enc
ous avons obtenu des résultats analogues ; toujours nous avons vu des zones hypnogènes simples, jamais nous n'avons observé l
vons vu des zones hypnogènes simples, jamais nous n'avons observé les zones à effets successifs ni les zones a effets incompl
les, jamais nous n'avons observé les zones à effets successifs ni les zones a effets incomplets ; nous ne pouvons affirmer la
nous ne pouvons affirmer la réalité de ces deux dernières espèces de zones parce que nous avons pris pour ligne de conduite,
ouver bientôt un cas qui nous enlève nos derniers doutes. Quant aux zones bypno-frénatrices. nous n'en avons vu qu'une fois
yant sur l'ovaire droit la malade se réveillait: ici encore c'est une zone hypno-frénatriée simple, les deux autres variétés
mportant, c'est qu'on rencontre fréquemment chez les hystériques, des zones circonscrites dont la pression provoque le sommei
sujet sans qu'il le sache ou sans qu'il le veuille, en comprimant ces zones hypnogènes. Pitres s'est posé cette question et v
épondre avec certitude à cette question, les expériences fig- 31. - Zones hypnogènes. d'Alice V... du laboratoire sont sa
Joséphine D..., on peut facilement se convaincre que la pression des zones hypnogènes peut endormir le sujet sans qu'il le s
le veuille. Lorsque nous avons recherché pour la première fois les zones hypno- gènes de Joséphine, elle ne savait pas c
pouvons éviter les doutes de Pitres, et déclarer que la pression des zones hypnogènes est capable d'endormir le sujet sans q
semblables. Comme précédemment aussi, si nous enlevons l'objet de la zone sensible, le sujet ne ressent pas les piqûres.
s les divers états hypnotiques, 329 et suiv. Fig. 28, 29, 30. 31. — Zones hypnogènes, 354 et suiv.
57 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
noyau et les granulations protoplasmiques. La loca- lisation de ces zones mortifiées à la partie supérieure de la glande in
e l'endocarde. Le myocarde paraît normal ; cependant, au niveau des zones sous-endocardique et sous-péricardique, il est
ossède une épaisseur normale ; au-dessous de la capsule, existe une zone fortement pigmentée, assez épaisse, faisant régul
, assez épaisse, faisant régulière ment le tour de l'organe : cette zone , examinée à un grossissement suf- fisant, paraî
en déplaçant de quelques millimètres la préparation on passe d'une zone peu altérée à une autre dont les lésions sont bea
- rité que dans les gros nerfs du creux axillaire, c'est-à-dire des zones où les fibres nerveuses raréfiées sont entourée
nt légèrement épaissis ; les veines sont plutôt congestionnées. Les zones d'entrée des racines sont partout bien colorées,
s racines sont partout bien colorées, d'aspect normal, ainsi que la zone de Lissauer et les fibres collatérales, très abon
e antérieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la zone motrice de l'encéphale est le siège de l'affect
quem- ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehors de la zone motrice. Si on ajoute qu'à ce moment, des obser
ypothèse que les foyers de méningo-encépha- lite, localisés dans la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau cli
ue temps l'oedème apparaissait, débutant, comme la douleur, dans la zone primitivement lésée et devenant plus ou moins rap
l'influence de cette réaction du sympathique que s'établit dans la zone lésée une transsudation exagérée de la lymphe dan
res ; puis, au delà de cette première gaine lamelleuse commence une zone de tissu conjonctif fibreux moins dense dont le
est moins épais dans les régions supé- rieures du thorax et dans la zone sous-claviculaire. Les seins très développés, a
plusieurs mois est actuellement cicatrice ; on trouve à sa place une zone cyanosée arrondie de 7 il 8 centimètres de diam
ssant une pointe en arrière qui va sectionner quelques fibres de la zone réticulée et détruire la partie tout il fait po
ban- donnent des branches collatérales et vont se terminer dans les zones péri- phériques de la substance grise (1). Eh b
ses dans le domaine des artères postérolalérales. Le champ ventral ( zone cornicommissurale de P. Marie) et les parties des
mminente, pour l'opium comme pour le haschich. Aux confins des deux zones , opium et haschich se combinent d'ailleurs, com
e, dans un premier territoire, comprenant la face, et en arrière la zone de distribution de CI et de C2, les troubles sens
erreurs dans la reconnaissance du chaud et du froid. Une seconde zone , où les troubles sont plus marqués, comprend en a
ntensité de ces troubles diviser la moitié droite du corps en trois zones bien distinctes. A gauche il n'existe qu'une band
emarquera que la dissociation syringomyélique n'existe que dans les zones très limitées (moitié de la tête à droite, territ
une disposition ra- diculaire, variable avec les régions : dans une zone comprenant les 2° et 3e racines cervicales, la
té droit de la moelle cervicale, une lé- sion syringomyélique de la zone sensitive qui, peu intense en Ci, l'est davanta
ondant de la moelle la lésion se propagea gauche où elle atteint la zone sensitive. Voici donc bien établie l'existence
qui entourent les vaisseaux) et des vacuoles. Puis vient une large zone d'araignées gonflées, semées très régulièrement d
, d'un feutrage de grosses cellules araignées-. En dehors vient une zone contenant des vacuoles et des placards amorphes
us ; dans le reste de son trajet, le cubitus n'apparaît qu'en trois zones représentées par trois surfaces arrondies, de l
trois surfaces arrondies, de la dimension d'un petit pois ; ces trois zones osseuses siègent, l'une au milieu de l'os, les
rcussion du thorax faite postérieurement du côté droit, on note une zone de matité qui s'étend de l'épine de-1'omoplate et
late et descend en bas à côté de la colonne vertébrale. Sur cette zone on n'entend ni le frémissement vocal, ni le murmu
e frémissement vocal, ni le murmure respiratoire,en dehors de cette zone d'obscuritéle son est nettement tym- panique, t
to-diaphragmatique du même côté. Dans le diamètre transversal cette zone , qui a un profil bien net, occupe toute la larg
seaux. On ne peut saisir aucune pulsation dans les limites de celte zone ; à gauche on peut voir les contractions du ven
gie avec ceux observés par Hblder et par Rosenheim, on constata une zone de matité tout le long de la colonne vertébrale
, aussi bien que dans les deux cas de Hôlder et de Rosenheim, cette zone de matité allait en augmentant de haut en bas.
ous nous dirigeâmes vers les iles Seychelles, afin d'entrer dans la zone du calme ; mais nous ne trouvâmes pas la bonace
celte rareté qui a fait nier par Weigert leur pré- sence dans cette zone . Dans la substance blanche il y a de gros aslrocy
che LXI. Dans la figure 1 toute la couche moléculaire, y compris la zone des cel- lules de Purkinje, est le siège d'une
itue la couche des grains dans toute son épaisseur et s'étend de la zone des cellules de Purkinje à la substance blanche
Cependant elles ont une tendance très marquée à prédominer dans les zones lesplus internes des circonvolutions semi-lunaire
vent dans la substance blanche autour du noyau dentelé. Ce sont les zones de prédilection, mais les plaques et les lacune
endance à la formation lacunaire est nulle. Là tout au contraire la zone de sclérose atrophique est toujours très limité
s de Purkinje le réseau névroglique est particulièrement dense ; la zone des grains et la substance blanche se recon- '
trice. La région frontale pouvait être soupçonnée aussi bien que la zone des circonvolutions pariétales. Or, l'autopsie mo
aucun trouble appréciable. La percussion du crâne ne révèle aucune zone douloureuse. Les réflexes rotuliens sont très v
dante, énucléable en quelque sorte. Elle s'étend en avant jusqu'aux zones rolaiidiqlies. La faux du cerveau très épaissie
nairement déformés. 370 SOUQUES Le siège de cette tumeur dans une zone silencieuse explique la longue absence de tout
e de tout symptôme localisateur. Son étendue jusqu'au voisinage des zones rolandiques rend compte de l'hémiplégie bilatéral
e, la cavité est limitée par l'épithélium épendymaire recouvrant la zone névroglique. Dans tous les segments dans lesque
s, un peu nerveuse, a son attention attirée le 18 mars 1907 par une zone douloureuse siégeant au-dessus de l'oei) droit.
ecchymotique générale et surtout les placards violacés, et aussi la zone douloureuse, occupent très nettement le territoir
eau de la substance cérébrale à laquelle elle adhère par une petite zone de un millimètre d'épaisseur présentant un fin pi
t re- marquer que ces exostoses, développées de bonne heure dans la zone d'ac- croissement tenant à la diaphyse, ont été
58 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
du tronc y compris le bras droit. Dans chaque flanc il existe deux zones pseudo-ovariennes hypresthésiques; de même on c
ux zones pseudo-ovariennes hypresthésiques; de même on constate une zone profonde de même nature au niveau de la 6 NOUVE
ettent d'en faire un accident hystérique et de la classer parmi les zones hyperesthésiques et hystérogènes. C'est ce que
La sensibilité au tact et à la température est altérée dans les mêmes zones et de la même façon que la sensibilité à la dou
à la hanche gauche un abcès gros comme une noisette, entouré d'une zone enflammée, rouge, large comme la paume de la main
s la profondeur du membre et les douleurs à la pression il existe une zone d'anesthésie (figure 34), comprenant en bas la
au niveau de la jonction du tiers moyen avec le tiers supérieur. La zone d'anesthésie présente un abaisse- ment notable
ésente aucun trouble du mouve- ment. Sensibilité. Au niveau de la zone d'anesthésie qui existait à la face dorsale du
, sensation dont les limites sont exacte- ment celles de l'ancienne zone d'anesthésie. La sensibilité à la piqûre est en
ié interne de cette face antérieure, et le bord interne du pied. La zone d'innervation du nerf saphène interne et celle de
ers supérieur de la jambe. Dans les deux tiers inférieurs, ces deux zones sont séparées par une troisième zone à sommet a
ux tiers inférieurs, ces deux zones sont séparées par une troisième zone à sommet angulaire, zone qui va en s'élargissant
deux zones sont séparées par une troisième zone à sommet angulaire, zone qui va en s'élargissant jusqu'au niveau de la p
cuper la moitié interne de la face supérieure du gros orteil. Cette zone est innervée par le mus- culo-cutané et par le
par le nerf saphène externe. Examinons maintenant le tracé de la zone d'anesthésie de notre malade (fig. 37) : elle r
érieur. - F. Mus- culo-culanc ? G. Nerf saphène externe. FiG. 37. Zone d'anesthésie chez D. 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. tibial antérieur. Il est vrai que, dans cette zone d'anesthésie, se dis- tribuent aussi des fibres
domaine du tibial antérieur, on a constaté de l'anesthésie dans la zone où les fibres du musculo-cutané sont plus nombr
lus nombreuses que celles du tibial antérieur, c'est-à-dire dans la zone qui remonte à la partie antéro-externe de la jamb
antéro-externe de la jambe. Or, le malade a remarqué que dans cette zone , alors que l'anesthésie était le plus marquée,
e nerf, en sorte que les endroits sensibles dissé- minés dans cette zone d'anesthésie correspondaient aux plaques d'in-
seuls presque disparu et il n'existe plus, au niveau de l'ancienne zone d'anesthésie, qu'une sensation assez intense d'en
cularités suivantes (fig. 45, 46). Sur la face antérieure du corps, zone d'anesthésie totale à la piqûre, à la chaleur e
n- sible coupant transversalement les seins il leur partie moyenne. Zone d'hé- miancslhésie gauche, descendant jusqu'au
blement plus petit que normalement. La recherche du thymus ou d'une zone de matité au niveau du sternum, suivant les ind
droit, où le malade perçoit à peine les piqûres d'épingle Mans une zone par- tant en bracelet au-dessus des malléoles e
nsibilité au, froid donnent les mêmes résultais; dans toute la même zone le malade perçoit il peine la différence entre
, sauf pour la région' externe de la cuisse droite qui présente une zone d'anesthésie (intéressant tous les modes de sen
s'étendant jusqu'à,la partie ex- terne et antéro-externe du genou, zone peu près verticale, large de trois ou quatre tr
ère période du mal perforant. Toutefois, il n'est pas entouré d'une zone anesthésiée. A cette même place se serait dévelop
inée à la maladie de Friedreich, 43, 44,47; schémas de sensibilité, zones hys- térogènes dans l' , 1, 2, 4, 5, 17, 18, 20
mbe, 36. Paralysie agitante (attitude dans la), 81, 82. Péroné ( zone d'anesthésie dans la fracture du), 37. Pied (
59 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
tie postérieure qu'en avant. A l'œil nu on aperçoit facilement deux zones de teinte différente ; la plus superfi-cielle est
topographique du cerveau et des localisations cérébrales. Ces deux zones sont séparées par un petit liséré blanchâtre dans
lanche désignée sous le nom de ruban de Vicq-d'Azyr (Pl. IV, 1). La zone superficielle de la substance corticale est const
ment les circonvolutions de l'étage inférieur du lobe occipital. La zone profonde de la substance grise corticale est form
référable de considérer cette couche corticale comme composée de deux zones , renfermant, l'une des cellules pyramidales, et l
aine de myéline; réduite à son filament axile, elle se porte vers une zone de cellules où elle s'épuise en se mettant en con
ette couche corticale offre à l'œil nu par sa teinte l'aspect de deux zones contiguës à peu près d'égale épaisseur; la plus s
onde est d'une coloration grisâtre, légèrement transparente. Ces deux zones sont constituées par des éléments cellulaires ide
aractères qui sont propres à la substance corticale du cervelet. La zone superficielle est formée par de la névroglie cont
es de 6 p. à 10 (a et de nombreux capillaires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de fibres nerveuses dirig
seule rangée les unes à côté des autres, à la limite supérieure de la zone profonde, sur laquelle repose le corps glo-buleux
t sous-jacente à la pie-mère (Microphotographie, Pl. B, fig. V). La zone profonde est constituée par de la névroglie, renf
se. Ces fibres se dépouillent de leur gaine de myéline, traversent la zone profonde; réduites à leur cylinder-axis, elles ga
ent la zone profonde; réduites à leur cylinder-axis, elles gagnent la zone superficielle, où elles entrent en combinaison av
grise corticale du cerveau {circonvolution frontale ascendante). a. Zone superficielle ou couche de cellules pyramidales d
ales de 25 ¡¿ à 40 ¡7. de grandeur, régulièrement stratifiées. b. Zone profonde ou couche de cellules fusiformes de 30 y
interne). a. Liséré blanc ou ruban de Vicq-d'Azyr, compris entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couche
u ruban de Vicq-d'Azyr, compris entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couches de substance grise sont for
mamillaire. Fig. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a. Zone profonde ou couche granuleuse. b. Substance méd
rkinje autour de la limite supérieure de la couche granuleuse. d. Zone superficielle ou couche rouillée, renfermant des
60 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a pas lieu de surprendre, étant donné le siège de la lésion dans la zone psychique du cerveau. Mais ce n'est que tardive-
cet hémisphère, autrement dit, le sillon de Rolando qui sépare les zones frontale et pariétale est rejeté en arrière, et
te grisâtre des circonvolutions envi- ronnantes. La palpation de la zone frontale permet de constater une augmentation d
substance blanche. Tout autour du tissu néoplasique, on observe une zone de ramollissement. t. Dans la deuxième coupe,
Cette tumeur blanc gri- sâtre, est limitée du côté interne par une zone de ramollissement beaucoup plus nette que dans
la substance grise. Du côté interne on voit à côté de la tumeur une zone d'infiltration, d'envahissement et en dedans de
infiltration, d'envahissement et en dedans de celle-ci une nouvelle zone de ramollissement. La quatrième coupe nous mont
aire, formant un nodule dur, rosé, séparé du noyau principal par la zone ramollie qui fait le tour presque complet de la
. Elle est de plus en plus rosée, un peu moins dure qu'au début. La zone de ramollissement englobe complètement le néopl
quelque sorte, isolée du restant de la substance cérébrale par une zone assez large de ramollisse- ment (fig. 3). 1%
mêmes caractères macroscopiques et est toujours entouré de la même zone de ramollissement, qui n'est très prononcée cep
et externe de l'hé- misphère. Elle est encore circonscrite par une zone de ramollisse- sement. Les diverses coupes qu
e qui n'avait pas encore acquis un grand dévelop- pement. Enfin une zone de ramollissement la séparait du restant de la
f. Enfin, et pour terminer, nous voulons attirer l'attention sur la zone de ramollissement que nous avons signalée autour
us avons signalée autour de la tumeur, sur toutes nos coupes. Cette zone était très nette, et en certains points mesurai
fût énucléable. Nous n'avons pas fait d'étude histologique de cette zone inté- ressante ; nous ne pouvons donc émettre a
de l'association des éléments acoustiques dans le centre même de la zone acous- tique, ce qui renverse la théorie de la
ylindre-axe échappent à la dégénérescence bien que plongés dans une zone sclérosée; l'identité de la lésion ne comporte
eltoïdiennes qui s'exaspère la la nuit. Hypoesthésie double dans la zone d'innervation des deux nerfs circonflexes. Exci
rdons latéraux, les altérations ont leur maximum de netteté dans la zone qui correspond à peu près aux faisceaux latérau
e des réflexes patellaires pourrait s'expliquer par la lésion de la zone d'entrée radiculaire de la moelle lombaire et d
, une dégénérescence circonscrite dans le corps restiforme, dans la zone où émergent les racines de l'acoustique. Pas de
cte dans la région lombaire le petit centre ovale de Flechsig et la zone marginale de Westphal. Les zones de Lissauer so
it centre ovale de Flechsig et la zone marginale de Westphal. Les zones de Lissauer sont fortement sclérosées. Dans la ré
ro-externe présente une sclérose un peu moins avancée, ainsi que la zone de Lissauer. Dans le bulbe on observe une doubl
insi que la zone de Lissauer. Dans le bulbe on observe une double zone de dégénérescence, l'une autour du noyau de Gol
e éten- due à toute leur hauteur. Au renflement lombaire, la petite zone de Flechsig et les zones de Westphal sont éparg
hauteur. Au renflement lombaire, la petite zone de Flechsig et les zones de Westphal sont épargnées. Au renflement cervi
Goll; la moitié antérieure contient encore des tubes disséminés. La zone radiculaire, moins fortement lésée que le cor-
iculaires, consistent dans une infil- l- tration embryonnaire de la zone externe ou de la paroi tout entière, régulièrem
ta- tion. Les coupes colorées à l'hématoxyline montrent que cette zone de destruction de la myéline est précisément en
ions portent contre l'hypothèse d'un foyer localisé au niveau de la zone excitable) ? L'apparition subite des accès épilep
: 1° chaque organe de la tête est en relation avec une ou plusieurs zones superficielles, tels sont le nez, l'oeil, etc., e
els sont le nez, l'oeil, etc., etc., et le cerveau lui-même; 2° les zones n'ont pas pour la plupart une élendue qu'on pui
destruction des différentes branches du trijumeau montrent que les zones de sensibilité ne correspondent pas à leur dist
u ; 7° il cherche enfin à localiser les connexions centrales de ces zones avec le système nerveux. Nous ne pouvons entr
combinant les différents diagrammes donnés par les auteurs pour lès zones anes- thésiées dans des cas analogues, un diagr
es- thésiées dans des cas analogues, un diagramme schématique des zones cutanées du bras qui sont en rapport avec les dif
le entre la seconde paire dorsale et la qua- trième 'cervicale. Ces zones se présentent sous forme de bandes longitudinal
radiculaires qui sont atteintes dans les cornes postérieures et les zones d'anesthésie se trouvent du même côté que la lé
mique. Désormais à ces lésions il faudra ajouter la notion d'une zone de sclérose occupant le pourtour de la corne anté
e la corne antérieure dans la région du faisceau fondamental. Cette zone dégénérée varie d'aspect suivant les régions ex
tion produite par l'ab- sinthe produit son maximum d'effet quand la zone motrice est intacte, la décharge se fait par ce
et quand la zone motrice est intacte, la décharge se fait par cette zone et est transmise par les faisceaux pyramidaux.
ritation est extrême, il y a aussi transmission du côté opposé à la zone excitée; l'uni ou la hilalé- ratité des convuls
e à la fois sur le volume et sur les éléments constitutifs de cette zone . R. M. C. XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COL
archer, sont les cellules de Purkinje et les petites étoilées de la zone molé- culaire : ces cellules ont donc bien la s
E; par C. MAYER. (J'i/t)'6t<C/t ? Psychiat., XIII, 1.) Dans la zone d'entrée radiculaire postérieure de Westpllal, il
confirme les vues de Flechsig (dix observations). Les fibres de la zone radiculaire moyenne de la moelle lombaire et de l
moelle sacrée pénètrent surtout dans les colonnes de Clarke. Cette zone radiculaire moyenne contient aussi des fibres lon
et aussi des fibres qui, après un court trajet, se rendent dans la zone radiculaire postéro-médiane. Dans la moelle dor
s. Le noyau n'avait plus sa situation centrale, mais avait gagné la zone périphérique. La présence d'altérations des cel
61 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
très vive, presque constante. Pas de points hyperesthésiques. Pas de zones hystéro-gènes (testicule, point pseudo-Ovarien, e
la présence des stigmates hystériques. Mais c'est une hystérie sans zones hystérogènes, sans attaques, jusqu'à présent. Cel
équent, sur la rétine, une véritable plaque hystéro-gène. Deux autres zones hystérogènes se voient, l'une sur le flanc droit,
ndue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux zones hystérogènes siégeant, l'une près du bord spinal
nts, souffrait d'une douleur dans le flanc gauche (siège actuel d'une zone hystérogène) et d'une vive céphalalgie frontale.
ît notablement sous l'influence des émotions, par la pression sur une zone hystérogène rachidienne, après les attaques de ne
ervalle. Pas de douleurs de ventre spontanées. Pas d'ovarie. Pas de zones hyperesthésiques ni hystérogènes nulle part. On a
l'on constate à la suite de l'accouchement une paralysie limitée à la zone de distribution du sciatique poplité externe, on
de la façon suivante : 1" Sensibilité à la douleur. — Il existe une zone d'analgésie commençant au-dessous de la tète du p
nçant au-dessous de la tète du péroné, et limitée ainsi: Fig. 21. — Zone d'analgésie chez le malade de l'Observation VII.
la colonne vertébrale avec inclinaison du tronc adroite. Fig. 24.— Zone d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la m
t se reporter aux schémas joints à FObserva-tion VII, on verra que la zone d'anesthésiecorrespond exactement à la zone de di
tion VII, on verra que la zone d'anesthésiecorrespond exactement à la zone de distribution du sciatique poplité externe et d
lière et d'une localisation moins étroite. Il semble cependant que la zone cutanée du musculo-cutané est restée indemne. On
e nerveuse, exiger que l'anesthésie soit exactement superposable à la zone de distribution que l'on voit sur les schémas rep
du pied droit et de la demi-circonférence externe de la jambe droite ( zone sensitive du sciatique poplité externe) et une hy
e la sensibilité, le membre inférieur droit doit être partagé en deux zones d'étendue inégale : la première, qui comprend tou
oxal, se perdant en arrière dans la région moyenne de la fesse. Cette zone descend en bas jusqu'au genou, dont elle occupe l
sensibilité au chaud et au froid est partout conservée, sauf dans la zone d'anesthésie. La malade ne présente aucun troub
savoir une insensibilité avec absence de réflexe du pharynx. Donc, la zone cl'anes-thésie un peu paradoxale de notre malade
ésie, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note la présence d'une zone hystérogène parfaitement caractérisée. Enfin no
à gauche. Le réflexe pharyngien Fig. 37. — Anesthésie de la face et zone liystérogène de Chypocondre gauche. est totalem
ords sont également sensibles des deux côtés. Il existe en outre cinq zones douloureuses : deux ovariennes, deux sus-mammaire
et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer
, satisfaisant dans tous ses détails. Et d'abord, réexaminons cette zone d'anesthésie partielle avec dissociation syringom
avons rien à changer à ce qui a été dit. Mais la disposition de cette zone est bien singulière. Pourquoi cette forme de lang
42. — Hachures obliques : hémidysesthésie. — Hachures horizontales : zone de dissociation syringomyélique de la sensibilité
'il peut se montrer en diverses circonstances. Concédez -morqu'ici la zone d'anesthésie partielle se rat dans l'hystérie.
rtaine localisation.il faut qu'elle siège au niveau etàla surface des zones motrices. Si elle siège à la surface des circonvo
cette malade. La lésion mônin-gitique siège-t-elle en dehors de cette zone motrice, vous pourrez avoir non pas l'épilepsie,
on un peu forte, et surtout la percussion, révèlent l'existence d'une zone en rondelle douloureuse, de la largeur d'une pièc
ne en rondelle douloureuse, de la largeur d'une pièce de cinq francs, zone qui siège à gauche dans la région pariétale, sur
xtrémité do la précédente, longue de 8 centimètres. — C. Centre de la zone douloureuse situé à 8 centimètres au-dessus du po
ranches terminales de la sylvienne, et que le territoire cortical des zones motrices, dans une grande étendue, a été intéress
us dessiner de mémoire. Nous devons donc admettre que, en outre de la zone motrice des membres, le lobule pariétal inférieur
62 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re 7, le cylindraxe en voie de désin- tégration moléculaire; 2° une zone centrale, voisine du cylindraxe altéré, où la m
concen- triques et est hyaline et liquéfiée; 3° à la périphérie une zone , où la myéline a conservé ses cercles concentri
tabes. Cette dégéné- rescence, dans la moelle lombaire, respecte la zone radiculaire moyenne et gagne la cloison médiane
médiane postérieure; dans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les zones médianes, ni les zones latérales, confinant au
ans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les zones médianes, ni les zones latérales, confinant au bord médian des cordons
le du cerveau, en interrom- pant les voies de conjonction entre les zones motrices et la couche optique, a empêché l'arrê
te aux yeux l'altération fréquente des cordons postérieurs et de la zone marginale de Lissauer et des racines postérieur
long de cette dernière s'étendent en plus grande quantité dans la zone marginale de Lissauer et dans les cordons et les
racines postérieures. Dans le troisième cas les cordons de Goll, la zone marginale de Lissauer, la voie cérébelleuse et
arquable dans le faisceau de Burdach, dans celui de Goll et dans la zone marginale de Lissauer. En outre, Campbell renco
née des fibres nerveuses de la moelle avec la lésion spéciale de la zone radiculaire de Lissauer et des cordons postérie
externe de la portion verticale du frontal. La pression sur cette zone saillante ne provoque aucun symptôme. Les yeux de
eau des étincelles longues de 1 à 2 millimètres; on limite ainsi la zone d'analgésie que l'on peut rencontrer sans avoir
peu plus étouffé. Il y a affaiblissement des tonalités en certaines zones du crâne; voici par exemple un ton éclatant au
arie de quelques jours à plusieurs semaines. Le point de départ, la zone de propagation de ces singulières lésions sont
t tout d'abord. Au tronc, les troubles apparaissent d'abord dans la zone d'inner- vation des nerfs dorsaux moyens. Ils s
le trajet des nerfs périphé- riques, mais correspond exactement aux zones d'innervation des racines postérieures. On tr
s poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à une interruption entre la zone mo- trice et les organes terminaux périphérique
é inférieure des ascendantes, au-dessus de la - scissure deSylvius; zone d'encéphalite réactionnelle. L'épilepsie jackso
rayon- nante sont des expansions terminales à fonction centripète, ( zone centrale du centre sensor iel) et. que les fibr
les fibres collatérales qui partent de ces dernières constituent la zone terminale ou périphérique, cen- trifuge de ce m
sent n'envoyer de fibres collatérales que dans le voisinage de leur zone respective, autrement dit, le territoire colla-
plus grand, de beau- coup, qui se confond en grande partie avec la zone motrice des auteurs, sert assurément au tact. C
2° le soir, inter- viennent les paresthésies (de Bernhardt) dans la zone du fémoro- cutané. C'est tout. Quelques frictio
sale, en une couche ininterrompue qui entoure la substance grise ( zone interne), plus large dans la partie antérieure et
ceau latéro-céréhelleux dans les cellules de Clarke-Stilling; 3° la zone périphérique contient dans toute son étendue, a
, faisceau sulcomarginal ascendant de Marie) s'épanouissent dans la zone périphérique, tan- dis que les fibres myélogène
- dis que les fibres myélogènes courtes occupent de préférence la zone interne; 5° le champ antérieur des cordons postér
énérescences encépha- LIQUES DANS LES AFFECTIONS EN l'01 ? R DE L 1 ZONE MOTRICE D E L'ÉCORCE; WL. llul;a'row. (New'ol,
l occupent lesenvirons de la région sublhalamique, et peut-être les zones basales de la couche optique notamment le globu
ques ne permettent pas de préciser cette voie. Meynert a indiqué la zone médiane de la calotte comme tractus moteur. Ce
res cordons ne paraissent pas diminués. Dans le cordon de Burdach : zone de dégéuération de forme triangulaire à sommet
t exagéré d'autres centres : ainsi le fonctionnement intensif d'une zone visuelle pourrait pro- duire l'hallucination, a
licables aux neurones commissuraux et d'association des différentes zones psychiques B. Pathologie du neurone considéré i
neurones. Le premier archineu- rone a sa cellule d'origine dans la zone motrice de l'écorce ; son prolongement cylindra
es de la corne antérieure, de la colonne de Clarke, des différentes zones de la corne postérieure, des noyaux bulbaires.
ses expansions. On peut voir une dégénérescence limitée à certaines zones des cordons postérieurs, au faisceau virgule de
cordons postérieurs, tandis que ni les racines postérieures, ni les zones des collatérales, ni le centre même du téléneur
près la racine postérieure, le ganglion invertébral ainsi que la zone de Lissauer. Seules les branches cylindraxes dire
as jusqu'à l'écorce et le faisceau pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissauer et les racines postérieures sont re
irconvolution à circonvolution et, dans une même circonvolution, de zone à zone, de neurone à neurone. La fonction de ce
lution à circonvolution et, dans une même circonvolution, de zone à zone , de neurone à neurone. La fonction de ces neuro
bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement du doigt dans la zone analgésique, ni le passage des poils d'un pince
ait supérieure de l'avant- bras, et cela des deux côtés, il y a une zone d'environ cinq centimètres de hauteur au niveau
s des 2°, 3e et 4° métatarsiens. existe de chaque côté'du genou une zone de diminution de la sensibilité = 1 divi- sion
de la sensibilité = 1 division 1/2 dans la moitié inférieure de la zone d'anesthésie. C. Contractilité musculaire. Expl
= 1 division dans toute la moitié inférieure. Il y a également deux zones de diminution de la sensibilité = 1 division 1/
relations anatomiques du tubercule quadrijumeau postérieur et de la zone motrice. D'autre part, on sait que le tubercule
e parce que chez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la zone motrice (dégénérescence consécutive du faisceau
cela a lieu chez l'animal auquel on n'a pas préalablement enlevé la zone motrice corticale. Cette méthode de vivisecti
Encéphaliques. Dégénérescences dans les affections du foyer de la zone motrice, par Muratow, 380. Enfants. Quartiers d
63 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bides. « Entre le crime et l'insanité, dit Maudsley1, il existe une zone neutre : sur un des bords, on n'observe qu'un p
jourd'hui sous le nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la zone motrice du cerveau et les cellules des cornes a
remarquable des altérations à la région dorsale, et l'intégrité des zones radiculaires au niveau des deux tiers inférieur
que toute la hauteur de la moelle, entre la corne postérieure et la zone scléreuse des cordons latéraux, un espace plus
ordons postérieurs s'étend jusqu'au renfle- ment lombaire et si les zones radiculaires de ces parties sont intéressées pa
ercle, etc. - Compression testiculaire. Etat de la sensi- bilité. - Zones hystérogènes. Action des aimants, des métaux. -
ques et apparition d'écume salivaire aux lèvres. La compression dps zones hystérogézzes (voir plus loin) ne donne aucun rés
n certain nombre de points, douloureux à la pression, analogues aux zones hystérogènes qui existent chez les femmes hysté
oubles hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau; 3° et 4° deux zones symé- triques au niveau du deuxième espace inte
; - 51 un point sensible au-dessus du mamelon droit; 60 et 7° deux zones douloureuses symétriques, au niveau des flancs,
de l'attaque consistent en une sensation douloureuse, dirigée d'une zone iliaque à l'autre et produisant, d'après le mal
ère dans les travaux du ménage. La sensibilité est parfaite, et les zones hysté- ronènes ont disparu.-L'eczéma, en voie d
e violence. - IV. Signalons encore les accès de toux gutturale, les zones hys- térogènes à l'état rudimentaire; l'ineffic
ènes à l'état rudimentaire; l'inefficacité de la compression de ces zones ou de la compression des testicules sur la produc
ns, le goût étant aboli sur les deux tiers antérieurs de la langue ( zone des fibres de la corde du tym- pan), le nerf fa
pposé; on y rencontre, par exemple, une diminution de volume sur la zone de l'hémisphère qui est formée par la première
développement produits sur LE CERVEAU du lapin par l'extirpation DE zones COR- TICALES circonscrites; par C. von Monakow.
he optique, ainsi que des corps genouillés externes et internes. La zone qui tient sous sa dépendance le corps genouillé
antérieurs, ainsi qu'un léger degré d'atrophic du nerf optique. La zone en relation avec le corps genouillé interne, si
égénérescence des» troisième et cinquième de la capsule interne. La zone à laquelle ressorlissent les tuber- cules antér
ie l'action des auestlrésiques sur l'excitabilité expérimentale des zones psychomotrices du chien au courant fara- dique.
En dehors de l'émi- nence ? ), à droite et à gauche, se trouve une zone d'une coloration violacée assez foncée, circons
coloration violacée assez foncée, circonscrite elle-même par une zone comme gélatineuse. La consistance du bulbe est
aire de certains filets commissuraux ap- partenant au système de la zone radiculaire interne et dont Gerlach et Kolliker
ijumeau un système identique à celui que forment dans la moelle les zones radiculaires postérieures et les cornes antérie
pose au bulbe comme à la- moelle une alté- ration antécédente de la zone radiculaire, postérieure ou de son analogue (ra
s l'étage supérieur de la protubérance se limitent quelquefois à la zone que parcourt le faisceau volontaire et déterminen
La lésion occupe, au début, dans la moelle dorsale deux étroites zones latérales symétriques, dans lesquelles pénètrent
le lombaire, l'altération débute toujours dans l'aire moyenne de la zone radiculaire postérieure ; il est facile d'en dist
n triangle circonscri- vant le sillon médian postérieur. Quant à la zone antérieure des cordons postérieurs, elle demeur
ostérieur se trouve constamment lésé avant le segment antérieur. La zone radiculaire postérieure subit ensuite, en cette
331 1 et de la sélection de la maladie pour tel ou tel ensemble de zones (analogie avec les intoxications ergotiniques e
ht, un type d'hémiplégie corticale; il confirme la localisation des zones motrices des extrémités dans le tiers supérieur
es, des leucocytes, des endothéliums, des coagulums fibrineux). Les zones récemment atteintes sont le siège d'une néoplas
mps les centres médullaires eu connexion avec eux; l'excitation des zones corticales entraîne au contraire après elle une
corce est alors nettement séparée de la subs- tance blanche par une zone de dégénérescence qui coiffe cette dernière, zo
e blanche par une zone de dégénérescence qui coiffe cette dernière, zone transparente ne se colorant pas par l'acide chrom
ointe du lobe temporal, l'm- sula, le gyrus rectus représentent les zones d'élection des altéra- tions les plus accentuée
de développement produits sur le - du lapin par )'e\tirpation de zones corticales circonscrites), ])ai- Nlonillov, 1 I
64 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
impossible, à cause de la distribution extrêmement irrégulière des zones violacées, qui ont en outre uue étendue minime.
réticulée blanche. On reconnaît ce- pendant encore au microscope la zone de sa dégénération. Quand on compare l'olive dr
ant dans son épaisseur, ni une trace de foyer hémorrbagique, ni une zone de ramollissement. Cette enveloppe s'amincit ve
r les premiers noyaux, qui sont tassés à ce niveau et dessinent une zone d'un bleu intense, accentuant encore l'opposition
plus elles-mêmes qu'un amas de noyaux vivement colorés. Dans cette zone se distinguent des taches claires tranchant sur l
al colorés, puis le manchon serré des cellules rondes ; ce sont des zones de ra- mollissement. Les autres représentent de
TAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de substance intacte ; autour de ces zones , il n'y a ni vaisseaux ni cellules jeunes. Le
me. Elle est uni- formément colorée; nulle part on ne peut voir une zone nettement ramollie. Ses vaisseaux sont très nom
aut degré un caractère, que l'on peut d'ailleurs constater dans les zones les plus épaisses de la gaine pie-mérienne : c'
a moelle elle-même les éléments des cornes postérieures. Dans cette zone fibreuse sont creusées de nombreuses lacunes vasc
déterminer, par la méthode de Weigert, la topographie générale des zones dégénérées, en raison du mode de fixation. Dans
ste aucune dégénérescence systéma- tisée, mais une altération de la zone périphérique eu contact avec les méninges malad
éral plus épargné, surtout dans sa moitié antérieure. Le profil des zones dégénérées indique donc nettement la cause de l
e celles de la dure-mère, qui dans notre cas était, en dehors d'une zone peu étendue, entièrement indemne. Elles sont po
sont plus ou moins lésés, mais presque tous atteints et de petites zones de ramollisseme.it se voient au centre de la ré
ones de ramollisseme.it se voient au centre de la région malade. La zone corticale sous-jacente est envahie sur une faib
mollissement. La partie postérieure du pulvinar gauche contient une zone de dégénéres- cence très accentuée s'étendant s
son côté externe et occupant toute sa hau- teur. Du côte droit, la zone dégénérée est moins étendue. Les corps genouill
n outre plus faible aux membres inférieurs Le pointillé indique les zones d'hypoesthésie très marquée. MYOPATHIE ATROPHIQ
fs de la sensibilité ; nous avons trouvé sur notre malade de larges zones d'anesthésie à la piqûre, ou plus exactement d'hy
s des mollets et des cuisses. Ou coustate au niveau des cuisses des zones d'anesthésie sans dissociation de la sensibilité
es parties sous-jacentes,sauf à la région cervicale au niveau d'une zone où le cylindre nerveux est très augmenté de volum
où elle fait une saillie très pro- noncée englobant entièrement la zone d'origine des racines antérieures de C. VIII, D
ment vascularisée, à surface brillante, sauf, bien entendu, dans la zone où la dure- mère était adhérente. La. consist
de étendue. La tumeur est irrégulièrement colorée ; on remarque une zone plus foncée, d'où plus riche en éléments chromati
aux. On distin- gue la substance blanche persistante, sous forme de zones périphériques plus claires, formant comme une m
COCUE voit deux traits plus foncés (des vaisseaux) et également une zone plus colorée sur laquelle nous reviendrons plus
nombreu- ses, les plus serrées, sauf dans la région centrale où la zone foncée contigue à deux vaisseaux est une zone d
région centrale où la zone foncée contigue à deux vaisseaux est une zone de dégénérescence. Les parties claires corres-
vasculaires. Dans la coupe 2 par exemple, on trouve au milieu de la zone de dégénérescence centrale de nombreuses sections
ombose que ressortit la dégénérescence du tissu voisin. Dans toute la zone en rapport avec ces vaisseaux qui est irriguée
ie des cordons pos- térieurs, plus particulièrement marquée dans la zone post-commissurale, et dans les cordons de Goll.
cription générale de la tu- meur, outre la thrombose centrale et la zone de dégénérescence environnante, offre à considé
du canal épendymaire se trouvent en pleine tumeur, au voisinage de zones dégénérées, déjà dépourvues de toute trame tissul
plus antérieure du cordon de Goll, et qui est le prolongement de la zone de dégénérescence signalée aux étages supérieur
s plus inférieures de la tumeur, et en rapport précisément avec des zones où la stase est la plus grande. A un certain po
certain point même, la liquéfaction est tel- lement complèle que la zone orignaire apparaît comme une cavité intra- médu
région. Cette constatation nous autorise à penser que c'est dans la zone médul- laire de l'innervation de la main, en pa
arties blanches envi- ronnantes et la consistance assez ferme de la zone périphérique permet aisément de l'isoler. La po
pas de retard de la perception, aucune anes- thésie cutanée, pas de zones d'hyperesthésie ni de zones bystérogènes. Aucun
on, aucune anes- thésie cutanée, pas de zones d'hyperesthésie ni de zones bystérogènes. Aucun stigmate d'hystérie. Tous
et externe du médius. Guérison opératoire simple. Dans la suite, la zone anesthésique s'étend lentement et finit, au bout
étermine du fourmillement dans les doigts, particulièrement dans la zone du médian. Après incision, M. Péraire trouve le n
restait, dix-huit mois après la première opération, qu'une étroite zone anesthésique au centre de la pulpe de l'index e
65 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
irrégulière, périodique et n'intéressant pas simultanément toutes les zones de cet organe. HOSPICE PAUL BROUSSE A VlLLEJU
, est-il utile d'organiser des centres neuro-psychologiques dans la zone des armées, selon les voeux émis par la Société
e laboratoire, par exemple après l'extirpation du cervelet ou de la zone motrice de l'écorce ; ces recherches sont pourtan
Les mouvements de l'avant-bras s'exécutent normalement. Il y a une zone d'auesthésie à la face dorsale, sur le 5e métacar
es, puis des troisièmes, plus marquée pour les doigts externes ; la zone des troubles sensi- tifs se rétrécit légèrement
au-dessus par la circonvolution de l'hippocampe et une partie de la zone médiane de la première circonvolution temporo-occ
ractéristique du lymphangiome. Il,y a dans tous les fragments des zones d'infiltration oedémateuse. La majorité des art
-60. 19 heures, céphalée violente, douleur extrêmement vive dans la zone épi- gastrique, exagérée par la pression ; sous
ive dans la zone épi- gastrique, exagérée par la pression ; sous la zone hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à l
ace de Kernig. Douleurs vives , exagérées par la pression, dans les zones hépatique et épigastrique. Douleurs diffuses ;
à 38° et 39o le 14 au soir. Symptômes à l'entrée. Douleurs dans les zones articulaires, surtout dans les masses musculair
rofuses depuis 15 jours. Pas de taches. Matité splénique nor- male. Zone hépatique normale. Selles normales. Parésie des m
dons postérieurs très analogues à celles du tabes (dégénération des zones de Lissauer, des fibres des cornes postérieures e
Forcément nous n'avons pu établir une bibliographie complète. Dans la zone des armées, il est à peu près impossible de se
Mobilisé le 17 février 1913. Depuis cette époque, se trouve dans la zone des armées. N'a pas fait de service militaire
rce au niveau du centre de la face, dans la partie inférieure de la zone motrice prérolandique. C'est le plus souvent un f
e. Hyperesthésie aux extrémités inférieures. A h cuisse, il y a des zones d'hyperesthésie. Il n'y a pas de perturbations
ent de l'intelligence ou aphasie sensorielle due à une lésion de la zone de Wernicke, accompagnée d'anarlhrie produite par
e Wernicke, accompagnée d'anarlhrie produite par une lésion dans la zone du noyau lenticulaire. Cette opinion a été combat
tant à la vie intra-utérine. Lésions s'étendant des deux côtés à la zone motrice et ayant atteint à gauche le pied de la
car on n'observe ni agraphie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La zone motrice des membres supérieurs et inférieurs doit
quaient t le siège d'une lésion très étendue qui prenait surtout la zone motrice droite. La rapide succession des symp
autre cas, exigeait une intervention chirurgicale immédiate dans la zone rolandique, en visant spécialement la circonvolut
is, de décompression intracrâ- nienne (1), nous avons trouvé dansja zone rolandiquè un gros sarcome avec une production
ndiquè un gros sarcome avec une production kystique qui occupait la zone correspondante à la zone prise dans notre malad
ec une production kystique qui occupait la zone correspondante à la zone prise dans notre malade, mais plus intense, sans
r cette localisation; . Il semble qu'il n'existe pas une, mais deux zones corticales, une posté- rieure et une autre anté
ssinent indistinctement. On trouve en dehors de ce centre une large zone concentrique, où les globules de sang ont des con
a partie inférieure de ce territoire, la région frontière entre les zones de sueur et de sécheresse n'ayant pas produit une
photographie (PI. LVIII) donne donc une image qui exagère un peu la zone terminale inférieure de la région anidrosique. Il
ne, le côté droit du visage restait sec, à l'exception d'une petite zone au-dessus de l'angle interne de l'oeil. Celle p
dessus de l'angle interne de l'oeil. Celle persistance d'une petite zone de sudation du côté lésé pourrait indiquer, dit
iquer à notre cas, pas plus qu'à un autre de Stewart (p. 415) où la zone non transpi- rante prenait la moitié du visage,
r. Chez Georges, la pilocarpine n'a produit aucune sudation dans la zone précédemment délimitée. Est à noter même qu'ell
e, grâce au procédé de Stewart à la poudre de charbon (fig. 3), une zone d'hyposudation occupant la 2e espace intercostal,
né du plexus brachial supérieur, moins l'avant-bras Sur toute cette zone , la peau est dure, épaissie, . rebelle à tout p
chez ce sujet, se détachent avec une extrême facilité sur toute la zone malade, à tel point que l'intérieur de la manche
F. La nsibilité objective n'est pas altérée ; on ne constate aucune zone d'anesthésie, ni d'hypoesthésie. Les zones de W
e ; on ne constate aucune zone d'anesthésie, ni d'hypoesthésie. Les zones de Weber ne sont pas élargies ; la perception s
aisselles, aux scrotum et au périnée (obs. 111). S'ilsexistenl à la zone pubienne etqu'ils aillent au delà d'un simple d
syn- drome de Frohlich, de signes de tumeur hypophysaire ou d'une, zone voisine de l'hypophyse, "avec les phénomènes in
t récidivait, il serait aisé de le guérir,, soit sur place, dans la zone des armées, soit en le renvoyant dans le centre n
66 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la pointe, un élargissement de son choc, une augmentation de la zone de matité précordiale, un assourdissement et un
èce qu'ils soient, les actes mnémoniques s'accom- plissent dans des zones corticales spéciales, autres que les centres se
ité plus haut. Est-ce à dire cependant que si l'on eût excisé une zone d'écorce on eût été plus heureux. Je ne le croi
Sclérose des cordons posté- rieurs médians dans la région dorsale. Zones sclérotiques irrégu- lières avec une zone d'inf
dans la région dorsale. Zones sclérotiques irrégu- lières avec une zone d'infiltration cellulaire (gommeuse) dans la ré
de la naissance, le siège de la lésion, qui bien qu'au niveau de la zone de distribution de l'artère sylvienne n'accom-.
couche externe de celle-ci; il y en a aussi un grand nombre dans la zone périnu cléaire. L'épaisseur des petits grains e
innervé par les racines dorsales supérieures et moyennes, en un mot zone hypo-esthésiqne du tronc de Hitzig et Loehr. An
ment le centre moteur oculaire situé dans le lobe pariétal. Dans la zone indiquée par nous avons 1 G. Alann. Journal of
n dehors par « la région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde ( zone motrice du membre antérieur) le limite en arriè
rieur) le limite en arrière ; 2° Fritsch et Hitzig ont trouvé une zone du lobe pariétal, dont l'excitation électrique
ré sortir de la capsule interne, se diriger en dedans, traverser la zone reticulée, la zone ou le champ de lVemzicke et
sule interne, se diriger en dedans, traverser la zone reticulée, la zone ou le champ de lVemzicke et gagner la portion ven
emière leçon est consacrée à l'étude de deux cas de tu- meurs de la zone rolandique. Les convulsions jacksonniennes in-
pilepsie ou d'hystérie occasionnées par l'excitation de cer- taines zones , etc.) ; - 2° Soit par suite d'une augmentation
les. Notre connaissance des différents territoires qui composent la zone mo- trice corticaie était, à peu de choses près
u trouble provoqué par la lésion des neurones d'association dans la zone du langage des hémi- sphères cérébraux, nous pr
oral il est particulièrement facile de constater une subdivision en zones périphériques arrivant plus tôt à leur développ
division est évidente, mais la disposition est plus compliquée. Les zones périphériques touchent les centres sen- soriels
res arquées. L'in- sula et le précunéus ne semblent consister qu'en zones périphé- riques. Peut-être les zones périphériq
us ne semblent consister qu'en zones périphé- riques. Peut-être les zones périphériques constituent-elles des formations
sont dépourvus. Parfois, bien que très rarement, on trouve sur ces zones périphériques des faisceaux atypiques de la cou
rale et régu- lière de faisceaux de la couronne rayonnante dans les zones péri- phériques. Les territoires centraux des
ante dans les zones péri- phériques. Les territoires centraux des zones d'association (surtout la partie Archives, 2° s
les points nodaux de systèmes longs d'associa- tion, tandis que les zones périphériques ne présentent que faible- ment ce
prétés comme des actions à distance. Les territoires centraux des zones d'association sont des centres qui sont en rela
qui sont en relation plus ou moins directe, chacun avec plusieurs zones sensorielles, quelques-uns avec toutes; ils en co
ue le cerveau était excitable par les courants électriques dans une zone déterminée, que l'écorce cérébrale se composait d
descendant apparaît vert jaune. Bordier a cherché à déterminer les zones à partir desquelles se produisent les phénomène
araît quand celui-ci se trouve sur les pectoraux ou le trapèze. Ces zones s'étendent aussi en arrière de la tête sur les
de maintes- régions des couches optiques (pulvinar), etc., dont les zones de rayonnement empiètent de tous côtés sur les
- (de Paris). Dans les lésions corticales et sous-corticales de la zone sensitivo- motrice il n'est pas rare de constat
me du ruban de Reil médian que l'on constate dans les lésions de la zone sensitivo-motrice anciennes ou remontant à l'en
to-marginal (centre ovale, triangle médian). Fauceaux endogènes. La zone cornu-commissurale de P. Marie, faisceau en vir
édian de Gombault et Philippe), le faisceau descendant de Hoche, la zone radiculaire postéro-interne (Flechsig), seront
t qu'ils ne sont pas purement endogènes. Les libres endogènes de la zone cornu-commissurale sont courtes et entrent en d
la hauteur de la huitième cervicale et dégénèrent en descendant. La zone radiculaire pos- téro-interne est principalemen
dans les régions lombaire et cervicale y entrent obliquement. Les zones de Flechsig seront considérées. 510 CONGRÈS INT
h et, au degré moindre, le cordon deGoll, et qui laisse intacte une zone nor- male au bord de la commissure et de la coi
issure et de la coi ne postérieure et par- tiellement aussi dans la zone postéro-interne. La zone postéro- interne subit
stérieure et par- tiellement aussi dans la zone postéro-interne. La zone postéro- interne subit habituellement une sclér
ahit la plus grande partie du cordon, à l'exception par- tielle des zones dites endogènes. La pie-mère est ordinairement
ose, d'après Tuczek, affecte principalement le cordon de Goll et la zone centrale radiculaire et laisse relativement int
et la zone centrale radiculaire et laisse relativement intactes les zones cornu-commissurales et septo-marginales. Les ra
s ré- gions dorsales et cervicales. Elle affecte le plus souvent la zone centrale de la région lombaire, et dans la régi
et dans la région cervicale princi- palement le cordon de Goll. Les zones près de la commissure et la corne postérieure,
nnervé par le rameau supérieur du trijumeau est com- mandé par deux zones centrales nucléaires ; l'une de ces zones donne
u est com- mandé par deux zones centrales nucléaires ; l'une de ces zones donne la sensibilité à la peau du front, elle e
67 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
façon que la hase est parallèle au bord intérieur ou médullaire de la zone d'é-corce grise. D'autres prolongements de la m
la rétine. M. Meynert range encore, parmi les éléments nerveux des zones corticales, des cellules allongées, en général fu
inées^'//. 5,1). A l'œil nu, cette couche offre l'aspect d'une petite zone blanche. Ce défaut de coloration paraît être en r
dèlement repré-sentée par M. Luys (1) et par Henle (2). C'est dans la zone la plus inférieure de cette couche qu'existent da
icures ; — G,G, cornes postérieures ; — D,D, cornes antérieures; — F, zone radiculaire antérieure; — E, cordons de Goll. A
e est peu vascularisée ; 2° la seconde couche, 6, correspond aux deux zones de cellules ner-veuses; là, le réseau vasculaire
er dans les territoires voisins. La communication qui se fait dans la zone périphérique d'un territoire vasculaire explique
s pos-térieures et dont la base, un peu arrondie, n'atteint jamais la zone corticale de la moelle et, de plus, n intéresse p
elle confine à la pie-mère. Dans la sclérose latérale primitive, la zone scléreusc occupe d'une façon gé-nérale la même ré
us étendues. Ainsi, en avant, la lésion tend à envahir le domaine des zones radiculaires antérieures, et, en dedans, elle s'a
Fi/7.46. — A, A, cordons latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures. —G, C, cornes postérieu
rieures. —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-rieures. — P, zone radiculaire antérieure. — E, cordons de Goll. s
, dans les faisceaux antéro-latéraux. Cette région a reçu les noms de zone radiculaire antérieure (Pierret) et de région fon
triangle, diri-gée en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de substance nerveuse lui formant une sorte de ma
partient, vous le voyez, à la région que l'on dési-gne sous le nom de zone motrice. (Lobule paracentral, extré-mité supérieu
pyramidales pren-draient naissance dans la substance corticale de la zone mo-trice ; là, commencerait leur développement, e
la substance grise des circonvolutions rolandiques, autrement dit des zones motrices. Somme toute, je vous le répète, il n'y
ner les limites. Faites partir de la couche profonde de toute cette zone grise, Fig. 60. — A, coupe horizontale du noyau
central. — d, Raci-• nos antérieures. — e, Racines postérieures. — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire po
s. — e, Racines postérieures. — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire postérieure. Fig. 67. — Coupe de la
Sclérose de la totalité des cordons postérieurs (faisceaux de Goll et zones radicuîaires). — Ataxic locomotrice vulgaire. F
es). — Ataxic locomotrice vulgaire. Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires postérieures (les faisceaux de Goll
ck et Pitres : « Chez le chien unohésion corticale siégeant dans la zone motrice peut être suivie de dégénération secondai
ère du cordon antérieur, désignée dans l'obser-vation, sous le nom de zone de rayonnement. » Si, d'autre part, on considèr
res, 358 ; — dans le tabès dorsal spasmodique, 371. rolandique. (v. zone .) Ruban de Vicq d'Azir, 17. S Scissures du ce
soutenues depuis Galien, 363. w Wallériennes (Lésions), 271. Z Zones radiculaires, 186. Zone rolandique, 210, 236; — c
363. w Wallériennes (Lésions), 271. Z Zones radiculaires, 186. Zone rolandique, 210, 236; — chez le chien, 277.
68 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ganiques du système nerveux central. En faisant nos études dans des zones d'une population diffuse, dans l'intérieur du B
l (fig. 5) par une bande claire au niveau du cordon de Burdach ; la zone radicu- laire externe correspondant à ces racin
tation méningée qu'à la compression; elles se traduisent 1° par une zone marginale de dégénérescence et d'oedème qui se
upe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des zones radiculaires externes dans les cordons postérie
rachnoïde ; CB. faisceau de Burdach; D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone marginale de démyélinisation. FiG. 6. 5° segmen
et postérieures Il. P. ; on voit . sur cette coupe avec netteté la zone de démyélinisation marginale Zm ; et des grains
iieurs s'atténuent ainsi que celles des faisceaux pyra- midaux ; la zone de démyélinisation marginale ZM, est intense. *
es couches sagittales profondes, et se cantonne étroitement dans la zone sous-corticale de la circon- volution temporale
ner le premier sillon temporal. Fio. 2. - Deuxième observation. Les zones délimitées par une ligne pointillée représenten
qu'après l'apparition de son hémiplégie causée par la lésion de la zone lenticulaire gauche. Cela n'implique pas du tout
tion de plusieurs nerfs intercostaux, au côté droit, au niveau de la zone doulou- reuse. La névrotonomie pratiquée, les d
ur intense dans le côté droit et dans la colonne vertébrale dans la zone des vertèbres dorsales 6, 7, 8, 9, 10 ; aux mêm
à la douleur, et à la chaleur est complètement annihilée depuis la zone supérieure démarcative au niveau de la ligne xy
escement. t. 14 octobre 1910. - Laminectomie (Dr L. Krause) dans la zone des ver- tèbres dorsales 7, 8, 9, 10. Après l'é
t en ceinture, et pourquoi elles apparaissaient au contraire en une zone éloignée de l'endroit le plus com- primé. La pa
es on a trouvé l'ischémie des organes centraux et surtout celle des zones rolandiques et pieds des troisièmes circonvolu-
contre, la moelle épinière, traitée selon Marchi, présente dans la zone périphérique une coloration assez forte des gaine
les cordons postérieurs, intéressait dans notre second cas toute la zone périphérique de la moelle sans aucun rapport av
écédentes. Mais, à côté de ces follicules, on voit, surtout dans la zone périphérique, des follicules et des groupes de ce
ouve pas, lui non plus, dans mon cas. Une lente compression de la zone bulbo-prolubérantielle, produite par une maladi
u coude, astéréognosie, signe de Biernacki, engourdissement dans la zone du cubital. - Notre traitement a consisté en de
interosseux, l'on peut voir, sur la radiographie, l'existence d'une zone opaque aux rayons X allongée dans le sens longi
formés. Mais le fait le plus digne de retenir l'atten- tion est une zone , assez régulière, de téguments dépourvus de pigme
ent et qui fait un contraste frappant avec le reste du corps. Cette zone a la forme d'une ceinture dont le bord supérieu
sibilité tactile, thermique et à la douleur est diminuée dans cette zone . Dans la région verté- brale, à peu près au niv
urée d'une auréole déco- lorée se continuant du côté gauche avec la zone en ceinture plus haut dé- crite, étant par cont
en ceinture plus haut dé- crite, étant par contre séparée de cette zone du côté droit par une bande étroite de tégument
veau de la première vertèbre dorsale. Cette tache est entourée d'une zone où la pigmentation est diffuse.Dans la région m
long des insterstices existant dans ces travées et aboutir enfin à la zone de tissu conjonctif compact que nous avons sign
ns très peu étendues ; au contraire, dans les grosses lésions de la zone du langage, est rare qu'on obtienne d'aussi (1)
vocales. La sensibilité tactile est conservée, sauf pour une petite zone , qui répond à la face dorsale de la main et des
est intact et volumineux. Le faisceau externe dépasse de beaucoup la zone du faisceau de Türcl. En réalité la dégénéresce
amollissement unique, mais en une série de foyers distribués sur la zone du langage, non seulement au niveau delà circon
ères temporales et le pli courbe,qui appar- tiennent davantage à la zone du langage ont été relativement épargnés. On ne
aussi leur rôle dans les phénomènes de suppléance, principalement la zone sensorielle (partie postérieure des deux premiè
btenu chez notre deuxième malade, dont une très grosse partie de la zone du langage a été détruite, nous autorise à affir-
ré cela elle est restée sans parler pendant cinq ans ; cependant la zone du langage était chez elle relativement moins com
ressaient à la fois la région motrice et la région sensorielle de la zone du langage comme nous l'avons déjà fait remarqu
our l'articulation » ; dans de telles con- ditions une lésion de la zone du langage donnerait lieu à de l'aphasie dissoc
beaucoup plus que son âge. La face est asymétrique, surtout dans la zone du facial inférieur ; il semble qu'il y ait une
s détruites. A la périphérie de la masse caséifiée, se trouvait une zone d'infiltration qui faisait le tour du granulome,
et enflammée, au niveau des plis in- guinaux-cruraux il existe une zone rouge et suintante sans ulcération nette. La pe
l peut fléchir à demi le genou droit. Il semble que la limite de la zone d'anesthésie soit descendue de quelques travers d
actile est abolie sur les membres inférieurs et se continue sur une zone d'hypoesthésie qui atteint les fausses côtes. L
69 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
coupes divisent un centimètre d'épaisseur cérébrale. La cinquième zone traverse le putamen de Burdach dans sa plus gra
supérieur capsulaire que nous avons étudié dans les trois premières zones frontales. Ce sont donc ces faisceaux, qui sont
leux où elles disparaissent. Nous savons déjà, d'après la cinquième zone frontale, que les fibres se rendent sous forme
re possible de le dire. b) Sur cette coupe, comme sur la deuxième zone frontale, nous constatons que dans une certaine
tout en mettant à contribution les données fournies par l'étude des zones frontales, que le segment antérieur de la capsu
oyenne de l'hémisphère). Ils constituent : a) Le ruban courbe de la zone frontale (PL. XX, 1. 1), ruban qui traverse le
se termine au lobule paracentral. b) Les fibres en éventail de la zone sagittale (PL. IV) destinées aux parties moyenn
ur limite, en arrière, la face postérieure de la 1 \ ANATOMIE. 4° zone frontale. Dans les coupes frontales portant sur
e bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la 5e zone mésolobaire.) D'après Meynert et Iluguenin, la
'ai déjà fait remarquer que sur la face postérieure de la cinquième zone frontale, les irradiations capsu- laires qui se
ins, car, nous le retrouvons sur la face postérieure de la septième zone frontale, où il limite en dehors le prolongemen
e verre, et de recommencer l'opération au sur et à mesure que les zones sont recueillies. EXPLICATION DES PLANCHES PL
suivie, en quelques minutes, du retour de la sensibi- lité dans une zone d'étendue variable. Chez l'hémianesthésique il y
ôt à reparaître au niveau des plaques ; lorsqu'elle s'étend sur une zone de quelques centimètres de largeur, on constate
La destruction de la substance blanche et son excita- tion dans les zones motrices produisirent les manifestations bien c
e les cellules géantes ne sont pas confinées exclusivement dans les zones signalées par Betz. On peut en trouver des grou
à où aucun centre moteur n'a été clairement démontré, et auprès des zones d'où de petits muscles seuls sont supposés tire
- lules rondes, le noyau était souvent excentrique, entouré d'une zone dégénérée, au delà de laquelle était un espace cl
re- cherches, on arrive bientôt à délimiter un certain nombre de zones parfaitement circonscrites, dont l'ex- ÉTUDE DE
ène, avec le plus de précision et de sûreté, le résultat voulu. Ces zones se confondent avec ce que l'on désigne en élect
eux centimètres en- viron de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l'excitation amène infaillibl
point voulu. D'autre -part,- il' existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l'excitation produit le même
ans ce cas,- nous excitons directement' la fibre musculaire dans la zone située. au : dessus- de l'o- reille, , tandis,
détermine que de l'épi- lepsie, entraîne, lorsqu'il désorganise les zones grises, la perte de l'intelligence consécutive
e modérer directement la température animale par l'excitation de la zone de Hitzig. M. Wood a eu recours (Ex- périences
es nous' ne pouvons entrer, indiquent que l'irritation légère de la zone de Hitzig,·après'sectin',dés nersswagués,,n'a'p
on^ totale,, de,,ces de1s ' ' " '; , la, nsion artérielle ; : par zones , des deux côtés, n'abaisse-pas la, tension artéri
70 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
droite un peu saillante : plagiocéphalie. Fontanelles oblitérées ; zone transparente à la partie postérieure des deux p
zone transparente à la partie postérieure des deux pariétaux. Deux zones transparentes à 15 mm. environ de la suture fro
mm. environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La zone droite a 15 mm. de largeur sur 20 mm. de longue
et s'étend jusqu'à la suture sagittale, où elle se fusionne avec la zone gauche, qui a 15 mm. de long sur 10 mm. de larg
10 mm. de large. Un léger épaissis- sement linéaire sépare ces deux zones . Une petite surface transparente de 10 mm. sur
de Rolando et à la petite branche de la scissure de Sylvius. Cette zone d'atrophie comprend donc le pied des trois prem
pariétale ascendante, tandis qu'à droite, la lésion occupe toute la zone motrice; notre malade n'avait, en effet, que le
ne vascularisation inégale dans les divers points de la voûte. La zone de vascularisation est plus accentuée à gauche, e
sparence, la calotte n'est en aucun point diaphane, excepté en deux zones bien limitées, occupant à droite et à gauche de
la bosse pariétale. La paroi osseuse est très mince et offre des zones de transparence au niveau du siège de la fontanel
ntanelle an- térieure, surtout à droite de la suture sagittale. Des zones ana- logues se rencontrent encore tant à droite
de cocaïne à 5 0/0. Congestion de la base gauche, au-dessous de la zone du gargouillement. fer mais L'h ? qui s'affai
temporal présentent une lésion toute particulière. Ils forment une zone en entonnoir, où l'altération va en s'accentuant
cet hémisphère présentait à ce point un aspect ecchymotique. Cette zone offre, sur sa périphérie, une sclérose atrophiq
épaisseur moitié moindre que clu côté gauche; ils présentent des zones cle transparence plus larges et plus nombreuses
e, un peu de submatilé. - A l'auscultation, il y a vers la base une zone de crépitation très circonscrite. - Traitement
ficile. La matité du côté droit, vers la base, est plus étendue. La zone de crépitation s'est aussi élargie. Du côté gau
é à gauche. Quelques gros râles muqueux alla base gaucho. A droite, zone de crépitation dans la fosse sous -épineuse. So
berculeux dont le centre est ramolli et la périphérie caséeuse. Une zone résistante et blanche sépare ce magma caséeux d
éeuse. Une zone résistante et blanche sépare ce magma caséeux d'une zone périphérique d'hepati- sation rouge. Ces ilôts
Elles ont environ 2 centimètres de diamètre. On constate aussi des zones transparentes mais diffuses à la région postéri
avant est parallèle et antérieure au sillon préfrontal et cause la zone qui se laisse déprimer sur le lobe frontal ; l'
totalité de ce côté du cervelet, ne laissant indemne qu'une faible zone périphérique irrégulière et ayant en moyenne de 3
Elles ont environ 2 centimètres de diamètre. On constate aussi des zones transparentes, mais diffuses, à la région- post
roite un peu saillante : plagiocéphalie. Fontanelles oblité- rées ; zone transparente à 15 millimètres environ de la sutur
tres environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La zone droite a 15 mil- limètres de largeur sur 20 mil
et s'étend jusqu'à la suture sagittale, où elle se fusionne avec la zone gauche, qui a 15 millimètres de longueur sur 10
mètres de large. Un léger épaississement linéaire sépare ces deux zones . Une petite surface transparente de 10 millimètre
71 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
mité, où la sensibilité lumineuse est complè- tement abolie, et une zone bien plus étendue, signalée à l'examen par l'abol
complètement supprimée dans tout le champ visuel. Dans le droit, la zone la plus fortement teintée indique la perte totale
La capsule surrénale droite pèse 9 grammes, elle est entourée d'une zone adipeuse très réduite. La capsule gauche n'a
s capillaires sanguins. A la périphérie de l'organe on remarque une zone où les follicules, avec peu ou sans colloïde, r
s toutes les cel- lules des follicules et surtout dans celles de la zone périphérique que nous venons de mentionner. En
riode onirique proprement dite, elle marque une étape indécise, une zone frontière, où la confusion s'achève, où souvent l
ux dépens du tissu osseux, qui paraît épaissi, se distingue par une zone plus claire, limitée par un cercle som- bre. Ce
M CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 149 glande thyroïde, on observe des zones complètement séparées les unes des autres par u
uère épargné que les parties les plus inférieures de Pa et Fa et la zone lenticulaire, envahissant sur certaines coupes,
e a passé par contiguïté clans LI, de là elle s'est étendue dans la zone blanche voisine de l'angle extérieur du ventricul
(Chevauchée de l'Asne). 176 - - M. TRÉNEL ' * des Chevauchées de zone ; il y est dit clairement que les strophes expli-
s animaux, c'est-à-dire un territoire ra- diculaire sain entre deux zones de lésions. 3° Il est assez naturel d'invoquer
é son épaisseur normale et celle qui s'est amincie, il n'y a aucune zone intermédiaire d'épaisseur moyenne. La transitio
si elles n'ont aucun rapport avec lui. Mais, comme c'est dans celle zone pigmen- taire que siègent le plus souvent les g
nine disparaître et, à la place occupée par le noyau, se trouve une zone claire qui se confond insensiblement avec le rest
insensiblement avec le reste du cytoplasma. Quelquefois dans cette zone on peut observer trois ou quatre granulations f
urs crénelés et se trouve délimitée sur toute sa périphérie par une zone claire plus ou moins large qui la sépare du cyt
serve surtout dans les cellules nerveuses petites et moyennes de la zone centrale du ganglion, tandis que dans la zone pér
tes et moyennes de la zone centrale du ganglion, tandis que dans la zone périphérique ces cellules sont très rares on fo
plasmosphère se trouve entou- rée sur tout son pourtour d'une large zone de substance chromatophile d'aspectpoussiéreux.
t plasmosphère, sont de taille variable et séparés du noyau par une zone plus ou moins large de cytoplasma, Mais (1) M.
o- lifération des éléments capsulaires est strictement limitée à la zone immé- diatement sous-capsulaire, La présence de
t vascularisée ; b) immédiatement sous la capsule on voit toute une zone de cellules nerveuses détruites par l'envahisseme
lulaires de leur capsule endothéliale, en d'autres termes toute une zone de nodules ; et nous ferons remarquer encore une
nt immédiatement au-dessus delà capsule ; c) dans le reste de cette zone périphérique les cellules ganglionnaires présen
lula ires di ITèl'entcomplètement de celles qu'on rencontre dans la zone périphérique. Le prolifération des éléments cel
r ces éléments. Les capillaires ne sont pas si nombreux que dans la zone périphérique et on voit seulement quel- ques ar
cléoles se trouvent aussi hypertrophiés que dans les cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en état de dé
lètement disparu, le cytoplasme apparaît coloré en rouge, (b) large zone de substance chromatophile d'aspect poussiéreux,
côté gauche des rayons cataractes périphériques, du côté droit une zone d'opacification centrale occupant le champ pupill
ations dans les réactions de la malade, lorsque l'on pique diverses zones cutanées des jambes. Pas de troubles sphinctéri
amendèrent ; le lobule du nez, blanchit- tre, resta entouré par une zone rosée. Dès le début de l'hiver 1906-1907, les a
coloration permet de la diviser en deux régions très tranchées : la zone centrale, qui est arrondie, occupe le lobule et
presque sans transition que cette coloration fait place à celle de la zone péri- phérique, qui est rouge vineux et qui s'é
Il suffit d'un très léger abaissement de la température, pour que la zone cen- trale devienne bleutée. Dès le mois de nov
Parallèlement à ces modifications de la région centrale, on voit la zone péri- phérique devenir plus saturée, plus viola
encée par celle du milieu extérieur, mais à un degré moindre que la zone centrale. A ce stade, le nez n'est pas douloure
gions est très foncée ; cependant elles se distinguent bien, car la zone centrale a des tonalités bleues, tandis que cel
ar la zone centrale a des tonalités bleues, tandis que celles de la zone périphérique sont rouges. Malheureusement ces c
ongtemps. En somme l'aspect des oreilles est analogue à celui de la zone périphérique du nez. Il se produit également un
atrophies osseuses calcaires tantôt uniformes, tantôt disposées par zones , sont essen- tiellément caractérisées par une a
84 NOICA cules, il quitte la peau -à ce moment il est tombé dans la zone où le toucher est disparu et à partir de ce mom
mbilic et l'épine iliaque, sont situés, nous le rappelons, dans une zone de la peau qui a perdu le sens du toucher. Il n
72 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
être pro- ' voquées sous l'influence de la compression de quelques zones ; de l'hénzianestlaésie sensitivo-sensorielle ;
ou à la suite de la compression de certains points. Il existe deux zones hys- térogènes : la nuque, au niveau de la sept
t dans l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la zone motrice bra- chiale et n'atteignant que très lé
la zone motrice bra- chiale et n'atteignant que très légèrement la zone cru- rale ; et au premier abord rien ne semble
t être infailliblement provoquées par la pression sur cer- taines zones , telles que les globes oculaires et la nu- que,
e lésion des cordons postérieurs et surtout de leur partie externe ( zones radiculaires, faisceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p
osté- rieurs s'étend en bas jusqu'à la région lombaire et que les zones radiculaires des cordons postérieurs sont attei
u inférieurs, quand la lésion des cordons postérieurs a atteint les zones radiculaires postérieures dans les sections cor
inférieure de la moelle est séparée de la par- tie moyenne par une zone détruite. Il y a au contraire souvent des sympt
ce qui prouve qu'à la suite des lésions cérébrales, même lorsque la zone corticale est indemne on peut observer tous les
ient désigne fort net- tement comme étant l'endroit des piqûres une zone qui, sur les avant-bras, .occupe le bord cubita
te probabilité, le bras du tubercule bijumeau inférieur, avec les zones marginales duquel il entre en un rapport intime.
is. La substance grise de la formation réticulaire se compose d'une zone externe limitée dans le bulbe, en dedans par les
les du spinal, du pneu- mo-gastrique, du glossopharygien , et d'une zone interne, origi- naire des cordons antérieurs, l
a protubérance, par les racines de l'oculo- moteur externe. Dans la zone externe, on rencontre : 1° les noyaux du cordon
yau rouge, en dedans du ruban de Reil (découvert par Bechterew). La zone interne renferme : 1° le noyau central de Rolle
ystérie et en particulier l'anesthésie sensitivo- sensorielle ; les zones douloureuses céphaliques, hypogastriques, rachi
ture, sens musculaire). Dans la région occipitale gauche existe une zone extrêmement dou- loureuse qui est le siège des
cule droit est douloureuse, mais la douleur reste localisée dans la zone où l'on pratique la compression. Toutes les aut
s l'écorce, et principalement localisée danscertaines parties de la zone psychomotrice gauche, j'ai seulement, comme ess
e essai, proposé une galvanisation à cou- rants assez faibles de la zone motrice gauche, en appliquant le pôle positif s
bles à une légère altération d'une partie bien circonscrite de la zone psychomotrice gauche, ainsi que l'aphasie, à une
postérieure; la partie externe des cordons postérieurs, ou mieux la zone radiculaire moyenne peut être, par suite, attei
t elle rejette les fibres raphéiques à gauche, gagne ira presque la zone intermédiaire au ventri- cule et à l'aqueduc de
gie, vomis- sements, paralysie à évolution lente se rapportant à la zone motrice du cerveau droit, hyperesthésie indiqua
rice du cerveau droit, hyperesthésie indiquant une irrita- tion des zones sensorielles. Tumeur probable, quoi qu'il n'exi
petit néoplasme (1 cent. de diamètre) pressa suffisamment contre la zone motrice, des contractures de la main et des Arc
ble, dit M. Schulz, que le néoplasme irritait par propaga- tion les zones 7, 8, 11 d'Exner, et le centre 11 de la première
du centre et de la périphérie, l'élection du poison pour certaines zones , pour le système vas- culaire, l'hypothèse de l
d'après sa méthode ou d'après celle d'Adamkiewiez : la théorie des zones chromoleptiques serait fausse. Enfin il discute
ens en vie auxquels on a enlevé tant la sphère du sentiment, que la zone de la vue. En comparant l'allure des animaux mu
al mo- teur, sur les deux derniers, celui de lésion corticale de la zone sensible, conclusion, conforme à celle de Nothn
73 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
dernier cas, il s'agit d'ordinaire de méningite anormalo frappant la zone psycho-motrice et de préférence la région paracen
eloppé au niveau du tiers supérieur qu'au niveau du tiers moyen de la zone psycho-motrice. La circulation, scmble-t-il, y se
l'apport et le dépôt du bacille de Koch dans le tiers supérieur de la zone psycho-motrice, et expliqueraient, par conséquent
x de ces suggestions (1). Enfin M. le Pr Charcot, (1) Pitres. — Des zones hyslèrogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux,
ypnotisation, de même qu'on pourrait l'arrêter par la compression des zones hystéro-frénatrices. Dans un autre ordre de fai
présentée par tous ses éléments plus ou moins nettement dessinés. Des zones hystérogènes diverses devaient, en développant l'
se produit, pour le moins dans beaucoup de cas : en pressant sur les zones hystérogènes, lorsqu'elles existent, on provoque
aques en tout semblables à celles qui se produisent spontanément. Les zones hystérogènes les plus habituellement rencontrées
striques, etc., chez l'un et chez l'autre. Mais il existe certaines zones hystérogènes plus rarement observées et dont la r
décela aucune modification dans l'étendue du rétrécissement. Pas de zones hystérogènes ni hyperesthésiques, sauf la zone hy
récissement. Pas de zones hystérogènes ni hyperesthésiques, sauf la zone hystérogène oculaire, ainsi qu'on le verra plus l
l., 1891, t. XXI, p. 346). Voir plus haut n° XXVI. (2) Pitres. —Des zones hystérogènes et hypnogènes ; des attaques de somm
à la hauteur du sein gauche (ce point est aujourd'hui le siège d'une zone hystérogène), de la dyspnée et des crachements de
olis à gauche; l'ouïe est diminuée du même côté. Enfin il existe deux zones hystérogènes situées, l'une dans la région iliaqu
anée et on peut la provoquer à volonté en pressant sur l'une des deux zones hystérogènes, extrêmement sensibles l'une et l'au
J'ai proféré l'Agence Havas, Disant les faits divers des fantastiques zones , Les combats fabuleux des noires Amazones, Le c
e de manoeuvres diverses, consistant en résumé clans l'excitation des zones hystérogènes. Parmi ces derniers, les points ocul
re le jaune et le bleu. ... offre, en plus, de l'ovarie double, une zone hystérogène sur le vertex, et des zones hystéro-f
plus, de l'ovarie double, une zone hystérogène sur le vertex, et des zones hystéro-fréna-trices dans les deux flancs. Ses at
âillements convulsifs. Ce sont là, à n'en pas douter, de véritables zones hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cess
second ; possibilité de faire cesser les accès en excitant certaines zones hyperesthésiques. * * * L'élément hystériqu
personnalité 2 cela est bien difficile à dire. Il y a là une sorte de zone de transition occupée par des cas mal délimités.
sous le nom de fixation du regard. Il existe peut-être dans l'œil une zone hystérogène, analogue à celle qui existe fréquemm
ue peut cesser à la volonté de l'observateur. Il suffit d'exciter des zones douloureuses (côtés du cou, pharynx) pour provoqu
ment le retour à l'état normal. Ce sont là, en réalité, de vérilables zones hystéro-frénatrices, et je n'ai pas besoin d'insi
deux crises convulsives. Cependant, notre malade ne présentant aucune zone hystérogène, nous nous en tiendrons, jusqu'à nouv
dyschromatopsie, ni polyopie monoculaire, ni micromégalopsie. Pas de zones hystérogènes vraies, mais il existe deux points d
stoïde, un second à deux centimètres au-dessous de cette apophyse. La zone douloureuse est limitée en arrière à trois ou qua
vaisseaux obturés, sous forme de petits cordons sinueux et pleins. La zone périphérique est constituée j par des amas de leu
118. (Voir Somnambulisme hystérique et Vigilambulisme.) Hystérogène : zones —, 84 ; Point — oculaire ou rétinien, 84. L L
; — et somnambulisme hystérique, 86, 161, 162, 190. o Oculaire : zone hystérogène —,84. P Paracentral (région et lobu
74 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amp limité d'hyperesthésie, celui-ci occupe une situation dans la zone de distribution d'un nerf spinal dont une des rac
voilà tout. On comprend tout l'intérêt qu'il y a à reconnaître les zones d'hyperesthésie de la peau qui correspondent aux
l existe, associées avec les diffé- rentes maladies viscérales, des zones définies et constantes d'hy- peresthésie cutané
des zones définies et constantes d'hy- peresthésie cutanée, chaque zone ayant un point maximum où il existe de la doule
zone ayant un point maximum où il existe de la douleur, et que ces zones maxima coïncident avec celles que Mackenzie et
tre celles où apparaît l'herpès zoster. La conclusion était que ces zones représentent la distribution cutanée des fibres
pense que les segments spinaux sensitifs sont mieux définis que les zones des racines, qui, elles, empiètent générale- me
onnels qu'empruntés à d'autres auteurs, pour la délimitation de ces zones , qui sont beaucoup plus faciles à déterminer qu
la hui- tième paire dorsale. Il existait une anesthésie de toute la zone du huitième nerf dorsal à droite, et seulement
ition confirme les vues de Head. De plus, on constatait que dans la zone d'anesthésie, la douleur était inter- prétée co
tellaire, ou du coude, absents. Au-dessus de la lésion existait une zone étroite de sensibilité diminuée, et au-dessous
xistait une zone étroite de sensibilité diminuée, et au-dessous une zone d'hy- peresthésie douloureuse. A l'autopsie, on
ticale de dysesthésie occupant la face externe de la cuisse droite, zone où se montrent les mêmes sensations de brûlure
s'est aperçu de la diminution de sen- sibilité existant dans cette zone . Examen du système nerveux. Partout ailleurs, s
le du'processus morbide en compa- raison de la grande étendue de la zone prise, faible intensité mise en évidence par la
uva une lésion bilatérale et symétrique des cordons latéraux, de la zone d'entrée des racines postérieures, et des racin
e sur la portion de celui-ci que Flechsig a désignée sous le nom de zone radiculaire moyenne; elle correspond, comme siège
une époque intermédiaire à celle où se développent les fibres de la zone radiculaire antérieure et celles des diverses par
ulaire antérieure et celles des diverses parties dont se compose la zone radiculaire postérieure. Parallèlement à cette
e temps que le système de fibres ci-dessus indiqué appartenant à la zone radiculaire moyenne. La lésion, dans le cas p
ite du corps indiquaient la participation d'une grande partie de la zone motrice. Or, il n'est guère qu'une région du ce
colorée de la dure-mère se montrât de tous les côtés entourée d'une zone de dure-mère normale. Après une incision crucia
até une plaque jaune de ramollisse- ment cortical occupant toute la zone motrice de l'hémisphère droit. Le degré de prop
nion suivant laquelle il n'existe pas, dans l'écorce cérébrale, des zones sensitives indépendantes des zones motrices, la
as, dans l'écorce cérébrale, des zones sensitives indépendantes des zones motrices, la motilité, la sensibilité générale
illées des- quelles il importe de retenir surtout ceci : C'est la zone corticale motrice (ascendantes et partie postérie
endantes et partie postérieure des lobes frontaux), c'est encore la zone temporale (surtout en ar- rière), c'est enfin l
es et à la précocité de leur développement. - Eu ce qui concerne la zone motrice, la partie postérieure du lobulé parace
e dorsale. Déjà quelques-unes des parties du segment en ques- tion ( zone radiculaire postérieure, partie centrale) s'étaie
ne graduellement en une dégénérescence secondaire évidente dans les zones margi- nales et provoque des foyers dégénératif
heval; intégrité complète de la substance blanche à l'exception des zones de dégénérescence descendante; 4° légère altéra
mbaire, notamment pour-les racines antérieures et postérieures, les zones radiculaires postérieures, la substance grise. Ra
ns) ; les altérations' disséminées atteignaient' plus' fortement la zone motrice. La dissémination de l'irritation sur l
liser, se cantonner à la région frontale droite, où l'on trouve une zone du volume d'une pièce de cinq francs, excessive
oindre de la jambe diminution simple de l'excitabilité élec- trique zones d'analgésie et de dysesthésie thermique avec reta
extrémités à la lésion des faisceaux pyramidaux; l'intégrité des zones d'entrée radiculaires, notamment dans la moelle l
re, l'auteur après anesthésie et trépanation a essayé d'exciter les zones motrices du cerveau du chien avec un seul pôle.
hémas de Ferrier ces portions excitables sont des points et non des zones que l'emploi de la faridisation uni- polaire pe
75 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e donnera jamais lieu au développement d'une sclérose primitive des zones radi- culaires postérieures ». Eh bien ! notr
nservés; la sensibilité, sous ses divers modes, est intacte; pas de zone hystérogène; le réflexe pharyngien seul fait dé
ou suspendus par les changements de position, par la pression d'une zone spasmo-frénatrice; ils s'observent le plus souv
après une ou plusieurs séries d'attaques du délire, la présence des zones hystérogènes, donnent à l'observation clinique un
nde difficulté au diagnostic nous a été présentée par l'absence des zones hystérogènes. L'analyse des urines, laquelle, s
ifs, délire, attitude passionnelle), et surtout sur l'existence des zones hystérogènes. Cependant il faut se rappeler que
même distribu- tion. Son abolition était absolue seulement dans une zone comprise inférieurement entre le rebord costal
rès antérieurement jusqu'à la moitié du sternum. En dehors de cette zone , la sensibilité ther- mique est seulement affai
u près au rebord costal. Dans la région sus- claviculaire, dans une zone de forme triangulaire ayant pour base 56 PATHOL
transversalement au-dessus du rebord costal, dans la face, dans des zones de-la surface d'une pièce de cinq francs située
gie aurait été l'effet de la compression exercée par les os sur les zones excito-motrices et elle aurait dû être immédiat
ès imparfaits; pas de troubles de l'appareil de la vision, pas de zones hystérogènes, pas de sensation de boule, pas d'at
expliquer la paralysie des extrémités gauches; pas de foyer dans la zone motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
son ne saurait éliminer la participation du lobe occipital. Dans la zone atrophiée du segment le plus postérieur de la c
absence totale des grandes pyramides ; immédiatement sous l'écorce, zones gris clair, parfois séparées de l'écorce par un
es dégé- nérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation de zones mo- trices. Les expériences avec l'ablation d'u
es classiques et stigmates (hémianesthésie sensitivo-senso- rielle, zones hystérogènes) en même temps qu'on pouvait pro-
l'acide osmique : les i-ystoxcs tubulaires sont représentés par les zones claires». SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PRO
l'adminis- tration provinciale n'en indique que 12 dans cette même zone . Une enquête de M. Gübitz sur la ville de Bresl
sverse de la moelle lombaire, on n'en trouve pas une seule dans une zone postéro-latérale de ce cordon; mais on les renc
upent qu'une bande étroite avoisinant la cloison postérieure et les zones externes du même cordon et encore, pas jusqu'à
yéliniques qui a la forme d'un coin à sommet dirigé en avant. Celte zone cunéiforme non organisée commence au niveau de
ent plus Archives, t. XXV. 19 290 SOCIÉTÉS savantes. grand, les zones glabres ont diminué de volume, quoique l'ensemble
reçu leurs gaines de myéline. A cette époque aussi, on voit dans la zone marginale de Lissauer des fibres myéliniques, m
, 35, 42 centimètres. Il faut cependant faire une exception pour la zone marginale de Lissauer qui n'est pas invariablem
sibilité revient sur la main et les doigts, il reste seulement une " zone d'anesthésie en bracelet au niveau du poignet. De
e fut produit dans son état, a quitté le service. Les limites de la zone anesthésique n'avaient pas changé, l'atrophie et
té faradique manquaient complètement. Les limites supérieures de la zone anesthésique passaient les plis ingui- naux en
st l'exaltation de tous les centres corticaux, y compris ceux de la zone psycho-molrice. Toutes les portes sont ou- vert
Dégénérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation des zones motrices, par Jlouratof, 136. Délire chronique,
76 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
f entier; tel est le cas de l'oeuf d'Oursin où l'on reconnaît trois zones superposées. Leur répartition ne correspond d'ail
10 malades de L. présentaient en outre le signe de Babinski : la « zone réflexogène » du phénomène des or- teils n'est
Autopsie : Moelle lombaire supérieure : légère dégénérescence de la zone radiculairedaWestphallàdroite ; légère dégénéresc
,du côté où manquait le réflexe patellaire de la dégénération de la zone de Westphall (« zone de pénétration des racines
le réflexe patellaire de la dégénération de la zone de Westphall (« zone de pénétration des racines »), incomplète mais
énération des cordons posté- rieurs bien accusée mais respectant la zone de pénétration des ra- cines. Il rapproche le I
urance. Cu. Bonne. VIII. -Tumor in der Marksubstanz der motorischen Zone (Arm- region.) Zur Differentialdiagnose zwische
diminuer ou supprimer t'excitabilité des centres particuliers de la zone du membre supérieur, probablement par compressi
autres ; d'a- bord le siège du caillot, qui peut correspondre à une zone silen- cieuse ou explosive de l'écorce. Dans le
hypo- ou analgésie générale res- pectant tantôt le cou, tantôt une zone plus ou moins large du tronc, en forme de ceint
° exagération de la sensibilité tactile ou hyperes- thésie dans une zone de là région lombaire ou de la face postérieure
là région lombaire ou de la face postérieure du thorax, ou dans une zone du tronc en forme de corset ou de ceinture plus
lus ou moins longue. La phase clonique est duc à l'excitation de la zone corticale- motrice. Elle manque : a) quand on e
de la zone corticale- motrice. Elle manque : a) quand on enlève les zones motrices ; b) quand on anémie la couche cortica
rce cérébrale, mais prédominant très nettement : 1° au niveau de la zone de Wernicke et du lobe temporal tout entier ; 2
nées,comme une don- née classique et définitivement acquise, que la zone motrice corticale occupe chez le singe et chez
eux à la méthode bipolaire jusqu'ici em- ployée), ont montré que la zone excitable (motrice) chez le singe anthropoïde n
c'est-à-dire que la pariétale ascendante ne fait pas par- tie de la zone motrice corticale. Ces résultats ont été confir
nérale en faveur de la nouvelle conception sur la topographie de la zone motrice corticale et montrent que, conformément
hui des données jusqu'ici classiques sur la délimitation de cette zone . Nos cas personnels nous autorisent à admettre
aisemblablement, l'origine de la voie pyramidale, et, par- tant, la zone motrice corticale, se trouvent chez l'homme pre
es en faveur d'une participation, quoique très mi- nime, de Pa à la zone , motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Form
ui con- cerne la comparaison des lésions par régions. Ce sont les zones de projection et d'association qui ont été étudié
oter : hémihypoesthésie sensitivo-senso- rielle du côté gauche, une zone d'hyperesthésie du tronc en forme de ceinture,
s dégénérées des'cordons posté- rieurs,cheminent ensemble. Enfin la zone incriminée par Reichardt appartient à un segmen
niveau des couches profondes de l'écorce des lobes frontaux et des zones centrales, ainsi qu'en témoigne l'abondante proli
es ayant son maximum à leur point de passage dans le canal durai (« zone fragile » de Na- geotte). Secondairement se pro
être produite par une lésion limitée à la partie anté- rieure de la zone du langage, c'est-à-dire à la zone de Broca, sa
e à la partie anté- rieure de la zone du langage, c'est-à-dire à la zone de Broca, sans participation aucune à la lésion
ive de l'opercule rolan- dique, des circonvolutions motrices, de la zone de Wermcke, des noyaux gris centraux. Mais c'es
devra-t-on le faire pour les cas difficiles et embrouillés de la « zone frontière », lesquels nécessitent plus particuliè
ar Ileilbronner, p. 463. Tumeur dans la substance blan- che de la zone motrice (région du bras).Sur le diagnostic diff
77 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
rès vive, presque constante. Pas de points hyperesthésiques. Pas de zones hystérogènes (testicule, point pseudo-ovarien,
gmates consistant en une hémianesthésie sensitivo-sensorielle, sans zones hystérogènes ni attaques. Quel que soit d'aille
te du trem- blement. Dès qu'on pressait légèrement sur l'une de ses zones hysté- rogènes, le malade était pris d'une quin
ême artificiellement provoqué son aggra- vation en excitant une des zones hystérogènes : le stationnement debout t devena
ous l'influence des émotions, ou bien encore lorsqu'on excitait une zone hystérique (chez le nommé IIacq...), la trémula
a suite des attaques, ou bien sous l'influence de' la compression des zones hystérogènes, lorsque le tremblement des membre
spontanées ou provoquées et lorsqu'on excite légère- ment l'une des zones hystéro5ènes qui existent chez le malade. Tandis
ue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux zones hystérogènes siégeant, l'une près du bord spinal
boli dans les membres supérieur et in- férieur du côté droit. Les zones hystérogènes précédemmentjudiqnées persistent.
de cela, semble-t-il, une déformation d'origine rachitique. Pas de zone de matité rétro- sternale. Il n'existe pas de
-On est frappé tout d'abord de l'apparence spéciale que présente la zone des cornes anté- rieures correspondantau groupe
corne exclusivement : aussi semble-t-il que le groupe externe et la zone qui lui correspond dans la corne antérieure son
tunique externe tuméfiée. Il en est enfin qui sont entourées d'une zone hémor- rhagique. Du reste, on trouve disséminés
ment de la peau, la piqûre, ne déterminent aucune dou- leur. Sur la zone limitrophe de ces régions la piqûre produite par
tre en communication avec leurs centres régulateurs compris dans la zone psycho-motrice, et toute irri- tation qui s'exe
be. Les exemples en sont rares, car elle contourne difficilement la zone dangereuse du pneumogastrique. Laissant donc po
Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radiculaire postérieure droite. Presque tout le
clérose en plaques dans une région extrêmement altérée : seules les zones margi- nales et une partie de la substance fond
es (fort grossissement) : a, Tubes normaux; b, Tissu conjonctif; c, Zone moyennement altérée; d, Tractus pie-mérien; e, Va
. - Sclérose en ]>laques. Région très altérée; a, Partie saine; b, Zone mar- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux lat
78 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
rier 1880). -Etat du malade en mars : hémianesthésie sensorielle. Zones hystérogènes (clou hystérique, etc.), prédominant
de au travail. Il n'aurait pas d'habitudes d'onanisme. Examen des zones hystérogènes. - Il existe différentes zones che
'onanisme. Examen des zones hystérogènes. - Il existe différentes zones chez notre malade, au niveau desquelles la pressi
tion d'un tapotement qui répon- drait dans toute la poitrine. Cette zone envahit les gout- tières vertébrales correspond
tières vertébrales correspondantes, également des deux côtés. 3° Zones symétriques à droite et à gauche dans le cinqui
inter- costal gauche, à quatre ou cinq centimètres du rachis. 5' Zone au-dessus de la poignée du sternum sur une hau-
tres. 6° Points hystérogènes symé- triques au niveau des flancs. 7° Zones au niveau des deux régions répondant à peu près
ant à peu près au centre des fosses ilia- ques et correspondant aux zones « ovariennes » ; celle de gauche est la plus ne
graphique de la Salpêtrière (tome III) une description complète des zones hystérogènes. 60 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. boule lui
. Grand arc de cerclo. Dou- leur vive à la pression au niveau de la zone hystérogène dorsale. Grands mouvements ; rire e
er à la tête ; me fait signe qu'on lui a fait mal à la jambe. Les zones hystérogènes se montrent beaucoup plus sen- sib
nués et se montrent moins sensibles à la pression. Au niveau de la zone dorsale, la sensibilité à la chaleur paraît dim
arfois des hallucina- tions de la vue (7 avril 1880). L'aura, les zones hystérogènes, l'hérnianesthésie avec ses altern
ément du tronc de la cérébrale moyenne, se trouve en- globé dans la zone ischémiéc. II. Nous n'avons que peu de détails
79 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
res ou chimiques de l'assimila-tion et de la désassimilation dans une zone d'une certaine étendue en dehors de leur surface.
e consé-cutive à l'hémorrhagie cérébrale. — a, Partie mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse. parties médianes, mais bien ver
la région dorsale de la moelle épinière. — a, Partie mortifiée ; — b, Zone érythématheuse. est habituel, lorsque les malad
actères histologiques des plaques de sclérose. —Coupes transversales: zone périphérique ; — zone de transition : — région ce
des plaques de sclérose. —Coupes transversales: zone périphérique ; — zone de transition : — région centrale. — Coupes lon-g
forme, à la partie périphérique de la coupe, un anneau, ou mieux, une zone , d'une certaine épaisseur et où les tubes nerveux
taine épaisseur et où les tubes nerveux font absolument défaut. Cette zone est recouverte à l'extérieur et enveloppée, pour
athologique, un intérêt incontestable (1). Du bord interne de cette zone ou couche corticale, on voit naître et se détache
rond ou ovalaire, muni de petits nucléoles, aplatis et]entourés d'une zone granuleuse. Avec un bon objectif à immersion,donn
il est facile d'apprécier tous ces détails et de reconnaître dans la zone granuleuse,une lame de protoplasma qui, avec le n
ies cen-trales, on est conduit à reconnaître l'existence de plusieurs zones concentriques, répondant aux phases principales d
, répondant aux phases principales de l'al-tération (1). a) Dans la zone périphérique, on observe ce qui suit: les trabécu
abondante que dans l'état sain (2). b) Les tubes nerveux, deuxième zone , que l'on pour-rait appeler zone de transition, s
2). b) Les tubes nerveux, deuxième zone, que l'on pour-rait appeler zone de transition, sont devenus encore plusgrêles. Be
aux sont moins nombreux, moins volumineux qu'il ne l'étaient dans les zones périphériques ; ils se sont rétrécis dans tous le
urcissement par l'acide chromique. A l'origine, c'est-à-dire dans les zones périphériques, les parois de ces vaisseaux, même
parties les plus extérieures de la plaque (3), ou, autrement dit, les zones périphériques ou de diverses espèces de corps g
s surtout en visions d'animaux, chats,rats,vipères, corbeaux, etc..La zone hysté-rogène est plus sensible; il suffit d'une l
s sensible; il suffit d'une légère excitation des téguments sur cette zone pour faire éclater les convulsions. On voit souve
ce de la com-pression des ovaires, celle du frottement exercé sur les zones hystérogènes, et celle de l'intervention des cour
s-uns sont très profonds. e, Vaisseaux très apparents au milieu des zones scléreuses. f, X7aisseaux devenus de plus en pl
-mère), dominant et empêchant de voir la vascularisation spéciale des zones scléreuses. Fig. 3. — Coupes horizontales, fait
tères histologiques des plaques de sclérose. — Coupes transversales : zone périphérique ; — zone de transition ; — région ce
s plaques de sclérose. — Coupes transversales : zone périphérique ; — zone de transition ; — région centrale.— Coupes lon-gi
80 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rochement est encore plus complet. Nous savons que l'excitation des zones hystérogènes, parmi lesquelles compte au premie
cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésions des zones motrices entraînant manifestement des dégénéres-
DÉVELOPPEMENT PRODUITS SUR LE CERVEAU DU LAPIN PAR L'EXTIRPATION DE ZONES CORTICALES circonscrites ; par C. YON MONAKOW.
o-moteurs du cerveau. Seulement au lieu de déterminer par avance la zone des circonvolutions qu'il lèse, M. 111onahow ré
ns la moelle, l'ex- périmentateur croit que la partie moyenne de la zone atteinte constitue une sphère physiologique spé
petite partie de ce dernier organe survivant à l'extirpation de la zone visuelle devrait être considérée comme noyau pure
étails déjà entrevus par Luys en 186b. P. K. IV. Des rapports des zones corticales motrices avec les voies pyramidales
rescence secondaire, même quand ils appartiennent exclusivement aux zones mo- trices. En voici le sommaire : Observatio
PATHOLOGIE NERVEUSE. vétique sur les avant-bras et les mains. Deux zones d'hypoes- thésie au tact et à la température :
et cinq centi- mètres dans le sens transversal. Elle se compose de zones d'aspect différent. Au centre existe une tache
nt les faisceaux latéraux cérébelleux de Fleclisig, mais encore une zone placée en avant d'eux à la périphérie dans la m
la périphérie dans la moitié antérieure. On se demande si c'est une zone sensible, car on la trouve aussi dégénérée dans
é générale et spéciale) avec une lésion profonde d'une partie de la zone motrice. Ce fait vient à l'encontre des idées t
ard des sensations de contact. Pour Munk et, Tripier, .en effet, la zone sensitive, serait exactement ! superposée ! à,,
n ''n'était1 pa's"fondée;'1nous avons cherché à établ irl queil la- zone . motrice, était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) ,
zone. motrice, était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) , cluse dans la zone sensitive, mais qu'e)tebn'était'pas toute la zo
, cluse dans la zone sensitive, mais qu'e)tebn'était'pas toute la zone sensitive ? et que, par'suite,lies' de la sensi
comme un des caractères habituels des altérations corticales de la zone motrice, et des idées que nous avons émises, co
tre translucide, existe, dans toute l'aire des cordons postérieurs ( zone radiculaire interne et cordons de Goll). Elle o
tion'de quatre bulles, larges,remplies d'un liquide clair;[dans une zone limitée par la ligne, médiane, le, bord inférieur
J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la substance nerveuse, une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ? H ? ))lin.1 ? f,.
ents pour produire une réaction du côté opposé. Inversement, qu'une zone céphalique ait échappé peu ou point à l'anesthé
identiques' cellcs'quisuivont'ie transfert; avec son absorption la zone rétinienn (nasale);insensibleàl'impi'es sion ph
localisées dans- l'espèce aux grandes cellules (pyramidales de la zone corticale motrice. 2° Voici le cas décrit sous
ques; le second, par une lésion diffuse,- avec ramollissement de la zone péri-insulique du côté gauche ;,cliniquement on
es ar- rêts de développement produits sur le-par l'extirpation de zones corticales circonscrites), par Mo- ttalcotv,
Cerveau (altération insolite du), 40». Cerveau (des rapports des zones corticales motrices avec les voies pyramidale
81 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(la godronnée et celle de l'hippocampe) sont séparées par une mince zone (e), dans laquelle on trouve de nombreux vaisse
sayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les zones hystérogènes de l'aisselle n'amène qu'une viole
ain. Le 27 la pleurodynie a disparu, et on voit se développer une zone de sensibilité de 2 centimètres de largeur enviro
imètres de largeur environ autour du soulèvement épidermique. Cette zone se confond en bas avec la zone ordinairement se
du soulèvement épidermique. Cette zone se confond en bas avec la zone ordinairement sensible. Le 1 mars la sensibilit
sibilité persiste encore sur la surface du vési- catoire et dans la zone périphérique, mais la malade se plaint de doule
et siégeant dans la région lombo-abdominale droite par- tant de la zone hystérogène dorso-lombaire et s'étendant obliqu
eloppé sur le trajet des nerfs qui ont leur origine au niveau de la zone hystérogène dorso-lombaire. Il est en outre à r
is où le zona s'est dé- veloppé, la malade n'a pas eu d'attaque. La zone hys- térogène semble avoir déterminé la localis
urément du tronc de la cérébrale moyenne, se trouve englobé dans la zone ischémiée. II. Nous n'avons que peu de détail
cci- pitales du singe et des microcéphales). 2° La pauvreté de la zone corticale. Tandis que dans trois cer- veaux que
de légers coups frappés à côté des troncs nerveux et en dehors des zones électro-motrices n'entraînent de contrac- tions
à la douleur, et à la température dans les parties paralysées ; 3° zone d'anesthésie peu considé- rable dans les partie
a lésion ; 4° hyperes- thésie plus ou moins étendue au-dessus de la zone 18 27t CLINIQUE NERVEUSE. anesthésique ; 5°
tion parfaite des mouvements volontaires et du sens musculaire ; 3° zone peu étendue d'hyperesthésie à un faible degré a
tir en avant, entre la clavicule et le mamelon. Au-dessous de cette zone étroite d'hypcresthésio, l'anesthésie s'étend,
28 il CLINIQUE NERVEUSE. l'insensibilité revient d'abord sur une zone limitée qui entoure )'oei), comprenant la conjo
t de la sensibilité du côté droit ; jamais nous n'avons constaté la zone transversale d'anesthésie qui, d'après M. Brown
ère la même région, c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de la zone motrice. Cette localisation du centre de l'hémian
ui ne fait d'abord que les éblouir. Pareil à un globe de feu, à une zone dentée rouge ou blanche, phosphorescente, vibra
plète et régulière. L'auteur étudie d'abord en détail l'ovarie, les zones hysléro-épileptogènes, les hallucinations, les
ion de l'ovaire, des interversions électriques, de l'excitation des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux signes déjà
82 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
nsitifs ou sensoriels ni de rétrécissement du champ visuel ; pas de zones hyperosthésiques ou hystérogènes. Sommeil sans ca
mes hystériques simulateurs des maladies par lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone motri
lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul des centres
e motrice corticale limitées à un seul des centres moteurs de cette zone ou bien à deux centres voisins ne sont en rapport
ale, dont les lésions sont le plus ordinairement localisées dans la zone motrice du bras. C'est même celle contracture t
tement aux lésions des divers centres moteurs. En nous bornant à la zone motrice, suivant que la lésion limitée atteindr
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sions occupant, même d'un seul côté, la zone visuelle de l'écorce, quand on n'a pu découvrir
la veine, la seconde il sa membrane interne. Au niveau de ces deux zones , les cellules rondes sont tellement nombreuses qu
on. En de certains points, il existe seulement sous la pie-mère une zone de peu d'importance au niveau de laquelle la co
t normal entre les tubes. Mais ceux-ci ne sont pas altérés ; pas de zone décolorée sur les préparations traitées par la
voisinage du pli courbe (Grasset et Landouzy), soit plutôt dans la zone motrice corticale (Rendu, Pétrina, Tripier). Il e
se montre sous forme de crises et qui coïncide avec la présence de zones hystérogènes du cuir chevelu. La constatation de
sence de zones hystérogènes du cuir chevelu. La constatation de ces zones , faite en dehors des crises est d'une grande va
éprouver la moindre douleur. Cette brûlure fut longue à guérir. La zone d'anesthésie s'accrut progressivement. Une plaq
deux francs, il bords taillés à pic, décollés, circonscrits par une zone d'épiderme blanchâtre, inégal, squameux. Ces bo
Les sensations de froid et de chaleur sont abolies sur ces petites zones analgésiques et, de plus, sur le front, au-dess
eur est réveillée par la piqûre. Celle-ci est perçue sur une petite zone triangulaire de la paume de la main. Tout le rest
que présentait pour lui l'excision d'un petit filet nerveux dans une zone in- sensible, nous avons réséqué pour en faire
essous (fig. il, ils»; les parties anesthésiques étaient entourées de zones d'altération graduelle de la sensibilité. En
rès intéressées des deux côtés. A gau- che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les cordons postérieurs
dégénérée ; un grand nombre de fibres nerveuses ont disparu. Cette zone marginale présente en outre la coupe de petits
infiltration du périnèvre; dégénérescence des fibres nerveuses de la zone péri- phérique (Méthode de PAL). DE LA 11GNIN
la sensibilité s'accentuent en proportion : dou- leurs en ceinture, zones d'hyperesthésie, points pseudo-névralgiques, tels
83 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se présentant sous l'aspect de noyaux foncés, entourés ou non d'une zone claire, de dimensions variables. Les vaisseau
latéral que se dirigent les fibres qui vont se terminer dans cette zone . . P. K. XIII. La réaction chimique DE la sub
sé lorsqu'il s'est agi des animaux adultes. En ce qui concerne la zone motrice chez un lapin nouveau- né, l'ablation d
ent disparu. Et cependant, chez le chat, la résection a détruit une zone d'un millimètre eu arrière du gyrus postcru- ci
s les mouvements, par suite d'ablations profondes et étendues de la zone motrice dans les deux moitiés du cerveau, ce ch
chien n'était pas paralysé, n'était pas aveugle, et cependant, les zones dites motrices et visuelles avaient été anéanties
on lui fait sup- porter. Une exploration attentive ne dénote aucune zone d'anes- thésie ou d'hyperesthésie. La sensibili
jambier antérieur. M. Westphal l'ait remarquer que l'intégrité des zones radiculaires posté- rieures explique la persist
cette aura périphérique peut être- provoquée par l'exci- tation de zones épilepto-ènes et peut de même être interrompue
- vii7a ? ,, des trousseaux de fibres du nerf optique émanent de la zone marginale médiane et caudale, c'est-à-dire dire
ptique a pour origine les mêmes éléments que dans le pulvi- nar. La zone dont il tire ses fibres a une situation principal
endantes, la troisième temporale, l'opercule, l'iusula, le siège de zones jaune-clair, unies, planes ou bossuées, affecta
sal. La corne postérieure se composerait de trois segments : io Une zone spongieuse dans la substance gélatineuse, conti
io Une zone spongieuse dans la substance gélatineuse, contiguë à la zone mar- ginale, dans laquelle s'épuiseraient princ
inale, dans laquelle s'épuiseraient principalement les fibres de la zone marginale; 2° la substance gélatineuse proprement
à la base delà corne postérieure, et se décompose à son tour en une zone postérieure et une zone antérieure; cette parti
térieure, et se décompose à son tour en une zone postérieure et une zone antérieure; cette partie de la corne pos- térie
racine, dévient en dehors et se forment en une pyramide ascendante ( zone marginale de la corne postérieure); un segment
ire. On en a examiné parti- culièrement : 4° les fibres fines de la zone marginale; 3° les ' Voy. Archives de Neurologie
; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du cordon postérieur ( zones radiculaires de Struempell); 5*- les colonnes d
(zones radiculaires de Struempell); 5*- les colonnes de Clarke. La zone marginale, système.spécial appartenant particul
re sont moins souvent affectées, et toujours plus faiblement que la zone marginale ; sans doute il existe certaines rela
certain temps avant que le processus morbide se soit propagé de la zone marginale aux fibres intérieures de la corne en
spondantes des mêmes cordons dont elles émanent; elles viennent des zones radiculaires, et manquent de bonne heure, tandi
n cas les cordons antérieurs n'étaient altérés : une seule fois les zones radiculaires externes des cordons postérieurs éta
84 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 45 développement limités à une zone cranio-cérébrale, des malformations osseuses, e
nt dépendre exclusivement de l'excitation des cellules grises de la zone rolandique. (Revue neurologique, mai 1903). E.
t très limitée dans les racines antérieures correspondantes. Pas de zone d'anes- thésie : les troubles de sensibilité co
té tactile est la mieux conservée. Enfin, la' limite supérieure des zones anesthésiques est insensible. Vous pourrez faci
correspondante du cuir chevelu dans son segment antérieur. Cette zone répond au territoire de distribution des deux b
lumeau de 10 centi- mètres. On excite l'écorce du cerveau. Quatre zones produiraient un effort de l'accommodation, tdntde
te sur la région occipitale antérieure (chien et singe). Une petite zone est située sur le gyrus angulaire (pli courbe),
l. Des variétés des conditions expérimentales, il résulte que les zones occipito-pariétates joueraient très probablement
nt très probablement le rôle de centres réflexes contrairement à la zone de la région motrice- D'ailleurs l'effort accom
Impossible de noter de relations constantes entre l'excitation des zones corticales quelconques sus-énoncées et le resserr
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lement au bord opposé de cet os : la zone sensible forme un cercle irrégulier du diamètre
ux axillaire. Il semble que la malformation cutanée occupe toute la zone radiculaire du mem- bre à l'exception- de la ba
ltération de la substance grise du cer- veau, et principalement des zones d'association, par des poisons vraisemblablemen
oce (diminution du nombre des cellules py- ramidales, en dehors des zones psychomotrices, sans modification delà forme ce
t de noyaux, au segment d'un membre correspond, dans la moelle, une zone qui comprend les noyaux fonctionnels précédents
s précédents. Le renflement cervical, par exemple, com- prend trois zones d'innervation segmentaires répondant aux trois
ments du membre supérieur, bras, avant-bras et main; chacune de ces zones est subdivisible en groupements nucléaires foncti
bles périphériques résultant de la lésion médullaire occupent des zones limitées par des lignes perpendiculaires à l'axe
re (Déjerine) où les troubles 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. occupent des zones limitées par des lignes parallèles à l'axe des
yau existe au niveau du noyau réticulaire de la protubérance et des zones internes du noyau du facial; il est situé en de
st un peu plus accentuée du côté correspondant à la lésion. Dans la zone des tubercules quadri- jumeaux postérieurs la p
de l'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-arachnoïdiens dans la zone motrice corti- cale. Bechterew a déjà noté que
l'écorce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la zone motrice, en dedans, près du bord de l'hé- misph
taine épaisseur. On en reconnaît dans la couche des grains, dans la zone moléculaire. La plupart de ces éléments ont le
peut rele- ver cette remarque relativement à la délimitation de la zone motrice que des ressemblances de configuration
comparée l'identité fonctionnelle de deux régions. Chezl'homme, la zone motrice serait avant tout prérolandique. L'étud
nique. LXVIII. Tic tonique du membre supérieur droit; par IiUDLn. zone . Iconogr. delà Salpétriêre. N° 4. J 913.) Jeune
85 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
sés, les faisceaux cérébelleux directs, les cordons postérieurs, la zone de Lis- sauer ; le triangle de Gomhault et Phil
- cale, et en plus s'étend à cette colonne cellulaire qui occupe la zone postéro-externe des cornes antérieures et qui v
1), montre qu'une excitation de l'écorce cérébrale, au niveau de la zone psycho-motrice, peut non seulement déchaîner des
P. XV, A) : elles ne sont visibles qu'au micros- cope, dépassent la zone irradiée et s'étendent également en largeur et en
. Ellesoccupent la régioncervico-dorsale et répondent assez bien la zone irra- diée ; on n'en rencontre pas dans la régi
ais il m'a paru que les choses se passaient comme s'il existait une zone consciente et je ne me rappelle pas, dans les n
elles. Elle peut être dirigée vers l'étage supérieur, atteindre la zone consciente et alors elle est perçue, mais il es
sciente. Si celle-ci avait parcouru l'axe réflexe sans atteindre la zone consciente, elle au- rait constitué une « pensé
olonne vertébrale et des côtes, raréfaction des fines travées de la zone spongieuse, diminution d'épaisseur des diaphyse
t périphérique. Mais c'est surtout au niveau de l'épiphyse et de la zone d'union avec la diaphyse que les modifications
s l'angle fémoro-tibial et est séparé du reste de la rotule par une zone transparente. Ce fait indique assez nettement l
uve de l'atrophie et de la pseudo-hypertrophie ou tout au moins des zones d'empâtement localisées plus ou moins et d'une co
du triceps brachial jusqu'à trois doigts au-dessus, elle envahit la zone externe de la région et dessine un relief sensi
leur direction et de temps en temps elles sont interrompues par une zone plus claire d'ostéite raréfiante. On peut encor
l'examen radiographique qui nous démontre en plusieurs endroits des zones d'ostéite raréfiante avec diminution des sels m
granuleuse présentant quelques noyaux en partie détruits. Dans la zone d'extension du néoplasme, les vaisseaux sont dist
entuée à la face antéro-externe des deux jambes. Il n'existe pas de zone d'anesthésie complète. Le retard de la perception
volume d'un abricot sous-jacente au corps calleux, composé de deux zones , comprimant la protubérance en bas, se soudant à
au thorax n'est pas nette, car il y a, à la hauteur des seins, une zone d'une hauteur de quelques centimètres où elle p
ns sont moins distinctes que plus haut sur le thorax. De même, aux- zones d'innervation des segments sacrés, nous constaton
ixée. La pie-mère est opaque, légèrement épaissie, surtout dans les zones supé- rieures de la moelle épinière. L'examen m
s artères, en particulier dans l'artère spinale antérieure. Dans la zone supérieure, la pie-mère montre un épaississement
Le cubital et le radial étaient fonctionnellement intacts. Dans la zone innervée par le médian, il y avait des troubles d
: 1° Sur la face et la tête, normale ; 2° Sur le tronc : petites zones d'hypoesthésie au contact et à la douleur aux e
. SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABETIQUE 513 2° Sur le tronc : zone d'hypoesthésie tactile et à la douleur au voisina
A la main, partout hypoesthésie aux diverses formes très accentuées ; zones d'anesthésie sur le côté cubital des deux mains
elle fait sur la verticale est très notable. Le sacrum présente des zones de transparence anormale ; de même la 5e ver- t
rien qui caractérise une colonne vertébrale; on voits'accentuer des zones plus obscures dans le sens vertical qui correspon
une masse osseuse amorphe, irrégulièrement t cylindrique, avec des zones de raréfaction et des zones de néoproduction osse
irrégulièrement t cylindrique, avec des zones de raréfaction et des zones de néoproduction osseuse. Notre radiographie co
uelque distance de la périphérie de la moelle. A la région dorsale la zone de dégénération est triangulaire à sommet exter
des régions dorsale inférieure, lombaire, et sacrée, elle occupe la zone que l'on assigne classique- ment au faisceau py
follicules. Le premier processus est caractérisé par la présence de zones fibreu- ses, d'où partent des tractus également
igeant en sens divers. Les follicules situés à la périphérie de ces zones , sont petits, irréguliers, et contiennent des c
res et obstruant complètement la lumière de ces follicules. Dans la zone envahie par cette dégénérescence fibreuse, on n
es glandulaires. Quant aux autres follicules situés au dehors de la zone fibreuse, ils sont quel- quefois dilatés outre
86 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nesthésies hystériques des muqueuses et des organes des sens et les zones hystérogènes des muqueuses. Recherches clinique
sente des plaques d'anesthésie disséminées. Ailleurs, ce seront des zones hypéresthé- siques, alternant avec l'anesthésie
rmes est nulle jusqu'à un centimètre au-dessus du poignet ; là la zone anesthésique se termine par une manchette circu
leur sensibilité normale, au-dessous, l'analgésie est absolue, sans zone de démarcation intermédiaire. Cette disposition
rrompues. Mais on peut les interrompre par la compression d'une des zones hystérogènes et ces zones compren- nent les rég
interrompre par la compression d'une des zones hystérogènes et ces zones compren- nent les régions ovarienne gauche, sou
provoque de même par la fixation du regard ou la com- pression des zone = hystérogènes (ovaii es, régions sous-mammaire
ammaire et scapulaire droites), que l'on pourrait appeler pour cela zones hypnogènes. L'attaque provoquée peut être ana
ller la malade, il faut avoir recours à la compression de l'une des zones hypnogèncs, mais de préférence à celle des ovai
s une attaque avec les bras en croix. 8. On découvre une nouvelle zone hypnogène, ce sont les HISTOIRE D'UNE HYTÉRIQUE
Elle résiste encore un peu et puis s'endort; 3° la compression des zones hypnogènes qui sont situées chez elle dans les
estion est encore plus nettement absente dans la compression de ces zones hypnogènes, bien étudiées par Pitres chez ses m
: par la suggestion, par la fixation du regard, par la pression des zones hypnogènes, nous arrivons toujours au même type
verse et revenir du second au premier degré en com- primant une des zones hypnogènes, qui sont en même temps hypnofrénatr
-hypnotiques sont impossibles; l'histoire du réveil et l'action des zones hypnofrénatrices; les paralysies suggérées qui
sens musculaire n'avait pas souffert. L'anesthésie s'étendait par zones ; plus tard elle envahit aussi cer- tains segmen
ution pariétale supérieure. Autour de ce tubercule, il existait une zone de ramollissement inflammatoire. On constata la
et deuxième circonvolutions primitives, de la partie médiane de la zone antérieure du gyrus sigmoïde (en avant du sillo
ex- terne ou moyenne du segment antérieur du gyrus sigmoïde et la zone adjacente de la deuxième circonvolution primitive
entre-croisement. Toute vraie pyramide prend son origine dans la zone motrice de la surface du cerveau, gagne la partie
du mot. Dans le type complet, la céphalalgie est localisée à une zone circulaire, à maximum occipital, donnant l'impres
is fréquemment la douleur s'atténue à la partie antérieure de cette zone , et la sen- sation se réduit à celle d'un demi-
87 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es constipations opiniâtres, et vers la dixième côte elle porte une zone très sensible qui amènerait facilement une cris
constaté chez lui, ni anesthésie, ni hypéresthésie partielles,' ni zones hystérogènes, ni sensibilité testiculaire. La
raître aussitôt, persiste quelques instants : elle se borde de deux zones érythémateuses diffuses qui s'élargissent dans
émie vaso- motrice.) 2° Quelques instants après, apparition d'une zone érythémateuse large et diffuse due à la dilatat
t pas plus de 4 p. à 1 M 3. Ce triangle offre en arrière de lui une zone diffuse plus foncée que les parties adjacentes du
on des faits physiologiques, l'auteur est arrivé à en rattacher les zones supérieures à l'olive inférieure, au milieu de
ait en être cherchée dans le lobe occipital ou temporal. Quant à la zone diffuse, elle passe aussi dans l'olive inférieu
. P. IEIt 1\' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\ zone motrice DU cerveau; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f.
E. Suivant cet auteur ce corps n'est, pas localisé dans certaines zones claromoleptiques, comme le croyaient Adamkiewiz e
rs; elle est également plus avancée dans le lobe frontal et dans la zone psycho-motrice que dans le lobe occipital. On t
antérieure du côté opposé, soit directement, soit en traversant la zone radiculaire antérieure. Les fibres grêles se déve
ensibilité (gliome central de la moelle cervicale ? ). Lésion de la zone radiculaire des nerfs cervicaux gauches, gliome
mmédiatement cpntiguë au côté interne des deux cornes postérieures ( zone d'en- tréeradiculnire de Weslplial) ; cette ban
atéraux (lésion symétrique bilatérale associée). Géné- ralement les zones d'entrée des faisceaux radiculaires dans les co
nomènes de déficit, du côté opposé à la lésion. L'extirpation de la zone céré- brale symétrique droite élucidera la ques
e fait d'une véri- table suppléance, et que celle-ci était due à la zone corticale de l'hémisphère droit. » Qu'ont à rép
fréquemment lésées. A l'aide de cet artifice chromographique, une zone corticale assez étendue se détache des régions
tache des régions environnantes restées intactes : c'est dans cette zone qu'est le centre cherché, ou plus exactement da
le centre cherché, ou plus exactement dans l'aire centrale de cette zone . Là est le centre absolu de la fonction cortica
e localisation cérébrale, et l'ex- tension qu'ils accordent à leurs zones corticales sen- sorielles et sensitivo-motrices
't'eat. Outre la dégénérescence des cordons postérieurs et d'une zone périphérique du cordon latéral, le faisceau pyra-
des sensations cutanées. Il y a une identité complète, entre les zones motrices corticales sensitives et motrices. Quand
ts de convergence des - au début du tabes) par Wattevilte, 294. Zone motrice (étude de la du cer- veau), par Koning,
88 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on observe une dégénérescence des fibres radiculaires postérieures ( zone cornu-radiculaire; zone des bandelettes externe
cence des fibres radiculaires postérieures (zone cornu-radiculaire; zone des bandelettes externes); cette dégénérescence
t les douleurs fulgurantes des tabétiques. Parfois aussi il y a des zones d'hypoesthésie ou même d'anesthésie à type radi
ffuses, n'obéissant à aucune systématisation, étendues à toutes les zones radiculaires, partout avec une intensité sensib
zones radiculaires, partout avec une intensité sensiblement égale ( zone cornu-radiculaire ; bandelettes . externes ; ch
NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent être atteintes : par exemple, les zones radiculaires antérieures., les racines antérieu
servations recueillies dans le service. Fréquemment, on observe des zones d'hypoesthésie pour tous les modes de la sensib
nt de petits îlots membraneux de formation osseuse, entre- mêlés de zones non calcifiées ; cette disposition s'observe surt
ppui de la thèse de rlerUsig, d'après la- quelle toute lésion de la zone d'association postérieure entraîne de la confus
tude des aphasies et paraphasies endopha- siques. G. Examen de la zone sensorielle ou motrice de même nom que le centr
Brown-Séquard quia montré qu'on pouvait déterminer l'apparition des zones épilepto- gènes chez le cobaye en coupant le sc
troubles subjectifs ou objectifs, parmi lesquels on peut ranger la zone symptomati- que ; névrite sensitive, caractéris
qui torturent la malade. Au point de vue objectif, on remarque une zone d'a- nesthésie douloureuse sur le bord interne
à l'admettre pour ma part. Je vous signale à la base gauche. une zone de matité remontant jusqu'à l'angle inférieur de
l'anesthésie à la douleur est légère et se trouve seulement dans la zone radiculaire externe. L'anesthésie thermique occ
oite ramollissement en bouillie du lobe occipital occupant toute la zone visuelle ; à gauche ramol- lissement moins pron
erins sont normaux. Au point de vue sensitif le malade présente des zones hyperes- thésiques et spasmogènes ; la sensibil
'un mois, en pleine déchéance, et l'autopsie montre au niveau de la zone motrice gauche une ulcération corticale avec os
obable du brachial antérieur, ](é1'atodel'mie palmaire limitée à la zone du médian. M. F. Dainville. Quinze jours après
us ou moins complexe, plus ou moins consciente, qui descend de la zone psychique dans les centres sensoriels, d'où elle
trajets anatomiques appropriés à la con- nexion centrifuge entre la zone psychique supra-sensorielle et les centres cort
e interne. Chez cette malade, un foyer de ramollissement a lésé ces zones vaso- motrices en même temps qu'il a atteint le
... fait remarquer que malgré la présence d'une grosse lésion de la zone motrice droite, les crises ont toujours gardé l
ienne, on est autorisé .à aller voir s'il existe une lésion dans la zone correspondante, mais qu'il ne faudra pas trop s
ans le gliome du malade en question, malgré sa situation en pleine zone motrice, a donné seulement des crises et ce n'e
tance, elle déployait une force étonnante. Pour ce qui concerne ses zones hystérogènes, ses contractures, ses tremblement
able du hra- chial antérieur. Kéiatodermie pal- maire luuilée àla zone du médian, par Daillville. 312. - bulbaire, v
89 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
le trajet du sciatique. Novembre. - On constate l'apparition d'une zone d'hyperesthésie occupant tout le membre inférie
uses, en dedans. Ces dernières séparent le nodule circonscrit d'une zone d'infiltration néoplasique diffuse qui gagne le
ncipale, circons- crite, on trouve sur les côtés et en arrière, une zone d'infiltration diffuse, qui envahit dé,à presqu
térieurs, dont il n'existe plus que de rares fibres isolées, et les zones radiculaires des deux côtés. La partie profonde
égénération. Dans la partie supérieure du renflement cer- vical les zones radiculaires des deux côtés sont fortement com-
t en avant les fibres du ruban de Reil remarquablement intactes; la zone dégénérée se réduit donc ici a une très mince b
modes. - C'est seulement au mois de novembre 1889 qu'apparaît une zone d'hyperesthésie occupant tout le membre inférieur
ion syringomyélique, mais encore incomplète. De plus, il existe une zone d'anes- thésie totale dans toute la moitié gauc
on retrouve la dissociation syringomyélique au cou, dans toute la zone innervée par le plexus cervical superficiel. La m
ue, tel qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veux parler de cette zone d'anesthésie absolue qui existait àla partie dr
partie de' la ^deuxième temporale, l'insula entière, et' de petites zones circons- 'crites de l'extrémité inférieure de l
.dh 1 En examinant méthodiquement Je sens de la , température par zones et en comparant les résultats de cet examen avec
zones et en comparant les résultats de cet examen avec la carte des zones normalesi, constantes dressées préalablement parx
et dans la région ova- rienne, provoquent une réaction assez vive ( zones hystérogènes). Un des phénomènes les plus marqu
e la tumeur, les éléments embryonnaires prédominent : il y a là une zone de Fig. 18. Coupe prise dans la même région que
eau devient de plus en plus puissant à mesure qu'on descend dans la zone des grandes cellules pyramidales où ses fibres
st à son maximum; elle diminue à mesure que l'on se rapproche de la zone rolandique, qui semble jouir d'une immunité par
' Un point remarquable est l'immunité relative dont parait jouir la zone motrice, qui était l'endroit le moins atteint dan
'ensemble des accidents connus, qui tous sont loca- lisables en des zones du cerveau dont on commence à soupçonner selon
éflexes patellaires; elle tient très probablement à la lésion de la zone d'entrée radiculaire postérieure, entrele segment
i l'on examine les fibres de jonction d'une région déterminée de la zone extirpée à la région homonyme de l'autre hémisp
et du lobule lingual. Entre ces deux faisceaux blancs il existe une zone de transition qui constitue le bouquet des fibr
Vient ensuite la discussion des théories de Hitzig qui fait de la zone motrice l'aire du sens musculaire, et de celles d
faces de la question, mais Bastion refuse la question motrice à la zone rolandique et admet que le faisceau pyramidal n'e
kson, celle de l'écorce préfontale de Ferrier; et enfin celle de la zone psy- chique de Munk. Tendance à l'unité de cons
tation évidemment hystérique. Du reste les stigmates de l'hystérie, zone hystéropène au-dessous du sein droit et au somm
iminution de la sensibilité du membre inférieur droit, existence de zones hystérogènes et hystéro-fréna- trices, points o
90 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e et marque le début ou l'aboutissant du processus destructif des zones corticales-motrices. Tels sont les documents que
ait le froid, chaud. Analgésie marquée dans certains points decette zone , mais ne s'étendant pas parallèlement à l'anes-
bien que le droit nécessaire ment, fût couvert. Il n'y avait pas de zones d'anesthésie de la face, si ce n'est sur la cor
ment et fourmillement. Puis paresthésie de toutes les parties de la zone de distribution cubi- tale. Douleur considérabl
vroglique, sclérose toujours très végétante, non seulement dans les zones dégénérées, mais encore sous l'épendyme du ,4 ven
base du poumon droit; elle gêne par sa présence la recherche de la zone segmentaire hyperesthé- sique de Lied qui, dans
généralement au territoire du dixième nerf intercostal. Ici, cette zone d'hyperesthésie, en rapport vraisemblablement ave
médiane; mais il y a de haut en bas, en avant comme en arrière, une zone d'hypoesthésie de un centimètre de large envi-
ermographisme net. Envi- ronnant la raie, légèrement surélevée, une zone large et diffuse se colore en rouge. Le suji'
ertain protectorat, que dis-je, n'étend-il pas ses droits sur cette zone neutre, où évo- luent une foule de candidats év
iffuses. Elles consistent en une chromatolyse qui frappe d'abord la zone marginale de la cellule puts'se'drffusû-et se g
s. L'ordre de cette abolition suit exactement l'envahissement des zones analgésiques et suivant que la racine des cuisses
ns jamais noté de changement de colora- tion des téguments dans les zones analgésiques ; 2° Nous n'avons jamais remarqué
ais remarqué non plus de refroidissement des téguments de ces mêmes zones appréciable à la palpa- tion ; 3° Les piqûres f
xes profonds exagérés du côté paralysé. Trépidation épilepsoïde; la zone étroite d'anesthésie qui se voit au-dessus de l
ilepsoïde; la zone étroite d'anesthésie qui se voit au-dessus de la zone hyperesthésiée n'existait pas chez ce sujet. P.
intements d'oreille, puis anesthésie partielle et paresthésie de la zone innervée par le trijumeau : puis affaiblissemen
mes. Au lieu d'anesthésie on trouve souvent de l'hyperesthésie, des zones hystérogènes dont la com- pression arrête une c
observe chez le singe, à la suite de la destruction complète de la zone motrice, peuvent être assimilées à celles qui se
qui se produisent par des lésions incomplètes non irritatives de la zone motrice de l'homme. La distinction entre la con
, octobre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la zone motrice de l'écorce cérébrale, après la section e
éga- tive. , Les faits de ce genre, où un symptôme banal comme la zone hystérique du sein prend une importance capital
ratique de l'hyp- notisation, les causes du sommeil hypnotique, les zones hypno- gènes, l'étude de la sensibilité chez le
te de dé- charge, de la tension nerveuse accumulée dans certaines zones encéphaliques et que leurproduction semblait appo
; mais bientôt douleur vive à la région temporale gauche et dans la zone de dis- tribution du nerf susorbitaire; puis un
91 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
nsistance assez dure, comme charnue. Sur la coupe, on y distingue une zone extérieure violacée, de consistance assez friable
faitement. Si on pique alors la malade, elle crie, elle sent dans une zone de 5 à 6 centimètres autour du point où on a plac
rique de mon service, je voulus montrer à mes élèves l'étendue de ces zones aiieslhé-siques. Je la piquai fortement, mais au
autres couleurs sont réparties autour de ce cercle central, dons des zones concentriques d'inégale largeur, et disposées, de
du nombre des hystériaues chez lesquelles la couleur bleue occupe la zone concentrique externe du champ visuel, et chez les
uelles, par conséquent, le bleu disparaîtrait après toutes les autres zones colorées. « M. Charcot met successivement sous
araît dans les deux yeux, puis, après elle, le jaune et l'orangé. Les zones rouge et verte reviennent dans l'œil gauche, mais
l'œil gauche, mais le violet n'y revient pas. Quant à l'œil droit, la zone verte et le cercle violet n'y renaissent pas. «
es points hyperesthésiques persistent habituellement. En excitant les zones hystéro-épileptogènes, on provoque, chez la malad
oujours la partie antérieure du corps : c'est qu'en effet, il est une zone , la région située entre les deux épaules, qui est
nre de recherches, on arrive bientôt à délimiter un certain nombre de zones parfaitement circonscrites, dont l'excitation amè
amène, avec le plus de précision et de sûreté, le résultat voulu. Ces zones se confondent avec ce que l'on désigne en électro
à deux centimètres environ de l'oreille, à la hauteur du tragus, une zone fort limitée dont l'excitation amène infailliblem
ée au point voulu. D'autre part, il existe au-dessus de l'oreille une zone assez étendue dont l'excitation produit le même r
e, dans ce cas, nous excitons directement la fibre musculaire dans la zone située au-dessus de l'oreille, tandis que l'excit
essayons de provoquer une attaque. Une excitation vive portée sur les zones hystérogènes de l'aisselle n'amène qu'une viole
it, à peu près à la limite supérieure de la région encéphalique, dite zone motrice corticale ; — l'autre était placé, soit a
urtout dans le domaine pathologique : ainsi, nous savons que, sur les zones hystérogènes, une action légère provoque des atta
92 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
nce jusqu'à son extrémité postérieure, d'où elle revient, longeant la zone cérébello-temporale, se terminer en dehors de la
n de l'ourlet; ce sera, pour nous, le pli du corps calleux, pli de la zone interne. Le deuxième pli, pli de la zone extern
u corps calleux, pli de la zone interne. Le deuxième pli, pli de la zone externe, enveloppe le précédent, et se termine, e
1.1.1.1'); mais l'étage supérieur du lobe fronto-pariétal (pli de la zone externe 2.2.2..2.), chargé de plis dans VHomme, e
ssure les distingue. Le pli qui limite l'ouverture est le pli de la zone interne. Le second pli entoure celui-ci; c'est le
e la zone interne. Le second pli entoure celui-ci; c'est le pli de la zone externe. A sa partie postérieure, le pli de la zo
'est le pli de la zone externe. A sa partie postérieure, le pli de la zone interne se relève, s'élargit et forme le lobule q
interne ou pli godronné. Ce pli, très-grèle, fait suite au pli de la zone interne et borde inférieurement la grande ouvertu
disposition est telle, que les anthropotomistes ne font du pli de la zone interne et de la partie antérieure du pli tempora
93 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
icale : les altérations histologiques portaient spécialement sur la zone motrice, l'écorce visuelle (tissure calcarine),
rose latérale amyotrophique. Elle épar- gne encore régulièrement la zone visuelle et la zone auditive. Tout ceci' indiqu
ophique. Elle épar- gne encore régulièrement la zone visuelle et la zone auditive. Tout ceci' indique que la dégénéresce
veau de développement maximum, on voit la tumeur dessinée par une zone décolorée, arrondie, à bords polycycliques taillé
ers la gauche (2 millimètres environ), intéres- sant ainsi toute la zone de sortie de la troisième paire gauche, en coup
tissu nerveux avoisinant; ce caractère est surtout évident dans la zone périphérique d'envahissement. L'espace intertub
e, que ce néoplasme a 90 CLINrQUB NERVEUSE. totalement détruit la zone indiquée ci-dessus, qu'il a complètement respec
e par le néoplasme si voisin.de ce faisceau, puisqu'il a détruit la zone de sortie de la troisième paire gauche, croyons
plexe de fonctions, dont chacune se manifeste dans de très petites zones contiguës de la peau, desservies par des nerfs sp
cliniques de la syringomyélie. Il existe au moins quatre sortes de zones sensorielles, celles du toucher, REVUE DE PATHO
titue la tliermo-anesthésie. Dans le cas rapporté par l'auteur, les zones intéressées étaient celles qui concernent la ré
es le long de la colonne vertébrale ; quelques céphalalgies. Pas de zones hystérogènes. Les sens spéciaux paraissent norm
et les corps granuleux peu abondants ne se trouvent que dans les zones périphériques. S'il s'agit de cas très envahissan
s couches des grandes et pelites cellules, excentricité des noyaux, zone de dégé- nérescence pigmen taire. Ces diverse
tard, est un amoindrissement consi- dérable de la sensibilité, sans zones délimitées. II. Incidents pathologiques survenu
rnal mobilisable, la poignée restant fixe. La percussion dénote une zone de matité environnant la plaie, peu étendue à d
um, à des profondeurs correspondant à peu près aux dimensions de la zone de matité. Le sternum est dénudé de son périost
fut pas soupçonné en percutant la région précordiale. C'est que la zone de matité ne se différenciait pas sensiblement
pprochés du pourtour anté- rieur de la moelle et ne quittent pas la zone des racines antérieures ; il est moindre quand
cipalement au cervelet). , Le tabès commence par une lésion de la zone d'entrée des racines postérieures et des cordon
tale, occipitale et cérébelleuse, et sous la forme de blocs dans la zone périphérique du protoplasma cellulaire. La subs
tandis qu'à droite, il y avait seulement hypo-esthésie dans la même zone . La radiographie montra la présence, de chaque
94 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es couches corticales seules. L'importance relative des différentes zones corticales dans la production des phénomènes me
stes variant d'un pois à une tête d'épingle, situés aux limites des zones corticale et pyramidale. Aucune lésion des caps
aisément, çà et là, sur une étendue plus ou moins considérable, des zones où l'agencement des cellules, de même que leurs
fibres qui se retrouvent, encore assez nombreuses, dans toutes les zones de l'écorce cérébrale, depuis la zone d'Ext)er It
nombreuses, dans toutes les zones de l'écorce cérébrale, depuis la zone d'Ext)er Itisqu'a.1 centre ovale proprement dit
, on trouve à son niveau un léger frémissement. A la percussion, la zone de matité de l'aorte empiète un peu sur la droi
rs 1899), en ce qui concerne les grandes cellules pyramidales de la zone motrice. La nouvelle observation de M. Ballet m
névrogliques de néoformation. La couche névroglique qui recouvre la zone moléculaire entre en acti- vité nucléaire. Les
cours de l'auteur lui permettent d'affirmer ce qui suit : 1° Les zones spinales de la couche optique, contiguës en dehor
paire en montant. La coloration Weigertel Pal montre que seules les zones d'entrée radiculaires sont dans la moelle cervi
stérieure. Par contre, il y a dégénérescence absolue. générale, des zones d'entrée radiculaires de la moelle sacrée et de
oelle sacrée et de la moelle lombaire : dans la moelle dorsale, ces zones sont complètement ou presque entière- ment dégé
, bien dessinée, a subi les altérations propres a la macération. La zone des noyaux ovales est très nette : ceux-ci sont
urquoi les symptômes initiaux sont-ils plus étendus que ne l'est la zone anatomique lésée ? Quel est le mécanisme qui pr
e alaxique à la plupart des mouvements volontaires exécutés dans la zone autrefois paralysée. ' A gauche, l'aneslliésie
ncienneté de t'hémorrha- gie. Sur nos coupes, il occupe surtout les zones postérieures, au niveau desquelles il se présen
travers les faisceaux conjonctifs,et souvent prédominantes dans la zone adventice d'un petit vaisseau, artériole ou vei
udinal pathologique, montrent çà et là, à travers leurs masses, des zones moins bien colorées dans lesquelles les noyaux
ires et les nodules inflammatoires sont abondants surtout dans les- zones postérieures. Dans la moitié latérale gauche, s
une théorie psychologique. La lésion périphérique n'agit pas sur la zone temporale, elle sert uniquement de point de rep
ux données anatomiques actuelles, l'irritation portant sur les deux zones auditives, l'hallucination serait bilatérale, m
n'y a pas de localisation en différentes colonnes ou groupes de la zone sensitive spinale, à l'exception de la colonne de
). D'après cette étude, on peut, sui- vant l'auteur, localiser les zones de dégénéralion rétrograde cor- respondant à di
95 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
e fait d'une manière insensible. Sur leur limite il n'existe pas de zone d'hyperesthésie. Les résultats de l'exploration
u corps, tronc, face et membres ; la région lombaire pré- sente une zone limitée d'hyperesthésio. Le signe de Westphal éta
J. M. Charcot et Dutil c'est tout juste si l'on trouva une ou deux zones cutanées peu étendues présen- tant de la dissoc
rachidiens et le sommet des apophyses épineuses, d'après Reid. Les zones blanches numérotées de la bande verticale de dr
bande verticale de droite représentent les sommets des apophyses, les zones grises des quatre bandes gauches l'étendue vert
la dissociation de la sensibilité n'existait qu'au niveau des deux zones , précisément superposées aux arthropathies de l'é
ultats nuls ou passagers : nuls si la résection ne peut dépasser la zone d'atrophie osseuse, passagers si elle la dépasse,
'en réaliser une imaginaire, on sera porté à regarder avec nous les zones dites motrices comme purement sensorielles, mais
ment d'attitude, c'est-à-dire un geste, par irritation spéciale des zones sensorielles qui sont le siège des représentation
stibulaire des centres corticaux dans la pariétale ascendante, dite zone motrice, et que le cerveau de Bertillon nous fait
tres importants faisceaux médullaires doivent également aboutir aux zones dites motrices. D'autre part, le cervelet, qui
ions sismesthésiques, purement tactiles, auront leur centre dans la zone pariétale avec les autres percep- tions de même
montait un peu plus haut; fait a noter, il y avait de ce côté, sur la zone hy- poeslhésique, une thermanestliésie manifest
talon du lit. L'aneslliésic et l'analgésie fessières se limitent une zone péria- uale très restreinte; sur le membre infé
ement disparu ; l'analgésie se limite aux organes génitaux et il la zone périanale. Sensation pénible et constante de froi
énérescence. Les fourmille- ments signalés plus haut occupaient une zone recouvrant en calotte l'épaule et descendant su
iculaire, l'autre a l'insertion deitoldienne inférieure; cette même zone était le siège d'une légère hyperesthésie cutan
96 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
induré (tronc lymphatique très probablement). Dans ces différentes zones lipomateuses, mollasses, on peut percevoir, dan
e vive douleur à droite près de l'ombilic, on pourrait croire à une zone pseudo-ovarienne, mais la région douloureuse es
tés : l'appréciation du siège et de l'intensi té est exacte. Pas de zones hyperesthésiques. La sensibilité musculaire est
s de sinusite maxillaire. Autour de cette perforation se trouve une zone blanchâtre, plus résistante au doigt, trace du pr
ine cervicale (PI. XLIX, L), on constate l'exis- tence d'une petite zone de dégénérescence il la limite du cordon antérieu
e ; en même temps que les olives, apparaît sur son bord interne une zone décolorée qui augmente jusqu'à l'extré- mité su
ité supérieure de l'olive (Pl. XLVIII, D, E) ; de même, ce niveau une zone dé- colorée apparaît sur son bord externe, en d
us élevée d'un des pariétaux sont rares, cependant la proximité des zones motrices corticales pourrait expliquer une paraly
u de ses branches une collection qui agit par com- pression sur les zones motrices et sur le centre de la parole. D'où : hé
nombre des hémiplégies consécutives et des convulsions puisque les zones motrices corticales sont comprimées. Au point
ement broyée par le coup ; DE l'hémiplégie traumatique 379 2° Une zone siégeant autour du trajet et constituée par de la
ajet et constituée par de la masse cé- rébrale spongieuse. 3° Une zone de matière cérébrale tiraillée, où le tissu nerve
tissu nerveux est dé- chiré par des hémorrhagies capillaires. Cette zone est plus Icurnie dans le voisinage du trajet et
grise située en haut du sillon de Rolando et un peu en arrière. La zone motrice est donc touchée, précisément dans la r
la sylvienne gauche. Ce foyer se propageant de bas en haut dans la zone motrice, expliquerait successivement l'aphasie et
endrites qui passent auprès de la surface de l'écorce cérébrale. 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région supérieure. - S
ux ; pourtant dans l'une d'elles on pouvait voir très nettement une zone plus claire autour du point noir. - b) Partie m
nt, tantôt faiblement sur la même coupe. Par places, on observe une zone claire périnucléaire ou une chromolyse centrale
nt la dégénérescence secondaire des voies pyramidales, qui va de la zone motrice de l'écorce cérébrale et qui peut être co
liquée avec enfoncement du crâne du côté droit, précisément dans la zone motrice. Il avait reçu un morceau de charbon tomb
lieu à aucun phénomène subjectif, ni douleurs, ni fourmille- ments, zone d'hypoesthésie étendue à tout le membre supérieur
comme une pièce de cinquante centimes, plus ac- centuée que dans la zone dont nous venons de parler. Le point douloureux e
venons de parler. Le point douloureux est situé exactement dans la zone de Broca. Le malade se plaint de douleurs vives
AITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 369 latéral, se présente sous forme de zones bien délimitées habituellement, et parfois avec
i dire invisible que quelques auteurs ont admis que les mailles des zones aréolaires sont pour la plupart du temps vides.
plupart du temps vides. . Par la méthode de Weigert, la myéline des zones altérées se colore peu, la stratification en es
e. La sen- sibilité à la piqûre d'une épingle est diminuée dans les zones où existe la dimi- nution de la sensibilité tac
97 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ntrent pas uniquement en conséquence de l'excitation artificielle des zones hystérogènes ; elles peuvent se développer sponta
ée elle-même, peut-être au moins en certains cas, par la pression des zones hystérogènes déterminée inconsciemment par le mal
exercés sur la peau des cuisses, surtout à droite au voisinage de la zone hyperesthésiée, éveillent la douleur la plus vive
n intervient violemment par des cris, ou bien en comprimant certaines zones , l'attaque s'arrête, tandis qu'on n'arrête jama
e et sensorielle, avec rétrécissement très prononcé du champ visuel ; zone hystérogène ; aura suivie de perte de connaissanc
o-dorsalc. Hospice de la Sàlpêtrière. — Coupe faite par M. Marie. 1 Zone de condensation avec apparence papillomateuse.
ns laquelle existe encore un peu d'épithélium épendymaire normal. 2 Zone gliomateuse. 3 Substance grise. 4 Cavité syri
Fig. 104. — A,A, cordons latéraux : — A' faisceaux de Tùrck. — B,B, zones radiculaires postérieures. — G,C, cornes postérie
érieures. — G,C, cornes postérieures. — D,D, cornes antérieures. — F, zones radiculaires antérieures. — E, cordons de Goll. E
s de J. M. Charcot, p. 295. spinaux postérieurs, celles surtout des zones radiculaires, B B, entraînent avec elles la produ
. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices,) et les zones radiculaires antérieures (trajet intraspinal des
périeur tout entier, et toujours,en pareil cas, la délimitation de la zone anesthésiée et des parties normalement sensibles,
voit, en comparant les fig. 110, 111, 113 et 114 entre elles, que les zones insensibles ou peu sensibles à la chaleur, et cel
à la surface du corps, comme le sont les anesthésies hystériques, par zones géométriquement limitées, par segments de membres
paru, il s'est manifesté dans les deux flancs, surtout à gauche, une zone ou plaque hystérogène. Le moindre frôlement, la m
sur toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. — Lorsqu'on exerce une pression un p
onstric-tive, tenace, généralisée, mais prédominante à l'occiput, une zone médiocrement douloureuse, située à la partie infé
lissement très appréciable de l'ouïe et de l'odorat du même côté, une zone hystérogène, des attaques caractérisques, que fau
ésie n'est pas aussi complète qu'au membre supérieur et à la face. La zone anesthésique dépasse la ligne d'attaches de la cu
l scrotal. La peau du tronc a conservé toute sa sensibilité dans la zone intermédiaire qui sépare la nappe anesthésique pé
e), 425. Hystérogènes. — (Points) dans le sommeil hystérique, 66. — Zones , 33. Hystéro-neurasthénie (Voy. aussi hystérie,
98 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui a diagnostiqué une affection catar- rhale de la trompe. Aucune zone hystérogène ou douloureuse. C'est un homme d'un
chez des hallucinés, enlevé des morceaux de circonvolution dans les zones de Wernicke et de Broca; il a aussi tenté de ro
des fibres de la partie fondamentale des cordons antéro- latéraux ( zones radiculaires antérieures d'après M. Charcot) dans
ation de boule, etc...), on note presque toujours l'existence d'une zone hystérogène, dont la mise en action va directem
naître le paroxysme mi- graineux et l'amblyopie transitoire. Cette zone peut siéger dans l'oeil lui-même; alors, la dou
ar exemple, -directement au niveau du globe oculaire. Ou encore, la zone .peut se trouver ailleurs, au vertex, par exemp
Babinski, il existait au niveau de la sixième vertèbre dorsale une zone hystérogène, dont la pression faisait apparaîtr
tre immédiatement le scotôme. "Dans un autre cas, la pression d'une zone ovarienne gauche produi- sait le scotôme, comme
graine ophtalmique, sous forme de paroxysme spécialisé, part d'une zone hystérogène dûment constatée, et dont la pression
psychiques, de pa- raître ou de disparaître par la pression sur des zones hystéro- gènes, etc. Dans ce cas, et lorsque
(Voy. Pl. I, fig. 1.) Hémisphère droite. Les circonvolutions de la zone motrice sont intactes, mais en écartant les lèv
et de pouvoir exécuter des mouvements volontaires. Il existe une zone visuelle, base de la perception visuelle et des
la perception visuelle et des idées qu'elle fait naître; il y a une zone auditive, une zone olfac- tive, et probablement
lle et des idées qu'elle fait naître; il y a une zone auditive, une zone olfac- tive, et probablement aussi, divers cent
e à travers ceux des bras. Si le point de départ s'effectue dans la zone qui commande la jambe, l'exci- tation s'étend à
a portion inférieure (ventrale), à la hauteur de l'hypoglosse; - 5° zones d'atrophie disséminées dans la région ven- tral
disparu. Il existe chez le malade des troubles de la sensibilité : zones hyperesthésiques testiculaires, iliaques, sous-
ureuses et thermiques sont très bien appréciées partout. Il y a des zones hypéresthésiques : 1° au niveau de la septième
rès celte crise il resta vers la moitié du pli de l'aine droite une zone hypérectbésique, dont la. pression provoque des
ettre des troubles circulatoires localisés, mais occupant plusieurs zones à la fois. » L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 427 Du
raît bien plusépaisetcomme groupé autour nucléole plus pâle ; cette zone que l'on peut considérer comme la membrane nucl
égale épaisseur partout ; à côté de parties plus denses il y a des zones plus claires qui pourraient bien représenter le
99 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
ercle, etc. Compression testiculaire. Etat de la sens ! - bilité. - Zones )rystérogénes. - Action des aimants, des métaux.
ques et apparition d'écume salivaire aux lèvres. La compression des zones hystérogènes (voir plus loin) ne donne aucun résu
n certain nombre de points, douloureux à la pression, analogues aux zones hystérogènes qui existent chez les femmes hysté
bles hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau; - 3° et 4° deux zones symé- triques au niveau du deuxième espace inte
- 5° un point sensible au-dessus du mamelon droit ; - 6, et i° deux zones douloureuses symétriques, au niveau des flancs,
YS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en une sensation douloureuse, dirigée d'une zone iliaque à l'autre et produisant, d'après le mal
mère dans les travaux duménage. La sensibilité est parfaite, et les zones Ilysté- ro;ènes ont disparu. - L'eczéma, en voi
de violence. IV. Signalons encore les accès de toux gutturale, les zones hys- térogèncs à l'état rudimentaire; l'ineffic
èncs à l'état rudimentaire; l'inefficacité de la compression de ces zones ou de la compression des testicules sur la produc
100 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s transpositions de sensation" seraient liées àL , une lésion de la zone rolandique. ' t ·1 >'#<* ? v v 1, iDans l
près les expériences de Munk, on dut pensera la destruc- tion d'une zone du lobe pariétal immédiatement contiguë au lobe
résumée, l'observation suivante, avec l'examen microscopique des zones corticales pratiqué à l'aide du picro-carmin et d
t aussi des lésions. Les cellules cé- rébrales dans les différentes zones de Meynert ont subi l'atro- phie de leur protop
ans les cellules et dans les vaisseaux de l'écorce, au niveau de la zone sous-méningée, de nombreuses granulations isolé
es tubes nerveux sont très diminuées dans l'écorce; au niveau de la zone sous- mé- ningée, il est impossible de les mett
Dans la substance blanche et au niveau de la limite inférieure delà zone des cellules polymorphes, on constate des atrophi
e lé champ de l'amnésie et celui de-la mémoire, il doit exister une zone où les images sont de moins en moins éclai- rée
rachiale DROITE ET dysesthésies consécutives A UN traumatisme DE la ZONE antérieure frontale gauche DE la COR- TICALITE;
aule, avec apparition sur la surface, cutanée de cette région d'une zone de dissociation de la sensibilité du type syrin
ces, comparées aux dégénérescenses consécutives à l'extirpation des zones corticales motrices, permettent d'établir les d
la commissure postérieure. Dans le faisceau pyramidal croisé et la zone de Gowers les vaisseaux présentent des gaines é
ondes. Il existe de la méningite, et dans les cordons de Goll et la zone voisine de la commissure postérieure on observe l
des lésions, mais légères. De plus, on trouve ici la lésion dans la zone latérale dés cordons postérieurs. Sur une coupe
température du liquide. Elle ne sent non plus jamais la faim. Comme zones hyperesthésiques, on ne retrouve guère que le c
e de formuler une loi rela- tive à la localisation périphérique des zones réflexes. Il dit en substance qu'une zone limit
isation périphérique des zones réflexes. Il dit en substance qu'une zone limitée en haut par le pli inguinal, en dedans
rvention du psoas. Mais, inversement, quand après avoir effleuré la zone fémorale en question, on excite, subsidiairemen
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 La régularité avec laquelle les zones excitées provoquent les divers mouvements réfle
auche très nette pour les différents modes de la sensibilité et une zone pseudo-ovarienne douloureuse du même côté. Cett
bilité et une zone pseudo-ovarienne douloureuse du même côté. Cette zone ne réveille pas les phénomènes de l'aura, quand
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